mercredi, 30 août 2023
Samedi 2 septembre, en Vendée :
18:07 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 14 octobre : l'Okteberfest d'Academia christiana en Mayenne
Academia christiana cliquez ici
12:42 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MICHEL FESTIVI DONNERA UNE CONFÉRENCE SUR MIGUEL PRIMO DE RIVERA SAMEDI 2 SEPTEMBRE AUX JOURNÉES CHOUANNES DE CHIRÉ-EN-MONTREUIL
Le livre sur Miguel Primo de Rivera cliquez ici
00:57 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 31 août, de 10 h à 11 h, Pierre Cassen et Bernard Germain invités sur Radio Courtoisie
Nos amis Pierre Cassen et Bernard Germain seront, ce jeudi 31 août, les invités de Daniel Habrekorn, chef de l’émission “Anthologie de la Créaction”, à Radio Courtoisie, de 10 heures à 11 heures. Radio Courtoisie cliquez ici
Ils y présenteront, dans un contexte particulier, leur livre “Transgression, voyages du camp du bien vers le camp du mal”, édité par Synthèse nationale.
Pour écouter Radio Courtoisie en direct : cliquez là
Source cliquez ici
Le livre cliquez là
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lundi, 28 août 2023
SAMEDI 2 ET DIMANCHE 3 SEPTEMBRE : BERNARD GERMAIN DÉDICACERA SES LIVRES AUX 53es JOURNÉES CHOUANNES À CHIRÉ-EN-MONTREUIL (86)
17:05 Publié dans Livres, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lettre de Catherine Blein suite à un entretien avec Edwy Plenel publié dans Ouest-France
17:04 Publié dans Catherine Blein | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : pourquoi nous reportons notre Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge du mois d'octobre prochain ?
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Dans notre précédente livraison de Synthèse nationale (n°63, printemps 2023), nous vous annoncions la tenue, le dimanche 15 octobre prochain, de notre Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge annuel.
Depuis 16 ans en effet, chaque année ou presque, au début de l'automne, les amis de Synthèse nationale se retrouvent nombreux lors de ces journées qui rencontrent un succès croissant (près de 3000 entrées en 2019 cliquez ici). Hélas, les contraintes sanitaires, en 2020 et 2021, nous avaient obligés à y renoncer. L'an dernier, nous avons pu organiser à nouveau cette réunion et celle-ci, malgré les risques engendrés par une grève interminable des raffineries qui immobilisait la France, remporta un nouveau succès cliquez là. Nous pouvions raisonnablement espérer que les tracasseries étaient derrière nous.
Mais nous avons sous-estimé la capacité de nuisance de la clique actuellement au pouvoir. Depuis le mois de mai dernier, toutes les réunions publiques de la droite de conviction sont systématiquement interdites par le sinistre Darmanin. De telles interdictions, outre le fait qu'elles limitent la liberté d'expression, mettent les mouvements organisateurs dans des difficultés financières peu enviables.
Il faut savoir qu'un Rendez-vous B-B-R correspond, pour Synthèse nationale, à un investissement d'environ 20 000 €. Si la réunion est interdite au dernier moment, comme c'est toujours le cas, nous perdons cette somme et inutile de vous dire que cela serait synonyme de faillite pour notre revue. Nous ne voulons donc pas prendre ce risque. Je pense que vous le comprendrez tous. La folie d'un ministre paranoïaque doit nous inciter à la prudence.
Cela ne nous empêche pas de mener notre combat sous une autre forme. Le thème que nous avions choisi était celui abordé dans le nouveau numéro de SN (n°64, été 2023, sortie imminente) : "Immigration : ce n'est pas faute d'avoir sonné le tocsin !" De plus, le "hors-série" que nous préparons et qui sortira en septembre développera les arguments que nous voulions exposer le 15 octobre prochain.
Faire momentanément le dos-rond ne signifie pas, pour autant, renoncement. Dès que le ciel s'éclaircira et que les caprices darmanesques s'éloigneront, nous organiserons, soyez-en convaincus, notre 15e Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge qui n'en aura que plus d'éclats...
Sortie la semaine prochaine du n°64 de la revue Synthèse nationale :
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10:35 Publié dans 15 - La 15e Journée de Synthèse nationale, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 août 2023
SAMEDI 2 ET DIMANCHE 3 SEPTEMBRE : DIDIER LECERF PARTICIPERA AUX 53es JOURNÉES CHOUANNES À CHIRÉ-EN-MONTREUIL (86)
20:30 Publié dans Livres, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Occident face aux Brics
Nous l’avions déjà écrit ici, la guerre en Ukraine a bouleversé les données géopolitiques du globe. En s’attaquant à la Russie, l’Amérique a déclenché la résistance des puissances continentales, toutes opposées au diktat monétaire et commercial américains. C’est ainsi que l’association des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) a vu grossir ses rangs lors de son dernier congrès qui s’est tenu en Afrique du Sud. A compter du 1er janvier 2024, ils seront onze membres et bientôt sans doute une quarantaine représentant une part non négligeable du commerce mondial. Sébastien Le Belzic dans la nouvelle équipe du Journal du dimanche, nettement plus pertinente que la précédente, fait le point.
Lire la suite ICI
Source : Journal du dimanche 27/8/2023
13:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 26 août 2023
Le coût approximatif de l’immigration
Consultant international sur l’Afrique et les migrants, Jean-Paul Gourévitch a réalisé pour Contribuables Associés une étude sur le rapport entre les dépenses et les recettes engendrées par l’immigration en 2023. Il évalue le déficit pour les finances publiques à 53,9 milliards d’euros, soit 13,6 milliards de plus que l’an dernier. Un chiffre inférieur à la réalité, l’opacité régnant sur des sujets comme les frais liés à la prise en charge des mineurs non accompagnés ou encore les subventions versées aux associations qui s’occupent des migrants. Judith Waintraup, pour le Figaro magazine a saisi l’occasion pour aller le cuisinier.
Mais le grand déficit de cette affaire, c’est bel et bien que l’Etat se refuse à mettre en place les outils nécessaires qui nous permettraient de savoir plus précisément combien nous coûte les immigrés et leurs enfants, la plupart chômeurs comme leurs parents ! Que cesse le laxisme en la matière et que l’on prenne enfin les mesures qui s’imposent.
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11:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Immigration : indécision et confusion
Yves Thréard
D’entretiens en interviews accordés aux médias, la détermination d’Emmanuel Macron pour légiférer sur l’immigration semble grandir. Le chef de l’État vient d’affirmer qu’il avait une « obligation de résultat » pour « réduire significativement l’immigration », à commencer par les flux illégaux. Sur l’ampleur de la vague migratoire, les chiffres lui donnent raison : les entrées clandestines dans l’Union européenne ont augmenté de 13% ces sept derniers mois. D’année en année, le fléau s’aggrave et les tragédies se multiplient : 1 800 personnes ont déjà péri en tentant de traverser la Méditerranée depuis janvier.
Cependant, de l’intention à l’action, il existe toujours une marge importante chez le président. Doit-on mettre cela sur le compte de la difficulté qu’il aurait à trouver une majorité ? La question ne se poserait pas si Emmanuel Macron savait ce qu’il voulait. Avec un texte aux objectifs précis, resserrant les conditions du droit d’asile, des aides sociales, du droit du sol et du soutien aux pays de départ, il l’obtiendrait sans nul doute, avec les voix des Républicains. Telle n’est pourtant pas l’hypothèse la plus probable, car la régularisation de travailleurs sans papiers dans certains métiers est aussi à l’ordre du jour.
Comme en toutes choses, la réflexion prési- dentielle sur ce sujet n’est jamais simple : « Est-ce qu’on est submergé par l’immigra- tion ? Non. C’est faux de dire cela. Cela dit, la situation que nous connaissons n’est pas tenable.» Le chef de l’État parle aussi de « décivilisation » et de « problème d’intégration », mais refuse de lier immigration et délinquance. La réalité est certes complexe, mais que faut-il comprendre? Faute d’idées claires, on s’y perd. Indécision et confusion dominent. Le « en même temps» conduit ici tout droit à la procrastination, si souvent reprochée à François Hollande.
Lancé en septembre 2022 par Emmanuel Macron lui-même, le projet de loi sur l’immigration a-t-il une chance d’aboutir ? Et s’il aboutit, d’être un tant soit peu efficace ? s
Source : Le Figaro 26/8/2023
10:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 25 août 2023
Le Puy-en-Velay (43), samedi 26 août : conférence sur la répression politique en France
17:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Xavier Raufer invité de Contribuables associés
10:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
C’est une révolution : le monde dominé par les USA, s’achève sous nos yeux.
Bernard Germain
Cet évènement n’a peut-être l’air de rien pour d’innombrables personnes, mais c’est - selon moi - un évènement absolument historique aux incalculables conséquences à ce jour.
En effet, du 22 au 24 août 2023 sont réunis en Afrique du Sud, les BRICS. C’est la plus grande réunion des chefs d’État et de gouvernement des pays du Sud des dernières années. Les membres permanents du groupe, à savoir le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, sont réunis pour discuter de questions stratégiques et économiques qui auront des répercussions mondiales.
Mais le sujet le plus important sera l’annonce de la création d’une nouvelle monnaie destinée à redéfinir les échanges internationaux, mettant ainsi en péril la domination du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Un nouveau mécanisme de règlement des paiements entre les États membres des BRICS sera étudié.
C’est tout simplement une révolution à laquelle nous assistons. Elle est sur le point de remettre en cause tout l’ordre mondial, ni plus ni moins.
Pour comprendre l’incroyable portée de ce qui se passe en ce moment en Afrique du Sud, il faut revenir quelques décennies en arrière, à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
En 1944, à Bretton Woods aux USA, sont signés les accords du même nom. Ils prévoient la mise en place d’un système monétaire international avec notamment deux décisions majeures :
• un système de change fixe entre monnaie (avec une très faible marge de variation possible) ;
• la reconnaissance du Dollar comme monnaie de réserve internationale, convertible en or (mais seulement entre banques centrales).
La quantité de Dollars produits et en circulation était adossé aux réserves en or des USA. Détenir des Dollars, c’était donc comme avoir de l’or, d’où l’expression de l’époque : un Dollar « as good as gold » (un Dollar aussi bon que de l’or). Ce système était la preuve de la domination mondiale des USA. Mais c’était aussi une contrainte forte puisque chaque Dollar produit devait avoir son équivalent en or à la réserve américaine.
Or, avec la guerre du Vietnam, les Américains ont eu besoin de plus en plus de Dollars pour faire face aux dépenses de ce conflit. Et la planche à billet a tourné à plein régime chez l’oncle Sam, sans mettre en réserve l’équivalent en or, contrairement à ce que prévoyaient les accords de Bretton Woods.
On n’oubliera pas que De Gaulle, voyant les USA produire de plus en plus de monnaie principalement pour les besoins de la guerre qu’ils menaient au Vietnam, comprend que tout cela va avoir de fâcheuses conséquences.
De Gaulle va donc envoyer aux USA des bâtiments de la marine nationale, dont les cales sont bourrées de dollars, et à leur arrivée aux USA, il exige que les Américains lui remettent des lingots d’or en échange de ces billets. Il aura gain de cause. Cette décision était une défiance absolument inimaginable de nos jours.
Rappelons aussi que c’est Nixon - quelques années plus tard - qui, le 15 août 1971, annonça la non convertibilité du dollar en or. Engageant à cette occasion le développement d’un déficit budgétaire US qui ne cessera de grandir depuis cette date pour atteindre de nos jours un niveau totalement pharaonique.
Objectivement, la situation des USA est terriblement préoccupante. Ainsi, la Chine -par exemple- possède plus de 30% de la dette américaine. Ce qui veut dire que si les Chinois présentent aux Américains les obligations du Trésor américain en leur demandant de les payer, les USA seraient tout simplement incapables de payer et seraient donc déclarés en faillite. Au passage on notera que Biden peut faire toutes les grimaces, singeries et menaces qu’il veut, il n’est pas du tout en situation de force avec une pareille épée de Damoclès au dessus de la tête.
C’est donc la fin du système et des accords de Bretton Woods qui se joue en Afrique du Sud. Ce ne sont pas moins de 40 pays qui sont en passe de conclure un accord sur le commerce international entre eux, les conditions de paiement et la monnaie pour le faire, qui ne sera plus le Dollar mais une monnaie nommée « R5 ».
Sans oublier les pays qui patientent et s’impatientent à la porte des BRICS, notamment les 54 pays africains (donc tous les pays de ce continent). C’est dire l’ampleur de la vague qui se lève. En fait un véritable tsunami économique et politique.
Pour les USA, c’est une authentique catastrophe, sur tous les plans. Mais c’est surtout la fin de leur domination internationale sur le reste du monde.
Ce qui aura de considérables conséquences sur les relations des USA avec l’extérieur, mais aussi en interne au sein des USA où une crise considérable ne manquera pas d’éclater en tant que conséquence de ce qui va se décider en Afrique du Sud.
C’est certain, nous vivons en direct un tournant historique, au sens propre du terme.
00:23 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 2 septembre, au Mont des Alouettes (85), la Vendée fête ses 200 ans
00:20 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les ports d’abayas explosent dans les collèges et lycées dans l’indifférence générale de nos autorités.
Michel Festivi
Selon une note de trois pages des services de l’état, les atteintes « à la laïcité » sont en augmentation exponentielle. Les signalements sont de plus en plus nombreux et tout le monde admet que ces remontées ne sont que la pointe émergée de l’iceberg. Cf Le Figaro du 24 août 2023.
De 91 signalements de septembre à novembre 2021, on est passé à 923 d’avril à juillet 2023. On a dénombré 4710 atteintes « à la laïcité » en 2022-2023. Et ce ne sont pas Éric Zemmour ou Jordan Bardella qui l’affirment mais les organes officiels de l’état.
On sait que Pap Ndiaye n’avait strictement rien fait pour contrer ce phénomène gravissime contraire à la loi de 2004, tout accaparé par son wokisme et ses combats contre l’extrême droite. Son prédécesseur Jean-Michel Blanquer avait essayé de s’y opposer, mais il s’était heurté à l’apathie du gouvernement et de Macron et à des critiques virulentes des gauches plus islamogauchistes que jamais.
Que fera son successeur Gabriel Attal. Sans doute rien malgré quelques rodomontades de façade comme celles de déclarer que les abayas sont des signes religieux, belle trouvaille en effet, il faut être au moins ministre pour le découvrir.
En vérité, les macronistes comme les gauches sont dans un déni total de réalité. Ils le sont d’autant plus qu’ils se refusent soit par lâcheté soit par souci électoraliste à affronter cette emprise islamiste que Mme Bergeaud-Blackler a si finement et courageusement analysée dans son livre sur Les Frères musulmans dont nous avons abondamment parlé ici.
Quant aux LR et autres centristes, ils sont encore plus hypocrites sur ce sujet. Dès que des élus ou personnalités RN ou Reconquête évoquent la question, ils ne les soutiennent pas face aux cris d’orfraies poussés par les Nupes et leurs mouvances. Éric Ciotti devient soudainement muet tout comme Laurent Wauquiez. Sans doute faudra-t-il attendre que des élections se profilent à l’horizon pour qu’ils haussent le ton, ton qui retombera aussi sec les élections passées.
La meilleure preuve, les récentes déclarations de Nicolas Sarkozy qui comme toujours dit tout et son contraire. Il vient de déclarer qu’il faut faire barrage au RN en 2027, et « en même temps » découvre que le RN est un parti « républicain » qui est tout à fait légitime par sa présentation aux élections et par son groupe parlementaire, ce qui d’ailleurs a fait hurler les Nupes.
Des lors pourquoi lui faire barrage ? Et dans quel but ? En tout cas les français ou du moins ceux qui s’expriment dans les sondages ne semblent avoir toujours rien compris. Ils déclareraient selon ces enquêtes d’opinions qu’Edouard Philippe serait leur personnalité politique préférée. Mais au demeurant aucun homme politique du système acceptera de promouvoir un référendum sur l’immigration.
Décidément l’assassinat de Samuel Paty ou les multiples déclarations de professeurs courageux qui sonnent le tocsin depuis des années ne semblent servir à rien. Comme ce professeur de philosophie Didier Lemaitre qui enseignait à Trappes. Il s’était attiré les foudres du préfet des Yvelines car il avait déclaré que Trappes était une ville perdue et abandonnée a l’islamisme.
Le maire de Trappes Ali Rabeth l’avait aussi pris sévèrement à partie. Cf le JDD du 14 février 2021.
Les récentes déclarations anti sémites de Médine n’ont au surplus pas déclenché de tsunami médiatique, comme cela aurait été le cas si une personnalité quelque peu de droite s’était permise une phrase de cet acabit. Au contraire l’extrême gauche a soutenu le rappeur de tout son poids politique.
Tout ça pour ça. Ce n’est pas demain donc que les abayas disparaîtront des collèges et des lycées de France, sauf retournement de situation inattendu.
00:02 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 23 août 2023
Le CHN n°26 consacré à Jozef Pilsudski est paru
Pour le commander cliquez ici
Les abonnés à la collection et ceux qui l'ont commandé en pré-vente vont recevoir ce Cahier très prochainement.
23:21 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, aurait été un parfait juge au tribunal de l’inquisition
Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité
Bernard Germain
Le député RN Thomas Ménagé ayant osé contester les affirmations et recommandations du GIEC concernant la crise climatique est actuellement victime d’une violente charge de la part de tous les « croyants » des théories fumeuses du GIEC.
C’est volontairement que j’écris « croyants », car la plupart de ceux qui s’expriment sur ces sujets sont juste des convertis n’ayant aucune connaissance sur le sujet et se contentant de répéter la messe, sans même s’interroger sur ce qu’ils affirment et professent.
Tenez, faites un petit test : interrogez autour de vous les gens qui affirment que le GIEC a raison et posez leur cette simple question : quel est le pourcentage de CO2 dans l’air (atmosphère) ?
Fort peu sauront vous répondre (0,04%). Et pourtant, alors qu’ils ne savent même pas ce qui est pourtant une information des plus basiques, ils prennent fait et cause pour le GIEC.
La raison en est simple : les thèses du GIEC sont un dogme quasi religieux. Donc on y croit ou pas, mais ça ne se discute pas. Et si vous doutez vous êtes diabolisé et classé « climato-sceptique », ce qui dans le domaine revient à se faire traiter d’extrême droite en politique.
Et comme dans toutes les histoires de croyances religieuses, si vous osez contester, il y a des accusateurs - l’inquisition espagnole ou romaine hier, les bien pensants et leurs médias aujourd’hui - et leurs agressions verbales ou plus.
Dans le cas de Thomas Ménagé, il y a eu par exemple Sarah el Hairy, secrétaire d'État à la Biodiversité, qui a osé qualifier ces paroles de "propos honteux et graves". On croit rêver. En bon français, cela veut dire que ce député n’a même pas le droit d’exposer un point de vue qui conteste la thèse «officielle» du GIEC reprise par les gouvernants.
Heureusement pour ce député que nous ne sommes pas en 1600, car sinon il aurait connu le même sort que le philosophe Giordano Bruno, brûlé vif sur un bûcher par l’inquisition romaine pour avoir soutenu la conception copernicienne de l’univers. À savoir que la terre n’est pas le centre de l’univers, mais qu’elle tourne sur elle-même et autour du soleil qui est le centre de notre galaxie.
Il a failli arriver la même chose à Galilée en 1633. Il n’évita le bûcher et la mort que grâce à une déclaration faite par lui devant le tribunal de l’inquisition et reconnaissant qu’il renonçait à soutenir la théorie de Copernic. Après sa déclaration, il aurait murmuré : « et pourtant elle tourne ».
00:12 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 22 août 2023
Sortie en fin de semaine du n°64 (été 2023) de la revue Synthèse nationale
102 pages, 12,00 €
Au sommaire :
P 2 ÉDITORIAL Roland Hélie
P 6 IMMIGRATION : CE N’EST PAS FAUTE
D’AVOIR PRÉVENU. Didier Lecerf
P 20 NO WAY ? OUI, PAR K.O ! Jean-Claude Rolinat
P 25 LES GAUCHES ÇA OSE TOUT Michel Festivi
P 29 1789-2023, la destruction programmée de la
Bretagne Erwan Houardon
P 38 EN FRANCE, ON TUE LES PLUS FAIBLES
Pieter Kerstens
P 42 LA CHRONIQUE DE… Philippe Randa
P 44 ENTRETIEN AVEC LE GÉNÉRAL
ANDRÉ COUSTOU Nicolas Zahar
P 50 LE DISCOURS DE MACRON SUR
LE VEL’ D’HIV’ André Posokhow
P 59 QUAND L’ALLEMAGNE S’ÉVEILLERA
Patrick Parment
P 62 AUX SOURCES DU CONFLIT
RUSSO-UKRAINIEN Robert Neboit
P 69 LE BULLETIN CÉLINIEN Jean Leclerc
P 71 LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 80 BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne
P 84 LA LIBRE CHRONIQUE Charles-Henri d’Elloy
P 89 LES PAGES DU MARQUIS
Jean-Paul Chayriges de Olmetta
P 95 LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE
Guirec Sèvres
P 100 POURQUOI NOUS REPORTONS
NOTRE RENDEZ-VOUS
BLEU-BLANC-ROUGE ?
P 101 BULLETIN D’ABONNEMENT
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10:09 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 21 août 2023
Deux livres de la collection "Idées" de Synthèse nationale à ne pas manquer
11:51 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Où sont les pacifistes ?
Non seulement il n’y a plus de pacifistes en Europe, mais les anciens pacifistes ou leurs héritiers présumés se relayent au micro des radios officielles pour en appeler à plus de sanctions encore contre la Russie, en même temps que pour un accroissement des livraisons d’armes à l’Ukraine. Ils n’en sont pas encore à organiser des marches pacifiques pour l’élargissement à l’est de l’OTAN, mais ils comprendraient mal qu’on en organise, en sens inverse, pour le dénoncer. Personne d’ailleurs ne le fait. Eric Werner se pose la question de savoir où sont les pacifistes ? dans le dernier numéro d’Antipresse et nous répond : ils sont aux abonnés absents.
Lire la suite ICI
Source : Antipresse
10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 20 août 2023
LE ROI EST NU
éditorial de
Terre & peuple magazine
N°96, été 2023 cliquez ici
Est célèbre la maxime de Rivarol : « Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ». Ceux qui connaissent un peu l’Histoire savent combien elle est juste. Ce qui se passe aujourd’hui en France en est une nouvelle illustration.
Ce pays va à vau l’eau. Il ressemble à la Nef des Fous, à un bateau fantôme, sans gouvernail ni pilote. Ou encore à un patchwork, des territoires, parmi ceux qui le composent, étant de plus en plus nombreux à être livrés au désordre et à l’insécurité, tandis que les autorités censées gérer sa vie quotidienne sont de plus en plus aux abonnés absents. La « République une et indivisible » ? Qui peut encore croire à ce gros mensonge, à cette illusion par laquelle essayent de se rassurer les gens qui tremblent pour leur fric ?
Macron peut jouer à l’illusionniste, dans le registre « Tout va très bien Madame la marquise », les Français ne sont pas dupes. Les prendre pour des imbéciles est une erreur fondamentale que les hiérarques du Système vont payer cher. Leur faute la plus grave est de nier systématiquement la réalité. Ce qui, en politique, ne pardonne pas. Si Macron refuse toute éventualité d’un référendum sur l’immigration, c’est parce qu’il sait bien, trop bien, quel en serait le résultat. Donner la parole au peuple serait pour lui suicidaire.
Le déni de base, qui en entraîne beaucoup d’autres, est tellement gros qu’à lui seul il met en évidence que dans le macronisme tout repose sur l’hypocrisie et le mensonge. Il s’agit bien sûr de l’immigration-invasion (expression, rappelons-le, utilisée par Valéry Giscard d’Estaing en septembre 1991 dans Le Figaro Magazine), source de ce Grand Remplacement qui saute aux yeux, désormais, des plus myopes de nos contemporains.
Ce phénomène démographique a une base raciale qui, à elle seule, démolit les tentatives argumentaires de ceux qui s’accrochent désespérément à la négation de la race et du rôle qu’elle joue dans l’évolution des sociétés. Bien d’autres, avant nous, l’ont dit sans fioritures, il est vrai à une époque où l’Inquisition du politiquement correct n’avait pas pris encore les proportions qu’elle atteint aujourd’hui. Ce fut le cas du docteur Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912, dont les travaux ont sauvé la vie de nombre de blessés en 1914-1918 et qui, dans son maître-livre L’homme cet inconnu, a montré ce que l’homme doit à ses origines. Ce que devait reprendre à son tour Claude Lévi-Strauss. Et le grand Céline n’y allait pas par quatre chemins. Et pas seulement avant 1940… Au début des années soixante, comme le rappelle l’excellent Bulletin célinien publié avec une admirable ténacité par Marc Laudelout, Céline affirme : « L’homme blanc est mort à Stalingrad (…) La chute de Stalingrad c’est la fin de l’Europe Il y a eu un cataclysme. L’épicentre c’était Stalingrad. Là on peut dire que c’était fini et bien fini, la civilisation des Blancs ». Car « le monde devient peu à peu comme le Brésil. Le grand mélange ». Et le paisible Paul Morand, peu de temps avant sa mort, constatait avec amertume : « C’est une immense tragédie que la diminution de la race blanche, sa disparition ». À un journaliste qui lui demandait la raison d’une telle inquiétude, il répondait avec simplicité : « Parce que c’est ma race ».
Dominique Venner a repris le flambeau. Il définissait le nationalisme comme « la doctrine politique qui exprime en termes politiques la philosophie et les nécessités vitales des peuples blancs ». Et qu’est-ce qu’un peuple ? « Une unité biologique confirmée par l’Histoire » et relevant du « sol et du sang ». Sol et Sang… Terre et Peuple. Et s’il choisit Notre-Dame de Paris pour se sacrifier c’est parce qu’elle symbolise la « perpétuation de sa race et de son esprit ». Soyons fidèles et dignes d’un tel homme.
18:23 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur le site Entreprendre : Le plan d’Eric Zemmour pour relancer l’économie française
Source Entreprendre cliquez ici
Dans cette entrevue exclusive, Eric Zemmour, le président du parti Reconquête, aborde des sujets sur lesquels il est rarement interrogé : celui de la préservation de notre tissu économique, de la réindustrialisation ou de la souveraineté économique.
Tout le monde parle de réindustrialisation, mais avez-vous un plan ?
Éric Zemmour : La réindustrialisation constitue en effet la mère de toutes les batailles en matière économique, stratégique et sociale. Le phénomène de déclassement industriel, avec la vente de fleurons nationaux à l’étranger, est la cause directe de l’effondrement de notre balance commerciale, déficitaire depuis plus de vingt ans !
La France s’est jetée dans les bras de la consommation, de l’importation et de la dette. On a abandonné la voie de la production. Nous nous en sommes trouvés appauvris et stratégiquement affaiblis puisqu’obligés d’acheter à l’étranger nos biens industriels. Une authentique politique de réindustrialisation passe par la mise en œuvre de trois principes directeurs. D’abord, la baisse des impôts de production doit permettre d’améliorer la compétitivité des entreprises françaises et donc faire grossir leurs carnets de commandes. Ensuite, il convient d’assouplir les dogmes concurrentiels bruxellois, qui s’opposent à la constitution de champions nationaux en Europe tout en laissant notre marché ouvert aux géants extra-européens.
Enfin, il faut inciter fortement les consommateurs et la commande publique à favoriser les fournisseurs nationaux. C’est par l’industrie que l’on pourra rééquilibrer nos comptes commerciaux. Et c’est par l’industrie que l’on pourra augmenter les salaires. Les personnes qui travaillent dans ce secteur ont une meilleure promotion sociale que les gens qui travaillent dans les services d’entrée de gamme. C’est ainsi que le smic suisse est à 4 000 euros, alors que le smic français est à 1 200 euros. Prétendre augmenter le smic sans mener une politique de réindustrialisation massive est une démagogie suicidaire pour notre économie, qui ne fait qu’accélérer en vérité l’appauvrissement de nos compatriotes.
Que faire pour rétablir notre souveraineté industrielle ?
J’ai proposé durant la présidentielle de créer un grand ministère de l’Industrie regroupant Industrie, Commerce extérieur, Énergie et Transports, pour remplir le rôle de chef d’orchestre de notre réindustrialisation. Les lycées professionnels seraient également sous sa tutelle – comme les lycées agricoles sont sous la tutelle du ministère de l’Agriculture – afin de favoriser l’imbrication entre la formation et les besoins des entreprises.
Privilégier la production en France, c’est tout d’abord agir au niveau européen, en imposant un mécanisme permettant à chaque État de l’UE de réserver une part de sa commande publique aux entreprises nationales. Face à la concurrence déloyale, je mettrai également un terme à la surtransposition dans le droit français des règles européennes. Dans notre pays, j’entends créer un Patriescore – sur le modèle du Nutriscore – pour indiquer la part de valeur ajoutée réalisée en France des produits consommés.
Nos entreprises stratégiques seront valorisées et protégées, face aux investissements étrangers et à l’extraterritorialité du droit américain notamment. En échange, toute entreprise qui délocalise devra rembourser intégralement les aides publiques reçues. La puissance publique doit être efficace et juste pour regagner la confiance des Français.
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Academia christiana a tenu cette fin de semaine son Université d'été en Anjou
La XIe Université d'été d'Academia christiana cliquez ici s'est déroulée du 14 au 20 août dans un cadre magnifique en Anjou. Plusieurs centaines de jeunes venus de toute la France et aussi d'Europe ont participé à cette rencontre de qualité.
Samedi, une journée portes-ouvertes a rassemblé un public encore plus large ainsi que de nombreux stands d'associations, de librairies et d'éditeurs. Notre revue Synthèse nationale et notre maison d'éditions étaient présentes et ce fut l'occasion de retrouver un grand nombre d'amis.
Nous remercions la direction et les militants d'Academia christiana pour leur accueil chaleureux et, dans les jours qui viennent, nous publierons un compte-rendu détaillé de cette Université d'été.
Le stand de Synthèse nationale.
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Philippe Randa invité sur TV Libertés au sujet de son livre "La France Macronisée'
Pour regarder l'émission cliquez ici
Chroniqueur politique et éditeur, Philippe Randa a animé avec Roland Hélie, six ans durant, l'émission "Synthèse" cliquez ici sur TV Libertés. Il vient de publier un nouveau tome de ses chroniques barbares : "La France macronisée - Le quoi qu'il en coûte, de l’arnaque à la crise". Faisant le portrait, au quotidien, de l’action de l’actuel locataire de l’Elysée, Philippe Randa décrit un Emmanuel Macron qui vit de crise en crise et incarne une formidable arnaque politique. Pour l’auteur, Emmanuel Macron privilégie l’apparence et la posture aux décisions. Mais son bilan est sans appel : la France va moins bien, la France va mal !
Pour acheter ce livre cliquez là
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L’agonie du journalisme
L’arrivée du journaliste Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du dimanche a évidemment fait sursauter tout le marigot gauchiste qui s’est arrogé le droit de définir là où est le bien et là où est le mal. Cette totalitaire mainmise médiatique, qu’on appelle aussi le mainstream est en train d’être sérieusement écorné par la montée en puissance de Vincent Bolloré dans les médias. Ce n’est pas une nouveauté, puisque nombre de médias sont déjà aux mains de milliardaires, comme Dassault, Arnault, Perdriel et Pinaud. A une différence près, Dassault et Bolloré font montre d’une conscience politique que les autres n’ont pas – à l’exception de Perdriel, ex patron de l’Obs - qui se contentent de vendre du papier et laisser les mains libres à la bien-pensance droit de lhommiste qui entend continuer de faire la pluie et le beau temps. Natacha Polony, dans son pertinent édito, démonte toute cette mécanique perverse qui a au final pour effet de faire déserter les lecteurs de la presse écrite en général et des quotidiens nationaux en particulier.
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Source : Marianne 17/8/2023
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samedi, 19 août 2023
Les céréales, enjeu de pouvoir planétaire
Du réchauffement climatique qui perturbe les récoltes céréalières à la guerre en Ukraine, un des grands pays agricoles, l’alimentation devient au même titre que l’énergie l’un des grands enjeux planétaires. Et la guerre en Ukraine vient de mettre en lumière le rôle capital joué par l’Ukraine en matière d’approvisionnement céréalier d’une bonne partie de la planète. Or, Vladimir Poutine vient soudain d’interrompre le pacte qui permettait à l’Ukraine d’exporter ses grains la privant ainsi d’une de ses principales ressources. Il ne faut pas s’imaginer que les Russes vont perdre cette guerre et déserter le Donbass qu’ils occupent largement. L’Europe peut-elle se permettre une guerre longue sur son territoire pour céder au bon vouloir des Américains ? Cet article du Figaro dresse un état des lieux mondiaux de ce qu’il faut bien appeler le ballet agrologistique.
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Source : Le Figaro 2/8/2023
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Les Verts, Médine, et la complaisance pour l’islamisme
Mathieu Bock-Côté
En invitant Médine à leur université d’été, fin août, le parti Europe Écologie- Les Verts a envoyé le signal qu’il s’inscrivait pleinement dans la mouvance qu’on assimile généralement à l’« islamo- gauchisme ». On notera, même si on en parle moins dans les médias, que LFI a fait de même. Le rappeur est connu pour son hostilité à la laïcité, mais plus encore, pour son communautarisme militant, qui se veut la voix des cités et des banlieues issues de l’immigration. Nul besoin de refaire ici la liste de ses déclarations les plus choquantes, comme si on ne les connaissait pas déjà, même s’il vaut la peine de rappeler que Médine s’est rallié au geste de la quenelle, bien après que le brouillard supposé autour de sa signification se soit dissipé.
Médine est un symbole de l’hostilité à tout ce qu’on assimile à l’identité française ainsi qu’à la civilisation occidentale, et c’est justement pour cela qu’il est invité chez les Verts. Bien au-delà de son pseudo-écologisme, EELV a fait de l’idéologie diversitaire son noyau doctrinal. EELV impose son agenda à coups de provocations calculées qui permettent de façonner l’agenda public, au-delà de la première réaction scandalisée qui les accompagne. Car, une fois le scandale médiatique passé, un thème s’est installé dans la vie publique, et tous sont condamnés à en débattre. Les marges prennent en otage la vie démocratique. Sandrine Rousseau est la grande spécialiste de cette forme d’agit-prop adaptée à la société médiatique.
Plus encore, les Verts veulent faire passer Médine pour un martyr et la victime d’une campagne diffamatoire portée par « la droite et l’extrême droite », pour reprendre l’expression rituelle de la démonologie progressiste. La critique envers Médine serait le symptôme d’une poussée xénophobe et islamophobe, à la fois dans les profondeurs du pays et chez ceux qui ne se veulent pas de gauche. On pourrait même croire qu’il est invité dans l’espoir de provoquer des « dérapages » sur les réseaux sociaux, qui permettront ensuite de regonfler médiatiquement le fantasme d’une France au fond d’elle- même pourrie, au fond d’elle-même moisie. Le commun des mortels n’en aurait pas contre les propos de Médine, mais contre son origine.
Et pourtant il arrive que la polémique échappe à son créateur. EELV a dû justifier des propos et déclarations accumulées au fil des ans par son prestigieux invité. Obligée de justifier son invitation, Marine Tondelier a ainsi revendiqué le droit pour un homme d’évoluer, de s’amender, de ne pas être enfermé dans son passé. On voudrait bien la croire, mais dans quelle mesure est-elle prête alors à faire preuve de la même compréhension lorsqu’il est question d’autres acteurs politiques, qui réclament aussi le droit de ne pas être éternellement définis par une déclaration venant de leur jeune vingtaine ?
Marine Tondelier n’a toutefois pas bronché lorsque Médine s’en est pris à Rachel Khan dans un tweet faisant explicitement référence à la Shoah, en se moquant de la mémoire des rescapés, en la qualifiant de « resKHANpée ». Médine a beau s’être excusé ensuite, il n’aura convaincu que ses fidèles. Les grands médias ont pourtant fait semblant de prendre ses excuses au sérieux : c’est l’avantage d’être jugé par un tribunal de gauche quand on est de gauche. On l’a vu avec le traitement réservé par France info à l’histoire, qui a d’abord entouré de guillemets le terme « antisémite » pour qualifier les propos de Médine. Les rédactions font rarement preuve d’indulgence lorsque vient le temps d’assigner les étiquettes les plus dures à l’endroit des partis et mouvements associés à la « droite », dans des situations bien moins claires. La prudence n’était peut-être ici que le masque d’une complaisance connue.
Cette tolérance à la dernière provocation de Médine rappelle à ceux qui en douteraient que la gauche ne se mobilise contre l’antisémitisme que lorsqu’il s’inscrit dans une croisade plus large contre l’« extrême droite ». Lorsqu’il émane de ses rangs, ou de ses compagnons de route, elle regarde ailleurs, d’autant que l’antisémitisme est loin d’être absent dans les quartiers qui représentent son nouveau socle électoral. Il en est de même lorsque la gauche détourne le regard de la vision particulièrement rétrograde de l’homosexualité qu’on y trouve. Le parcours de Médine n’empêchera pas non plus ses défenseurs à gauche de se dire féministes, même s’il n’a jamais hésité à fricoter avec les islamistes qui veulent voiler et bâcher les femmes. L’intersectionnalité a ses raisons que la raison ne connaît pas.
On l’aura compris, la gauche nupesienne ne voit aucune raison de s’éloigner de Médine, car il représente selon elle l’avenir de la France. Il se présente comme un conquérant, et les conquis qui composent ses rangs veulent se soumettre. On peut croire avec elle qu’il représente l’avenir du pays, mais, contrairement à ses militants, nous n’y verrons aucune raison de nous en réjouir.
Source : Le Figaro 10/8/2023
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vendredi, 18 août 2023
L’Espagne continue sur la voie de l’éclatement et de la révolution
Pedro Sanchez et Carles Puigdemont
Michel Festivi
Après le pitoyable résultat des élections législatives du 23 juillet, les gauches et les séparatistes semblent avoir trouvé des accords pour gouverner l’Espagne, si tant est que l’on puisse encore employer ce vocable, car ce pays part en miettes.
Le 17 août s’est réuni le nouveau congrès des députés qui a élu avec 178 voix, soit deux voix de plus que la majorité absolue, Francina Armengol, une socialiste des Baléares, ancienne Présidente de cette région, toute acquise à la politique de Pedro Sanchez. Aussitôt, le catalan, le basque et le galicien ont été proclamés langues officielles du congrès à côté du castillan. Déjà les Valenciens protestent que « leur langue » n’ait pas été retenue.
L’Espagne va ainsi demander aux institutions européennes de légitimer ces quatre idiomes, sachant que Sanchez est jusqu’au 31 décembre président tournant de l’UE, du moins s’il reste en place. L’éclatement de l’Espagne est en cours. L’UE doit en principe donner son accord à l’unanimité des 27.
Le chef catalan Carles Puigdemont (7 députés), a soutenu cette élection, tout en déclarant que son appui à l’investiture de Pedro Sanchez comme Chef du gouvernement, sera conditionné à l’approbation d’une vaste loi d’amnistie pour tous les dirigeants catalans qui ont été condamnés par la justice et à l’organisation d’un référendum sur l’indépendance de la Catalogne. Il réclame des garanties.
La gauche dispose désormais de cinq sièges sur neuf au bureau des Cortès. La session d’investiture du Chef du gouvernement devrait avoir lieu dans quelques semaines. Déjà les indépendantistes de tout poil entendent faire monter les enchères. Ils exigent que Sanchez accepte la reconnaissance d’un referendum sur l’indépendance et une amnistie générale pour tous ceux qui avaient organisé le scrutin sur l’indépendance de la Catalogne en 2017.
Pourtant l’organisation d’une telle consultation pose des problèmes juridiques et constitutionnels considérables. Par contre un vote consultatif serait envisageable, selon les analystes espagnols.
Pour certains commentateurs avisés en tout cas, « les concessions de Sanchez ce 17 août au congrès anticipent une reddition complète envers Puigdemont pour l’investiture ».
En effet, le PSOE a permis par des manipulations de vote, que les divers partis indépendantistes puissent constituer des groupes politiques, alors qu’ils ne pouvaient le faire avec leurs seuls élus, ce qui leur confèrent moultes avantages pécuniaires et politiques. En tout cas, Carles Puigdemont a averti depuis Bruxelles : « Ou il y aura une amnistie générale, ou il n’y aura pas d’investiture. »
Sanchez est prêt à toutes les capitulations pour gouverner. De toute façon il n’a pas le choix, car il n’a pas de majorité sans les indépendantistes.
Les politiciens espagnols de gauche et d’extrême gauche vont donc de nouveau accoucher d’une monstruosité, d’un gouvernement Frankenstein, selon l’appellation qui avait été donnée par un ministre socialiste Alfredo Perez Rudalcaba de cette coalition socialiste, communiste, séparatiste, indépendantiste qui gouverne l’Espagne, pour son malheur, depuis 2019.
Calvo Sotello, l’un des chefs des droites, le futur martyr assassiné par les sbires du front populaire espagnol le 13 juillet 1936 d’une balle dans la nuque, avait un jour déclaré aux Cortès : « je préfère une Espagne rouge à une Espagne déchirée ». L’Espagne de 2023 est rouge et déchirée désormais. Affaire à suivre.
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jeudi, 17 août 2023
Covid-19 : retour sur 2 ans d’infos et d’intox avec Claude Janvier
Claude Janvier, essayiste et écrivain, dresse un bilan de deux années de désinformation au sujet du Covid. Quelle est l’efficacité réelle des masques et des confinements ? Quelles sont les preuves de la nocivité des vaccins anti-Covid ? Qui cherche à nous empoisonner pour faire plus de profits ?
Source Jeune nation cliquez ici
10:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |