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dimanche, 12 mars 2023

Bélâbre dans l'Indre : une manifestation contre l'implantation d'un centre pour migrants

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L'avocat Pierre Gentillet intervenant à Bélâbre (36) samedi matin contre l'implantation d'un CADA (Centre d'accueil aux demandeurs d'asile)

Samedi matin, à Bélâbre dans l'Indre, la section départementale de Reconquête ! organisait un rassemblement pour protester contre l'implantation de migrants dans cette petite commune de quelques centaines d'habitants. Près de 150 patriotes se sont ainsi retrouvés pour écouter, outre les responsables locaux du parti d'Eric Zemmour, Maître Pierre Gentillet, avocat et habitué des plateaux de télévision, tels celui de C-NEWS ou celui de TV Libertés, la chaine très engagée de Martial Bild et Philippe Milliau. Autre participant très apprécié à cette manifestation, notre ami Francis Bergeron, militant historique du combat nationaliste et solidariste et ancien directeur du regretté quotidien catholique et français Présent

Même si cette manifestation n'a pas rassemblé autant de monde que celle de Callac cliquez ici ou celle de Saint-Brévin cliquez là, où toutes les forces patriotiques étaient présentes, saluons le courage de nos amis locaux qui ont ainsi prouvé que le projet de "transition démographique" de Macron était loin, lui aussi, de faire l'unanimité.

Il faut aussi condamner avec vigueur la mesquine action des gauchistes venus de toute la Région et d'ailleurs, partisans du grand remplacement, qui contre-manifestaient (une centaine d'individus en tout) à proximité. Ils ont, en bons démocrates qu'ils sont, privé de sono les intervenants patriotes en coupant le fil du micro sans que les organisateurs, très occupés à d'autres tâches, puissent réagir.

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Les militants locaux, un tantinet dépités, constatent le sabotage de leur sono par les gauchistes

Ce petit incident prouve, s'il en est encore besoin, que l'action politique ne s'improvise pas et que notre camp, plutôt que se diviser sur des futilités d'appareils, ferait mieux de s'organiser de manière unitaire, comme ce fut le cas à Callac et à Saint-Brévin-les-Pins. Si nous voulons gagner, nous avons besoin de tout le monde. Et, nous ne le répéterons jamais assez, l'alternative pour le camp de la France française est simple : vaincre ou mourir... 

À ce sujet, rappelons que, forts de leurs réussites, nos amis bretons viennent de créer une Coordination nationale Partout Callac cliquez là, animée par des cadres chevronnés tels que Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, et Bernard Germain qui fut candidat de Reconquête ! dans les Côtes d'Armor en juin dernier. Cette coordination est soutenue par de nombreuses organisations patriotiques cliquez là et elle met son savoir-faire au service de ceux qui veulent organiser localement la résistance identitaire face aux menées du pouvoir. 

S.N.

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“Le dernier verre” d’André Bercoff

Votre nouvelle émission « Le dernier verre », présentée par André Bercoff, arrive chez vous, tous les dimanches, sur OMERTA. Dans une ambiance intimiste et festive, retrouvez un André Bercoff comme vous ne l’avez jamais vu.

4 invités se joignent chaque semaine, à la fête. Pour cette première, OMERTA a reçu :

Charles Prats, avocat et écrivain

Béatrice Rosen, actrice et chroniqueuse chez TPMP

Remi Tell, chroniqueur, président du collectif "Peuple Libre" et auteur du pamphlet "La Chute de Prométhée"

Sylvie Brunel, auteur de "Nourrir : cessons de maltraiter ceux qui nous font vivre"

Rendez-vous dès aujourd'hui dans les kiosques pour notre 1er mag “Ukraine, la vérité qui dérange” ! Visionner le tout nouveau documentaire « Pays de l’Est et Kaliningrad, aux portes de la guerre » : ICI

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samedi, 11 mars 2023

Hommage au colonel Jean-Marie Bastien-Thiry

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Alexandre Simonnot, membre du Bureau politique du Parti de la France
 
Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 60 années, le 11 Mars 1963.
 
Jean-Marie Bastien-Thiry était Lorrain, polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.
 
Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour l'honneur de la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.
 
Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel Bastien-Thiry.
 
Jean-Marie Bastien-Thiry est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie pour la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.
 
Homme de Foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie éternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.
 
Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.
 
Que Jean-Marie Bastien-Thiry repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.
 

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Journal du chaos

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vendredi, 10 mars 2023

9 mars 1971 : le tumultueux meeting d'Ordre nouveau au Palais des Sports de Paris

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L'Histoire d' Ordre nouveau

racontée par Ordre nouveau.

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Université de Nice, ils voulaient interdire la réunion de Stanislas Rigault (Reconquête !) : C'EST RATÉ !

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Malgré l’annulation à la dernière minute de la faculté de Nice et les pressions, la conférence de Stanislas Rigault à eu lieu devant une centaine d’étudiants.
 
En savoir plus cliquez ici
 

11:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À propos de « L’Île prisonnière »

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Trois lundis de suite, les 13, 20 et 27 février 2023, France 2 a diffusé à 21 h 10 une série de six épisodes d’une durée de 52 minutes chacun : L’Île prisonnière. L’audience moyenne totale exprimée en part de marché a été de 21,3 %, ce qui signifie un visionnage par 4 300 000 personnes environ.

Hors des studios franciliens, les scènes extérieures se tournent en Bretagne, dans les départements du Finistère (dont la presqu’île de Crozon) et du Morbihan, d’où de superbes paysages et de belles images du patrimoine local. Coproduite par France Télévision, Fabienne Servan-Schreiber et Cinétévé, cette série réalisée par Elsa Bennett et Hippolyte Dard, suit le scénario de Christophe Clères et du fameux romancier Michel Bussi.

L’Île prisonnière veut instiller du suspense, ce qui tendrait vers des classiques souvent d’origine anglo-saxonne. Hélas ! Si l’histoire est assez alléchante, il faut reconnaître que sa mise en œuvre se révèle médiocre et poussive. Il paraît néanmoins certain que les Étatsuniens achèteront tôt ou tard les droits et donneront à l’histoire une intensité plus dense et plus rapide en la plaçant sur une île de la Côte Est ou sur l’archipel floridien des Keys…

Selon une formule devenue une ritournelle, l’analyse de cette fiction impose d’en divulguer l’intrigue. Elle se déroule sur l’île imaginaire de Penhic au large de la commune de Camaret à la pointe du Finistère. Y réside une communauté d’une cinquantaine d’habitants qui ne pâtit pas de la désertification rurale : présence d’une école primaire plausible pour briser l’insularité, d’une boulangerie, d’un médecin et d’une infirmière. Penhic est une île relativement étendue pour que les parcours s’effectuent en véhicules sans toutefois qu’elle soit ni trop lointaine, ni trop proche du continent afin que les allers-retours se fassent assez rapidement.

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11:39 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AVEZ-VOUS PENSÉ À FAIRE UN TOUR SUR NOTRE SITE LIBRAIRIE ?

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4 mois de prison requis contre Pierre Cassen pour humour islamophobe

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Pierre Cassen lors des BBR de Synthèse nationale en 2019

Hector Poupon Riposte laïque cliquez ici

La première affaire occupera le tribunal pendant plus de trois heures. La vidéo incriminée avait pour titre : “Et si Castex remplaçait l’application STOP COVID par une application STOP ISLAM ?cliquez ici.

Elle était publiée sous la rubrique “Humour et dérision”, détail d’importance qui n’a jamais été mentionné à l’audience cliquez là.

L’avocat de Pierre Cassen, maître Frédéric Pichon, plaide pour la nullité de la procédure, du fait du délai de prescription et de l’absence de faits justifiant l’interruption de cette dernière. Ce à quoi la procureur répond que la loi a changé et qu’il existe des dispositions dérogatoires pour les « infractions graves » dont la provocation à la haine en ligne fait partie. Pour elle, il n’y a donc aucune difficulté à poursuivre.

L’examen au fond de l’affaire peut alors commencer.

La présidente du tribunal fait la lecture des conclusions des enquêtes de police menées auprès de Pierre Cassen et de Guy Sebag. Il faut rappeler qu’à l’origine des poursuites, c’est SOS Racisme qui s’est permis de faire un signalement au parquet. Ce dernier a alors décidé de poursuivre et de diligenter les enquêtes.

Puis, la vidéo incriminée est visionnée sur grand écran dans la salle d’audience.

Les huit étudiants stagiaires qui avaient choisi d’assister à l’audience en ont eu pour leur déplacement, en ce jour de grève. Je n’avais jamais vu cette vidéo et j’ai eu le sentiment d’être le seul à contenir mon rire en la regardant. Ayant vécu le cynisme de la mise en place de l’application STOP COVID, je dois dire que cette vidéo m’a bien plu. Serai-je un jour poursuivi pour délit d’acquiescement ?

Pierre Cassen est invité à venir à la barre pour répondre à l’interrogatoire de la présidente du tribunal. On lui demande d’abord d’exposer son parcours. Il explique qu’il est entré en combat contre l’islamisation de la France depuis plus de vingt ans et notamment contre les signes religieux qui compliquaient la vie de nombreux établissements scolaires. Il a ainsi pu travailler avec des hommes politiques et contribué au vote de la loi contre le voile à l’école. Il évoque également la campagne victorieuse menée contre le port du voile intégral, appelée la burqa, en 2009. Il dit ensuite être très fier d’avoir pu travailler avec des personnes, nées dans l’islam et qui ont fait l’objet de persécutions suite à leur conversion au christianisme ou à leur apostasie.

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11:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En souvenir de Jean-Marie Bastien-Thiry

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« Le danger que court actuellement ce pays ne vient pas d’un risque de destruction physique ou matérielle : il est plus subtil et plus profond car il peut aboutir à la destruction de valeurs humaines, morales et spirituelles qui constituent le patrimoine français. Ce patrimoine provient d’un héritage qui est à la fois grec, latin, occidental et chrétien et repose sur une conception précise de la liberté et de la dignité de l’homme et des collectivités humaines et sur la mise en application de principes fondamentaux qui sont la recherche et le souci de la justice, le respect de la vérité et de la parole donnée et la solidarité fraternelle entre tous ceux qui appartiennent à la même collectivité nationale. Nous croyons qu’on ne viole pas impunément et cyniquement ces différents principes sans mettre en péril de mort, dans son esprit et dans son âme, la nation tout entière. » (Jean-Marie Bastien-Thiry)

Le Cercle Bastien-Thiry organise du 10 au 12 mars à Paris divers événements en mémoire du dernier des fusillés, Jean-Marie-Bastien-Thiry :

  • 10 mars : messe
  • 11 mars : journée souvenir
  • 12 mars : cérémonie au cimetière

Programme et renseignements sur Bastien-Thiry.fr

11:00 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand l'Union européenne finance les islamistes

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C’est une enquête qui fera référence et que nos dirigeants politiques devraient lire avec attention. Le Frérisme et ses réseaux de Florence Bergeaud-Blackler est une somme impressionnante dans laquelle l’anthropologue au CNRS décrypte le fonctionnement du mouvement islamiste des Frères musulmans. La chercheuse explore ses racines historiques et ses fondements doctrinaux, mais surtout met en lumière la manière dont il s’est internationalisé, faisant de l’Europe sa terre d’élection. Préférant la duplicité à la confrontation, davantage stratèges que théologiens, les Frères ont su étendre leur emprise sur les institutions européennes par le biais d’une myriade d’associations « antiracistes » et par la subversion des « droits de l’homme ». Leur but final, souligne Florence Bergeaud-Blackler, n’est autre que l’accomplissement de la prophétie califale, c’est-à-dire l’avènement d’une société islamique mondiale, dont l’Europe, pourrait être l’épicentre.

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Source : Le Figaro 9/3/2923

02:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 mars 2023

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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21:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Radio France vient de consacrer une série d'émissions à la vie et à l'engagement de Jean-Marie Le Pen

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La présentation de Radio France :

Dans cette série en sept épisodes, fabriquée à partir d’archives rares et avec le regard d'éminents chercheurs, Philippe Collin analyse la trajectoire de Jean-Marie Le Pen en nous prémunissant contre nos émotions.

Un récit de Philippe Collin, réalisé par Violaine Ballet, Flora Bernard et Juliette Médevielle

Le 21 avril 2002, Jean-Marie Le Pen et son Front National accèdent au second tour de l’élection présidentielle. Ce soir-là, peu après 20h, le leader de l’extrême droite s’adresse aux Françaises et aux Français. C’est sans doute son meilleur discours, car au lieu d’exclure, comme à son habitude, le candidat Le Pen cherche plutôt à inclure, disons, à sa manière…

Puis il appelle à un redressement national, l’expression est mûrement choisie, Jean-Marie Le Pen est un fin connaisseur de l’histoire de France. Le redressement national, c’était l’obsession de Philippe Pétain, et ce n’est en rien caricatural, c’est Le Pen lui-même qui a choisi cette expression. La suite du discours cherche à nourrir le lien, entre un peuple et un chef. Jean-Marie Le Pen appelle les Français à se regrouper autour de lui pour sauver une patrie en danger, une nation entravée. Enfin, Le Pen résume son programme et définit son identité politique : « Je suis socialement de gauche, économiquement de droite et nationalement de France ».

Au second tour, le 5 mai 2002 au soir, Jean-Marie Le Pen sera largement battu par Jacques Chirac avec 82 % des voix, mais désormais plus rien ne sera comme avant. En avril 2022, vingt ans plus tard, Marine Le Pen, sa fille, était à nouveau au second tour de l’élection présidentielle, avec cette fois 41,5 % des suffrages. Et dans la foulée, en juin, 89 députés du Rassemblement national, sont entrés au Palais-Bourbon. Ils sont tous les héritiers de Jean-Marie Le Pen. Alors, quelle est leur matrice idéologique ? Et qu’incarne Jean-Marie Le Pen dans l’histoire de France ? Il faut sonder son destin pour éclairer notre présent. Or, le péril consisterait à voir dans ce destin, celui du diable. Donc, dans cette série inédite en sept épisodes, fabriquée à partir d’archives rares et accompagnés par de grandes pointures universitaires, historiens et politistes, nous allons analyser la trajectoire de Jean-Marie Le Pen en nous prémunissant contre nos émotions.

Une seule règle, toujours la même, expliquer, faire de l’histoire.

Les épisodes

  • 1er épisode : Le pupille de la nation (1928-1956)
  • 2ème épisode : Le chagrin et le ressentiment (1956-1962)
  • 3ème épisode : L’union fait le Front (1962-1974)
  • 4ème épisode : Le national populisme (1976-1986)
  • 5ème épisode : Le vol noir du corbeau (1987-1998)
  • 6ème épisode : Aux marches du palais (2002-2015
  • 7ème épisode : Une France contre l’autre…

Les intervenants

  • Benjamin Stora, historien, Professeur des universités. Il enseigne l’histoire du Maghreb contemporain (XIXe et XXe siècles), les guerres de décolonisations, et l’histoire de l’immigration maghrébine en Europe, à l’Université Paris 13 et à l’INALCO (Langues Orientales, Paris). Auteur d’un rapport sur les questions mémorielles franco-algériennes remis à Emmanuel Macron en janvier 2021 ; auteur de « France Algérie : les passions douloureuses » (Albin Michel) et de « Les mémoires dangereuses : de l'Algérie coloniale à la France d'aujourd'hui » (Albin Michel)
  • Olivier Dard, historien, Professeur d’Histoire contemporaine en Histoire politique à l’Université Paris IV, spécialiste de l’extrême droite française.
  • Pascal Perrineau, politiste et spécialiste de sociologie électorale, il a été le directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF) entre 1992 et 2013. Il est professeur des universités à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po Paris) où il a la charge de plusieurs cours sur le vote, l'analyse des comportements et des attitudes politiques, la science politique et l'extrême droite en France et en Europe. Auteur de « La France au front : essai sur l'avenir du Front national » (Fayard) et de « Le Front National à découvert » avec Nonna Mayer (Presses de Sciences Po)
  • Nonna Mayer, politiste, directrice de recherche émérite au CNRS rattachée au Centre d’études européennes de Sciences Po, spécialiste de l’extrême droite en France. Auteure de « Ces Français qui votent Le Pen » (Flammarion) et de « Le Front national à découvert » avec Pascal Perrineau (Presses de Sciences Po)
  • Fabien Archambault, historien, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université Paris-1 Panthéon Sorbonne, spécialiste de la culture politique au XXe siècle.
  • Valérie Igounet, historienne, chercheuse rattachée à l’Institut d’histoire du temps présent, spécialiste de l’histoire du Front national. Auteure de « Le Front national : de 1972 à nos jours : le parti, les hommes, les idées » (Seuil, 2014)
  • Nicolas Lebourg, historien. Chercheur au Centre d’études politiques de l’Europe latine (CEPEL) à l’université de Montpellier, il est spécialiste de l'extrême droite. Membre de l'Observatoire des radicalités politiques. Auteur de « Dans l'ombre des Le Pen : une histoire des numéros 2 du FN » (Nouveau Monde éditions) et de « François Duprat, l’homme qui inventa le Front national » (Denoël)
  • Cécile Alduy, Professeure associée en littérature et civilisation française à Stanford University, chercheure associée au Cevipof à Sciences Po, elle a étudié tous les discours et les symboliques du Front National ces cinquante dernières années. Auteure de « Ce qu'ils disent vraiment : les politiques pris aux mots » (Seuil) et de « Marine Le Pen prise aux mots : décryptage du nouveau discours frontiste » (Seuil)
  • Abel Mestre, journaliste au service politique du Monde, il a suivi Jean-Marie Le Pen de 2008 à 2015. Co-auteur de « Le système Le Pen : enquête sur les réseaux du Front national » (Denoël)

Pour écouter ces émissions cliquez ici

Emissions à suivre évidemment avec le recul qui s'impose.

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Ukraine-Russie, un an de conflit : l'analyse du général Martinez

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Général (2s) Antoine Martinez

Au Président de la République et à son gouvernement, aux représentants de la nation et au peuple français : 

Un an tout juste après l'agression de l'Ukraine par la Russie et alors que ce conflit semble s'enliser, il faut bien admettre que les risques d'embrasement et de débordement au-delà du territoire ukrainien deviennent très sérieux aujourd'hui du fait du soutien massif de Kiev décidé par l'OTAN, notamment en matière de matériel militaire lourd, qui pourrait conduire les dirigeants russes à considérer cette démarche comme belliqueuse à leur égard. Les pays européens, membres de l'OTAN, traités de ce fait comme co-belligérants seraient donc en première ligne et potentiellement sous la menace directe de frappes de représailles, ce qui déclencherait une phase nouvelle de cette guerre qui deviendrait incontrôlable. Il ne sert à rien de clamer qu'il ne s'agit pas de co-belligérance pour tenter de s'en convaincre. En effet, c'est la guerre et si les Russes considèrent qu'il s'agit de co-belligérance, cette co-belligérance sera considérée comme telle avec ses conséquences. La situation est donc extrêmement grave et préoccupante et la responsabilité des dirigeants européens est immense dans la tournure que pourrait prendre ce conflit, pour l'instant encore, contenu géographiquement.

Les dernières déclarations du Président de la République, engageant la France, lors de la conférence sur la sécurité qui s'est tenue à Munich, ne sont d'ailleurs pas de nature à faire baisser la tension. Refuser d'engager le dialogue avec la Russie qui contrôle à ce stade environ 20 % du territoire ukrainien et pousser à sa défaite d'une part, et laisser croire que l'Ukraine serait en capacité d'imposer ses conditions dans une négociation qui surviendrait après une hypothétique contre-offensive victorieuse d'autre part, relève d'un déni de réalité qui pourrait être catastrophique et dramatique pour l'Ukraine et les pays européens. Il est encore temps d'arrêter le massacre !

C'est pourquoi j'appelle le Président de la République et le gouvernement à un sursaut inspiré par la raison. Avoir servi la France sous l'uniforme pendant une quarantaine d'années m'en donne aujourd'hui le droit, sinon le devoir. Car la politique et la géopolitique se fondent sur des réalités et non sur des fantasmes ou sur l'émotion. Et les réalités internationales en 2023, confirmées s'il en était besoin par ce conflit en Ukraine, sont représentées par les Etats-Unis, la Russie et la Chine, seules puissances en mesure – en fonction de leurs seuls intérêts propres – de peser sur l'issue de cette guerre par procuration, l'Union européenne étant de son côté totalement dépassée car ayant choisi depuis la fin de la Guerre froide d'engranger les dividendes de la paix au détriment de sa défense. Ignorer cette évidence ou refuser de l'admettre peut conduire à des prises de décisions tragiques pour la France et les Français.

C'est pourquoi j'appelle les représentants de la nation, députés et sénateurs, étrangement silencieux sur les décisions partisanes prises par l'exécutif et qui engagent la France dans ce conflit, à exiger un débat au Parlement. La France se devait, en présidant l'Union européenne au cours du premier semestre 2022 – avant même l'agression russe et dans les mois qui l'ont suivie – d'adopter un rôle singulier de puissance d'équilibre, de vrai médiateur donnant à la diplomatie sa raison d'être dans ce conflit qui aurait pu et qui aurait dû être évité ou arrêté. Car cette guerre est un vrai malheur pour l'Europe. En ne faisant pas ce choix et en suivant aveuglément les Etats-Unis, la France a manqué un rendez-vous avec l'Histoire. Les Français pourraient le payer cher.

C'est pourquoi, enfin, j'appelle les Français à prendre conscience des enjeux qui touchent à leur sécurité et donc à leur avenir. Cette prise de conscience doit les conduire à manifester fermement, résolument et massivement leur désaccord à des décisions qui privilégient et alimentent manifestement la poursuite de la guerre et sa propagation jusqu'à l'irréparable au lieu de créer les conditions de son arrêt.

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Alexandra Henrion-Caude : "Toutes les vérités sur le covid n'ont pas encore été dites !"

Alexandra Henrion-Caude, généticienne et auteur de “Les apprentis sorciers tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager” aux éditions Albin Michel

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mercredi, 08 mars 2023

Le Président tunisien… ma nouvelle idole, comme le ministre de l’Intérieur anglais.

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Le président tunisien Kais Saied

Bernard Germain 

Les bien-pensants et autres immigrationnistes sont fous-furieux !

Vous vous rendez compte… face à l’invasion migratoire venue d’Afrique sub-saharienne qui frappe la Tunisie, le Président tunisien Kais Saied a osé déclarer : « Ils veulent changer la composition de la démographie tunisienne. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité tunisienne. »

Changez juste un mot dans cette déclaration et elle devient : « Ils veulent changer la composition de la démographie française. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité française ».

Vous, je ne sais pas, mais moi je trouve qu’il a plein de bon sens ce Président Tunisien.

D’ailleurs, cela me rappelle une blague de Coluche (qui serait certainement en taule s’il disait cela aujourd’hui) :

« Vous savez, quand on dit :

  • « Le Mali aux Maliens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « Le Sénégal aux Sénégalais »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La Tunisie aux Tunisiens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La France aux Français »… tout le monde dit FACHOS ! »

Mais le Président tunisien ne s’arrête pas en si bon chemin. Il ajoute :

Cette immigration clandestine relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie», afin de la transformer en un pays « africain seulement ».

Là encore, changez deux mots et tout devient clair :

Cette immigration clandestine relève d’une « entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la France », afin de la transformer en un pays « européen seulement ». Limpide… non ?

Et il complète son propos en déclarant : « Ceux qui sont à l’origine de ce phénomène font de la traite d’êtres humains tout en prétendant défendre les droits humains ».

Quant aux pays africains d’où sont originaires ces migrants, le Président tunisien affirme : « ils reçoivent de l'argent pour implanter des Africains en Tunisie ». En l’occurrence, c’est l’ONU.

Nous c’est l’Europe, qui verse des millions d’Euros aux États et à toutes les organisations pro-immigrations pour amener des millions de migrants en Europe « tout en prétendant défendre les droits humains ».

On comprend aisément la fureur des immigrationnistes face à ces déclarations du Président tunisien, qui défend son pays, ses frontières, sa culture, et son identité.

Mais surtout ces déclarations du Président tunisien flanque par terre tout le discours culpabilisant dispensé par les bien-pensants qui ne cessent de dire aux français contre l’immigration qu’ils sont des salauds. Et les mêmes de dire « il faut les accueillir, il fuient la guerre », « il faut être ouverts et solidaires », « Ce sont des chances pour la France »… et autres balivernes.

Avec ses déclarations, le Président tunisien a jeté un sacré pavé dans la mare !

Mais le plus fort est à venir.

Ce Président ne se contente pas de faire des déclarations fort pertinentes. Il joint les actes à ses paroles. Et lui n’y va pas par quatre chemins… il met en œuvre la remigration. Oui, vous avez bien lu… la REMIGRATION !

En France et en Europe, on nous explique en permanence qu’il est impossible de renvoyer tous ces migrants qui s’imposent sur nos territoires.

Darmanin, par exemple, nous dit qu’il est impossible d’obtenir les fameux « laissez-passer consulaires » et que donc ont ne peut pas les expulser. C’est curieux, mais le Président tunisien n’a aucun problème de ce type. Il annonce qu’il ne veut pas de tous ces migrants et… oh miracle, les États dont ils sont issus rapatrient leurs ressortissants.

Suite aux propos très fermes du président tunisien, les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso rapatrient leurs ressortissants. Donc, c’est possible… alors quand est-ce qu’on fait la même chose M. Darmanin ?

Quant au porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli, il prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés.

Moi je les trouve épatants ces tunisiens. Ce Président tunisien… c’est ma nouvelle idole !

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Mme Suella Braverman, ministre de l'Intérieur britanique

En Europe, j’ai aussi une idole.

Pour la trouver, il suffit de traverser la Manche. Oui, elle est en Angleterre et n’est autre que le ministre de l’Intérieur anglais. Mme Suella Braverman qui a déclaré : « Il est injuste que des gens qui ont traversé toute une série de pays sûrs, puis sont arrivés illégalement au Royaume-Uni, abusent de notre système d’asile. Cela doit cesser ».

Elle a donc présenté mardi 7 mars, un projet de Loi au parlement allant dans ce sens.

L’objectif du gouvernement britannique est d’empêcher les migrants qui ont traversé la Manche illégalement d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. Ils ne pourront donc plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche. Quant à leur expulsion, elle se fera vers un pays « sûr » ou vers le Rwanda, avec lequel la Grande-Bretagne a déjà passé une convention pour accueillir les expulsés

Dites-moi… on ne pourrait pas faire la même chose en France ?

Voter une Loi interdisant de déposer un dossier de « réfugié » si on est entré illégalement. Et se voir expulsé ipso facto vers son pays d’origine ou un pays « sûr ».

Mais là, si on veut prendre ces mesures, on tombe sur un problème sérieux… notre appartenance à l’Europe qui impose à ses membres des textes les empêchant de prendre ce type de décisions, ce qui leur retire de facto toute indépendance nationale.

L’Angleterre peut voter ce type de Loi, car elle a voulu retrouver son indépendance nationale. Pour ce faire elle est sortie de l’Europe en décidant le Brexit. Et depuis, elle décide de son propre destin et vote les Lois qu’elle décide.

Si on ne peut sortir du carcan des textes européens qui nous imposent notamment de subir cette invasion migratoire il faudra, comme les anglais, sortir de l’Europe.

Et qu’on ne me dise pas que ce serait la faillite et la ruine pour la France si nous sortions de l’Europe. On a entendu pendant des mois et des années cette petite musique s’agissant de l’Angleterre.

Aux dernières nouvelles, ce pays se porte bien et la City est même restée la principale place financière en Europe.

Alors, à d’autres cet argument… !

Reste que, pour le moment, j’ai trouvé deux nouvelles idoles : le Président tunisien et le ministre de l’intérieur anglais.

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Sortie à la fin du mois du n°24 de la collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme" consacré à la mouvance identitaire blanche aux États-Unis

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Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier sortira le 30 mars prochain.

Une grande Histoire méconnue en Europe

Rémi Tremblay

Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?

Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.

De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.

Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.

Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.

Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.

Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.

Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.

Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.

Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.

Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.

L’auteur : Rémi Tremblay

Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.

Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du national­isme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 -  cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.

En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Pré­sent et dans la revue Synthèse nationale.

États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

Pour le commander dès maintenant cliquez ici

10:18 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La routine française

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Yves Thréard

Le cortège parisien ne s’était pas ébranlé que Philippe Martinez avait déjà qualifié la journée d’historique. Certes, il y avait du monde dans la rue, ce mardi, mais ce fut le cas à plusieurs reprises depuis janvier, ainsi qu’en 2003 et surtout en 2010, année de manifestations imposantes. En France, une réforme des retraites qui allonge la durée légale du travail fait toujours recette contre elle. À chaque fois, on assiste donc à un spectacle identique, ou presque. La routine d’un pays couleur sépia, qui peine à regarder l’avenir dans les yeux et qui rejoue invariablement la même pièce. Avec cette question, elle aussi immuable : qui, du front syndical ou du pou- voir exécutif, va céder ? L’avantage irait plutôt au second. Un coup de théâtre est possible, mais la réforme devrait, d’une façon ou d’une autre, être adoptée d’ici à la fin du mois de mars. Reste une inconnue : un blocage du pays serait-il alors susceptible de remettre cette décision en cause ?

Quel que soit celui des deux acteurs qui craque, le jet de l’éponge serait pour lui terrible. L’exécutif signerait quasiment son arrêt de mort. Faute d’une autorité suffisante pour conduire d’autres réformes d’envergure, il serait réduit à la gestion des affaires courantes. Les syndicats, quant à eux, essuieraient une énième défaite qui les obligerait sans doute à changer complètement de mode d’action et d’usages pour se faire mieux en- tendre. Il est vrai que d’appeler à «mettre l’économie à genoux» quand les Français ont le regard rivé sur leur pouvoir d’achat n’est peut-être pas le meilleur mot d’ordre !

En attendant de connaître le résultat du bras de fer, le texte contesté est réduit à sa portion congrue. La fin des régimes spéciaux ne serait pas pour tout de suite et les fonctionnaires garderaient leur mode de calcul dérogatoire. Quant aux 13 milliards d’euros d’économies promis, ils ont fondu comme neige au soleil avec tous les aménagements concédés. Si elle passait, la réforme concernerait moins d’un Français sur deux. Pour sauver le système de retraite par répartition, une autre s’imposerait donc bientôt. La routine française, encore et toujours...

Source Le Figaro 8/3/2023

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Dédollarisation : ruée vers l’or des banques centrales, de la Russie, de la Chine

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Marc Rousset

Même le FMI, entièrement contrôlé par les Occidentaux et l’Amérique, vient de l’avouer dans un rapport tout récent intitulé : « L’or, une réserve de valeur internationale et non plus une relique barbare » faisant allusion à la célèbre définition par Keynes, à Bretton Woods, en 1944.Tous les États dans le monde stockent massivement l’or : en 2022, les achats de 1132 tonnes d’or par les banques centrales n’ont jamais été aussi élevés depuis 55 ans. Ces achats représentent plus du double des achats de 2021 (450,1 tonnes).

Selon le Conseil mondial de l’or, le WGC (World Gold Council), les banques centrales restent, début 2023, très intéressées par l’or. La plupart des achats ont été effectués par trois banques centrales, déjà très actives depuis de nombreuses années : la Chine, la Turquie et le Kazakhstan. La Turquie a été le plus grand acheteur d’or en 2022. En janvier 2023, la Turquie a encore acheté 23 tonnes d’or, portant ses réserves totales à 565 tonnes. La Chine, elle, a intensifié de manière agressive ses achats d’or fin 2022, ayant repris ses achats d’or pour la première fois depuis 2019. Elle a encore acheté 15 tonnes en janvier 2023, en plus des 62 tonnes de novembre-décembre 2022, portant ses réserves totales d’or nominales et officielles à 2025 tonnes, alors qu’elles sont dans la réalité infiniment plus élevées et qu’elles dépassent sans doute déjà les réserves d’or américaines de 8100 tonnes d‘or.

Selon le dernier rapport du WGC « l’incertitude géopolitique et l’inflation élevée sont les principales raisons pour détenir de l’or ». Suite aux achats records des banquiers centraux, la demande globale d’or pour l’ensemble de l’année 2022 s’est établie à 4 740,7 tonnes d’or, en augmentation de 18 % par rapport à 2021. La demande des seuls particuliers européens en pièces et en lingots pour le quatrième trimestre 2022 est en hausse de 14 %, soit 314 tonnes.

Quand l’heure des comptes et de la banqueroute sonnera pour régler toutes les âneries de nos dirigeants incapables depuis 40 ans, dont entre autres les 2 millions de fonctionnaires en trop, le passage aux 35 heures, l’abaissement de l’âge de la retraite de 65 ans à 60 ans par Mitterrand, l’ invasion migratoire extra-européenne qui continue de plus belle, la fermeture des deux réacteurs nucléaires rénovés de Fessenheim par Marcon, il ne restera plus véritablement pour les beaux yeux des Français que les actifs réels tangibles, c’est-à-dire l’immobilier, les terres, les forêts , les œuvres d’art, les métaux précieux tels que l’or et l’argent. De Gaulle n’hésitait pas à dire  que « celui qui parie sur les monnaies papiers parie contre 6000 ans d’histoire ! ».

Selon le FMI, le regain d’appétit d’or des banques centrales date en fait de la crise financière de 2008. L’effondrement de Lehman Brothers a provoqué un véritable électrochoc. Wall Street a été touchée au cœur et l’or a retrouvé son rôle de valeur refuge en lieu et place des actions cotées en dollars. L’or ne rapporte rien, mais il n’expose pas son détenteur à un risque de non remboursement ; de plus l’or, comme une entreprise ou un État, ne peut pas faire faillite !

Quant aux banques centrales des pays émergents exportateurs de pétrole, gaz, matières premières, minerais, métaux, elles sont désireuses de sécuriser leurs énormes excédents commerciaux en dollars. Acheter de l’or leur permet de réduire leur dépendance au dollar et à la puissance impérialiste américaine avec son droit extraterritorial. La décision suicidaire, ahurissante des pays du G7, digne des plus grands gangsters internationaux, de geler les réserves en devises de la banque centrale russe, n’a fait qu’amplifier le mouvement, plus personne n’ayant confiance dans l’euro et le dollar ! Dès l’annexion en 2014 de la Crimée par la Russie, cette dernière avait déjà troqué une partie de ses réserves de de change, libellées en dollars, contre de l’or qu’elle détient en sûreté dans ses coffres à Saint-Pétersbourg.

Entre 2014 et 2020, la Russie, via sa banque centrale, a été le pays qui a également le plus acheté d’or au monde. En 2008, le stock stagnait autour de 500 tonnes seulement, et depuis cette date, elle a commencé à acheter de l’or, les achats s’accélérant à partir de 2014 (date du coup d’État de Maïdan par la CIA à Kiev ), pour s’arrêter en mars 2020. Selon le Conseil mondial de l’or, ses réserves s’élèvent à 2 361 ,64 tonnes d’or, soit le cinquième volume le plus élevé derrière les États-Unis, l’Allemagne, la France et l’Italie. Ce sont ces réserves en or qui permettent aujourd’hui à Poutine d’avoir des actifs et des moyens de paiement, pour soutenir son effort de guerre, malgré les sanctions des Occidentaux. Les réserves de change totales de la Russie s’élèvent à 630 milliards de dollars, mais toutes ses devises en dollars et en euros sont bloquées dans les banques occidentales.

La Chine, avec ses créances énormes en milliards de dollars, suite à ses gigantesques excédents commerciaux, adopte une attitude identique à celle de la Russie. Les « 2000 tonnes bidon » officiellement déclarées représenteraient seulement 3 % des réserves monétaires totales du pays, contre 57 % pour la France et 65 % pour les États-Unis. Il y a donc milliers de tonnes d’or cachées en Chine !

Il se trouve que l’Empire du Milieu est ausi le premier producteur mondial d’or, avec 15 % de l’extraction mondiale. Depuis 20 ans, 6 830 tonnes ont été produites. Et en Chine, l’exportation minière est interdite. De plus, la Chine a acheté de nombreuses mines d’or en Afrique et en Amérique du Sud. Depuis 2000, 700 tonnes d’or sont de plus entrées par Hong Kong. L’armée chinoise dispose de stocks d’or et les particuliers, selon le WGC, détiendraient 2 500 tonnes de lingots, pièces et bijoux en or. On estime donc qu’il y a déjà plus de 30 000 tonnes d’or en Chine, dont la moitié appartiendrait à l’État , soit environ 15 000 tonnes d’or, soit presque le double de la quantité d’or détenue par les États-Unis à Fort Knox.

L’objectif de la Chine, c’est de dépasser les États-Unis et d’être la puissance dominante dans le monde en 2049. La Chine souhaite donc se dédollariser, c’est-à-dire remplacer le dollar par le yuan, nouvelle référence monétaire mondiale, en vue de l’hégémonie monétaire et commerciale. À terme, la Chine ne pourra garantir la force de sa monnaie qu’avec l’or, redevenu le seul étalon mondial universel. Le dollar non convertible depuis la décision prise par Nixon 1971, avec seulement 8100 tonnes d’or, ne sera plus alors, comme la livre sterling, l’euro et le yen actuellement, qu ’une monnaie de réserve parmi d’autres, avec les mêmes problèmes d’équilibre de la balance des paiements que les autres, la valeur du « greenback » devant alors littéralement s’écrouler ! La Chine va donc continuer sa stratégie d’accumulation d’or, au rythme des fluctuations, et plus particulièrement, des replis du cours de l’or.

L’hégémonie monétaire américaine est de plus en plus critiquée et de moins en moins redoutée, puisque même le petit Ghana, producteur d’or et de pétrole en Afrique, a osé s’affranchir de la monnaie du monde, en payant son pétrole en or et non pas en dollars. En novembre 2022, le vice-président Mahamudu Bawumia a annoncé que pour enrayer l’effondrement de la devise nationale, le Cedi, son pays envisageait de payer le pétrole qu’il importe, non plus en dollars, mais en or !

Dans un tel contexte, comment devraient évoluer à l’avenir les cours de l’or ? Les tensions géopolitiques restent très vives et la volonté de nombreux pays de s’affranchir du dollar ne devrait pas faiblir. Certains experts et économistes voient l’once d’or grimper d’au moins 10 % dans les prochains mois pour approcher de nouveau les sommets de mars 2022 à 2000 dollars l’once.

Dans l’immédiat, à très court terme, les vents qui soufflent sur le marché de l’or sont plutôt défavorables car la menace d’un ralentissement mondial s’est éloignée, d’où la politique monétaire agressive de la Réserve fédérale américaine en matière de taux, et des rendements obligataires qui augmentent. Pour certains économistes, il ne s’agit pourtant pas de savoir si une récession surviendra, mais plutôt de savoir quand ?

L’investisseur milliardaire John Paulson a récemment souligné le potentiel à long terme de l’or. Il a déclaré que les investisseurs devaient suivre la voie créée par les banques centrales, ces dernières ayant acheté une quantité record en 2022, comme explicitée ci-dessus. Selon Paulson, « Il y a une augmentation significative de la demande des banques centrales pour remplacer leurs dollars par de l’or, et nous ne sommes qu’au début de cette tendance. L’or va monter et le dollar va baisser ; donc vous feriez mieux de garder vos réserves d’investissement en or à ce stade ».

Quant à l’auteur de « Rich Dad, Poor Dad », Robert Kiyosaki, il a publié un avertissement concernant une récession mondiale imminente, affirmant que c’est le moment d’acheter de l’or et de l’argent : « D’ici 2025, l’or à 5 000 dollars l’once, l’argent à 500 dollars. Pourquoi ? Parce que la foi dans le dollar américain, la fausse monnaie, sera détruite. ».

La probabilité est donc élevée que l’or atteigne 2000 dollars l’once en 2023 et que l’économie américaine tombe en récession, ce que confirment les perspectives actuelles de Bloomberg Intelligence. Mais il importe de garder présent à l’esprit que, suite à la dédollarisation irréversible en cours, le potentiel d’augmentation et, en fait, de réévaluation de l’or, reste spectaculaire, ne serait-ce que parce que le commerce mondial a besoin de liquidités pour se développer ! N’oublions pas que lorsque Nixon a décrété unilatéralement, en 1971, la non convertibilité du dollar en or, la cotation était de seulement 35 $ l’once !

L’expert Doug Casey estime que l’once d’or atteindra sans peine les 3 000 $. Et selon Jim Rickards, autre expert incontesté, auteur de plusieurs ouvrages sur l’or et les crises, l’once d’or pourrait même s’envoler jusqu’à 10 000 $ l’once !

Le jour où l’or cotera à ces prix faramineux, cela signifiera la fin du « roi dollar », la fin de l’arrogance de Wall Street, la fin de l’extra-territorialité du droit américain, la fin de l’OTAN et de l’impérialisme américain !

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Nantes, samedi 25 mars : un hommage à Charette

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mardi, 07 mars 2023

Saines paroles de Mgr Viganò, dénonçant les folies des mondialistes

La religion d’État : quelques observations sur le culte mondialiste,

par Mgr Carlo Maria Viganò

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16:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un climat délétère

Le billet de Patrick Parment 

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La grève organisée mardi 7/3 par l’ensemble des syndicats qui eux-mêmes ne représentent plus la classe ouvrière depuis belle lurette, est tout à la fois une journée de dupes et l’expression du ras-le-bol d’un peuple en fort désaccord avec ses élites. Passons sur le paradoxe qui veut que les syndicats ne sont puissants que dans la fonction publique, là où les employés sont le plus protégés, mais aussi les plus à même de bloquer  tout un pays (SNCF, administration, etc.) au même titre d’ailleurs que les employés de TotalEnergie, fort bien traités au demeurant. Il y a là quelque chose de suicidaire de  s’attaquer à l’un des rare fleuron qui marche encore dans ce pays dévasté industriellement par sa classe politique. Si TotalEnergie gagne de l’argent, l’Etat et donc les contribuables en sont les premiers bénéficiaires. On peut en dire autant des entreprises du CAC 40, car le problème n’est pas tant la hauteur de leurs bénéfices que la mauvaise répartition de ces bénéfices. De voir par exemple, le Pdg de Renault, empocher plus de dix millions d’euros de salaire est un authentique scandale. Et c’est là que peche la politique d’un Emmanuel Macron qui verse dans ce que le capitalisme a de plus odieux par les temps qui courent : de rendre plus riche les riches et d’appauvrir le reste de la population. J’exagère ? A peine !

Car cette journée de grève, particulièrement suivie n’a pas pour unique ressentiment la réforme des retraites, mais bien une manifestation de ras-le-bol de la politique du chef de l’Etat dont on ne sait où il veut en venir. La France est un bateau ivre qui navigue au gré du vent. D’autant que cette absence de vision – la France pour quoi faire ? – se double des incohérences des décisions bruxelloises aux mains d’une inique Commission dont les membres ne sont pas élus. L’Europe dans rivages, titrait déjà dans les années 1950 le grand économiste François Perroux.

Il serait malhonnête de tout mettre sur le dos de Macron tant celui-ci hérite des erreurs de ses prédécesseurs. Depuis Giscard, aucun président n’a fait valoir une vision de la France comme ce fut le cas sous De Gaulle et Georges Pompidou. Depuis Mitterrand et ses successeurs, la France n’a cessé de se désagréger faute d’ambition, de lucidité (voir le dossier nucléaire par exemple), et surtout de courage politique. D’ailleurs, tous n’ont en aucun cas fait de la politique mais se sont montrés gestionnaires de leurs propres intérêts et de ceux de leur parti respectif. Sauf Mitterrand, peut-être, qui a fait cocu les socialistes et flingué le PS.

Inutile de dire que la décision européenne de prendre le parti de l’Ukraine n’a en rien arrangé nos affaires. On a ainsi pu mesurer le degré d’aveuglement de toute la classe politique européenne et son degré de servitude à « l’ami américain ».

Michel Audiard disait qu’il ne fallait pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Et bien il ne faut pas prendre non plus les Français pour des canards boiteux claudiquant sans tête. Les Français ont bien compris dans quelle mélasse les avaient entraîné leurs (sous)hommes politiques et leurs partis divers et variés emmêlés dans leurs querelles internes. Du coup, plus personne se ne rend aux urnes.

Alors peut avoir lieu le bal des guignols à la Mélenchon, Faure, Ciotti, Roussel, Martinez, Berger et consorts, les Français ont bien conscience qu’on les mènent vers l’abîme. Tant qu’ils n’auront pas une raison d’exister, la rue sera leur terrain de jeu et quand les frigos seront vides, viendra le temps de la révolution.

 

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Ernesto Che Guevara, la fin du mythe…

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Ce mardi matin, dans l'émission "L'Heure des pros" (CNews), les intervenants se sont élevés à juste titre contre la présence d'un portrait du criminel Guevara dans un local de la CGT. Il nous a semblé utile de remettre en ligne cet article de Didier Lecerf, publié dans la revue Synthèse nationale (n°3, printemps 2007), sur ce monstrueux personnage...

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Didier Lecerf,

Depuis sa mort violente, en 1967,  il y a quarante ans, Ernesto Guevara incarne le romantisme révolutionnaire aux yeux d’un certain nombre de nos contemporains, jeunes et moins jeunes. Sa vie aventureuse et violente, sa fin tragique, sa figure, magnifiée et popularisée par la photographie, l’ont hissé au rang de mythe. Mais, aujourd’hui, ce mythe est battu en brèche : l’archange a du plomb dans l’aile, sa statue se fissure, elle vacille sur son socle… Exit la légende, place à l’histoire !

Une fin sordide

Il y a quarante ans, à l’automne 1967, en Bolivie, dans le canyon de Churo, un petit groupe de guérilleros communistes déguenillés, épuisés et malades, traqué depuis plusieurs jours par l’armée régulière, se retrouve encerclé par 300 rangers  « conseillés » par des bérets verts américains et des agents de la CIA.

Comble de l’ironie : c’est un des paysans du cru, que les insurgés marxistes espéraient gagner à leur cause, qui, les ayant aperçus, a indiqué leur position aux militaires…

Le 8 octobre, le chef de la bande, Ernesto Guevara de la Serna, dit le Che, alias « Fernando el Sacamuelas », coupé du reste de la troupe et blessé, est finalement capturé en compagnie de l’un de ses acolytes.

Transporté jusqu’à l’école de La Higuera, un village proche du lieu de son arrestation, il y est abattu le lendemain, 9 octobre, d’une rafale de pistolet mitrailleur, par le soldat Mario Teran, sur ordre du président René Barrientos, un général de l’armée de l’air, au pouvoir depuis deux ans.

Naissance d’un mythe

Pour Guevara, cette mort violente, à 39 ans, « dans des conditions sordides » (Jacobo Machover) (1) n’est pas une fin, mais plutôt un nouveau commencement. Elle débouche en effet sur – au sens premier du terme - l’apothéose du condottiere communiste, puisque le voici bientôt déifié par la génération encore fraîche des futurs ex-anciens soixante-huitards installés et repus.

Paradoxalement, et d’une façon assez comique, pour toute cette jeunesse gauchiste ou gauchisante, issue pour une bonne part des beaux quartiers, mais tombée très tôt dans la potion amère du matérialisme marxiste, fascinée par les bouchers rouges et grande pourfendeuse de la religion « opium du peuple », la mort du Che prend très vite la dimension d’une nouvelle Passion…

Pour toutes ces filles et tous ces fils à papa qui s’amusent alors à « faire la révolution » - avant de faire des affaires - avec d’autant plus d’entrain qu’ils ne courent finalement que bien peu de risques physiques ou matériels, Guevara (qui lui, au moins, a eu le courage de mettre sa peau au bout de ses idées), littéralement sanctifié par les souffrances endurées et le sang versé au nom de son idéal internationaliste, cesse en quelque sorte d’être un humain pour devenir un mythe.

Nimbé « d’un rayonnement presque christique » (Pierre Rigoulot) (2), par la grâce du martyre reçu, l’archange rouge quitte ainsi la terre des hommes pour rejoindre le panthéon révolutionnaire…

L’ancien compagnon de Castro passe alors du statut d’« homme le plus complet du siècle », (Jean-Paul Sartre), à celui d’ « être de lumière » (Ahmed Ben Bella), ou encore de  « nouveau Christ sur la croix » (Oliviero Toscani - photographe auteur, dans les années 1980-1990, des campagnes publicitaires provocatrices de la firme Benetton)…

Ainsi commence, à la fin des années 1960, la légende dorée de saint Ernesto de la revolución, Don Quichotte des temps modernes, figure emblématique du romantisme révolutionnaire, idole des ados en crise et des bobos anciens combattants du Quartier latin – lesquels ont, finalement, trouvé en lui le héros qu’ils méritent - .

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Lyon, vendredi 10 mars : une conférence du sénateur Stéphane Ravier à La Traboule

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Misogynie, faute morale

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Allez un peu de légèreté profonde dans ce monde de brutes. A l’heure du féminisme tous azimuts – y a de la femme partout et à tous les étages – être misogyne serait l’une des facettes du diable. Peut-on détester peinard les femmes ? A priori non, à l’heure du Mee#too. Mais être misogyne est-ce vraiment détester les femmes ? Bref, a contrario, la question de la femme pose celle de l’homme. Jean-Michel Delacomptée a sa petite idée qu’il nous confie dans Causeur de ce mois. Pertinent et drôle comme à l’habitude.

Lire la suite ICI

Source : Causeur, mars 2023

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lundi, 06 mars 2023

Il ya a 70, crevait la pire ordure du XXe siècle : le communiste Staline

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Un communiqué d'Alexandre Simonot (Parti de la France) :
 
Il y a 70 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
 
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
 
Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !
 
Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?
 
A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.

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Une nouvelle revue non-conformiste : OMERTA

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dimanche, 05 mars 2023

Ignace compare :

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samedi, 04 mars 2023

François Asselineau - Ukraine, Otan, Afrique : la France en déclin

Cette semaine, Emmanuel Macron a misé sur l’Afrique. Après un discours à l’Élysée aux contours plus que flous, le président français s’est envolé mercredi au Gabon avant de poursuivre son voyage vers l’Angola, le Congo et la République Démocratique du Congo. Un épisode censé renouer avec le continent africain qui se solde par des résultats très mitigés, voire catastrophiques si l’on en croit le désaveu venu du Maroc pour témoigner des relations exécrables avec Paris.

À l’image de ses premières prestations en Afrique en 2017, Emmanuel Macron reviendra donc sans bénéfice, mais avec la démonstration que les pays amis qui étaient naguère amis de la France sont désormais des lieux où le président français est persona non grata.

Sur le reste de la scène internationale, le rayonnement français n’est pas vraiment au beau fixe. En Ukraine, malgré des tentatives fébriles de s’émanciper, Emmanuel Macron suit la ligne dictée par la Commission européenne d’Ursula von der Leyen, elle-même alignée sur la volonté de l’OTAN et de Washington. Les annonces en grande pompe d’envoi d’armes sur les théâtres de guerre ont beau s’enchaîner, la réalité prouve que l’Occident est déjà désarmé et ne peut apporter le soutien attendu par Zelensky et vendu par les va-t-en-guerre, ceux-là mêmes qui excitent également le terrain chinois.

François Asselineau, ancien candidat à la présidentielle et président de l’UPR, l’Union Populaire Républicaine, revient en détail sur l’effondrement de la France sur la scène diplomatique qui semble atteindre les tréfonds avec le candidat de l’oligarchie, Emmanuel Macron, devenu président.

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PARUTION DU NOUVEAU NUMÉRO (N°77) DE LA REVUE "RÉFLÉCHIR ET AGIR"

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