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mercredi, 03 mai 2023

La droite française la plus bête d’Europe ?

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En Finlande, le parti de centre droit, arrivé en tête lors des élections législatives, a annoncé vouloir former une coalition gouvernementale avec la formation nationaliste et ani-immigration, deuxième de ce scrutin. Et ce cas n’est pas isolé en Europe, où les droites identitaires s’inscrivent désormais dans le paysage électoral où elles ne font pas que de la figuration. Dans cette tribune, cosignée par Eric Zemmour, Marion Maréchal et Guillaume Peltier, ils appellent les droites françaises à s’inspirer de cette stratégie d’union. Au risque de demeurer, en effet, la droite la plus bête du monde.

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Source : Le Figaro 2/05/2023

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1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas

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Bernard Germain

Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.

On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.

Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !

À ceux qui en douteraient, cliquez sur le lien ci-dessous et vous prendrez conscience du problème.

On voit sur la vidéo, un cocktail Molotov arriver sur les policiers, exploser en arrosant d’essence enflammée plusieurs d’entre eux, et lorsque leurs collègues se précipitent pour éteindre les flammes certains antifas en profitent pour les attaquer et leur jeter pierres, boulons, bâtons et tout ce qui leur tombe sous la main.

Je ne sais pas comment vous appelez cela, moi je dis que c’est une tentative de meurtre avec préméditation. L’un des policiers est d’ailleurs à l’hôpital, gravement brûlé, notamment au visage. Il aurait très bien pu mourir. Même si les autres incidents ont été moins graves, toute la manifestation en fut émaillée.

De manière incessante, les forces de l’ordre furent agressées, recevant toutes sortes d’objets, pierres, morceaux de ferrailles, bâtons, mortiers d’artifices, bombes agricoles… etc. Au final, en France 406 policiers et gendarmes furent blessés, certains gravement.

Un sénateur PS a eu la curiosité de vouloir suivre la police en action. Au départ, pour voir si la police respectait la déontologie du maintien de l’ordre. Après avoir suivi tout l’après-midi les policiers, son opinion se résuma à une formule : « j’ai eu peur, très peur ». Eh oui, il faut avoir la foi du charbonnier pour passer son après-midi à subir toutes ces violences de manière stoïque. C’est le lot quotidien de la police et de la gendarmerie durant ces évènements. Et manifestement ce parlementaire PS a découvert à cette occasion la face cachée de la Lune.

Il faut dire qu’au même moment, les parlementaires de gauche, à l’Assemblée, tentaient de faire s’ouvrir un débat sur la dissolution des Brav-M. Quand on est sur le terrain à recevoir des pavés sur la figure pendant des heures, ça change du parlement et des discours dénonçant la « police qui tue ». Heureusement, cette tentative fut rejetée au parlement.

Restent quelques questions dérangeantes pour le pouvoir et la gauche. Lorsqu’ils sont arrêtés, on découvre que ces antifas sont souvent des fils ou filles de profs de fac, de cadres supérieurs, de hauts fonctionnaires, de chefs d’entreprises. Bref des gosses de la bourgeoisie, qui après avoir commis leurs exactions rentrent à la maison dans les beaux quartiers. Parce que s’il y a des crasseux et des lumpens parmi les antifas, nombreux sont ceux à faire partie des couches sociales favorisées.

À propos des arrestations, on ne peut qu’être frappé par leur nombre extrêmement faible au cours des manifestations. Pourquoi y en a-t-il si peu ? Je ne vois qu’une réponse à cette question… parce que la police a des consignes pour laisser filer les antifas.

Et s’ils se font néanmoins attraper, les juges rentrent en scène et disent aux policiers qui ont déféré ces individus au parquet : « désolé, mais les preuves ne sont pas assez étayées. », ils ordonnent donc la remise en liberté de ces casseurs.

Je rappelle à cette occasion que les policiers souhaitent être équipés de paintballs afin de pouvoir marquer les principaux casseurs et pouvoir les arrêter. Curieusement, cette revendication toute simple n’est pas prise en compte par la hiérarchie. 

Osons la question : « à qui profite le crime ? » Pour moi les choses sont simples : au pouvoir.

Ces milices rendent service à Macron :

  • en étant bien utiles pour discréditer les mouvements sociaux, puisque toute manifestation est systématiquement concernée par ces violences
  • en étant bien utiles pour combattre les patriotes défendant leur pays comme on a pu le constater à Callac, à St-Brévin et dans tant d’autres endroits.

Faut-il rappeler, par exemple, qu’à Callac, ces antifas ont attaqué trois fois les gendarmes à l’occasion de deux contre-manifestations non déclarées et une fois sans prévenir, devant la mairie le jour des vœux du maire. Malgré nos interpellations, le procureur n’a jamais jugé utile d’engager des poursuites contre ces antifas ultra violents !

Pour ce qui me concerne, j’ai d’autres questions complémentaires :

  • la police ayant de puissants moyens d’identification, on ne me fera pas croire qu’ils ne savent pas qui sont ces antifas. Pourquoi ne les arrêtent-ils pas ?
  • pourquoi, puisqu’on les connaît ne sont-ils pas interdits de manifestation avec obligation de pointer au commissariat chaque heure pendant la durée de la manifestation ?
  • Pourquoi lorsqu’ils sont arrêtés n’y a-t-il aucune condamnation avec des peines un tant soit peu dissuasives ?

On notera enfin que la presse des bien pensants, c’est à dire la quasi totalité des médias, ne condamne jamais ces exactions. Ils nous parlent toujours de violences imaginaires de l’extrême-droite, comme dernièrement pour l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. Mais lorsque les coupables ont été arrêtés, on a découvert qu’ils étaient des membres de l’extrême-gauche. Dans un silence assourdissant des médias qui avaient dénoncé sans preuve l’extrême-droite.

Et pour finir, on prendra soin de noter que si la NUPES de Mélenchon n’a pas de mots assez durs pour dénoncer « la police qui tue, blesse et brutalise », ils n’ont jamais un mot pour dénoncer ces antifas qui font régner la terreur de Ste-Soline à Paris en passant par Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Rennes et une multitude d’autres villes. 

La police fait son travail comme elle peut, sans aucun soutien des politiques ni de ses responsables prompts à condamner tel ou tel acte isolé.  Les mêmes ne se posent jamais la question : « dans quel état serais-je si j’avais ramassé pendant tout un après-midi des pavés sur la figure ? ».

Ce parlementaire PS qui a fait l’expérience d’accompagner la police pendant un après-midi le 1er mai, semble en avoir tiré pas mal de leçons. Il m’étonnerait qu’il soit très conciliant avec la prochaine saillie de Mélenchon et sa NUPES contre la police.

Peut-être cela va-t-il ouvrir les yeux de certains ? Un accident est vite arrivé… !

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Montpellier, samedi 6 mai : Honneur à Sainte Jeanne d'Arc

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mardi, 02 mai 2023

Lundi à Scrignac (29) : un hommage à l'abbé Yann-Vari Perrot, assassiné par les communistes en 1943

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La cérémonie sur la tombe de l'abbé Perrot (photo Breizh Info)

En assassinant lâchement, le 12 décembre 1943, sur un chemin creux aux pieds des Monts d'Arrée, l'abbé Yann-Vari Perrot, recteur de la paroisse de Scriniac et fondateur du mouvement culturel breton Bleun-Brug (Fleurs de Bruyère), Jean Thépaut, le terroriste communiste auteur du crime, ne se doutait certainement pas que, 80 ans plus tard, en ce 1er mai ensoleillé de 2023, plus d'une centaine de Bretons (et aussi de non-Bretons), parmi lesquels de nombreux jeunes, rendraient, comme chaque année, un bel hommage à sa victime.  

En effet, c'est dans une ambiance recueillie au moment de la messe, conviviale pendant le pic-nique, studieuse lors des conférences et festives grâce aux sonneurs de biniou et aux démonstrations de danses traditionnelles que s'est déroulée cette journée du Souvenir autour de la chapelle de Coat-Kéo (édifiée en 1935 par le célèbre architecte breton James Bouillé), là où repose l'abbé. Sans oublier l'émouvant dépôt d'une gerbe le matin à la Croix rouge, lieu du crime.

Admirablement organisée par Anne Floc'h, Youenn et Efflam Caouissin, cet hommage rendu à celui qui a consacré sa vie à la renaissance de la culture et la langue bretonnes fut exemplaire. Il prouve que, malgré le rouleau compresseur du prêt à penser, les idées et l'action de l'abbé Perrot sont toujours bien vivantes en Bretagne.

Notre Ami Youenn Caouissin, rappela, dans son intervention, l'oeuvre de celui dont il défend sans relâche la Mémoire. En 2020, il a écrit dans notre revue Synthèse nationale (n°55, automne 2020) un article allant dans ce sens cliquez ici. Il est aussi l'auteur de plusieurs livres sur le sujet édités par Via Romana cliquez là.

Roland Hélie

Lire aussi l'article de Breizh infos cliquez là

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19:59 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avec ou après Macron, le déluge ?

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres).

Vous publiez le 20e volume de vos chroniques barbares intitulé La France macronisée ; le sous-titre est explicite : « Le “quoi qu’il en coûte”, de l’arnaque à la crise »… Ne trouvez-vous donc rien de positif dans la politique menée par Emmanuel Macron et ses ministres ?

Et vous, pourriez-vous me citer une réalisation positive à porter à leur crédit ? Des déclarations d’intentions pour des lendemains qui chantent, certes, ses Ministres et lui en font à la pelle, on y est habitué, mais concrètement ? Un endettement abyssal, une inflation galopante, des services publics à la ramasse, une explosion de la délinquance, un système scolaire qui n’en est plus à s’effondrer, mais à s’enfoncer désormais sous le niveau de la croûte terrestre… Plus anxiogène encore sont les multiples fractures dans la population : certes, quelles que soient les situations dramatiques, certains tirent leur épingle du jeu – et pas forcément tous de façon malhonnête ou immorale – mais la grande majorité de nos compatriotes a désormais le sentiment qu’on était plus heureux dans le passé que de nos jours, malgré des progrès techniques aussi incessants qu’insatisfaisants. Le fil rouge de la politique française, depuis plusieurs présidences, c’est le choix « nous ou pire que nous »… Hier c’était « eux » ou la menace Lepéniste et ses hordes fantasmées de haineuses  chemises brunes ; aujourd’hui, c’est « eux » ou la fureur mélenchoniste et une France transformée en immense ZAD avec miradors et guillotines à chaque coin de rues…

La loi sur la réforme des retraites est tout de même passée…

Non, elle n’est pas passée, justement, elle a été imposée avec le 49.3, c’est-à-dire un « bras d’honneur » politique… L’incompétence de ce gouvernement est telle qu’il avait réussi l’exploit que plus personne ne comprenant les modalités de cette réforme (les ministres eux-mêmes), une majorité de Français n’en ont plus voulu, même ceux qui n’y étaient pas forcément opposés, idem pour les parlementaires ; quant aux partis d’opposition, ils ont tous affirmé qu’ils reviendraient dessus une fois au Pouvoir. Certes, les politiciens nous ont habitués à ne pas tenir leurs promesses, mais on ne peut guère considérer ce triste épisode de la politique française comme positif pour le gouvernement macronien. Au contraire, déjà peu populaire, il ressort de l’aventure encore plus déconsidéré.

Les manifestations des syndicats et des partis de gauche s’essoufflent néanmoins…

Ils s’essoufflent d’autant plus qu’ils sont rendus inaudibles par les violences et les saccages des Blacks-Blocs, antifas et autres extrémistes de gauche qui, d’une part, font invariablement la une des médias avant, pendant et après les manifestations, et qui, d’autre part, découragent nombre de Français de descendre dans la rue.

Vous pensez donc qu’ils font le jeu du Pouvoir ?

À l’évidence… et ce depuis la Présidence Hollande où ils sont apparus. Rien n’a jamais été fait pour les mettre hors d’état de nuire. À notre époque où tout le monde est « fliqué » via son smartphone, son ordinateur, les réseaux sociaux et autres joyeusetés techniques, ces dignes descendants de Ravachol, de Trotsky et de Cohn-Bendit circulent, agressent, vandalisent, harcèlent en toute impunité… Mais peut-être est-ce simplement une déformation de ma première vocation d’auteur de romans policiers d’appliquer à cette occasion l’adage « à qui profite le crime ? », me direz-vous.

Alors, quel avenir pour Emmanuel Macron ? Pensez-vous qu’il puisse ne pas terminer son quinquennat ?

Je commente des faits, fais des constats, envisage éventuellement des hypothèses possibles, à défaut de certaines, mais évite toutes prédictions hasardeuses.

Quelles hypothèses possibles d’avenir pour la Macronie, dans ce cas…

Il y en a plusieurs de plausibles, à commencer par quatre ans d’inactions, soit une simple gestion des affaires courantes sans projet, sans changement, sans but, sinon pour Emmanuel Macron de transmettre le flambeau du Pouvoir à une ou un successeur avec la simple conviction qu’« après lui le déluge »… Ou une dissolution de l’Assemblée ; beaucoup semble déjà l’avoir déjà oublié, mais des gouvernements de cohabitation, la France en a connu plusieurs sous les présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac… La possibilité d’une cohabitation avec une Marine Le Pen ou un Jean-Luc Mélenchon pourrait même lui permettre de rebondir si la situation s’aggravait rapidement en se présentant à nouveau – ce qu’il fait très bien – comme la seule alternative possible : lui ou – la preuve ! – pire que lui… Rappelons que cela lui a permis de l’emporter deux fois face à Marine Le Pen. Et si ce n’était pas un Premier ministre clivant qui entrait à Matignon, mais un ennuyeux « inodore et sans saveur », type François Fillon, Jean-Marc Ayrault, Jean Castex ou Elisabeth Borne, quelle que soit son étiquette politique, cela lui permettait de rester à l’Élysée jusqu’à sa retraite présidentielle avec toujours la même conviction qu’« après lui le déluge »…

La France macronisée, (Chroniques barbares XX), Philippe Randa, Éditions Dualpha, 254 pages, 27 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.

19:52 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 12 et dimanche 14 mai : plusieurs rendez-vous avec Jeune nation

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Impasse Macron

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Le billet de Patrick Parment

Qu’importe au final le nombre de participants aux défilés du 1er mai en France. En revanche, ces mobilisations montrent bien que le pays n’est pas démobilisé contre ce gouvernement. Car les manifs de la réforme des retraites (treize à ce jour) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. C’est une France des « gilets jaunes » sans gilet qui descend à chaque fois dans la rue. Les syndicats font de cette réforme un gimmick alors qu’ils savent pertinemment que le gouvernement ne reviendra pas en arrière. Par ailleurs, les syndicats ne sont pas représentatifs de l’ensemble des travailleurs, loin s’en faut. Mais ils restent un excellent détonateur. Cependant faire la grève coûte cher aux ménages qui ont un seuil d’acceptation limité.

On a raison d’avancer que nos institutions ne marchent plus quand le seul et unique décisionnaire, constitutionnellement, est entre les mains d’un seul homme : le président de la République. Or, ce président est autiste, incapable de saisir le pouls d’un pays qui l’a élu par défaut. On sent bien que ce pays est bloqué par l’intransigeance de l’un face aux aspirations des autres. On voit mal comment sortir d’une telle impasse. La Vème République, à force d’avoir été maints fois bricolée n’est-elle plus bonne qu’à jeter aux orties ?

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Pierre Jovanovic : "Les guerres sont toujours une histoire de dettes"

Irina Dubois, responsable de l’association Dialogue franco-russe s’entretient avec Pierre Jovanovic sur la situation en Ukraine et l’actualité économique internationale.

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11:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Solidarité avec le camarade dont la voiture a été incendiée à Saint Brévin dimanche

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Dimanche, au moment où les patriotes se rassemblaient dans l'ordre et la dignité pour s'opposer au projet d'implantation de migrants dans la communes cliquez ici, les casseurs gauchistes saccageaient le centre de la station balnéaire. En médiocres petits lâches qu'ils sont, ils s'en prirent à la voiture d'un militant nationaliste en l'incendiant. 

Notre camarade, privé de son véhicule, se retrouve devant des difficultés imprévues. Mais, chez les nationalistes et chez les identitaires, la solidarité n'est pas un vain mot. Voilà pourquoi une cagnotte vient d'être ouverte pour aider ce jeune homme à remplacer sa voiture. Soyez-en par avance remerciés.

Pour y participer cliquez ici

11:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France a rendu Hommage à Jeanne d'Arc lundi matin à Paris

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Lundi 1er mai, dans la matinée, fidèle à la volonté de Jean-Marie Le Pen d'associer une dimension sociale à l'hommage  national, une délégation de militants parisiens du Parti de la France s'est rendue devant la statue de Jeanne d'Arc de la place Saint Augustin pour déposer une gerbe. Thomas Joly, président du PdF, et Alexandre Simonot, son délégué général, prirent la parole à cette occasion.

Parti de la France cliquez ici

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lundi, 01 mai 2023

Vers le krach du siècle, l’explosion du Système et l’hyper-inflation

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Marc Rousset

L’arbre qui cache la forêt en matière de crise systémique, c’est ce que l’on peut lire, voir ou écouter tous les jours dans les médias lorsqu’ils traitent des problèmes de l’inflation, des taux des banques centrales, de la situation des banques, des taux de croissance. Nous ferons un bref rappel de ces questions avant de nous intéresser au problème fondamental de l’hyper-endettement et à différentes annonces de crise systémique à venir par plusieurs économistes de renommée internationale.

Christine Lagarde, une pure juriste sans formation économique, très habile politicienne, d’origine normande au sens propre et figuré, ne se « mouille » pas trop en nous promettant une « instabilité » accrue avec des « chocs répétés » dans les années à venir. Afin de combattre l’inflation en Europe, la BCE va de nouveau augmenter très probablement les taux d’intérêt de 0,50 % en mai, après les avoir déjà augmentés de 3,50 % depuis juillet 2022. Selon Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, « il est clair que de nouvelles hausses de taux sont nécessaires, mais l’ampleur de ces hausses dépendra des données à venir ».

Les investisseurs gardent un œil inquiet concernant les perspectives économiques aux États-Unis et en Europe, suite aux incertitudes sur les banques, l’inflation et la croissance à venir. Aux États-Unis la croissance s’est effondrée au premier trimestre 2023 en passant de 2,6 % à seulement 1,1 %. En France, la croissance au premier trimestre n’a été que de 0,2 % tandis que l ‘Allemagne stagne, échappant de peu à la récession. Les pertes latentes dans les actifs des banques et des assureurs, essentiellement sous forme de baisse du prix des obligations car il y a très peu de cadavres boursiers jusqu’à ce jour, suite aux augmentations des taux d’intérêt, sont aussi très préoccupantes ; rien que pour les compagnies d’assurance en France, elles s’élèvent à 438 milliards d’euros.

Aux États-Unis, les taux d’intérêt étant plus élevés qu’en Europe, il est probable que la Fed augmentera les taux de 0, 25 % seulement en mai, pour les porter à 5 – 5,25 %, tout en annonçant la fin de la hausse des taux, afin de rassurer les investisseurs et le Système. Les taux pourraient même ensuite rebaisser en cas de menace de trop grande dépréciation des obligations à l’actif des bilans, ce qui pose de graves problèmes aux banques régionales américaines, ou en cas de forte récession de l’économie américaine. Il faut entre 18 et 24 mois pour connaître les effets d’une hausse des taux sur l’économie.

Les banques inquiètent davantage aux États-Unis qu’en Europe. La banque américaine First Republic, 14e banque du pays, est au bord du précipice, avec des retraits de plus de 100 milliards de dépôts pour ne laisser plus que 75 milliards dans les coffres, malgré une aide de 30 milliards d’un pool de grandes banques américaines menées par JP Morgan. L’action a encore plongé vendredi de 43 % pour finir à 3,51 dollars, soit une valorisation de la banque à 654 millions de dollars, alors qu’elle valait plus de 40 milliards en novembre 2021 ; la situation de cette banque est désespérée ; le problème de son sauvetage par la FDIC, l’agence américaine en charge de garantir les dépôts bancaires est posé, avec un dilemme : va-t-elle sauver tous les dépôts, y compris ceux au-delà de 250 000 dollars, comme cela été pratiqué pour SVB et Signature Bank, alors qu’elle n’en a pas le droit ! Mais si la FDIC ne rembourse pas finalement tous les dépôts sans exception aucune, cela pourrait très rapidement déclencher une panique bancaire aux États-Unis pour les banques moyennes et petites ! Sur le plan macro-économique, la hausse des taux d’intérêt ainsi que ces trois récentes faillites bancaires ont conduit à un durcissement des conditions des prêts bancaires, ce qui fragilise l’économie américaine.

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22:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mayotte : La « Gauche » débile, totalement abrutie par ses dogmes

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Bernard Germain

C’est une leçon de choses à laquelle nous assistons avec les évènements qui se déroulent à Mayotte. Du chimiquement pur. 

Mayotte est l’une des 4 îles faisant partie de l’archipel des Comores, dans l’océan Indien, non loin de l’île de la Réunion.

Elle est devenue française le 25 avril 1841, vendue à la France, par son sultan de l’époque.

Les populations de ces îles des Comores sont très majoritairement musulmanes et sont pour la plupart des gens de couleur.

D’abord placé sous protectorat du gouvernement français de Madagascar en 1886, l’ensemble de l’archipel devient six ans plus tard colonie française. La nouvelle entité s’appelle « Mayotte et dépendances » qui inclut outre Mayotte, les trois autres îles: Mohéli, Anjouan et Grande-Comore.

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En 1946, les Comores changent de nouveau de statut et deviennent territoire d’outre-mer (TOM). Sur ces 4 îles, Mayotte a confirmé vouloir rester attachée à la France, à plusieurs reprises par référendum.  La 1ère fois, le 22 décembre 1974, les habitants de Mayotte votent à 63% contre l’indépendance, alors que les autres Comoriens votent à 99% pour la souveraineté de l’archipel. Une seconde fois en février 1976, ils confirment leur vote à 99,4 % . En 2011, la France en a fait le 101e département français.

Quant aux 3 autres îles des Comores, elles ont à leur tête un Président, Azali Assoumani, qui est aussi le Président de l’Union africaine. Il ne cache nullement sa détestation de la France et tout ce qui symbolise notre pays, et revendique le départ des français et le rattachement de Mayotte aux Comores.

Entre 2008 et 2017, 74 millions d’euros ont été donnés aux Comores par l’Agence Française de Développement. En juillet 2019, un accord-cadre entre la France et les Comores prévoit le versement de 150 millions d’euros sur trois ans pour l’Union des Comores, en contrepartie d’une lutte contre le départ des ressortissants comoriens vers Mayotte. Le FMI a accordé 12 millions de dollars en avril 2020 aux Comores, et la Banque Mondiale vient de faire un don de 30 millions de dollars en février 2023.

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Covidisme, wokisme, giékisme ces nouvelles pestes idéologiques

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Jean-Yves Le Gallou*

Le politiquement correct ne cesse de produire de nouveaux variants. Covidisme, wokisme, giékisme occupent désormais le devant de la scène. Ils partagent une même logique.

Une prétention scientifique: ce sont des professeurs de médecine, des épidémiologistes, des modélisateurs qui ont imposé une pensée unique sur la Covid ; ce sont des sociologues, des historiens, des professeurs de lettres qui règnent en maîtres sur les campus woke aux États-Unis et en France ; ce sont certains paléo-climatologues et là encore des modélisateurs qui imposent, sans discussion possible, leurs perspectives sur l’origine réputée anthropique du réchauffement climatique.

Une grande intolérance: alors qu’en matière scientifique ne peut être dit vrai que ce qui peut être librement contesté, toute opinion dissidente est traqué et ses promoteurs diabolisés. Le prix Nobel Luc Montagnier, le professeur Didier Raoult, La généticienne Alexandra Henrion-Caude en ont été les victimes. Et gare à qui conteste l’idéologie du genre : à la Sorbonne et dans les grandes écoles, il faut raser les murs. Quant à François Gervais, auteur de L’urgence climatique est un leurre, il a expliqué qu’il pouvait écrire cela parce qu’il était professeur émérite, mais qu’il le déconseillerait à un jeune chercheur qui ruinerait ainsi sa carrière.

Une propagande médiatique univoque: l’ensemble des médias répète à l’envi les mantras du covidisme (le vaccin empêche la contamination…), du wokisme (les minorités sont d’éternelles victimes qui doivent obtenir des réparations), du giékisme (tout aléa météorologique est la conséquence du réchauffement anthropique de la planète). Tout ceci dans le but de provoquer un effet de sidération dans l’opinion.

Un sectarisme forcené conduisant à une chasse aux sorcières: des professeurs ne peuvent plus accéder aux salles de cours, des librairies sont attaquées, des maisons d’édition menacées, des météorologues climato-réalistes chassés. Des journalistes à gages se spécialisent dans la dénonciation des « fake news », entendez par là toute opinion dissidente de la doxa.

Une démarche liberticide : chaque épidémie idéologique justifie de nouvelles restrictions des libertés : liberté d’opinion, liberté de circulation, liberté de préférences. Il devient impossible de dire ce que l’on pense et d’aller où bon vous semble avec les moyens de transport de son choix. Et le giékisme s’en prend maintenant à la liberté de propriété avec le délire règlementaire sur les logements et l’usage de l’automobile.

Comment cela est-il possible ?

D’abord par la mise en place de cascades d’opinions d’autant plus puissantes que l’intolérance et l’ostracisme rendent difficiles l’expression d’opinions dissidentes.

Ensuite par la dynamique propre aux idéologies bien décrite par Vilfredo Pareto : l’interaction entre les « dérivations » idéologiques (les nobles causes) et les « résidus » (d’intérêt). Avec le covidisme il s’agit de sauver l’humanité et d’épargner ses proches de la maladie pour le plus grand bien de… Big Pharma. Avec le wokisme, il faut réparer des injustices séculaires pour mieux permettre à de petits groupes minoritaires (ethniques, religieux, sexuels) de s’emparer des leviers de pouvoir. Avec le giékisme, l’ambition est plus grande encore : sauver la planète pour le plus grand bénéfice des installateurs d’éoliennes, des promoteurs de fermes solaires (sic), des fabricants de batteries électriques et des entreprises d’isolation thermique des bâtiments.

À New York, Washington, Paris et Bruxelles, ce sont désormais les lobbyistes qui font les lois, leurs lois plutôt. Avec l’appui des grands médias propriétés de milliardaires et des GAFA.

Alors que faire ? Rester éveillé ! Ici, c’est le cas de le dire. Garder l’esprit critique. Livrer une guérilla incessante du faible au fort. Dénoncer les covidistes comme les nouveaux Diafoirus ; les wokistes comme des néo-lyssenkistes ; et les giékistes comme des tchékistes d’un nouveau genre.

Et préparer la renverse.

(*) Jean-Yves Le Gallou anime le site Polemia.

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dimanche, 30 avril 2023

Saint-Brévin-les-Pins (44) : malgré le terrorisme gauchiste, les patriotes se sont retrouvés nombreux samedi après-midi pour dire NON au grand remplacement

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Malgré les tentatives ultra violentes des thuriféraires du grand remplacement de casser le rassemblement des habitants de Saint-Brévin contre la volonté du maire d'installer un centre pour migrants, c'est plus de 300 patriotes, parmi lesquels de nombreux jeunes, qui se sont retrouvés devant l'Hôtel de Ville de ce qui avait, jusqu'à présent, la réputation d'être une paisible station balnéaire.

Pendant que les Brévinois écoutaient les orateurs, représentant à la fois les associations locales et les mouvements nationaux et identitaires, leur apporter leurs soutiens, les larbins du Système saccageaient le centre de la commune et incendiaient des véhicules stationnés. Plusieurs charges de CRS furent nécessaires pour repousser les casseurs. 

La remarquable détermination des Brévinoises et des Brévinois à lutter contre ce projet ubuesque imposé par une poignée d'élus immigrationnistes est exemplaire. Elle est à l'image de la résistance du peuple de Callac qui a obtenu le retrait d'un projet similaire dans cette commune des Côte d'Armor l'hiver dernier. 

Nous reviendrons très bientôt sur ce magnifique acte patriotique.

S N 

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Alors que les gauchistes et autres antifas se livrent dans le centre de la station balnéaire à leurs violences coutumières...

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les Brévinois se rassemblent nombreux, dans le calme et la dignité, devant l'Hotel de Ville

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pour écouter les représentants des associations locales et ceux des mouvements nationaux et identitaires.

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Ouvrir enfin le débat sur l’immigration

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Mathieu Bock-Côté

Notre chroniqueur met bien le doigt où ça fait mal. Elisabeth Borne remet à plus tard sa loi sur l’immigration au motif d’absence de majorité. En fait elle veut une majorité dans l’axe républicain, c’est-dire auprès de ceux qui sont prêts à baisser leur froc. Car, sa majorité, elle l’aurait depuis belle lurette en composant avec le Rassemblement national. Evidemment pas avec la Nupes. L’hyprocrisie continue alors que les Français sont massivement hostiles à l’immigration. Une fois de plus on nage dans le déni de réalité.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 29/04/2023

14:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 29 avril 2023

Tension extrême

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Yves Thréard

Emmanuel Macron et son gouvernement sont bien en peine de savoir comment envisager l’avenir. Les sondages soulignent qu’une majorité de Français ne les écoutent plus. Il faut avouer qu’il n’y a rien de très folichon dans leurs interventions publiques. Les belles promesses, répétées mille fois, sur l’école, l’hôpital, l’écologie, la valorisation du travail n’emballent plus personne. La défiance est la plus forte. Pire, l’exécutif affiche aussi des discordances. Sur l’immigration, notamment, le chef de l’État et la première ministre ne sont pas sur la même longueur d’onde. Bref, les messages sont incompréhensibles, brouillés ou ne passent plus, et les messagers, impopulaires, sont rejetés.

Le pays est à l’arrêt, comme en panne. Hors l’abandon de la réforme des retraites réclamé à cor et à cri, les oppositions, de leur côté, n’ont rien à proposer. Tout comme les syndicats, qui misent sur une mobilisation unitaire historique pour le défilé du 1er Mai. Avec l’Élysée, le dialogue de sourds est d’autant plus profond que casserolades et sifflets sont désormais les modes d’expression de la colère. Quand les mots manquent, diagnostiquent les psychanalystes, restent le bruit et le tapage. Drôle d’ambiance qui traduit l’état de tension, voire d’exaspération, qui règne en France. Ce samedi soir, une bronca du public devrait accueillir la traditionnelle venue du président de la République dans les tribunes de la finale de la Coupe de France de football. L’événement est placé sous très haute surveillance. Des violences sont également redoutées autour des cortèges de la Fête du travail.

Comment sortir de ce climat malsain ? Élisabeth Borne vient de tendre la main aux syndicats pour tenter dialogue ». Après le 1er Mai, a-t-elle l’espoir d’en ramener certains à de meilleures dispositions à son endroit ? Et ainsi de casser, chéquier en main, le front uni qu’ils présentent depuis le mois de janvier? Acheter la paix sociale est une vieille recette à courte vue qui revient à coller un sparadrap sur une jambe de bois. Le mal français, lui, est profond.

Source : Le Figaro 29/4/2023

 

12:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 28 avril 2023

Rappel : demain samedi, TOUS À SAINT-BRÉVIN LES PINS (44) !

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Intervention de Bernard Germain, porte-parole de la Coordination nationale Partout Callac :

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Le site de Partout Callac cliquez ici

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Au moment où le gouvernement socialiste espagnol se livre à la profanation de la sépulture de José Antonio, Michel Festivi présente son nouveau livre sur Miguel Primo de Rivera

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Michel Festivi vient de faire paraître aux éditions Dualpha Miguel Primo de Rivera : Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne 1923-1930, préface d’Arnaud Imatz, après L'Espagne ensanglantée : Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires, 1880-1939, et Les trahisons des gauches espagnoles, du républicanisme au totalitarisme, 1930-1936, parus chez le même éditeur dans la même collection « Vérités pour l’Histoire » respectivement en 2022 et 2021.

Pourquoi ce livre sur le Régime politique de Miguel Primo de Rivera ?

Parce que ce régime est quasiment inconnu en France, et que ces sept années furent pour l’Espagne sept années de croissance économique sans précédent, des années de prospérité après les violences révolutionnaires et la perte de l’Empire, des années où l’Espagne retrouva un rôle important dans le concert des nations et brilla de mille feux de par ses poètes, peintres, musiciens et écrivains. Avec ce livre, je complète ma trilogie sur cette période après le fiasco de la IIe République (Les trahisons des gauches espagnoles) et les violences politiques anarchistes et révolutionnaires (L’Espagne ensanglantée). Je crois pouvoir dire que rien de sérieux n’a été écrit sur ce Régime en France, à part quelques lignes éparses ici et là.

Quelles furent les grandes réformes économiques que mit en place Miguel Primo de Rivera ?

Il prit plusieurs dossiers à bras-le-corps : création d’un réseau de communications modernes avec des travaux routiers d’importance ; l’irrigation et l’électricité par l’édification de barrages hydrauliques ; le développement d’une économie efficiente : l’industrie automobile, la téléphonie, l’aviation, les compagnies pétrolières, etc. et ce grâce à des hommes très compétents, souvent issus de la société civile. Il parvint à organiser deux très grandes expositions internationales, celles de Barcelone et de Séville, et accrut dans des proportions inégalées le tourisme et la rénovation des monuments historiques (création des Paradors notamment) ce qui favorisa le développement du pays.

Et du point de vue social ?

Ce fut là aussi une très grande réussite avec de multiples lois sociales sur la durée du travail, les congés maternité, la création de caisses de retraite, de chômage, des maisons bon marché, des procédures de conciliation, et bien d’autres, et ce avec l’aide d’un ministre du travail remarquable, Eduardo Aunos, dans le cadre d’un système corporatiste mixte (philosophie du catholicisme social), système corporatiste qui reçut l’aval du PSOE et de l’UGT avec à sa tête Largo Caballero qui devint conseiller d’État. La condition ouvrière s’améliora notablement. Les grèves s’estompèrent, la violence anarchiste de la CNT fut réduite, ce qui plut beaucoup aux socialistes.

Dans quels autres domaines peut-on dire que le Régime fut régénérateur ?

Miguel Primo de Rivera accorda aux juifs séfarades éparpillés en Afrique du nord, dans les Balkans, Turquie et Grèce, dont les ascendants avaient été expulsés d’Espagne en 1492, la nationalité espagnole et un statut de « protégés », ce qui permit ensuite dans les années 1940-1945 le sauvetage par le régime franquiste, qui poursuivit cette politique, de milliers de juifs, j’y consacre tout un chapitre. C’est totalement passé sous silence par l’historiographie officielle. Le régime fit également de nombreuses réformes militaires et scolaires, sur lesquelles je reviens. Il accorda aussi aux femmes la possibilité d’être électrices et élues ce qui était quasiment une première mondiale, dans le cadre d’une nouvelle Assemblée nationale corporatiste. De plus, ces années furent d’un point de vue culturel et artistique flamboyantes, tout un chapitre y est dédié.

Et le protectorat espagnol au Maroc ?

Je procède à de nombreux développements, car c’est Miguel Primo de Rivera qui parvint à pacifier définitivement cette région du Rif concédée par la France à l’Espagne alors que tous les autres dirigeants espagnols s’y étaient « cassés les dents ». Les guerres du Protectorat permettront au Régime de Miguel Primo de Rivera de réformer le système militaire espagnol et de créer une académie générale qui fit l’émerveillement notamment des militaires français.

Comment qualifier ce Régime Politique ?

Je procède à une analyse précise de ce Régime très particulier, qui ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, comme je le démontre à l’aide de multiples exemples historiques. Pendant ces sept années, aucune exécution politique n’eut lieu. En parallèle et en comparaison, je reviens sur la gouvernance calamiteuse d’un Manuel Azaña sous la IIe République, sur le coup d’État d’octobre 1934 organisé par les gauches, sur la mainmise totale de Staline et du NKVD sur la zone révolutionnaire en 1936-1939, et sur les désinformations proférées par bien des tenants de l’orthodoxie universitaire française sur toute cette période, dont la fraude constitutionnelle et électorale qui permit l’accession du front populaire en février 1936, ce qui aboutit à une anarchie généralisée. Enfin, je tiens à remercier le grand historien français de l’Histoire de l’Espagne, Arnaud Imatz d’avoir accepté de préfacer mon livre, lui qui fut le maître d’œuvre de la guerre d’Espagne revisitée aux éditions Economica et d’une biographie définitive de José Antonio Primo de Rivera aux éditions Godefroy de Bouillon.

Miguel Primo de Rivera. Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne 1923-1930, Michel Festivi, Éditions Dualpha, préface d’Arnaud Imatz, 344 pages, 35 euros.

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Sur José Antonio Primo de Rivera :

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17:38 Publié dans Livres, Michel Festivi, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les vraies raisons de la colère des Français

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On aurait tort de croire que la révolte des Français contre Emmanuel Macron et ses sbires de ministres n’aurait pour seule et unique cause la réforme des retraites. La raison est bien plus profonde : les Français ont le sentiment que plus rien ne marche dans ce pays, que les élites n’en font qu’à leur tête alors que leurs difficultés au quotidien ne cesse d’augmenter dans tous les secteurs, de l’école à la justice en passant par les services publics où trouver un interlocuteur est quasi impossible. Sans parler des difficultés de plus en plus grandes pour se faire soigner. Pierre-Henri Tavoillot, dans Le Figaro (27/4) fait le point sur le sujet ;

Lire la suite ICI

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Gros plan politique sur l’Ariège

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol  

Le fait politique aurait dû figurer en gros titre de la presse mondiale et reléguer au second plan toute l’actualité sociale et internationale du moment. Les 26 mars et 2 avril derniers se tenait une élection législative partielle dans la première circonscription de l’Ariège.

Territoire pyrénéen frontalier de l’Espagne et d’Andorre, l’Ariège est un département de 4 890 km² en région Occitanie. Foix (plus de 9 500 habitants) en est la préfecture. Au Moyen Âge, la ville fut au cœur du comté éponyme rendu célèbre par l’un de ses comtes, Gaston Fébus (1331 – 1391), seigneur du Béarn et poète franco-occitan renommé. Ses deux sous-préfectures sont Pamiers (près de 16 000 habitants), garnison du 1er régiment de chasseurs parachutistes, et Saint-Girons (plus de 6 000 habitants), l’un des chefs-lieux d’arrondissement les moins peuplés de France. Vivant principalement de la poly-activité autour de l’agriculture et du tourisme avec quelques pôles industriels, le département de 154 000 habitants connaît un déclin démographique certain.

Le Conseil constitutionnel a invalidé les résultats de la législative de l’an passé. En 2022, Bénédicte Taurine de La France Insoumise (LFI) avait gagné sur Anne-Sophie Tribout de la majorité présidentielle. Le candidat RN réunissait alors 19,94 %. Au soir du 26 mars 2023, l’abstention s’élève à 60,40 %. La députée sortante mélanchoniste ne rassemble que 6 778 voix (31,18 %) au lieu des 10 347 voix. Malgré une petite déperdition en nombre de bulletins, le candidat RN progresse de presque cinq points et atteint 24,78 %. La candidate macroniste subit un sévère échec et se retrouve quatrième. Avec 10,63 %, elle n’obtient que 2 323 suffrages à la place des 6 237 voix. Se retrouve au second tour Martine Froger, une militante socialiste chevronnée exclue de son parti pour son opposition farouche à la NUPES. Elle réunit 26,41 %, soit 5 742 suffrages à la place des 6 229 voix neuf mois plus tôt.

La logique instaurée sous la IIIe République pour permettre le succès des forces progressistes et de gauche aurait voulu que Martine Froger se désiste en faveur de Bénédicte Taurine. Or, Martine Froger préfère se maintenir. Elle bénéficie de l’appui d’Anne Hidalgo, de l’ancien président François Hollande, du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, Premier secrétaire délégué du PS, et de Carole Delga, présidente PS du conseil régional Occitanie qui s’imagine déjà au second tour de la présidentielle de 2027 face à… Laurent Wauquiez !

Toutes ces personnalités d’une soi-disant « gauche de gouvernement », comprendre « gauche de la compromission permanente avec les grands intérêts financiers privés », refusent que « leur » gauche soit aux ordres d’un Jean-Luc Mélenchon qu’ils méprisent depuis des décennies. Le 2 avril, Martine Froger gagne le siège avec 60,19 % des voix bien que l’abstention monte à 62,13 %, les votes blancs à 5,80 % et les votes nuls à 4,13 %. Les socialistes anti-NUPES exultent. L’Ariège aura deux députés de gauche anti-Mélanchon. Ils y voient un signe précurseur d’une future remontada contre LFI. Pour sa part, la NUPES dénonce une élection acquise grâce aux électeurs macroniens et de droite. Les deux parties oublient qu’il ne faut pas généraliser ce scrutin partiel hautement médiatisé.

L’Ariège est en effet une terre très ancrée à gauche depuis 1875. Le Parti socialiste et ses alliés divers-gauche remportent les législatives entre 1928 et 2017. En 2012, la 1re circonscription élit son député dès le premier tour ! La permanence et la vigueur du vote de gauche dans ce département rural se comprend sur la longue durée historique. Il y a à l’origine de ce tropisme électoral la « Guerre des Demoiselles ».

Spécialiste de la survivance templière à travers les âges et de l’énigme de Rennes-le-Château qui allait plus tard donner un fameux plagiat romancé, Da Vinci Code, de Dan Brown, Gérard de Sède (1921 – 2004), naguère militant gauchiste, publie chez Plon en 1982 une belle fresque occitaniste intitulée 700 ans de révoltes occitanes. Il évoque dans ce livre une puissante jacquerie en Ariège qui commence en 1829 – 1830 et qui ne s’achève que vers 1873 – 1874.

En 1827, le Parlement de la Seconde Restauration (1815 – 1830) modifie le Code forestier. Il somme les populations des campagnes de ne plus exercer certains droits (cueillette, chasse, pâturage, prélèvement du bois pour la construction d’habitations) en forêts à partir de 1829. Les espaces forestiers cessent d’ailleurs d’être leurs biens communs et deviennent des ressources charbonnières nécessaires à l’industrie naissante. Ces contraintes légales perturbent un système rural agro-pastoral ancien et fragile basé sur la sylviculture.

Les paysans ariégeois réagissent violemment. Ils se griment en femmes et bastonnent volontiers gardes-champêtres et gendarmes quand ceux-ci veulent confisquer le bétail. Née dans l’Ouest du département, l’agitation à basse intensité se propage peu à peu dans toute l’Ariège sans trop s’exporter dans les départements pyrénéens voisins. Le relief montagnard et la difficulté de circulation à l’époque empêchent les autorités de sévir réellement ou de pratiquer une féroce répression. En outre, les campagnards nient toute exaction. Ils incriminent plutôt l’action surnaturelle des esprits des forêts, souvent représentés sous les traits de belles demoiselles sauvages, pour expliquer ces longues séries d’incidents…

L’exode rural et l’enclavement de l’Ariège apaisent finalement une population désormais préoccupée par d’autres enjeux et qui trouve dans le vote en faveur des candidats républicains un débouché meilleur que le maquillage de solides gaillards prêts à en découdre…

On peut donc voir dans la « Guerre des Demoiselles », peu connue en France, une très lointaine préfiguration des ZADistes de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique et des éco-combattants à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres. On peut aussi dresser une « généalogie » politique activiste qui se perpétue avec les manifestations anti-militaristes du Larzac dans la décennie 1970, les « Bonnets rouges » bretons en 2013, voire les « Gilets jaunes ». Il est surprenant que l’extrême gauche rédactionnelle (style Comité invisible) n’aborde pas cette étonnante révolte populaire et paysanne pyrénéenne.

La question de l’usage forestier en Ariège sur un demi-siècle a profondément marqué plusieurs générations. Cent cinquante ans plus tard, son passé agité et revendicatif façonne toujours un département réputé pour ses opinions rose – rouge.

Salutations flibustières !

Vigie d’un monde en ébullition », n°71, mise en ligne le 25 avril 2023 sur Radio Méridien Zéro.

01:02 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 27 avril 2023

Samedi 6 mai, Thierry Bouzard et Eric Lefèvre dédicaceront "Les origines maudites des chants militaires" à la Librairie Vincent

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IMMENSE TRISTESSE : NOUS VENONS D'APPRENDRE LE DÉCÈS DE NOTRE AMI JEAN PICOLLEC

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Jean Picollec et Roland Hélie, en novembre 2021, devant les dolmens de l'Ile Grande dans le Trégor

Philippe Randa vient de m'appeler pour m'apprendre la triste nouvelle, notre Ami de toujours, l'éditeur Jean Picollec, vient de mourir. Certes, nous savions qu'il avait été hospitalisé il y a quelques jours mais, comme il n'hésitait jamais à le rappeler, "le Breton est solide" et, comme nous avions confiance en lui, nous étions donc tous persuadés qu'il serait bientôt à nouveau d'aplomb. Hélas, même ce qui est le plus solide finit un jour par se casser. Jean avait 85 ans, il n'a pas échappé à son destin.

L'an dernier, Synthèse nationale a publié un livre de Philippe Randa, Jean Picollec l'atypique. Ce livre contient, entre autre, un grand entretien avec Jean. Avec la modestie qui le caractérisait, il nous raconte sa (très brillante) carrière d'éditeur, les personnalités qu'il a rencontrées et parfois éditées, ses engagements pour la Bretagne, pour la France, pour notre civilisation européenne... et aussi ses espérances.

Jean était un personnage attachant et haut en couleurs. Il était sans doute le plus breton des parisiens. À chaque fois qu'il m'appelait et que le hasard faisait que j'étais en route vers la Bretagne (ce qui m'arrive souvent), il me lançait avec un brin de malice et sur un ton un tantinet inquisiteur : "Mais, tu n'es pas passé prendre ton visa avant de partir". Une chose est sûre, c'est que Jean ira au paradis des non-conformistes et pour cela, lui, il n'aura pas besoin de visa... 

Kénavo l'Ami...

Roland Hélie

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Jean  Picollec avec Philippe Randa sur le stand de Dualpha lors des journées de Synthèse nationale en octobre 2019.

12:27 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

José Antonio enterré pour la 5e fois, mais qu'importe... L'idéal phalangiste est toujours bien vivant

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Juan Antonio Lopez Larrea (1)
 
Cette semaine, en vertu de la loi sur la mémoire démocratique (20/2022), José Antonio Primo de Rivera a été exhumé de là où il reposait depuis 1959, à la basilique de la Vallée de Los Caïdos proche de Madrid.
 
Les premières lignes de cette loi se lisent comme suit : « Depuis la fin des guerres civiles et des conflits mondiaux qui ont dévasté l'Europe au XXe siècle, et surtout depuis l'Holocauste, la promotion de politiques de mémoire démocratique est devenue un devoir moral ». En fait, il s'agit d'un complément à la misérable "loi de mémoire historique" (52/2007) du socialiste José Luis Rodríguez Zapatero. Loi que d'ailleurs que son éphémère successeur, le Premier ministre "de droite" Mariano Rajoy, avec son écrasante majorité parlementaire, pouvait, alors qu'il était aux affaires, abroger... Mais il ne l'a pas fait.
 
Après la référence obligatoire à l'Holocauste (« surtout » dit le législateur, comme si Cracovie était une province d'Albacete), la troisième ligne parle de « devoir moral… »
 
À propos de la morale, il est bon de rappeler les faits suivants :
 
• Largo Caballero (1869-1946), leader de l'UGT, avait affirmé dans tous ses meetings de campagne de 1936, à la presse, et partout où un micro lui était tendu que "si la droite gagne les élections, elle devra aller à la guerre civile".
 
• Le Front populaire (coalition regroupant la majorité des partis de gauche et dirigée par le PSOE) remporte ces élections (16/02/1936) sur fond de crimes, de mensonges et de fraudes.
 
• Parmi ses premières mesures, les suivantes se distinguent : l'amnistie des putschistes de la Révolution des Asturies (ainsi que ceux du soulèvement de la Catalogne), et l'interdiction de la Phalange espagnol et de las JONS.
 
• Le 14 mars 1936, José Antonio est arrêté avec tous les chefs les plus connus de la Phalange sous de fausses accusations, et leurs locaux sont fermés.
 
• Tous les jugements de Première Instance ont été remportés par les Phalangistes devant la Cour Suprême "en considérant que les statuts fondateurs et les 27 Points de Phalange étaient légaux" (30/04/1936).
 
• Malgré cela, José Antonio n'est pas libéré, et cette fois il est accusé par le procureur de possession illégale d'armes, et condamné à 5 mois de prison.
 
• Le leader falangiste - avocat en exercice - indigné par tant d'arbitraire défie la Cour et secoue même quelques personnalités, une affaire qui lui coûte un nouveau procès, celui-ci pour outrage, pour lequel il est condamné en juin à 5 ans de prison et transféré à la prison d'Alicante, d'où il ne sortirait plus vivant.
 
• Il est assassiné le 20 novembre 1936. Son corps a été jeté dans une fosse commune aux premières heures du jour.
 
• Étant donné qu'il a été impossible d'établir un lien documenté entre José Antonio Primo de Rivera et le soulèvement militaire du 17 juillet, et encore moins d'être considéré comme un "franquiste" (puisqu'il était emprisonné depuis mars), nous nous retrouvons devant une véritable imposture historique.
 
• Son exhumation au début de la semaine (bien qu'effectuée avec la connivence nécessaire de ses descendants) ne peut être considérée que comme un acte immoral de l'État, d'autant plus que sa dépouille se trouvait dans des dépendances de l'Église.
 
• José Antonio Primo de Rivera avait fondé et donc enregistré à l'époque le parti FALANGE ESPAÑOLA Y DE LAS JONS en compagnie de Julio Ruíz de Alda, Onésimo Redondo et Ramiro Ledesma Ramos ; chacun d'eux assassiné entre août et novembre 1936 par les milices communistes et anarchistes.
 
Avant d'être enterré dans la basilique de Los Caïdos, le corps de José Antonio avait déjà été déplacé à trois reprises. 86 ans après sa mort, il s'agit donc de son cinquième enterrement. Cette nouvelle manoeuvre  nous laisse un tel parfum putride de vendetta de la part des héritiers de ses exécuteurs, que, loin d'énerver les phalangistes que nous sommes, nous confirme plus encore de la justesse de notre combat.  Elle nous amène à nous poser la question : "Mais de quoi ont-ils donc si peur pour s'acharner ainsi sur les restes d'un hommes décédé il y a près d'un siècle ?"
 
Pour nous, José Antonio vit toujours dans notre coeur et cela nous importe peu de savoir où sa dépouille repose... Ce qui compte, c'est que l'idéal phalangiste, lui, est toujours bel et bien vivant.
 
 
(1) Notre Ami Juan Antonio Lopez Larrea est l'une des figures emblématiques du mouvement phalangiste espagnol. En 2018, il participait à nos Journées annuelles de Synthèse nationale à Rungis. 

00:17 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 25 avril 2023

Il y a bientôt 10 ans : le geste ultime de Dominique Venner

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Sur Dominique Venner :

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Pour commander ce livre cliquez ici

16:28 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 28 avril : soirée Livr'arbitres à Paris

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Le grand effacement

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Vincent Trémolet de Villers

Plus notre société se proclame inclusive, plus sa partie centrale en est exclue. Des millions d’actifs, du fait de la robotisation et de la tertiarisation, ont été expulsés du système économique, des millions de provinciaux, du fait de la métropolisation, ont été abandonnés par les services publics, des millions d’électeurs ont été renvoyés aux marges de la délibération collective. La batterie de normes - voiture, maison, chauffage - qui s’annonce en se proclamant «écologique» devrait achever ce travail de marginalisation.

Dans les représentations médiatiques comme dans le divertissement de masse, nulle place pour eux. Ces invisibles, pour se faire voir, ont porté un gilet fluorescent. Trois ans plus tard, ils ont défilé de Verdun à Rodez contre la réforme des retraites. Ils sont le cœur des travaux de Christophe Guilluy, Jérôme Fourquet, Pierre Vermeren. Ils peuplent les romans de Nicolas Mathieu et de Michel Houellebecq, mais la grande majorité du personnel politique répond à leur malaise en brandissant l’«adaptation», la «transformation», comme s’ils étaient, en dernier ressort, inadaptés ; condamnés au grand effacement.

Au départ, ils ne demandaient ni aide ni subvention, mais un travail qui leur permettrait de vivre décemment. Ceux qui persistent ont beaucoup de mérite : quelle différence aujourd’hui entre un salaire modeste durement gagné et un lot d’aides directement versé par l’État ?

Ils sont désormais l’armée de réserve du vote RN et de l’abstention : double expression d’une résignation plus que d’une espérance. Emmanuel Macron - mieux vaut tard que jamais - en fait l’objet de sa reconquête politique. Depuis une semaine, propositions et promesses s’enchaînent au point d’étourdir l’électeur le plus placide. En cent jours, ressusciter l’industrie, reconstruire l’école, maîtriser l’immigration, améliorer la performance publique, redresser l’hôpital : Gérard Majax et la Fée Clochette en jettent leur baguette, le nouveau magicien tue le métier.

Ce que nous dit en creux ce catalogue mirobolant, c’est tout ce qu’il manque à la France depuis près d’un demi-siècle : un dessein national plutôt que l’affaissement. Le malheur est que, de Marine Le Pen au chef de l’État, ce grand dessein est introuvable.

Source : Le Figaro 25/2/2023

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La terre entière transformée en champ de bataille

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Pertinente analyse d’Eric Werner dans la revue Antipresse* de Slobodan Despot qui nous démontre combien l’Amérique n’a eu de cesse de mettre le monde à feu et à sang au nom d’un libéralisme qui nie l’homme au profit du marché. Le conflit ukrainien n’est jamais que l’ultime désordre mondial que provoque ce nouveau Satan qu’est l’Amérique.

Lire la suite ICI

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lundi, 24 avril 2023

Exhumation de Jose Antonio par les gouvernementaux espagnols

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Le corps de Jose Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, assassiné par les républicains le 20 novembre 1936, qui reposait depuis 1959 dans la basilique de la Vallée de Los Caïdos, magnifique monument édifié à la demande du Général Franco où reposent sous un même mausolée, dans un souci de réconciliation nationale, les morts inconnus de la Guerre civile qui ravagea l'Espagne à la fin des années 1930, a été exhumé ce jour pour être enterré dans le cimetière madrilène San Isidro.

Après le transfert controversé il y a trois ans des restes du Général Franco, une fois de plus, le gouvernement de gauche actuellement en place à Madrid montre son vrai visage, celui de la division revancharde permanente. En procédant à cette manoeuvre morbide, il se livre aujourd'hui à une véritable provocation contre les forces nationales qui, d'élections en élections, progressent à travers le pays. 

Dès l'annonce de ce qui s'apparente, il faut bien le dire, à une profanation, des centaines de Phalangistes se sont spontanément rassemblés sur le passage du convois funéraire pour manifester leur fidélité au martyr de l'Espagne une, grande et libre... Ce soir, ils sont des milliers.

S N

 

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L'émission Forum du Parti de la France du 20 avril 2023

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