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samedi, 27 mai 2023

Le livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme", publié par Synthèse nationale il y a 3 ans, vient d'être édité en espagnol

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Nos amis d'Alicante des éditions EAS viennent de sortir la version traduite en espagnol du livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme", réalisé sous la direction de Georges Feltin-Tracol, que nous avions édité en mai 2020. 

Pour acheter la version espagnole cliquez ici

et l'original en français cliquez là

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Non à la « fachophobie » !

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Éric de Verdelhan

« Fascisme (de fascio, faisceau) : Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme… » (Définition du Larousse).

Les Français ne sont plus dévots. Un récent sondage nous apprend que plus de 60 % des gens ne croient plus en Dieu, et il ne resterait que 3 % de catholiques pratiquants en France (1). La « fille aînée de l’Église » est en train de mourir mais elle ne le sait pas encore. Elle n’a pas compris que ce qui fait la force d’une civilisation c’est son histoire, sa langue, mais aussi sa religion.

Le communisme d’antan n’avait pas réussi à tuer la religion « opium du peuple » et à imposer le matérialisme athée qui promettait « des lendemains qui chantent », mais la social-démocratie y est arrivée en quelques décennies: l’hédonisme narcissique, la flemme encouragée, le loto et le foot, la civilisation des loisirs, la sexualité débridée et le fric-roi sont les piliers de la nouvelle religion, celle de l’individualisme forcenée, de l’égoïsme et de la jouissance sans entraves.

Les Français ne sont plus dévots mais ils sont devenus… de veaux. De Gaulle les traitaient déjà de veaux il y a bien longtemps, mais je pense que cet état s’est aggravé depuis. Bovidés émasculés, dindons d’une mauvaise farce, pigeons, moutons de Panurge, etc. L’énumération du cheptel complet d’une ferme ne suffirait pas à définir la passivité, la soumission, la veulerie, la lâcheté d’un peuple dont le symbole reste le coq, le seul volatile capable de chanter fort sur un tas de fumier.

Il me faut, bien sûr, nuancer mes propos qui ne visent pas TOUS les Français.

Il y a encore, chez nous, des gens animés par un esprit de résistance, mais, comme durant la Seconde Guerre mondiale, ils représentent une infime minorité de la population. Dans ces résistants je n’englobe pas les manifestants permanents, les pétardiers de tous poils et autres révolutionnaires de gauche qui font semblant de s’opposer au régime, lequel les utilise comme repoussoir contre les patriotes. D’ailleurs l’un et l’autre se servent de l’immigration comme troupe de manœuvre contre les Français de souche (qu’ils détestent autant l’un que l’autre).

Sous le régime dictatorial d’Emmanuel Macron, l’ennemi à abattre c’est la droite nationale ou nationaliste (2). On va me juger excessif mais je trouve que la France ressemble de plus en plus à la Corée du Nord ou à l’ex-URSS car la chasse aux opposants ou aux « dissidents » est assez proche de celle que mène, ou menaient, les régimes totalitaires et les démocraties dites « populaires ».

Alors que l’État est incapable de faire respecter l’interdiction d’un « Teknival », de maîtriser les Blacks-Blocs ou les « Zadistes », de freiner les nombreux trafics de cannabis ou de cocaïne dans les banlieues de non-droit, de protéger ses flics ou gendarmes régulièrement assassinés par des racailles, le ministricule Gérald-Moussa Darmanin et son porte-flingue Laurent Nuñez tapent à bras raccourcis sur toute tentative de manifestation venant de ce qu’ils qualifient d’extrême-droite.

C’est ainsi qu’on interdit les défilés de Jeanne d’Arc, celui des anciens militaires de « Place d’Armes », ou celui en hommage à Dominique Venner, qui ne présentent pourtant aucun risque pour la sécurité intérieure du pays, contrairement aux manifestations organisées par les gauchistes.

Je rappelle, juste pour mémoire, que « La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen » du 26 août 1789 dit, dans son article 11 : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Sans que la manifestation en elle-même ne soit expressément cité dans l’article 11, le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 4 avril 2019, considère que le « droit d’expression collective des idées et des opinions » découle de cet article. En conséquence, le droit de manifester est un droit fondamental. Le décret-loi du 23 octobre 1935 fixait, pour la première fois, une réglementation sur l’action de manifester sur la voie publique (3).

Dans le même esprit de chasse à la « peste brune », dans les facultés, on fait annuler des conférences de gens jugés « fascistes » mais on donne la parole à Jean-Marc Rouillan, l’ancien terroriste d’« Action directe », présenté comme un prisonnier politique. Puis c’est Rima Abdul-Malak, la ministre de la Culture qui menace « CNews ».

Et Marine Tondelier, la nouvelle patronne des « Khmers verts » qui voudrait faire interdire « Valeurs Actuelles ». Puis les parlementaires s’en prennent au prêt consenti par une banque tchéco-russe à Marine Le Pen pour financer sa campagne de 2017 (4).

Et toutes ces atteintes aux libertés les plus élémentaires n’indignent personne ou presque. On voit même, summum de la collaboration rampante, Jordan Bardella qui demande à Darmanin de dissoudre le GUD, on croît rêver ou, plus exactement, cauchemarder.

Sous le régime, que je qualifie volontairement de « dictatorial », d’Emmanuel Macron, si l’on veut avoir une existence légale ou tout simplement normale, il faut soit être très riche, soit allogène basané, soit pédéraste, soit femme battue, soit mineur non accompagné… Bref il est indispensable d’appartenir à une minorité dite « discriminée ».

Ce triste constat m’a donné l’idée de dénoncer les discriminations dont je suis victime depuis des années. Des formes de ségrégation qu’on ne cite jamais parmi les… 26 critères de discrimination dénoncés dans notre pays qui est pourtant parangon des « droits-de-l’homme », pour la simple raison que le « mâle blanc » hétérosexuel, n’intéresse personne. On ne lui impose que trois choses : travailler dur, payer toujours plus d’impôts et surtout… fermer sa gueule.

Puisque ce pays décadent accepte avec complaisance le diktat des minorités soi-disant opprimées, je revendique moi aussi le statut de victime, mieux, d’espèce protégée.

Je vais vous parler des discriminations dont je fais l’objet et dont la pire, le plus sournoise car la plus injuste à mon égard, est la « Fachophobie » : on me traite de facho depuis un demi-siècle, et ça commence à bien faire ! Je reviendrai sur le sujet à la fin de cet article.

Pour avoir droit à quelques égards, disais-je, autant se placer en victime puisque, à la réflexion, dans notre vie de tous les jours, on est toujours le discriminé, l’opprimé, le stigmatisé de quelqu’un : on est dérangé par son voisin, maltraité par son conjoint, harcelé par les médias, présuré par le fisc, tête-de-Turc de ses collègues, souffre-douleur de son patron, etc., etc. Comme l’individu n’est plus responsable de rien, qu’il n’a que des droits mais plus aucuns devoirs, il est forcément une victime. Et puis c’est tellement confortable de geindre et de se faire plaindre !

Cette société d’assistés aime les mots qui se terminent par « phobie » et qui expliquent tous nos malheurs. Mais voyons, tout d’abord, ce que ces mots en « phobie » ont de ridicules :

Commençons par la Xénophobie : mot formé de deux racines grecques (xénos, « étranger », et phobos, « rejet, peur »). « Le mot xénophobie est un néologisme apparu dans la langue française au début du XXe siècle. C’est un substantif dérivé du néologisme « xénophobe » imputé à Anatole France, en 1901. « Xénophobe » apparaît pour la première fois dans le « Nouveau Larousse Illustré », en 1906 ». Dans « La trahison des clercs » (1927), Julien Benda parle de xénophobie comme l’un des aspects du patriotisme.  La xénophobie est donc de création récente mais, qu’on le veuille ou non, elle est naturelle : le xénophobe se méfie de l’autre parce qu’il en a peur.

Dans notre pays, qui aura connu dans son histoire, des guerres, des invasions et des vagues migratoires, la peur de l’arrivée massive de gens « différents » venus d’un ailleurs plus ou moins éloigné, est un sentiment tout à fait normal, un réflexe d’autodéfense légitime, une sorte d’instinct de survie. On peut donc considérer que parler d’« Islamophobie » n’est pas une ineptie : on peut avoir peur de l’Islam car depuis des attentats qui ont fait 300 morts et 900 blessés environ, on sait que les assassins sont rarement des Bretons ou des Auvergnats. D’ailleurs, je ne vois pas en quoi la peur de l’Islam salafiste – « l’Islamophobie » – devrait être considérée comme un délit.

En revanche, le mot « Homophobie », est ridicule : qui, en effet, a peur des « chevaliers de l’œil-de-bronze » ou des « prêtresses du gazon maudit » ? À moins de rentrer de façon suicidaire (si je puis dire), dans une boite-de-nuit gay, je ne vois pas où est le danger.

On peut en dire autant de « Grossophobie ». Certes il existe des bons gros bien sympathiques et des gros cons très méchants. Audiard, qui est l’un de mes maîtres à penser, a écrit : « Quand un homme de 90 kg dit quelque chose, celui de 60 l’écoute », mais qui a peur des gros ? Avec mes 85 kg, je ne fais peur qu’à ma balance (aussi, pour ne pas la traumatiser, j’évite de monter dessus).

Mais puisqu’il faut utiliser des mots terminant par « phobie », et bien, faisons-le :

Petit hobereau cévenol, je suis victime depuis ma plus tendre enfance d’« Aristophobie ». On me reproche mon nom à particule, ma naissance, et mon arrogance lorsque j’ose honorer la mort de Louis XVI ou la mémoire de quelque ancêtre ayant fini sa vie sur le « rasoir national ».

De plus, j’en ai marre d’être traité de « fin de race » par des gens qui nous expliquent que les races n’existent pas. Je suis parfaitement conscient d’appartenir à un monde qui se meurt, conscient d’être un des derniers Mohicans, un dinosaure, une espèce en voie d’extinction.

La petite aristocratie est persécutée depuis 1789. La grande noblesse, elle, s’est coulée dans le moule de la modernité; elle a adoptée les mœurs des dynasties bourgeoises ; elle est redevenue une noblesse de Cour avec tous ses excès (et le même mépris pour le peuple que sous l’Ancien Régime). Comme jadis, elle est imprégnée de la philosophie des Lumières et fréquente les Loges maçonniques. Nous ne sommes pas du même monde ; nous, nous sommes restés des gueux !

Quelques-uns de mes aïeux ont fini sur la guillotine (ou déportés) ce qui me donne le droit de demander repentance et pardon à la « Gueuse » si bien incarnée par Macron qui ne connaît que les « valeurs républicaines » (et l’Europe), et qui nie la notion même de nation. Une nation dont il ne connaît pas l’histoire et dont il conteste les valeurs. La Révolution est son marqueur idéologique, or elle n’a pas été tendre avec ceux de ma condition. Citons quelques exemples, juste pour démonter que je ne suis pas frappé de paranoïa : « Nous voulons abreuver nos frontières du sang impur de l’hydre aristocrate qui les infecte : la terreur est chez eux et la mort part de nos mains. Citoyens nous serons vainqueurs ! » C’est un extrait d’une lettre adressée par les volontaires du Bataillon de la Meurthe à la municipalité de Lunéville le 10 août 1792. Certes on peut m’objecter que ceci remonte à loin, et que les mœurs se sont adoucies depuis. Ceci prouve qu’on a oublié la période 1944-1945 appelée « l’épuration »(5). Selon Robert Aron : « C’est un véritable armorial, un annuaire des châteaux… que l’on pourrait constituer avec les victimes. D’autant que beaucoup d’entre elles ont eu le tort inexpiable, tout en étant anti-allemandes, de faire confiance à Pétain, ou bien d’être, dans la Résistance, d’un camp différent de celui de leur assassin… » (6).

Les assassins étant, très majoritairement, des FTP communistes.

Parlons d’une autre discrimination dont je suis l’objet – comme des milliers d’autres – dans LE pays de la Laïcité, ce pays qui refuse d’admettre ses racines chrétiennes : la « Cathophobie ». Vous noterez que je ne parle pas, comme certains, de « Christianophobie ». D’abord parce je trouve le mot affreux, ensuite parce que ce concept englobe tous les Chrétiens, or, en France, depuis la Révolution, c’est le Catholicisme que les Loges veulent éradiquer.

Tout a commencé, le 4 novembre 1789, par la confiscation des biens du clergé, puis la terreur a détruit les temples et tué bon nombre de curés « non-jureurs ».

L’œuvre de déchristianisation de la France était en marche, elle n’allait plus s’arrêter.

C’est d’abord Émile Combes, Franc-maçon qui, par la loi du 7 juillet 1904, interdit aux congrégations d’enseigner. Il fait fermer, en quelques jours, 2500 écoles religieuses.

C’est le général André, qui, le 4 novembre 1904, est giflé à la chambre par le député Syveton; point d’orgue de l’« affaire des fiches », dans cette « République des Francs-maçons » (on évaluait à 30 000 le nombre des Francs-maçons dans les instances politiques, parmi lesquels 250 députés et 200 sénateurs). 20 000 fiches ont été établies et transmises au Grand Orient de France.

C’est la loi de séparation de l’Église et de l’État, d’Aristide Briand, le 9 décembre 1905 et le scandale des inventaires qui se dérouleront dans un climat de guerre civile. L’apaisement ne viendra qu’après la saignée de la Grande Guerre, avec l’« Union Sacrée ».

C’est la scandaleuse condamnation de l’Action Française par Pie XI, le 25 décembre 1926 ou, plus exactement, l’interdiction faite, en 1927, aux adhérents de l’A.F, de recevoir les sacrements de l’Église. Ce drame va déchirer des familles et troubler les consciences.

C’est le Concile Vatican II, commencé sous Jean XXIII en 1962 et clôturé sous Paul VI en 1965, qui va prôner l’œcuménisme, abandonner le rite tridentin et le latin – langue universelle de l’Église – provoquant une forte crise des vocations et, en corollaire, une désertification des séminaires, des couvents et… des églises. Depuis, même le pape fait la chasse aux Catholiques traditionalistes.

Dernière discrimination : la « Fachophobie » dont j’ai parlé en préambule de cet article.

Depuis la dernière guerre, l’histoire, écrite par les Gaullistes et les Communistes, nous impose une culpabilisation perpétuelle de la droite nationale, assimilée au National-socialisme allemand ou au Fascisme italien. Ce qui est une insulte à la mémoire des nombreux résistants de droite ; ceux qui combattaient déjà quand les Communistes étaient encore les alliés d’Hitler.

La droite à laquelle j’appartiens – la nationalisme chrétien de Maurice Barrès – se rattache philosophiquement à l’ordre naturel, au message chrétien. Même s’il y a, à droite, des agnostiques et des athées, aucun d’entre eux ne conteste nos racines chrétiennes.

De nos jours, en dehors d’une poignée de Nazillons, le Fascisme n’existe pas chez nous, et pourtant l’antisémitisme est en pleine recrudescence. Un antisémitisme ethnique, raciale, religieux ?

C’est difficile à dire, d’autant qu’il existe aussi un « antisionisme » à l’égard de l’existence même de l’état d’Israël. À votre avis, à quelle ethnie, à quelle religion, faut-il l’attribuer ?

Je me garderai bien de répondre à cette question car je n’ai pas envie d’être poursuivi pour « incitation à la haine raciale ou religieuse ». Chez nous, « Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit », en revanche la connerie n’est pas une opinion mais, aussi incommensurable soit-elle, ce n’est pas non plus un délit. C’est bien dommage !

(1) - La religion la plus pratiquée en France est, de très loin, l’Islam.

(2) - Ceci mériterait un développement plus long mais je fais une différence – énorme – entre le patriotisme cocardier de Déroulède et le nationalisme de Barrès et Maurras.

(3) - Ses dispositions sont désormais intégrées au Code de la sécurité intérieure.

(4) - Rappelons quand même qu’à l’époque, AUCUNE banque française ne voulait lui prêter d’argent.

(5) - Période funeste à laquelle j’ai consacré un chapitre dans mon livre : « Mythes et Légendes du Maquis », Éditions Muller, 2019.

(6) - « Histoire de l’épuration » de Robert Aron, Fayard, 1967.

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Journal du chaos

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vendredi, 26 mai 2023

Callac : Laure-Line Inderbitzin virée par le maire de son poste d’adjointe

laure-line.jpgBernard Germain 

Le 17 mai j’avais publié un article relatant les dernières frasques de Laure-Line Inderbitzin. Vous savez, la grande malade de Callac -en arrêt maladie depuis des mois- mais qui est tellement malade qu’elle se produit hors des heures autorisées de sortie à de multiples endroits et publiquement, s’il vous plaît.

Par exemple comme nous l’avions indiqué : dans un bar le soir à lever son verre tout en chantant en breton (filmé et diffusé par TF1), ou encore en participant à un conseil municipal. Enfin, dernièrement à participer à un débat dans les locaux de Médiapart à Paris (visible sur YouTube).

Pendant ce temps là, ses élèves (elle est enseignante) n’ont pas de cours et cela énerve passablement les parents des élèves abandonnés par Laure-Line. Je continue à être très étonné, vu que tout cela est largement public, qu’aucune poursuite ne soit engagé contre cette dame, par exemple par la Sécurité Sociale ou l’Éducation nationale. Laure-Line serait-elle au dessus des Lois ? En tout cas, si elle n’est pas au dessus des Lois, cela y ressemble fort.

Pour Laure-Line, aucune limite n’existe visiblement sur le plan du respect des règles de vie en société, mais c’est aussi le cas sur le plan politique.

Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré à propos de l’arrêt du projet Horizon à Callac qui prévoyait l’arrivée de plusieurs centaines de migrants : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ». En langage clair, le maire a capitulé devant « l’extrême droite » c’est « impardonnable ».

En entendant cette déclaration de Laure-Line, je m’étais dit : « Dans n’importe quelle mairie normalement constituée, un adjoint qui dirait cela de son maire serait débarqué sur le champ ». Visiblement le maire de Callac est de cet avis.

Il vient de débarquer la dame de son poste d’adjointe. Du moins, c’est ce que rapporte la presse locale. Le conseil municipal du 1er juin doit officialiser la chose.

À mon avis, ce n’est qu’un début. Pourquoi ?

Parce qu’il y a un autre enragé pro-immigration dans ce conseil municipal : le sieur Morcet.

Vous savez, celui qui a porté plainte contre l’association « les Amis de Callac et ses environs », parce qu’il aurait vu la nuit et sans éclairage dans son jardin un homme habillé en noir et portant une cagoule. Observation faite depuis la fenêtre de sa chambre. Le gars est vraiment fort, il voit la nuit dans le noir, un homme habillé tout en noir avec cagoule et précise qu’il mesurait 1m75 à 1m80. C’est le champion du monde de la vision nocturne.

Comme je le disais, ce monsieur est également connu pour être l’un des plus enragés du conseil municipal pour la venue de migrants à Callac. Que va-t-il faire au conseil du 1er juin ?

Va-t-il soutenir Laure-Line et s’opposer à sa destitution de 2e adjointe ou va-t-il se coucher et « trahir » Laure-Line ? S’il s’oppose, il ne reste plus au maire qu’à lui retirer aussi sa délégation d’adjoint, parce qu’il est lui aussi adjoint au maire. À mon humble avis, on n’en est qu’au début d’une crise qui va toucher tout le conseil municipal.

Cela pourrait d’ailleurs se terminer par une démission collective obligeant à l’organisation de nouvelles élections. C’est d’autant plus vrai que les problèmes s’accumulent et sont plus explosifs les uns que les autres.

Ainsi, malgré l’abandon du projet Horizon, les deux vétérinaires Joncour et Lagrue, eux aussi totalement pro-migrants, continuent inlassablement à promouvoir l’arrivée de familles d’immigrés.

Tout comme Viltaïs l’association sulfureuse pro-migrants pour laquelle faire venir des migrants est un business qui rapporte beaucoup d’argent sous forme de subventions, c’est à dire nos impôts.

Mais voyez-vous, les problèmes ne s’arrêtent pas là. L’accompagnement des migrants par Viltaïs ne va durer que quelques mois. Et après, que va-t-il se passer ?

Rappelons qu’il n’y a pas un euro, pas un emploi, pas une aide pour les habitants de Callac. Par contre, des sommes folles sont dépensées pour ces migrants afin de les faire venir et les installer. Mais ensuite ce sera aux callacois d’assurer la suite.

Quand cela va être à l’ordre du jour du conseil, ça risque de faire des étincelles. Qui va accepter de voter l’augmentation des impôts fonciers par exemple, pour financer l’accompagnement des migrants lorsque Viltaïs aura fini son accompagnement ?

Le maire s’est aperçu, qu’il s’est fait manipuler par l’extrême gauche depuis le début de cette affaire. Il est même en passe de devenir l’ennemi de cette extrême gauche puisqu’il a « capitulé » devant les « fascistes ». Moi je dirais plutôt qu’il est redescendu sur terre et a retrouvé un certain bon sens.

Reste qu’il va devoir choisir entre les conséquences des folies de l’extrême gauche et ce que veulent et surtout ne veulent pas ses administrés. Car soyons simples. Les callacois commencent à comprendre que l’abandon du projet Horizon n’a nullement réglé tous les problèmes.

Aujourd’hui, les callacois voient bien que le travail de sape des Lagrue et Joncour, de Viltaïs et des élus municipaux pro-immigration qui veulent amener dans le bourg toujours plus d’immigrés… tout cela va avoir un coût et ce sont les habitants à la fin qui vont devoir payer.

L’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a de multiples contacts et discussions avec les habitants. Je suis en mesure de dire que la colère est en train de monter au sein de la population.

Si les habitants constatent une augmentation significative des impôts locaux, afin de financer les conséquences de cette politique immigrationniste, ce ne sont pas les imaginaires violences d’extrême droite auxquelles les élus vont devoir faire face, mais à une bien réelle sérieuse colère des habitants.

Débarquer Laure-Line, sans doute aussi Morcet, sont des mesures de salubrité publique. Mais ce ne sera pas suffisant. Le maire va devoir décider très vite s’il assume les conséquences de l’arrivée de ces immigrés à Callac, et s’il met le financement de tout cela à la charge des callacois.

À l’inverse, si le maire veut réellement sortir sa ville du guêpier dans lequel elle est tombée, il va devoir aller jusqu’au bout et prendre les mesures pour s’opposer et se se désengager vraiment de cette politique. Les semaines et mois à venir vont être riches d’enseignements.

23:47 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En Vendée : le Rassemblement vendéen lance une campagne contre l'implantation massive des éoliennes dans le département (et ailleurs bien sûr)

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Pour sensibiliser les nombreux touristes qui se rendent cette fin de semaine en Vendée contre l'implantation massive d'éoliennes dans le département (et particulièrement en mer près de l'Ile de Noirmoutier), le Rassemblement vendéen, présidé par Éric Mauvoisin, a collé plus de 3 000 affiches ces derniers jours dans toutes les communes du littoral. 

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Lire le livre Éoliennes, un scandale d'État cliquez ici

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Conférence de Marion Sigault : Enfance & sexualité : la dérive du système

Conférence de Marion Sigaut donnée le 10 mai en Belgique.

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Pierre Cassen et Bernard Germain présentent le livre "Transgression" au Forum du Parti de la France

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Pour le commander cliquez ici

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"J'avais un camarade", le bel hommage de Pierre Vial à son Ami, le professeur Jean Haudry décédé mardi dernier

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Pierre Vial, président de Terre et Peuple

Eminent spécialiste des études indo-européennes, reconnu comme tel sur le plan international, Jean Haudry était, comme tous les vrais savants, d'une grande modestie. Son « Que Sais-Je » sur les Indo-Européens (réédité par Terre & Peuple) avait été un beau succès de librairie. Jean était un bourreau de travail et avait accumulé les ouvrages érudits sur le monde indo-européen. Nous pouvons fournir à ceux qui le demanderaient une Bibliographie.

Jean avait joué un rôle déterminant dans la création de l'Université Jean-Moulin. Il avait été le doyen de la Faculté des Lettres. Dès que cela avait été possible il avait fait en sorte que me soit proposé un poste au sein du département d'Histoire et j'avais donc rejoint l'équipe de nos amis implantés dans cette université, vite dénoncée, évidemment, par les gardiens du politiquement correct, comme un repaire de mal-pensants.

Mais, plus important, pour moi, que le côté universitaire, Jean était un homme fidèle à notre conception du monde : son Honneur s'appelait Fidélité. A la différence de certains il ne se cachait pas derrière son petit doigt et avait immédiatement donné son accord pour être le vice-président (avec Jean Mabire) de Terre & Peuple. Nous avons partagé bien des aventures, y compris dans le travail de pénétration de certains milieux a priori bien éloignés de notre façon de voir les choses mais dont nous avons soigneusement tiré un parti fort intéressant, sur lequel je resterai discret.

Jean était un combattant. Toujours prêt à donner le meilleur de lui-même lorsque je lui proposais un de ces coups tordus dont nous avions le secret.

Je sais, mon camarade, que tu seras encore à mes côtés pour les dernières étapes. Et que je te retrouverai là où sont nos Grands Anciens.

Source cliquez ici

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Waouh ! Je suis qualifié de prédicateur néofasciste par “l’Humanité”

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Bernard Germain

Hier 24 mai, le journal L’Humanité m’a consacré un “article” cliquez ici. Que dis-je un brûlot dans le plus parfait style stalinien. Vu sa manière de faire son métier de “journaliste” l’auteur a certainement été diplômé de La Pravda, avec mention spéciale.

D’ailleurs, ce genre d’article semble la spécialité du dénommé Émilien Urbach, puisque tel est le nom de ce plumitif venimeux. Il avait déjà commis un article contre moi auquel j’avais répondu le 22 février 2023.

Là il recommence, en montant franchement les curseurs en matière d’injures, d’accusations gratuites et de calomnies. L’article commence avec ce titre : « Partout Callac », la pieuvre brune du prédicateur néofasciste Bernard Germain » Le moins qu’on puisse dire c’est que ça démarre fort. Le lecteur est immédiatement dans le vif du sujet.

Il se poursuit ainsi : « La coordination créée par le prédicateur néofasciste Bernard Germain veut fédérer toutes les mouvances d’extrême droite afin de semer la peur, la haine et la violence là où des projets d’accueil d’exilés tentent de voir le jour. L’organisation est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher.

En fait ce “journaliste” a manifestement des problèmes de vue, ou alors il ne sait pas lire. La Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr) n’a pas pour objectif de “fédérer toutes les mouvances d’extrême droite“, mais de venir en aide à tous ceux qui sont confrontés en France, à l’installation de CADA dans leur commune, ou toute autre sorte de structure amenant des immigrés contre la volonté de la population locale. En leur faisant profiter de notre expérience.

D’autre part, ce “journaliste” a aussi des problèmes de compréhension. Notre objectif n’est nullement de “semer la peur, la haine et la violence“. Les seuls qui font cela, ce sont justement les copains de ce “journaliste”, les antifas et autres écolos dingos.

A-t-il oublié Sainte-Soline et tous les cocktails Molotov des écolos fous ? A-t-il oublié les 2000 policiers et gendarmes blessés par les antifas lors de Sainte-Soline et des manifestations contre la retraite à 64 ans ? A-t-il oublié que même Fabien Roussel (PCF) a dû être exfiltré lors de la dernière manifestation sur les retraites sinon il se faisait lyncher par les antifas parce qu’il est certes “fou” politiquement de soutenir la NUPES, mais pas assez fou pour les enragés de ce camp.

Cette violence réelle, ce “journaliste” ne la voit pas.

Mais les violences imaginaires de l’extrême droite, il vous en parle à longueur de colonnes. Cela ressemble à une obsession.

D’ailleurs, nous lui lançons un défi : peut-il nous citer des faits où “l’extrême droite” est clairement responsable de violences et de dégradations ? Il va avoir du mal. Il n’y en a pas. Tandis que moi, je peux citer de multiples violences des antifas, milices macronistes constituées d’individus sulfureux soutenus par le PCF et la “gauche” (en fait l’extrême gauche).

Par exemple, rien qu’à Callac, les 17 septembre, 5 novembre et 28 janvier 2023, les antifas, avec la “gauche”, ont agressé les gendarmes. À Saint-Brevin, lors des deux dernières manifestations, les antifas, avec la “gauche” ont agressé les gendarmes, afin d’atteindre nos manifestations pour en découdre avec les patriotes et ceux qui refusent les CADA. Mais là, c’est bizarre, le sieur Urbach n’a pas un mot pour condamner ces violences et dégradations bien réelles. Et même politiquement, les amis du triste Urbach défendent l’indéfendable.

Ainsi, à Callac, ils ont refusé publiquement le 5 octobre 2022 (le maire PCF et sa majorité) de faire un référendum pour demander à la population si elle accepte ou pas le projet de faire venir des centaines d’immigrés dans ce village parce que… 80 % est contre.

Mais sur la réforme des retraites de Macron, les mêmes demandent… un référendum. En clair, consulter la population n’est une bonne idée que si la population va répondre ce que la “gauche” veut entendre.

Si le peuple souhaite autre chose que ce que veut la “gauche”, là c’est une très mauvaise idée de faire un référendum. Et le peuple est prié de se taire et de garder ses opinions pour lui. Dire que ces gens se considèrent et se présentent comme des démocrates…

Mais reprenons ce qu’écrit notre stalinien de service :

En le lisant, j’ai appris que je suis maintenant « le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Franchement, mes amis, ça en jette et ça fait sérieux. Vous imaginez lors d’un prochain débat, le journaliste déclarant : « Nous avons le plaisir de compter parmi nous le maître à penser de la mouvance identitaire et nationaliste ». Il va y avoir des jaloux…

Notre Émilien continue son article en indiquant : « L’organisation (Partout Callac – NDLR) est également à l’origine des menaces contre les journalistes de l’hebdomadaire Le Poher » Là, notre journaliste devrait faire attention.

Il m’accuse directement des menaces contre le petit journal gauchiste qui m’a assigné au tribunal (l’audience prévue le 3 mars a été reportée). Notre “journaliste” serait-il en réalité un guépéoutiste (police politique stalinienne) ayant mené une enquête secrète dont il cacherait les conclusions à la justice française ? Car, et j’en suis le premier étonné, les enquêtes en cours conduites par la police ne m’ont nullement mis en cause, pas plus qu’un autre membre de l’association “Les Amis de Callac et ses environs”.

Donc cette affirmation directe de culpabilité, sans aucune preuve, ça porte un nom : c’est de la “dénonciation calomnieuse”, et c’est sanctionné par la Loi. Tout comme il accuse directement Riposte Laïque et Résistance Républicaine d’être la source des mêmes méthodes à Callac et Saint-Brevin.

Attention Émilien, on ne peut pas affirmer n’importe quoi sans preuve. C’est un jeu dangereux.

Pour être honnête, je ne souhaite pas cacher que notre avocat étudie le problème. Par ailleurs, je rappelle que le code pénal sanctionne quiconque détient des informations qu’il cache à la justice. Or pour l’instant ni la justice ni la police n’accusent personne.

Là aussi, notre « journaliste » devrait faire attention, le parquet pourrait se retourner contre lui et lui demander pourquoi il cache ces informations au procureur et aux juges. S’il en a.

En vérité, c’est beaucoup plus simple que cela. Il ne cache rien du tout, car il n’a aucun élément. Il ne sait que calomnier et est bien incapable d’apporter le plus petit début d’un commencement de preuve de notre implication dans ces menaces, intimidations ou pressions diverses. Car il n’y en a pas.

Reste que tous les crétins qui le croient sur parole seront convaincus qu’Émilien est un grand défenseur de la liberté. Quant à ceux qui réfléchissent un peu, et qui se posent un minimum de questions, ils savent que ce type ne sait que salir. Quand on n’a rien de positif et de constructif à proposer, être destructeur et venimeux, c’est aussi une manière d’exister. Et le pauvre n’a visiblement que cette dernière. Au demeurant, notre petit « journaliste » devrait comprendre (s’il le peut) que salir l’autre n’est pas non plus une politique qui fera changer d’avis les 70 % de Français qui veulent l’arrêt de l’immigration en France.

À Callac, malgré tous les mensonges des Urbach et consorts, les habitants ont bien vu ce qu’est en réalité la politique immigrationniste soutenue par ce “journaliste” et ses amis. Les habitants ont rejeté massivement cette politique.

Au final, il faut toujours savoir tirer quelque chose de positif d’une expérience, même la plus désagréable. Là, je ne peux dire qu’une chose : merci Émilien pour cette publicité gratuite.

Cela permet à tous ceux qui veulent se battre et ne connaissaient pas encore notre Coordination Partout Callac d’entendre parler de nous.

Je suis sûr que le nombre de vues sur notre site va augmenter. Ainsi que nos contacts.

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Fractures turques

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Mustafa Kemal Atatürk

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Sinan Oğan est la grande surprise du premier tour de la présidentielle turque. Certes, il ne se qualifie pas pour le second tour, mais ses 5,17 % pèsent déjà sur le duel entre le président sortant Recep Tayyip Erdoğan qui frôle la réélection avec 49,52 % et son rival républicain du peuple Kemal Kılıçdaroğlu (44,88 %). Quant au quatrième candidat issu du Parti de la mère-patrie d’orientation libérale-conservatrice, Muharrem İnce se retire dans les derniers jours de la campagne, d’où son 0,43 %.

Quelques esprits forts pointent aussitôt l’activisme débordant de l’AKP (Parti de la Justice et du Développement) auprès des classes les plus populaires, activisme qualifié de « clientélisme ». Dommage qu’ils ne mentionnent jamais le clientélisme gigantesque du Parti démocrate de Joe Biden dans certains États, comtés et municipalités des États-Unis.

On peut croire que les électeurs de Sinan Oğan se reporteront sur le président Erdoğan au second tour. La vie politique turque est en réalité plus subtile. Âgé de 55 ans et d’origine azerbaïdjanaise, Sinan Oğan a étudié à Moscou au début du XXIe siècle. Il milite de 2010 à 2015 au sein du mouvement pantouranien MHP (Parti d’action nationaliste) de Devlet Bahçeli dont il devient l’un des députés. En 2015, le MHP l’exclut, car il refuse le rapprochement entamé avec l’AKP.

À l’occasion de cette campagne présidentielle, Sinan Oğan se présente au nom de l’Alliance ancestrale, une coalition électorale récente des pantouraniens radicaux du Parti de la Victoire, des conservateurs libéraux du Parti de la Justice, des kémalistes sociaux du Parti « Mon Pays » et des progressistes du Parti de l’Alliance turque. Le candidat de cette entente veut d’une part interdire l’ensemble des formations politiques kurdes, séparatistes et loyalistes. Il dénonce d’autre part avec une rare insistance les 4,5 millions d’étrangers dont 3,5 millions de réfugiés syriens. Il ne souhaite pas assister au début d’un grand remplacement des Turcs. Il se montre enfin fort méfiant envers les islamistes.

C’est un point d’accord avec Kemal Kılıçdaroğlu dont les aïeux kurdes et alévis seraient originaires de la région arabophone iranienne du Khouzistan. Les observateurs le peignent régulièrement en pantin atlantiste, ce qui est exagéré. Le candidat kémaliste entretient volontiers de bonnes relations avec l’Irak, l’Iran et la Syrie. S’il était élu, sa présidence provoquerait tôt ou tard de profondes divergences au sein de l’Alliance de la nation entre les pro-occidentaux et les tenants du non-alignement.

La bipolarisation exprimée au moment de la présidentielle masque un foisonnement politique considérable avec des unions circonstancielles et hétéroclites dues au mode de scrutin. Un multipartisme vivace s’épanouit sous un apparent dualisme pour le plus grand plaisir des électeurs. L’abstention est autour de 14 % et les votes blancs et nuls ne dépassent pas les 2 %.

L’Alliance de la nation regroupe les kémalistes historiques du CHP (Parti républicain du peuple), les conservateurs musulmans du Parti démocrate, les islamistes traditionalistes du Parti de la Félicité, le Parti de la Démocratie et du Progrès, le Parti pour le changement de la Turquie, le Parti du Futur de l’ancien Premier ministre AKP Ahmet Davutoğlu, et les nationalistes du Bon Parti. Fondé et dirigé par Meral Akşener qu’on dit proche des milieux atlantistes, le Bon Parti soutient une ligne nationale-laïque intransigeante. Ministresse de l’Intérieur entre 1996 et 1997, elle a fortement réprimé l’opposition kurde, d’où des tiraillements répétés avec ses partenaires de la « Table des Six ». L’hétérogénéité de la coalition explique-t-elle son échec aux élections législatives ?

En effet, le 14 mai dernier, les électeurs turcs participent à la fois aux élections présidentielles et législatives. Depuis la révision constitutionnelle de 2017 qui établit un régime présidentialiste, les mandats du président et des députés sont concomitants. Si le président démissionne ou s’il dissout le parlement, chef d’État et députés retourneront en même temps aux urnes. Cette articulation originale a été proposée dans la décennie 1990 en France par Jean-Pierre Chevènement qui reprenait une idée du club Jean-Moulin, un cénacle de la gauche technocratique des années 1960.

La Grande Assemblée nationale compte 600 membres élus pour cinq ans au scrutin proportionnel de liste bloquée à un seul tour dans 87 circonscriptions, en général des provinces mais pas toujours, au prorata du nombre d’habitants. Le seuil d’élection de 10 % a été abaissé à 7 %.

L’Alliance de la nation réalise 35,02 %, gagne 24 sièges, soit 212 élus (169 pour le CHP et 43 pour le Bon Parti). Elle subit la concurrence inévitable de l’Alliance du travail et de la liberté qui rassemble les Kurdes du HDP (Parti démocratique des peuples), le Parti des travailleurs de Turquie et le Parti de la Gauche verte éco-socialiste libertaire. Ce regroupement de gauche sociétale fait 10,54 %, compte 65 députés et perd deux sièges.

Le grand vainqueur des législatives est donc le camp présidentiel avec 49,40 %. Malgré une perte de 26 sièges et un recul de près de sept points par rapport à 2018, l’Alliance du peuple remporte 323 élus : 268 pour l’AKP, 50 pour le MHP qui augmente d’un siège et 5 pour les islamistes du Nouveau parti de la Prospérité de Fatih Erbakan, fils du mentor d’Erdoğan. Il faut inclure dans cette alliance présidentielle les nationaux-islamistes panturcs du Parti de la Grande Unité qui perdent leur unique siège, les sociaux-démocrates du Parti de la Gauche démocratique et les Kurdes islamistes traditionalistes anti-séparatistes du Parti de la Cause libre qui s’inspirent de la Garde de Fer roumaine. Pour l’anecdote, le parti La Patrie de l’eurasiste de gauche radicale Doğu Perinçek ne recueille pour sa part que 54 789 voix (0,10 % et perd 0,13 point…).

Si Kemal Kılıçdaroğlu accède à la présidence de la République, il devra cohabiter avec un parlement hostile bien que la nouvelle constitution limite strictement ses prérogatives. On comprend mieux pourquoi Sinan Oğan se pose en faiseur de roi. Il a dès à présent interpellé les deux finalistes au sujet de l’immigration massive qui bouleverse la donne démographique turque.

La Turquie s’intègre de plus en plus dans les méandres de la « société liquide » ultra-libérale 3.0. Le surgissement de Sinan Oğan sur la scène politique signale la radicalisation nationale et identitaire d’une opinion publique très fracturée. Peu importe le président élu, le Bloc occidental atlantiste devra prendre en compte une nation turque fière et sûre d’elle-même. L’échéance électorale du 28 mai prochain se révèle ainsi décisif non seulement pour l’avenir de la Sublime Porte, mais aussi pour l’Europe, le Proche-Orient, le Caucase, l’espace pontique, l’Asie Centrale et même le continent africain.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°75, mise en ligne le 23 mai 2023 sur Radio Méridien Zéro.

01:11 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 25 mai 2023

Après l'interdiction scandaleuse du colloque de l'Iliade dimanche dernier, Jean-Yves Le Gallou invité par André Berkoff sur Sud Radio

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Il chantait lors du Rendez-vous avec nos Chères Provinces du 23 avril dernier en Mayenne. Un entretien avec Louis-Antoine

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Entretien avec le chanteur Louis-Antoine, auteur, compositeur et interprète (louisantoine@netc.fr)

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Quel est votre parcours qui vous a amené aujourd’hui à vouloir contribuer par votre œuvre au renouveau nationaliste et catholique ?

J’ai grandi dans une famille de classe moyenne, parents fonctionnaires et plutôt marqués à gauche, il faut le dire. N’ayant pas reçu le baptême enfant, j’ai eu un début de conversion avorté à l’âge de 10 ans. D’autant qu’au début des années lycée, j’étais sous l’influence de ce que j’appellerai la sphère mediatico-artistique gauchiste (Canal + [Groland, Les Guignols, Barthès,…] La chanson dite contestataire [type Renaud, Tryo, Les Fatals Picards…]).

C’est dans ces dispositions, qu’à l’âge de 16 ans, j’ai croisé un livre qui m’a fait beaucoup de mal, sans le savoir : Karl Marx, l’esprit du Monde de Jacques Attali. Au-delà du fait que je n’avais nulle idée de qui était Jacques Attali, mon esprit adolescent n’était pas formé à déjouer les pièges ; je me suis donc retrouvé happé par le mensonge marxiste durant de longues années.

J’étais ce que je qualifierai de communiste sans doctrine, même si j’avais lu le Manifeste d’Engels, Marx et quelques écrits de Proudhon ; j’étais un idéaliste qui fantasmait sur un projet de société qu’il ne comprenait que très partiellement.

Et puis, en 2017, Dieu est venu me trouver par l’entremise d’une de ses servantes et a réussi à faire par je ne sais quel miracle, que je demande le baptême, sacrement que j’ai reçu en 2018 à la Veillée Pascale. Dans un premier temps, dans l’Église Conciliaire, je contractais en mon cœur le mariage contre-nature entre le christianisme et le marxisme révolutionnaire, mais après quelques années d’errance et de combats spirituels perdus, j’ai compris que je n’étais pas armé pour ceux-là, et le Seigneur, dans sa grande bonté, a mis sur ma route d’autres servants qui m’ont fait connaître la Tradition Catholique.

C’est là que j’ai eu la chance d’être formé et de comprendre la véritable signification de la Vie Chrétienne, le sens du Saint Sacrifice de la Messe, l’importance de la Doctrine qui alimente la piété de façon fulgurante.

J’ai fini par recevoir le sacrement de confirmation par Mgr Tissier (évêque de la FSSPX) en 2022. Dans le même temps, je découvrais Maurras et son ouvrage Mes Idées Politiques, qui m’a fait basculer de gauche à droite. J’ai poursuivi ma formation en étudiant Antoine de Rivarol, Joseph de Maistre, Antoine Blanc de Saint Bonnet et surtout, Mgr Lefebvre, sa vie et son œuvre.

C’est à la suite de cela qu’a mûri le projet d’un album de chanson : Dieu, la France et le Roy, et du site qui lui est corrélé https://dieulafranceetleroy.fr sur lequel je fais bénéficier le lecteur du fruit de mes études, afin de rameuter de nouvelles troupes dans le combat pour le salut des âmes et de la France.

Concernant votre activité artistique, quels sont votre parcours et vos influences ?

Je suis percussionniste de formation, j’ai ensuite appris seul la guitare et le piano à l’adolescence, afin de réaliser ce qui m’avait toujours paru être ma vocation : écrire et chanter. J’ai traversé ces années dans différents groupes (Rock, Ska, Reggae, Funk) pour finir dans le monde du rap, où j’ai composé et produit plusieurs albums entre 2014 et 2018.

Mais ma ligne idéologique ayant radicalement changé, après avoir pris quelques années pour expérimenter d’autres choses, j’ai décidé de repartir à zéro, avec un nouveau pseudonyme : « Louis-Antoine », un nouveau style musical : « La Chanson à Texte » et un nouveau message : « Vive Dieu, Vive la France, et Vive Le Roy ».

Je citerai comme influences en musique classique Chopin, Debussy et Liszt, en chanson Brassens, Brel et Jean Gabin et autrement pour faire un fourre-tout, dans la musique moderne : Queen, Groundation, Oscar Peterson, Les Ogres de Barback, Rodrigo y Gabriela, Tommy Emmanuel et Grover Washington Jr, en somme je reste un artiste éclectique, et j’espère que cela à la vertu de rendre mon œuvre singulière.

Une dernière question, d’ordre plus idéologique : selon vous, qu’est-ce qui prime dans le message que vous voulez faire passer ?

Dieu premier servi. Mon amour pour la France est ardent, mais ma seule patrie est le Ciel. La chanter, c’est un vecteur pour ramener mes frères et mes compatriotes à la seule fin qui ait réellement de l’importance, à savoir vivre en Amitié avec le Créateur, où dirais-je en état de grâce.

Toute mon œuvre, je la dois à Dieu et à la Très Sainte Vierge Marie qui me sont d’un soutien indéfectible pour vaincre ma paresse, mon orgueil et ma faiblesse. Si je suis capable aujourd’hui de faire quelque chose de convenable de mes dix doigts et de ma raison, c’est à Dieu seul que je le dois. J’ai une dette abondante envers Lui, et je consacrerai toute ma force de travail, que ce soit par l’étude, l’écriture où la chanson, à tenter d’agrandir Son troupeau. Le Nouvel Ordre Mondial règne en maître : il a détruit l’ordre social chrétien. Les ennemis de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la France – l’Empire Arc-en-ciel comme dirait notre ami le journaliste Hannibal – ont fait de notre pays leur jouet et leur chose et sont parvenus à corrompre et à subvertir jusqu’au sein même de la sainte Église Romaine. Le Mal est aux manettes, le Vice est érigé en Loi.

Il faut donc réagir, et se rappeler cette belle phrase du Maréchal Pétain : « Vous subissez l’oppression détestable des pires, vous êtes plongés dans la nuit. Mais si vous êtes fidèles au testament que je vous laisse, et si votre persévérance sait mériter de Dieu Son Aide Toute Puissante, vous verrez, je vous l’affirme, renaître une aurore. »

Pour découvrir le site de Louis Antoine et vous procurer ses albums, cliquez ici

Entretien paru sur le site du Nouveau Présent.

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Saint-Brevin : fiasco total de la manif de gôche contre “les violences d’extrême droite”

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J’étais au milieu des manifestants de gauche de Saint-Brevin. Quel bide ! C’était bien la peine ! Tout cela pour ça ! Deux mois après l’incendie de la maison du maire (dont on ignore toujours qui sont les incendiaires), quinze jours après la démission de l’édile à migrants Yannick Morez, suivie d’une gigantesque manipulation imputant à la prétendue extrême droite les violences subies par l’élu, on attendait des dizaines de milliers de manifestants dans la ville.

C’est que rien n’avait été laissé au hasard. Le maire avait été reçu par Elisabeth Borne et par la commission des lois du Sénat. Il avait pleurniché parce qu’il n’aurait pas été protégé par l’Etat. Il avait bien sûr, en bon maire divers de droite collabo, accusé l’extrême droite d’être la cause de tous ses malheurs, et ciblé le préfet, coupable d’avoir autorisé les manifestations des riverains du collectif de préservation de la Pierre Attelée, suspecté de connivence avec l’ultra-droite, selon la propagande médiatique.

Toute la gauche politique, syndicale et associative était mobilisée, les appels se multipliaient, il fallait défendre la République contre le fascisme, rien de moins! La pression était telle que le Rassemblement national et Reconquête avaient pris leurs distances avec le combat de Saint-Brevin, ce qui n’empêchait pas la gauche et les médias de les accuser d’avoir provoqué l’incendie de la maison du pauvre maire à migrants, qui, traumatisé, allait quitter la France et faire le tour du monde en bateau.

Tout était donc prêt pour un ras-de-marée républicain à Saint-Brevin. La gauche annonçait la présence de Fabien Roussel, le grand chef du PCF, d’Olivier Faure, le secrétaire de ce qu’il reste du PS, et Marine Tondelier, que des mauvaises langues présentent comme l’enfant de Sandrine Rousseau et de Bécassine, par ailleurs nouvelle cheftaine des Verts. On attendait avec impatience de savoir si le Guide Suprême Jean-Luc Mélenchon de la Révolution allait faire le voyage, et finalement, il le fit. Le matin du grand jour, les immigrationnistes d’Utopia accusèrent l’extrême droite d’avoir attaqué une de leurs boutiques, à Tours. Et bien sûr accusèrent Darmanin d’être complice par sa passivité. Manque de chance, le dangereux fasciste se révéla être un clandestin marocain. La journée commençait mal ! cliquez ici

On envoya donc Johanna Rolland, la grande prêtresse de la manifestation, le maire de Nantes qui voulait que Saint-Brevin ressemble à ce qu’elle avait fait de sa ville, la brillante directrice de campagne d’Anne Hidalgo et ses 1,75 % à la dernière présidentielle. Et la malheureuse élue de rappeler qu’elle aussi avait eu sa voiture brûlée il y a cinq ans, laissant entendre, bien sûr, que c’était un coup de l’extrême droite, alors que… cliquez ici

Bref, tout était prêt pour le grand sursaut républicain, comme ils disent. Certes, les militants de l’Action française avaient osé gâcher la fête, en faisant un collage de masse, la nuit précédente, sur Saint-Brevin. Mais les vaillants antifas, appelés au secours, avaient arraché les affiches sacrilèges et stickés toute la journée, pour que les masses de la ville comprennent le bon message. Tous les commerçants avaient fermé boutique, ce qui confirme qu’ils ont compris, eux, que le danger ne vient pas des manifestations des patriotes, mais bien de la gauche et des prétendus antifas.

Mais les choses commencèrent alors à se compliquer. Alors que tout le monde espérait le maire Morez présent à la grande manifestation contre la haine, celui-ci, dans un éclair de lucidité, se rendit compte qu’il se faisait un tout petit peu manipuler, et donc décida de bouder, et de faire une prise de parole à la mairie, à 18 heures, mais sans manifester. Cela commençait à faire désordre. La gauche, histoire d’occuper le terrain,  accusa la droite d’être absente. Mais difficile, pour les LR, qu’on ne vit pas par ailleurs aux manifestations des opposants au Cada, de s’afficher avec la gauche au lendemain d’une grande annonce sur leur plan anti-immigration. Cela aurait fait désordre.

Donc, malgré tous ces ratés, on attendait les masses, massivement présentes à Saint-Brevin. Et cela fut le fiasco du siècle ! Même la propagande de l’AFP, reprise naturellement par tous les journalistes, ne parla que de 1000 à 2000 personnes pour soutenir la vaillant maire de droite à migrants. Les gendarmes, mais aussi des Brevinois présents, annoncèrent le chiffre de 1300 participants. Le bide total ! cliquez là

Affolés, les propagandistes essayèrent de parler de plusieurs milliers dans leurs titres, mais personne n’osa parler de plus de 3000 manifestants. Les vieux renards Roussel et Mélenchon, présents, mais conscients du fiasco, se planquèrent, et évitèrent de se faire prendre en photo, contrairement aux nunuches écolos et socialauds.

La gauche, pour ne paraître ridicule, décida de rejoindre la place de la Mairie, et d’être présente quand Morez prit la parole. Un orateur catastrophique, par ailleurs, qui ne leva pas les masses. Le public, composé majoritairement de vieilles barbes retraités de l’Education nationale et des professionnels permanents de la politique payés par nos sous, essaya de mettre de l’ambiance en applaudissant longuement le maire à migrants. Mais l’ambiance n’était pas là, peu de cris hostiles aux “fachos”, et même pas de vitrines cassées et de voitures brûlées ! cliquez là

Bref, un rassemblement appelé par vingt partis politiques, associations et syndicats, soutenu par l’ensemble des médias, appuyé par le gouvernement, pour lutter contre la prétendue extrême droite, cela fait à peine plus de 1.000 personnes !

Tout cela pour ça. Le bide total, le fiasco du siècle ! Du temps de Mitterrand, la gauche savait au moins réussir des coups, comme celui de Carpentras, ou celui du maghrébin jeté dans la Seine un 1er mai, lors d’une manifestation du FN. Trente ans plus tard, alors qu’ils ont toutes les cartes en main, ils ne sont même pas capables de réussir à capitaliser l’énorme manipulation de Saint-Brevin, où, rappelons-le, les coupables de l’incendie des voitures et de la maison du maire ne sont toujours pas identifiés.

C’est dire l’état de décomposition de la gauche, et son décalage total avec le vrai peuple. Outre que ce sont des traitres, ce sont, en sus, des incapables et des tocards.

07:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mais où va donc passer la énième formule du SNU ?

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de Philippe Randa

C’était en 1996 : Jacques Chirac, élu l’année précédente président de la République française, décidait la suppression du Service National… au plus grand soulagement de milliers de jeunes Français que la « perte » d’une année de leur précieuse insouciance n’enchantait pas, mais alors pas du tout, à l’exception peut-être d’une minorité d’entre eux, prêts à servir la Nation, devenir des guerriers, connaître une autre vie que celle « de merde » qu’ils subissaient ou simplement se « tirer de chez soi » – « soi » familial, professionnel ou urbain, voire les trois pour les plus malchanceux…

Pour le Chef de l’État, c’était certes gagnant-gagnant : une majorité de la population considérait que l’armée, c’était ringard, « faschistoïde » et surtout devenue tellement, tellement inutile, l’Élysée pouvait jeter aux oubliettes le Service militaire sans grand risque de contestations, faire d’importantes économies et remplir l’éternel tonneau des Danaïdes de ses finances en revendant aux plus offrants la presque quasi-totalité des casernes de France et de Navarre, un pactole à faire pâlir d’envie tous les promoteurs immobiliers de la planète !

Les conséquences ? Quelles conséquences ? N’ont-elles jamais effleuré l’esprit du président Chirac ?

Elles n’étaient pourtant pas difficiles à deviner, même s’il a fallu attendre l’année 2022 et le conflit russo-ukrainien sur le continent européen pour rappeler à nos compatriotes qu’une guerre traditionnelle pouvait toujours être d’actualité… et donc une sacrée épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, ce que toutes les générations précédentes, depuis l’âge des cavernes, savaient bien, elles !

Mais surtout, d’abord et principalement, la suppression du Service national a dramatiquement accentué la « fracture sociale » des Français : un thème qui avait pourtant été si cher et si profitable au candidat Chirac lors de sa campagne présidentielle de 1995 : « Une fracture sociale se creuse dont l’ensemble de la Nation supporte la charge. La “machine France” ne fonctionne plus. Elle ne fonctionne plus pour tous les Français » (discours de Jacques Chirac, 17 février 1995).

En supprimant le Service national, on supprimait automatiquement aux jeunes de banlieues notamment – devenus depuis plus de 25 ans chaque année plus difficiles à maintenir dans le cadre républicain et à empêcher de sombrer dans la délinquance – une chance de sortir de leur ghetto, d’acquérir un minimum de sentiment d’appartenance nationale (ce n’est pas l’école qui les y incite) et pour un nombre non négligeable d’entre eux, d’obtenir une formation professionnelle débouchant quasi automatiquement sur un emploi…

Sont-ce ces raisons qui ont incité le candidat Emmanuel Macron, lors de sa campagne présidentielle de 2017, à promettre un Service National Universel (SNU), effectivement mis en place par son Premier ministre Édouard Philippe en 2019 ? Ou l’intention était-elle tout simplement de capter les voix d’électeurs nostalgiques du Service militaire avec ce qui n’aurait pu être qu’une promesse électorale sans suite et n’a été jusqu’à présent qu’un simple ersatz ? Sans caserne pour accueillir les élèves, sans militaires disponibles pour fournir un minimum d’encadrement, de discipline et de formation, qu’irait bien faire notre belle jeunesse dans cette galère macronienne ?

Rien… comme en témoigne le énième changement de formule du SNU pour attirer les volontaires.

D’abord envisagé « durant les vacances et obligatoire » avec l’enthousiasme qu’on imagine, « six ans plus tard, le gouvernement planche sur une nouvelle formule, sur le temps scolaire et sur la base du volontariat. Une proposition décriée par l’opposition », selon France info… et contestée par Sophie Vénétitay, secrétaire générale adjointe du syndicat Snes-FSU, qui monte au créneau en martelant que « les élèves ont besoin d’école, ils n’ont pas besoin de SNU. »

Bien que « pour ce que l’école leur apprend, ça se discute ! », pourraient faire malignement remarquer des esprits chagrins.

Lire EuroLibertés cliquez ici

01:13 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 mai 2023

Immigration : LR nous prend pour des perdreaux de l’année

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Bernard Germain

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de noter que jusqu’à maintenant tous ceux qui parlaient d’immigration en soulignant que c’était la source d’une multitude de problèmes étaient qualifiés de fascistes, de racistes ou de xénophobes. Y compris par le parti LR.

Aujourd’hui, les LR semblent se réveiller et à cette occasion découvrent la face cachée de la lune, à savoir que oui, l’immigration est un grave problème pour notre pays et qu’elle a d’innombrables conséquences comme l’insécurité, un coût social délirant, de la fraude sociale, des atteintes à la laïcité, un refus de s’intégrer et encore plus de s’assimiler, la création de zones géographiques dans lesquelles les Lois de la République ne s’appliquent plus,… etc. Bref ils ont découvert tout ce qui pourrit au quotidien la vie de notre pays et des Français.

La motivation de ces propositions LR est toute simple. Avec la Loi sur la retraite à 64 ans, les LR en sauvant le gouvernement Macron (49-3) se sont « grillés » aux yeux de l’opinion publique. Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour les Français, même les plus crédules, Macron et LR c’est maintenant blanc bonnet et bonnet blanc. Si LR ne trouve pas le moyen de faire croire qu’ils sont différents, c’est leur disparition qui est à l’ordre du jour, à l’occasion des prochaines élections. Ils ont donc trouvé avec l’immigration un sujet avec lequel ils pensent se refaire une virginité.

Sauf que le projet qu’ils présentent n’est qu’un projet à « l’eau tiède » alors qu’il faudrait un véritable projet de rupture avec les politiques suivies depuis des décennies par tout le personnel politique qu’il soit de droite ou de gauche. De plus ils se heurtent à un problème constitutionnel.

 Ainsi, ils proposent deux Lois.

L’une est une Loi constitutionnelle parce que le sujet de l’immigration n’est pas prévu, selon certains, dans les thèmes mentionnés dans l’article 11 de la constitution de notre pays. De qui se moque-t-on ?

Voilà ce que dit l’article 11 de notre constitution : « Le Président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées, publiées au Journal Officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique ou sociale de la nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d'un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. »

Ceux qui prétendent que l’article 11 ne peut-être utilisé pour organiser un référendum sur l’immigration, affirment donc que cette dernière ne relèverait pas d’une politique « sociale ». En conséquence l’article 11 ne peut être utilisé et il faudrait une modification de la constitution.

Vraiment ?

Le regroupement familial, ce n’est pas un problème social ?

Les versements sociaux qui se chiffrent en dizaines de milliards, faits à des millions de personnes immigrées, ce n’est pas un problème social ?

Les fraudes sociales en tout genres, causées par de nombreux membres de cette immigration, ce n’est pas un problème social ?

La délinquance liée à cette immigration et le coût que cela entraîne pour notre pays, ce n’est pas un problème social ?

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Saint-Brevin : la marche haineuse des menteurs et des imposteurs contre le "camp du mal"

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Un communiqué de Riposte laïque :

Ce mercredi 24 mai, à 17 heures, à l'appel de toutes les organisations politiques de gauche, des syndicats et des associations, ceux qui se proclament le "camp du bien", se déroulera une marche dans les rues de la ville. Présentée au départ comme un soutien au maire de Saint-Brevin, dont les voitures et une partie de la maison ont été incendiées il y a deux mois, elle tourne depuis quelques jours à une déferlement de haine contre ce que ces manifestants appellent l'extrême droite, le camp du mal absolu, désignant ainsi les citoyens qui refusent l'invasion migratoire de leurs villages ou de leurs villes, avec toutes les conséquences qu'elle comporte.

La manipulation, qui ressemble sur bien des points à celle de Carpentras, il y a trente ans, est énorme. Les gendarmes chargés de l'enquête n'ont aucun piste, mais font remarquer que l'incendie a eu au moment des grandes manifestations de protestations contre la réforme des retraites, avec des actes de vandalisme sur le Pont de Saint-Nazaire. Mais bien que ne disposant d'aucun élément, comme lors du cimetière juif vandalisé, en 1990, les médias et les politiciens de gauche ont décidé que cet incendie venait forcément de "l'extrême droite", et ils attisent la haine et les demandes toujours plus liberticides contre ceux qui osent défendre leur pays, leur région, leur village.

Pourquoi se gêner, puisque, dans un pas de deux parfaitement au point, le ministre de l'Intérieur, Darmanin, et son préfet de Paris, Laurent Nunez, multiplient les décisions les plus contraires au droit de manifester, en France, en interdisant les rassemblements et colloques de la mouvance patriote. Une nouvelle étape a été franchie, ce dimanche, quand un hommage à Dominique Venner, qui s'est suicidé il y a juste dix ans, a été interdit, sous le prétexte que les intervenants "pourraient tenir des propos appelant à la haine". C'est un délit d'intention, contraire à toute forme de droit, digne des pays totalitaires, qui, s'il se mettait en place, signifierait tout simplement l'impossibilité d'exprimer, pour un parti ou une association, son opposition à la politique migratoire menée par le gouvernement.

Loin de défendre le maire divers droite Yannick Morez, qui va quitter son mandat et son pays, laissant le chaos qu'il a institué dans sa ville avec le Cada près de l'école de la Pierre Attelée, les manifestants, à l'appel du Parti socialiste, viendront à Saint-Brevin pour crier leur haine contre les citoyens français qui redressent la tête, et refusent de se faire grand-remplacer.

Cette marche se déroulera donc sous les auspices d'un gros mensonge et d'une énorme manipulation, ce qui ne dérangera nullement les imposteurs, souvent violents et gavés de subventions, qui défileront dans les rues de Saint-Brevin.
 

10:56 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le rapport Durham confirme la corruption des services de renseignement américains

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Ludovic Lavaucelle dans LSDJ

Le rapport Durham fait peu de bruit en France. Ses conclusions sont pourtant explosives.

Le procureur spécial John Durham était chargé de faire la lumière sur les accusations portées contre le candidat antisystème du Parti républicain qui allait devenir Président. D’après le camp démocrate, alors qu’on était dans la dernière ligne droite de la campagne de 2016, Donald Trump était une marionnette de Vladimir Poutine. Comment ? Les Russes auraient détenu un enregistrement vidéo de Trump à Moscou en compagnie de prostituées qu’ils utilisaient pour faire chanter le candidat avec l’espoir d’avoir un Président américain « à leurs bottes » une fois élu. Les adversaires de Trump se sont servis de ces soupçons pour mettre en cause sa légitimité et le FBI a docilement lancé une enquête dès le début 2017 qui a duré pendant la majeure partie des 4 ans qu’aura passés Donald Trump à la Maison Blanche…

Cette investigation a conclu à l’absence de tout élément pouvant soutenir les accusations.

Mais le rapport Durham ne fait pas que blanchir Donald Trump, précise le rédacteur-en-chef du Washington Examiner (voir l’article en lien). Il démontre que tout avait été orchestré par le clan Clinton à l’été 2016. Hillary Clinton voulait détourner l’attention sur des soupçons de financements illégaux de sa campagne (argent venant précisément de l’étranger). Dès le mois d’août 2016, le Président Obama et Joe Biden (alors Vice-Président) ont été informés par le patron de la CIA des soupçons contre Trump. Le dossier était particulièrement faible et la CIA ne pouvait pas ne pas savoir que les sources étaient biaisées puisqu’elles provenaient exclusivement du camp démocrate. Le FBI a immédiatement pris le relai de la CIA pour l’enquête… L’attitude du FBI a été pour le moins légère dans l’analyse des sources recueillies – comparée à la diligence dont il a fait preuve pour classer les affaires concernant Hillary Clinton. Comble de l’ironie, certaines « sources » de l’accusation semblent liées à la Russie. On peut donc penser que ces années de soupçons à l’encontre de la Maison Blanche ont été une bénédiction pour le Kremlin qui a vu le président des États-Unis empêtré dans des affaires intérieures avec, pour corollaire, une division profonde entre les Américains…

Cette affaire est bien plus grave que le Watergate car elle démontre à quel point l’appareil sécuritaire américain cherche à influencer directement le processus démocratique.

La chute de Richard Nixon avait clos l’ère d’une certaine infaillibilité présidentielle (« ce qu’un Président fait ne peut pas être illégal »). On est loin d’un assainissement de la vie politique américaine puisqu’on comprend aujourd’hui que les services de renseignement agissent en dépit des règles les plus élémentaires qui s’imposent à eux. Une autre preuve de cette dérive a été le dévoilement des liens entre le FBI et les médias sociaux pour faire taire les révélations sur le contenu du portable de Hunter Biden juste avant les élections de 2020…

Les soupçons de corruption s’accumulent sur la famille Biden.

On vient d’apprendre que le patron de la China Merchants Bank a fait un don de 5,5 millions de dollars entre 2018 et 2019 à l’université de Pennsylvanie, au sein de laquelle Joe Biden avait fondé un « think tank ». Ce patron de banque chinois est un membre influent d’un club d’entrepreneurs lié au Parti Communiste Chinois (PCC). Une autre société chinoise, Cathay Fortune, a fait un don d’1 million de dollars en 2019. Cette dernière est un actionnaire important d’une société minière chinoise, la CMOC Group Limited, qui a acheté une mine congolaise avec l’aide d’une firme d’investissement dans laquelle Hunter Biden avait des intérêts… Les relevés bancaires – obtenus et analysés par le comité de surveillance de la Chambre des Représentants – démontrent que la famille Biden a reçu en tout près de 10 millions de dollars en provenance de Chine et de Roumanie alors que Joe Biden était Vice-Président…

Face à des soupçons aussi graves, quelle confiance accorder à des services censés enquêter au nom du peuple américain – puisque leur incompétence, voire leur corruption, est avérée par le rapport Durham ?

L’implication des services de sécurité dans les rouages de la démocratie américaine n’a pas baissé depuis la fin de la Guerre Froide. On peut même parler d’emprise avec l’enchaînement de crises depuis la chute de l’URSS. En 1310, la puissante république de Venise avait mis en place un conseil de sécurité doté de pouvoirs extraordinaires – « les Dix » – à la suite d’un complot visant à renverser le gouvernement. L’état d’urgence allait durer près de 500 ans et une oligarchie de quelques familles puissantes de régner sur une « Sérénissime » en déliquescence… Abandon des élections pour nommer le Doge au XVᵉ siècle, luttes intestines entre clans dirigeants et grandes fêtes de plus en plus folles pour le peuple jusqu’à l’arrivée des troupes napoléoniennes... « Ce qu’on dit être nouveau en ce monde, c’est l’Histoire qu’on ignore » (Harry Truman).

10:48 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

17-18 juin : la Vendée se souvient

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10:45 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À l'occasion de la sortie du livre "Transgression" : Pierre Cassen et Bernard Germain invités jeudi soir au Forum du Parti de la France

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Dans le Forum du PdF du jeudi 25 mai, Alexandre Hinger reçoit Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Bernard Germain (Coordination Partout Callac).

L'émission sera consacrée à leur dernier ouvrage écrit en commun « Transgression… Voyages du camp du bien vers le camp du mal » et traitera également de l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : 

https://t.me/partidelafrance

Commandez le livre Transgression cliquez ici

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Disparition du Professeur Jean Haudry

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Le professeur Jean Haudry est décédé mardi matin à l'âge de 88 ans. Chercheur de renom, il a consacré sa vie et ses études à la civilisation indo-européenne. Il enseigna des années durant à l'université de Lyon III (1966-1998). Il a été aussi l'auteur de nombreux ouvrages de références sur les origines de notre civilisation.

Membre du GRECE, il participa aux lancements des revues Nouvelle école et Éléments. Ami de Pierre Vial, il est intervenu régulièrement aux Tables-rondes de Terre et peuple. Il participa aussi, dans les années 1990, au Conseil scientifique du Front national. À plusieurs reprise, il nous fit l'honneur d'assister à nos journées annuelles de Synthèse nationale.

Roland Hélie

Le site de l'Institut Iliade a publié un bel article sur la vie et la carrière de Jean Haudry  cliquez ici

00:52 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

" Instrumentalisation de Lola sur France 5 : je n’ai jamais vu une émission aussi abjecte "

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Bernard Germain

La première fois, Lola est morte dans des conditions atroces, sauvagement assassinée par une Algérienne en situation de clandestinité. Elle n’avait donc rien à faire sur notre territoire national. De plus elle était frappée d’une OQTF et si cette obligation de quitter le territoire avait été appliquée, Lola serait toujours parmi nous.

Mais comme les frontières du pays ne sont plus surveillées, à cause d’une décision de l’Europe, comme le délit de clandestinité a été supprimé par la « Gôche » (Hollande), comme de multiples associations continuent à œuvre inlassablement à l’arrivée de toujours plus d’immigrés, comme la justice ne protège pas les Français et ne fait pas appliquer les OQTF, tout cela a coûté la vie à une gamine de 12 ans.

Il aurait été logique que la France entière descende dans la rue et manifeste comme cela s’est passé au moment des attentats contre Charlie Hebdo. Parce que Lola ça aurait pu être n’importe quel gosse de France. Alors chacun était en droit de s’identifier aux parents et au calvaire qu’ils enduraient avec le meurtre de leur enfant. Et d’exprimer son dégoût des conséquences de la politique de l’Europe, de la servilité des hommes politiques français qui appliquent cette politique, de l’incroyable fonctionnement de la justice et de l’action de toutes ces associations pro-migrants.

À l’inverse, une véritable chape de plomb est tombée sur notre société. Tout a été fait pour que les français ne puissent pas manifester et exprimer leur indignation ni leur ressentiment face à cet évènement odieux et insupportable. Tous ceux qui osèrent se rassembler pour honorer la mémoire de Lola et dénoncer les causes de sa mort, furent diabolisés. Même le RN, devant l’ampleur de cette campagne, refusa de manifester dans les rues.

Telles furent les conditions de la première mort de Lola et ses suites immédiates.

Dimanche soir, sur France 5 - chaîne de service public payée par nos impôts - s’est déroulé une émission intitulée « La fabrique du mensonge », consacrée à l’affaire Lola.

J’ai beau remuer les souvenirs de toute ma vie, je n’arrive pas à me remémorer une émission aussi abjecte. Son objet n’était nullement de rendre hommage à Lola. Encore moins de dénoncer les coupables de sa mort, à commencer par cette Algérienne (une « déséquilibrée » bien sûr... dixit France 5) mais aussi toute la chaîne que j’ai indiquée qui se termina par cet horrible évènement.

Non, l’objet de cette émission était, à l’occasion du meurtre de Lola, de « dénoncer l’existence d’une fachosphère en France ». En clair, le prétexte fut le meurtre de Lola, mais l’objectif était en réalité une opération politique afin d’affoler les Français avec de prétendus fascistes qui menaceraient le pays.

Peut-on dire plus clairement que Lola a été instrumentalisée à cette occasion pour servir une cause politique et des gens qui ne redoutent pas d’utiliser la mort d’une gosse pour leur propagande délirante et honteuse.

Quelqu’un osera-t-il me dire que ce n’est pas de la « récupération » cette émission de France 5 ? Il se trouve que « la récupération » est l’accusation préférée des bien pensants vis à vis de ceux qui défendent leur pays. Cela ne fait que confirmer l’adage bien connu qui veut qu’on ne critique jamais autant que ses propres turpitudes.

On en a eu une invraisemblable confirmation dimanche soir sur France 5.

Karim Rissouli, le « journaliste » - moi je dirais plutôt le propagandiste en chef -, qui présenta l’émission et anima le débat qui s’est déroulé à la suite, a fait un travail formidable… dans l’abject et la désinformation du public. Un véritable artiste cet homme.

Sa méthode est des plus simples et on la vit tout au long du reportage : « Pas de récupération, ni d’utilisation de la mort de Lola à des fins politiques ».

Hier à l’occasion de chaque attentat islamiste on entendait : « Pas d’amalgame », «Vous n’aurez pas ma haine » et la bonne réaction c’était de mettre des bougies et des nounours… en attendant les prochains morts.

 C’est pour cela que mon ami, Patrick Jardin - dont la fille est morte au Bataclan fauchée par les balles des islamistes - a été traîné dans la boue par tant de collègues bien pensants de Karim Rissouli au motif qu’il est indécent de dire : « jamais je ne pardonnerai ».

On se souviendra au passage qu’Eric Zemmour alors qu’il était allé se recueillir devant le Bataclan en Novembre 2021, fut dénoncé et critiqué par Raquel Garrido - députée LFI - parce que ce geste « empêchait la réconciliation » avec les terroristes du Bataclan. Et bien nous, on ne veut pas se réconcilier avec les terroristes.

Je rappelle que depuis l’affaire Merah en 2012, il y a eu entre 300 et 400 morts en France, tombés sous les balles ou les coups de couteau, d’islamistes. Et plus de 1 000 blessés dont certains estropiés à vie.

Comme Patrick Jardin, on ne va pas oublier et on ne pardonnera jamais.

Lorsque des Français tombent, on manifeste, on honore leur mémoire et on demande des comptes à tous ceux qui en sont les responsables à un degré plus ou moins grand.

Hier, c’était « Pas d’amalgame », aujourd’hui on entend « Pas de récupération », afin de tuer dans l’œuf toute volonté ou possibilité de mobiliser contre les conséquences de l’invasion migratoire. Karim Rissouli, les invités de son débat et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette émission sordide sont dans le camp du « bien ».

Le camp de ceux qui diabolisent les gens comme nous, et nous dénoncent comme étant des « fachos ». Le camp de ceux qui veulent se « réconcilier » avec les terroristes, ceux qui répètent en boucle « Pas d’amalgame », « Vous n’aurez pas ma haine » ou « Pas de récupération ». Ceux qui ajoutent que « l’islam est une religion de paix et d’amour ».

Le moins qu’on puisse dire c’est que l’émission de Karim Rissouli n’y a pas été avec le dos de la cuillère et n’a pas fait dans le détail. Tout le mode y est passé.

Tout d’abord, Samuel Lafont (Reconquête) ainsi que Damien Rieu (Reconquête) pour le travail qu’ils ont fait sur les réseaux sociaux afin d’informer les Français et contribuer à leur mobilisation.

Eric Zemmour lui-même fut vilipendé pour avoir inventé le terme de « francocide ». Tout comme Renaud Camus pour son concept de « Grand remplacement ». Et puis, il y eut le couplet sur les médias d’ultra-droite, CNews et Valeurs actuelles en tête, sans oublier Riposte Laïque, « site complotiste d’ultra droite ». Et puis, Vincent Bolloré l’homme qui consacre tant d’argent pour propager ces idées nauséabondes.

Et puis Cyril Hanouna pour avoir condamné à l’antenne ce meurtre immonde et dit qu’un procès devrait être organisé immédiatement et que cette Algérienne devrait être condamnée à perpétuité. Et puis,… j’arrête là. Je pourrais remplir une page complète.

Arrivé à ce stade, le lecteur pourrait se demander : « comment se fait-il que ces gens « bien pensants » soient à ce point aveugles ? Comment se fait-ils qu’ils nient la simple réalité et le plus élémentaire bon sens ? Comment se fait-il qu’ils diabolisent ainsi quiconque veut dénoncer des faits horribles, tels la mort de Lola ? » La réponse est fort simple et est écrite en toutes lettres sur le site de France Télévisions dans l’article consacré à cette émission : « Quand l’extrême droite récupère ça, elle attaque aussi les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte, où il y a toutes les populations qui sont représentées, qui vit ensemble. »

C’est donc cela la raison de cette émission pourrie : En dénonçant l’assassinat de Lola, l’extrême droite attaque « les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte (…) qui vit ensemble ».

Donc dénoncer le meurtre de Lola, c’est attaquer l’idéologie de ceux qui veulent que les Français vivent ensemble avec ceux qui viennent de l’autre bout du monde et dont certains les assassinent.

L’émission qu’a produite France 5 était donc une émission politique, à la gloire de l’idéologie immigrationniste et du vivre ensemble.

Idéologie qui est responsable de tant de malheurs pour nos compatriotes à travers tout le pays que les journaux relatent quotidiennement. Voilà ce qu’est devenu le service public dans le domaine des médias : une machine de propagande politique « bien pensante » qui intoxique chaque jour les Français et les désinforme.

Dimanche soir, avec son émission, France 5 a tué une seconde fois Lola, au nom de la bien pensance et de l’immigrationnisme, en « récupérant » le meurtre d’une enfant de 12 ans à des fins politiques. Odieux et ignoble…

00:09 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 mai 2023

Jean-Dominique Michel : « L’évolution de notre société à travers le Covid »

Si la crise n'était pas sanitaire (létalité égale à celle de la grippe annuelle), comment expliquer ce qui nous est arrivé et continue sous d'autres formes (guerre, énergie, climat) ?
Après être resté très longtemps prudent à ce sujet, je me risque à avancer certains éléments de réponse et de formuler certaines hypothèses…

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12:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 mai 2023

Viande Halal obligatoire dans une cantine d’un collège de Bordeaux ?

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Michel Festivi  

Le collège Emile Combes de Bordeaux a proposé, comme plat principal, sans aucune autre alternative, un sauté de bœuf halal.

La porte-parole de l’association des Parents vigilants en Gironde s’en est indignée : « On bafoue le principe de la laïcité et c’est assumé », a-t-elle proclamée. Effectivement dans un collège qui porte le nom du Pape de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, c’est d’autant plus choquant.

Mais on est habitué « au deux poids deux mesures », et l’on sait que tous les coups sont permis et réservés au catholicisme uniquement.

Le département de la Gironde a, comme il fallait s’y attendre, déploré « une erreur de communication du logiciel Pronote », c’est bien entendu la faute de l’informatique ! Il prétend qu’il y aurait aussi au menu de nos chères têtes blondes « des aiguillettes de poulet », selon l’article du Figaro du 21 mai 2023.

On rappelle que la méthode halal d’abattage « consiste en un large égorgement de la trachée jusqu’à l’œsophage de l’animal ». Or ne serait-ce qu’au niveau de la sacro-sainte souffrance animale, cela n’est pas sans poser certaines difficultés. L’institution publique cautionnerait-elle la souffrance animale ?

En effet, en principe le critère halal n’admet pas l’étourdissement de l’animal préalablement à sa mise à mort.

Une députée UDI en 2020 s’en était inquiétée et avait posé une question au ministre de l’Agriculture (Question N° 27093 du 3/3/2020.) Ce dernier y a répondu en précisant que « conformément (à la réglementation européenne), l’étourdissement des animaux est obligatoire. »

Mais bien évidemment, il existe une exception s’agissant « du libre exercice des cultes ». Cela nécessite un abattage dans un établissement agrée : « respectant l’ensemble des mesures en matière de bientraitance animale ». La contradiction de cette exception n’a visiblement pas interpellé nos éminentes élites européennes, ni le ministre. Car comment peut-on respecter la « bientraitance animale », sans étourdir l’objet de l’égorgement ? C’est mutadis mutandis comme si l’on opérait un individu sans anesthésie, à vif.

Le ministre s’est aussi répandu sur les mesures qui doivent être prises pour la sécurité alimentaire, car l’on sait que ce type d’abattage favorise les contaminations bactérielles, comme l’avait soulignée la députée dans sa question.

Dans un livre datant de 2017, intitulé, Le marché halal ou l’invention d’une tradition, Le Seuil, Florence Bergeaud-Blackler avait mis en exergue « l’invention d’un marché » et « l’invention d’une norme » faisant apparaître des luttes stratégiques et économiques d’importance entre divers acteurs du monde islamique, tels les frères musulmans, certains états, ainsi que les pouvoirs publics.

Selon cette chercheuse du CNRS, ce sont les conceptions fondamentalistes qui ont fini par s’imposer.

Et c’est bien là tout le problème.

18:36 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alexandre Havard : " LE GRAND COMBAT ARRIVE"

interview entière ici

D'origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Juriste de formation, il a exercé le métier d’avocat plusieurs années avant de se consacrer au développement du système de Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.

« Je pense que la société va vers un chaos total provoqué par ces manipulateurs, mais qu’il y a d’autres personnes au-dessus d'eux qui veulent ce processus pour se présenter comme des “sauveurs”, poursuit Alexandre Havard. Ces “sauveurs” sont très différents, ils ont l’air bons, ils ont l’air capables, ils sont très attrayants. Ce sont les plus dangereux. Beaucoup de gens regardent les manipulateurs, mais pas ceux qui viendront après. C’est là que sera le grand combat. »

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18:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

INTERDICTION DU COLLOQUE DE L'ILIADE : LE RÉCIDIVISTE DE LA PLACE BEAUVAU PERSISTE

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Il fallait oser... il l'a fait. Darmanin, le petit monsieur qui sert actuellement de ministre de l'Intérieur, était vexé car, la semaine dernière, il avait été ridiculisé par l'annulation de son interdiction de la commémoration de la Fête nationale de Jeanne d'Arc par l'Action française cliquez ici. 

Après avoir sans doute ruminé sa vengeance toute la semaine, il a récidivé dimanche en interdisant au dernier moment le colloque de l'Institut Iliade. Colloque organisé à Paris pour commémorer le dixième anniversaire de la mort de Dominique Venner et qui, comme chacun peu l'imaginer, était de nature à renverser la République...

Décidément, après Valls et autres Cazeneuve hier, on croyait en avoir fini avec les apprentis Staline. Mais, force est de reconnaître que, une fois de plus, le pire est toujours à craindre. Avec Darmanin, un pas vient d'être franchi vers l'abolition de nos Libertés... 

Ces interdictions infondées montrent la vraie nature du régime Macron. Celui d'une dictature (au visage poupin certes) aux abois. En effet ces domestiques zélés du mondialisme que sont les gouvernants actuels de la France ne savent plus quoi inventer pour masquer leur catastrophique faillite politique, économique, sociale et sociétale. Ils n'ont plus que la solution dite "du bouc émissaire", qui a fait ses preuves en d'autres temps... Et le bouc émissaire d'aujourd'hui, c'est la Résistance nationale et identitaire... 

Pendant ce temps, dans toute la France, les racailles, les Blacks blocs, les antifas, les bandes de dealers sèment la terreur et la mort... Le bilan de cette fin de semaine est édifiant mais de cela, Darmanin s'en moque éperdument puisqu'il a sauvé la démocratie en interdisant le colloque de l'Iliade. Pauvre petit monsieur...

Il est vraiment temps d'en finir avec ces fossoyeurs patentés qui détruisent à longueur de journées notre nation et notre civilisation. Un jour viendra où ils devront rendre des comptes... 

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22 mai 1988 : disparition de Giorgio Almirante

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Source Jeune nation cliquez ici

Giorgio Almirante nait le 27 juin 1914 à  Salsomaggiore en Émilie-Romagne. Il vient d’une famille d’acteurs et de patriotes.

A Turin, il  passe sa maîtrise de lettres en 1937, avec un mémoire sur la lecture de Dante au XVIIe siècle. Parallèlement à ses études, il commence une carrière de journaliste, collaborant au quotidien fasciste Il Tevere (Le Tibre), où il travaille jusqu’en 1943, date à laquelle il en est le rédacteur en chef.

Il est signataire en 1938 du Manifeste sur la race, il est secrétaire de rédaction jusqu’en 1942 de la revue La défense de la race.

Après avoir pris part à la Campagne d’Afrique du Nord, Almirante adhère à la République sociale, créée au lendemain de l’armistice du 8 septembre 1943. Il passe à Salò et s’engage dans la Garde nationale républicaine avec le grade de capomanipolo. D’abord chef de cabinet du ministre de la Culture populaire de Mussolini, il devient lieutenant de la brigade noire dépendant de ce même ministre. C’est dans les rangs de cette entité qu’il va lutter contre les résistants, notamment en Val d’Ossola et dans la région de Grosseto.

Giorgio Almirante passe dans la clandestinité, du 25 avril 1945, date de l’armistice définitif, jusqu’en septembre 1946.

Le 26 décembre 1946, il participe à Rome à la création du MSI, qu’il dirige jusqu’en 1950, puis à nouveau de 1969 à 1987.

Il entre à la Chambre des députés dès la première législature en 1948 et est systématiquement réélu jusqu’à sa mort.

Pendant sa longue permanence à la tête du MSI, Almirante sut faire valoir sa personnalité posée et consensuelle, indispensable dans un parti au sein duquel, surtout après la fusion avec les royalistes en 1971, militent des personnalités aux origines politiques extrêmement diverses et aux caractères tout aussi variés. Il est l’artisan de ce qui a été défini comme la « politique du costume croisé », à mi-chemin entre l’héritage fasciste et l’ouverture sur le système.

Au début des années 1970, par respect pour la discipline de parti, il s’exprime contre l’introduction du divorce. Sa position d’ouverture avait en effet été mise en minorité au sein du MSI pendant les discussions. Lui-même bénéficiera des possibilités offertes par la loi Fortuna-Baslini pour divorcer de Gabriella Magnatti, sa première femme, et se remarier avec Assunta Stramandinoli, veuve du marquis de Médicis mais qu’il a connue à l’époque où ils étaient encore mariés.

En 1972, grâce notamment à la fusion avec le parti royaliste (PDIUM), le MSI obtint son meilleur score aux élections législatives sous l’étiquette MSI-Droite Nationale, avec 56 députés et 26 sénateurs.

Devenu le principal symbole de la droite anti-communiste, Almirante est souvent attaqué par les forces de gauche, et notamment celles d’extrême-gauche, qui l’accusent entre autres d’avoir été un « fusilleur » sous la République de Salò. Almirante répondit à ces accusations par procès et par la publication d’un livre, Autobiographie d’un fusilleur : « Un titre doublement menteur puisque ce n’est pas une autobiographie et que je ne suis pas un fusilleur ».

Le Procureur général de Milan de l’époque décide alors de demander à la Chambre l’autorisation d’engager une procédure contre lui pour tentative de reconstitution du Parti Fasciste. Celle-ci est accordée le 24 mai 1973 mais l’enquête ne débouche sur rien et l’affaire est classée.

Vers la fin des années 1970, en pleine crise du terrorisme, les fameuses Années de plomb, Almirante prend parti pour le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes reconnus coupables d’assassinat.  Il s’oppose aussi à la légalisation de l’avortement en Italie.

Son état de santé le contraint en 1987 à abandonner la direction du parti à son dauphin Gianfranco Fini, alors secrétaire du Front de la Jeunesse du MSI. Ce choix revenant à couper les ponts avec le passé, car « personne ne pourra traiter de fasciste quelqu’un né après-guerre. » Fini dira de lui qu’il était « un grand Italien » et « le leader de la génération qui a refusé de se rendre. »

Il meurt à Rome, le 22 mai 1988, après une opération subie à Paris.

La cérémonie de ses obsèques se tient à Rome, dans l’église de la piazza Navona. Il est inhumé au cimetière communal de Campo Verano de Rome.

Sur Giorgio Almirante et le MSI :

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11:54 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 mai 2023

Eric Zemmour invité du Grand Jury RTL, LE FIGARO, LCI

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18:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les migrants dans les châteaux, mais une famille française de 5 enfants à la rue

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Bernard Germain

Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.

Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.

Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.

Ceux qui sont prioritaires, ce sont des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, qui n’ont jamais cotisés et dont la plupart ne travaillent pas, vivant d’aides et de prestations sociales.

Cette histoire tragique m’en rappelle une autre. J’avais écrit un article à ce sujet : cliquez ici

Il s’agissait d’une famille française, en Bretagne à Ploërmel, qui travaillait et par honnêteté avait accepté de quitter le logement qu’elle occupait avec ses quatre enfants pour satisfaire la demande du propriétaire de récupérer son bien, mais sans prendre la précaution la précaution d’avoir un nouveau logement avant de déménager.

Résultat : obligée de vivre sur un terrain déclaré insalubre dans une caravane. Pourquoi ? parce que tous les logements sociaux sont attribués en priorité aux migrants, dont il faut « prendre soin ». Alors, il n’y avait pas de logement pour eux qui payent des cotisations sociales et qui venaient de recevoir la médaille de la famille par le maire de leur commune.

Je peux également citer un autre article que j’avais écrit sur un problème similaire. cliquez là

Là il s’agissait d’un homme vivant à Paris. Victime d’un accident du travail il avait perdu son logement et s’était retrouvé à la rue. Oui, ... SDF pour cause d’accident du travail.

Après 2 ans passés hiver comme été dans la rue, il s’était rétabli et pouvait à nouveau travailler. Mais il avait un problème. Pour signer son contrat de travail il lui fallait une adresse. Donc impossible de retrouver du travail.

Sauf que pas de travail implique une absence de ressource. Donc personne ne voulait lui louer un bien immobilier. Une histoire de fou, lui interdisant de retrouver une vie normale et de quitter la rue. Vous me direz peut-être : « Il y a des services sociaux qui peuvent le loger et le sortir de sa situation d’extrême pauvreté ».

Oui, vous avez raison. Mais cet homme a fait le tour de tous les services. La réponse était invariablement la même : « Vous n’êtes pas prioritaire. Ce sont les migrants qui le sont ». Donc, il n’y a rien pour eux.

Trois histoires. Trois situations identiques.

Des personnes qui ont travaillé ou travaillent depuis de longues années. Donc qui ont cotisé ou cotisent.

Un problème survient et l’enfer leur tombe sur la tête. Ils se retrouvent dans la précarité, abandonnés par l’État et tous les services sociaux.

L’État… parlons-en. Il ne fait rien pour ces français, il les abandonne et au fond n’en a rien à faire.

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Par contre les migrants, ça c’est important. Le château ci-dessus, situé à Saint-Jean-le-Vieux (01)est classé aux monuments de France. C’est dans ce château que le préfet de l’Ain va héberger des migrants. Les habitants sont furieux, le maire se dit impuissant face à la décision de la préfète. Là, on touche le fond.

Des migrants dans un château classé monument historique. Tandis que les français, sont à la rue, sur un terrain insalubre ou sur un parking de super marché s’ils rencontrent le moindre problème. Quelle honte !

Il est urgent d’arrêter cette immigration folle et d’obliger les délinquants, OQTF et autres indésirables à quitter notre territoire dans les meilleurs délais.

Quant aux français il faut appliquer la préférence nationale, c’est à dire leur donner la priorité pour tout ce qui relève du social, notamment l’accès aux logements sociaux.

Si on arrive à en finir avec la misère en France, il sera toujours temps de s’occuper du reste du monde. En attendant, il est insupportable de constater l’existence de cas comme ceux que je viens de mentionner. Ce ne sont que trois exemples. Combien sont-ils comme eux dans toute la France ? C’est un vrai scandale.

12:13 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Europe, civilisation des libertés

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Un communiqué de l'Iliade :

Le Préfet de Police, sur ordre du ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin, veut interdire à Paris, par arrêté, un événement culturel organisé par l’Institut Iliade.

L'Iliade défend la civilisation des libertés, la civilisation européenne, et attend la réponse du tribunal administratif saisi afin de faire valoir ses droits et les libertés publiques.

Consacré à Dominique Venner, écrivain et historien, mais aussi éveilleur, qui n’a cessé de mettre en garde la population des « périls immenses pour notre patrie française et européenne » à venir, ce moment d’hommage à une personnalité reconnue est prévu aujourd’hui 21 mai à 15 heures, Pavillon Wagram à Paris.

L’Institut Iliade, organisme de formation de la jeunesse qui œuvre à une meilleure connaissance de l’histoire, des valeurs et de la culture de la civilisation européenne, fait sienne la devise de Guillaume d’Orange, « nous maintiendrons ».

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11:52 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |