Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 26 octobre 2023

Iran, la répression des mollahs et autres fous du hijab s’amplifie dans l’indifférence totale des pays occidentaux et dans le silence absolu des islamogauchistes.

0702466474924-web-tete.jpeg

Michel Festivi 

La terreur en Iran continue. Le 1er octobre dernier, une lycéenne de 16 ans qui ne portait pas le voile obligatoire en république islamique a été prise à partie, dans le métro de Téhéran, par la police des mœurs. La malheureuse est aujourd’hui en état de mort cérébrale.

Depuis le décès, l’an passé, de Mahsa Amini, maltraitée aussi par la même police, la répression après avoir un temps ralenti, a repris de plus belle. Il y a quelques jours deux journalistes qui avaient couvert ce tragique assassinat viennent d’être condamnées à 7 et 6 ans de prison, elles sont d’ailleurs détenues depuis un an.

Les chefs d’inculpation sont à la mesure d’un état totalitaire soviétique, chinois ou coréen du nord : Coopération avec les USA, complot contre la sécurité du pays et propagande contre la république islamique. On se croyait revenu au temps des procès de Moscou, ou devant le Tribunal du Peuple du sinistre Roland Freisler, lorsque les accusés étaient pendus à des crocs de boucher.

Être avocat en Iran est singulièrement dangereux. L’avocat de Mahsa Amini a été condamné à un an de prison pour « propagande » contre l’État après « s’être entretenue avec des médias étrangers et locaux sur l’affaire. » En Chine, les avocats sont des sortes de procureurs et plaident contre l’intérêt de leurs clients, demandant sa condamnation. Communisme et islamisme ont toujours fait bon ménage.

Mercredi dernier, les autorités iraniennes ont annoncé qu’au moins douze actrices, douze comédiennes seront désormais interdites de travailler, pour être apparues en public sans porter le hijab obligatoire, car « celles qui ne respectent pas la loi, ne sont pas autorisées à travailler » a déclaré le ministre de la Culture et de l’orientation islamique, cela ne s’invente pas, le sinistre Mohammad Mehdi Esmaeili.

Cela a été confirmé par un responsable cinématographique, Habib Il Beigi « elles ne peuvent plus tourner dans un nouveau film ». Effectivement de nombreuses actrices ont été vues têtes nues sur les réseaux sociaux, suite au mouvement de contestation de septembre 2022, après la mort de Mahsa Amini.

Et chez nous, des femmes ne supportent pas de ne pas porter le voile, notamment dans le sport ou à l’école. A mon sens un séjour en Iran ou en Afghanistan leur seraient plus que profitable. Madame Obono, qui vient d’être nommée à la Cour de Justice de la République a considéré que le Hamas n’est pas une organisation terroriste, du moins a-t-elle refusé de le qualifier ainsi, alors que soutenu par l’Iran, il n’avait pas hésité à massacrer atrocement des femmes, des vieillards et des enfants, mais cela n’est pas du terrorisme !

En république islamique, on suit la loi de l’islam, on se doit de porter le voile, sinon on va en prison, ou l’on est interdit de travail, de moyen de ressources, on est alors considéré comme une citoyenne de seconde zone, il faut dire que de nombreuses sourates du coran organisent l’apartheid entre hommes et femmes et entre croyants et incroyants. En France bientôt aussi...Notre ministre de l’intérieur lui, « s’amuse » et dénonce les tweets d’un footeux, c’est l’arbre qui cache la forêt. Pendant ce temps aussi les réseaux Fréristes étendent leur toile inexorablement, avec l’appui de nos institutions nationales et européennes.

12:22 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 octobre 2023

Octobre 1956 : l'insurrection de Budapest

311712743_507457464729290_6186583577441161230_n.jpg

En 2016, pour marquer le 60e anniversaire du soulèvement nationaliste hongrois, Synthèse nationale a publié le texte intégral en deux volumes du livre de David Irving, Insurrection Budapest 1956, le cauchemar d'une nation. Ces deux tomes sont toujours disponibles.

COUV 2016 11122254.jpg

Le premier volume cliquez ici

COUV 2016 2225588.jpg

Le second volume cliquez là

19:02 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Patrick Jardin sur le site Réseau Libre

B9730825584Z.1_20220506122137_000+GQGKEHKGO.1-0.jpg

Notre Ami Patrick Jardin vient de donner un entretien à notre confrère Réseau libre cliquez ici. Nous la reproduisons bien volontiers.

S N

Patrick Jardin bonjour!

Vous inaugurez la rubrique “interviews” de Réseau-Libre, qui donnera la parole à des “figures” de la “fachosphère” comme les désignent nos ennemis; une appellation qui ne nous déplait pas. Tout le monde vous connait, hélas peut-on dire, à travers l’assassinat de votre fille par des musulmans au Bataclan. Nous connaissons votre combat courageux et honorable mais voudrions avoir votre opinion sur la situation générale en France et son évolution.

Je suis très honoré d’être le premier à inaugurer votre rubrique “interview” après la censure récente sur Cnews cela me remet un peu de baume au coeur….

Comment décririez-vous la situation générale de la France, en quelques mots?

Vous ne serez pas surpris si je vous dis que la situation de la France notre merveilleux pays est dans une situation catastrophique depuis l’avènement de Macron ce pays fonce dans l’abîme plus aucun secteur ne fonctionne: Inutile ici de parler de la dette abyssale qu’il a créé dont je pense nous nous remettrons jamais car nous n’arrivons même pas à payer les intérêts de la dette ….et ce qui me préoccupe encore plus c’est que les détenteurs de notre dette sont les pays du golf ce qui fait qu’à plus ou moins brève échéance nous serons à leur merci!Il faut savoir que la France est en position de dépôt de bilan.

Concernant le pouvoir d’achat il ne fait que de baisser deux causes apparemment évidentes:

1° le prix du pétrole qui ne fait qu’augmenter alors que le prix du baril est quasiment stable,

2°le prix de l’électricité par la faute de Macron et du ministre de l’économie (vous savez celui qui a du mal avec son salaire de ministre d’acheter des paquets de pâtes pour ses 4 enfants et qui déclare vouloir mettre par terre l’économie Russe (vous me direz qu’il a aussi avant d’être ministre déclaré que Macron était un bon a rien et que son programme était »vide mais ça c’était avant d’être ministre) qui a d’abord supprimé nos centrales nucléaires alors que nous avions l’électricité la moins cher du monde et a accepté les désidératas de L’Allemagne qui elle se fout complètement de l’écologie et produit de l’électricité avec du charbon et qui nous a obligé à accepter d’aligner le prix de l’électricité sur le prix du gaz de la voix même de mon ami Loïc Le Floch Prigent.

C’est une énorme connerie excusez moi du terme. Conjointement à cela l’Europe nous oblige à revendre une part de notre électricité aux autres pays Européens et d’en racheter à un prix supérieur à ces mêmes pays. C’est l’accord qu’à signé notre Beethoven de l’économie contre tous les principes, c’est à dire vous devez vendre 100 et vous devez racheter 120 belle performance, il faut être complètement con pour signer un tel accord!

Je comprends mieux le financement de la campagne de Macron par Rotschild, ils étaient pressés de se débarrasser d’une telle nullité ce mec est FOU!

La police est démobilisée et est soit en grève soit en prison, la délinquance est partout avec environ 3 homicides par jour, et 353600 coups et blessures par an soit environ 1000/par jours et d’année en année ces chiffres progressent d’environ 10%. A mettre en rapport avec l’augmentation des flux migratoires qu’on le veuille ou non (500000/an) et le remplacement de la population.

L’armée est sous armée de sorte qu’elle n’a pratiquement plus de munitions et qu’en cas d’agression l’agresseur quelqu’il soit serait à Paris en 48 Heures mais c’était déjà le cas du temps de Hollande, Macron en diminuant les crédits de l’armée n’a fait qu’amplifier le problème (voire le Général Devilliers).

Notre système de santé qui était un des meilleurs du monde n’est plus que l’ombre de lui même.

Bref notre pays qui était en tête des puissances mondiales est en train de chuter dangereusement, ne représente plus une grande puissance mondiale si chère à De Gaulle, se situe au rang des pays du tiers monde et je ne vois vraiment pas comment nous allons pouvoir nous en sortir….

Par ailleurs je trouve très dangereuse la façon dont Macron subventionne l’Ukraine (comme d’habitude avec notre argent et sans nous demander notre avis)je trouve cela très dangereux car cela fait de la France l’adversaire déclaré de la Russie et de M.Poutine et je pense sincèrement qu’il n’est vraiment pas nécessaire d’engager notre pays dans un conflit qui ne nous regarde pas et surtout sans demander l’avis des Français!

Lire la suite

18:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les petits plaisantins d’Allah-qu’elle-est-bien-bonne !

560x315_sc_moretti.jpeg

La chronique de Philippe Randa

« Petits plaisantins » : qu’en termes si gentils, si doux, presque cajoleurs, sont ainsi désignés les instigateurs des fausses alertes à la bombe qui se multiplient plus vite encore ces temps-ci qu’un coronavirus. Par qui ? Mais par « la » grande gueule du gouvernement, le guère aimable habituellement Éric Dupont-Moretti, Garde des Sceaux durant ses heures de bureau et pourfendeur de fachos le reste du temps (sachant que pour lui, le fascisme commence à la droite de François Bayrou).

Pourquoi minimiser ainsi ceux qui – tous gamins, assure-t-on – n’agiraient que pour « passer le temps » et « rigoler un coup dans ce monde de brutes » ?

« Aucune des personnes interpellées ne revendique un quelconque positionnement politique », nous assure France Info… Fort bien… et certains des interpellés ont seulement « des antécédents judiciaires », mais aucun n’a « été condamné pour des faits similaires » : on est content de le savoir.

On respire… pour l’avenir de ces petites canailles aussi, puisqu’ils sont tous mineurs (et de sexe mâle) : la Justice n’ayant donc guère de possibilités de leur infliger de trop douloureux châtiments, gageons qu’elle se rattrape sur le portefeuille de leurs parents car comme bon-grand-papa-Dupont-Moretti l’a expliqué aux micros de RTL : « Ce sont les parents qui vont payer les conséquences financières ! »

T’as qu’à croire, Grégoire : si les « polissons » (courbons-nous au même vocabulaire de bisounours que le Garde des Sceaux) sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, sans doute ! Peut-être ! Pourquoi pas ! Et tant mieux ! Leurs géniteurs n’avaient qu’à mieux les élever, n’est-ce pas ?

Mais étonnamment, aucune mention n’est faite de l’origine sociale des boutonneux de la « poilade » à la fausse alerte. Quant à leur origine ethnique, il est, comme on le sait, interdit en France de poser la question qui serait pour beaucoup une réponse en soi.

Ce qui est étonnant, également, c’est que personne ne s’interroge sur la possibilité que ces fausses alertes à la bombe à répétition finissent par lasser, surtout avec leurs conséquences financières… et qu’on finisse par y prêter moins, puis plus du tout d’attention au point de relâcher la surveillance, puis de ne plus donner d’ordre d’évacuation des bâtiments ou autres lieux bondés de monde…

Ce qui contrarierait certes les « petits plaisantins d’Allah », mais pas plus que cela les auto-proclamés guerriers du prophète… Vous savez, ceux qu’on appelle les Fous d’Allah !

Ou ces « résistants », suivant affinités !

EuroLibertés cliquez ici

Rappel : Poitiers demain, le roman culte de Philippe Randa vient d'être réédité...

2023 10 POITIERS DEMAIN.jpg

Pour le commander cliquez ici

17:45 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ne jamais les oublier...

44805807_2246868108877176_5685235762899976192_n.jpg

16:16 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 octobre 2023

Nature et actions du Hamas : Établir un état islamique mondial par la terreur généralisée.

-132935.jpeg

Michel Festivi 

On est toujours trahi que par les siens, c’est bien connu. Le Hamas n’échappe pas à la règle. Grâce à un journal espagnol de droite, El Debate, on y apprend que le fils du chef de cette organisation terroriste, Mosab Hassan Yousef, a fui sa famille quand il a vu comment se comportait ce ramassis de tueurs patentés.

Dans ses déclarations, faites sur Fox news, reprises donc par El Debate, il précise qu’il s’est expatrié aux USA et qu’il s’est converti au catholicisme. Pour lui, le Hamas n’a que faire de la vie humaine, ni des palestiniens, sauf à être aveugle et sourd et d’une mauvaise foi insigne on s’en était aperçu.

Il relate avoir vécu au sein même des tueurs du Hamas, de les connaître parfaitement, il était de surcroît traité comme un prince en tant que fils du chef. Il fut le témoin de leurs crimes contre d’autres palestiniens, notamment en 1996.

Pour lui, le Hamas n’est pas un mouvement national. « C’est un mouvement religieux avec pour objectif d’établir un état islamique, le nationalisme lui importe peu, de fait ils sont même le contraire d’un nationalisme. Ils utilisent la cause palestinienne seulement pour réaliser leurs objectifs qui est de transformer le Moyen-Orient puis le monde en un état islamique ».

Car au-delà du Hamas, il y a l’Iran en point de mire. « Le Hamas sert les intérêts de l’Iran. Nous devons libérer Gaza du Hamas. Israël fait pour le peuple palestinien la meilleure action en tentant de renverser le Hamas. »

Voilà qui pourrait servir de réflexions à nos Nupes et à Madame Obono, mais j’en doute fort. L’extrême gauche française en acceptant de se compromettre avec l’islamisme s’est pris elle-même à son propre piège. Elle est électoralement acculée à soutenir les pires idéologies islamo-gauchistes si elle veut conserver sa clientèle et ne pas sombrer. Elle confond cause palestinienne et islamisme radical et n’a pas vu ou ne veut pas voir que désormais les Chefs palestiniens sont englués dans l’islamisme le plus total, et c’est la surenchère.

En tout cas, l’hydre islamiste se répand comme une trainée de poudre, et en orient et en occident. C’est effectivement comme le communisme essayait de le faire il y a des lustres. A cet égard l’excellent article paru dans le Figaro magazine de Michel Onfray, a un titre trompeur, comme l’ont relevé de nombreux commentateurs. L’islamisme n’est pas du tout un fascisme, pour les mille raisons qui ont été exposées, mais bien une tentative d’arriver par la contrainte à un gouvernement mondial, un califat planétaire, exactement comme le communisme avait tenté de le faire après 1945.

On ne brisera cette tentative hégémonique qu’en comprenant et analysant l’islam. Pour cela il faut lire et disséquer le coran. En 1934, le Maréchal Lyautey avait exigé de ses officiers qu’ils aient lu Mein Kampf, et pour cela avait demandé à un éditeur de droite de le traduire et le diffuser, c’était selon lui la condition sine qua non pour lutter contre hitlérisme. C’est la même chose aujourd’hui avec l’islam. Si on veut démontrer sa volonté prosélyte mondiale il faut l’avoir lu, car tout y est dit explicitement. Il faut arrêter avec les « pas d’amalgames et l’islam ce n’est pas ça ».

Pendant ce temps, en Iran, une jeune fille qui refusait le port du voile et qui a été frappée par des gardiennes de la révolution est en état de mort cérébrale. Mais de cela les sportifs, les footeux, les artistes engagés, les nupes et autres LFI s’en fichent comme de leur première chemise. D’ailleurs on ne les a pas entendus. Et pour cause.   

23:51 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il arrive ! Le très attendu n° hors série de Synthèse nationale consacré aux conséquences dramatiques de l'immigration incontrôlée

SN HS 7 COUV CATALOGUE.jpg

Ce numéro hors-série, réalisé sous la direction de Didier Lecerf, aborde les thèmes que nous devions développer le 15 octobre si notre Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge annuel s'était déroulé comme prévu. Malheureusement, comme nous vous l'avons expliqué cliquez ici, cela n'a pas été possible.

Faute de pouvoir nous exprimer verbalement, nous le faisons donc par écrit dans ce hors-série. Vous êtes très nombreux à l'avoir commandé et nous vous en remercions. Cela prouve l'attachements de nos lecteurs à nos publications. C'est un formidable encouragement pour le combat que nous menons...

De plus, pour ne rien arranger, un incident technique est venu retarder de quelques jours la parution. Nous avons presque imaginé que le sort s'acharnait contre nous... Mais les choses sont enfin rentrées dans l'ordre et nous avons le plaisir d'annoncer à ceux qui l'ont commandé qu'ils vont très vite le recevoir chez eux. Enfin...

Pour ceux qui ne l'ont pas encore commandé cliquez là

2019 03 codreanu pub 3 copie 5.jpg

 

10:17 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 22 octobre 2023

Marseille : le sénateur Stéphane Ravier (Reconquête) en immersion dans un Centre de migrants !

téléchargement (1).jpeg

17:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 21 octobre 2023

« La Perruque » bientôt à la Maison rose ?

0902485447536-web-tete.jpeg

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Le 22 octobre prochain va se dérouler en Argentine un scrutin présidentiel. Après un mandat chaotique de quatre ans miné par une inflation annuelle de 125% et un taux de pauvreté avoisinant les 50% de la population, l’actuel chef de l’État, Alberto Fernández, péroniste de centre-gauche, ne se représente pas. L’ancienne présidente péroniste de gauche de 2007 à 2015, Cristina Kirchner, qui est la vice-présidente, passe elle aussi son tour. Rappelons qu’en 2023, le péronisme a perdu tous ses axes fondamentaux et occupe tout le champ politique, de l’extrême gauche à la droite radicale sans oublier le centrisme. On attend cependant un écologisme péroniste ou un péronisme écologique…

Le candidat des dirigeants sortants est l’actuel ministre de l’Économie, Sergio Massa. Face à lui, le vieux parti Union civique radicale en coalition avec d’autres formations présente Patricia Bullrich, ministre de la Sécurité (de l’Intérieur si l’on veut) de 2015 à 2019 sous la présidence du libéral Mauricio Macri. Myriam Bregman porte les couleurs du Front de Gauche et des Travailleurs. Quant à l’actuel gouverneur de Córdoba, Juan Schiaretti, il incarne un centre-gauche modéré anti-kirchnériste et mécontent de la politique erratique de Macri. Mais ces quatre candidats à la « Maison rose », le siège de la présidence, craignent un cinquième que la presse surnomme « El Peluca » (« la Perruque ») en raison de sa coiffure excentrique : Javier Milei.

Aux élections primaires, obligatoires et simultanées du 13 août dernier, Javier Milei est arrivé en tête avec 29,86%. Ce député fédéral de Buenos Aires élu en 2021 met chaque mois à la loterie son indemnité parlementaire de 350 000 pesos (environ 2 900 euros). Les chaînes de télévision retransmettent en direct l’événement. C’est en 2014 que les animateurs radiophoniques et de télévision ont commencé à inviter cet économiste qui aborde la situation économique et politique du pays. Sa franchise et ses coups d’éclats verbaux en font vite une vedette médiatique.

Né dans la capitale argentine en 1970 d’un père chef d’entreprise de transports et d’une mère au foyer, Javier Milei s’essaye d’abord au football, puis au rock avant de suivre des cours d’économie et de décrocher un diplôme. Dans un pays où l’héritage interventionniste péroniste demeure fort présent dans les esprits, Milei se veut iconoclaste. Ce lecteur attentif de l’« École de Vienne » (Hayek par exemple) aime dénoncer la « caste politicienne parasite ». Ainsi prône-t-il la libération de l’Argentine ou, plus exactement, sa « libéralisation » : réduction draconienne des dépenses publiques, baisse massive des impôts, suppression des ministères de l’Éducation, de la Santé, de la Condition féminine, des Travaux publics et du Développement social, abandon de la gratuité de l’instruction, dissolution de la Banque centrale argentine, fin du contrôle des changes, arrêt du protectionnisme économique et recours au libre-échange total. Si Javier Milei se réclame du président faussement péroniste Carlos Menem (1989 – 1999), il apprécie beaucoup ce grand humaniste d’Al Capone. Il déteste en revanche le « pape » Bergoglio en qui il voit un fourrier du communisme.

Plus que libéral, Javier Milei est en réalité libertarien. Les Européens connaissent mal cette pensée politique. En 1988, Pierre Lemieux publie aux PUF dans la célèbre collection « Que sais-je ? », n°2406, L’anarcho-capitalisme, c’est-à-dire la théorie d’une société sans aucun État dans laquelle toutes les relations humaines dépendraient du contrat et du droit. En 2009, Sébastien Caré sortait encore aux PUF dans la collection « Fondements de la politique » La pensée libertarienne. Genèse, fondements et horizons d’une utopie libérale. Pour cet auteur, les libertariens quittent le milieu conservateur et tombent à gauche. Dans les faits, en minarchiste fidèle à l’enseignement de Murray Rothbard, d’Ayn Rand et de Robert Nozick, Milei conçoit un « État minimal » réduit à ses seules fonctions régaliennes. Ainsi veut-il la liberté du port d’arme, la vente des organes humains, la légalisation de toutes les drogues. Il ne s’oppose ni au mariage pour tous, ni au changement de genre à la condition que cela ne coûte rien aux finances publiques. Il propose la dollarisation de l’économie. Le dollar des États-Unis remplacerait le peso et deviendrait la seule monnaie officielle. En revanche, ce climatosceptique avéré rejette l’avortement et le féminisme. Pourtant, il a choisi pour la vice-présidence la députée Victoria Villarruel accusée de nostalgie envers la junte militaire (1976 – 1983). Âgée de 50 ans, Karina dirige d’une main de fer la campagne de son frère si bien que de mauvais esprits la décrivent comme la véritable cheftaine…

Javier Milei a vécu en couple avec une célèbre chanteuse du cru. Désormais célibataire, il ne cache pas son hostilité à l’institution du mariage. Catholique de culture féru d’occultisme, il a déjà fait cloner l’un de ses chiens et a remercié les quatre autres décédés le soir de sa victoire aux primaires. Il organiserait des séances de spiritisme avec des tables tournantes afin de discuter avec ses chiens défunts.

Si existe depuis 2018 un Parti libertarien, Javier Milei a lancé son propre mouvement, La Libertad avanza (La Liberté avance), qui, pour l‘échéance présidentielle, s’est associée avec d’autres partis libéraux-conservateurs et des partis provinciaux assez anti-péronistes. Le système médiatique le soupçonne de proximité avec le parti espagnol Vox.

Suivi sur les réseaux sociaux par plus de cinq millions d’abonnés, Javier Milei considère que « la redistribution des richesses est un acte violent ». Il justifie sa chevelure exubérante en avouant être peigné par « la main invisible du marché ». En politique étrangère, ce super-atlantiste regrette l’entrée prochaine de l’Argentine dans les BRICS et soutient autant Israël que l’Ukraine. Il a enfin à plusieurs reprises mentionné devant micros et caméras son éventuelle conversion au judaïsme, bien sûr libéral. On est très loin d’une figure nationale-conservatrice, illibérale ou nationale-révolutionnaire...

Si Javier Milei devient le 54e chef d’État de l’Argentine, il est peu probable que son alliance électorale obtienne la majorité absolue au Congrès (Sénat et Chambre des députés). Dans un régime présidentiel tel que l’Argentine, le blocage risque alors de devenir permanent. Le chef de cabinet des ministres d'Argentine, soit l’équivalent du Premier ministre et du Secrétaire général de l’Élysée, devra pratiquer un art élevé de la séduction, du compromis et de la négociation auprès de parlementaires plus ou moins rétifs. Sa possible victoire peut aussi cristalliser l’activisme des forces de gauche et d’extrême gauche. En 2021, son slogan pendant la campagne législative était : « Je ne suis pas venu ici pour guider des agneaux mais pour réveiller les lions ! » Au pays des pumas, cette allusion féline relève de ses habituelles saillies.  

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°88, mise en ligne le 20 octobre 2023 sur Radio Méridien Zéro.

18:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le nouveau numéro de Lectures françaises : un reportage sur les Journées chouannes du début du mois de septembre dernier

n-798-octobre-2023 - copie.jpg

N°798 - octobre 2023

Pour le commander cliquez ici

Sur ces journées : lire aussi

18:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pas de paix en Palestine sans une solution « à deux États »

images.jpeg

Un communiqué du Parti de la France :

Le Parti de la France considère que les tragiques évènements actuels au Proche-Orient ne sont que l'énième épisode d’une nouvelle « Guerre de cent ans ». En refusant, en 1947, le plan de partage des Nations Unies accepté par les Juifs du protectorat britannique sur la Palestine, les pays voisins – Égypte, Syrie, Jordanie, Liban - ont porté une lourde responsabilité dans l’exode d’une bonne partie du peuple arabe.

Aujourd’hui, après de multiples guerres entre les parties, entrainant un nombre considérable de victimes et l’exil inhumain d’hommes, de femmes et d’enfants qui n’avaient juste demandé que de rester sur le sol de leurs parents, le PdF, comme beaucoup d’observateurs objectifs, considère que le règlement de ce conflit passe obligatoirement par la « solution à deux États ». La résurgence du terrorisme abject d’organisations criminelles comme le Hamas ou le Hezbollah, ainsi que l’intransigeance d’un gouvernement comprenant des ultras religieux sionistes, sous la houlette de l’extrémiste Benyamin Netanyahou, empêchent tout espoir d’une paix juste et raisonnable, sur la base de frontières sûres et reconnues pour et par tous.

Il n’appartient pas à une organisation politique française de se substituer aux parties mais de formuler des vœux allant dans le sens d’une réconciliation rationnelle, à l’exemple du tandem franco-allemand qui a réussi à surmonter les montagnes d’une haine accumulée au cours de trois guerres.

Jean-Claude Rolinat 

Membre du Bureau politique du Parti de la France

12:05 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marion Maréchal sera invitée demain, dimanche 22 octobre, à midi sur BFM TV

unnamed.png

10:20 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour en finir avec le pseudo « islamo fascisme »…

detail-alfredo-gauro-ambrosi-aeroritratto-di-benito-mussolini-aviatore-1930-huile-toile-collection-particuliere.jpeg

C'est curieux cette habitude malsaine qu'on certains, à chaque fois que des islamistes sévissent sur notre sol, de s'évertuer à vouloir amalgamer l'islamisme au fascisme. Pour remettre les choses à leurs places, voici un article publié en mars 2015 dans la revue Synthèse nationale (n°39, mars avril 2015) et, apparemment, toujours d'actualité. Cependant, cette mise au point ne doit en aucun cas être considérée comme une réponse à l'excellent article de Michel Onfray publié ce jour dans Le Figaro magazine (cf. poste précédent) :

Guirec Sèvres

Les tueries qui, au début du mois de janvier, ont ensanglanté les locaux de Charlie Hebdo et une supérette kasher du XIIe arrondissement de Paris ont suscité une légitime émotion. Emotion qui fut vite récupérée par les stratèges du pouvoir en place et transformée, en quelques heures, en une remarquable manipulation.

A peine les terroristes refroidis, la France se devait d’être unanimement, pour ne pas dire obligatoirement, « Charlie ». Et pour guider cette nouvelle « France Charlie » on pouvait compter sur la détermination de nos politicards qui, de Hollande à Sarkozy, ont toujours fait preuve, comme chacun sait, d’une remarquable clairvoyance face à l’islamisme conquérant.  Et si, par malheur, cette évidence vous avait échappée, c’est sans doute parce que vous êtes un fasciste ou, pire encore, un « islamo fasciste ».

Le mot est lâché, le concept est né : l’ « islamo fascisme » est le nouvel ennemi de la démocratie qu’il faut abattre à tout prix.

Mais que diable le fruit de la glorieuse pensée mussolinienne vient-il faire dans cette galère ?

On le sait depuis 1945, le fascisme est le mal absolu. On nous l’a enseigné à l’école, on nous le rabâche tous les jours dans les journaux et tous les soirs à la télévision et si, par ignorance ou par bravade, certains venaient à en douter, la Justice est là pour le leur rappeler.

Mais l’islam, jusqu’à ces dernières années, n’était pas, aux yeux de nos démocrates sincères, une idéologie condamnable. Bien au contraire. Il n’y a pas si longtemps que cela, Hollande et sa clique, à l’instar de Sarkozy pour la Libye, clamaient haut et fort qu’il fallait écouter Monsieur Lévy (Bernard-Henri) et armer les gentils rebelles islamistes en Syrie contre  « l’ignoble régime fasciste et laïque de Bachar el Assad ».  Et puis, sans aller aussi loin, ne sont-ce pas les mêmes démocrates qui, toutes étiquettes confondues, dans les villes où ils sont aux commandes, autorisent et subventionnent la construction de mosquées, favorisant ainsi l’implantation durable de l’islam sur notre sol ? Face à une telle évidence pour le moins gênante, il fallait trouver une parade. Ce fut vite chose faite avec la formule magique : « pasdamalgame »…

Pas d’amalgame lorsqu’il s’agit de confondre les musulmans et l’islam conquérant mais vive l’amalgame lorsque l’islamisme devient subitement l’islamo fascisme.

Comparer l’islamisme au fascisme est facile, confortable, peut-être même émouvant, mais, qu’on le veuille ou non, totalement inepte. Dans un magnifique article récemment publié par notre excellent confrère Metamag (1), le pertinent Raoul Fougax remet les pendules à l’heure.

Nous en reproduisons ici les principaux extraits :

On les voit venir avec leurs gros sabots. Nos dirigeants, de gauche et de droite d’ailleurs, se veulent des enfants de la résistance au fascismo–nazisme. C’est leur référence absolue. Il ne peut y avoir de mal plus grand que le fascisme dont le nazisme est un avatar. Combattre l’islamisme radical aujourd’hui, c’est donc continuer le combat des démocraties contre le fascisme. (…)

C’est bien sûr totalement faux. C’est juger le présent par rapport au passé de la même manière que l’on juge le passé par rapport aux valeurs du présent. L’anachronisme est une sclérose qui empêche l'analyse. C’est une maladie de l’intelligence.

Le décor est ainsi planté et Fougax précise les choses :

Le fascisme n’a jamais été un obscurantisme. Un totalitarisme oui, un obscurantisme non. Le fascisme n’a jamais été une lecture fanatique d’une religion monothéiste, souvent bien au contraire.

Le fascisme certes cultive le culte du passé mais dans une démarche progressiste. Le fascisme est un socialisme, pas un traditionalisme. Il veut moderniser en valorisant le passé, il invoque la longue mémoire de l'histoire, il ne veut pas ramener la société au comportement de temps révolus.

Et les remet dans le contexte du Monde arabe :

Dans les pays musulmans de plus, le fascisme a toujours été un anti-islamisme, c’est vrai de la Turquie kémaliste comme de l’Egypte nassérienne. La laïcité dans les pays musulmans a été un fascisme non avoué et c’est l'échec de ces régimes totalitaires laïcs, notamment face au sionisme, qui explique la montée d’un islamisme anti-israélien devenu en Europe un nouvel antisémitisme. Vouloir par confort intellectuel ramener tout antisémitisme au fascisme pour, en fait, exonérer les islamistes et donc l’islam de ce péché raciste majeur pour nos dirigeants est une stupidité dangereuse.

Il y a un nouvel antisémitisme qui est un islamisme et qui est lié au terrorisme qui frappe les juifs, pas que des juifs mais tous ceux qui sont des impies au regard des égorgeurs du sectarisme djihadiste. On peut parler d’islamo-sectarisme, car on a à faire à une secte musulmane issue de l'islam. Mais parler d’islamo-fascisme est une désinformation historique par aveuglement idéologique.

Les fascistes n’ont jamais été des islamistes et les islamistes ne sont pas des fascistes. Ils sont des obscurantistes musulmans sans lien avec les racines européennes et sociales du fascisme. (…)

Et Raoul Fougax conclue avec raison :

Ils ne veulent pas restaurer la grandeur de Rome comme le Duce. Ils veulent une mosquée à la place de St Pierre au Vatican. (...)

Ceux qui conseillent l'amalgame islamisme et fascisme pour lutter, on l'a bien compris, contre l'amalgame islamisme-islam sont des malhonnêtes et surtout des apprentis sorciers.

Tout est dit… 

Les mots ont un sens et Charles Maurras nous a enseigné qu’« une virgule à sa place, c’est déjà une victoire contre le chaos… ». Comparer l’islamisme au fascisme est une contrevérité que les militants anti-islamistes devraient bannir de leur vocabulaire.

Et que l’on ne nous brandisse pas la prétendue fascination que certains chefs nazis auraient éprouvée pour le Coran. A cet argument fallacieux, il est facile de rétorquer la collusion entre les mêmes nazis et certains ultra-sionistes avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais tout cela relève d’une période révolue. Les alliés actuels de l’islamisme ne sont pas les fascistes mais bel et bien les démocrates mondialistes, au premier rang desquels on retrouve les adeptes de « Nous sommes tous Charlie », qui, avec leurs politiques imbéciles, ont tout fait pour que celui-ci se développe en France et en Europe.

 (1) metamag.fr

Illustration : peinture liée à l'art fasciste de Alfredo Gauro Ambrosini, peintre futuriste. Il représente le visage du Duce, superposé à la Rome des César (œuvre de 1930). L'islamisme, pour sa part, détruit l'art.

09:58 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Selon Michel Onfray : "L’islamo-gauchisme est un fascisme"

onfray image nn.jpg

De l’abbé Grégoire à Jean-Luc Mélenchon, les accointances d’une partie de la gauche avec l’antisémitisme ainsi que sa complaisance envers la violence terroriste s’inscrivent dans une longue tradition, rappelle Michel Onfray dans un texte sans concession paru dans le Figaro Magazine.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro Magazine 21/10/2023

05:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

couv. nn.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

00:33 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 octobre 2023

Les éditions de l'AEncre viennent de ressortir le livre choc de Roland Gaucher et Philippe Randa sur les "antisémites" de gauche

COUV Maquette SN REVUE copie 29.jpg

Entretien avec Philippe Randa, co-auteur avec Roland Gaucher des « Antisémites » de gauche aux éditions L’Æncre

Roland Gaucher et Philippe Randa avaient jeté un pavé dans le marigot du conformisme politique en s’attaquant à un sujet sulfureux. Parce que tout ce qui touche aux juifs et à l’antisémitisme est toujours délicat dans le contexte d’hystérie médiatique. Et parce que, ni l’un ni l’autre n’étant de gauche, le pire dans leurs révélations était bien évidemment à craindre pour les tenants du politiquement correct. Lecture faite de leur livre, c’est incontestablement le cas.

En France, la classe politique est quasi unanime à condamner l’attaque du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, contre Israël : seul le parti de la France insoumise fait entendre un autre son de cloche…

Remarquons qu’étrangement, les commentateurs, journalistes ou politiques, qui ne voient dans une telle posture politique qu’une démarche électoraliste, se gardent bien d’en tirer les évidentes conclusions. Certes, elles ne sont guère politiquement correctes et c’est sans doute là que le bât blesse le plus : constater chaque jour depuis des années maintenant que la gauche mélenchoniste cajole les populations d’origine extra-européenne et plus particulièrement musulmane pour obtenir leurs suffrages est une évidence…

Pourquoi donc personne ne fait alors le constat que ces populations – qui ne doivent guère être horrifiées plus que cela par les actions du Hamas – représentent désormais dans notre pays une masse non négligeable (euphémisme) de citoyens français… capable, le cas échéant, de faire basculer une élection ?

Certains veulent le vivre ensemble ? Oui, mais avec le Hamas, donc ! Ne leur en déplaise !

Dans le titre de votre ouvrage, pourquoi le mot « Antisémites » figure-t-il entre guillemets ?

Un certain nombre de dirigeants et de militants d’extrême gauche assurent qu’ils sont antisionistes, mais non pas antisémites, ce qui est parfaitement possible ; mais ils sont pro-palestiniens et considèrent la présence israélienne dans ce pays comme une occupation colonialiste, avec son lot d’attentats et de répressions sanglantes ; aussi peuvent-ils parfaitement basculer dans l’antisémitisme le plus radical. En revanche, il suffit de se référer à certaines phrases du célèbre théoricien de gauche du XIXe siècle, Joseph Prou­dhon, pour se rendre compte qu’il fut indéniablement antisémite, et l’on se demandera comment, dans ces conditions, des juifs ont pu, par exemple, fréquenter le Cercle Proudhon à Besançon…

Ne pourrait-on faire la même remarque au sujet de Karl Marx ?

Sans doute. Si nous avions repris dans notre livre certains textes extraits de Marx sans en indiquer la source, il n’est pas impossible que la loi Gayssot nous eût été appliquée.

Pensez-vous qu’à l’intérieur du parti bolchevique il y ait eu, à certaines périodes, conflit entre éléments juifs et non juifs ?

Évidemment. Dans l’élimination de Trotski, dans les procès de Moscou avant-guerre, une certaine dose d’antisémitisme n’est pas absente. Après la guerre, le procès dit du « complot des blouses blanches », fomenté par Staline et avorté du fait de son décès, est incontestablement antisémite. Il a été approuvé par tous les dirigeants communistes français de l’époque et par la clique de leurs « intellos »… Qui le leur rappelle ? La fin de Staline, survenue peu après, reste mystérieuse. Qui a enquêté à ce sujet ? Ajoutez que nous reproduisons une brochure signée Gédéon Hagonov, pseudonyme de Boris Souvarine, qui révèle l’antisémitisme de Staline à l’égard des juifs polonais, au temps du Pacte germano-soviétique. Qui rappelle cela, aujourd’hui ? Ce sujet de l’antisémitisme ne semble guère intéresser les chercheurs du CNRS !

Vous consacrez plusieurs chapitres aux historiens négationnistes, montrant que la grande majorité d’entre eux proviennent de gauche et d’extrême gauche. Pourquoi, à votre avis ?

Sans doute parce qu’une insidieuse propagande a réussi à faire entrer dans les esprits que l’antisémitisme était le fait exclusif de gens de droite et d’extrême droite, exactement comme, pendant très longtemps après la IIe Guerre mondiale, la collaboration française avec le IIIe Reich passait pour le fait des mêmes gens alors que la résistance aurait exclusivement été de gauche et d’extrême gauche. Aussi, les foudres de la justice, depuis la première loi liberticide Pleven, se sont-elles portées quasi-exclusivement sur les journalistes, écrivains et militants nationalistes, laissant par là même le champ libre aux gens de gauche et d’extrême gauche de s’exprimer. D’autant que ceux-ci le faisaient généralement au nom de la lutte contre le sionisme assimilé à une forme d’impérialisme, selon eux, quasi-fasciste. Puis, à la fin des années 70 du siècle dernier s’est déclaré le « scandale » des historiens révisionnistes qui remettaient en cause l’existence des chambres à gaz homicides. Le déchaînement médiatique et judiciaire contre eux a été tel qu’on n’a pu continuer de passer sous silence les écrits et les paroles des gens de gauche et d’extrême gauche. Cela aurait pu être le cas si ces derniers s’étaient brusquement rétractés. Au contraire, comme il s’agissait en général de « révolutionnaires » et non pas de gauchistes-caviar – sans doute, d’ailleurs, les seuls qui n’ont pas renié leur foi soixante-huitarde – il a bien fallu les reconnaître, même si cela a été pour les marginaliser aussitôt. Pour les médias, Pierre Guillaume (directeur des Éditions de la Vieille Taupe), Serge Thion (chercheurs au CNRS) et le philosophe Roger Garaudy furent les enfants honteux des Damnés de la terre !

Les « Antisémites » de gauche, Roland Gaucher et Philippe Randa, éditions L’Æncre, 3e édition, 440 pages, 35 euros. Cliquez ici

17:35 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villiers : "Le basculement démographique est souhaité par ceux qui nous gouvernent "

Philippe De Villiers, ancien Secrétaire d'État à la culture, répond aux questions de Sonia Mabrouk dans la Grande interview.

Capture d’écran 2023-10-20 à 16.50.03.png

16:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’inquiétant discours de Macron

Il est faux de dire que la France est aujourd’hui un État de droit. En 2005, les Français ont voté en majorité contre le projet de traité constitutionnel européen. Un vote par référendum contourné par le gouvernement.

Dans ce décryptage de deux minutes, Armel Joubert des Ouches, journaliste reporter au magazine Nexus, revient sur l’inquiétant discours d’Emmanuel Macron en Albanie au début de la semaine et notamment sur cette phrase : «Jamais, il ne sera possible, dans un État de droit, d’avoir un système où le risque terroriste est éradiqué totalement.»

Emmanuel Macron cherche-t-il à préparer les Français à vivre des attentats de masse sur leur territoire ? Cherche-t-il à habituer la population à la peur ? C’est la question que l’on peut se poser après son inquiétant discours à Tirana, le 17 octobre dernier, en Albanie, lors d’une conférence de presse en présence du Premier ministre Edi Rama.

Capture d’écran 2023-10-20 à 16.37.56.png

16:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Amin Maalouf, secrétaire perpétuel de l'Académie française

maalouf.jpg

On peut imaginer que le fait d’appartenir à l’Académie française et de surcroît en être le secrétaire perpétuel est plus honorifique qu’autre chose et que cela fait partie de ces gadgets que les hommes aiment s’offrir pour sortir du tragique de la condition humaine. Si l’Académie comprend bien quelques pignoufs au talent plus qu’aléatoire, cette institution est à l’image des saisons. Il y a des étés comme des hivers. Madame Carrère d’Encausse a bien géré l’institution mezza voce, étant entendu que l’ère des talents de haute volée a bel et bien disparu. Les Sages, comme on les appelle – en raison du fait qu’ils n’ont plus trop l’âge d’aller au bordel – se sont donnés comme nouveau secrétaire général perpétuel le franco-libanais Amin Maalouf et non pas ce véreux Jean-Christophe Rufin qui lorgnait le poste. Dans cet entretien accordé à ce torche-cul qu’est Libération, Amin Maalouf nous livre une vision du monde dont le pessimisme naît du fait qu’il le regarde tel qu’il est et non pas tel qu’il devrait être. Et le constat qu’il dresse, on ne peut que le partager.  Avec regrets.

Lire la suite ICI

Source : Libération 20/10/2023

14:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 19 octobre 2023

Allo Darmanin, la dissolution de la Jeune Garde, ça vient ?

28782973_189957658271431_6523061301343797481_n.jpeg

Richard Roudier

Raphaël Arnaud, responsable des Antifas de la Jeune Garde, a encore sévi en proférant des menaces de mort à l’encontre de la présidente du collectif féministe ("de droite" - NDLR) Némesis, Alice Cordier.

Ces menaces ont eu lieu lors de l’hommage au professeur Dominique Bernard, assassiné par un terroriste à Arras, qui se déroulait à Lyon, bastion de la Jeune Garde.

Ce groupuscule se revendiquant « antifasciste » est reconnu comme exerçant régulièrement des violences envers toute personne désignée selon ses critères comme « fasciste », terme fourre-tout bien pratique pour désigner tout ce qui n’est pas d’extrême-gauche…

Pour couvrir ses agissements, le groupe Jeune Garde bénéficie de soutiens très appuyés du parti La France Insoumise et notamment de son responsable Jean-Luc Mélenchon qui leur fournit un bagage idéologique ainsi que du député Carlos Bilongo qui assure leurs cours de boxe. Raphaël Arnaud a d’ailleurs été invité à s’exprimer par LFI en commission à l’Assemblée nationale.

Outre ce soutien, la Jeune Garde bénéficie d’une mansuétude certaine de la part de la Justice… Régime de faveur qui ne cesse d’étonner si on le compare à l’acharnement que subissent les militants patriotes.

Soulignons que Raphaël Arnaud a été aperçu à plusieurs reprises à Montpellier où il s’en est personnellement pris à un sympathisant identitaire près de la Poste Rondelet. À 4 contre 1 bien évidemment…

Les menaces de « mettre une balle dans la tête » à Alice Cordier doivent signer le dernier agissement de ce sinistre individu.

C’est pourquoi nous demandons des poursuites contre Raphaël Arnaud ainsi que contre tous les autres militants de la Jeune Garde qui se sont rendus coupables de violences.

Nous exigeons également, puisque Gérald Darmanin en a pris l’habitude, la dissolution du groupe la Jeune Garde dans les plus brefs délais.

Riposte laïque cliquez ici

23:54 Publié dans Informations nationales, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Laurence Maugest, une militante exemplaire

IMG_20231019_110427.jpg

Notre amie et compagnon de route Laurence Maugest vient de nous quitter subitement. C'était un personnage toujours engagé pour la défense de nos valeurs civilisationelles qu'elle défendait au nom de nos origines Celtes, Gréco-latines et Chrétiennes. 

Au travers d'un de ses livres "Ballade avec Saint-Matthieu" (parut aux éditions Apopsix), Laurence s'attaquera à la suprématie de la raison et de la toute puissance donnée aux sciences. Elle savait nous manifester son tempérament de rigueur et d'exigence, parce que justement elle était sensible au fait que nos sociétés modernes se retirent du monde réel pour se laisser berner et bercer par des idéologies incertaines tel que le féminisme, l'écologisme, le matérialisme, le nihilisme. 
 
Toujours pleine de volonté , elle s'engagera avec énergie et espoirs tant auprès d'associations que de partis politiques en particulier dans les Yvelines, là où elle résidait. Laurence se présentera à différentes élections pour soutenir le parti de Florent Philippot, mais aussi et plus tard pour la dernière présidentielle, aux côtés de Zemmour. Sans oublier ses soutiens pour TVLibertés qu'elle chérissait au nom d'une certaine métapolitique.
 
Pour ma part, je garderai toujours en mémoire ces moments de confidences et de partage d'une grande amitié qui se plaçait davantage dans les interrogations de nos vies au quotidien et moins dans les déceptions philosophiques de nos existences idéologiques...
 
Laurence, était une sacrée personne, symbiose d'énergie, de sensibilité et de combat.
 
Hugues Bouchu
Les Amis franciliens de Synthèse nationale

12:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reconstruire la France

4594938.jpg

Notre pays ne saura jamais rien opposer au terrorisme islamiste s'il ne reprend pas conscience de ce qu'il est et de ce qu'il souhaite continuer à être. Nos adversaires nous piétinent parce que nous sommes mis à genoux. Se redresser sera difficile, mais c'est une urgence vitale. Mickaël Fronton, dans Valeurs actuelles trace ici les lignes d’une  renaissance, un chemin long et difficile.

Lire la suite ICI

Source Valeurs actuelles, 19/10/2023

05:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 18 octobre 2023

2009-2023 : finalement, presque rien n'a changé...

SN 12.JPG

Depuis quelques jours, nous recevons de la part de nos correspondants de nombreux courriers, exposant des positions diamétralement opposées, sur les événements au Proche Orient. Je voulais écrire un article tentant de faire la synthèse de ces avis divers et variés. Et puis je me suis souvenu qu'en 2009 j'avais consacré un éditorial de Synthèse nationale (n°12, janvier février 2009) à ce sujet.

14 ans se sont écoulés depuis la publication de cet éditorial, mais force est de reconnaître que les choses n'ont pas beaucoup évoluées. Il reste donc d'une terrible actualité.

R H

Ni Hamas, ni Tsahal ! Cette guerre n’est pas la nôtre…

Par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Parmi les « dégâts collatéraux » provoqués par les affrontements qui se sont déroulés ces dernières semaines au Proche Orient, on pourrait presque inclure les nouvelles divisions que ceux-ci entrainent au sein de la droite nationale (1). Bien sûr, il convient de relativiser l’aspect tragique de ce constat car, fort heureusement, ces divisions n’ont pas encore entraîné mort d’homme… Néanmoins, ces événements sont survenus à point nommé, au moment où notre famille politique semble avoir beaucoup de mal à rebondir, pour creuser encore plus les fossés qui séparent les mouvements nationaux et identitaires entre eux et les éloigner de leur mission essentielle, celle de défendre notre peuple, notre nation et notre civilisation. Décidément, on peut leur faire confiance, les Juifs et les Arabes excellent dans l’art d’exporter leurs discordes partout, y compris là où on s’y attendrait le moins.

Ainsi, depuis le début de ce nouvel épisode de la guerre fratricide qui oppose les descendants des fils de Sem, toute la droite nationale se chamaille sur la position à adopter. Certains font une surenchère effrénée à la dialectique gauchiste, confondant au passage la légitime revendication du Peuple palestinien à disposer d’un Etat et les positions islamistes maximalistes du Hamas, alors que d’autres, au nom d’une notion totalement pervertie de l’Occident, se pâment d’admiration devant la force, réelle ou supposée, de l’armée israélienne. Une fois de plus, on nage en pleine confusion.

Depuis une trentaine d’années, je me suis personnellement toujours prononcé en faveur d’un Etat palestinien. A une époque où presque toute la droite nationale soutenait, probablement par nostalgie de l’Algérie française, l’Etat hébreu, nous étions alors ultra minoritaires, au sein des mouvements nationaux et nationalistes, à adopter une telle position. Nous l’expliquions tout simplement par le droit des peuples à disposer d’un Etat. Au même titre d’ailleurs que les Israéliens avaient le droit au leur. Je ne regrette en rien cet engagement, que je considère toujours comme le plus logique. Néanmoins, depuis, les choses ont nettement changé. La résistance palestinienne était alors nationaliste, laïque et révolutionnaire. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Hamas est islamiste, fondamentaliste et impérialiste (non seulement il veut détruire Israël, mais il veut aussi la fin de notre civilisation européenne). Nous sommes loin du baasisme bon teint ou du nassérisme triomphant de la seconde moitié du XXème siècle.

Deux peuples, un territoire : le bât blesse…

En fait, là où le bât blesse, c’est lorsque deux peuples ont la même prétention sur un même territoire. Comme c’est le cas dans ce sempiternel conflit israélo-palestinien. La solution la plus sage consisterait à procéder à une partition qui mettrait tout le monde d’accord. Mais peut-on encore, aujourd’hui, raisonnablement envisager une telle solution ? Toutes les tentatives de conciliation qui se sont succédées depuis la création, en 1947, de l’Etat d’Israël ont échoué. Plus encore, la situation n’a fait qu’empirer. J’en arrive donc à la conclusion qu’il est plus que temps de laisser les protagonistes se débrouiller entre eux. Tout le reste n’est que bavardages, postures esthétiques et, surtout, perte de temps… Prendre parti dans ce conflit n’apporterait rien au mouvement national.

S’il est vrai que les moyens et les méthodes de Tsahal sont totalement disproportionnés par rapport à ceux des Palestiniens ; s’il est vrai que si n’importe quel autre pays du monde avait utilisé les mêmes méthodes et les mêmes moyens pour régler un quelconque conflit avec un de ses voisins, toutes les « forces du bien » se seraient mobilisées pour éliminer ce « maudit pays » (souvenez-vous du sort qui fut réservé à la malheureuse Serbie il y a une dizaine d’années ou à l’Irak il y a vingt ans…) ; il n’en est pas moins vrai que le Hamas, qui n’hésite pas à mettre des enfants en première ligne face aux chars israéliens, considère qu’Israël doit être détruit et que, pour cela, tous les moyens sont bons, y compris le terrorisme aveugle. Terrorisme aveugle auquel les sionistes n’avaient d’ailleurs pas hésité à recourir, en d’autres temps, pour lutter contre les Anglais.

Entre ceux qui réclament « un soutien indéfectible à l’Etat d’Israël », comme s’ils ne savaient pas que les Etats n’ont pas d’amis ni d’alliés à soutenir mais que des intérêts à défendre, et ceux qui, souvent fraichement convertis au nationalisme, invoquent de fallacieuses raisons humanitaristes pour appeler à manifester, aux côtés de l’extrême gauche et des mouvements antiracistes, contre l’agression israélienne, nous n’avons vraiment pas à choisir. Peut-être que, si nous étions Israéliens, nous serions farouchement partisans de liquider la résistance palestinienne. De la même manière que, si nous étions Palestiniens, nous nous ferions un devoir de soutenir le Hezbollah ou le Hamas. Mais il se trouve que nous ne sommes ni les uns ni les autres, nous sommes Français et Européens et que, par conséquent, nous n’avons qu’un seul choix à faire : celui de la défense de nos intérêts et de nos intérêts seulement.

Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens…

Robert Spieler, au nom de la Nouvelle Droite Populaire, a parfaitement résumé la position qui conviendrait d’être prise par le mouvement national et identitaire dans son ensemble : « Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens ». Ce à quoi Pierre Vial, Président de Terre et peuple, ajoute de manière imagée : « Ni hallal, ni cacher »… Oui, tous ces emblèmes d’entités étrangères à notre civilisation européenne qui envahissent les rues de nos villes et qui détériorent, petit à petit, notre patrimoine et notre conscience collective doivent être rejetés simultanément. On ne peut pas à la fois combattre l’immigration de peuplement qui menace les fondements de notre civilisation et la violence qui en découle et qui s’amplifie partout sur notre territoire d’un côté  et, de l’autre, glorifier les organisations terroristes, que celles-ci soient sionistes ou islamistes. On ne peut pas à la fois militer sincèrement pour une France française dans une Europe européenne et se pavaner derrière les drapeaux, quels qu’ils soient, de puissances ou d’organisations qui veulent la mort de notre identité. Il faut arrêter de dire et de faire n’importe quoi.

Nous ne pourrons libérer notre continent de ceux qui l’envahissent et de ceux qui le contrôlent que si nous nous appuyons sur les valeurs, les symboles et les traditions qui sont les nôtres. Pour cela, il faut d’abord redonner à notre peuple une conscience ethnique, condition sine qua non à notre redressement national et identitaire. Si nous voulons gagner, nous devons d’abord être ce que nous sommes.

Note

(1) Lire à ce sujet l’article de Jérôme Bourbon publié dans Rivarol (n°2888 du 16 janvier 2009).

 

2023 : Un bémol cependant dont il convient de tenir compte :

Depuis 2009, le Hamas et les autres organisations islamistes, fort de la présence d'un nombre croissant de musulmans en Europe, ont choisi d'exporter leurs campagnes terroristes, en particulier en France. 

Le but final des islamiste est d'imposer leur civilisation et leur religion sur notre sol. La cause palestinienne n'étant qu'un prétexte pour y arriver.

Dans un Etat nationaliste digne de ce nom, leurs agissements, tout comme l'immigration inutile, devront être considérés comme des affaires de "simple police", c'est à dire réprimandées comme il se doit...

Quand l'oligarchie cosmopolite découvre l'immigration afro-musulmane...

téléchargement.pngUn communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :

On dirait qu'il a fallu que le conflit israélo-palestinien s'embrase de nouveau pour que l'oligarchie en place s'aperçoive que la France et toute l'Europe occidentale étaient colonisées par des millions d'afro-musulmans souvent haineux, conquérants et - cerise sur le gâteau - antisémites.

Quand ces mêmes occupants massacrent des Français de souche, ça ne perturbe pas plus que ça nos élites qui d'ailleurs prennent bien soin de sanctionner pénalement toute réaction identitaire et de nous infliger, jusqu'à la nausée, le laïus républicain du « Padamalgam ».

Or aujourd'hui, parce que c'est Israël qui est la cible de l'Oumma, on assiste à une surenchère de constats, de diagnostics et de condamnations de la politique migratoire irresponsable mise en place par les gouvernement successifs depuis des décennies ; et ce par les mêmes personnes qui ont justement fait la promotion de cette invasion.

Ce bal des hypocrites est insupportable. Le Parti de la France est bien sûr toujours aussi déterminé à organiser la remigration massive des populations extra-européennes mais cela ne se fera jamais sans avoir écarté du pouvoir les ordures cosmopolites qui nous ont menés là où nous en sommes.

23:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 17 octobre 2023

Victoire des "Parents vigilants" de "Reconquête !" aux élections de parents d’élèves

FdVLJ_0WYAAcOYN.jpeg

Un communiqué d'Eric Zemmour :

Les Parents Vigilants remportent la victoire de plus 3 500 sièges aux élections de parents d’élèves qui se sont tenues les 13 et 14 octobre, à l’heure où l’école a plus que jamais besoin de nous ! 

Le jour où l’école était frappée par le djihad, de nombreux parents ont pu choisir de protéger leurs enfants. 

Des remontées me parviennent de toute la France. Je suis fier d’annoncer que nos Parents Vigilants remportent des sièges partout, dans des centaines d’établissements. 

On nous a longtemps expliqué que les Parents Vigilants n’étant pas élus, ils n’avaient rien à dire à l’école. Désormais, on ne pourra plus refuser de les écouter. Ils siègeront, délibéreront, voteront dans les conseils d’administration des écoles.  

Depuis un an seulement, 60 000 parents d’élèves ont rejoint notre réseau afin de nous alerter au quotidien des dérives à l'école. Je suis heureux de savoir qu’à partir d’aujourd’hui, ils auront des représentants dans les instances scolaires. 

Nos Parents Vigilants serviront l’intérêt général et défendront nos enfants dans une école plus que jamais menacée par l’islamisation et l’endoctrinement. 

Je veux leur dire bravo : ce n’est que le début.

Vive la France !

Parents vigilants : cliquez ici

PFJXW3QFFVBIPBGLJIGENCEKWU.jpeg

13:07 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Tuer les professeurs », un mantra islamiste qui ne date pas d’hier

L-ecole-est-finie-cinq-professeurs-livrent-leur-epuisement-dans-un-documentaire.jpg

Jean Chichizola

« Il faut tuer les professeurs. » La formule n’est pas de Mohammed Mogouchkov en garde à vue. Elle est vieille de 8 ans déjà. En décembre 2015, le magazine de l’État islamique en langue française Dar al-Islam (« la demeure de l’Islam ») désigne l’école de la République et ses professeurs comme une cible légitime. Or Dar al-Islam, que consultait par exemple en 2016 Mohamed Lamine Aberouz, condamné la semaine dernière à la réclusion criminelle à perpétuité pour l’attentat de Magnanville, avait deux objectifs : assurer la propagande de Daech et, surtout, séduire et recruter de nouveaux fidèles en France et dans les autres pays francophones.

En 2012, le massacre de l’école juive Ozar Hatorah par Mohamed Me- rah était avant tout le fruit de sa haine antisémite. En revanche, les assassinats de Samuel Paty au collège du Bois-d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), le 16 octobre 2020, comme celui de Dominique Bernard au lycée Gambetta d’Arras, le 13 octobre 2023, étaient clairement inscrits dans le texte de Dar al-Islam. La laïcité, mais aussi le libre arbitre et ses propagateurs, voilà l’ennemi. Et Dar al-Islam d’appeler ses « lecteurs » à fuir l’éducation des mécréants. Un mot d’ordre repris sans cesse par les tenants de l’islam radical aujourd’hui. L’école « mécréante » prônerait des principes nuisant à la «vraie religion».

« Bouillie de mécréance »

À l’époque, les idéologues de Daech, comme à leur habitude, ne font pas dans la nuance. Le système éducatif français serait l’œuvre d’un complot judéo-maçonnique. Entre autres « horreurs », comme la mixité, l’enseignement musical, le dessin ou la charte de la laïcité, l’État islamique s’en prend bien sûr aussi à l’interdiction du voile. Et c’est d’ailleurs un point commun avec ses ennemis jurés d’al-Qaida. Il y a bientôt vingt ans, le numéro deux de l’organisation d’Oussama Ben Laden, Ayman al-Zawahiri, dénonçait, avec force menaces contre la France, la loi sur les signes religieux ostentatoires de 2004. Sur ce plan, al-Qaida ne faisait  d’ailleurs que relayer la haine de leurs amis et protecteurs talibans. La récente polémique sur l’abaya prend toute sa dimension dans ce contexte et avec ces précédents. Pour les fous de Dieu, l’école pervertit les garçons et surtout les filles. Dar al-Islam parle de la « bouillie de mécréance » dispensée par l’enseignement français. Quant à la bouillie intellectuelle de Daech, elle vise non seulement le retrait des petits musulmans des écoles « mécréantes », mais aussi l’élimination physique des « corrupteurs ». Il faut « les combattre et les tuer ». Tout particulièrement ceux qui enseignent des matières impies, comme la laïcité dans le cadre de l’éducation civique. On songe alors à Abdoulakh Anzorov, l’assassin de Samuel Paty, guidé par la cabale islamiste visant ce professeur d’histoire-géo, décapité après avoir montré une caricature de Mahomet paru dans l’hebdomadaire Charlie Hebdo. On songe aussi aux témoignages selon lesquels Mohammed Mogouchkov aurait cherché vendredi à Arras un professeur d’histoire-géographie, en charge également de l’éducation civique.

L’appel de « Dar al-Islam »

Il y a bientôt huit ans, l’appel de Dar al-Islam était en tout cas des plus clairs. Et nul ne pouvait plus ignorer que les enseignants étaient des cibles privilégiées, très exposées et très fragiles. Avant les horreurs de 2020 et 2023, certains avaient d’ailleurs pris Daech au mot. Le 25 mars 2019, deux individus, dont l’un inscrit au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste et suivi par les services de renseignements, avaient été interpellés par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en Seine-et-Marne et à Paris. Présenté comme dépressif, très instable et souffrant d’importants troubles psychologiques, le « cerveau » de l’opération, sans lien avec la mouvance, se proclamait pourtant le « fils spirituel de Mohamed Merah ». Un fou véritable, mais qui, influencé par la « bouillie » islamiste, avait l’intention, aidé par son complice, de s’en prendre à une école maternelle et à des enfants pour les agresser et les prendre en otage. Cette fois-là, le pire avait été évité, d’extrême justesse.

Source : Le Figaro 17/10/2023

11:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Jeanne Smits à Paris ce 19 octobre à 19h sur les "pandémies cachées"

Jeanne Smits donnera le 19 octobre à 19 h une conférence au Centre Charlier (70 bd St Germain 75005 Paris) sur le thème : Avortement, euthanasie, démographie : les pandémies cachées. Elle explique les raisons de ce sujet dans la vidéo ci-dessus :

jeanne-smits-19-10.png

10:55 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Emmanuelle Mignon, le retour

mignon.jpg

Le billet de Patrick Parment

La droite est dans la panade. Mais de quelle droite parle-t-on ? Des Républicains en particulier, car nous excluons les centristes dont le cœur balance toujours de droite à gauche et vice-versa. Il n’y a pas d’idées chez les centristes, mais des postures au gré de leurs intérêts électoraux. C’est, pour faire un mot, la France frileuse (1). Ce n’est donc pas de ce côté de la barrière politique qu’il faut chercher des solutions. Pas plus d’ailleurs que du côté du Rassemblement national, tant Marine le Pen a vitrifié l’héritage de son père. Reste que le RN demeure un « gueuloir » pour les populations en souffrance et qu’il a su, il faut le reconnaître, capter les voix de ce peuple de gauche qui ne se reconnaît plus dans ce qui hier encore était la gauche. Mais aussi les voix d’ex-RPR-UMP, largement fait cocus par un certain Chirac.

A droite, donc, les Républicains. Mais, là encore, la discorde pointe son nez entre les tenants d’un soi-disant gaullisme social, genre Xavier Bertrand, et d’un courant « pasquaïen » qu’illustre son actuel patron, Eric Ciotti. Ce qui hier encore représentait la droite a été vidé de toute substance par un Jacques Chirac plus radical-socialiste que jamais, adversaire de toute idée, surtout si elle est musclée et plus encore pour des raisons électoralistes, capable de dire tout et son contraire. Reste que sur le fond, l’absence de toute idée à droite remonte à la Libération, date à laquelle la gauche a mis la main sur le débat intellectuel. Mai 1968 n’a fait qu’accentuer la décomposition de la pensée française pour en arriver au point où nous en sommes aujourd’hui (2).

A l’UMP hier encore, Nicolas Sarkozy a fait illusion en jouant les Arnold Schwarzenegger du haut de son mètre cinquante. Si l’homme avait la parole ferme et parfois séduisante, force est d’admettre qu’elle ne fut suivie d’aucun effet. L’immigration a continué et cette classe moyenne qu’il entendait défendre s’est faite essorée. Quand on songe qu’il a encore des affidés, ça laisse rêveur, lui, le nouveau pote à Macron. Deux hommes en ont bien conscience : Eric Ciotti et Olivier Marleix, le patron du groupe Républicains à l’Assemblée nationale. Reste qu’Eric Ciotti s’est souvenu que c’est une certaine Emmanuelle Mignon, qui avait élaboré le programme de Sarko qui lui avait permis de se faire élire. Il a donc sollicité la dame qui s’était largement retirée de toute vie politique, le camarade Sarko l’ayant largement oublié dans la distribution des récompenses. Mais qui est cette dame aux atours si précieux, que Ciotti l’a illico nommée vice-présidente des Républicains en charge… du futur programme de gouvernement des Républicains. Sans que l’on sache d’ailleurs qui se chargera de le vendre aux Français. Dame Mignon a commencé par faire l’Essec puis l’ENA dont elle est sortie major. Ce qui lui a permis d’entrer au Conseil d’Etat. Bonne catholique, elle avait aussi commencé une licence de théologie avant de rencontrer Sarko déguisé en Bernadette Soubirou. C’est sur les conseils de Renaud Denoix de Saint-Marc, alors vice-président du Conseil d’Etat, que Sarko, alors ministre, va engager Emmanuelle Mignon en lui fixant comme objectif d’élaborer son futur programme en vue de la présidentielle. La dame est assurément ce que l’on appelle une grosse tête, une bosseuse, mais son drame, à l’image d’un Juppé, est d’être formaté par cette institution qui ne fournit que des fonctionnaires et pas des Hommes de culture et d’idées. A l’Ena on apprend (« rien » m’avouait un de mes amis énarque) à décortiquer tous les codes administratifs et l’on a une approche purement technique du fonctionnement de l’Etat. Si les énarques sont utiles, ils ne sont pas essentiels. Or, la politique c’est d’abord l’émotion et le verbe comme sut le manier en artiste un Jean-Marie Le Pen. Inutile de dire que dame Mignon, si respectable soit-elle, est à mille lieues de ces incandescences des sens que requiert le politique. A droite, rien de nouveau !

(1) On vous renvoie sur ce sujet aux Modérés d’Abel Bonnard qui n’a pas pris une ride.

(2) C’est largement du côté de ce que l’on nomme l’extrême-droite que se situe le réel débat intellectuel hier et aujourd'hui, largement animé par le GRECE et sa tête pensante, Alain de Benoist depuis cinquante ans maintenant. 

02:50 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 octobre 2023

Hier Conflans, aujourd'hui Arras, demain Saint-Brevin ?

80380a433914e3f11f47004702cdb916_400x400.pngUn communiqué de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

Le 16 octobre 2020, l'enseignant Samuel Paty était décapité, à la sortie de son collège, par un Tchetchène qui n'avait rien à faire en France.  Trois ans plus tard, ce régime n'ayant rien fait de concret pour enrayer le djihad quotidien qui se déroule chaque jour en France - agressions de policiers, lynchages de Français, violences gratuites et multiplications des viols - un autre enseignant, Dominique Bernard, s'est fait égorger  par un autre Tchetchène qui n'avait, lui non plus, rien à faire en France. Trois autres adultes ont été blessés lors de cette agression.
 
C'est la faillite totale de l'Etat qui éclate au grand jour, et son  incapacité à protéger les Français, dont les enseignants et les élèves, autres cibles privilégiés, à présent, des  islamistes. Le plus grave est  que Macron et Darmanin, au lendemain de ce nouveau drame, n'émettent que des platitudes d'impuissants. Ils ne parlent pas d'arrêter la folle invasion migratoire, responsable de l'islamisation de la France et des violences quotidiennes des soldats d'Allah sur notre sol. Pas un mot sur la nécessaire remigration de millions d'étrangers, majoritairement musulmans, préférant les lois de l'islam à celle de la République, qui n'ont donc pas leur place en France. Aucune piste pour déchoir de la nationalité française les binationaux délinquants et les renvoyer dans le pays de leurs parents.
 
Dans quelques semaines, à Saint-Brevin, juste à côté de l'école de la Pierre Attelée, cent dix migrants, tous d'origine africaine, presque tous des hommes seuls, prendront possession du Cada, malgré le combat courageux mené par le Collectif de Préservation de la Pierre Attelée depuis près de deux ans. On s'étonne, après le drame d'Arras (d'autres catastrophes ont été évitées de peu à Limay, à Nîmes et devant d'autres écoles), du silence complice des organisations syndicales enseignantes, des Parents d'élèves, de la municipalité, du préfet et de toutes les autorités, qui ne paraissent pas mesurer, vu la proximité du Cada et de l'école, la mise en danger quotidienne des enfants et des adultes qui travaillent dans ce lieu.
 
Selon l'Union Sociale pour l'Habitant, présidée par Emmanuelle Cosse, ancien ministre de Hollande, 2,4 millions de ménages français sont en attente d'un logement social. Ne serait-il pas préférable d'installer quelques-unes de ces familles, solution qui rassurerait tout le monde ?
 
Résistance républicaine et Riposte Laïque, qui ont soutenu les militants de Saint-Brevin tout au long de leur action, demandent aux autorités d'appliquer le principe de précaution, de renoncer au projet Aurore, et d'installer des familles françaises dans le Cada. Il en va de la sécurité des enfants, des enseignants, du quartier et de toute la ville.
 
Christine Tasin et Pierre Cassen
 
Riposte laïque cliquez ici

23:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Bataclan, histoire d’une salle », un livre éblouissant de Daniel Habrekorn...

pause.jpeg

Source France Soir cliquez là

La famille de Daniel Habrekorn est propriétaire de la salle depuis plus d’un siècle. « Mon grand-père l’a dirigée puis achetée, mon père y est né, j’y ai longtemps vécu et il s’agit là aussi d’un témoignage », explique l’auteur dans l’avant-propos de son ouvrage.  

Mais il s’agit surtout d’une tranche d’histoire de la capitale, tant architecturale et urbaine que culturelle, que l’auteur nous raconte à travers les péripéties que connait la salle de spectacle de la fin du 19éme siècle à nos jours.  

Avec « Bataclan, histoire d’une salle », le lecteur plonge dans plus d’un siècle de vie parisienne à travers ses spectacles, ses faits-divers, l’évolution architecturale de la ville et se remémore des artistes parfois oubliés mais qui furent des stars en leur temps 

Les illustrations du livre sont magnifiques, et leur richesse exceptionnelle donne à « Bataclan, histoire d’une salle » un intérêt patrimonial précieux 

Daniel Habrekorn nous raconte aussi la flamboyance de l’après-guerre, la naissance du rock, de « l’underground », des péripéties de la vie politique, jusqu’à la sidération du terrible attentat du 13 novembre 2015 sur lequel il donne un témoignage unique. Concernant cette tragédie, la sévérité de son jugement envers nos institutions explique peut-être le relatif silence qui a entouré la sortie de cet ouvrage rare et singulier. 

Il partage enfin la renaissance de la salle après le drame, dont certains auraient voulu faire un musée. Une idée « délirante » d’après lui, parce qu’il « faut résister, que ça continue et que la fête recommence » et qu’il serait lamentable de céder à une telle guerre ».

61fHWmK07wL._SY466_.jpgBataclan, histoire d'une salle,

Daniel Habrekorn,

Editions Robert Laffont,

336 pages,

45,00 €

 
Autre entretien sur TV Libertés :
 

15:53 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |