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lundi, 15 mai 2023

L’aube de l’Inde-monde

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Selon l’ONU, le 1er mai dernier, la République populaire de Chine a perdu sa première place d’État le plus peuplé de la planète au profit de son voisin et rival asiatique, l’Union indienne. D’après des statistiques plus ou moins fiables, l’Inde compterait un milliard cinq cents millions d’habitants et la Chine un milliard quatre cents millions. Au-delà de l’aspect quantitatif, il est évident que le dynamisme démographique joue en faveur de la Nouvelle Delhi.

La Chine paie dès à présent les quatre décennies de politique implacable de l’enfant unique. Elle est parvenue à contenir la croissance de sa population si bien que la société chinoise commence déjà à vieillir. Les mesures délirantes du zéro covid sont une conséquence immédiate de ce vieillissement. La question des retraites à venir dans une société pas encore opulente risque de déstabiliser le monopole politique du Parti communiste chinois à l’horizon 2040.

Malgré des tentatives parfois autoritaires de réduction des naissances dans les décennies 1960 et 1970, l’Inde semble poursuivre une augmentation humaine inexorable. En réalité, la fécondité des Indiennes a fortement diminué grâce aux retombées effectives de l’essor économique. Toutefois, le volume humain est si ample que naît chaque année une douzaine de millions d’enfants dans un État qui n’a que 3 287 263 km².

L’Inde est la clé de voûte du sous-continent éponyme qui compte le Pakistan, le Népal, le Bhoutan, le Bangladesh et le Sri Lanka, voire le Myanmar. Elle se projette aussi sur les autres continents quand on s’intéresse à sa diaspora. L’Indonésie, la Malaisie et Singapour accueillent des Indiens dont les aïeux sont venus s’installer à l’époque de l’Empire britannique. Des communautés indiennes anciennes résident en Afrique du Sud et en Afrique orientale (Kenya, Ouganda, Tanzanie), sur l’île Maurice et dans le département français ultra-marin de La Réunion.

Cette présence suscite parfois des conflits. Les Tamouls de confession hindouiste ont longtemps revendiqué par les armes un État indépendant au Nord et à l’Est du Sri Lanka contre l’avis des Cinghalais bouddhistes. La question indienne a durablement perturbé la vie politique des Fidji dans l’océan Pacifique. Les nationalistes mélanésiens fidjiens ne supportaient pas la mainmise économique indienne sur l’archipel, d’où une série de coups d’État à la fin du XXe siècle. Cela n’empêcha pas qu’en 1999, le travailliste indo-fidjien Mahendra Chaudhry devienne le chef du gouvernement.

Les Fidji anticipaient une situation qui se reproduit maintenant dans le monde anglo-saxon. Le deuxième Premier ministre du roi Charles III est depuis octobre 2022, Rishi Sunak, premier hindouiste à occuper le 10, Downing Street. Si on considère les Pakistanais comme des Indiens de religion musulmane, le nouveau Premier ministre écossais s’appelle Humza Yousaf. Quant à la République d’Irlande, son Premier ministre, Leo Varadkar, a un père d’origine indienne. Au Canada, le principal animateur du NPD (Nouveau parti démocratique, une formation de gauche wokiste), Jagmeet Singh, est sikh ! L’actuelle vice-présidente des États-Unis d’Amérique, Kamala Harris, est jamaïcaine par son père et... indienne par sa mère.

Benjamin Disraeli rêvait de transférer la capitale de l’empire mondial britannique de Londre en Inde. Son désir se réalise en partie aujourd’hui avec l’arrivée au pouvoir des petits-enfants des colonisés de naguère. Les eaux de l’Indus et du Gange se mêlent à la Tamise… Les Indiens peuvent pleinement se fondre dans l’Anglosphère puisqu’ils parlent couramment la langue anglaise et connaissent par cœur les codes anglo-saxons. Ils savent s’intégrer dans une mondialisation libérale américanomorphe bien mal en point. 

Les Occidentaux gardent toujours en tête les images de bidonvilles de Calcutta où officiait Mère Teresa. Ils imaginent l’Inde en pays sous-développé avec ses millions de pauvres. Certes, la pauvreté n’a pas disparu. Cependant émerge et s’affirme une importante classe moyenne. Le groupe Tata détient les marques automobiles Jaguar, Land Rover et Hispano. L’industriel et homme d’affaires Lakshmi Mittal s’occupe d’ArcelorMittal. L’Union indienne deviendra bientôt la troisième puissance économique mondiale. L’Inde ne dispose pas d’un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Elle pourrait remplacer avec satisfaction le Royaume-Uni, ce caniche atlantiste ! Puissance nucléaire et civile, l’Inde maîtrise en outre les techniques aérospatiales avec sa base de lancement de fusées de Satish-Dhawan. Si Bangalore est la capitale informatique du pays, l’ancienne Bombay devenue Mumbay reste sa première place financière. Les studios de tournage et d’enregistrement qu’abrite cette mégalopole, « Bollywood », fournissent une grande partie de l’Asie et du Moyen-Orient en productions cinématographiques, télévisées et musicales.

Au pouvoir depuis 2014, le BJP (Parti du peuple indien) de Narendra Modi déroule une politique nationale-conservatrice libérale en économie. L’insistance gouvernementale à propager la numérisation des services publics et des activités marchandes constitue un indice préoccupant d’inclination sociétale vers un crédit social à la chinoise.

État-continent tendant vers un État civilisationnel potentiellement illibéral, l’Inde du BJP applique avec méthode son programme d’Hindutva. Or les quelque 800 langues usitées, la diversité des groupes ethniques et religieux et la permanence du système des castes malgré son interdiction constitutionnelle freinent les avancées d’une société unifiée par la couleur safran. Les nationalistes indiens se méfient par ailleurs des prosélytismes musulman et chrétien et surveillent l’activisme sikh en faveur d’un État sikh indépendant dans le Pendjab.

La politique gouvernementale indienne recèle enfin sa part de contradictions. L’Inde appartient à l’OCS (Organisation de coopération de Shanghai) qui comprend ses rivaux chinois et pakistanais. Proche d’Israël et hostile à l’islamisme politique, la Nouvelle Delhi entretient d’excellentes relations avec l’Iran et les Émirats arabes unis. Fidèle cliente en armement russe, l’Inde discute dans le cadre du « Quad » avec le bloc occidental atlantiste (États-Unis, Grande-Bretagne, Australie, Japon) afin de contrecarrer le « collier de perles » portuaire de la Chine dans l’océan Indien. Mais la patrie du non-alignement répugne à rejoindre clairement une alliance ou une entente exclusive. Elle préfère jouer sur les rivalités géopolitiques dans l’espoir d’en retirer le maximum de bénéfices. Ainsi vend-t-elle plus chers aux Occidentaux des hydrocarbures russes qu’elle a à peine reconditionnés.

Quelques oracles mentionnent un XXIe siècle chinois qui succéderait au XXe siècle étatsunien. D’autres parient sur un XXIe siècle indien du fait de la jeunesses de sa population. Conscients à la fois de ses forces indéniables, de ses atouts indiscutables, de ses faiblesses chroniques et de ses failles structurelles, les dirigeants indiens recherchent en priorité non pas une « grande politique » d’envergure intercontinentale, mais plutôt le contentement régulier des besoins élémentaires de leur population. C’est leur défi ! S’ils réussissent, ce sera alors un immense succès. Mais, pour l’instant, l’Inde-monde demeure toujours balbutiante.  

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°73, mise en ligne le 9 mai 2023 sur Radio Méridien Zéro.

00:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 14 mai 2023

Finalement, malgré Darmanin, Jeanne d'Arc a été honorée aujourd'hui à Paris

 

Aussi bien par l'Action française... 

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...que par Les Nationalistes d'Ivan Benedetti

23:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 13 mai 2023

Humeur...

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"Camp du bien"... "Camp du mal"...

Maurice Bernard

Depuis samedi dernier, 6 mai, la kermesse antifasciste est de retour. Le grand bal des faux-culs bien-pensants bat son plein.

Comme à leur habitude, les feints contempteurs de la bête immonde mais vrais adorateurs des saigneurs marxistes s’en donnent à cœur joie, sans vergogne aucune.

Comme à leur habitude, les pleutres patentés, les cocus magnifiques de la "droite courbe" - jamais las de donner des gages à une gauche qui de toute façon s’en fout, afin d’éviter un amalgame auquel, tôt ou tard, ils auront quand même droit - les ont rejoints dans leur concert de glapissements indignés.

Depuis une semaine, jour après jour, les uns et les autres se livrent à une grotesque, une écœurante course à l’échalote. Ils nous offrent le spectacle affligeant de leur montée à l’extrême dans l’indignation. Parmi les révolutionnaires déconstructeurs et leurs valets, la compétition est vive et la surenchère permanente. C’est à qui aura la colère la plus marquée, les trémolos les plus vibrants, les mots les mieux choisis et les plus forts. Sus à ces croix celtiques, ces blousons et foulards noirs qu’ils ne sauraient voir ! Haro sur ces militants dont ils ignorent tout, au sujet desquels ils croient savoir et sur qui, excités par leurs fantasmes, ils s’autorisent à dire n’importe quoi !

L’important, c’est qu’on comprenne une fois pour toute que, dans la France macronisée, mondialisée, gauchisée, submergée et wokisée de 2023, il ne saurait être question d'accorder le même traitement à un cortège de quelques centaines de jeunes nationalistes révolutionnaires, même pacifique, mais par essence intolérable (car rappelant, bien sûr, les heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire), et à un bloc de plusieurs milliers de forcenés anarcho-trotskistes dont les œuvres et les pompes rageuses ne peuvent être, fondamentalement, que l’expression, un peu brusque et maladroite, d’une légitime colère, sous-tendue par de nobles sentiments et au service d’une juste cause…

Finalement, mieux vaut les drapeaux noirs du nihilisme, les pavés, les boulons, les cocktails molotov, les ACAB, les vociférations haineuses des furieux d’extrême gauche que le "Europe, Jeunesse, Révolution" des militants de l’"ultra droite" ! C’est con et c’est consternant, mais c’est la réalité de la France d’aujourd’hui, entraînée vers le néant par une classe politico-médiatique au sein de laquelle la connaissance historique, la clairvoyance et le courage sont loin d’être les qualités les mieux partagées.

Toutefois, qu’ils y prennent garde : à trop scier la branche sur laquelle ils trônent, ils finiront bien par tomber. La révolution dévore toujours ses enfants et ceux qui leur ont fait la courte échelle…

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Journal du chaos

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08:07 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interdiction des cortèges patriotiques : Darmanin devrait revoir sa copie...

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Alors que l'extrême gauche, les Black blocs, les antifas, les racailles de banlieues, les bandes de dealers et autres nervis du Système sèment le chaos et la terreur à travers le pays, le petit monsieur qui sert de ministre de l'Intérieur ne trouve pas mieux que de s'en prendre à la Résistance nationale et identitaire en interdisant les rassemblements et colloques prévus cette fin de semaine à Paris pour honorer l'héroïne de la Nation, Sainte Jeanne d'Arc.

Darmanin pense sans doute qu'en procédant de la sorte, "il combat efficacement la bête immonde". Il devrait se souvenir que la dernière fois qu'une commémoration de Jeanne d'Arc a été interdite, c'était par un dénommé Joxe en 1990 suite à une provocation barbouzarde dans un cimetière de Carpentras. Pour info, à l'époque, 12 % des Français votaient pour "l'extrême droite", aujourd'hui, ils sont 42 %. Alors, côté efficacité de telles mesures, Darmanin devra rectifier sa copie... Ce n'est pas en interdisant ou en procédant à des dissolutions "à droite de la droite" qu'il sauvera le Système... bien au contraire, il ne fait que renforcer notre détermination.

L'"extrême droite" justement, parlons-en. En fin de semaine dernière, elle a organisé, dans un ordre impeccable et une dignité exemplaire, une belle démonstration de force à Paris. Ces mois derniers, il en fut de même à Callac (22), Saint-Brévin-les-Pins (44) ou Bélâbre (36), là où notre identité est directement menacée. Chaque semaine, des dizaines de jeunes Français rejoignent les forces patriotiques. Cela, les thuriféraires du mondialisme et de l'internationalisme, qu'ils s'appellent Macron, Darmanin ou Mélenchon, ne le supportent pas...

Que cela leur plaise ou non, il est temps que ces vestiges d'un Système aux abois se le mettent une fois pour toutes dans leurs petites cervelles : la nouvelle révolution nationale et identitaire qui est en train de germer en France sera comme la tempête... rien ne pourra l'arrêter !

07:40 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 12 mai 2023

Débat collector avec une représentante SOS Racisme sur BFMTV

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Bernard Germain 

Le 11 mai, hier, s’est déroulé sur BFMTV un débat concernant la démission du maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, et l’affaire du CADA qu’il voulait installer en le jouxtant à une école maternelle et primaire, provoquant une énorme émotion chez les parents d’élèves.

Tout d’abord, on me permettra de rappeler que cette affaire a fait le « buzz » dans tout le pays suite au communiqué de notre « Coordination Partout Callac », du 10 mai, qui annonçait la démission du maire et son départ de la ville.

Il voulait cacher cela jusqu’en juin. Informés par une indiscrétion, nous sommes fait un devoir d’en informer les brévinois et toute la presse nationale et régionale.

Ça n’a pas loupé. Toute la presse s’est précipité et le maire a été obligé de confirmer la chose.

Le lendemain, absolument tous les médias en ont parlé. L’affaire est même remontée jusqu’au président de la République (qui a tweeté), au Premier ministre qui a fait une déclaration depuis l’île de la Réunion et même à l’Assemblée nationale qui a jugé opportun de faire une « standing ovation » à ce maire immigrationniste. Seuls le députés du RN ont refusé de se lever.

Ils ont d’ailleurs eu bien raison, car se lever s’était cautionner la politique immigrationniste du maire de cette localité.

Mais, je souhaite attirer l’attention des lecteurs sur l’opération politique en cours qui récupère un fait, somme toute banal (la démission du maire), pour en faire une machine de guerre contre la France et les français qui, à 70 % souhaitent qu’on arrête toute immigration.

Tout d’abord, le maire - selon des indiscrétions - avait déjà pris depuis un certain temps la décision d’abandonner son poste et de quitter la ville de Saint-Brévin. Il semble donc tout à fait crédible qu’il ait saisi le prétexte de l’incendie de ses deux voitures pour justifier et « habiller » son départ.

D’autre part, il est évident qu’une opération politique majeure est en cours pour profiter de l’évènement afin d’enclencher une mobilisation nationale, en apparence pour soutenir le maire Morez « obligé de partir », mais dont la vraie raison est de soutenir la politique immigrationniste menée par Macron et soutenue par toute la gauche et les bien-pensants que rejettent 70 % des Français qui « puent des pieds » et ne sont que des égoïstes ne voulant pas accueillir les « pauvres réfugiés » qui fuient. 

La meilleure preuve étant que Johanna Roland, maire de Nantes (ancienne directrice de campagne de Hidalgo... 1,74 % à la présidentielle) appelle à une manifestation à St-Brévin le 24 mai.

En clair, manifestation soi-disant pour soutenir Morez victime de la mobilisation de « l’extrême droite » contre le CADA, mais en réalité pour afficher un soutien à la politique immigrationniste de Macron afin qu’il continue de plus belle.

Tout le ban et l’arrière ban de la gauche et des progressistes seront là. Et personne ne leur demandera s’ils habitent Saint-Brévin.

Tout cela est clair comme de l’eau de roche : toute la gauche, les bien pensants, les macronistes et la droite « républicaine » vont utiliser cet évènement pour mettre une énorme pression sur les Français, les culpabiliser et tenter de les contraindre à accepter l’immigration qu’ils refusent.

S’ils continuent à refuser, preuve sera faite qu’ils sont du côté de ceux qui ont fait partir Morez, donc qu’ils seront des gens contre la démocratie et la république… bref des fachos.

À ce niveau, ce n’est plus une ficelle, c’est un câble.

Mais revenons à cette émission de BFMTV du 11 mai.

Si vous l’avez manquée, il faut absolument la voir. C’est collector, comme disent certains.

Elle est là : cliquez ici 

Sont présents sur le plateau : la vice présidente de SOS Racisme, un représentant du PS, Tugdual Denis directeur adjoint de la rédaction de Valeurs Actuelles, Christophe Barbier, et les deux animateurs. Je suis pour ma part invité à intervenir, en visioconférence, en cours de débat.

Après une introduction de BFMTV pour présenter le dossier et les réactions de l’État, notamment la position du 1er ministre, le présentateur donne la parole au représentant du PS.

Celui-ci commence en dénonçant les « violences de l’extrême droite ».

Ça part fort !

Quelles violences de l’extrême droite ? … aucune explication, aucun exemple ne sera donné. Et pour cause, il n’y en a jamais eu.

En vérité, le seul fait de manifester pour exprimer son désaccord est une « violence » pour ces gens.

Pour avoir été à plusieurs reprises à Saint-Brévin, à chaque fois, les seules violences que j’ai vues étaient celles des antifas venus en contre manifestation. Comme à Callac.

Mais les violences des antifas ne sont jamais condamnées par la gauche.

Cela me rappelle l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. La gauche et la presse avaient à l’époque dit que c’était le fait de l’extrême droite.

Mais quand la police a arrêté les auteurs c’étaient des antifas. La gauche et la presse n’ont pas communiqué sur cette information. Ça vous étonnes ?

Le présentateur lui demande s’il voit un lien entre ces « violences d’extrême droite » et l’incendie de la maison du maire. Le représentant PS manque de lui répondre que oui, se reprend et déclare que c’est le climat de violence instauré par l’extrême droite qui a provoqué l’incendie.

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20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 13 mai : LA VENDÉE À L'HONNEUR

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20:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ursula von der Leyen et Pfizer, un scandale ?

Député européen membre du Rassemblement national, Virginie Joron était à la CPAC Hungary les 4 et 5 mai 2023. Un rendez-vous incontournable des conservateurs du monde occidental organisé pour la deuxième année consécutive à Budapest par le Centre pour les droits fondamentaux, un think-thank proche du gouvernement hongrois.

Membre de la Commission COVID au Parlement européen, Virginie Joron est connue pour son combat en faveur des libertés et contre l’obligation vaccinale, et affirme que les contrats passés entre la société Pfizer et la Commission européenne l’ont été dans la plus grande opacité. Yann Caspar, journaliste, juriste et auteur franco-hongrois, s’est entretenu avec elle sur ces questions lors de son séjour à Budapest, le 5 mai 2023.

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12:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre Russie numéro spécial de la revue Eléments

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Dédié à notre amie Darya Douguine, « Notre Russie », le hors-série d’Éléments propose une anthologie inédite des meilleurs textes sur les mondes russes parus depuis un demi-siècle. Un voyage exclusif au cœur des archives d’Éléments et de toutes ses revues sœurs ! Le sommaire donne la mesure de la richesse de ce numéro unique en son genre qui passe en revue les mondes russes sous tous les angles et dans tous les domaines, de l’histoire aux sciences, de la géopolitique à la guerre, en passant par la littérature, le cinéma, la mythologie, etc. Ici, dans ce numéro exceptionnel, et nulle part ailleurs, Alexandre Douguine dresse le portrait de Vladimir Poutine, Zakhar Prilepine décrit la guerre du Donbass, Gérard Depardieu s’insurge contre la russophobie, etc. Au total, le hors-série « Notre Russie » regroupe une trentaine de textes majeurs d’Alain de Benoist, François Bousquet, Jean Cau, Slobodan Despot, Pascal Eysseric, Olivier François, Pierre Gripari, Edouard Limonov, Pierre Vial, Jean Mabire, Philippe Conrad, etc. 

Hors-série N°2 Mai 2023 -  132 pages - 11,90 €  En kiosque 

09:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 11 mai 2023

Le maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, jette l’éponge et quitte la ville

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Bernard Germain

Yannick Morez, maire de Saint-Brevin (44) s’est rendu célèbre en étant le promoteur et l’ardent défenseur d’un projet de CADA jouxtant l’école maternelle et l’école primaire de la Pierre Attelée. Devaient venir dans ce CADA 120 Africains hommes qui, pour accéder au CADA, devaient passer par la porte de l’école.

Évidemment, de nombreux parents d’élèves se sont émus de ce projet insensé, faisant notamment valoir la nécessaire mise en œuvre du « principe de précaution » s’agissant de la sécurité des enfants, car si tous les migrants ne sont pas de dangereux individus, il pourrait s’en trouver qui le soient et les parents d’élèves refusent de faire prendre le moindre risque à leurs enfants.

Leur rejet du projet s’est exprimé au travers de l’organisation de 4 manifestations devant la mairie de St-Brevin, réunissant à chaque fois plusieurs centaines de personnes. Il semble bien que l’obstination des parents ait eu raison de la surdité du maire à leurs doléances.

Nous avons le grand plaisir d’annoncer que des indiscrétions nous ont permis d’apprendre que le maire va abandonner son mandat et quitter la ville en juin 2023. C’est ce qu’il a annoncé à son cercle rapproché.

Comme à Callac, où le maire Jean-Yves Rolland entendait attendre le 28 janvier 2023 pour annoncer l’arrêt du projet Horizon, à Saint-Brevin le maire entendait attendre le mois de juin pour faire l’annonce de l’arrêt de son mandat et celle de son départ de la ville. Nous nous faisons un plaisir d’en informer, sans attendre, les Brévinois et au-delà toute la presse.

Reste une double question :
Que va faire le conseil municipal avec l’annonce du départ du maire  ?
Que va devenir le projet de CADA à la Pierre Attelée ?

Après avoir fait gravement monter la tension dans sa commune, Yannick Morez, soutenu par son conseil municipal, abandonne ses colistiers à leur triste sort et les laisse gérer seuls le dossier brûlant du CADA.

Nous ne serions pas étonnés que la majorité municipale vive assez mal cette « trahison » du maire et sa fuite piteuse. Allons-nous vers une explosion de la majorité du conseil municipal et peut-être de nouvelles élections ?

Quant au projet de CADA, va-t-il lui aussi disparaître comme le maire  ? Ce serait certainement la solution la plus sage afin que la localité retrouve son calme et sa sérénité.

Les jours qui viennent seront, à n’en pas douter, riches d’enseignements.

Lire le site de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)

12:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 10 mai 2023

Deux nouveaux livres prochainement publiés par Synthèse nationale

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13:35 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Antifas : on pourrait finir par en rire

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Bernard Germain

Aujourd’hui 10 mai, le journal Ouest-France publie un article informant ses lecteurs du verdict rendu par le tribunal de St-Brieuc à l’encontre de deux antifas arrêtés le 28 janvier 2023 à Callac lors des vœux du maire, pour avoir affronté les gendarmes devant la mairie.

Rappelons quelques éléments.

Le 17 septembre 2022, manifestation autorisée des patriotes devant la mairie de Callac, réunissant 400 personnes contre le projet Horizon qui entendait faire venir dans le village 70 familles représentant plus de 500 personnes (25 % de la population du bourg).

Le même jour, contre-manifestation de la gauche et des antifas. Manifestation non déclarée et durant laquelle les antifas ont attaqué les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 5 novembre 2022, seconde manifestation autorisée des patriotes devant la mairie avec 800 personnes cette fois (600 selon la police).

De nouveau, contre manifestation non déclarée de la gauche et des antifas. À nouveau, violents affrontements des antifas avec les gendarmes.

Aucune arrestation. Aucune poursuite.

Le 28 Janvier 2023, lors des vœux du maire à Callac. Danièle Le Men, présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » est agressée par des antifas devant la mairie. S’ensuivent des affrontements entre antifas et gendarmes, pour la troisième fois. Le lendemain le journal, le Télégramme de Brest, informe : « un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie taguée et deux arrestations ».

Effectivement deux antifas sont arrêtés et mis en garde à vue.

Ce sont ces deux individus qui viennent d’être jugés.

On notera avec intérêt que les chefs d’accusation ont « oublié » le gendarme blessé. Le Télégramme de Brest a donc menti à ses lecteurs… il n’y a pas eu de gendarme blessé. Qu’on se le dise !

Et le verdict fait froid dans le dos par sa sévérité : 35 heures de Travail d’Intérêt Général pour l’un et relaxe pour l’autre.

Moi je vous le dis, maintenant qu’ils savent que la justice est impitoyable, les antifas vont trembler et ne recommenceront certainement pas à agresser les gendarmes ni les patriotes qui défendent leur pays.

Plus sérieusement, même si je sais qu’un procureur est seul décisionnaire de l’opportunité des poursuites, on est quand même en droit de s’interroger :

  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les deux contre manifestations non déclarées ?
  • Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les violences des antifas contre les gendarmes les 17 septembre et 5 novembre ?
  • Pourquoi le gendarme blessé le 28 janvier a-t-il disparu de la procédure ?
  • Pourquoi, seule la dégradation d’un véhicule de gendarmerie est-elle retenue, mais aucune violence ?
  • Pourquoi l’interdiction de paraître dans le département (22) pour ces deux antifas a-t-elle été réduite à la seule ville de Callac ?

Cela commence à faire beaucoup de questions qui sont autant de preuves que le régime ne veut pas en finir avec la violence des antifas qui pourtant sèment le chaos dans toute la France.

À l’inverse, la manifestation des jeunes patriotes à Paris, samedi dernier, s’est déroulée sans aucun incident, sans aucun feu de poubelle, pas plus qu’il n’y eut de violence. Ils ont simplement exprimé leur volonté de défendre leur pays. Sans violence ni dégradation. Mais là, tout le monde leur est tombé dessus. De l’extrême-gauche jusqu’au ministre de l’intérieur.

C’est donc clair, pour tous ces bien-pensants qui refusent de voir et de condamner les violences quasi quotidiennes des antifas - en fait de vrais petits nervis du mondialisme - défendre son pays est un délit et quiconque s’aventurera sur ce chemin devra en répondre.

Sauf que cela produit l’effet exactement inverse. De plus en plus de jeunes, comprennent les choses et rejoignent les rangs des patriotes.

Au reste, la situation devient à ce point caricaturale qu’on pourrait presque en rire, si la situation du pays n’était pas si grave.

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Nuages noirs sur l'Europe

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Jean-Gilles Malliarakis

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Misérablement désavoué à l'intérieur de ses frontières par sa prestation, ce 8 mai, sur les Champs-Élysées déserts, le chef de l'État a donc cherché à regagner en popularité. Il s'est donc posé le lendemain 9 mai en porte-parole de la "Journée de l'Europe".

Confondant une fois de plus la réalité de notre Vieux Continent avec les institutions hasardeuses qui le régissent, il présente celles-ci comme protectrices de nos peuples. Or, manifestement, les dangers grandissants qui nous menacent et se multiplient se voient occultés par ceux-là mêmes qui prétendent nous défendre.

Malheureusement, en effet, depuis la déclaration Schuman de 1950, sans doute méritoire en son temps, la puissance collective de l’Europe n’a guère avancé : elle a même reculé sur tous les continents. De nouvelles orientations ont été imposées par les traités de Maastricht en 1991 et de Lisbonne en 2007. Leurs conceptions sortaient largement des crânes tristes et gris de technocrates français comme Jacques Delors et Pascal Lamy, ses rédacteurs. Or, loin de nous libérer, elles nous ligotent un peu plus.

Dans le contexte de la guerre d'Ukraine, où l'Union européenne se reconnaît elle-même impuissante à se défendre sans le concours des États-Unis, d'autres dangers apparaissent.

Depuis le 6 avril et l'accord irano-saoudien conclu à Pékin le rapprochement stratégique du communisme chinois et de l'islamisme devient ainsi de plus en plus clair. Inutile de souligner le poids des signataires sur le front du pétrole.

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12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après les attaques de la presse aux ordres dont il est la victime, le Comité du 9 mai communique :

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Ni violence, ni dégradation, mais c'est les nationalistes qui sont calomniés par la presse complotiste du Système... Que cela leur plaise ou non, toutes les semaines, à travers la France, des centaines de jeunes non-conformistes rejoignent la Résistance nationale et identitaire...

12:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’université française soumise aux Frères musulmans ?

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Michel Festivi 

Florence Bergeaud-Blackler, universitaire chercheur au CNRS, auteur d’une enquête sur les ramifications françaises et européennes des Frères musulmans, publiée chez Odile Jacob, le Frérisme et ses réseaux, vient de voir suspendue la conférence qu’elle devait tenir en Sorbonne le 12 mai.

La doyenne, sans la prévenir aucunement, et sans qu’à ce jour de quelconques manifestants potentiels se soient fait connaitre en a ainsi décidé sur le faux-prétexte « de raisons de sécurité ». L’université française est devenue une machine wokiste et de surcroit soumise aux islamistes.

Depuis la sortie de son livre, FBB est confrontée à des menaces de mort, et à une cabale universitaire pour l’empêcher de s’exprimer et de parler de son livre. Le CNRS après bien des atermoiements, lui a d’ailleurs consenti une protection fonctionnelle pour qu’elle puisse attaquer en justice ses diffamateurs et insulteurs.

Une protection policière a dû lui être octroyée. FBB a confié au journal Marianne son indignation, Valeurs Actuelles vient de relayer cette information. FBB dénonce aussi un certain nombre de ses collègues qui par tract l’accuse de racisme. C’est bien connu quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage.

Pourtant la ministre de l’Enseignement dit supérieur, avait soutenu cette anthropologue, était-ce une simple posture ? FBB vient de demander à être reçue par cette dernière.

Jusqu’où sombrera dans l’islamo-gauchisme l’université française ?

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Trésor imaginaire

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Gaëtan de Capèle

La ficelle vaut ce qu’elle vaut, mais tout est bon, par les temps qui courent, pour retrouver un peu d’oxygène politique. Contrairement à la réforme des retraites, le gouvernement trouvera peu de contradicteurs face à lui pour s’opposer à son plan de lutte contre la fraude fiscale. A fortiori s’il vise en priorité l’évasion des très gros revenus et des grandes entreprises, deux gibiers de choix dans un pays si défiant à l’égard de la richesse. Personne ne viendra contester cette traque à grande échelle qui n’a rien de choquant en soi : quoi que l’on pense de la rapacité du fisc, se soustraire frauduleusement à l’impôt constitue bien un acte de délinquance.

La désignation des « ultrariches » et des « multinationales » à la vindicte populaire flattera sans doute les amis de Jean-Luc Mélenchon et apaisera peut-être un peu ces classes moyennes que le gouvernement rêve de reconquérir. Il n’est pas certain en revanche que cela soit d’un grand secours pour résoudre les problèmes budgétaires de la France. La tarte à la crème de la cagnotte cachée dans les paradis fiscaux sert traditionnellement de cache-misère pour justifier sur le papier des promesses électorales intenables. Nul n’est capable d’évaluer ce trésor imaginaire, pas même le ministre des Comptes publics. Au passage, les services de Bercy font déjà preuve d’une efficacité redoutable pour contrôler et redresser les contrevenants.

Sur le fond des choses, la France ne souffre pas tant d’un problème de fraude que de pression fiscale. Championne toutes catégories des impôts et taxes, pour les entreprises comme pour les particuliers, elle prélève plus que partout ailleurs, dans des proportions préoccupantes, pour un résultat édifiant : des déficits sans fin, une dette gigantesque et des services publics dégradés. Davantage que faire miroiter d’hypothétiques rentrées de capitaux, la voie la plus sûre pour retrouver les faveurs des classes moyennes commence par réparer ce qui ne fonctionne plus, en dépensant l’argent public avec discernement et efficacité.

Source : Le Figaro 10/5/2023

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mardi, 09 mai 2023

Stop à l'embargo mortel en Syrie !

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Stop à l'embargo mortel en Syrie !

Nous revenons d'un voyage d'études en Syrie, invités par Adnan Azzam, écrivain et président du Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples.

Nous sommes allés à Damas, Alep, Soueïda et nous avons pu constater les conséquences désastreuses de l'embargo imposé à la République Arabe Syrienne par les Etats-Unis et l'Union européenne. Poursuivre la guerre sur le plan économique est voué à l'échec, car le peuple syrien, loin d'être résigné, restera fidèle à ses traditions, à sa culture et à sa liberté.

Mais les conditions de vie du peuple syrien, à cause des effets dévastateurs de l'embargo et des conséquences du tremblement de terre récent dans le nord de ce pays, deviennent de plus en plus difficiles. Les nourrissons et les enfants sont les premières victimes des sanctions économiques.

Manque de médicaments, de nourriture, de produits de première nécessité, d'électricité, de chauffage, tel est le lot quotidien du peuple syrien. Nous avons pu constater qu'à Alep, les conditions de vie pour les habitants sont très difficiles. Le tremblement de terre récent n'a fait qu'aggraver la situation.  

- Avons-nous le droit de laisser perdurer cette situation intolérable sans sourciller ?

- Avons-nous le droit de détourner le regard sans se poser de questions ?

- Avons-nous le droit de ne pas nous élever contre cette persécution qui dure depuis plus de 10 ans ?

- Avons-nous le droit de ne pas interpeller nos dirigeants afin que cesse les morts inutiles ?  

Si officiellement, les sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n'ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l'extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque - connu et calculé par les promoteurs de l'embargo - de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l'humanité.

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s'arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l'homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes.

Nous demandons solennellement l'arrêt immédiat de l'embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser IMMEDIATEMENT et IMPERATIVEMENT.

Signataires de ce texte :

Adnan Azzam. Président du Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples.

Membres :

Général Dominique Delawarde, Capitaine Pierre L.Plas, Alexandre Garacotche, Mrs Halima Merabet, Mrs Dominique Mouillard, Ignace Lovel, Aïssa, Mrs Geneviève Squifflet, Claude Janvier, Philippe Cuttat

Contact : mispdanslemonde@proton.me

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Racisme : quand la réalité dément la fiction woke

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La chronique de Philippe Randa

Le 18 avril dernier à Tusla (Oklahoma), un noir, Carlton Milord, a abattu dans la bibliothèque Rudisill deux personnes blanches pour la seule et unique raison de leur couleur de peau, ainsi que l’a confirmé le procureur du comté Steve Kunzweiler : « Les informations suggèrent que la race des victimes a joué un rôle dans les meurtres. »

L’information, publiée sur le site Foxnews (www.foxnews.com), a été traduite et rapporté sur le site Les.Observateurs.ch (https://lesobservateurs.ch) le 7 mai : quel autre média français ou européen s’en est également fait l’écho ? Certes, peut-être qu’en cherchant bien, on trouverait, c’est bien possible, mais imaginons maintenant que ce soit un homme blanc qui ait abattu deux hommes noirs – ou jaunes ou rouges – uniquement à cause de leur race ? Quel en aurait été le retentissement médiatique ? Poser la question est y répondre.

Et les mêmes qui passent sous silence une telle information ne rentrant pas dans leur kit de pensée politiquement correcte, n’hésitent guère à accuser ceux qui le font de se repaître d’un tel fait divers qui prouverait justement leur racisme congénital d’homme blanc.

Quant à ceux qui affirment simplement que tout crime au seul motif d’une couleur de peau différente, et quelle que soit celle-ci, est commis à l’évidence par des déments qu’il convient de mettre hors d’état de nuire – et plutôt définitivement que momentanément –, ils se voient alors suspectés de vouloir minimiser la culpabilité du seul et unique racisme qu’il conviendrait de pourfendre : celui, encore et toujours, de l’homme blanc dont le fardeau n’est plus de « tenir le monde en ordre », tel que le concevait Rudyard Kipling, mais d’expier pour l’éternité celui de sa naissance.

Le racisme est le sentiment le plus partagé dans le monde, quelles que soient les frontières, les lois, les peuples ou les coutumes. Il faut être inconditionnellement wokiste pour ne pas reconnaître une telle évidence. Préférons pour notre part suivre le principe de Charles Péguy pour qui « celui qui ne gueule pas la vérité lorsqu’il la connaît se fait complice des menteurs et des faussaires ! »

Article paru sur le site du Nouveau Présent.

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L’élévation de l’âme chez Platon – Conférence de Camille Mordelynch à Grenoble ce samedi 13 mai

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E&R Grenoble recevra Camille Mordelynch le samedi 13 mai 2023 à 15 h dans les environs de Grenoble pour une conférence sur le thème « L’élévation de l’âme chez Platon. Entre Eros et Logos ».

La présentation de l’événement :

Pour faire s’élever l’âme et la tourner vers les vérités essentielles, Platon pense deux chemins : celui de la connaissance, illustré dans la République par l’analogie de la ligne, et l’allégorie de la caverne, où l’âme remonte, par sa partie rationnelle, du monde sensible à l’Intelligible ; et la voie, moins connue, du désir amoureux, exposé dans le Banquet.

Du logos à l’eros, découvrez l’odyssée de l’âme, lancée à la recherche du Vrai, du Beau, du Bien.

Entrée : 10 euros (7 euros pour les adhérents E&R) ; paiement possible en monnaie libre (10 Junes pour 1 €) 

un petit clic sur l’affiche pour remplir le formulaire d’inscription !

Goûter à l’entracte

Stand Kontre Kulture et possibilité de précommandes

L’adresse exacte vous sera communiquée quelques heures avant l’événement

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TERMINONS NOTRE RÉSEAU AUTOROUTIER

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Scipion de Salm

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Plusieurs dizaines de millions de Français utilisent la voiture dans leurs déplacements quotidiens, que ce soit pour le travail, les loisirs - y compris les clubs sportifs des enfants, indispensables à leur éducation -, bien souvent les courses familiales. Beaucoup de nos compatriotes des classes populaires et moyennes ont été obligés de fuir les trop fameuses banlieues grand-remplacées, et bien des quartiers centraux aussi désormais ; on ne peut pas vivre, et encore moins élever ses enfants dans des environnements qui ne sont pas sûrs. De même, les transports collectifs, quand ils existent, outre leur lenteur, sont souvent mal fréquentés. Dans les lointaines périphéries des villes, toujours des bassins d’emploi, la voiture est tout simplement indispensable. C’est à plus forte raison vrai pour les Français néoruraux, qui, tout en appréciant le cadre de vie, ont été aussi souvent contraints à cette migration intérieure. Or, les 39 millions de voitures qui circulent en France, soit une quantité absolument massive, et appelée à le rester durant un moment dans tous les scénarios réalistes d’avenir, sont l’objet d’une excommunication majeure par l’intelligentsia écologauchiste dominante. En parler positivement, manifester de la bienveillance envers les automobilistes et leurs difficultés, est considéré quasiment comme une indécence. Telle n’est pas la position, bien au contraire, du Parti de la France.

La France dispose, héritage des années 1960-1980, d’un réseau autoroutier à peu près complet et cohérent. Il s’agirait pourtant de l’achever enfin véritablement, ce qui rendrait un grand service à plusieurs millions de nos compatriotes pour les quelques sections manquantes. Or, presque tous ces projets ont été abandonnés les uns après les autres depuis 2010. Parmi les rares rescapés, l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres est désormais menacée par les manifestations violentes des écologauchistes. Parmi les projets abandonnés, et à l’utilité immédiate évidente, on mentionnera l’autoroute A24 Amiens-Lille, via Arras et Lens, trou noir singulier du réseau, ou l’A31bis, entre Nancy et Luxembourg, via Metz, qui doublerait une A31 dangereuse, ou l’A51, entre Grenoble et Sisteron, qui permettrait surtout en traversant les Alpes de soulager l’axe rhodanien saturé, et enfin l’A45 entre Lyon et Saint-Etienne, qui serait fort utile dans une région densément habitée, et typiquement peuplée de Français fuyant des environnements urbains devenus impossibles.

L’État trouve toujours des dizaines, des centaines de milliards, pour des dépenses douteuses ou absurdes, de la Covid aux plans-banlieues. Le Parti de la France propose une saine gestion de notre pays, des économies massives, à commencer par les 120 milliards d’euros annuels nets du coût de l’immigration. Les économies réalisées permettront de baisser les impôts des Français, et d’investir les quelques milliards nécessaires pour achever enfin notre réseau autoroutier national tout en supprimant les péages, insupportable racket des automobilistes.

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Les ramifications du frèrisme dans le Nord.

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Michel Festivi 

Valeurs Actuelles du 3 mai 2023 nous apprend que cinq dirigeants de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq ont été placés en garde à vue pour des soupçons de détournements de fonds.

Parmi eux, le président de l’association gérant cette mosquée. Il s’agit en réalité d’un véritable « centre islamique » qui a commandé d’énormes travaux dans le milieu des années 2000. Selon V.A, cette mosquée était financée par une ONG qatarie. Un ex frère musulman, Mohamed Louizi a accusé ce président, l’imam Mohamed Karrat, d’obtenir des fonds d’un organisme ouvertement islamiste. Mohamed Karrat, toujours selon V.A, aurait reconnu que des fonds lui avaient été remis par cette ONG qatarie, dénommée, Nectar Trust, ou Qatar Charity : « soupçonnée de financer discrètement l’islamisme radical à travers le monde et notamment en Europe », dixit le Figaro du 4 mai 2023.

C’est un signalement du Préfet du Nord du 9 mars 2022, qui a permis au Procureur de la République d’ouvrir une enquête préliminaire pour des faits présumés d’abus de confiance et d’exercice illégal de la profession de banquiers. En effet, à la suite d’une demande de subvention à la préfecture en 2022 à hauteur de 250 000 euros, les organes de l’état ont soupçonné des malversations, car le budget de fonctionnement de la mosquée était dérisoire, les dirigeants pouvant dissimuler d’autres sources de financements.

Pour l’instant, ces cinq personnes présentées au Parquet à l’issue de leur garde à vue, sont dans l’attente de leur procès, et ont été placées sous contrôle judiciaire avec interdiction de gérer une association et de prendre contact les unes avec les autres. En principe, l’audience de jugement est prévue pour le 8 février 2024.

En 2013, la commune concernée avait refusé un projet d’agrandissement, et le Tribunal Administratif de Lille a rejeté un recours de la mosquée « soupçonnant les dirigeants d’avoir détourné une partie de l’argent récolté en vue de ces travaux », selon Le Figaro du 4 mai 2023, la cause est en appel.

En 2016, dans un ouvrage intitulé : Pourquoi j’ai quitté les Frères musulmans, chez Michallon, Mohamed Louizi accusait ces dirigeants d’être proches des Frères musulmans. Il a fait l’objet de menaces.

En tout cas, selon les éléments donnés par cet article du Figaro, des perquisitions auraient permis de retrouver plusieurs milliers d’euros et mettre à jour un réseau de financement opaque. Un prêt de 200 000 euros aurait été accordé par ce centre islamique au lycée Averroès de Lille où enseignaient plusieurs des mis en cause, prêt qui n’a pas été remboursé.

En tout état de cause, et comme le titre Le Figaro dans son article du 6 mai 2023 : « Les lourds secrets du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, vitrine lilloise des Frères Musulmans » sont dans le collimateur de la justice. Cet article relève aussi que ce centre islamique serait propriétaire à 90% de deux biens immobiliers loués sous forme de résidence étudiante, et ce alors que les statuts du centre ne prévoyaient pas ce type d’activité.

Ce même journal met aussi en exergue, les liens qui avaient été tissés avec l’ancienne municipalité de cette citée du Nord, au nom de sombres visées électoralistes, sous le regard bienveillant des gauches comme souvent, les islamistes appelant à voter pour ceux qui leur avaient beaucoup accordé. Cet article remémore le livre de Georges Malbrunot et de Christian Chesnot, Qatar papers paru chez Michel Lafon en 2019, essai qui voulait démontrer que le Qatar, via des dons, avait financé ce centre islamique et le lycée Averroès pour un total de 4,6 millions d’euros.

Comme le souligne cet excellent article parfaitement documenté : « Reste qu’en une vingtaine d’années, les autorités musulmanes de Villeneuve-d’Ascq ont bâti un véritable complexe… adossé à l’organisation tentaculaire que représente la Ligue islamiste du Nord… qui constitue l’un des centres névralgiques des réseaux des frères musulmans en France ».

En 2019, Xavier Bertrand, Président de Région, avait refusé de verser au lycée d’enseignement musulman Averroès (lycée sous contrat avec l’état), une subvention de « forfait d’externat », après avoir découvert dans la comptabilité du lycée une aide de 850 000 euros reçue du Qatar Charity, aide versée via une mosquée de Mulhouse. Des recours judiciaires sont en cours.  Cf le Figaro du 12 avril 2021.  

C’est tout cela, et bien d’autres choses que dénonce Madame Florence Bergeaud-Blackler, chercheur au CNRS, dans son livre, Le Frérisme et ses réseaux l’enquête, publié en début d’année chez Odile Jacob, avec une préface de Gilles Kepel. Cela lui a valu des menaces de mort, une protection policière, et les injures des islamo-gauchistes de l’université.

C’est aussi déjà en 2014, ce que soulignait Michaël Prazan, journaliste et réalisateur de documentaires, auteur de : Frères musulmans. Enquête sur la dernière idéologie totalitaire, chez Grasset. C’est cette même confrérie à laquelle se rattache l’imam Hassan Iquioussen, et il détaille l’histoire de cette nébuleuse dans une remarquable tribune publiée par le FigaroVox le 11 août 2022 : « Au-delà de « l’affaire Iquioussen » : l’histoire et l’influence des Frères musulmans ». A lire et à faire lire.

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Les pharaons, ces élecriciens…

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Bernard Lugan

Madame Rama Yade, ancien ministre sous la présidence de Nicolas Sarkozy, a pris la défense du rappeur « maître Gims » qui, lors d’un entretien de nature surréaliste publié le 22 mars dernier sur Youtube, expliquait doctement que les anciens Egyptiens qui, selon lui étaient naturellement noirs de peau, connaissaient entre autres l’électricité : « Les pyramides (…) au sommet il y a de l’or. L’or, c’est le meilleur conducteur pour l’électricité. C’était des foutues antennes, les gens avaient l’électricité […]. Les Égyptiens, la science, qu’ils avaient, dépasse l’entendement et les historiens le savent. 

Dans sa défense du « rappeur-historien », Madame Rama Yade développe un argumentaire « encyclopédique » embrassant les millénaires allant du néolithique à l’Antiquité pour asséner sa vérité qui est que l’Afrique - lire les Noirs-, a détenu au début de l’humanité « le leadership » sur le reste des continents, en particulier sur l’Europe - lire les Blancs ».

Or, en dépit de ses immenses talents, Madame Rama Yade n’a pas inventé l’affirmation de la supériorité ontologique de la « négritude » actuellement mise en avant par l’afrocentrisme et le « décolonialisme »,. Cette idéologie racialo-revancharde repose en effet sur les postulats énoncés par Cheikh Anta Diop dans les années « 1950-1960 ». Autodidacte-compilateur ce dernier soutenait ainsi que l’histoire est une falsification des Blancs destinée à occulter le legs « nègre » au capital de l’humanité. Pour Cheikh Anta Diop, les Noirs ont en effet tout inventé, le premier homme était un Noir et l’ancienne Egypte était « nègre ». Or, par racisme, parce qu’ils ne pouvaient admettre de tout devoir aux Noirs, les Blancs ont caché que la culture grecque est « nègre » et que, par conséquent, la civilisation européenne dont elle découle est un héritage, un legs « nègre ».

Pour Cheikh Anta Diop :« Le Nègre ignore que ses ancêtres (…) sont les plus anciens guides de l’humanité dans la voie de la civilisation ; que ce sont eux qui ont créé les Arts, la religion, (en particulier le monothéisme), la littérature, les premiers systèmes philosophiques, l’écriture, les sciences exactes (physique, mathématiques, mécanique, astronomie, calendrier…), la médecine, l’architecture, l’agriculture, etc., à une époque où le reste de la Terre (Asie, Europe : Grèce, Rome…) était plongé dans la barbarie » .

Sans entrer dans une polémique stérile au sujet des fantasmes et des contre-vérités frisant le surréalisme contenus dans les lignes qui précèdent, disons simplement, pour nous en tenir à la seule agriculture, que vers – 5000 av.J.C., des Flandres au Danube se constitua une civilisation paysanne européenne utilisant la traction animale, tandis-que l’Afrique sud-saharienne, l’Afrique noire, n’a, quant à elle, découvert cette dernière, ainsi d’ailleurs que la roue, la poulie et la culture attelée… qu’avec la conquête arabe puis la colonisation, soit presque 6000 ans plus tard… Quant aux trois-quarts des plantes alimentaires consommées aujourd’hui au sud du Sahara (maïs, haricots, manioc, patates douces, bananes, etc…), elles sont d’origine américaine ou asiatique et elles y ont été introduites à partir du XVI° siècle par les colonisateurs portugais…

Or, nous devons bien avoir à l’esprit qu’avec l’afrocentrisme et ses dérivés, nous ne sommes pas face à de simples élucubrations, mais en présence d’une idéologie abreuvée au mythe d’une « nation africaine » dont l’histoire grandiose aurait été occultée à la suite d’un complot raciste de la science historique occidentale. Ses postulats farfelus sont devenus vérités à l’ère du wokisme et ils prospèrent dans la négation du réel. Pour oublier l’enfer de leur histoire, les afrocentristes s’inventent ainsi un passé paradisiaque, enfouissant leurs frustrations dans le refuge de l’imaginaire tout en proposant une compensation-revanche par l’invention d’une suprématie passée.

Source : le site l’Afrique réelle.

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lundi, 08 mai 2023

Une marche à Paris en mémoire de Sébastien Deyzieu, décédé le 9 mai 1994

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Un communiqué du Comité 9 mai :

29 ans après l'assassinat de notre camarade Sébastien Deyzieu, 700 militants nationalistes ont honoré sa mémoire hier dans les rues de Paris.

Chaque année nous sommes plus nombreux à rendre hommage à Sébastien et à tous les militants nationalistes français et européens assassinés, en dépit des pressions politiques, policières et médiatiques.

Le Comité du 9 Mai remercie l'ensemble des organisations et des militants présents ainsi que nos camarades bulgares, italiens et hollandais venus commémorer les martyrs du nationalisme.

Nous vous donnons rendez-vous dès à présent le samedi 11 mai 2024, pour les 30 ans du C9M, encore plus nombreux et déterminés !

Continuons la lutte, par tous les moyens et sous toutes ses formes, au nom de Sébastien et de tous nos camarades victimes de la répression.

Pour Sébastien et tous les camarades assassinés : Présents !

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dimanche, 07 mai 2023

Bercoff face à la meute

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Bernard Germain

Le fait est de plus en plus visible, notamment en France, la démocratie est réellement en danger. Il n’y a quasiment pas un jour sans que la réalité ne nous rappelle cette vérité. A condition de voir ce qui se passe. Ou plus exactement d’accepter de voir.

Charles Péguy disait : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ».

Toute la presse aux ordres, tous les politiciens pratiquant le politiquement correct, toutes les associations bien-pensantes, passent leur temps à travestir les choses et présentent à la population une « réalité » totalement transformée pour les besoins de leur cause. 

Depuis les violences réelles des antifas, les violences imaginaires de l’extrême-droite, l’immigration incontrôlée, la délinquance, l’insécurité démente qui règne partout en France, les mensonges sur le climat et notre prétendue obligation de tout remettre en cause de ce fait,… tout est mensonge et affabulation. Un véritable rouleau compresseur afin de s’assurer que le bourrage de crâne soit efficace.

Dès lors, et c’est invariablement le cas, ceux qui refusent de dire ce qu’ils voient et sont complices de ces incessantes opérations de désinformation, qualifient les autres de « complotistes ». Quant à ce que disent ou écrivent ceux qui acceptent de dire ce qu’ils voient ce sont des propagateurs de « fake news » en plus d’être complotistes.

Voilà ce qu’est devenue notre société en moins de deux décennies, sous la férule de l’extrême-gauche -cornaquée par Mélenchon -, des médias bien-pensants, des principaux partis politiques et de toutes les associations « progressistes ».

Un journaliste est particulièrement visé par la meute : André Bercoff.

André Bercoff est journaliste à Sud-Radio et célèbre pour ses émissions dans lesquelles la parole est libre. Pas de tabou, pas de langue de bois, pas de sujet interdit. Plus exactement ce sont plutôt les sujets interdits dans les autres médias qu’il souhaite traiter. Ce qui n’est pas sans risque.

Ainsi, depuis des semaines est-il durement attaqué par de nombreuses « personnalités » à commencer par son propre collègue de Sud-Radio, l’ineffable André Bourdin.

Le 11 avril 2023, sur Sud-Radio, s’est déroulée l’émission « Parlons vrai chez Bourdin ». Le thème était : la confiance des Français envers les médias et les journalistes. L’un des participants attaque Bercoff, expliquant que c’est à cause de journalistes comme lui que 44 % seulement des Français ont confiance dans la presse et les journalistes. Et Bourdin de répondre : « Ce n’est pas moi qui vais le défendre ... ». Passons sur le côté très confraternel de cette déclaration. Retenons surtout que lorsqu’on a des amis comme Bourdin, on n’a pas besoin d’avoir d’ennemis.

Mais le plus étonnant est ce que Bourdin reproche à Bercoff. Dans ses émissions : « il n'y a pas de contradiction et il n'apporte pas la contradiction. ». Donc s’il fait un temps magnifique et qu’un interviewé le souligne, il faudrait que Bercoff dise qu’il pleut des hallebardes. Sacrée conception. En fait, ce n’est nullement cela qu’on reproche réellement à Bercoff. Il lui est surtout reproché d’autoriser des débats qui devraient être interdits. Sud-Radio (l’émission de Bercoff) est « spécialiste du fait d'inviter des anti-vaccins ou des covido-sceptiques ».

Effectivement, en pleine crise du COVID et même maintenant, Bercoff a courageusement refusé de se taire et a permis que des débats aient lieu dans lesquels -Ô crime- les thèses officielles ont été critiquées et contestées. Aujourd’hui, ce sont ceux qui réclamaient son silence durant la crise qui à nouveau voudraient bien qu’ils se taise au lieu qu’il dénonce ses accusateurs d’hier qui sont discrédités par ce qu’on est en train de découvrir.

Au passage on notera deux faits sur lesquels ses détracteurs sont forts discrets :

  • Sud-Radio (Bercoff) est l’un des rares médias à s’intéresser aux démêlées de Van der Layen avec la justice sur le scandale en train d’apparaître concernant ses relations avec Pfizer et les plus que suspicions de corruption massive dans ce dossier. Notamment en relation avec le travail fait par la députée européenne Virginie Joron (RN) et plusieurs de ses collègues du parlement européen. Mais le sujet est l’objet d’une opacité remarquable de la part des autorités européennes. Et peu de médias en parlent.
  • Tout comme en France, peu de monde s’est alarmé du fait que le dossier COVID soit traité en Conseil de Défense. On vient maintenant de comprendre pourquoi. Cela a permis de classer « Secret Défense » tous les éléments du dossier. Donc vous saurez la vérité dans 50 ans ! Circulez, il n’y a rien à voir. En réalité, c’est parce qu’il y a beaucoup à voir, que cela a été classé « Secret Défense », afin de protéger des poursuites les principaux responsables.

Un autre reproche est fait, cette fois par la légende Edwy Plenel : Bercoff est vieux et raciste.

C’est sûr, à 82 ans, André Bercoff n’est pas un jeune premier. En revanche, il a un dynamisme que j’aimerais bien avoir si j’arrive à son âge, et surtout, il en a vu pas mal dans sa vie, ce qui lui permet de ne pas se faire raconter n’importe quoi sans réagir.

Et au sujet d’Edwy Plenel, André Bercoff sait à qui il a affaire. Edwy Plenel, celui qui se présente comme le "Monsieur propre" du journalisme, le preux chevalier du camp du bien, pourfendeur de racistes et de fascistes.

Moi, tout comme André, je me rappelle de sa déclaration de 1972. En 1972, alors que le groupe terroriste palestinien « Septembre noir » avait assassiné onze athlètes israéliens pendant les Jeux olympiques de Munich, il écrit dans « Rouge » le journal de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) de Krivine sous le pseudonyme de Krasny :  « Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre Noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation »

Il confirmera cette déclaration, dans Libération du 4 avril 2018  : « Je n'ai jamais fait mystère de mes contributions à Rouge, de 1970 à 1978, sous le pseudonyme de Joseph Krasny. Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque. » On remarquera juste qu’il n’y a aucun regret, ni aucune excuse même 50 ans plus tard ! Pour compléter le tableau de cet homme de bien, on soulignera l’attachement indéfectible de ce Monsieur à l’action des « Frères musulmans » et tout particulièrement Tariq Ramadan. Vraiment un homme de bien cet Edwy Plenel. Tout à fait qualifié pour salir André Bercoff.

Quant à l’accusation de racisme, elle s’explique tout simplement par le fait qu’André Bercoff est opposé à cette immigration massive et incontrôlée qui a comme conséquence d’être en train de détruire notre pays.

Ayant été l’un des animateurs du combat de Callac, j’ai a deux reprises été interviewé par Sud-Radio dans le cadre de l’émission d’André Bercoff. Grâce à lui, de nombreux Français ont pris connaissance du combat que nous menions en Bretagne dans ce petit village, et que nous avons gagné. J’ai d’ailleurs écrit un livre pour raconter ce combat : « Callac, la mère des batailles » (synthèse-editions.com) cliquez ici.

En revanche Edwy Plenel, « l’anti-raciste » n’a pas souhaité m’interviewer, ni faire connaître notre combat pour défendre notre pays et notre civilisation. Lui, avec son journal Médiapart, il menait le combat aux côtés des antifas qui attaquaient violemment nos manifestations et nos militants. Mais, cette violence « révolutionnaire », hier à Munich comme aujourd’hui à Callac et dans tout le pays, elle a tout le soutien d’Edwy Plenel. Elle ne peut être critiquée et encore moins condamnée.

Heureusement qu’André Bercoff est là, tenant tête à la meute, en préservant un espace de liberté et de débat sans tabou. Lui et ceux qui mènent le même combat dans d’autres médias.

André Bercoff anime aussi l'émission "Le dernier verre" sur Omerta cliquez ici

19:56 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le travail d'un roi

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Philippe Gélie

Quoi de plus anachronique qu’un couronnement retransmis en mondovision au XXIe siècle ? Garde en bonnet à poil, régiments à cheval, calèches dorées, hermine, sceptre et couronne incrustée de diamants... La monarchie britannique ne nous a pas offert ce spectacle depuis soixante-dix ans, tout juste quelques mariages princiers, des funérailles et les jubilés de feu Elizabeth II. Mais, cette fois, ce n’est pas une  famille qui célèbre en public des événements privés, c’est une nation qui renouvelle un acte politique et institutionnel : l’intronisation d’un chef d’État à vie, chargé de représenter son pays et d’en maintenir l’unité menacée. Long règne à Charles III, 62e roi d’Angleterre et 13e  souverain du Royaume-Uni !

C’est un travail autant qu’un statut qu’a commencé à assumer l’ancien prince de Galles dès la disparition de sa mère, en septembre dernier. Un métier à temps plein éminemment paradoxal, qui consiste à en dire le moins possible, à se montrer sans vraiment agir, à rester consensuel en taisant scrupuleusement ses opinions. Elizabeth en résumait l’enjeu d’une formule : «On ne peut régner qu’avec l’assentiment de son peuple.» Le prix de ce consensus est la neutralité en toutes choses. Mais quel autre leader montre la voie sans la choisir ? Ce n’est pas trop dans le tempérament de Charles, prince écologiste qui se disait «dissident». La couronne met fin à la relative liberté de son interminable attente, soixante-treize ans en stage de formation...

À l’aune de notre omniprésence, absolutisme salutairement provisoire en République, il pourrait nous échapper que l’empreinte légère de la monarchie parlementaire outre-Manche constitue la garantie de sa longévité. Aux gouvernements de « faire » et de tourner dans la farandole politique ; Sa Majesté n’a d’autre objet que «durer». Pour cela, Charles III voit bien que la « Firme » devra être modernisée. Moins de protocole, de dépenses, de scandales... Le défi est clair : changer juste assez pour rester un point fixe, un repère immuable dans une société multiculturelle en profonde mutation. Cela n’empêchera pas la Couronne britannique de demeurer une source inépuisable de potins et de séries TV. Que demande le peuple ?

 Source Le Figaro 6/5/2023

09:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 06 mai 2023

RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE DIMANCHE 15 OCTOBRE 2023

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18:46 Publié dans 15 - La 15e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 7 mai : Civitas rend hommage à Ste Jeanne d'Arc

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17:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 05 mai 2023

Parution prochaine du n°63 (Printemps 2023) de la revue Synthèse nationale

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BULLETIN D'ABONNEMENT

20:12 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean Picollec a été inhumé jeudi en Terre bretonne

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Jean Picollec, décédé la semaine dernière cliquez ici, a été enterré hier en Bretagne. La cérémonie s'est déroulée, selon le voeu de sa famille, dans la plus stricte intimité. Son ami le journaliste Jean Bothorel lui a consacré un article qui est paru dans l'édition d'hier du quotidien breton Le Télégramme (ci-dessus).

D'autre part, ce vendredi matin, sur Radio Courtoisie, s'est déroulée une émission spéciale consacrée à Jean Picollec cliquez là en présence de Nicolas Stoquer, patron d'émission, David Miège et Jacky Redon, dessinateurs de presse, Gérard Letailleur, écrivain, et Philippe Randa, éditeur et auteur du livre Jean Picollec l'atypique (Synthèse nationale, 2022).

Vous êtes nombreux à nous demander comment se procurer ce livre. Vous pouvez le commander en cliquant ici  

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