jeudi, 13 avril 2023
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
20:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Discours de Roland Hélie au Ve congrès du Parti de la France
Le Parti de la France célèbre son 5e congrès et renouvelle son bureau politique ! Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, invité à prendre la parole au cours de ce congrès, nous parle de l'importance du Parti de la France au sein du camp national !
Roland Hélie était hier aux Sables d'Olonne. Il s'est rendu devant la statue de Saint Michel que certaines sectes anti-chrétiennes voudraient terrasser...
16:11 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Florian Philippot appelle à un rassemblement devant le Conseil constitutionnel ce vendredi 14 avril !
Un communiqué de Florian Philippot
Ce vendredi 14 avril, en fin de journée, le Conseil constitutionnel va rendre deux décisions cruciales :- Il dira s’il approuve ou s’il censure la réforme des retraites,- Il dira en outre s’il valide la procédure de référendum d’initiative partagée qui a été lancée sur cette réforme : si ce référendum est validé, nous aurons alors neuf mois pour trouver près de 5 millions de signatures de Français inscrits sur les listes électorales. Un sacré défi !Dans tous les cas, notre devoir de résistants est d’être là et de faire pression sur ce Conseil constitutionnel ! De le mettre sous surveillance. De donner aussi la parole à toutes les personnalités de la Résistance et du souverainisme qui veulent se battre ! Il est évident que la lutte contre la réforme des retraites a désormais dépassé cette simple réforme, déjà inacceptable en elle-même et exigée par l’Union européenne, pour devenir un combat contre l’oligarchie.Ainsi, je vous donne rendez-vous ce vendredi 14 avril pour un rassemblement de résistance à quelques mètres du Conseil constitutionnel :RDV à Paris à 9 h, place du Palais Royal Vendredi 14 avril 2023Apportons un maximum de drapeaux français !La macronie veut que nous restions bien gentiment chez nous, isolés. Alors, soyons unis, debout, dehors !À vendredi !
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Le masturbateur du gouvernement
15:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rencontre-dédicace avec Régis Le Sommier à la Librairie Vincent le samedi 15 avril de 16h à 19h
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RAPPEL : TRÉGUIER (22), VENDREDI 14 AVRIL : UNE CONFÉRENCE DU CERCLE TRÉGOR & GOËLO AVEC COMME INVITÉ LORRAIN DE SAINT-AFFRIQUE SUR LE THÊME "LES MÉDIAS CONTRE LA VÉRITÉ"
Communiqué du Cercle Trégor & Goëlo :
En novembre dernier était créé le Cercle Trégor & Goëlo. Celui-ci se fixe comme objectif d'organiser, le plus régulièrement possible, des conférences non-conformistes dans notre petit bout de Bretagne.
Ainsi, le vendredi 16 décembre en soirée, une première conférence s'est déroulée, avec comme invité Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, sur le thème "Callac, la mère des batailles". Cette réunion fut l'occasion de présenter le livre éponyme de Bernard Germain, candidat de Reconquête ! dans la 5e circonscription des Côtes d'Armor. C'est d'ailleurs à la suite de celle-ci qu'est née l'idée de créer la Coordination nationale Partout Callac ! aujourd'hui à la pointe du combat à travers la France contre le grand remplacement imposé par les tenants du pouvoir.
Après le succès de notre première conférence, une seconde est organisée. Elle aura pour thème :
"Les médias contre la Vérité"
Vendredi 14 avril 2023
près de Tréguier, de 19 H 00 à 21 H 30
L’invité : Lorrain de Saint-Affrique (conseiller de Jean-Marie Le Pen).
À l’occasion de cette conférence, interviendront aussi : Bernard Germain, porte-parole de la Coordination nationale Partout Callac ! et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.
Afin de conserver un caractère convivial à cette soirée, un « verre de l’amitié » sera servi aux participants de 21 H 00 à 22 H 00. Un stand librairie sera aussi à votre disposition.
Pour vous inscrire et participer à cette conférence, vous voudrez bien envoyer un courriel à l’adresse suivante : tregor-goelo@laposte.net
Vous recevrez, par retour, l’adresse du lieu de la conférence.
Imprimez l'invitation cliquez ici
13:29 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MIRACLES : le dernier film documentaire de Pierre Barnérias
Pour la première fois au cinéma, plongez dans une investigation captivante sur les traces de trois énigmes, scientifiquement inexpliquées. Avec la participation de l’écrivain Didier Van Cauweleart (prix Goncourt), du chercheur du STURP Barrie Schwortz, de l’historien Jean-Christian Petitfils ou encore du chercheur François-Michel Debroise, découvrez les mystères de la relique la plus étudiée au monde, de l’image d’une femme enceinte qui s’est imprimée sur une tunique au XVI siècle, et des textes mystiques qui défient les records de la littérature.
11:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À quels Rois de France ressemble Macron ?
Dans son intervention, François Asselineau a décrypté la complexité de la situation politique en France. À titre d'illustration, il a passé en revue quelques-uns des bons et des mauvais dirigeants de notre Histoire, pour mieux faire ressortir certains points communs avec la crise actuelle et la présence de Macron à l'Élysée.
Discours vertueux et virtuose de cet homme admirable est décidément sans équivalent sur la décadente et obscène scène politique française actuelle. François Asselineau est une personnalité politique ayant la hauteur de vue et l'expérience sérieuse et solide d'un Homme d'État.
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Réseau 5G : le gouvernement a-t-il oublié le principe de précaution ?
La controverse sur l’incidence des rayonnements électromagnétiques n’a jamais été d’autant d’actualité avec le déploiement progressif du réseau 5G. Toutes les précautions sont ainsi abandonnées par l’industrie et le gouvernement. Et le marché des téléphones portables et autres réseaux mobiles continue à exploser…
L’histoire se répète. Au sujet du tabac et des pesticides, l’industrie a également dépensé des sommes astronomiques pour prouver que cela ne cause aucun dégât « démontrable » sur la santé de l’homme et sur l’environnement. Néanmoins, toutes les études de scientifiques, médecins et chercheurs indépendants soulignent des effets néfastes.
- Le condensé d’études du célèbre expert Professeur Lai (30 ans, presque 2 000 études, 290 dans la collection) démontre que près de 90 % des études indiquent des effets significatifs des rayonnements radio et électromagnétiques sur les différents processus corporels.
- Le Nordic Appeal et The 5G appeal: call for a moratorium on the roll-out of 5G, lancés en 2017, ont déjà été signés par 430 médecins et scientifiques des quatre coins du monde.
En Europe aussi, les autorités rejoignent toutefois l’industrie puissante et les gros poissons.
NDLR :
Le « principe de précaution » est un principe moral et politique selon lequel, lorsqu’une action ou une mesure peut causer des dommages sérieux ou irréversibles à la société ou à l’environnement, la charge de la preuve incombe aux partisans de l’action ou de la mesure en termes de dommages futurs. Le principe de précaution est en particulier appliqué dans les soins de santé et à l’égard de l’environnement.
Source : ABC Santé
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mercredi, 12 avril 2023
Marc-Gabriel Draghi : Hystérie verte et monnaie numérique - l'agenda de la peur
Les prémices d'un ouragan financier ? Après la covid et la guerre en Ukraine, l'inflation explose, les faillites s'enchainent, les tensions sociales se multiplient... nous entrons dans le cœur du programme politique du "monde d'après" avec la grande réinitialisation de l'économie.
Jamie Dimon, PDG de la JP Morgan & Chase, l'annonçait déjà : "Cet ouragan et là, il vient vers nous". Les crises bancaires outre-atlantiques arrivées en Europe en sont un exemple. Cela dit, nous voyons à présent se dessiner devant nous l'ébauche de nouveaux projets : une hystérie verte avec la décarbonation massive de l'économie ou encore la bataille de l'eau (le marché de ce début de décennie pour les banques d’affaires) et l'avènement de monnaies numériques en préparation au sein des banques centrales. Une bascule monétaire nous entrainant vers une forme de contrôle social.
Christine Lagarde, présidente de la BCE, le reconnait a minima : “L’euro numérique permettra un certain degré de contrôle des paiements”. L'or et l'argent risquent donc de jouer un rôle de premier plan dans la restructuration de la finance internationale et la mise en place d’une monnaie mondiale que certains annoncent depuis longtemps. Marc-Gabriel Draghi, juriste spécialiste en histoire du droit, passionné par la question monétaire, et l'auteur de "La Grande Narration - Vers la mort des nations", répond à toutes les questions dans "Politique & Éco".
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"Anima" le dernier ouvrage de Michel Onfray
Notre philosophe qui à l’image de Lucky Luke écrit plus vite que son ombre nous gratifie d’un nouvel ouvrage intitulé Anima dans lequel il décrit les métamorphoses de l’âme occidentale, depuis ses origines jusqu’à un futur qu’il pressent inhumain, où l’homme aura perdu ce sens de l’humanité qui le distingue de l’animal. « Je regarde cette vague nihiliste nous arriver dessus, alors que, sur la plage, on voit arriver au loin le mur d’eau qui va s’abattre sur nous. Après le raz-de-marée, la mer redeviendra étale. Notre civilisation disparaît pendant qu’une autre se profile, l’Histoire a horreur du vide », constate notre philosophe.
Michel Onfray répond ici aux questions de Jean-René Van der Plaetsen du Figaro Magazine.
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mardi, 11 avril 2023
Un immigré sous OQTF mis en examen pour meurtre, quand cela cessera-t-il ?
Michel Festivi
Un Ivoirien de 26 ans, « déjà connu des services de police », selon l’expression mille fois ressassée, vient d’être mis en examen et écroué pour avoir tué, à l’arme blanche, un homme, dans un foyer de « jeunes travailleurs » de Meaux, ce 6 avril 2023. (Cf le Figaro du 10 avril 2023).
La « victime » plantée par deux couteaux dans le thorax, est décédée, « il s’agit d’une altercation entre personnes alcoolisées pour un motif sans aucun doute futile » a cru devoir préciser le Procureur de la République. Le suspect est connu pour avoir fait l’objet de plusieurs OQTF, il aurait reconnu les faits. Pourquoi alors restait-il tranquillement dans notre pays, au vu et au su de tous ? Pourquoi Monsieur Darmanin, si prompt en propos virils n’avait-il rien fait entreprendre par ses services pour faire appliquer les décisions de ses propres préfets ?
Mais ce phénomène migratoire du tiers monde remonte à loin, très loin. Déjà en 1985, Bernard Stasi, ce parfait représentant de la caste politique française sclérosée et anémiée, avait écrit un livre au titre annonciateur des futurs Callac d’aujourd’hui : « l’Immigration une chance pour la France ». Effectivement, les milliers d’OQTF délivrées sans aucune suite, en sont la preuve. L’Histoire n’est jamais une suite de hasards.
Tous nos compatriotes devraient lire le remarquable discours sur l’immigration, prononcé le 15 novembre 2022 à l’amicale gaulliste du Sénat, dans le cadre d’un colloque de la Fondation Res Publica, par Pierre Brochand, ex Directeur Général de la DGSE, ancien ambassadeur de France, devant notamment une kyrielle de Sénateurs et de Monsieur Gérard Larcher, Président du Sénat, qui devrait le méditer plutôt que de s’en prendre aux français patriotes. Monsieur Pierre Brochand est tout sauf un farfelu extrémiste me semble-t-il.
Que dit-il d’essentiel ? Tout d’abord le titre de son exposé annonce la couleur : « Pourquoi l’immigration est l’enjeu central de notre vie publique ». Et ensuite et surtout : « Commençons par tordre le cou au « canard », selon lequel la France aurait toujours été un pays d’immigration. Pendant 1000 ans, des Carolingiens à Napoléon III, rien ne s’est produit. ». Et de confirmer que la première vague d’immigration, de 1850 à 1970 a été une immigration : « d’origine euro-chrétienne, discrète, laborieuse, reconnaissante, régulée par l’économique et le politique, elle a représenté un modèle indépassable de fusion réussie ». C’est notre immigration des italiens, polonais, russes, belges, espagnols, portugais etc., et de divers pays d’Europe de l’Est du nord ou du sud, qui se sont fondus immédiatement dans le creuset français.
Puis, comme le signale Pierre Brochand, la deuxième, depuis 1970, « est l’exact contraire de la première ». Et de préciser : « C’est une immigration de peuplement irréversible, qui n’est calibrée ni par l’emploi, ni par le politique, mais engendrée par des droits individuels, soumis au seul juge national ou supranational. Nous sommes donc submergés par des flux en pilotage automatique, « en roue libre », dont les Français n’ont jamais explicitement décidé ».
Pierre Brochand rajoute, ce que tout le monde pense mais ne dit jamais : « L’écart identitaire qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire. Tous viennent du « tiers-monde », de sociétés hautement défaillantes, et la majorité est de religion musulmane… ». Selon lui, « de tous les défis qu’affronte notre pays, l’immigration est le seul qui menace la paix civile et, à ce titre, j’y vois un préalable à tous les autres. » A l’échelle de l’Histoire cette vague n’a qu’une cinquantaine d’année.
C’est pourquoi nous assistons aujourd’hui à la dégénérescence de l’Etat, à des Callac que l’on veut imposer contre l’avis de la population mordicus, ainsi qu’à des milliers d’OQTF, jamais mises en œuvre. L’Histoire est une fois de plus éclairante. Car comme le souligne Pierre Brochand, on nous ressert en permanence cette fable : « On nous raconte simultanément que l’immigration n’existe pas, qu’elle existe et que c’est une bénédiction (ex Bernard Stasi nda), qu’elle a toujours existé et que c’est une fatalité, que l’accueillir est un devoir moral, mais qu’elle va payer nos retraites et pourvoir aux emplois dont les français ne veulent pas. »
Gérald Darmanin est strictement sur cette même ligne, que celle avant lui, Bernard Stasi. Notre ministre de l’intérieur avait déclaré le 6 novembre 2022 à l’Assemblée Nationale : « Nous pensons que l’immigration fait partie de la France et des français depuis toujours. ». Ce qui est un mensonge historique absolu. C’est exactement se situer à l’opposé du formidable discours de Monsieur Pierre Brochand. Dès lors on comprend la politique de Monsieur Darmanin : des OQTF jamais mises en applications et des Tentatives de Callac à n’en plus finir.
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DIDIER LECERF, AUTEUR DE "FRANÇOIS DE LA ROCQUE, DES TRANCHÉES AU PSF", SERA PRÉSENT LE DIMANCHE 23 AVRIL, DANS LA MAYENNE, AU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES
13:03 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
60 millions de consommateurs
En matière d’immigration, la grande différence entre l’Allemagne et la France est que l’Allemagne mise sur l’emploi en formant ses immigrés pour l’industrie alors que la France a opté pour l’abandon de la production au profit de la consommation. En France, les immigrés sont d’abord des consommateurs et n’occupent en général que des emplois tertiaires peu qualifiés. 80% des immigrés sont inactifs. Pierre Vermeren démontre ces deux logiques implacables.
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Source : Causeur
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Les immigrationnistes en appellent à la répression
Bernard Germain
Ces derniers jours, les prises de position se multiplient dénonçant l’opposition constatée dans plusieurs communes de France contre l’installation forcée de migrants, notamment au travers de projets de CADA.
Le journal « Le Monde », a publié le 7 avril 2023 un article intitulé : « Face aux réactions hostiles à des projets d’accueil de migrants, élus et associations demandent plus de soutien de l’État ».
Du côté des politiques, un certain Damien Carême (Europe Écologie Les Verts), député européen et coprésident de l’Association nationale des villes et territoires accueillants, pleurniche reprochant aussi à L’État de ne pas soutenir les élus complices de cette politique de répartition des migrants sur tout le territoire, qui s’impose sans demander l’avis de la population avant de passer en force ces projets. Il déclare : « Il faut une parole pour ces élus locaux qui s’engagent au nom des besoins de l’État ».
Au motif que la plupart des projets contestés relèvent de marchés publics, dans le cadre du parc d’hébergement des demandeurs d’asile, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, qui regroupe plus de 870 associations de lutte contre l’exclusion, parmi lesquelles des opérateurs de CADA, s’élève contre les manifestations de refus de la population concernée par ces projets.
En clair, ce brave homme déclare benoîtement que puisque c’est légal, il n’y a pas à prendre en compte l’avis de la population et surtout ne pas accepter les actes d’opposition.
Et de déclarer : « L’État doit prendre la pleine mesure de la multiplication des actes d’intimidation ».
On notera à ce sujet que les « actes d’intimidation », invariablement invoqués, ne semblent pas si évidents que cela. Curieusement, à ma connaissance, aucune plainte déposée pour ces motifs n’a été suivie de poursuites judiciaires à ce jour. On en viendrait à se demander si ces plaintes ne sont tout simplement pas bidons et ont pour fonction de cacher le vrai problème : ces élus complices n’assument pas leur trahison de la population et tentent de se faire passer pour des victimes de la prétendue « extrême-droite » qui n’existe pas, mais qu’il est bien pratique d’invoquer pour cacher le refus massif de la population de cette politique que ces élus soutiennent.
Toujours est-il que comme dirait l’autre, selon ces bons élus, dans ces conditions un peu de « violence policière » ne ferait pas de mal.
Quand c’est l’extrême-gauche et les antifas qui sont visés, c’est insupportable, car leur violence est légitime puisqu’elle est pour une « bonne cause ». Mais lorsque ce sont de simples citoyens qui protestent et s’opposent à des projets immigrationnistes, là ce serait une bonne idée de les réprimer un peu. Et même beaucoup, histoire de faire revenir le silence dans les rangs.
Pour sa part, Chloé Freoa, la directrice de la fondation Merci, qui pilotait le projet Horizon de Callac, analyse : « On était novice mais on sait aujourd’hui qu’il y a des enjeux de communication énormes autour de ces projets ». A sa manière, cette dame confirme ce que nous écrivons.
Il n’y a pas eu de communication autour du projet Horizon, notamment vis à vis de la population, ce qui a provoqué sa colère et le rejet du projet Horizon qui a été abandonné en janvier 2023.
Ces braves gens pensaient qu’il suffisait de communiquer avec le conseil municipal et que les crétins d’habitants ne diraient rien.
Mauvaise pioche…
Cette dame oublie aussi une chose essentielle. Ce n’est pas simplement une affaire de « com ».
Ce que les français ne comprennent pas et surtout n’acceptent pas dans cette stratégie d’implantation de migrants, c’est qu’autant d’argent soit dépensé pour des gens venant de l’autre bout de la terre mais … qu’il n’y ait pas un euro pour les français qui souffrent ou qui sont dans le besoin.
Oui, c’est aussi simple que cela.
Donc, quand on essaye de culpabiliser les français en leur disant qu’ils ne sont pas assez solidaires, ils répondent à juste titre : « Commençons par être solidaires avec nos compatriotes qui en ont besoin. Quand il n’y aura plus de misère en France, il sera toujours temps de s’occuper de celle des autres ».
Tous les bien-pensants et autres immigrationnistes peuvent faire tous les plans com qu’ils veulent, même les mieux léchés, ils ne répondront jamais à cette remarque de bon sens de la population. Donc ils n’auront jamais l’assentiment de la population.
Au ministère de l’Intérieur, ils semblent avoir bien compris ce problème et ne veulent surtout pas que ces questions ne deviennent l’objet d’un débat national.
A juste titre, ils pensent que cela contribuerait à « mettre le feu » au pays, dans une période où ils n’ont surtout pas besoin de cela.
D’ailleurs, l’un des responsable de ce ministère a déclaré : « On n’a pas intérêt à en faire un sujet national ». Il y a au moins quelques personnes encore lucides…
Quant à nous, nous pensons exactement le contraire.
Il faut en faire un sujet national, car il faut que toute la population -notamment celle des campagnes- sache de quoi elle est menacée et comment réagir si un CADA doit s’installer chez elle.
C’est pour cela que nous avons créé la « Coordination Partout Callac » afin d’aider tous ceux qui sont confrontés à ces problèmes et leur faire profiter de notre expérience. Connectez-vous sur notre site cliquez ici. Faites-le connaître autour de vous !
Et si vous avez un problème de CADA chez vous, ou que vous connaissez des gens confrontés à ces questions, indiquez-leur notre existence afin qu’ils prennent contact avec nous. Nous les aiderons à mener le combat.
Il ne faut surtout pas rester isolés, chacun dans son village. La résistance doit s’organiser partout à travers le pays. Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.
02:16 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 10 avril 2023
Élise Lucet, l’archange si « spéciale » de la désinformation
La chronique de Philippe Randa
Élise Lucet est une journaliste estampillée « spécialisée dans l’investigation », notamment avec son émission Envoyé spécial… Effectivement très spéciale comme ont pu en juger les opposants (victorieux) au projet Horizon de la fondation Merci pour l’implantation de migrants à Callac (Côtes d’Armor) dans l’émission qu’elle leur a consacré le jeudi 6 avril sur France 2.
Tout d’abord, dans sa conception très spécieuse de l’équité, malheureusement calculée comme celle de la répartition dite du « pâté de cheval et d’alouette » : « S’agissant du temps de parole accordé aux deux parties, le visionnage de l’émission permet de constater que 90 à 95 % du temps fut accordé aux personnes favorables à l’arrivée des migrants », dénonce Bernard Germain, Porte-parole de la Coordination Partout Callac dans un article du site Synthèse nationale cliquez ici.
De son côté, Catherine Blein, ancienne présidente des Amis de Callac et de ses environs, s’insurge que sur ses deux heures d’entretien avec la journaliste Julie Benzoni dans lesquelles elle exposait les raisons de l’opposition au projet Horizon, « pas une seule seconde de ces heures d’entretien n’a été diffusée. »
Et « pas un mot, pas une image ne montra non plus les violences des antifas, à trois reprises à Callac, dont la dernière, le jour des vœux du maire fin janvier, déboucha sur deux interpellations et mises en garde à vue », rappelle encore Bernard Germain.
Le député révolutionnaire Louis-Antoine de Saint-Just, plus jeune élu à la Convention nationale et surnommé « L’archange de la Terreur », avait émis une sentence restée tristement (ou pas, selon affinité) célèbre : « Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté. »
Élise Lucet passera-t-elle à la postérité, elle, pour sa conception très « spéciale » de l’équité ?
Quant à l’audience de son émission, selon France 2, « le magazine, qui proposait notamment un sujet sur “La bataille de Callac” et une traversée du Panama avec des migrants, a informé 1,42 million de citoyens, soit 7,8 % du public et 6,9 % des FRDA-50 »… Tout de même ! diront certains. Oui, mais un score à peine supérieur à la série « Le mensonge » sur France 3 (7,3 %) ou même la prestation de l’humoriste Elodie Poux sur le syndrome du playmobil sur W09 (6,1 %), rétorqueront d’autres, plus facétieux.
Moins d’un Français sur trois faisant confiance aux médias (rapport de l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publiée en 2022) , « la France se trouve donc parmi ceux qui croient le moins les journalistes : elle est au 41e rang sur 46 dans le classement des pays qui font le plus confiance à la presse. »
Allez savoir pourquoi !
Chronique publiée sur Le Nouveau Présent cliquez là
12:07 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE MONDES DES « COLLABOS » SE PORTE BIEN !
Jean-Claude Rolinat
Le 6 février 1945, la République française faisait fusiller l’écrivain Robert Brasillach, coupable d’avoir écrit « des choses pas bien » dans la presse du Paris occupé… Les 10 et 15 octobre suivants, Joseph Darnand – héros des deux guerres, qui avait eu la tragique et malheureuse idée de mettre à la disposition de l’occupant sa force supplétive, la Milice, – et Pierre Laval, qui commit la stupide et regrettable erreur de « souhaiter la victoire de l’Allemagne » – étaient, eux aussi, passés par les armes. Dont acte.
Le maréchal Pétain, qui avait fait « don de sa personne à la France » et mis un terme provisoire au drame de mai/juin 1940 qu’il n’avait en rien provoqué, échappa de peu à la peine de mort en raison de son grand âge et, surtout, grâce à l’intervention de son ancien protégé, un certain Charles De Gaulle, alors Président du gouvernement provisoire de la République française.
La justice française dit-elle réellement le droit ?
Deux exemples. À quoi assistons-nous aujourd’hui ? Le Conseil d’Etat veut éjecter la statue de Saint-Michel, patron entre autre des « paras », hors du domaine public aux Sables d’Olonne, cédant ainsi à la pression d’une petite bande de laïcards invétérés. Hier, la justice condamnait de jeunes identitaires pour avoir, parait-il, « usurpé » à nos frontières des fonctions régaliennes que l’État n’exerçait pas. Et pendant que nos juges punissaient des patriotes, les financiers et les équipages de SOS Méditerranée - avec leur bateau l’Océan Viking – pouvaient et continuent sans crainte aucune, de récupérer les clandestins africains rançonnés par des « passeurs », bien tranquillement installés sur les côtes libyennes.
De l’argent pour financer « l’invasion »
Mieux, toute une kyrielle d’associations, telles que France Terre d’asile, la CIMADE, le Lab fraternel, etc…, sous des prétextes humanitaires,aident, conseillent, logent, nourrissent, entretiennent une marée de clandestins hâtivement renommés du terme de « migrants » - c’est plus « chic », ç’est plus émouvant dans l’imaginaire public – et participent ainsi, à actionner quotidiennement les pompes aspirantes d’une immigration non désirée. Sans parler de ces quelques 40 à 50 000 pseudos « mineurs isolés » - on ne sait plus ! - bien protégés par la justice et qui nous coûtent quelques 2 milliards d’euros par an. Les signaux sont bien perçus en Afrique - continent à la dérive comme nous l’explique si bien le Professeur Bernard Lugan - qui exporte ainsi sa monstrueuse démographie. Alors qu’il suffirait de lancer des messages, comme l’Australie le fait, « No Way » !
De nouveaux collabos
Pire, des complices de cette invasion pas toujours pacifique, qui opèrent en dehors de tout contexte d’immigration légale, bénéficient de la clémence de Thémis, alors que des jeunes gens de Génération identitaire - nous venons de le voir - qui avaient occupé d’une manière symbolique un col alpin sans commettre de dégâts ni d’agressions, ont été condamnés.
L’auteur de ces lignes, voyageur averti, a pratiqué plusieurs cols franco-espagnols et peut témoigner : très souvent - trop – ces passages n’étaient pas contrôlés, tant du côté espagnol – vierges de gardes civils – que du côté français, où aucun képi n’apparaissait à l’horizon. Peut-être CRS, gendarmes et douaniers étaient-ils trop occupés à traquer le fumeur compulsif, qui cherchait à passer en contrebande des cartouches de cigarettes à la frontière franco-andorrane ? N’ayons pas non plus la mémoire courte, ce sont bien les autorités françaises qui autorisèrent l’année dernière, un bateau chargé de clandestins à accoster à Toulon, au fallacieux prétexte qu’aucun port méditerranéen ne s’ouvrait à lui.
Sans aller, bien entendu, jusqu’à des mesures « définitives » dont les collaborateurs de 1940-1944 furent les victimes – c’est, bien sûr, volontairement que j’ai pris ces exemple extrêmes - la VRAIE justice ne pourrait-elle pas s’occuper de ceux qui violent les lois françaises, et permettent ainsi l’arrivée illégale d’étrangers trop souvent inassimilables, dans notre pays ? Faciliter l’entrée frauduleuse sur notre territoire, n’est-ce pas un acte de collaboration à une sorte « d’invasion », même si cette dernière revêt, dans un premier temps, un visage pacifique ? Je sais, croire en cela ou au Père Noël, c’est la même chose. Alors, oui, vite, vite, un Gouvernement National aux manettes de l’État français, pour dire et faire appliquer le droit, bref remettre les pendules à l’heure !
12:06 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’avenir de l’Europe est visible à Londres et Birmingham
Bernard Germain
Publié le 29 novembre 2022, le rapport 2021 de l’institut britannique des statistiques a montré une évolution considérable de la population britannique.
Dans les deux principales villes du pays, Londres et Birmingham, la population blanche est passée sous la barre des 40%. La population musulmane a doublé en seulement une décennie, passant à 4 millions de personnes. Les chrétiens représentaient 59% de la population en 2011. En 10 ans leur part est tombée à 46%. Le nombre de juifs, d’hindous et de bouddhistes est resté stable. Quand au nombre d’athées, il a fortement progressé depuis 2011, passant de 25 à 37,2%.
Si nous nous intéressons plus précisément à Londres, on notera que près de 40% des musulmans d’Angleterre vivent dans la capitale. Le Grand Londres compte environ 500 mosquées ainsi qu’une douzaine d’écoles privées. On dénombre également 2 300 restaurants servant de la nourriture Halal. En 2013, il y avait 13 400 entreprises appartenant aux musulmans à Londres, créant plus de 70 000 emplois et représentant un peu plus de 33% des petites et moyennes entreprises.
Voilà des chiffres qui ne peuvent qu’inquiéter, s’agissant de l’avenir de notre civilisation. L’élection de Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, à la mairie de Londres en 2020 en est une conséquence logique. Tout comme la nomination du Premier ministre, Rishi Sunak, fils d’un Indien né au Kenya, étant lui-même hindouiste.
Ce dernier a d’ailleurs fait une déclaration importante : « Je suis un Indo-Britannique. Je suis profondément britannique, mais ma religion, mon héritage culturel et mon épouse sont indiens ». Ceux qui éventuellement se posaient encore des questions ont, avec ces mots, la réponse à leurs questions.
La conception du Premier ministre britannique n’est pas de se fondre dans la société britannique, mais de voir se mettre en place une société « communautariste » juxtaposant plusieurs cultures et identités.
Le nombre aidant, tout le monde comprend comment cela se terminera. La société britannique « traditionnelle » disparaîtra à moyen terme, si cette évolution continue.
Enfin, peut-être le savez-vous, mais pour la première fois, dans le quartier de West-end (centre de Londres) la rue Coventry, qui relie deux des places les plus fréquentées de la ville, Piccadilly et Leicester Square, a été illuminée avec le message « Joyeux Ramadan » comme le montre la photo en haut de cet article. Cela ne fait qu’exprimer l’emprise de plus en plus importante de l’islam sur la société britannique en général, et la ville de Londres en particulier.
Mais un autre fait autrement plus grave aurait dû alerter l’opinion publique, en relation avec ce que je viens de rapporter.
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dimanche, 09 avril 2023
Statue de saint Michel : le Conseil d’État retoque la ville des Sables-d’Olonne
Iris Bridier Boulevard Voltaire cliquez ici
Les laïcards de la Libre Pensée peuvent jubiler, en ce Vendredi saint. C'est ce jour que le Conseil d'État a choisi pour rendre son jugement. Et comme Ponce Pilate il y a 2.000 ans, il s’en lave les mains. Yannick Moreau, le maire des Sables-d’Olonne, vient d’annoncer que, « pressé d’en finir, le Conseil d’État n’admet pas notre pourvoi en cassation et condamne définitivement notre statue ». Les arguments de la ville tentant de prouver que la statue « revêt une pluralité de significations, notamment artistiques et militaires, qu’elle est étroitement liée à l’histoire du quartier et que sa présence est particulièrement discrète » ont donc été jugés nuls et non avenus. Ainsi, cette modeste représentation de l’archange Michel, patrimoine inoffensif, à peine visible sous son magnolia, est condamnée au terme d’un long combat. Contre la volonté des Sablais qui s’étaient exprimés à 94 % pour son maintien, elle doit être déboulonnée.
Abasourdi par ce rejet, l’édile ne mâche pas ses mots : « En tant qu’élu engagé, je suis sidéré, révolté. Cela me paraissait impossible, lointain, aberrant. Et pourtant, la tempête « woke » s’est abattue sur les Sables-d’Olonne. Nous y sommes, la France de 2023 déboulonne ses statues. Pauvre France. Ce que nous vivons aujourd’hui, c’est le grand effacement qui partout menace. » Il fustige cette décision qui fera de nombreuses victimes : « Victime, la ville des Sables-d’Olonne, sommée demain d’écarter et de cacher la figure emblématique de l’un de ses quartiers. Victimes, les parachutistes, privés demain de leur figure tutélaire, symbole du combat pour la paix. Victimes, les enfants du quartier Saint-Michel, qui ne pourront plus comme leurs aînés, de génération en génération, lever un œil complice vers la figure familière qui veillait sur la vie du quartier. »
Dénonçant la culture de l’effacement et « les quelques ayatollahs qui ont remporté ce procès absurde », Yannick Moreau annonce respecter la décision de la juridiction administrative mais prédit : « La France qu’ils nous préparent, c’est une France où le lundi de Pâques ne sera plus férié, où les fêtes de fin d’année remplaceront la fête de Noël, où l’écriture inclusive sera enseignée, où le blason de la ville des Sables-d’Olonne et sa Vierge, protectrice de nos marins, devra être effacée de nos frontispices et de nos lieux publics. »
Si la statue est condamnée à être déplacée, Yannick Moreau s’engage à trouver une solution pour qu’elle reste devant l’église Saint-Michel. La Vendée est une terre de combat qui, comme le roseau lorsque le vent se lève, plie mais ne rompt pas. Dans son communiqué empreint d'un souffle épique, le maire conclut : « Ils auront leur déboulonnage mais n’auront jamais nos cœurs ! Nos cœurs vendéens entrelaçant dans un même élan le progrès et la tradition, les racines et les ailes d’un peuple qui, bien qu’écrasé sous les sabots de Westermann, a su trouver en lui la force de se relever et de faire naître les plus belles aventures humaines du XXe siècle, tout à la fois enracinées et lancées à la conquête des océans et du monde. Nos cœurs vendéens battant à l’unisson pour le Puy du Fou et le Vendée Globe. Vive saint Michel ! Vivent les saints Michel de Vendée et de France ! Vive la Vendée ! Et Vive la France ! »
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samedi, 08 avril 2023
Invasion des campagnes : après “Envoyé Spécial”, la propagande d'Etat en faveur du grand remplacement continue
Après l’ineffable « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, diffusé jeudi 6 avril sur France 2, concernant le dossier de Callac, les pro-immigration continuent leur offensive pour imposer la transition démographique dans les campagnes.
Cette fois, c’est un reportage de France info qui s’y colle afin de tenter de démontrer que les Français ne sont que des égoïstes, insensibles aux valeurs de solidarité et d’accueil. Qui plus est, ils ne comprennent rien à l’intérêt pour la France d’accueillir ces immigrés.
Le reportage commence par Uzerche, un bourg de 2700 habitants en Corrèze. Une trentaine de migrants sont arrivés depuis 2016.
Au début du reportage, on assiste à un cours d’alphabétisation. L’objectif est à l’évidence de souligner l’envie des immigrés d’apprendre le français et donc de s’intégrer à notre société.
On me permettra d’objecter qu’apprendre une langue ne signifie pas qu’on va se fondre dans la population, adopter ses coutumes, sa culture, son identité ni son histoire.
Quand on vient d’un pays comme l’Afghanistan, comme c’est le cas dans le reportage, les différences sont tellement importantes que réduire le problème à celui de la langue est vraiment une mauvaise blague.
Bien évidemment, le reportage n’abordera pas ce problème pourtant fondamental.
On notera au passage que cet Afghan a laissé sa famille au pays. Donc s’il est régularisé, il fera jouer les règles du regroupement familial et au final, ce ne sera pas un migrant de plus à Uzerche mais entre 5 et 10 personnes.
Lorsque toutes ces personnes seront là, vont-elles vivre « à la française » ou reproduire en Corrèze leur mode de vie afghan ?
Il me semble qu’il y a suffisamment d’exemples en France pour pouvoir affirmer qu’ils garderont le mode de vie de leur pays d’origine. Pour preuve, la seule femme qu’on voit au début du reportage est… voilée.
Et c’est le problème. Du fait du nombre, et de la volonté de ces migrants de conserver leur mode de vie, on assiste à l’instauration de deux France. Qui vivent aujourd’hui « côte à côte » jusqu’au moment où l’affrontement aura lieu. Car c’est logique, l’une prendra le pas sur l’autre. Comme la France ne veut pas imposer son identité et ses us et coutumes aux migrants, quand ces derniers seront majoritaires, c’est eux qui imposeront leur mode de vie à leur pays d’accueil. C’est juste une question de temps. Mais la fin de l’histoire est connue d’avance.
On voit ensuite le maire nous vanter les bienfaits de sa politique « qui n’a pas posé de problème ».
Et d’ajouter « On peut proposer des logements, ce qui n’est pas possible dans les grandes villes ».
Tiens, tiens, moi ça me rappelle quelque chose.
Cette famille de Français à Ploërmel, obligée de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre avec 4 enfants, parce qu’il n’y a pas de logement disponible pour les héberger.
Par contre, comme dit le maire, il y a des logements pour les migrants.
Et certains ne comprennent pas que ça puisse énerver les Français de constater qu’il y a des logements pour les migrants mais pas pour les Français ?
Et ces Français « solidaires des migrants » ça ne les gêne pas de laisser tomber leurs compatriotes au profit de gens venus de l’autre bout de la terre.
C’est cela leur solidarité ? Pour ce qui me concerne, je trouve cela honteux.
Pourtant ce maire ne redoute pas de dire « tout le monde a à y gagner »… vraiment ?
Le reportage continue avec la valorisation de l’embauche de certains de ces migrants par un forestier.
« On a du mal à trouver de la main d’œuvre » dit cet employeur.
Cela me rappelle encore un autre problème. La chance que représentent les migrants qui occupent les « emplois que les Français ne veulent pas occuper ».
D’une part, on ne saura pas combien ces gens sont payés. D’autre part, je m’autorise à objecter que quand quelqu’un dépend de son travail pour obtenir ses papiers, il doit être plus docile qu’un Français de souche.
Enfin, le niveau des salaires, dans les domaines que les Français ne veulent pas occuper, est peut-être la raison qui explique ce désintérêt ?
Si ces métiers délaissés par les Français (hôtellerie, restauration, forestiers, etc.) étaient mieux payés, il y aurait sans doute plus de candidats. Non ?
Pour en savoir plus cliquez ici
Vient ensuite le cas de Beyssenac, village de 350 habitants situé à 30 minutes d’Uzerche.
Dans ce tout petit village, le préfet compte installer un CADA avec 40 migrants.
Émotion et mobilisation dans le village contre ce projet, à tel point que le préfet a décidé d’y organiser une réunion. Pour essayer de convaincre.
La salle est entièrement pleine. Plus de 200 personnes dont l’immense majorité est très remontée.
On entend les arguments de bon sens s’enchaîner.
À un moment quelqu’un demande « Qui est contre le CADA ? »… et une forêt de mains se lèvent.
Seules deux femmes s’indignent de ce rejet. Deux sur plus de 200 !
Ce qui n’empêche nullement le préfet de continuer à soutenir son projet contre vents et marées. En l’occurrence contre la volonté de la population.
On entend aussi des opposants s’exprimer.
Le journaliste demande : « Vous n’êtes pas pour la solidarité ? »
Réponse d’une opposante : « Je suis pour la solidarité, mais qu’on commence par nos anciens. »
Un autre opposant : « Je suis venu à la campagne pour être tranquille et quand je vois comment ça se passe, ça va être n’importe quoi. »
Le préfet terminera avec ces paroles : « Toute la France doit faire des efforts et être solidaire. »
La rupture est totale entre d’une part les bien-pensants, les autorités et d’autre part, la population.
Les pro-immigration ont manifestement fait leur cette déclaration de Benoît Frachon (ancien dirigeant de la CGT) :
« Il faut convaincre ou submerger. »
Pour notre part nous avons choisi de résister et nous invitons tous les Français à rejoindre notre combat, qui fut victorieux à Callac, en nous contactant sur notre site Partout Callac cliquez ici
Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.
23:04 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Coordination nationale Partout Callac envisage de porter plainte contre France 2
Communiqué de la Coordination nationale Partout Callac :
Jeudi 06 Avril, France 2 diffusait son émission « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet dont le thème principal était consacré à la bataille menée à Callac contre le projet Horizon de la fondation Merci, qui prévoyait une arrivée massive de migrants dans ce petit bourg des Côtes d’Armor, de 2200 habitants.
Cette émission fut un modèle de désinformation, de mensonges et de partialité, ne rendant nullement compte de ce qui s’est passé à Callac durant des mois, avant l’annonce de l’abandon du projet le 11 janvier 2023 par le maire, Jean-Yves Rolland.
Ainsi, pas un mot, pas une image ne montra l’action illégale des pro-migrants à l’occasion de deux manifestations non déclarées à Callac.
Pas un mot, pas une image ne montra non plus les violences des antifas, à trois reprises à Callac, dont la dernière, le jour des vœux du maire fin janvier, déboucha sur deux interpellations et mises en garde à vue.
De même, les images de notre manifestation du 5 novembre 2022 contre le projet Horizon ont été prises avant que les participants ne soient présents en nombre, donnant l’impression qu’il n’y avait quasiment personne.
Or, il y eut environ 800 personnes (600 d’après la police).
De plus, s’agissant du temps de parole accordé aux deux parties, le visionnage de l’émission permet de constater que 90 à 95 % du temps fut accordé aux personnes favorables à l’arrivée des migrants.
Les opposants n’eurent droit qu’à moins de deux minutes sur plus de vingt pour l’ensemble du reportage.
Enfin, il est particulièrement remarquable de noter qu’à de multiples reprises des qualificatifs inadmissibles furent employés par des personnes interrogées et par le journaliste commentant le reportage à l’encontre des opposants au projet Horizon. Qualificatifs complaisamment diffusés par les responsables de cette production de France 2.
Nos avocats sont saisis et nous nous réservons le droit de porter plainte contre les personnes en cause ainsi que contre les responsables de ce reportage odieux par de nombreux aspects.
Le 8 Avril 2023.
Bernard GERMAIN
Porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez ici
22:52 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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vendredi, 07 avril 2023
Des militaires en appellent au Peuple français : avec Jean-Pierre Fabre-Bernadac
Le 14 avril 2021, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, était à l’origine de la "Tribune des généraux", une pétition signée par des milliers de militaires et qui a fait l’effet d’une déflagration. Deux ans plus tard, le président de l’association Place d’armes lance un appel direct et pressant au Peuple français.
Pour les premiers cosignataires de l’appel, il est crucial que les citoyens se mobilisent pour former une "union sacrée" face à la déliquescence de nos institutions, aux tensions sociales et à la montée des violences. Pour Jean-Pierre Fabre-Bernadac, "si les militaires ont un rôle important à jouer dans la protection de la nation, la résolution des problèmes désastreux actuels nécessite l’implication de tous les citoyens".
Appelant à une grande manifestation nationale à Paris le 13 mai, les responsables de Place d’armes veulent démontrer la responsabilité des gouvernements successifs dans le déclassement de la France et veulent aussi mobiliser tous les patriotes, en dehors des chapelles partisanes, pour renouer avec cet esprit d’union sacrée et de résistance qui s’exprimèrent courageusement en France pendant la douloureuse période de la Première Guerre mondiale.
12:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Reportage-bidon de France2 sur Callac : la réaction de Catherine Blein, alors présidente des Amis de Callac et de ses environs
10:53 Publié dans Callac 22, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Envoyé spécial » Callac : sous Staline, Élise Lucet aurait fait merveille...
Bernard Germain
À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25% de la population du village.
Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.
En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.
Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :
• Ce projet n’était pas dans votre programme électoral
• Soit vous abandonnez le projet, soit vous faites un référendum
L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80% de la population est contre ».
Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.
Alors elle n’en parle tout simplement pas.
De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.
La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.
Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».
De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.
Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.
Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.
Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.
Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.
Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.
Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de trois manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.
On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.
Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?
Non, le reportage de France2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.
C’est du grand « Libération », mais à la télévision.
Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.
Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?
Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.
L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.
Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.
Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.
Aucun exposé des points de vue contraires.
Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.
Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.
Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.
Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.
On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.
Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.
Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.
Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.
Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.
Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?
Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?
Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».
Sauf que les parents ne disent pas cela.
Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».
Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.
Encore l’extrême droite…
Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.
Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.
Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »
« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.
Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.
Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.
Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?
Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.
Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.
Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.
Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.
Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.
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08:43 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Crise existentielle
Vincent Trémolet de Villers
La France bégaye. Chaque semaine, les mêmes cortèges, les mêmes blocages et désormais les mêmes violences. La grève, la grève toujours recommencée. Les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon, aidés par une partie de la presse de gauche, ciblent la police au moment où celle-ci reçoit des pluies de pierres, de boulons et d’acide. La crise sociale tourne en boucle et la politique est emportée dans un inquiétant processus d’autodestruction. Le président un jour se retrouve dans Pif Gadget, un autre annonce une loi sur la mort ; le gouvernement avance comme un canard sans tête pendant qu’une ministre prend la pose dans Playboy dans une version kitsch du narcissisme guidant le peuple. Comme l’Assemblée est ingouvernable, on projette des conventions citoyennes, ce simulacre de démocratie, sur tout et n’importe quoi. Pendant ce temps, le pays, comme abandonné, assiste à l’effondrement de son école, au délitement de l’hôpital, à l’explosion des prix, à l’extension de la délinquance ordinaire, aux effets en cascade de l’immigration subie.
Laurent Berger se trompe, ce n’est pas une crise démocratique qui frappe la France - les élections ont eu lieu, les institutions tiennent, les procédures sont respectées -, mais un mal beaucoup plus profond. Ce qui tourmente le corps social n’est pas institutionnel, mais, à certains aspects, existentiel. Cette question de l’âge de départ ne fut au fond que le déclencheur d’une défiance collective dans laquelle bouillonnent depuis longtemps le sentiment de dépossession, la crainte de l’affaissement, le ras-le-bol aussi de ceux que l’on prélève pour remplir le puits sans fond des transferts sociaux. Quand les syndicats auront rangé les calicots, que la loi sera promulguée et appliquée, il serait illusoire de chercher l’apaisement dans l’aide sociale et les diversions sociétales. Puisque la fabrique de la loi est de plus en plus difficile, on pourrait conseiller à ceux qui nous gouvernent de se concentrer sur leur mission première. Dans un pays où il faut six mois pour refaire une carte identité ou pour remplacer un professeur manquant, ce souci modeste du service public sera préférable à tous les discours grandiloquents.
Source : Le Figaro 7/4/2023
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jeudi, 06 avril 2023
CALLAC : après la diffusion ce soir d'un odieux "reportage" sur France 2, la réaction immédiate de Pierre Cassen
Pierre Cassen, président de Riposte laïque
J'ai regardé. C'est grandiose. Un mélange d'Agence Tass et de Goebbels, au service de l'invasion migratoire.
On a eu la parole 30 secondes, et le reste a été pour les 6 meneurs immigrationnistes de Callac, qui nous ont vendu leur discours pseudo humaniste, moralisateur, et leurs insultes habituels. Du compassionnel à deux balles.
Et bien sûr, du Saint-Brévin ensuite, avec l'incendie de la maison du maire, et le duo Elise Lucet-Morez qui pleurnichent que les autorités ne font rien contre les très méchants fascistes qui terrorisent les paisibles élus.
Et cela se termine par un reportage manipulateur au possible, comparant les migrants africains à des Panaméens risquant leur vie pour traverser la jungle avec femmes et enfants. L'apologie de l'immigration clandestine, avec le discours que sans les clandestins, appelés migrants tout au long du reportage, les économies ne peuvent survivre.
Bref, ceux qui s'opposent à l'arrivée des migrants sont des salauds dépourvus de toute humanité. Une propagande qui a duré au total plus d'une heure, à un moment de grande écoute.
On va s'occuper d'eux dès ce soir. Bernard fait un article que nous mettrons en ligne dans environ une heure, et je ferai ma vidéo demain sur le sujet.
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49-3 soutiens
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À l’occasion de la calamiteuse réforme des retraites traitée dans l’excellente émission n° 25 de L’Écho des Canuts mise en ligne sur Radio Méridien Zéro le 11 février 2023, l’Hexagone retombe dans une série de secousses collectives, de transes politiciennes et de spasmes sociaux dont il a le secret. On assiste à une pitoyable tragicomédie au scénario bouffon dans lequel des lycéens, par ailleurs grévistes du vendredi pour le climat, brûlent volontiers palettes et poubelles sans se soucier du bilan carbone défavorable qu’ils provoquent.
Outre le report de 62 à 64 ans de l’âge du départ de la vie active, les protestations concernent l’usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. Cette crise adulescente qui s’apparente à une éruption urticante spontanée n’est pas nouvelle. La loi El Khomri sur le travail en 2016 avait déjà suscité un mécontentement semblable.
Les principaux contempteurs du 49-3 se trouvent dans les rangs de la gauche radicale. Ils rêvent du grand soir et ont la nostalgie du régime d’assemblée de la Convention nationale en 1793… Dans un pays où les six candidats de gauche (Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Anne Hidalgo, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud) recueillent un total de 11 225 271 suffrages à l’élection présidentielle de l’an passé, il n’est pas illogique que deux à trois millions de Français affichent leur hostilité à cette loi. La forte contestation relevée dans la « France périphérique » montre aussi que cette stupide réforme cristallise une vive colère qui la transcende. Certains évoquent une continuité conflictuelle par-delà l’entracte covidesque – et peut-être à cause de lui – entre ces grandes mobilisations, les « Bonnets rouges » bretons de 2013 et les « Gilets jaunes » de 2018 – 2019.
Bien des critiques proclament que le 49-3 serait anti-démocratique. Opinion grotesque ! Cette disposition inscrite dès l’origine dans la Constitution appartient à ce que les constitutionnalistes qualifient de « parlementarisme rationalisé ». Ses autres outils sont le 44-3 (pour le vote bloqué) et le 47-1 (la procédure d’accélération des débats législatifs dans le cadre des projets de loi des finances). Avant la funeste révision de 2008, le gouvernement bénéficiait de l’article 48, lui assurant la seule maîtrise de l’ordre du jour au Parlement. Le 49-3 correspond à la procédure habituelle en régime parlementaire de la question de confiance. Le gouvernement pose sa responsabilité sur un texte précis pour obtenir de l’Assemblée nationale un vote qu’il juge indispensable pour la poursuite de sa politique. Dans l’esprit des rédacteurs de la Constitution de la Ve République, Michel Debré en particulier, le 49-3 est une façon inédite de renforcer la stabilité du gouvernement, de discipliner une majorité parfois réticente et d’arrêter les manœuvres dilatoires de l’opposition.
Suite à une délibération du Conseil des ministres, le Premier ministre engage son maintien à propos d’un texte législatif. L’opposition peut alors déposer une motion de censure. Si elle n’est pas déposée ou si elle n’obtient pas la majorité absolue des inscrits, le gouvernement estime mériter la confiance des élus; il reste en fonction et le texte est entériné. Si la motion de censure est adoptée, le texte est rejeté et le gouvernement renversé; le Premier ministre doit alors présenter sa démission et celle de son équipe ministérielle au président de la République qui peut alors dissoudre l’Assemblée nationale, mais cette option n’est pas obligatoire.
La philosophie du 49-3 est limpide. Elle applique l’adage « Qui n’est pas contre moi est pour moi ». En effet, en s’abstenant, le député approuve in fine le texte et donc l’action du gouvernement. Le 20 mars dernier, il a manqué neuf voix pour entraîner la chute du gouvernement Borne. Parmi ce déficit de neuf voix, signalons les députés LR et la députée non-inscrite de l’Hérault, Emmanuelle Ménard, chroniqueuse au mensuel Causeur, et représentant avec son mari, l’édile de Béziers, d’un macronisme d’extrême droite.
L’article 49-3 si décrié se coule dans le strict mécanisme parlementaire qui laisse à l’Assemblée nationale la liberté de censurer le gouvernement sans toutefois susciter des majorités négatives de circonstance ou des alliances contre-nature. Cette procédure institutionnelle se rapproche en partie de la motion de censure constructive prévue dans la Loi fondamentale allemande de 1949 qui contraint les éventuels censeurs à s’accorder autour d’une personnalité susceptible de remplacer le chancelier en fonction.
23:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français !
Marc Rousset
Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !
La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.
Luca de Meo, le directeur général de Renault, a déclaré, lors d’une conférence en mai 2022 sur l’avenir de l’automobile organisée par le « Financial Times », que la filière risquait de perdre 50 000 à 70 000 emplois supplémentaires, suite à la stupide et trop rapide transition énergétique, dans un secteur déjà en perdition. Le réchauffement climatique est provoqué par des phénomènes naturels incontrôlables (variation de l’activité solaire, lune, volcans, oscillations océaniques, déplacement astronomique de l’axe de rotation de la terre), très souvent réversibles, et n’est pas provoqué par le C02 humain, malgré les bobards de la bien-pensance, des fascistes verts, de Macron et du GIEC !
Quant à Claude Cham, président de la Fiev (Fédération des équipementiers), il redoute la suppression de 10 000 emplois supplémentaires en 2022-2023. Luc Chatel, le président de Plateforme automobile, estime de son côté, que la filière automobile pourrait perdre 32 000 emplois de plus entre 2022 et 2025.
Seul le cabinet Alix Partners est un petit peu moins pessimiste pour l’avenir puisqu’il prévoit une diminution des effectifs pour le secteur automobile de 40 000 personnes entre 2022 et 2030. Ce sont les entreprises dans les secteurs industriels traditionnels qui risquent de voir diminuer leurs effectifs et leur chiffre d’affaires, dans les dix ans qui viennent d’une façon drastique, parfois mortelle : – 60 % pour le décolletage, usinage et traitement des métaux, – 40 % pour les forges, – 20 % pur l’emboutissage, – 10% pour les tissus du textile.
L’actuelle production automobile française est en fait revenue 50 ans en arrière, au niveau de 1973 ! L’hexagone a fabriqué seulement 1,37 millions de véhicules en 2022, alors qu’elle s’élevait encore à 2,19 millions en 2019, 2,29 millions en 2010 et 3,66 millions à son maximum historique en 2004. Les Allemands sont plus patriotes, courageux, réalistes et intelligents ; ils défendent mieux leurs emplois et leur industrie nationale que les entreprises multinationales françaises et les hauts fonctionnaires français ; ces derniers commencent tout juste à se réveiller alors que la Maison brûle depuis longtemps! Ce n’est pas pour rien que les Allemands ont refusé la fin du moteur thermique en 2035 !
23:14 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |