samedi, 08 avril 2023
Invasion des campagnes : après “Envoyé Spécial”, la propagande d'Etat en faveur du grand remplacement continue
Après l’ineffable « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, diffusé jeudi 6 avril sur France 2, concernant le dossier de Callac, les pro-immigration continuent leur offensive pour imposer la transition démographique dans les campagnes.
Cette fois, c’est un reportage de France info qui s’y colle afin de tenter de démontrer que les Français ne sont que des égoïstes, insensibles aux valeurs de solidarité et d’accueil. Qui plus est, ils ne comprennent rien à l’intérêt pour la France d’accueillir ces immigrés.
Le reportage commence par Uzerche, un bourg de 2700 habitants en Corrèze. Une trentaine de migrants sont arrivés depuis 2016.
Au début du reportage, on assiste à un cours d’alphabétisation. L’objectif est à l’évidence de souligner l’envie des immigrés d’apprendre le français et donc de s’intégrer à notre société.
On me permettra d’objecter qu’apprendre une langue ne signifie pas qu’on va se fondre dans la population, adopter ses coutumes, sa culture, son identité ni son histoire.
Quand on vient d’un pays comme l’Afghanistan, comme c’est le cas dans le reportage, les différences sont tellement importantes que réduire le problème à celui de la langue est vraiment une mauvaise blague.
Bien évidemment, le reportage n’abordera pas ce problème pourtant fondamental.
On notera au passage que cet Afghan a laissé sa famille au pays. Donc s’il est régularisé, il fera jouer les règles du regroupement familial et au final, ce ne sera pas un migrant de plus à Uzerche mais entre 5 et 10 personnes.
Lorsque toutes ces personnes seront là, vont-elles vivre « à la française » ou reproduire en Corrèze leur mode de vie afghan ?
Il me semble qu’il y a suffisamment d’exemples en France pour pouvoir affirmer qu’ils garderont le mode de vie de leur pays d’origine. Pour preuve, la seule femme qu’on voit au début du reportage est… voilée.
Et c’est le problème. Du fait du nombre, et de la volonté de ces migrants de conserver leur mode de vie, on assiste à l’instauration de deux France. Qui vivent aujourd’hui « côte à côte » jusqu’au moment où l’affrontement aura lieu. Car c’est logique, l’une prendra le pas sur l’autre. Comme la France ne veut pas imposer son identité et ses us et coutumes aux migrants, quand ces derniers seront majoritaires, c’est eux qui imposeront leur mode de vie à leur pays d’accueil. C’est juste une question de temps. Mais la fin de l’histoire est connue d’avance.
On voit ensuite le maire nous vanter les bienfaits de sa politique « qui n’a pas posé de problème ».
Et d’ajouter « On peut proposer des logements, ce qui n’est pas possible dans les grandes villes ».
Tiens, tiens, moi ça me rappelle quelque chose.
Cette famille de Français à Ploërmel, obligée de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre avec 4 enfants, parce qu’il n’y a pas de logement disponible pour les héberger.
Par contre, comme dit le maire, il y a des logements pour les migrants.
Et certains ne comprennent pas que ça puisse énerver les Français de constater qu’il y a des logements pour les migrants mais pas pour les Français ?
Et ces Français « solidaires des migrants » ça ne les gêne pas de laisser tomber leurs compatriotes au profit de gens venus de l’autre bout de la terre.
C’est cela leur solidarité ? Pour ce qui me concerne, je trouve cela honteux.
Pourtant ce maire ne redoute pas de dire « tout le monde a à y gagner »… vraiment ?
Le reportage continue avec la valorisation de l’embauche de certains de ces migrants par un forestier.
« On a du mal à trouver de la main d’œuvre » dit cet employeur.
Cela me rappelle encore un autre problème. La chance que représentent les migrants qui occupent les « emplois que les Français ne veulent pas occuper ».
D’une part, on ne saura pas combien ces gens sont payés. D’autre part, je m’autorise à objecter que quand quelqu’un dépend de son travail pour obtenir ses papiers, il doit être plus docile qu’un Français de souche.
Enfin, le niveau des salaires, dans les domaines que les Français ne veulent pas occuper, est peut-être la raison qui explique ce désintérêt ?
Si ces métiers délaissés par les Français (hôtellerie, restauration, forestiers, etc.) étaient mieux payés, il y aurait sans doute plus de candidats. Non ?
Pour en savoir plus cliquez ici
Vient ensuite le cas de Beyssenac, village de 350 habitants situé à 30 minutes d’Uzerche.
Dans ce tout petit village, le préfet compte installer un CADA avec 40 migrants.
Émotion et mobilisation dans le village contre ce projet, à tel point que le préfet a décidé d’y organiser une réunion. Pour essayer de convaincre.
La salle est entièrement pleine. Plus de 200 personnes dont l’immense majorité est très remontée.
On entend les arguments de bon sens s’enchaîner.
À un moment quelqu’un demande « Qui est contre le CADA ? »… et une forêt de mains se lèvent.
Seules deux femmes s’indignent de ce rejet. Deux sur plus de 200 !
Ce qui n’empêche nullement le préfet de continuer à soutenir son projet contre vents et marées. En l’occurrence contre la volonté de la population.
On entend aussi des opposants s’exprimer.
Le journaliste demande : « Vous n’êtes pas pour la solidarité ? »
Réponse d’une opposante : « Je suis pour la solidarité, mais qu’on commence par nos anciens. »
Un autre opposant : « Je suis venu à la campagne pour être tranquille et quand je vois comment ça se passe, ça va être n’importe quoi. »
Le préfet terminera avec ces paroles : « Toute la France doit faire des efforts et être solidaire. »
La rupture est totale entre d’une part les bien-pensants, les autorités et d’autre part, la population.
Les pro-immigration ont manifestement fait leur cette déclaration de Benoît Frachon (ancien dirigeant de la CGT) :
« Il faut convaincre ou submerger. »
Pour notre part nous avons choisi de résister et nous invitons tous les Français à rejoindre notre combat, qui fut victorieux à Callac, en nous contactant sur notre site Partout Callac cliquez ici
Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.
23:04 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Coordination nationale Partout Callac envisage de porter plainte contre France 2
Communiqué de la Coordination nationale Partout Callac :
Jeudi 06 Avril, France 2 diffusait son émission « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet dont le thème principal était consacré à la bataille menée à Callac contre le projet Horizon de la fondation Merci, qui prévoyait une arrivée massive de migrants dans ce petit bourg des Côtes d’Armor, de 2200 habitants.
Cette émission fut un modèle de désinformation, de mensonges et de partialité, ne rendant nullement compte de ce qui s’est passé à Callac durant des mois, avant l’annonce de l’abandon du projet le 11 janvier 2023 par le maire, Jean-Yves Rolland.
Ainsi, pas un mot, pas une image ne montra l’action illégale des pro-migrants à l’occasion de deux manifestations non déclarées à Callac.
Pas un mot, pas une image ne montra non plus les violences des antifas, à trois reprises à Callac, dont la dernière, le jour des vœux du maire fin janvier, déboucha sur deux interpellations et mises en garde à vue.
De même, les images de notre manifestation du 5 novembre 2022 contre le projet Horizon ont été prises avant que les participants ne soient présents en nombre, donnant l’impression qu’il n’y avait quasiment personne.
Or, il y eut environ 800 personnes (600 d’après la police).
De plus, s’agissant du temps de parole accordé aux deux parties, le visionnage de l’émission permet de constater que 90 à 95 % du temps fut accordé aux personnes favorables à l’arrivée des migrants.
Les opposants n’eurent droit qu’à moins de deux minutes sur plus de vingt pour l’ensemble du reportage.
Enfin, il est particulièrement remarquable de noter qu’à de multiples reprises des qualificatifs inadmissibles furent employés par des personnes interrogées et par le journaliste commentant le reportage à l’encontre des opposants au projet Horizon. Qualificatifs complaisamment diffusés par les responsables de cette production de France 2.
Nos avocats sont saisis et nous nous réservons le droit de porter plainte contre les personnes en cause ainsi que contre les responsables de ce reportage odieux par de nombreux aspects.
Le 8 Avril 2023.
Bernard GERMAIN
Porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez ici
22:52 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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10:34 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 07 avril 2023
Des militaires en appellent au Peuple français : avec Jean-Pierre Fabre-Bernadac
Le 14 avril 2021, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, était à l’origine de la "Tribune des généraux", une pétition signée par des milliers de militaires et qui a fait l’effet d’une déflagration. Deux ans plus tard, le président de l’association Place d’armes lance un appel direct et pressant au Peuple français.
Pour les premiers cosignataires de l’appel, il est crucial que les citoyens se mobilisent pour former une "union sacrée" face à la déliquescence de nos institutions, aux tensions sociales et à la montée des violences. Pour Jean-Pierre Fabre-Bernadac, "si les militaires ont un rôle important à jouer dans la protection de la nation, la résolution des problèmes désastreux actuels nécessite l’implication de tous les citoyens".
Appelant à une grande manifestation nationale à Paris le 13 mai, les responsables de Place d’armes veulent démontrer la responsabilité des gouvernements successifs dans le déclassement de la France et veulent aussi mobiliser tous les patriotes, en dehors des chapelles partisanes, pour renouer avec cet esprit d’union sacrée et de résistance qui s’exprimèrent courageusement en France pendant la douloureuse période de la Première Guerre mondiale.
12:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Reportage-bidon de France2 sur Callac : la réaction de Catherine Blein, alors présidente des Amis de Callac et de ses environs
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« Envoyé spécial » Callac : sous Staline, Élise Lucet aurait fait merveille...
Bernard Germain
À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25% de la population du village.
Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.
En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.
Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :
• Ce projet n’était pas dans votre programme électoral
• Soit vous abandonnez le projet, soit vous faites un référendum
L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80% de la population est contre ».
Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.
Alors elle n’en parle tout simplement pas.
De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.
La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.
Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».
De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.
Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.
Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.
Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.
Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.
Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.
Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de trois manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.
On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.
Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?
Non, le reportage de France2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.
C’est du grand « Libération », mais à la télévision.
Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.
Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?
Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.
L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.
Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.
Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.
Aucun exposé des points de vue contraires.
Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.
Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.
Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.
Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.
On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.
Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.
Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.
Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.
Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.
Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?
Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?
Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».
Sauf que les parents ne disent pas cela.
Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».
Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.
Encore l’extrême droite…
Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.
Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.
Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »
« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.
Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.
Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.
Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?
Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.
Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.
Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.
Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.
Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.
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08:43 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Crise existentielle
Vincent Trémolet de Villers
La France bégaye. Chaque semaine, les mêmes cortèges, les mêmes blocages et désormais les mêmes violences. La grève, la grève toujours recommencée. Les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon, aidés par une partie de la presse de gauche, ciblent la police au moment où celle-ci reçoit des pluies de pierres, de boulons et d’acide. La crise sociale tourne en boucle et la politique est emportée dans un inquiétant processus d’autodestruction. Le président un jour se retrouve dans Pif Gadget, un autre annonce une loi sur la mort ; le gouvernement avance comme un canard sans tête pendant qu’une ministre prend la pose dans Playboy dans une version kitsch du narcissisme guidant le peuple. Comme l’Assemblée est ingouvernable, on projette des conventions citoyennes, ce simulacre de démocratie, sur tout et n’importe quoi. Pendant ce temps, le pays, comme abandonné, assiste à l’effondrement de son école, au délitement de l’hôpital, à l’explosion des prix, à l’extension de la délinquance ordinaire, aux effets en cascade de l’immigration subie.
Laurent Berger se trompe, ce n’est pas une crise démocratique qui frappe la France - les élections ont eu lieu, les institutions tiennent, les procédures sont respectées -, mais un mal beaucoup plus profond. Ce qui tourmente le corps social n’est pas institutionnel, mais, à certains aspects, existentiel. Cette question de l’âge de départ ne fut au fond que le déclencheur d’une défiance collective dans laquelle bouillonnent depuis longtemps le sentiment de dépossession, la crainte de l’affaissement, le ras-le-bol aussi de ceux que l’on prélève pour remplir le puits sans fond des transferts sociaux. Quand les syndicats auront rangé les calicots, que la loi sera promulguée et appliquée, il serait illusoire de chercher l’apaisement dans l’aide sociale et les diversions sociétales. Puisque la fabrique de la loi est de plus en plus difficile, on pourrait conseiller à ceux qui nous gouvernent de se concentrer sur leur mission première. Dans un pays où il faut six mois pour refaire une carte identité ou pour remplacer un professeur manquant, ce souci modeste du service public sera préférable à tous les discours grandiloquents.
Source : Le Figaro 7/4/2023
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CALLAC : LA VÉRITÉ !
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jeudi, 06 avril 2023
CALLAC : après la diffusion ce soir d'un odieux "reportage" sur France 2, la réaction immédiate de Pierre Cassen
Pierre Cassen, président de Riposte laïque
J'ai regardé. C'est grandiose. Un mélange d'Agence Tass et de Goebbels, au service de l'invasion migratoire.
On a eu la parole 30 secondes, et le reste a été pour les 6 meneurs immigrationnistes de Callac, qui nous ont vendu leur discours pseudo humaniste, moralisateur, et leurs insultes habituels. Du compassionnel à deux balles.
Et bien sûr, du Saint-Brévin ensuite, avec l'incendie de la maison du maire, et le duo Elise Lucet-Morez qui pleurnichent que les autorités ne font rien contre les très méchants fascistes qui terrorisent les paisibles élus.
Et cela se termine par un reportage manipulateur au possible, comparant les migrants africains à des Panaméens risquant leur vie pour traverser la jungle avec femmes et enfants. L'apologie de l'immigration clandestine, avec le discours que sans les clandestins, appelés migrants tout au long du reportage, les économies ne peuvent survivre.
Bref, ceux qui s'opposent à l'arrivée des migrants sont des salauds dépourvus de toute humanité. Une propagande qui a duré au total plus d'une heure, à un moment de grande écoute.
On va s'occuper d'eux dès ce soir. Bernard fait un article que nous mettrons en ligne dans environ une heure, et je ferai ma vidéo demain sur le sujet.
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49-3 soutiens
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À l’occasion de la calamiteuse réforme des retraites traitée dans l’excellente émission n° 25 de L’Écho des Canuts mise en ligne sur Radio Méridien Zéro le 11 février 2023, l’Hexagone retombe dans une série de secousses collectives, de transes politiciennes et de spasmes sociaux dont il a le secret. On assiste à une pitoyable tragicomédie au scénario bouffon dans lequel des lycéens, par ailleurs grévistes du vendredi pour le climat, brûlent volontiers palettes et poubelles sans se soucier du bilan carbone défavorable qu’ils provoquent.
Outre le report de 62 à 64 ans de l’âge du départ de la vie active, les protestations concernent l’usage de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. Cette crise adulescente qui s’apparente à une éruption urticante spontanée n’est pas nouvelle. La loi El Khomri sur le travail en 2016 avait déjà suscité un mécontentement semblable.
Les principaux contempteurs du 49-3 se trouvent dans les rangs de la gauche radicale. Ils rêvent du grand soir et ont la nostalgie du régime d’assemblée de la Convention nationale en 1793… Dans un pays où les six candidats de gauche (Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Anne Hidalgo, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud) recueillent un total de 11 225 271 suffrages à l’élection présidentielle de l’an passé, il n’est pas illogique que deux à trois millions de Français affichent leur hostilité à cette loi. La forte contestation relevée dans la « France périphérique » montre aussi que cette stupide réforme cristallise une vive colère qui la transcende. Certains évoquent une continuité conflictuelle par-delà l’entracte covidesque – et peut-être à cause de lui – entre ces grandes mobilisations, les « Bonnets rouges » bretons de 2013 et les « Gilets jaunes » de 2018 – 2019.
Bien des critiques proclament que le 49-3 serait anti-démocratique. Opinion grotesque ! Cette disposition inscrite dès l’origine dans la Constitution appartient à ce que les constitutionnalistes qualifient de « parlementarisme rationalisé ». Ses autres outils sont le 44-3 (pour le vote bloqué) et le 47-1 (la procédure d’accélération des débats législatifs dans le cadre des projets de loi des finances). Avant la funeste révision de 2008, le gouvernement bénéficiait de l’article 48, lui assurant la seule maîtrise de l’ordre du jour au Parlement. Le 49-3 correspond à la procédure habituelle en régime parlementaire de la question de confiance. Le gouvernement pose sa responsabilité sur un texte précis pour obtenir de l’Assemblée nationale un vote qu’il juge indispensable pour la poursuite de sa politique. Dans l’esprit des rédacteurs de la Constitution de la Ve République, Michel Debré en particulier, le 49-3 est une façon inédite de renforcer la stabilité du gouvernement, de discipliner une majorité parfois réticente et d’arrêter les manœuvres dilatoires de l’opposition.
Suite à une délibération du Conseil des ministres, le Premier ministre engage son maintien à propos d’un texte législatif. L’opposition peut alors déposer une motion de censure. Si elle n’est pas déposée ou si elle n’obtient pas la majorité absolue des inscrits, le gouvernement estime mériter la confiance des élus; il reste en fonction et le texte est entériné. Si la motion de censure est adoptée, le texte est rejeté et le gouvernement renversé; le Premier ministre doit alors présenter sa démission et celle de son équipe ministérielle au président de la République qui peut alors dissoudre l’Assemblée nationale, mais cette option n’est pas obligatoire.
La philosophie du 49-3 est limpide. Elle applique l’adage « Qui n’est pas contre moi est pour moi ». En effet, en s’abstenant, le député approuve in fine le texte et donc l’action du gouvernement. Le 20 mars dernier, il a manqué neuf voix pour entraîner la chute du gouvernement Borne. Parmi ce déficit de neuf voix, signalons les députés LR et la députée non-inscrite de l’Hérault, Emmanuelle Ménard, chroniqueuse au mensuel Causeur, et représentant avec son mari, l’édile de Béziers, d’un macronisme d’extrême droite.
L’article 49-3 si décrié se coule dans le strict mécanisme parlementaire qui laisse à l’Assemblée nationale la liberté de censurer le gouvernement sans toutefois susciter des majorités négatives de circonstance ou des alliances contre-nature. Cette procédure institutionnelle se rapproche en partie de la motion de censure constructive prévue dans la Loi fondamentale allemande de 1949 qui contraint les éventuels censeurs à s’accorder autour d’une personnalité susceptible de remplacer le chancelier en fonction.
23:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français !
Marc Rousset
Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !
La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.
Luca de Meo, le directeur général de Renault, a déclaré, lors d’une conférence en mai 2022 sur l’avenir de l’automobile organisée par le « Financial Times », que la filière risquait de perdre 50 000 à 70 000 emplois supplémentaires, suite à la stupide et trop rapide transition énergétique, dans un secteur déjà en perdition. Le réchauffement climatique est provoqué par des phénomènes naturels incontrôlables (variation de l’activité solaire, lune, volcans, oscillations océaniques, déplacement astronomique de l’axe de rotation de la terre), très souvent réversibles, et n’est pas provoqué par le C02 humain, malgré les bobards de la bien-pensance, des fascistes verts, de Macron et du GIEC !
Quant à Claude Cham, président de la Fiev (Fédération des équipementiers), il redoute la suppression de 10 000 emplois supplémentaires en 2022-2023. Luc Chatel, le président de Plateforme automobile, estime de son côté, que la filière automobile pourrait perdre 32 000 emplois de plus entre 2022 et 2025.
Seul le cabinet Alix Partners est un petit peu moins pessimiste pour l’avenir puisqu’il prévoit une diminution des effectifs pour le secteur automobile de 40 000 personnes entre 2022 et 2030. Ce sont les entreprises dans les secteurs industriels traditionnels qui risquent de voir diminuer leurs effectifs et leur chiffre d’affaires, dans les dix ans qui viennent d’une façon drastique, parfois mortelle : – 60 % pour le décolletage, usinage et traitement des métaux, – 40 % pour les forges, – 20 % pur l’emboutissage, – 10% pour les tissus du textile.
L’actuelle production automobile française est en fait revenue 50 ans en arrière, au niveau de 1973 ! L’hexagone a fabriqué seulement 1,37 millions de véhicules en 2022, alors qu’elle s’élevait encore à 2,19 millions en 2019, 2,29 millions en 2010 et 3,66 millions à son maximum historique en 2004. Les Allemands sont plus patriotes, courageux, réalistes et intelligents ; ils défendent mieux leurs emplois et leur industrie nationale que les entreprises multinationales françaises et les hauts fonctionnaires français ; ces derniers commencent tout juste à se réveiller alors que la Maison brûle depuis longtemps! Ce n’est pas pour rien que les Allemands ont refusé la fin du moteur thermique en 2035 !
23:14 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Violences d’extrême-droite » une arnaque totale
Bernard Germain
Aurélien Tâché… vous connaissez ? Ce monsieur est député. Et c’est un homme de conviction. Sauf que ses convictions varient et tournent au gré des vents, comme les girouettes.
Ainsi, il a commencé sa « carrière » au PS, puis il est passé chez Macron à LREM, il a ensuite créé un micro parti qui n’a pas duré longtemps. À ce jour, il est à la NUPES chez les écologistes. On dirait qu’il a un peu de mal à savoir où il habite…
Ce monsieur est également connu pour certaines frasques dont il est visiblement un peu coutumier.
Ainsi, l'hebdomadaire Le Point, le 9 février 2022, rapporte que suite à une bagarre dans un bar à Niort, la police est appelée. Aurélien Tâché y aurait été victime de violence. Visiblement alcoolisé, il trouvera le moyen d’insulter les policiers, les traitant de « baqueux de merde ». Il échappe ce soir-là à la garde à vue sans doute du fait de son statut de parlementaire.
Il sera condamné par le tribunal de Niort à 5.000€ d’amende.
Le 6 décembre 2022, complètement saoul, Aurélien Tâché perturbe gravement la représentation d’un théâtre avant de s’en faire expulser.
Le directeur du théâtre tweetera : « Je suis le metteur en scène de « Lettres à Anne » qui se joue au théâtre Lepic actuellement.Ce soir, le député Aurélien Tâché, totalement saoule a profondément perturbé la représentation. Parlant fort, applaudissant de manière absurde, invectivant le comédien… jusqu’à ce que ce dernier s’interrompt et lui demande de sortir.Il a ensuite lamentablement menacé le régisseur de représailles. C’était absolument hallucinant et lamentable.
Pour qui vous prenez vous Aurélien Taché ?
Dans quel monde vivez vous ? ».
Donc un personnage de conviction au profil des plus sympathiques.
Récemment, le 3 avril 2023, ce monsieur vient encore de se faire remarquer, mais cette fois-ci dans la rubrique « initiative politique sulfureuse ». De quoi s’agit-il ?
Il a organisé à l’Assemblée nationale une réunion-débat dont le thème était : « la lutte contre le terrorisme d’extrême droite ».
Voyez-vous, c’est la mode par les temps qui courent. Tous les bien pensants s’en vont, répétant que les violences d’extrême-droite sont omniprésentes en France et que la France serait menacée de sombrer dans le fascisme.
La Une de Libération de ce jour 5 avril est d’ailleurs là pour le rappeler afin d’insister sur la chose et ce faisant tenter de convaincre les français que tout cela est bien réel.
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » disait Beaumarchais.
Le plus extravagant dans cette réunion, hormis son thème, étant la présence d’un des invités d’Aurélien Tâché, le dénommé Raphaël Archenault dit « Raphaël Arnault ». Ce sinistre individu est le chef des antifas de Lyon dont le groupe s’appelle « La Jeune Garde », auteur d’une multitude de violences. Je rappelle que cet individu, sympathique comme une tarentule, a été candidat de la NUPES aux élections législatives de juin 2022 dans la seconde circonscription du Rhône.
Ceci permet de comprendre qu’il y a un lien entre antifas et extrême-gauche (NUPES) politique.
À la NUPES la partie « politique », donc noble, de l’action. Aux antifas la partie violence, donc la basse besogne. Mais c’est un seul et même combat. D’ailleurs la NUPES n’a jamais un mot de condamnation pour les actions violentes.
Toujours est-il que la présence de Raphaël Arnault dans cette réunion - débat était aussi grotesque que si, en son temps, une réunion – débat contre l’antisémitisme avait eu comme invité Adolf Hitler.
En effet ce triste sire, Raphaël Arnault, a à son palmarès, avec ses troupes, un nombre non négligeable d’exactions et violences en tous genres à l’encontre de quiconque ne partage pas les idées de ses nervis antifas.
On notera au passage que ces gens sont des militants extrêmement courageux. Ils chassent uniquement en meute. Généralement ils agressent leurs victimes à plus de 10 contre 1 comme récemment à Lyon où un étudiant a été rossé et humilié dans des conditions insupportables comme le montre une vidéo qu’on trouve aisément sur le net.
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Xavier Moreau, en direct de Mosou : "L'Occident n'est plus un modèle pour les Russes"
Xavier Moreau Historien et analyste politico-stratégique, directeur du site Stratpol. Auteur de “Livre noir de la gauche française” et " Ukraine, pourquoi la France s’est trompée "
Les grandes entreprises qui ont décidé de se retirer de la Russie ont vite été remplacées. L'ambition de #Poutine est d'utiliser les sanctions pour faire un saut qualitatif dans l'hyper industrialisation.
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mercredi, 05 avril 2023
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES
20:53 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À L'INITIATIVE DE "RECONQUETE !", SE TENAIT AUJOURD'HUI À PARIS UN COLLOQUE SUR LA VIOLENCE DE GAUCHE ET D'EXTREME GAUCHE
Face aux violences inouïes qui prennent aujourd’hui la France en otage, Reconquête ! organisait ce mercredi 5 avril 2023 une convention sur le thème : « Mélenchon, black blocs, antifas : en finir avec les violences de l’extrême gauche ».
Cette convention était destinée à faire la lumière sur le chaos organisé par l’extrême gauche, soutenu par la NUPES et permis par Emmanuel Macron. De nombreux invités sont venus apporter leur analyse, leurs témoignages et leurs solutions, sur les sujets des antifas, des black blocs, sur leurs liaisons dangereuses avec la NUPES, l’histoire de ces mouvements, leurs modes d’action et leurs cibles privilégiées.
Sont notamment intervenus : Thibault de Montbrial, avocat et président Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure (CRSI), Patrice Gueniffey, historien, auteur de La Politique de la Terreur (2000) et Olivier Vial, Président de L’Union Nationale Inter-universitaire (UNI). Des policiers et des victimes de cette violence viendront également témoigner, ainsi que deux anciens black blocs repentis.
20:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La face cachée d’Humza Yousaf, le nouveau Premier ministre musulman de l’Écosse.
En savoir plus cliquez ici
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Soutien du Parti de la France aux militants de Reconquête ! de l'Aisne
17:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vous avez dit « terrorisme de l’extrême-gauche » ?
Michel Festivi
Notre fringuant ministre de l’intérieur, Monsieur Gérald Darmanin, vient récemment de défrayer la chronique dans un entretien au JDD en dénonçant le « terrorisme intellectuel d’’extrême-gauche », accusant aussi JL Mélenchon de vouloir faire la révolution. Sur Europe 1 il a même évoqué : « le rouleau compresseur d’une partie de l’extrême-gauche » qui fait preuve de « terreur intellectuelle », rajoutant : « l’extrême-gauche joue en rôle très dangereux aujourd’hui dans notre pays ».
Il attaque (enfin) la Nupes et son leader : « l’extrême-gauche essaie d’avoir par le désordre ce qu’elle n’a pas pu avoir dans les urnes… Monsieur Mélenchon est passé de pompier pyromane à pyromane tout court … Monsieur Mélenchon a un projet : c’est la Révolution. » (Cf le Figaro du 2 avril 2023).
Mr Darmanin a totalement raison dans son analyse, mais pourquoi alors, se tire-t-il en permanence une balle dans le pied, en réservant tous ses coups aux militants nationaux et aux mouvements qui refusent l’immigration sauvage et massive ? D’autre part, au sein même de l’exécutif, on ne semble pas apprécier ses propos, comme Clément Borne par exemple, le ministre des transports, qui a choisi lui de s’exprimer dans Libération, tout un symbole, et qui veut « continuer à travailler avec les forces politiques de gauche. » Fermez le ban !
Jean Sévillia, en réponse à Gérald Darmanin, apporte son expertise aux journalistes du Figaro le 4 avril sur cette notion du terrorisme intellectuel de l’extrême-gauche, lui qui a été l’auteur d’un livre remarqué en 2000 : « le terrorisme intellectuel. De 1945 à nos jours », chez Perrin.
Jean Sévillia fait remonter ce terrorisme intellectuel des gauches à l’après-guerre et explique que la gauche s’est alors « assimilée au camp du bien », « reléguant la droite au camp du mal ». Car dit-il, tout ce qui n’est pas de gauche est susceptible d’être fasciste, et De Gaulle lui-même a été accusé d’être fasciste.
Sa démonstration est juste, mais largement insuffisante et incomplète. Tout d’abord, il n’insiste pas assez sur le fait qu’une grande partie de la droite et du centre s’est ralliée à la gauche en faisant sienne sa doxa de « l’antifascisme ». En France par exemple le « pas d’ennemi à droite », n’a jamais pu s’imposer, le contraire toujours, sur ce même fondement. Or le socialisme nazi et fasciste sont morts en 1945, pas le communisme.
Mais qui plus est, ce terrorisme intellectuel des gauches, sous le couvert de « l’antifascisme », remonte à bien plus loin. On peut le dater très clairement du mois de novembre 1933, où les droites espagnoles, regroupées dans la CEDA, ayant très largement remportées les seules élections législatives non frauduleuses d’alors, ce sont vues refusées par le Président de la République Niceto Alcala Zamora qui était plutôt centriste, et les gauches vaincues emmenées par Manuel Azaña et Largo Caballero, la possibilité d’obtenir la direction du gouvernement et même le moindre ministre, et ce en contradiction totale avec la constitution de décembre 1931. Lorsqu’en désespoir de cause, en octobre 1934, José Maria Gil Roblès, le chef de la CEDA, réussit après moultes demandes pacifiques à décrocher trois sous-ministères, les gauches qui s’y étaient préparées, ont immédiatement enclenché la révolution armée dans tout le pays et singulièrement dans les Asturies pour liquider leurs opposants au nom justement de « l’antifascisme ». C’est ce que j’ai expliqué, documents à l’appui, dans mes trois livres publiés aux Editions Dualpha : Les trahisons des gauches espagnoles en 2021, l’Espagne ensanglantée en 2022, et Miguel Primo de Rivera, qui vient d’être publié.
D’ailleurs, dans les mois qui suivront, Staline décidera de changer radicalement de tactique, et ordonnera à tous les partis communistes, de pratiquer des politiques dites de « Front populaire », ce qui réussira en Espagne, puis en France. Il fallait « se cacher » derrière le vocable de « l’antifascisme » pour mieux tromper « les progressistes » ou les catholiques. En Espagne, trois as de la propagande communiste stalinienne, Willy Müzenberg, Otto Katz et Ilya Ehrenbourg réussiront, au-delà de toutes leurs espérances, à tromper les gogos des gauches dites modérées, pour faire croire aux démocraties occidentales que les communistes défendaient désormais la liberté et la république, et ce en plein procès de Moscou ! Cf, de l’auteur, L’Espagne ensanglantée pages 235 à 247. André Gide, grâce à un voyage dans la patrie des prolétaires, ouvrira les yeux et sera l’un des rares intellectuels de l’époque, avec George Orwell, à critiquer vertement l’URSS et les ignobles procès qui s’y déroulaient, contrairement par exemple à la Ligue des Droits de l’Homme qui restera muette, pour ne pas désespérer Billancourt.
En réalité, les Nupes et autres organisations d’extrêmes-gauches, ne font que reprendre les mêmes techniques de leurs prédécesseurs léninistes et staliniens. Toujours cette constance dans l’histoire, qu’il faut impérativement connaître pour comprendre le présent. Comme l’explicitera courageusement l’Historien gallois de gauche Burnett Bolloten dans son livre magistral, La guerre d’Espagne-Révolution et contre-révolution (1934-1939) publié par les éditions Agone en 2014 : « Lorsque j’ai commencé à écrire sur la guerre civile et la révolution en 1936, en tant que correspondant britannique de l’United Press, j’étais très influencé par la propagande du parti communiste, de même que beaucoup d’autres journalistes qui soutenaient la République, et qu’il me fallut plusieurs années pour m’affranchir des désinformations et des mensonges qui encombraient ma pensée. »
Pendant combien de temps encore, notre droite molle et nos centristes amorphes, se mettront enfin à ouvrir les yeux sur la réalité politique et historique que je viens de décrire pour changer leur logiciel et se débarrasser du politiquement et historiquement correct ? C’est toute la question.
17:50 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 04 avril 2023
Van der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie
Bernard Germain
Cela vous a sans doute échappé, mais l’Union Européenne vient de voter un texte qui pose la question de la disparition de la propriété privée.
Il s’agit d’une authentique révolution, motivée par un prétexte purement idéologique : la lutte pour le climat.
On notera juste au passage que cette théorie du réchauffement climatique est largement contestée. De multiples scientifiques remettent en cause cette théorie du GIEC, notamment parce que cet organisme a été pris la main dans le sac à plusieurs reprises à trafiquer les chiffres pour qu’ils disent ce que le GIEC prétend.
Sur ce thème, on peut lire par exemple le livre d’Alban d’Arguin « Réchauffement climatique. Enquête sur une manipulation mondiale. » (Pardes Editions).
On n’oubliera pas non plus d’avoir en mémoire que l’Europe ne représente que 9% des émissions mondiales de CO2. Quant à la France, c’est 0,9%.
Tandis que la Chine et les USA en produisent à eux deux près de 50 %.
Pourtant l’Europe agit comme si tout se jouait en Europe et impose une politique délirante à tout le continent.
Après cette brève introduction, revenons au texte voté le 14 mars 2023 au parlement européen.
Il s’agit d’une modification du texte « directive sur la performance énergétique des bâtiments ».
23:48 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
N’est pas Machiavel qui veut !
La chronique de Philippe Randa
Que Charles De Gaulle nomme à Matignon Georges Pompidou, personne n’y trouva à redire : fidèle du Général – le minimum gaullo-syndical – l’ancien directeur général de la banque Rotschild prouvera par la suite qu’il était capable de le remplacer à la tête de l’État, d’y tenir son rôle sans ridicule ni impopularité particulière avant que la maladie ne le fauche dans l’exercice de sa fonction.
Que Valérie Giscard d’Estaing, une fois élu, n’eût d’autres choix, à l’évidence, que de nommer Jacques Chirac à la tête du gouvernement, c’était à l’évidence le prix de sa trahison en bonne et due forme de Jacques Chaban-Delmas, candidat historique et naturel des Gaullistes, qui lui assura sa qualification au second tour de la Présidentielle. Matignon était en quelque sorte les « trente deniers » de récompense pour sa déloyauté qu’on découvrira par la suite congénitale.
Certes, deux ans plus tard, l’élu de Corrèze et pas encore de Paris, était remercié et remplacé par un Raymond Barre qui assura le « taf » (comme on ne parlait pas encore ainsi en cette époque-là), croyant (et pas que lui !) que son heure présidentielle arriverait ensuite avec un couronnement élyséen : ce ne fut pas le cas et c’est son « has-been » de prédécesseur – mais bête politique s’il en était – devenu Maire de Paris qui finalement arriva à ses fins, mais après avoir dû, à son tour, subir la trahison de son « ami de trente ans », Édouard Balladur, qu’il avait personnellement chargé d’assurer l’intérim à la tête d’un nouveau gouvernement de cohabitation avec François Mitterrand : Chirac ayant déjà joué dans le film, avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus, mais cela aura bel et bien failli lui coûter sa présidentielle ambition.
Ces exemples de déloyauté plus ou moins payante ont probablement influencé plus que de raison les Président Sarkozy, Hollande et Macron dans le choix de leurs Premiers ministres respectifs : à une exception près (Manuel Valls qui ne tirera finalement aucun bénéfice de son passage à Matignon et sera même éliminé en 2011 à la primaire de la gauche), ils les auront choisis aussi insipides, incolores, inodores et sans saveurs que possible : François Fillon, Jean-Marc Ayrault, Bernard Cazeneuve, Edouard Philippe, Jean Castex et actuellement (mais pour combien de temps encore ?) Élisabeth Borne…
Certes, des sondages sont pour l’heure bienveillants envers Édouard Philippe, mais justement « pour l’heure » et « faute de mieux » (mais pour combien de temps, là encore ?).
L’obsession d’empêcher au sein de leur propre camp respectif la moindre rivalité potentielle qui compromettrait leur réélection aura ainsi obsédé les trois derniers présidents français au point qu’ils en aient oublié qu’ils se retrouvaient, de fait, en première ligne face à l’impopularité de leurs politiques, prenant nombre de coups écornant d’autant leur image présidentielle.
Ainsi, Nicolas Sarkozy sera battu en 2011 par le « capitaine de pédalo » (dixit Jean-Luc Mélenchon) François Hollande qui lui, n’osera même pas se représenter de peur d’un score par trop humiliant… et Emmanuel Macron – certes réélu en 2022 dans un ultime soubresaut d’un « front républicain » anti-Le Pen, mais dont l’avenir prouvera qu’il était déjà à l’agonie – perdra sa majorité parlementaire dans la foulée : une première sous la Ve République !
On prête souvent aux dirigeants politiques une intelligence quelque peu exagérée quand il ne s’agit bien souvent de leur part que de simples et dangereux calculs… bien mal calculés !
23:35 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Metz : un chanteur LGBT+ dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains
Le collectif Lorraine catholique alerte au sujet du concert du chanteur promoteur du lobby LGBT+ Bilal Hassani dans la basilique Saint-Pierre aux Nonnains, ce mercredi 5 avril en pleine Semaine sainte, et appelle à un chapelet de réparation sur les lieux. Ladite basilique, qui date en partie du IVe siècle et est désacralisée depuis 1556, et est devenue ces dernières années une salle de concerts et d’évènements culturels.
Mercredi 5 avril, en pleine Semaine sainte, la basilique Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz, la plus vieille église de France, sera hideusement profanée par un “spectacle” du chanteur transsexuel Bilal Hassani.
N’y avait-il pas d’autre endroit pour accueillir cette prestation ?
Les salles des spectacles sont-elles toutes occupées en ce mercredi saint ?
Non bien sûr, mais il s’agit comme d’habitude de fouler aux pieds la religion chrétienne et de souiller tout ce qui ne l’est encore par des obscénités comme ce “tube” de l'”artiste”(attention images choquantes) :ICI
Chrétiens fidèles, soyons nombreux à défendre l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ en cette fin de Carême !
Il ne sera pas dit que nous aurons laissé Ses ennemis cracher sur Lui sans réagir.
Soyons très nombreux à venir prier le chapelet, à 19 h 45, ce mercredi 5 avril, devant notre basilique de Saint-Pierre-aux-Nonnains occupée.
Nous y implorerons le Ciel d’empêcher ce sacrilège, si telle est Sa volonté, et nous Lui demanderons pardon pour nos péchés et ceux des profanateurs.
Merci de faire circuler l’information.
En union de prières et de combat,
Lorraine catholique
DERNI7RE MINUTE (05 04 2023) :
la détermination des
catholiques lorrains a payé !
18:13 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LUNDI 1er MAI, À SCRIGNAC (29) : 80e ANNIVERSAIRE DE L'ASSASSINAT DE L'ABBÉ PERROT
Voici l'article de Youenn Caouissen consacré à l'Abbé Perrot publié dans le n°55 de la revue Synthèse nationale (automne 2020, cliquez ici).
L’ABBÉ YANN-VARI PERROT :
POUR LA FOI ET LA BRETAGNE
Youenn Caouissin
N’en déplaise à certains, l’abbé Yann-Vari Perrot (1877-1943) fut la plus grande personnalité du « Mouvement breton » de la première moitié du XXe siècle, et de nos jours il le reste, étant donné la pénurie d’élites authentiquement bretonnes, dans tous les domaines…
L'abbé Perrot, fils d’une famille paysanne léonarde, très tôt orphelin, fut élevé par un oncle et une tante, avec leurs cinq enfants, dans l’amour de la foi et de la Bretagne, et bien évidemment, dans la langue bretonne. À l’âge de 12 ans, il entre à l’Institut des Frères des Écoles chrétiennes de Guingamp, où on lui fait comprendre qu’il ne doit plus parler breton, sinon c’est la punition. Il en est ainsi dans la plupart des écoles chrétiennes, et ce, malgré les recommandations des évêques de défendre et promouvoir la langue bretonne. Mais cette interdiction l’est plus encore dans les écoles de la République. Pour le petit léonard qui n’a jusque-là parlé que breton, c’est le choc. Très éveillé d’esprit, c’est de cette interdiction que va naître sa vocation de défendre sa langue maternelle dont il perçoit les immenses richesses. Après ses années de séminaire où sa personnalité « d’entraîneur d’hommes » est remarquée par ses supérieurs, il est ordonné en juillet 1903 en la cathédrale de Quimper. C’est aussi le temps des persécutions religieuses. Le gouvernement français aux mains des anticléricaux, des francs-maçons (dont les plus beaux spécimens sont Émile Combes ou Georges Clemenceau) rejoue la Révolution française en spoliant l’Église de ses biens, en chassant les congrégations religieuses de leurs couvents, de leurs monastères, en leur interdisant l’enseignement et toute action sociale. Parallèlement, le gouvernement mène une guerre acharnée contre la langue bretonne, aussi bien à l’école qu’à l’église. Il ne lui a pas échappé que combattre la foi et la langue en Bretagne participe d’un tout. Le jeune abbé Perrot, avec ses compatriotes qu’inquiètent ces persécutions, sont dès lors décidés à rendre « coup pour coup » à cette engeance jacobine, anti-bretonne, anti-chrétienne, qui entend détruire la Bretagne. Ce sont aussi les années qui voient, avec une nouvelle génération, naître le premier Parti nationaliste breton (PNB). Dès lors, le combat breton ne va plus se contenter d’être l’œuvre d’aimables cercles régionalistes de notables érudits, se consacrant exclusivement à l’Histoire, le culturel, l’archéologie. Désormais, il va investir le terrain politique est investi. L’abbé Perrot qui se défend de se mêler de politique, surtout en tant que prêtre, sait parfaitement que les combats pour la langue, la culture bretonne et la foi ne peuvent se soustraire à ce combat, car finalement tout est politique, car l’ennemi est politique et même idéologique.
Le Bleun-Brug, un Puy du Fou avant l’heure
En 1905, au château de Kerjean en Saint Vougay, dont il est recteur, l’abbé Perrot fonde la fête du Bleun-Brug (Fleur de Bruyère). Cet événement, pour lequel il reçoit les soutiens de l’Église, de tous les notables, dont la majorité appartient à la noblesse bretonne encore très influente, mêle, loin de tout folklore, le culturel et le spirituel. L’enjeu est d’importance, car par le festif intelligent, il s’agit de rendre aux Bretons leur fierté de… Bretons. Fierté de leur langue, de leurs traditions, de leurs costumes, de leur culture, de leur Histoire dont ils ignorent tout. Parmi les personnalités qui vont promouvoir et défendre l’œuvre naissante de l’abbé Perrot, le Comte Albert de Mun qui œuvre avec La Tour du Pin à l’application de lois sociales en conformité avec la Doctrine sociale de l’Église. Justement, le programme éminemment social catholique du Bleun-Brug le séduit au point d’en accepter la présidence d’honneur, et de le défendre jusque dans l’enceinte du Palais Bourbon. C’est ainsi que jusqu’en 1914, le Bleun-Brug va aller de succès en succès, et être un événement vraiment populaire.
Août 1914, c’est la guerre, la mobilisation générale. Un monde s’apprête à disparaître, mais personne ne le sait. Toute l’œuvre de reconquête de l’âme, de la culture bretonne qu’a suscité en 10 ans le Bleun-Brug est anéantie ; l’abbé Perrot est contraint de suspendre la publication de sa revue Feiz ha Breiz qui était « La Voix du Bleun-Brug et de la renaissance bretonne ».
L’abbé Perrot est mobilisé. La République, qui n’a de cesse de diffamer, de persécuter les prêtres, est bien aise de les mobiliser pour sa défense, et le clergé breton paiera un lourd tribut du sang dans cette boucherie européenne. Comme beaucoup de ses confrères, l’abbé Perrot remplira sans hésiter, en tant qu’infirmier-brancardier, ses devoirs et sera le compagnon d’infortune de ses compatriotes si nombreux à se faire tuer pour les « valeurs de la République ». Il va même se comporter en héros, n’hésitant pas, au risque de sa vie, à prendre la place d’un père de famille qui était envoyé en mission au cœur du front et avait toutes les chances d’y laisser sa peau. Pour ce sacrifice risqué, mais réussi, l’abbé Perrot sera cité à l’Ordre de la Nation et recevra la Croix de guerre du combattant et la Médaille militaire Interalliée de la Victoire. Plus tard, à ceux qui l’accuseront par son militantisme breton de nourrir et diffuser un « esprit antifrançais », il n’hésitera pas à mettre sous le nez de ses accusateurs ses états de service au front.
17:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SAINT BRÉVIN-LES-PINS (44), SAMEDI 29 AVRIL : 4e MANIFESTATION CONTRE L'IMPLANTATION D'UN CADA (CENTRE POUR ÉMIGRÉS)
17:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean Lassalle : La France disparaît pour "les intérêts cachés d’une infime minorité"
Jean Lassalle : "Je persiste et signe, Macron n'a pas été vacciné"
L’ancien député n’est pas venu brasser de l’air, bien au contraire. Vous allez découvrir que sa voix grave porte des vérités que d’autres taisent. De la prétendue vaccination du président Macron à l’affaire du sang contaminé impliquant Fabius, les révélations chocs s’enchaînent par celui qui est issu d’une famille de bergers et qui voit ce peuple à qui l’on ment.
14:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IGNACE, LE FAMEUX DESSINATEUR, SERA PRÉSENT LE DIMANCHE 23 AVRIL EN MAYENNE AU RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES
11:45 Publié dans IGNACE, La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Face à l'immigration incontrôlée, l'Irlande aussi se réveille
Un communiqué du Parti de la France
Depuis plusieurs semaines, des Irlandais battent le pavé pour protester contre l’arrivée massive de migrants dans leur pays. Après les villages français de Callac, Bélâbre et Beyssenac, le vent de révolte contre la submersion migratoire gagne progressivement l’Irlande.
Dans un pays gouverné par une alternance de centristes, la question de l’immigration a souvent été reléguée aux débats secondaires. Mais la crise du logement associée à des rumeurs sur de supposés viols et agressions commis par des réfugiés semble changer la donne. Aujourd’hui, ce sont ainsi 56 % des Irlandais qui considèrent qu’il y a « trop de réfugiés » sur leur île.
11:25 Publié dans Communiqués de presse, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nicolas Dupont-Aignan : Macron, un dangereux déséquilibré à la tête de l’État ?
Le pays est à feu et à sang. Alors que la France était déjà affaiblie et que la population est étrillée par les crises économiques et énergétiques, Emmanuel Macron a fait le choix de passer en force avec la réforme des retraites. Une vexation de plus qui a mis le feu aux poudres. Après 10 manifestations nationales consécutives, les Français ont beau témoigner de leur opposition, mais aussi de leur désespoir, le président semble s’en désintéresser avec un certain mépris ou un mépris certain.
Des rassemblements virent à l’embrasement et les ordres donnés à la police paraissent de plus en plus souvent excessifs. De quoi jeter de l’huile sur le feu au point de faire penser que c’est le plan du pouvoir. Pousser aux violences pour réprimer toujours plus et s’imposer surtout ensuite comme le seul recours pour rétablir l’ordre.
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et député de l’Essonne, revient pour TVL sur cette période à hauts-risques où Emmanuel Macron va devoir faire le choix entre la rue, la destitution ou le compromis politique.
11:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dresseur de tigre
Philippe Gélie
En 2018, lors de son premier voyage présidentiel en Chine, Emmanuel Macron avait, tout feu tout flamme, proposé de jouer les médiateurs entre Xi Jinping et... le dalaï-lama. Nul ne l’avait sollicité et l’on sait ce qu’il en est advenu : rien. Cinq ans plus tard, c’est un chef de l’État nettement plus émoussé qui se lance dans un exercice diplomatique de haute voltige : établir, avec le meilleur allié de Vladimir Poutine et pire ennemi de Joe Biden, des relations équilibrées permettant à l’Europe et à la France de tirer leur épingle du jeu. Un jeu international de plus en plus brutal, dans lequel le Vieux Continent cherche à exister entre le bras de fer sino-américain et l’alliance « sans limite » russo-chinoise, attisés par la guerre en Ukraine.
Il a fallu trente ans à nos dirigeants pour sortir doucement du rêve d’un alignement des puissances dans l’orbite libérale et capitaliste de l’astre américain. Les règles du commerce mondial allaient normaliser la Chine comme l’irruption du capitalisme allait démocratiser la Russie. Raté. Nous voilà avec deux mastodontes décidés à s’associer pour instaurer un nouvel ordre mondial débarrassé des diktats moraux et politiques des Occidentaux. Un ordre international « à bas coût », selon la formule du sinologue François Godement, dans lequel les gros dévorent les petits. Dans la posture du dresseur, il est douteux qu’Emmanuel Macron, même flanqué de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, impressionne beaucoup le tigre.
Le Français court au-devant de désillusions avec son homologue chinois tout juste revenu de Moscou. Soucieux d’affichage dans la cour des grands, le président pourrait tirer gloriole d’un coup de fil de Xi à Zelensky, du refus réaffirmé de livrer des armes à Moscou ou d’un simple engagement en faveur de la paix en Ukraine. Pour le reste, ce sera un cocktail d’endiguement là où Pékin menace nos intérêts et de coopération là où elle reste possible. L’empereur rouge veut amadouer l’UE pour ne pas se priver de son marché au moment où il subit déjà des sanctions américaines. Mais il ne déviera pas de sa trajectoire, qui vise à asseoir la domination de son modèle autocratique à travers le monde. Les Européens espèrent tout au plus en freiner la course.
Source : Le Figaro 4/4/2023
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lundi, 03 avril 2023
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : BERNARD GERMAIN, ÉCRIVAIN, INTERVIENDRA LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
11:03 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La parole est au Mouvement Chouan...
Le Mouvement Chouan, récemment créé dans l'Ouest de la France, a organisé il y a quelques jours une action devant le ministère de l'Economie. Action relatée par le Nouveau Présent cliquez ici
L'un des responsables de ce jeune mouvement explique le sens de son engagement.
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