dimanche, 21 mai 2023
Immigration : l’exemple danois
A l’origine, le Danemark, ce petit pays de 5 millions d’habitants, était l’un des plus accueillants d’Europe en matière d’immigration. Avec la Suède qui est en train de revoir, elle aussi, sa politique migratoire. Quelques années plus tard, en raison des dégâts sociaux que provoque cette immigration, le pays a fait marche arrière et n’a pas fait dans la dentelle, elle est drastique. Sa politique anti-migratoire est mise en œuvre, non pas par un régime fasciste, mais les gouvernements sociaux-démocrates, à l’image de sa première ministre, Mette Frederiksen. Cotti, Marleix, Retailleau en rêvent…
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Source : Journal du dimanche, 21/5/2023
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samedi, 20 mai 2023
Vu par Ignace...
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Journal du chaos
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Quand le chocolat n’adoucit pas les mœurs…
La chronique de Philippe Randa
Certes, c’est parce qu’il est le petit-neveu de Brigitte Macron, actuelle Première dame, que Jean-Baptiste Trogneux a été pris à partie, puis agressé physiquement, devant le magasin de chocolats fins de sa famille à Amiens, le 15 mai dernier.
Agression semble-t-il aussi stupide que minable et lâche qui a fait justement et unanimement réagir élus et responsables politiques, tous surenchérissant tant et plus sur leur effarement, leur indignation, leur révolte et réclamant avec toute la conviction dont ils sont capables que les agresseurs soient sanctionnés avec une extrême sévérité.
Et l’on peut imaginer bien évidemment que celles et ceux qui comparaîtront en Justice pour cet acte misérable récoltent effectivement des peines exemplaires, ne serait-ce que pour dissuader à l’avenir d’autres coléreux d’imiter leurs mauvaises manières.
Tout honnête homme (comme toute honnête femme, bien sûr) n’imaginerait pas que de simples « rappels à la loi » soient prononcés comme dans tant d’autres cas d’agressions physiques, non plus que de simples peines de travaux d’intérêt général ou de prison avec sursis, voire qu’il n’y ait pas de condamnations faute de preuves… ou encore que les futurs condamnés ne soient jamais enfermés car si leur peine était « inférieure ou égale à six mois (qu’ils doivent), sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, faire l’objet d’une des mesures d’aménagement » (loi pénitentiaire du 24 novembre 2009, modifiée par loi du 23 mars 2019, selon l’article 132-19 du Code pénal).
Toutefois, à y regarder de plus près, 4 des 8 personnes interpellées dès le lendemain 16 mai grâce aux caméras de surveillance, ont été relâchées après avoir affirmé qu’elles étaient seulement intervenues pour « protéger » une personne « poussée » par Jean-Baptiste Trogneux qui devient ainsi, selon elles, le premier agresseur en titre.
Une adolescente de 16 ans, sera, elle, présentée à un Juge pour enfants. La fessée n’étant plus à la mode à l’époque actuelle, les craintes d’un châtiment exemplaire ne devraient pas plus gravement perturber ses nuits que ses journées.
Trois autres participants ont, eux, été placés en détention provisoire, mais l’un est un « travailleur handicapé » et un autre, une « personne sous curatelle » : on imagine difficilement, pour eux aussi, qu’un châtiment trop fâcheux leur soit asséné, au risque de déclencher alors l’ire des multiples associations de défense des minorités si présentes dans notre patrie autoproclamée des droits de l’homme (Blanc de plus de 50 ans souvent excepté).
Quant au troisième « justicier » anti-Trogneux incarcéré, pour peu qu’il soit lui aussi d’une minorité quelconque (ethnique, religieuse, sexuelle, médicale), qu’il n’ait pas sniffé exagérément de cocaïne (circonstance désormais aggravante, voir jurisprudence Palmade) ou encore qu’il n’ait jamais douté du réchauffement climatique, peut-être pourrait-il également espérer ne pas moisir trop longuement derrière des barreaux qu’on devine assez encombrés…
Comme on le sait (ou pas !), il est interdit de commenter une décision de justice si, par des critiques, on cherchait à la discréditer « publiquement […] dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance », selon le Code pénal… mais peut-on au moins envisager qu’en l’occurrence, les avocats des prévenus sachent suffisamment semer le trouble dans l’esprit des juges pour tirer au mieux leurs clients du pétrin dans lequel ils se sont fourrés en s’attaquant à un membre de la famille présidentielle.
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De la diversité des frontières
de Georges Feltin-Tracol
Quand l’histoire rencontre le droit, la géographie trinque ! En particulier si cela concerne les frontières, ces délimitations politiques conclues entre États voisins ou bien ces bornages administratifs opérés entre régions, provinces ou pays fédérés au sein d’un même État. En fonction de l’échelle pratiquée, on peut remarquer que le tracé frontalier peut ne pas être rationnel.
C’est le thème principal de l’Atlas des frontières insolites de Zoran Nikolić (Armand Colin, 2022, 210 p., 22,90 €) traduit de l’anglais par Philip Essertin. En lisant son sous-titre, on comprend que l’ouvrage aborde « Enclaves, territoires inexistants et curiosités géographiques ». Sous cette dernière appellation, l’auteur y intègre la principauté d’Andorre avec ses deux co-princes (l’évêque d’Urgell en Espagne et le chef d’État français) et la république monastique autonome du Mont-Athos dont l’accès est toujours interdit aux femmes en dépit des hurlements hystériques fréquents des prétendantes au matriarcat wokiste.
Zoran Nikolić explique qu’une enclave est un « territoire entièrement entouré par le territoire d’un autre pays ». Les cas ne manquent pas selon une démarche multiscalaire. Dans les Pyrénées françaises se trouve l’enclave espagnole de Llívia (12 km² et 1 500 habitants) qui relève de la Généralité de Catalogne. Au bord du lac de Lugano, Campione d’Italia est une ville italienne de 1,6 km² en Suisse. « Bien qu’elle soit localisée à moins d’un kilomètre du reste de l’Italie, de hautes montagnes empêchent un accès direct à son pays d’origine. Les habitants de Campione sont contraints de parcourir près de quinze kilomètres pour atteindre la ville italienne la plus proche. »
Büsingen am Hochrhein est la seule commune allemande à ne pas appartenir à l’Union dite européenne et à voir son club de football évoluer dans le championnat helvétique. En effet, c’« est une ville […] entourée de territoires suisses, c’est-à-dire les cantons de Schaffhouse, de Thurgovie et de Zürich. […] Elle est séparée du reste de l’Allemagne par une bande de terre qui n’a que 700 m de large dans sa partie la plus étroite ».
L’auteur aurait pu donner d’autres exemples d’enclaves à l’échelle infra-étatique. En dehors du cas assez connu de Valréas, parcelle du Vaucluse située en Drôme méridionale, il existe les deux enclaves bigourdanes des Hautes-Pyrénées dans les Pyrénées-Atlantiques ou trois communes du département du Nord enclavées dans le département du Pas-de-Calais. Il aurait pu évoquer l’enclave genevoise de Céligny dans le canton de Vaud, de trois enclaves du canton de Fribourg dans le canton de Vaud toujours et une dans le canton de Berne. Il mentionne bien le Land allemand de Brême et de ses deux portions territoriales (Bremerhaven et Fehrmoor) situées à une trentaine de kilomètres plus au nord de la ville à l’embouchure de la Weser. Il oublie l’enclave angolaise du Cabinda.
Zoran Nikolić tient à distinguer l’enclave de la « semi-enclave », ce « territoire physiquement séparé de son pays d’origine, mais qui n’est pas complètement encerclé par le territoire d’un autre pays ». On peut ainsi arriver en Alaska par la voie maritime en partant de l’État étatsunien de Washington sans jamais traverser le Canada. Dépendances des États-Unis enchâssées au Canada, Points Robert se trouve au Nord de la Baie de Boundary tandis que l’« Angle nord-ouest » situé dans le Manitoba est relié au Minnesota à travers le lac des Bois. À la différence de la République de Saint-Marin, Gibraltar et la principauté de Monaco sont aussi des semi-enclaves, car accessibles depuis les eaux internationales.
L’auteur se penche sur la « contre-enclave », à savoir une « enclave à l’intérieur d’une enclave ». Outre la présence militaire turque occupant le Nord de Chypre depuis 1974, l’île natale d’Aphrodite compte deux enclaves britanniques que sont les bases d’Akrotiri et de Dhekelia. Or, dans ce dernier territoire, existent quatre contre-enclaves chypriotes dont une centrale électrique. La situation est plus complexe encore avec la ville de Baerle. Il y a Baerle-Nassau aux Pays Bas et Baerle-Duc en Belgique. Mais « la partie néerlandaise accueille vingt enclaves belges à l’intérieur desquelles nous comptons environ dix contre-enclaves néerlandaises ». Par conséquent, « lorsque la frontière traverse une maison, sa “ citoyenneté “ est déterminée par la position géographique de sa porte d’entrée » qui peut parfois changer selon le goût fiscal du propriétaire…
L’atlas s’intéresse par ailleurs aux exclaves. Il s’agit d’une « partie d’un territoire d’un État dont l’accès à son territoire d’origine ne peut se faire qu’en passant par un autre territoire ou État ». Non loin de sa frontière, la Russie possède au Bélarus une exclave de 4,5 km² inhabitée depuis l’accident nucléaire de Tchernobyl en 1986 nommée Sankovo et Medvezhe. Moscou détient au moins trois exclaves en Estonie avec Dubki près du lac Peïpous, le triangle de Lutepää et la zone de Santse Boot. Les Occidentaux surveillent avec attention ces trois portions territoriales russes à l’heure de fortes tensions géopolitiques. L’oblast russe de Kaliningrad et la Crimée annexée ne sont que des « semi-exclaves » puisque le premier reste en contact avec la Russie via la mer Baltique alors qu’un pont routier et ferroviaire long d’une vingtaine de kilomètres franchit le détroit de Kertch et relie la seconde au reste de la Fédération de Russie. La France des communes connaît elle aussi des exclaves. Par exemple, en Haute-Loire, la commune d’Aiguilhe en comprend deux séparées par Le Puy-en-Velay, Polignac et Espaly-Saint-Marcel.
Jusqu’en 2015, le long de la frontière entre l’Inde et le Bangladesh se répartissaient au moins une centaine d’enclaves bangladaises et plus de cent trente enclaves indiennes dont plusieurs se caractérisaient par leur statut d’exclaves et de contre-enclaves. Ce phénomène frontalier singulier était appelé « Miettes de terre ». Un traité a mis un terme à ces anomalies géopolitiques. Mais perdure encore l’enclave bangladaise de Dahagram-Angarpota...
Outil intéressant pour mieux connaître les incongruités géographiques, mais sans être exhaustif, cet Atlas des frontières insolites offre des cas pertinents dont l’étude confirme que les territoires se plient, s’il le faut aux contraintes, de l’histoire, de la politique et des traditions, n’en déplaise aux No Border détraqués...
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°74, mise en ligne le 16 mai 2023 sur Radio Méridien Zéro.
00:51 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 19 mai 2023
L’entrisme des Frères musulmans en France
Menacée de mort pour ses écrits, la spécialiste de l’islamisme, Florence Bergeaud-Blackler, pointe l’influence « considérable » de l’idéologie frériste sur des millions de personnes en France. Elle répond ici aux questions de Jean Chichizola et Christophe Cornevin pour Le Figaro (17/5/2023).
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jeudi, 18 mai 2023
Jean-Eude Gannat nous parle du C9M
18:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Saint-Brevin : le seul responsable, c'est le maire Yannick Morez et son équipe
Un communiqué de Riposte laïque :
Yannick Morez a été reçu, deux mois après l'incendie de sa maison, par le Premier ministre Elisabeth Borne et la commission des lois du Sénat. Il a cité, de manière accusatoire, le nom de notre site, devant certains médias et les sénateurs. Cela nécessite donc une réponse, que nous délivrons à travers ce communiqué de presse. cliquez ici
Si on en croit le président de la République, le Premier ministre et l'ensemble des médias et du monde politique, le maire de Saint-Brevin incarnerait la démocratie et la République, qu'il faudrait protéger contre les violences d'extrême droite que subiraient les élus favorables à l'installation de clandestins dans leur ville. C'est une inversion accusatoire classique, car à Callac ou à Saint-Brevin, les seules violences commises l'ont été par des manifestants d'extrême gauche, qui ont agressé, en toute impunité, les forces de l'ordre et des manifestants hostiles au plan Horizon ou au Cada.
Le maire de Saint-Brevin incarne une conception de la politique qui est tout le contraire de la démocratie. Il n'a pas été élu pour installer un centre d'accueil de 110 demandeurs d'asile près d'une école et d'une forêt protégée. Il a refusé d'entendre l'association de Préservation de la Pierre Attelée, qui a demandé à des multiples reprises d'être reçu en mairie. Il a refusé d'organiser une consultation citoyenne sur cette question. Il a demandé au préfet d'interdire des distributions de tracts contestant le Cada dans sa commune. Il a fait pression sur le représentant de l'Etat pour qu'il interdise la manifestation, légalement déposée, des opposants au Cada, mais n'a pas eu un mot contre les celles, non-déclarées et violentes, de la gauche et de l'extrême gauche. Il a renvoyé, dans ses communiqués officiels, dos-à-dos les agresseurs gauchistes et les manifestants agressés.
Encore plus grave, il accuse, sans la moindre preuve - alors que la gendarmerie privilégie d'autres pistes - ce qu'il appelle l'extrême droite, en fait la mouvance patriotique, d'être responsable de l'incendie de sa maison, attisant la haine contre des militants et des organisations qui mènent un combat démocratique contre ce que Macron appelle la transition démographique dans nos campagnes, qui s'apparente à un grand remplacement, ou à un changement de peuple imposé.
Il faut rappeler que l'Association des Maires de France signalait que depuis 2020, 1293 maires avaient démissionné de leur mandat, souvent pour des causes de violences, d'agressions physiques et d'intimidations au moins aussi graves, si ce n'est parfois davantage, que les désagréments dénoncés par le maire de Saint-Brevin. Or, leur démission n'a pas dérangé l'Etat, qui méprise les maires, leur impose les décisions des préfets, et leur substitue les structures bureaucratiques des Communautés d'Agglomération.
Cette fois, pour instrumentaliser la question migratoire, le pouvoir utilise l'inadmissible incendie de la maison du maire de Saint-Brevin pour intimider les populations qui refusent l'installation de migrants dans leur commune, dans une grossière manipulation dont le point culminant sera une manifestation appelée par le maire de Nantes, Johanna Rolland - qui a transformé sa ville en coupe-gorge - le 24 mai prochain.
Les Français, hostiles comme à Callac à 80 % à toute immigration dans les campagnes, ne seront pas dupes, malgré la propagande politico-médiatique, à cette grossière manipulation, et comprendront que le seul responsable des violences de Saint-Brevin, c'est Yannick Morez, qui, se vante d'abandonner son mandat et de quitter la France, laissant l'équipe municipale, sa ville et la population dans le chaos qu'il a créé.
Riposte laïque cliquez ici
18:01 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des nouvelles de Callac : la gauchiste Laure-Line Inderbitzin insulte le maire et le préfet
Bernard Germain
Nous vivons dans un pays invraisemblable dans lequel on voit un ministre de l’Intérieur interdire 5 manifestations de « fachos » jamais coupables d’aucune dégradation, feux de poubelles, bris de vitrines ou violences en tous genres. Juste pour délit d’opinion.
Par contre, le même ministre de l’Intérieur reste sans réaction face aux antifas et à l’extrême gauche qui en 14 manifestations ont blessé plus de 2.000 policiers et gendarmes.
Eux sont parfaitement connus et identifiés. Mais rien n’est fait contre eux. Quant à ceux qui sont arrêtés en flagrant délit lors des manifestations, ils sont relâchés par les juges pour « manque de preuves ».
Ils sont notamment (parmi d’autres) membres de la « Jeune Garde », antifas lyonnais ultra-violents, dont le chef est un ami de Mélenchon et a été reçu à l’Assemblée nationale, invité par le député Aurélien Taché.
La folie qui s’est emparée de notre pays est loin de s’arrêter là. Il y a aussi le problème des maires. Depuis les dernières élections municipales de 2020, l’Association des maires de France a indiqué que 1293 maires avaient démissionné. Sans parler des élus municipaux qui ne sont pas maires. Personne n’en parle. Tout le monde s’en moque.
En revanche, on parle de la démission de certains maires, comme Yannick Morez, le maire de Saint-Brévin. Lui, à l’inverse des autres, son cas est monté en épingle. Aujourd’hui il est même reçu par le Premier ministre à Matignon.
En effet, il a démissionné et va même quitter sa ville. Officiellement parce que quelqu’un a mis le feu à ses deux voitures et brûlé une partie de la façade de sa maison. Acte débile que nous condamnons.
Mais ce maire accuse aussi l’État de l’avoir abandonné, alors qu’il mettait en œuvre la transition démographique promue par Macron.
La vérité est sans doute un peu différente. Il a fuité de son entourage que sa décision de démissionner et de partir avait été prise bien avant l’incendie. En clair, c’est bien commode pour justifier sa décision de pouvoir invoquer l’incendie et « l’abandon de l’État ». C’est une hypothèse certes, mais c’est une hypothèse sérieuse. En tout cas, certains ont bien compris comment instrumentaliser ce départ.
Ainsi, une formidable manipulation est en préparation. Elle va prendre la forme d’une gigantesque manifestation le 24 mai à Saint-Brevin. En apparence pour soutenir le maire, mais en réalité pour envoyer un message à tous les Français pouvant se résumer ainsi : « Si vous vous opposez à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants, c’est que vous êtes comme ceux qui ont mis le feu aux voitures et à la maison du maire, partisan des CADA, des « fachos ».
L’objectif est clairement d’intimider ceux qui s’opposent à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants dans nos campagnes. Il y a d’ailleurs de fortes chances qu’on voit à cette manifestation des ministres et peut-être même le Premier. Le tout largement relayé par la presse bien pensante, afin de faire bonne mesure et que le message passe d’un bout à l’autre de la France.
Cette mobilisation du 24 mai est d’autant plus importante - pour remonter le moral des maires et les rassurer – que certains maires commencent sérieusement à s’inquiéter et ne veulent pas connaître le sort de celui de Saint-Brévin. Ce qui pourrait les rendre moins « disponibles et volontaires » pour l’installation de CADA dans leurs communes.
C’est par exemple le cas de celui de Beyssenac en Corrèze (365 habitants), Francis Comby. Comme le rapporte Libération du 12 mai 2023 : « En Corrèze, un maire ne veut pas « subir le même sort que celui de Saint-Brevin » ». Dans son village le préfet a décidé l’installation d’un CADA, provoquant l’indignation et une large mobilisation de la population.
Le maire aussi, ainsi que son conseil, est contre ce CADA. Ce qui ne l’a pas empêché de déposer plusieurs plaintes contre des opposants au projet de CADA. Ce maire va devoir choisir définitivement son camp. On ne peut pas porter plainte contre les opposants aux CADA et se dire contre le CADA. Marier l’eau et le feu est mission impossible.
D’autres maires ont joué le jeu et été de fervents partisans de l’invasion migratoire. Certains d’entre eux le regrettent amèrement aujourd’hui.
C’est le cas du maire de Callac, Jean-Yves Rolland. Sans doute pas un mauvais bougre, mais qui a eu la bêtise ou la faiblesse de laisser libre cours à l’action de l’une des membres de sa majorité, la célèbre Laure-Line Inderbitzin. Une gauchiste exaltée.
Celle-là c’est un cas.
Imaginez-vous qu’elle est depuis des mois en arrêt maladie. Mais elle est également professeur à Callac. Donc ses élèves sont lourdement pénalisés par son absence.
Et les parents d’élèves pour leur part sont fous-furieux. Pourquoi ? Parce que Laure-Line est peut-être malade, mais en tout cas pas assez pour ne pas se faire voir en public à 3 occasions, hors de ses heures de sortie.
Une fois à chanter dans les bars le soir (filmé et diffusé par TF1), une fois au conseil municipal le soir où il s’est réuni à huis clos et une troisième fois en accordant récemment une interview à Médiapart, à Paris (visible sur YouTube).
Manifestement les règles c’est fait pour les autres. Mais pas pour elle qui n’en a rien à faire.
Et personne ne bouge ni ne lui rappelle qu’il est interdit d’agir ainsi. Aucune sanction de la part de la Sécurité Sociale, ni de la part de l’Éducation nationale. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
N’oublions pas que la dame a aussi été l’une des organisatrices de deux contre-manifestations à Callac, non déclarées, au cours desquelles de violents affrontements ont eu lieu entre gendarmes et antifas, les copains de Laure-Line.
Là non plus, aucune poursuite de la part du procureur de Saint-Brieuc. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
A cela il convient d’ajouter que Laure-Line s’est trouvé un nouveau souffre douleurs : le maire de Callac.
Oui, oui. Celui qui a jeté l’éponge face à la mobilisation des habitants et des patriotes contre le projet Horizon qui voulait amener plusieurs centaines d’immigrés à Callac et en faire le « premier village multiculturel ».
Pour Laure-Line, que le maire ait jeté l’éponge, c’est impardonnable. Et elle le poursuit de sa vindicte.
Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ».
Erreur impardonnable ? ça c’est pour le maire qui va certainement apprécier.
Dans une mairie normale, une telle déclaration devrait être suivie de la suppression immédiate de la délégation de l’élu qui en est l’auteur. Il trouve que Laure-Line est deuxième adjointe au maire. Qu’attend le maire pour lui retirer sa délégation ?
Mais attaquer ainsi son maire ne suffit pas à Laure-Line. Comme elle est gourmande, elle attaque aussi le préfet… s’il vous plaît.
Ainsi, toujours dans le même débat elle déclare : « Certains préfets sont des personnes honorables. Jean Moulin était bien préfet. Nous avons un préfet dans les Côtes d’Armor qui a clairement, volontairement retiré notre fiche d’action de projet Horizon. C’est à dire qu’il s’est permis de retirer un projet qui avait été décidé par un projet municipal souverain. C’est quelqu’un qui minimise les actions de l’extrême droite, c’est quelqu’un qui accepte et autorise le 5 novembre à Callac une manifestation d’extrême droite ».
C’est le préfet des Côtes d’Armor va être content d’apprendre qu’il n’est pas une personne honorable. Et quand on oppose à sa personne celle de Jean Moulin, chacun comprendra que cela signifie qu’il aurait plutôt à voir avec la collaboration, voir le nazisme directement. Ben voyons…
Quand je vous disais que c’était un cas cette Laure-Line. Vous voyez, je n’exagérais pas. Et puis il y a par exemple M. Puisay, le maire Penestin (56).
Voyez-vous, il a commis lui aussi une énorme erreur. Il a vendu le presbytère à l’évêché, à un prix déterminé par un organisme indépendant. Mais il n’y a rien d’illégal à cela. Quel est son crime alors ?
C’est simple, il ne l’a pas vendu à une association à migrants. Et ça c’est un crime impardonnable pour une partie de l’opposition, celle de prétendus écologistes, agressifs et sectaires.. Trois personnes de sa majorité sont passées dans l’opposition.
Les agressions contre lui ont commencé d’abord par des agressions verbales, limite physiques, alors qu’il se rendait à la messe. Puis, cerise sur le gâteau, il s’est retrouvé avec une plainte de l’une des trois personnes qui ont quitté sa majorité pour… agression sexuelle.
Le pauvre homme n’a pas supporté autant de bassesse et a tenté de se suicider. cliquez ici
Mais là ça n’intéresse personne. Il peut crever, tout le monde s’en fout.
De même que tout le monde se fout que des accusations ignobles puissent amener quelqu’un à vouloir en finir avec la vie. Il faut dire que dans son cas, il n’est pas possible de monter une opération pour dénoncer l’extrême droite. Alors, circulez, il n’y a rien à voir.
Certains maires sont défendus, surtout s’ils sont pour l’immigration, les autres peuvent crever. Pauvre France !
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11:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le lycée Averroès de Lille dans le collimateur de la Justice administrative financière ?
Michel Festivi
A la suite de l’enquête judiciaire et de la garde à vue de cinq responsables de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq, qui devront comparaître l’an prochain devant la juridiction pénale, pour divers délits économico-financiers (Cf les lourds secrets du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, vitrine lilloise des Frères musulmans » dans le Figaro du 4 mai 2023, c’est désormais au tour du lycée Averroès de Lille d’être confronté à la Chambre régionale des comptes.
Ce lycée musulman sous contrat, qui s’était vu octroyer un prêt par le centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, semble avoir une trésorerie qui a connu « une dégradation brutale et continue » depuis 2015, selon le rapport de la juridiction administrative financière (Cf le Figaro du 17 mai 2023 « Au lycée Averroès de Lille, lectures salafistes et petits arrangements entre amis »).
Ce lycée avait été crée après qu’une vingtaine de jeunes filles furent expulsées de leur lycée en raison du port du voile. La première rentrée scolaire date de 2003. En 2008, cet établissement obtint un contrat d’association avec l’état. Lycée et collège (qui lui n’est pas sous contrat), totalisent plus de 800 élèves.
La Chambre régionale des comptes a relevé des distorsions financières préoccupantes qui font dépendre cette structure scolaire de financements de l’étranger, notamment via le Qatar, ou des collectes de fonds auprès de mosquées allemandes ou hollandaises. Sur 10 ans d’exercice, ces « dons » représenteraient 6 millions d’euros. Dans son livre, Qatar Papers, Georges Malbrunot l’évoque. On apprend au passage, que depuis 2010, les subventions publiques se sont élevées à plus de 6,5 millions d’euros.
De plus, la Chambre régionale aurait mis en exergue : « de nombreuses erreurs ou irrégularités » ce que détaille précisément cet article du Figaro. Elle dénonce aussi une gouvernance en vase clos, qui visiblement n’entend pas partager le pouvoir, contraire aux règles réglementaires ou légales. Mais le plus grave et le plus inquiétant sont les révélations sur les discours tenus aux élèves. Le cours « d’éthique musulmane » (qui serait facultatif), est clairement en adéquation avec la vision rigoriste de l’islam salafiste.
Les règles préconisées par l’un des ouvrages étudiés notamment en classe de seconde, énoncent la prohibition de la mixité au travail, l’interdiction par une femme de se faire ausculter par un médecin homme, ainsi que la condamnation de l’apostasie (le fait pour un musulman de changer de religion) par la peine de mort, car « celui qui cesse d’être musulman doit être exécuté conformément à la peine légale prévue pour l’apostasie ». Pourtant les statuts et les textes de l’association proclament l’attachement de ce lycée « aux valeurs républicaines » …. Ah la taqia quand tu nous tiens !
Comme le souligne cet excellent article du Figaro : « Ces éléments illustrent…le fonctionnement nébuleux d’un réseau de mosquées et d’établissements musulmans, régis par les principes de l’islam frériste et regroupés au sein de la Ligue islamique du Nord, antenne locale des musulmans de France (ex UOIF)… »
Gageons, que s’il s’était agit d’un lycée catholique qui avait ainsi contrevenu aux règles « des valeurs de la république (sic) », au nom de la Bible ou des Evangiles, il y aurait belle lurette qu’il aurait été interdit et dissous. Mais comme pour « l’extrrrrême drrrroite » face aux casseurs de l’extrême gauche c’est la politique des deux poids deux mesures qui prime dans nos ministères. En tout cas, comme le souligne Madame Florence Bergeaud-Blackler dans un entretien à lire absolument du 17 mai au Figaro : « Les Frères musulmans veulent rendre nos sociétés « charia-compatibles ». Si l’état ne prend pas rapidement le taureau par les cornes, plutôt que de s’en prendre à des organisations de droite, qui n’ont jamais attenté à l’ordre, à la loi et à l’état de droit, cela arrivera plus tôt que prévu.
11:26 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les bonnes intentions d’un président
En annonçant la lutte contre les fraudeurs, la réindustrialisation du pays et l’encouragement à favoriser l’enseignement professionnel, Emmanuel Macron a pris de bonnes mesures. Toutefois, le combat à mener n’est pas que là. Il est aussi dans la désertification de nos campagnes, dans les villes qui se meurent et les collectivités territoriales qui cachent leur misère à coups d’emplois publics. Par-delà, le problème de fond, cela reste la logique néolibérale qui est en train de détruire nos sociétés occidentales. Natacha Polony fait le point.
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Source : Marianne 18/5/2023
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mercredi, 17 mai 2023
La vérité sans voile
Laurence de Charette
Sans doute la litanie des chercheurs bannis de l’université pour leur langage de vérité ne surprend-elle malheureusement plus... La pusillanimité de la Sorbonne devant la conférence de l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler sur l’entrisme des Frères musulmans illustre par trop parfaitement le propos même de l’auteur dans son dernier ouvrage (Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête, préfacé par Gilles Kepel) : la terrible progression de l’emprise des mouvements islamistes en France et la cécité qui nous frappe depuis si longtemps devant l’adversité. Menacée de mort, insultée, Florence Bergeaud-Blackler n’est pourtant pas tout à fait pionnière en la matière. D’autres, avant elle, ont soulevé le voile. Ils ont mis en lumière le déploiement de l’islam politique en écosystèmes aux financements opaques et aux visées séparatistes, son aptitude à asservir nos institutions à son propre dessein – un dessein que les services de renseignements français comme européens ont au reste parfaitement et unanimement documenté : l’islamisation progressive de nos sociétés.
Et pourtant, il faut encore constater que le double discours - technique plus spécifique, mais identifiée, des Frères musulmans - et la victimisation dont se repaît le fondamentalisme atteignent toujours mieux leur but : la paralysie de toute autorité, le renoncement, la capitulation drapée dans les habits de l’« ouverture » ou, pis, de l’« humanisme ». La réislamisation des nouvelles générations et la montée du communautarisme qui menace aujourd’hui l’universalisme républicain ont prospéré avec la coupable complicité de l’islamo-gauchisme et dans le déni des autorités, volontiers généreuses avec des associations dont elles se gardent - par crainte du fameux procès en « islamophobie » - de chercher les véritables intentions. L’exemple du lycée Averroès de Lille montre combien les subventions publiques ont pu s’accommoder du voisinage de fonds privés opaques et de dérives salafistes. L’exécutif s’attaque aujourd’hui de plus près aux circuits financiers qui alimentent la confrérie frériste : il était temps. Nul doute cependant que, sans un véritable retournement politique, cette opération, si salutaire soit-elle, ne suffira pas à enrayer la progression du fondamentalisme.
Source Figaro 17/5/2023
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Déclaration du Général Flynn sur le rapport Durham
Le lieutenant-général Michael T. Flynn (à la retraite) a publié la déclaration suivante en réponse au rapport publié par l'avocat spécial John Durham :
Sarasota, Floride, le 15 mai 2023 - Aujourd'hui, l'avocat spécial John Durham a publié son rapport sur ses conclusions concernant l'enquête du FBI sur le complot de collusion Trump-Russie. Le résultat est saisissant. Il n'y a jamais eu de base pour enquêter sur le président Trump, moi ou qui que ce soit d'autre dans la campagne Trump sur de fausses allégations de collusion russe qui étaient une fiction inventée par la campagne d'Hillary Clinton et poursuivie par un FBI et un ministère de la Justice armés et politisés. Ce n'était pas seulement un crime contre le président Trump, ma famille et moi, mais aussi contre le peuple américain et notre système constitutionnel de gouvernement. Il ne faut plus jamais permettre que cela se reproduise.
Ce rapport fournit une justification supplémentaire que l'enquête du FBI qui m'a ciblée et persécuté, moi et ma famille, n'aurait jamais dû avoir lieu. Bien que j'apprécie la justification supplémentaire expliquée dans ce rapport, grâce au travail dévoué de John Durham et de son équipe, je suis toujours en colère que cela ait jamais été autorisé à se produire en premier lieu. Le peuple américain a été privé de millions de dollars des contribuables à cause de ce canular destiné à cibler le président Trump, moi et nos partisans.
Ma famille et moi avons été attaqués pendant des années à cause de mensonges. Où allons-nous pour la justice ? Comment récupérer ces années perdues de ma vie ? C'est pourquoi j'ai poursuivi le ministère de la Justice pour qu'il y ait des comptes à rendre si notre république constitutionnelle veut survivre. Le FBI a traîné mon nom dans la boue pendant des années alors que toute la base de leur enquête était fondée sur un mensonge. Un mensonge dont ils étaient au courant.
Notamment, le rapport déclare catégoriquement que le FBI n'a jamais eu aucun type de preuve que j'ai participé à un complot avec la Russie. Au lieu de cela, le FBI a apparemment poursuivi son enquête parce que j'étais un membre de la campagne Trump qui s'était rendu en Russie. Le FBI a ouvert cette enquête frauduleuse contre moi et la campagne Trump, bien qu'il n'ait fourni aucun briefing défensif, ni avant ni après l'ouverture de l'enquête, au président Trump ou à quiconque dans la campagne. Fait important, le rapport soulignait à la page soixante-six que les enquêtes sur moi et d'autres personnes dans la campagne Trump "n'avaient abouti à la collecte d'aucune information à charge".
Le rapport lui-même fournit des preuves que le FBI n'avait pas suffisamment de renseignements sous-jacents pour ouvrir une enquête, que le FBI n'a correctement analysé aucune information et que le FBI avait une prédisposition biaisée à ouvrir une enquête.
Nous devons rétablir la responsabilité dans ce pays avant qu'il ne soit trop tard. Nous ne pouvons pas permettre que des chasses aux sorcières initiées par notre système judiciaire se produisent simplement sur la base de préjugés politiques.
Ce rapport fournit ce que nous savions tout au long de l'enquête Trump sur la Russie était un complot, non basé sur des faits, mais plutôt politiquement motivé. Les médias partisans essaieront d'enterrer ce rapport et espèrent que le peuple américain l'oubliera rapidement. Nous devons résister à cette tentation. Ce rapport doit être un cri de ralliement pour tous les Américains épris de liberté, de tous les partis et de toutes les convictions, pour lutter contre un système fédéral d'application de la loi et de justice politisé. Si nous ne ripostons pas maintenant, l'Amérique que nous aimons risque d'être perdue à jamais. »
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UN CONTRAT SUR LA TÊTE POUR CE QU'ELLE SAIT SUR LE POUVOIR ! AVEC CHRISTINE DEVIERS-JONCOUR
Christine Deviers-Joncour est devenue célèbre du fait de son implication dans l’affaire Elf. Elle est soupçonnée d’avoir profité directement ou indirectement d’importantes commissions provenant de ce groupe chimique et pétrolier public ainsi que du groupe d’armement Thomson pour avoir fait du lobbying en faveur de frégates militaires destinées à Taïwan.
Aujourd’hui, elle parle de ce passé, mais aussi de ce livre qu’elle présente où elle parle des élites, de l’esclavage de ces élites, du mondialisme, de l’oligarchie et des sectes.
Source : geopolitique-profonde
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mardi, 16 mai 2023
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Ils étaient trotskistes. L’un, Pierre Cassen, à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), l’autre, Bernard Germain, à l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du « mal », le camp national et identitaire.
Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien-pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.
C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre-arguments du débat.
Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensurent, s’interdisent de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affublés des qualificatifs de « raciste » ou « extrême droite ».
Ce faisant, ils acceptent de s’enfermer dans une prison idéologique d’où est bannie toute réflexion critique et tout véritable débat. Ces gens sont en fait des victimes du totalitarisme intellectuel ambiant.
Si seulement ils osaient étudier les problèmes sans se contenter de réciter la messe des bien-pensants, ils vivraient sans doute une évolution de leurs certitudes vers une véritable opinion.
Au travers de nombreux sujets Pierre Cassen et Bernard Germain exposent leurs opinions, expliquent pourquoi ils ont changé et interpellent les membres du camp du « bien » en les invitant à répondre à de nombreuses questions.
Un livre important pour qui veut retrouver sa liberté de pensée et pouvoir se faire sa propre opinion sans se soucier du qu’en dira-t-on ou de la peur d’être diabolisé par les geôliers de la pensée.
Préface de Jean-Yves Le Gallou
Avec des témoignages de :
Hugue Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, Santiago Cartagena, ancien militant communiste chilien, aujourd’hui membre de Vox (parti national espagnol), Gérard Delépine, chirurgien, Patrick Gofman, écrivain et essayiste, Pascal Hilout, apostat, Patrick Loiseau, écrivain, Lucien Samir Oulahbib, universitaire, docteur en sociologie.
21:21 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La tentation fasciste des nationaliste irlandais : un entretien avec Sylvain Roussillon sur TV Libertés
19:28 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Saint-Brévin-les-Pins, une énorme manipulation de l’opinion se prépare.
Bernard Germain,
porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez là
Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment l’abandon de son mandat et son départ de Saint-Brévin. Officiellement parce qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.
En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation (en fait nationale) à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.
Comment se fait-il - selon l’association des maires de France - que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ? La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.
Nous avons déjà connu une opération similaire en mai 1990 avec l’affaire de Carpentras.
La sépulture d’un homme - juif - mort depuis 15 jours, avait été violée (ainsi qu’un grand nombre d’autres tombes) et son corps avait été retrouvé mutilé et empalé sur un piquet de parasol. Ce qui était insupportable. L’émotion, à l’époque avait été immense. S’en était suivie une incroyable campagne contre le racisme et l’anti-sémitisme, accusant nommément le FN de Jean-Marie Le Pen de ces faits épouvantables. Élément extraordinaire, François Mitterrand Président de la République, avait même participé à une manifestation nationale Place de la Nation à Paris, à cette occasion. Au final, lorsque les coupables furent trouvés, ils n’avaient aucun lien avec le FN.
Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées. Cet incident - que nous condamnons totalement comme toute forme de violence - se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.
Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres.
Aujourd’hui à Saint-Brévin, comme hier à Carpentras contre le FN, le message qu’enverra la manifestation du 24 mai est totalement prévisible. Il va diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron, soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.
Ce message sera évidemment largement relayé par tous les organes de presse pro-immigration.
Son objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA, que s’ils agissent dans ce sens il seront vus pour ce qu’ils sont : des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Afin de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation.
La coordination Partout Callac n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.
Elle invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin, la Bretagne reste la Bretagne et la France reste la France. Sans se laisser intimider.
18:37 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE" : LA PEUR POUR NOUS FAIRE ACCEPTER LA MISÈRE (pardon, la "sobriété")
12:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 24 juin : banquet pour les 70 ans de Rivarol
11:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nouveau numéro de claquettes d'Emmanuel Macron
Thomas Joly, président du Parti de la France
Hier soir sur TF1, Emmanuel Macron s'est une nouvelle fois livré à un numéro de claquettes pour distraire les Français pendant qu'on leur fait les poches.
Tout d'abord, il a décidé une nouvelle fois, sans consultation du Parlement ni du peuple, de livrer des armes à l'Ukraine, impliquant encore un peu plus notre pays dans un conflit qui ne le concerne pas.
Ensuite, le Président s'est gargarisé d'une attractivité exceptionnelle de la France pour les investisseurs industriels, sûrement séduits par des taux de prélèvements obligatoires néo-communistes et la mafia syndicale qui met régulièrement le pays à l'arrêt. Quant aux salaires, il est formel : ils doivent augmenter, mais ce n'est pas de son ressort...
À propos des classes moyennes, celles-ci devraient être, selon lui, reconnaissantes de tout ce qu'il a fait pour elles depuis 2017 puisqu'il a soi-disant baissé leurs impôts. Sauf qu'il s'agit en fait d'un tour de passe-passe comme avec la taxe d'habitation supprimée mais entièrement compensée par une hausse équivalente de la taxe foncière un peu partout. Les classes moyennes, aujourd'hui en grande difficulté, ont besoin d'un choc fiscal, pas de mesurettes de bonimenteur de foire.
Concernant l'augmentation fulgurante des prix des produits alimentaires, il a tout de même avoué que les industriels de l'alimentation ne répercutent pas la baisse du coût des denrées sur le marché mondial pour continuer à se goinfrer sur le dos des consommateurs. Toutefois, il s'est bien gardé de reconnaître la moindre culpabilité dans le contexte inflationniste provoqué par la production d'argent magique de la part des Banques centrales.
Enfin, Emmanuel Macron a balayé d'un revers de main la contestation populaire contre la réforme des retraites : les Français travailleront plus pour vivre de moins en moins bien et ils devraient même être heureux de cela.
Le Parti de la France estime que ce régime, de plus en plus autoritaire avec ses vrais opposants, est en bout de course et qu'il tente d’anesthésier - par des mensonges - nos concitoyens menacés par un effondrement économique, monétaire, social, identitaire, sécuritaire et moral comme ils n'en ont jamais connu jusqu'alors.
Source cliquez ici
11:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 15 mai 2023
Alban d'Arguin invité par Epona pour un Entretien avec le Parti de la France
09:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 21 mai, à Paris : 10 ans après la mort de Dominique Venner
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L’aube de l’Inde-monde
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Selon l’ONU, le 1er mai dernier, la République populaire de Chine a perdu sa première place d’État le plus peuplé de la planète au profit de son voisin et rival asiatique, l’Union indienne. D’après des statistiques plus ou moins fiables, l’Inde compterait un milliard cinq cents millions d’habitants et la Chine un milliard quatre cents millions. Au-delà de l’aspect quantitatif, il est évident que le dynamisme démographique joue en faveur de la Nouvelle Delhi.
La Chine paie dès à présent les quatre décennies de politique implacable de l’enfant unique. Elle est parvenue à contenir la croissance de sa population si bien que la société chinoise commence déjà à vieillir. Les mesures délirantes du zéro covid sont une conséquence immédiate de ce vieillissement. La question des retraites à venir dans une société pas encore opulente risque de déstabiliser le monopole politique du Parti communiste chinois à l’horizon 2040.
Malgré des tentatives parfois autoritaires de réduction des naissances dans les décennies 1960 et 1970, l’Inde semble poursuivre une augmentation humaine inexorable. En réalité, la fécondité des Indiennes a fortement diminué grâce aux retombées effectives de l’essor économique. Toutefois, le volume humain est si ample que naît chaque année une douzaine de millions d’enfants dans un État qui n’a que 3 287 263 km².
L’Inde est la clé de voûte du sous-continent éponyme qui compte le Pakistan, le Népal, le Bhoutan, le Bangladesh et le Sri Lanka, voire le Myanmar. Elle se projette aussi sur les autres continents quand on s’intéresse à sa diaspora. L’Indonésie, la Malaisie et Singapour accueillent des Indiens dont les aïeux sont venus s’installer à l’époque de l’Empire britannique. Des communautés indiennes anciennes résident en Afrique du Sud et en Afrique orientale (Kenya, Ouganda, Tanzanie), sur l’île Maurice et dans le département français ultra-marin de La Réunion.
Cette présence suscite parfois des conflits. Les Tamouls de confession hindouiste ont longtemps revendiqué par les armes un État indépendant au Nord et à l’Est du Sri Lanka contre l’avis des Cinghalais bouddhistes. La question indienne a durablement perturbé la vie politique des Fidji dans l’océan Pacifique. Les nationalistes mélanésiens fidjiens ne supportaient pas la mainmise économique indienne sur l’archipel, d’où une série de coups d’État à la fin du XXe siècle. Cela n’empêcha pas qu’en 1999, le travailliste indo-fidjien Mahendra Chaudhry devienne le chef du gouvernement.
Les Fidji anticipaient une situation qui se reproduit maintenant dans le monde anglo-saxon. Le deuxième Premier ministre du roi Charles III est depuis octobre 2022, Rishi Sunak, premier hindouiste à occuper le 10, Downing Street. Si on considère les Pakistanais comme des Indiens de religion musulmane, le nouveau Premier ministre écossais s’appelle Humza Yousaf. Quant à la République d’Irlande, son Premier ministre, Leo Varadkar, a un père d’origine indienne. Au Canada, le principal animateur du NPD (Nouveau parti démocratique, une formation de gauche wokiste), Jagmeet Singh, est sikh ! L’actuelle vice-présidente des États-Unis d’Amérique, Kamala Harris, est jamaïcaine par son père et... indienne par sa mère.
Benjamin Disraeli rêvait de transférer la capitale de l’empire mondial britannique de Londre en Inde. Son désir se réalise en partie aujourd’hui avec l’arrivée au pouvoir des petits-enfants des colonisés de naguère. Les eaux de l’Indus et du Gange se mêlent à la Tamise… Les Indiens peuvent pleinement se fondre dans l’Anglosphère puisqu’ils parlent couramment la langue anglaise et connaissent par cœur les codes anglo-saxons. Ils savent s’intégrer dans une mondialisation libérale américanomorphe bien mal en point.
Les Occidentaux gardent toujours en tête les images de bidonvilles de Calcutta où officiait Mère Teresa. Ils imaginent l’Inde en pays sous-développé avec ses millions de pauvres. Certes, la pauvreté n’a pas disparu. Cependant émerge et s’affirme une importante classe moyenne. Le groupe Tata détient les marques automobiles Jaguar, Land Rover et Hispano. L’industriel et homme d’affaires Lakshmi Mittal s’occupe d’ArcelorMittal. L’Union indienne deviendra bientôt la troisième puissance économique mondiale. L’Inde ne dispose pas d’un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Elle pourrait remplacer avec satisfaction le Royaume-Uni, ce caniche atlantiste ! Puissance nucléaire et civile, l’Inde maîtrise en outre les techniques aérospatiales avec sa base de lancement de fusées de Satish-Dhawan. Si Bangalore est la capitale informatique du pays, l’ancienne Bombay devenue Mumbay reste sa première place financière. Les studios de tournage et d’enregistrement qu’abrite cette mégalopole, « Bollywood », fournissent une grande partie de l’Asie et du Moyen-Orient en productions cinématographiques, télévisées et musicales.
Au pouvoir depuis 2014, le BJP (Parti du peuple indien) de Narendra Modi déroule une politique nationale-conservatrice libérale en économie. L’insistance gouvernementale à propager la numérisation des services publics et des activités marchandes constitue un indice préoccupant d’inclination sociétale vers un crédit social à la chinoise.
État-continent tendant vers un État civilisationnel potentiellement illibéral, l’Inde du BJP applique avec méthode son programme d’Hindutva. Or les quelque 800 langues usitées, la diversité des groupes ethniques et religieux et la permanence du système des castes malgré son interdiction constitutionnelle freinent les avancées d’une société unifiée par la couleur safran. Les nationalistes indiens se méfient par ailleurs des prosélytismes musulman et chrétien et surveillent l’activisme sikh en faveur d’un État sikh indépendant dans le Pendjab.
La politique gouvernementale indienne recèle enfin sa part de contradictions. L’Inde appartient à l’OCS (Organisation de coopération de Shanghai) qui comprend ses rivaux chinois et pakistanais. Proche d’Israël et hostile à l’islamisme politique, la Nouvelle Delhi entretient d’excellentes relations avec l’Iran et les Émirats arabes unis. Fidèle cliente en armement russe, l’Inde discute dans le cadre du « Quad » avec le bloc occidental atlantiste (États-Unis, Grande-Bretagne, Australie, Japon) afin de contrecarrer le « collier de perles » portuaire de la Chine dans l’océan Indien. Mais la patrie du non-alignement répugne à rejoindre clairement une alliance ou une entente exclusive. Elle préfère jouer sur les rivalités géopolitiques dans l’espoir d’en retirer le maximum de bénéfices. Ainsi vend-t-elle plus chers aux Occidentaux des hydrocarbures russes qu’elle a à peine reconditionnés.
Quelques oracles mentionnent un XXIe siècle chinois qui succéderait au XXe siècle étatsunien. D’autres parient sur un XXIe siècle indien du fait de la jeunesses de sa population. Conscients à la fois de ses forces indéniables, de ses atouts indiscutables, de ses faiblesses chroniques et de ses failles structurelles, les dirigeants indiens recherchent en priorité non pas une « grande politique » d’envergure intercontinentale, mais plutôt le contentement régulier des besoins élémentaires de leur population. C’est leur défi ! S’ils réussissent, ce sera alors un immense succès. Mais, pour l’instant, l’Inde-monde demeure toujours balbutiante.
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°73, mise en ligne le 9 mai 2023 sur Radio Méridien Zéro.
00:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 mai 2023
Finalement, malgré Darmanin, Jeanne d'Arc a été honorée aujourd'hui à Paris
23:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 13 mai 2023
Humeur...
"Camp du bien"... "Camp du mal"...
Maurice Bernard
Depuis samedi dernier, 6 mai, la kermesse antifasciste est de retour. Le grand bal des faux-culs bien-pensants bat son plein.
Comme à leur habitude, les feints contempteurs de la bête immonde mais vrais adorateurs des saigneurs marxistes s’en donnent à cœur joie, sans vergogne aucune.
Comme à leur habitude, les pleutres patentés, les cocus magnifiques de la "droite courbe" - jamais las de donner des gages à une gauche qui de toute façon s’en fout, afin d’éviter un amalgame auquel, tôt ou tard, ils auront quand même droit - les ont rejoints dans leur concert de glapissements indignés.
Depuis une semaine, jour après jour, les uns et les autres se livrent à une grotesque, une écœurante course à l’échalote. Ils nous offrent le spectacle affligeant de leur montée à l’extrême dans l’indignation. Parmi les révolutionnaires déconstructeurs et leurs valets, la compétition est vive et la surenchère permanente. C’est à qui aura la colère la plus marquée, les trémolos les plus vibrants, les mots les mieux choisis et les plus forts. Sus à ces croix celtiques, ces blousons et foulards noirs qu’ils ne sauraient voir ! Haro sur ces militants dont ils ignorent tout, au sujet desquels ils croient savoir et sur qui, excités par leurs fantasmes, ils s’autorisent à dire n’importe quoi !
L’important, c’est qu’on comprenne une fois pour toute que, dans la France macronisée, mondialisée, gauchisée, submergée et wokisée de 2023, il ne saurait être question d'accorder le même traitement à un cortège de quelques centaines de jeunes nationalistes révolutionnaires, même pacifique, mais par essence intolérable (car rappelant, bien sûr, les heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire), et à un bloc de plusieurs milliers de forcenés anarcho-trotskistes dont les œuvres et les pompes rageuses ne peuvent être, fondamentalement, que l’expression, un peu brusque et maladroite, d’une légitime colère, sous-tendue par de nobles sentiments et au service d’une juste cause…
Finalement, mieux vaut les drapeaux noirs du nihilisme, les pavés, les boulons, les cocktails molotov, les ACAB, les vociférations haineuses des furieux d’extrême gauche que le "Europe, Jeunesse, Révolution" des militants de l’"ultra droite" ! C’est con et c’est consternant, mais c’est la réalité de la France d’aujourd’hui, entraînée vers le néant par une classe politico-médiatique au sein de laquelle la connaissance historique, la clairvoyance et le courage sont loin d’être les qualités les mieux partagées.
Toutefois, qu’ils y prennent garde : à trop scier la branche sur laquelle ils trônent, ils finiront bien par tomber. La révolution dévore toujours ses enfants et ceux qui leur ont fait la courte échelle…
18:49 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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08:07 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Interdiction des cortèges patriotiques : Darmanin devrait revoir sa copie...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Alors que l'extrême gauche, les Black blocs, les antifas, les racailles de banlieues, les bandes de dealers et autres nervis du Système sèment le chaos et la terreur à travers le pays, le petit monsieur qui sert de ministre de l'Intérieur ne trouve pas mieux que de s'en prendre à la Résistance nationale et identitaire en interdisant les rassemblements et colloques prévus cette fin de semaine à Paris pour honorer l'héroïne de la Nation, Sainte Jeanne d'Arc.
Darmanin pense sans doute qu'en procédant de la sorte, "il combat efficacement la bête immonde". Il devrait se souvenir que la dernière fois qu'une commémoration de Jeanne d'Arc a été interdite, c'était par un dénommé Joxe en 1990 suite à une provocation barbouzarde dans un cimetière de Carpentras. Pour info, à l'époque, 12 % des Français votaient pour "l'extrême droite", aujourd'hui, ils sont 42 %. Alors, côté efficacité de telles mesures, Darmanin devra rectifier sa copie... Ce n'est pas en interdisant ou en procédant à des dissolutions "à droite de la droite" qu'il sauvera le Système... bien au contraire, il ne fait que renforcer notre détermination.
L'"extrême droite" justement, parlons-en. En fin de semaine dernière, elle a organisé, dans un ordre impeccable et une dignité exemplaire, une belle démonstration de force à Paris. Ces mois derniers, il en fut de même à Callac (22), Saint-Brévin-les-Pins (44) ou Bélâbre (36), là où notre identité est directement menacée. Chaque semaine, des dizaines de jeunes Français rejoignent les forces patriotiques. Cela, les thuriféraires du mondialisme et de l'internationalisme, qu'ils s'appellent Macron, Darmanin ou Mélenchon, ne le supportent pas...
Que cela leur plaise ou non, il est temps que ces vestiges d'un Système aux abois se le mettent une fois pour toutes dans leurs petites cervelles : la nouvelle révolution nationale et identitaire qui est en train de germer en France sera comme la tempête... rien ne pourra l'arrêter !
07:40 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 mai 2023
Débat collector avec une représentante SOS Racisme sur BFMTV
Bernard Germain
Le 11 mai, hier, s’est déroulé sur BFMTV un débat concernant la démission du maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, et l’affaire du CADA qu’il voulait installer en le jouxtant à une école maternelle et primaire, provoquant une énorme émotion chez les parents d’élèves.
Tout d’abord, on me permettra de rappeler que cette affaire a fait le « buzz » dans tout le pays suite au communiqué de notre « Coordination Partout Callac », du 10 mai, qui annonçait la démission du maire et son départ de la ville.
Il voulait cacher cela jusqu’en juin. Informés par une indiscrétion, nous sommes fait un devoir d’en informer les brévinois et toute la presse nationale et régionale.
Ça n’a pas loupé. Toute la presse s’est précipité et le maire a été obligé de confirmer la chose.
Le lendemain, absolument tous les médias en ont parlé. L’affaire est même remontée jusqu’au président de la République (qui a tweeté), au Premier ministre qui a fait une déclaration depuis l’île de la Réunion et même à l’Assemblée nationale qui a jugé opportun de faire une « standing ovation » à ce maire immigrationniste. Seuls le députés du RN ont refusé de se lever.
Ils ont d’ailleurs eu bien raison, car se lever s’était cautionner la politique immigrationniste du maire de cette localité.
Mais, je souhaite attirer l’attention des lecteurs sur l’opération politique en cours qui récupère un fait, somme toute banal (la démission du maire), pour en faire une machine de guerre contre la France et les français qui, à 70 % souhaitent qu’on arrête toute immigration.
Tout d’abord, le maire - selon des indiscrétions - avait déjà pris depuis un certain temps la décision d’abandonner son poste et de quitter la ville de Saint-Brévin. Il semble donc tout à fait crédible qu’il ait saisi le prétexte de l’incendie de ses deux voitures pour justifier et « habiller » son départ.
D’autre part, il est évident qu’une opération politique majeure est en cours pour profiter de l’évènement afin d’enclencher une mobilisation nationale, en apparence pour soutenir le maire Morez « obligé de partir », mais dont la vraie raison est de soutenir la politique immigrationniste menée par Macron et soutenue par toute la gauche et les bien-pensants que rejettent 70 % des Français qui « puent des pieds » et ne sont que des égoïstes ne voulant pas accueillir les « pauvres réfugiés » qui fuient.
La meilleure preuve étant que Johanna Roland, maire de Nantes (ancienne directrice de campagne de Hidalgo... 1,74 % à la présidentielle) appelle à une manifestation à St-Brévin le 24 mai.
En clair, manifestation soi-disant pour soutenir Morez victime de la mobilisation de « l’extrême droite » contre le CADA, mais en réalité pour afficher un soutien à la politique immigrationniste de Macron afin qu’il continue de plus belle.
Tout le ban et l’arrière ban de la gauche et des progressistes seront là. Et personne ne leur demandera s’ils habitent Saint-Brévin.
Tout cela est clair comme de l’eau de roche : toute la gauche, les bien pensants, les macronistes et la droite « républicaine » vont utiliser cet évènement pour mettre une énorme pression sur les Français, les culpabiliser et tenter de les contraindre à accepter l’immigration qu’ils refusent.
S’ils continuent à refuser, preuve sera faite qu’ils sont du côté de ceux qui ont fait partir Morez, donc qu’ils seront des gens contre la démocratie et la république… bref des fachos.
À ce niveau, ce n’est plus une ficelle, c’est un câble.
Mais revenons à cette émission de BFMTV du 11 mai.
Si vous l’avez manquée, il faut absolument la voir. C’est collector, comme disent certains.
Elle est là : cliquez ici
Sont présents sur le plateau : la vice présidente de SOS Racisme, un représentant du PS, Tugdual Denis directeur adjoint de la rédaction de Valeurs Actuelles, Christophe Barbier, et les deux animateurs. Je suis pour ma part invité à intervenir, en visioconférence, en cours de débat.
Après une introduction de BFMTV pour présenter le dossier et les réactions de l’État, notamment la position du 1er ministre, le présentateur donne la parole au représentant du PS.
Celui-ci commence en dénonçant les « violences de l’extrême droite ».
Ça part fort !
Quelles violences de l’extrême droite ? … aucune explication, aucun exemple ne sera donné. Et pour cause, il n’y en a jamais eu.
En vérité, le seul fait de manifester pour exprimer son désaccord est une « violence » pour ces gens.
Pour avoir été à plusieurs reprises à Saint-Brévin, à chaque fois, les seules violences que j’ai vues étaient celles des antifas venus en contre manifestation. Comme à Callac.
Mais les violences des antifas ne sont jamais condamnées par la gauche.
Cela me rappelle l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. La gauche et la presse avaient à l’époque dit que c’était le fait de l’extrême droite.
Mais quand la police a arrêté les auteurs c’étaient des antifas. La gauche et la presse n’ont pas communiqué sur cette information. Ça vous étonnes ?
Le présentateur lui demande s’il voit un lien entre ces « violences d’extrême droite » et l’incendie de la maison du maire. Le représentant PS manque de lui répondre que oui, se reprend et déclare que c’est le climat de violence instauré par l’extrême droite qui a provoqué l’incendie.
20:52 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 13 mai : LA VENDÉE À L'HONNEUR
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20:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ursula von der Leyen et Pfizer, un scandale ?
Député européen membre du Rassemblement national, Virginie Joron était à la CPAC Hungary les 4 et 5 mai 2023. Un rendez-vous incontournable des conservateurs du monde occidental organisé pour la deuxième année consécutive à Budapest par le Centre pour les droits fondamentaux, un think-thank proche du gouvernement hongrois.
Membre de la Commission COVID au Parlement européen, Virginie Joron est connue pour son combat en faveur des libertés et contre l’obligation vaccinale, et affirme que les contrats passés entre la société Pfizer et la Commission européenne l’ont été dans la plus grande opacité. Yann Caspar, journaliste, juriste et auteur franco-hongrois, s’est entretenu avec elle sur ces questions lors de son séjour à Budapest, le 5 mai 2023.
12:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |