samedi, 02 mars 2024
RENNES : LES JEUNES DE L'ORIFLAMME DÉCORENT LA VILLE
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BONNE NOUVELLE : LE FAMEUX LIVRE "ORDRE NOUVEAU RACONTÉ PAR SES MILITANTS", ÉPUISÉ DEPUIS TROIS ANS, EST EN COURS DE RÉÉDITION
Cet ouvrage a été édité une première fois en septembre 2019, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la création du mouvement Ordre nouveau. Ses concepteurs, Jacques Mayadoux et André Chanclu, avaient alors souhaité que cette première édition ait un tirage limité.
C’était sans doute sous-estimer l’intérêt que ce livre allait susciter, non seulement auprès des « anciens » qui ont connu cette période tumultueuse de l’après Mai 1968, mais aussi auprès des jeunes générations militantes pour lesquelles Ordre nouveau est devenu une référence.
Voilà pourquoi, pour répondre à cette forte demande, nous avons décidé, en accord avec Jacques Mayadoux et André Chanclu, de procéder à une seconde édition de ce livre-document.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Sortie de la nouvelle édition : le 15 mars 2024
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11:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 01 mars 2024
Eric Zemmour rencontre des agriculteurs au Salon...
18:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le badintérisme plus que jamais vivant
La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol
Fidèle à sa nécrophilie habituelle, la République hexagonale célèbre, loue, commémore Robert Badinter récemment décédé alors qu’à l’aune de la longue durée le bilan de ce dernier se révèle déjà catastrophique.
Le 9 octobre 1981, l’Assemblée nationale supprime la peine capitale et bouleverse par conséquent la hiérarchie des sanctions. Sans châtiment suprême, toutes les peines judiciaires se dévaluent. Ce déclin s’amplifie avec la sotte révision constitutionnelle du 23 février 2007. Quelques semaines avant la fin de son second mandat présidentiel, Jacques Chirac fait inscrire dans la Constitution l’impossibilité de restaurer la peine de mort. Il est cependant étrange que les exécutés ne soient jamais réhabilités. Si l’exécution finale est inacceptable, pourquoi n’y aurait-il pas une ou des cérémonies officielles de réparation envers l’ensemble des condamnés parmi lesquels Louis XVI et Marie-Antoinette, Georges Cadoudal et Louis-Antoine-Henri de Bourbon-Condé, duc d'Enghien, Louis Rossel et Auguste Vaillant, Robert Brasillach et Joseph Darnand, Roger Degueldre et Jean Bastien-Thiry ?
À l’occasion de la disparition de l’ancien sénateur des Hauts-de-Seine (1995 – 2011), le Système médiatique d’occupation mentale n’a pas hésité à tremper dans la désinformation. Le garde des Sceaux de 1981 à 1986 aurait dépénalisé l’homosexualité. Certes, il était âgé, mais pas au point d’être à l’origine de cette abolition acquise en… 1791 ! En 1982, il fait voter la dépénalisation des relations homosexuelles avec les mineurs de plus de quinze ans, y compris avec un adulte, et les met au même niveau que les relations hétérosexuelles dont l’âge avait déjà été repoussé de treize à quinze ans. Or, depuis plusieurs mois, des révélations souvent scabreuses secouent la scène médiatico-artistico-musicale (soit le microcosme bobo gauchiste germano-pratin du Lubéron). L’actrice Judith Godrèche dénonce sa liaison avec le réalisateur Benoît Jacquot quand il avait 39 - 40 ans et elle 14 – 15 ans. En janvier 2021, Camille Kouchner révèle dans La familia grande que son beau-père, le très grand donneur de leçon politiquement correct et ancien collaborateur socialiste de Robert Badinter, Olivier Duhamel, abusait de son frère jumeau. En 2018, d’anciennes militantes de l’UNEF (Union nationale des étudiants de France), satellite du Parti socialiste, dénoncent des agressions sexuelles commises par les caciques syndicaux. D’autres agressions et harcèlements sexuels surgissent ensuite au Mouvement Jeunes communistes de France (MJCF) et à l'Union des étudiants communistes (UEC). Un an auparavant, un scandale similaire éclatait au sein du MJS (Mouvement Jeunes Socialistes).
Le cas Gérard Miller tourmente aujourd’hui les belles consciences festives et inclusives. L’histrion psychanalyste, proche de La France insoumise, se voit accusé par une quarantaine de femmes de viols ou d’attouchements sexuels sous hypnose. Présumé innocent pour l’heure, ce saltimbanque pathétique n’est jamais en reste dans la dénonciation automatique de l’« extrêêêêêêêêêêêême droite ». Ce gauchiste réside dans un hôtel particulier parisien gagné grâce à la redevance télé des contribuables. Cette gauche-là cumule la nullité, l’indécence et l’hypocrisie. Ses vices sont incommensurables. Elle se disqualifie d’elle-même. Ce systémisme coupable devrait interroger.
18:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La constitutionnalisation peut mener à des avortements de fin de grossesse, eugénistes, en fonction du sexe ou de critères génétiques
Le sénateur Reconquête Stéphane Ravier déclare dans Valeurs Actuelles :
Tout ce que nous avions annoncé avec la Manif pour tous lors des débats sur la légalisation du mariage homosexuel tend à se produire. On nous avait promis, à l’époque, que le mariage pour tous ne serait absolument pas une porte d’entrée vers l’adoption pour les couples du même sexe, la PMA ou la GPA. C’est exactement ce qu’il s’est passé.
Les mêmes conséquences se produiront avec la constitutionnalisation de l’IVG. À terme, cette décision peut mener à des avortements de fin de grossesse, voire à des IVG dites « sélectives », en fonction du sexe ou de critères génétiques dans une démarche purement eugéniste. Cette décision permettra, dans les années et décennies à venir, de soutenir juridiquement les projets les plus extrêmes des militants acharnés de la destruction de la famille traditionnelle. […]
Comment jugez-vous la position du Rassemblement national sur la question ?
Je ne suis pas surpris par le vote des sénateurs RN (cliquez ici). Je m’interroge en revanche sur leur refus de soutenir l’amendement porté par le sénateur LR Alain Milon, qui souhaitait voir inscrit dans la Constitution le respect de la clause de conscience des professionnels de santé.
Le Rassemblement national franchit une étape de plus, non pas dans sa dédiabolisation, mais dans sa normalisation. Le RN est entré dans une course effrénée à la séduction électorale, en arrondissant encore un peu plus le peu d’angles qu’il leur reste. Marine Le Pen a capitulé.
Source Le Salon Beige cliquez là
18:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Sénat a adopté jeudi soir le projet de loi constitutionnelle : 50 sénateurs ont voté contre
Voici les sénateurs qui ont voté contre :
LR : MM. Jean Bacci, Arnaud Bazin, Mme Catherine Belrhiti, M. Étienne Blanc, Mmes Christine Bonfanti-Dossat, Valérie Boyer, Anne Chain-Larché, MM. Alain Chatillon, Guillaume Chevrollier, Pierre Cuypers, Mmes Chantal Deseyne, Catherine Di Folco, Françoise Dumont, M. Laurent Duplomb, Mme Jacqueline Eustache-Brinio, M. Christophe-André Frassa, Mmes Laurence Garnier, Pascale Gruny, M. Daniel Gueret, Mmes Corinne Imbert, Micheline Jacques, Muriel Jourda, MM. Khalifé Khalifé, Daniel Laurent, Mme Christine Lavarde, MM. Dominique de Legge, Henri Leroy, Mmes Vivette Lopez, Brigitte Micouleau, MM. Alain Milon, Albéric de Montgolfier, Louis-Jean de Nicolaÿ, Mme Sylviane Noël, MM. Jean-Jacques Panunzi, Stéphane Piednoir, Mmes Kristina Pluchet, Frédérique Puissat, MM. André Reichardt, Bruno Retailleau, Bruno Sido, Philippe Tabarot
Union centriste : M. Michel Canévet, Mme Brigitte Devésa, MM. Alain Duffourg, Loïc Hervé, Mme Christine Herzog, M. Hervé Marseille, Mme Lana Tetuanui
Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants : M. Jean-Baptiste Lemoyne
Non-inscrit : M. Stéphane Ravier (Reconquête !)
Les 3 sénateurs RN ont voté pour…
Source Le Salon beige cliquez là
18:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pour qui sont ces migrants ?
Françoise Monestier
Depuis maintenant des années, beaucoup de nos compatriotes qui ont du mal à boucler les fins de mois — et pourtant ils travaillent— sont contraints de dormir dans leur voiture. Que vont-ils penser en apprenant que Gérald Darmanin a pris la décision de faire décamper de Mayotte plus de 300 réfugiés africains (ce n’est qu’un début) qui pourrissaient la vie des Mahorais pour un hébergement de luxe au château de Thiverval-Grignon près de Versailles ?
Ces migrants en situation irrégulière à leur arrivée à Mayotte ont occupé illégalement — ils étaient alors plus de 700- le stade de Cavani, à Mamoudzou, la capitale de l’île, multipliant les provocations en tous genres : agressions, racket et bagarres. Cette installation a été le point de départ de barrages routiers et de manifestations des Mahorais qui n’en peuvent plus de vivre sur un territoire peuplé de plus de 50 % de clandestins et sont au bord de l’implosion socialo-ethnique.
Les nouveaux châtelains de Grignon , superbe bâtisse du XVII siècle inscrite au titre des monuments historiques propriété de l’Etat, ont obtenu le sésame – l’asile politique – qui leur ouvre grandes les portes de notre pays. Désaffecté depuis le départ pour Saclay de la prestigieuse école d’ingénieurs agronomes d’AgroParisTech, le château est géré par les travailleurs sociaux d’Emmaus, disciples de l’abbé Pierre.
Leur prise de possession des lieux a été imposée par le préfet des Yvelines au maire de la commune qui, n’ayant pas pu s’y opposer, regrette le « caractère contraint de cette décision ». Il y deux ans déjà, ce centre avait accueilli pendant plusieurs mois des migrants sans domicile.
Le valet de Matignon assure que ces réfugiés politiques originaires de la République du Congo, du Rwanda ou de la Somalie ne devraient rester que quelques semaines dans ce domaine dont le mobilier a été bradé par l’administration des Domaines en 2022, au grand dam des défenseurs du patrimoine français. Où iront-ils crêcher ? Dans les quelques havres de paix non encore touchés par ces installations forcées imposées par le pouvoir macroniste.
On ne peut que regretter que Darmanin, fort en gueule mais lamentable dans l’exécution de ses missions, importe en métropole ceux qui ont transformé Mayotte en une véritable poudrière et qui, au gré de leurs pérégrinations dans la France profonde, créeront « Un, deux, trois Cavani ». Et pendant ce temps-là, nos Smicards devront fermer leur gueule.
Le Nouveau Présent cliquez ici
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jeudi, 29 février 2024
Salon de l’agriculture 2024 : bienvenue en absurdie
La chronique de Philippe Randa
Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, l’a assuré sur CNews, « aucune invitation n’a été faite aux Soulèvements de la Terre » à participer à un grand débat au salon de l’agriculture ; et il a fustigé au passage le groupe écologiste en expliquant « qu’(il) n’est pas respectable dans la vie publique » … De même, le président Macron, lors de sa visite sur place samedi 24 février, l’a confirmé : il n’y a même jamais songé, qu’on se le dise !
De leurs côtés, les intéressés ont confirmé qu’ils ont « bel et bien été contactés pour participer au débat » : « Le jeudi 22 février, à partir de 18 heures, un député européen EELV (Europe écologie-Les Verts) confirme avoir transmis le numéro de téléphone d’une de nos porte-parole au cabinet de (l’eurodéputé Renaissance) Pascal Canfin, qui était chargé de faire le lien avec l’Élysée pour nous inviter à ce “grand débat” », expliquent-ils.
Finalement, est-ce peut-être, encore, éventuellement une erreur « faite lors de l’entretien avec la presse en amont de l’événement », comme a tenté encore de se justifier l’Élysée ? Ah oui ! bien sûr…
Quoi qu’il en soit, les deux syndicats agricoles de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs ont naturellement refusé de participer à quoi que ce soit et le débat, faute de participants, a été annulé.
Cochon qui s’en dédit ou pas, le mal était fait.
Chacun est libre de croire les uns plutôt que les autres, même si, une fois n’est pas coutume, on a assez tendance à croire les écologistes qui doivent en rire encore.
Et ce sont peut-être bien les seuls, finalement, car même les plus acharnés des adversaires de la Macronie en restent probablement plus effarés qu’amusés : comment peut-on être aussi mauvais ? À ce point ?
Le locataire de l’Élysée espérait pourtant bien tirer profit d’un tel débat, soit être en mesure d’enfumer les participants avec d’aussi belles que fausses promesses de lendemains agricoles chantant.
Oui mais… Après un tel fiasco médiatique, le parti Renaissance risque plutôt d’essuyer un (très) mauvais vent électoral en nos terroirs dans les prochains mois.
L’histoire retiendra certes l’incompétence macroniste sur fond de provocation incompréhensible faite au monde rural… Mais plus grave encore, face aux centaines de paysans en colère, l’obligation faite au Président et à sa suite de pénétrer dans les lieux par une porte dérobée. Et aussi – et surtout ? – l’effarante mobilisation de quatre compagnies de CRS aux abords du Parc des Expositions, secourues dans la matinée par deux autres compagnies accourues en renfort, sans compter les compagnies de gendarmes mobiles et les unités en réserve, prêtes à intervenir au cas où… soit près d’un millier de policiers.
La Russie de Vladimir Poutine ? La Turquie de Recep Tayyip Erdoğan ? La République populaire démocratique de Corée du Nord de Kim Jong-un ?
Non, la France d’Emmanuel Macron.
EuroLibertés cliquez ici
23:41 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Même la police est obligée d'en passer par là...
Thierry DeCruzy
La chanson est un outil de communication et d’harmonisation. En juillet dernier, la police se lance dans la chanson en diffusant Toujours là. L’initiative vient du syndicat Alliance Police Nationale sans le soutien du ministère. Pourtant l’enregistrement est très propre.
Au-delà des réflexions convenues sur ceux qui appartiennent aux “forces de l’ordre”, il y a des individus et quand ils éprouvent le besoin de communiquer par la chanson leurs problématiques professionnelles et personnelles quotidiennes, c’est un signe parmi tant d’autres que les repères disparaissent sans être remplacés. Si les policiers obéissent aux ordres de répression contre les nationaux et les dissidents pour défendre un régime corrompu et ennemi de la France, chacun sait que sans police c’est le chaos. Comme on peut le comprendre à l’écoute des paroles, exercer ce métier aujourd’hui était déjà très dangereux, c’est devenu très compliqué.
Dans ce contexte et si le concours était moins corseté, la chanson aurait bien pu représenter la France pour l’Eurovision.
En savoir plus cliquez là
Pour lever toute ambiguïté cliquez ici
23:26 Publié dans Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron ou le vertige de l’escalade contre la Russie
Avocat de formation, Pierre Lellouche a abandonné la politique en 2017 qui l’avait consacrée comme député et conseiller diplomatique de Jacques Chirac. Depuis, il poursuit sa carrière en tant que consultant en géopolitique, proche de think tank comme CF2R et l’IFRI. Il est par ailleurs, l’auteur de nombreux ouvrages traitant de géopolitique dont le dernier en date, Une Guerre sans fin (Ed. du Cerf). Ses chroniques, dans Le Figaro notamment, ne manquent jamais de pertinence.
Lire la suite ICI
Source : Figaro 282/2024
12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Réquisitions de personnes et de patrimoine : l'effrayante loi militaire du gouvernement Macron
Avec Ariane Bilheran. Ancienne Élève de l'École Normale Supérieure (Ulm), Philosophe Psychologue clinicienne, Docteur en Psychopathologie, Auteur dernièrement de “Psychopathologie du totalitarisme” (éditions Guy Trédaniel)
Et Maître Virginie de Araujo-Recchia, Avocate au Barreau de Paris.
Le cauchemar d’Orwell en passe de devenir réalité ! Si nous ne faisons rien, toutes les opinions libres seront définitivement bannies en France.
11:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Darmanin connaît-il si peu l’islam… ?
Bernard Germain
Darmanin vient de faire une annonce pour le moins étonnante. Il a affirmé vouloir :
- Former les imams de France.
- Agir pour que l’islam soit considéré comme « une religion française comme les autres ».
- Que soit créée une association pour lutter contre les actes anti-musulmans.
C’est ainsi que Darmanin a annoncé lundi 26 février la création d’un “statut de l’imam en France”. Dans un discours prononcé au Forum de l’islam de France (FORIF), le ministre de l’Intérieur entend lutter contre l’idée que l’Islam “est une religion d’étrangers, pour les étrangers, financée par les étrangers”
Là, on commence à douter des connaissances du ministre dans ce domaine. En effet, tout d’abord, il n’y a pas de hiérarchie dans l’islam sunnite (80 % des musulmans). Seuls les chiites ont avec leurs ayatollahs une sorte de hiérarchie.
Du fait qu’il existe une « hiérarchie catholique », le ministre pense (ils sont beaucoup à penser comme lui) qu’il serait logique que l’islam fonctionne comme ce que font les catholiques, donc avec une hiérarchie.
Cette idée est la dernière version du rêve d’un « islam de France » que voulait Sarkozy et qui n’a jamais pu se concrétiser parce que totalement contraire aux conceptions des musulmans.
Recommencer sur ce thème avec la formation des imams, c’est refaire la même erreur en se proposant cette fois de s’occuper non seulement de l’organisation et du fonctionnement de l’islam, mais aussi du message délivré aux croyants. Gageons que Darmanin aura autant de succès que Sarkozy.
Et le ministre d’ajouter pour justifier que l’islam serait une religion « française » : « 60% des musulmans en France sont nés en France et c’est une religion française comme les autres ».
Là j’avoue que les bras m’en tombent tellement cette affirmation est fausse et osons le dire, stupide.
Cela me rappelle ce débat sur « l’islam, religion de paix et d’amour », conception que défendait un certain Alain Juppé sur le plateau de la 2 il y a quelques années.
À un moment dans le débat, l’un des participants vaguement agacé par ce discours de Juppé, osa lui poser la question qui tue : « M. Juppé, avez-vous lu le coran ? ».
Silence très gêné de l’intéressé qui répondit au bout de quelques très longues secondes … « non je n’ai pas lu le coran ». Alors, comment peut-il oser parler doctement de cette religion qu’il ne connaît pas ?
Il se trouve que la déclaration de Darmanin est du même tonneau. Et c’est proprement stupéfiant.
Ainsi, affirmer que dès lors que 60 % de musulmans sont nés en France, cela ferait de l’islam une religion française est proprement invraisemblable.
Si je voulais prendre une image pour me faire comprendre, dire cela serait comme affirmer que parce qu’un poulain serait né dans une étable, cela ferait de lui un veau.
Avec cette image, chacun comprend l’ineptie d’une telle affirmation. Pourtant c’est exactement ce que prétend Darmanin en ce qui concerne les musulmans et leur religion, l’islam.
Le caractère « français » d’une religion se jugerait, selon lui, au fait qu’un certain nombre de ses croyants seraient nés en France. Comment peut-on être ministre de la république et dire de pareilles sottises ?
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. En effet, dire que « l’islam est une religion comme les autres », c’est selon moi le véritable message de cette déclaration de Darmanin. Il veut banaliser l’islam.
Or, il n’y a rien de plus faux que de prétendre cela, où alors - même s’il a des origines familiales de l’autre côté de la Méditerranée - c’est que M. Darmanin, comme Alain Juppé, ne connaît rien à l’islam.
Au risque de le contrarier, rappelons que l’islam est une « orthopraxie » contrairement au catholicisme qui une « orthodoxie » donc une religion basée sur la seule foi du croyant.
00:15 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Aujourd'hui jeudi, au Salon de l'Agriculture :
00:14 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 2 mars : Daniel Habrekorn à la Librairie Vincent à Paris
00:13 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 28 février 2024
230 ans ... La Vendée pardonne mais n'oublie pas.
17:36 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 27 février 2024
Envoyer des troupes en Ukraine : irresponsable et suicidaire ! Au fou !
Un communiqué d'Alexandre Simonot,
délégué général du Parti de la France :
Le président Emmanuel Macron, en déclarant qu’il n’exclut pas d’envoyer des troupes armées en Ukraine, franchit un pas de plus dans le délire mais aussi dans une inconscience suicidaire et irresponsable.
Lorsque l’on est incapable de nourrir ses agriculteurs, lorsque l’on est incapable de contrôler les frontières de son pays, lorsque l’on est incapable de faire régner l’ordre et la sécurité en France, on ne va pas jouer les gros bras dans un conflit qui n’est pas le nôtre. Envoyer des troupes en Ukraine n’y apportera jamais la paix, bien au contraire.
Comme le disait si bien le roi Louis XIV : « La France n’a pas d’alliés elle n’a que des intérêts ». Et les intérêts de la France ne sont en aucun cas dans ce conflit.
Source cliquez ici
15:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pourquoi Macron et Bardella baladent les Français sur la crise agricole
Dans cette capsule, Eric Verhaeghe rappelle que la crise agricole survient essentiellement du fait de la politique de sanction contre le gaz russe, qui fait flamber le prix des intrants agricoles de plus de 50 % et étrangle les agriculteurs. Mais, visiblement, ni Emmanuel Macron ni Jordan Bardella n'ont envie d'en parler.
11:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 26 février 2024
Prémonition ukrainienne de l'ami Tesson
Je recherchais des bouquins de Philippe Tesson, l'homme qui courait après la panthère des neiges… Sa proximité de pensée avec Jean Raspail m'y conduisait tout naturellement, moi le sujet patagon fervent praticien du Jeu du Roi !
De plus, depuis la cabale des cultureux, plus minables que poètes, j'explorais les boîtes à livres, belle initiative pour donner plusieurs vies aux bouquins. C'est ainsi que j'ai pu découvrir le journal 2014-2017 de ce même Philippe Tesson, journal de ses escapades et pensées au titre énigmatique Une très légère oscillation.
Paru en 2017, au mois d'avril 2014, Philippe Tesson était parti voir "de visu" ce qui se passait au Donbass, à l'Est de l'Ukraine. Il était descendu dans une mine de charbon, avait écouté les habitants parler la langue russe interdite, vu flotter les drapeaux bleu et rouge de la fédération russe, senti la tension qui montait…
De retour en France, en mai 2014, il écrit dans son journal, sur le mode humour :
« Pas d'issue
Afin que les rédacteurs en chef des journaux occidentaux puissent honorer les ponts du mois de mai, les équipes de communication de l'Otan devraient préparer un florilège de titres préventifs. Pour le cas où Poutine décide de ne pas agir en Ukraine : Le pourrissement. Pour le cas où il agit : L'agression. Pour le cas où il appelle au calme : Le jeu du sous-marin. Pour le cas où il masse les chars à la frontière : Poutine bat les masques. Pour le cas où il les retire : Poutine manigance. Pour le cas où il intervient à la télévision : La provocation. Pour le cas où il n'intervient pas : La provocation. Pour le cas où il demande à rencontrer le président américain : Les arrière-pensées. Pour le cas où il ne le souhaite pas : Le mépris. »
Tesson avait senti que les prémisses du conflit se mettaient en place, mais que le pire pouvait encore être évité. Poutine déclenchera les hostilités en février 2022. 8 ans après ! Quel gâchis ! Mais, il est trop facile de mettre tous les torts sur l'ours russe et d'exonérer l'Oncle Sam de toutes responsabilités ! Tesson avait vu juste !
Une très légère oscillation, Philippe Tesson, Equateurs, 2017
14:42 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Manif de Dol… Il serait peut-être temps d’arrêter les bêtises…
Bernard Germain
Samedi 24 février 2024, Reconquête appelait à une manifestation contre l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs non accompagnés (MNA) à Dol de Bretagne (35).
Grosse émotion des immigrationnistes sur place. Le discours des pro-migrants est des plus simples : « On ne va pas les laisser refaire un nouveau Callac ».
Refaire un nouveau Callac ?
Malheureusement, il n’y a aucun risque que cela arrive car depuis notre succès à Callac contre la mise en œuvre du projet Horizon, le duo Nicolas Bay (secrétaire général) – Damien Rieu (animateur des réseaux sociaux) n’a eu qu’une préoccupation : dénoncer la manière dont nous avons mené le combat et gagné à Callac.
Il ne fallait pas de royalistes, parce qu’ils sont royalistes, pas de représentants et militants du Parti de la France parce qu’ils sont « d’extrême droite », pas de Bretons parce que trop bretonnants, pas Riposte laïque parce que trop laïque, pas de Civitas parce que trop cathos, pas de représentants et militants des Patriotes parce que... etc, et surtout pas ces petits gars en noirs car ils sentent le soufre.
Mais pourquoi cette volonté de Bay-Rieu de rejeter tous les patriotes organisés dans d’autres structures que Reconquête ?
Parce que Reconquête ne veut pas "salir" son identité et sa réputation par des actions communes avec ces gens. Un peu comme Marine Le Pen, Reconquête doit impérativement se « dédiaboliser » pour qu’on ne l’accuse pas d’être « l’extrême droite », afin de plaire à l’électeur. C’est pourquoi, aux yeux de certains de ses responsables (eux-même venus de la droite de l’extrême droite) un cordon sanitaire s’impose entre Reconquête et ces personnes trop marquées qui sont de ce fait des indésirables.
En conséquence, Nicolas Bay et Damien Rieu n’ont eu de cesse depuis nos succès de Callac de tout faire pour discréditer l’existence et l’action de la « Coordination Partout Callac » que nous avions créée pour aider tous ceux qui sont confrontés à ce type de problème. De même, avec constance, ils ont mis des bâtons dans les roues de nos actions dans toutes les localités où se menaient des combats contre l’installation de CADA, notamment en interdisant aux militants et responsables Reconquête de s’associer à ces initiatives.
Cela a commencé par Saint-Brévin (44) puis il y a eu Bélâbre (36) et d’autres localités dans plusieurs régions, à la suite.
Bélâbre a été la première défaite des opposants à l’instauration de CADA, consécutivement à la mise en œuvre de cette brillante stratégie d’isolement prônée et imposée par le tandem Bay-Rieu.
Samedi 25 février, à Dol (35), cette stratégie a de nouveau montré "ses remarquables perspicacité et efficacité".
Un centre pour mineurs isolés doit s’y installer prochainement. Reconquête a appelé à la mobilisation sur la ligne Bay – Rieu. Résultat : comme vous pouvez le voir sur la photo en haut de cet article… à peine une cinquantaine de personnes courageuses a répondu à l’appel de Reconquête. On est loin des grandes mobilisations à Callac. Pour mémoire, lors de notre première manifestation en septembre 2022 cliquez là nous étions plus de 400 personnes et lors de la seconde manifestation, le 5 novembre de la même année, nous étions 800 participants cliquez ici (selon le ministère de l’Intérieur).
La brillante stratégie du tandem Bay – Rieu aura eu comme résultat de couler de nombreux mouvements de contestation un peu partout en France.
Pour ce qui concerne le site internet de « Partout Callac », le 25 février également, il nous fallait renouveler l’abonnement du site chez notre hébergeur. Nous n’avons pas renouvelé, puisque Partout Callac, conçu comme une plateforme de rassemblement permettant de "ratisser large", dans les conditions que je viens de décrire, n’est utile à personne.
Défaites un peu partout en France quant aux combats contre CADA et Centre pour MNA, arrêt de l’action de la coordination Partout Callac... un beau bilan pour le tandem Bay – Rieu et leurs actions. Ils auront beaucoup plus fait pour couler Reconquête que pour sa progression. Au RN, ils en rigolent allègrement...
Si j’étais Eric Zemmour, je commencerais à m’interroger sur l’efficacité de ce « tandem de choc ». En imposant une telle ligne, ils ont placé Reconquête, né d’un formidable espoir en 2021, à la traine… loin derrière le RN. Et cela malgré le talent de sa tête de liste, Marion Maréchal.
11:18 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Retour sur Manouchian, les communistes et la censure
Michel Festivi
Avec un peu de recul, on peut maintenant revenir sur cette affaire de Panthéonisation d’un immigré arménien, qui en 1943 fut arrêté par les Brigades spéciales de la Police parisienne, qui étaient sur sa trace depuis de nombreuses semaines. Manouchian, puisque c’est de lui dont il s’agit, fera l’objet d’un traitement médiatique exceptionnel dès son arrestation et celle de ses hommes, grâce ou à cause des nazis, qui monteront cette affaire en épingle au travers de la fameuse « affiche rouge », placardée sur tous les murs de Paris en février 1944. Bien d’autres courageux résistants ne connaîtront pas cette notoriété !
Manouchian, comme l’a souligné à plusieurs reprises Stéphane Courtois, était membre de l’Internationale communiste depuis le milieu des années 1920, et suivait à la lettre les ordres qui lui étaient donnés par ses chefs, c’est à dire de la direction clandestine du Parti communiste « français », dirigée alors par Jacques Duclos, en lien direct avec Moscou, où vivait Thorez, qui avait déserté et trahi la France.
La MOI était contrainte de multiplier les attentats contre les troupes d’occupation, pour que la résistance communiste puisse apparaître à la libération du territoire, comme la seule qui vaille, afin, dans un plus vaste élan populaire, tenter de parvenir au pouvoir et faire ainsi oublier les deux années de trahison du Parti entre 1939 et 1941. Et ce, quitte à faire prendre tous les risques à ces hommes, très peu nombreux en réalité, guère plus d’une soixantaine au maximum, comme le prouveront des historiens, comme Franck Liaigre, Les FTP nouvelle histoire d’une résistance, qui iront fouiller dans les archives, et qui ne se contenteront pas d’un travail superficiel, comme certains de leurs confrères.
Boris Holban, le chef des MOI va refuser les ordres du Centre, et sera démis de ses fonctions. En juillet 1943, il ne restait plus que peu ou prou 35 combattants. Ils seront quasiment tous arrêtés le 15 novembre 1943, suite à un fiasco opérationnel en date du 12 novembre. A ce moment-là, des voix vont se faire entendre, pour incriminer la direction du PC, de les avoir laissés tomber. C’est tout le sujet du film de Mosco, des terroristes à la retraite, réalisé au début des années 1980, qui fait parler des anciens des MOI revenant sur les lieux mêmes des faits. Le documentaire, primé dans plusieurs festivals, sera vendu à Antenne 2, qui le remisera aussitôt dans un placard, tant le directeur de l’époque, Jean Claude Héberlé craignait que les syndicats CGT ne s’offusquent de sa diffusion et qu’ils multiplient les grèves. Le parti communiste fera des pressions considérables pour que le film ne passe pas à l’antenne, faisant monter au créneau le ban et l’arrière ban de tous ses soutiens staliniens, comme l’inépuisable Robert Chambeiron, homme lige des soviets.
Devant la levée de bouclier initiée d’ailleurs par feu le journal socialiste, Le Matin de Paris, le courageux Héberlé finira par saisir la Haute autorité de l’audiovisuel, présidée par la non moins courageuse Michèle Cotta, qui en désespoir de cause constituera, pour savoir si le film pouvait être vu par les Français, un « jury d’honneur » composé au petit poil de tous les cryptocommunistes de l’époque, les éternels époux Aubrac, communistes jusqu’au bout des ongles, elle encartée, lui pas ; Claude Bourdet soviétophile avéré ; Henri Noguères qui avait toujours ménagé « la résistance communiste », et Pierre Sudreau, plus ou moins compagnon de route, qui avait comme très grand ami Guy Ducoloné, alors inamovible député communiste. Cet aéropage, taillé sur mesure, viendra soutenir mordicus la non diffusion du film. Mais suite à des manifestations d’intellectuels, d’Annie Kriegel notamment, ancienne de la MOI à Grenoble, qui soutiendra le film « le beau film de Mosco qui rend compte honnêtement des toutes ces interrogations et hypothèses ...qui sont parfaitement légitimes. », Georges Filloud, le ministre socialiste de l’information sur ordre de Mitterrand sans doute, imposera à Antenne 2 la diffusion du film. Nouveaux cris d’orfraie de l’Humanité et de tous les communistes, qui réussiront à imposer, avant la diffusion, dans le cadre des Dossiers de l’écran, la lecture par le très stalinien Charles Lederman, sénateur communiste, d’un avertissement, suivi d’un débat entre « historiens ». Néanmoins l’audience sera au rendez-vous, en ce mois de juillet 1985, 13 millions de téléspectateurs et 30% de part de marché, record battu pour cette émission très populaire alors. Les sondages confirmeront qu’une majorité de Français pensaient que le PC avait lâché le groupe Manouchian, ce que les historiens ont démontré.
C’est donc avec une stupeur totale que l’on a appris qu’Emmanuel Macron accordait au journal l’Humanité un entretien au sujet de la Panthéonisation du couple Manouchian, alors que ce journal communiste avait été en pointe pour que le film de Mosco, ne soit pas diffusé et soit censuré. Le Président de la république s’est une fois de plus totalement discrédité dans cette affaire, demandant en quelque sorte au criminel de défendre son crime. Dans le film, Philippe Garnier-Raymond, auteur d’un livre, l’affiche rouge, déclarait « A mon avis avec un grand cynisme, la direction des FTP a choisi leur sacrifice, de les abandonner, Je n’irai pas jusqu’à dire, faute de preuves, que le PCF les a cyniquement livrés à la Gestapo. » Et dans sa dernière lettre, Manouchian prophétise « Je pardonne à tous ceux qui m’ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal, sauf à celui qui nous a trahi pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendus. »
S’il y avait bien un parti et un journal qui auraient dû faire profil bas et être écartés en ces journées commémoratives, c’est bien le PC « F » et le journal L’Humanité. Son directeur de l’époque, le très stalinien Roland Leroy, piquera une colère mémorable en traitant tous ceux qui militaient pour la diffusion du film d’être « d’extrême-droite », c’était alors essentiellement des socialistes, trop contents de faire la nique aux communistes qui avaient quitté le gouvernement, et qui en juin 1984, aux européennes avaient été rattrapés par un Front national en expansion. Mais par la grâce d’un Président indigne et ignare, ou vice et versa, on eut droit à une commémoration communiste, dans la pire des traditions des pays soviétiques. Même Charles Tillon, et tous les exclus communistes d’alors, firent des déclarations pour que le film de Mosco soit diffusé. Annette Wievorka, qui étudia de près toute cette histoire put affirmer : « Les FTP-MOI sont dans une situation d’extrême précarité ? Qu’importe, pour les communistes l’homme ne fut jamais le capital le plus précieux...il n’y a pas de quoi fouetter une conscience de responsable communiste. »
C’est le remarquable historien Franck Liaigre qui aura le fin mot de cette tragédie « la faiblesse des coups portés aux allemands peut surprendre ; mais l’indigence des effectifs, le manque d’armes et la tactique employée l’expliquent. La volonté du comité, soucieux de châtier les traitres et de remplir les caisses, joue un rôle primordial. De sorte que les FTP ont au total tués plus de Français que d’Allemands. » Tout est dit.
10:33 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ecole : une déchéance publique
Malgré le poids de communistes à la Libération et le plan Langevin-Wallon, l’Education nationale a rempli sa mission d’apprendre aux petits français à lire, écrire et compter. La sélection s’effectuait en douceur et ne choquait personne. Conclusion, on avait au final d’excellents ouvriers, artisans, ingénieurs et les fonctionnaires faisaient leur boulot avec zèle (ils étaient moins nombreux !). Raison pour laquelle la période gaulliste se confond avec les Trente glorieuses. L’effondrement d’après 1968 ne se manifesta pas aussitôt, mais quand Bourdieu mit la main sur le cerveau de nos enseignants, la descente aux enfers commença, l’Education nationale partit en vrille. Pascal Praud, dans le Journal du dimanche, nous conte cette fort belle histoire de ce qui est devenu un naufrage et une fabrique de crétins.
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Source : Journal du dimanche 25/2/2024
10:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 25 février 2024
Crise agricole… les masques tombent, le roi est nu.
Bernard Germain
Hier j’avais terminé mon article peu avant 12 H 30, alors que Macron discutait à l’étage avec quelques dizaines de représentants des différentes structures agricoles tout en m’interrogeant sur le fait de savoir si Macron allait « déambuler » ou pas dans le salon. Sachant que dans le contexte du moment, « déambuler » aurait constitué une énorme provocation vis à vis des agriculteurs.
Le suspense n’a pas duré longtemps. Macron, le président à l’égo surdimensionné est allé « déambuler » comme si de rien n’était, mais nous allons y revenir. Pour l’instant, reprenons le déroulement de cette matinée.
Avant ce débat avec quelques dizaines d’agriculteurs choisis par les organisations professionnelles, il y en avait eu un autre moment des plus instructifs, à propos du « grand débat » qui a fait pschittt. Une question revenait en boucle : « Macron et ses services ont-ils invité ou pas les « soulèvements de la terre », cette organisation « éco-terroriste » dont le gouvernement a demandé la dissolution, refusée finalement par le Conseil d’État ? »
Macron, manifestement hors de lui, a fait aux journaliste tout un numéro pour affirmer que jamais cette organisation n’avait été invitée, ajoutant que cela l’avait mis « dans une colère que vous n’imaginez pas ».
Les journalistes en sont restés pantois, car sur leurs smartphones ils regardaient tous les messages de l’Élysée annonçant l’invitation des soulèvements de la terre, ceux qui, à Sainte-Soline (79), avaient envoyé plus de cinquante gendarmes à l’hôpital et détruit de nombreux véhicules des forces de l’ordre et des installations agricoles.
Les journalistes étaient tous absolument perplexes. Comment peut-on mentir avec un tel aplomb en niant la plus incontestable réalité ?
Hier soir les soulèvements de la terre ont donné le coup de grâce à Macron en confirmant avoir bien été invités au grand débat.
C’est donc officiel, Macron ment comme il respire et sa parole n’est donc pas crédible.
Et ses engagements, sont-ils plus crédibles ?
Pour répondre à cette question, revenons sur la tenue de l’échange à l’étage avec les représentants syndicaux qui a suivi l’incident sur les soulèvement de la terre. On retiendra de ce « mini débat » quelques éléments :
- Macron est arrivé en chemise, manches relevées, comme un homme qui a tombé la veste pour « faire le coup de poing ». Sa posture en disait long sur ce qu’il avait en tête.
- Il s’est adressé à son auditoire de manière incroyablement agressive et avec un vocabulaire indigne d’un président de la république. Exigeant d’un interlocuteur qu’il enlève son tee-shirt (« Paysan sans président ») et « engueulant » vertement ceux qui avaient le malheur de dire ce qu’ils ne voulaient pas entendre (« si vous dites que l’agriculture est morte alors ce n’est pas la peine de perdre notre temps à discuter, on ferme tout de suite le magasin »). Un relationnel ou les interlocuteurs n’étaient que des enfants pour Macron et lui le sachant tirait les oreilles de ceux qui ne comprenaient pas.
- Et puis il a promis, beaucoup promis, en saoulant d’arguments et de chiffres des interlocuteurs peu habitués à cette pratique dans laquelle Macron lui excelle, avec un débit oral impressionnant. Reste qu’il a donné rendez-vous aux agriculteurs dans 3 semaines et affirmé que dès lundi matin dans tous les départements de France la situation des entreprises les plus en difficulté sur le plan financier serait étudiée et des mesures décidées immédiatement pour apporter de la trésorerie à ces exploitations agricoles. Donc dès aujourd’hui et dans trois semaines, les agriculteurs vont savoir à quoi s’en tenir.
Attendre trois semaines, c’est long lorsqu’on est confronté à une situation comme celle d’hier, mais en réalité c’est extrêmement court. Les agriculteurs, qui patientent depuis des années, ne vont pas s’interroger longtemps avant de savoir quoi penser des promesses du président.
22:17 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Rendez-vous mercredi devant le Sénat !
Mercredi, les sénateurs voteront pour ou contre la "liberté d'avorter" dans la Constitution.
La Marche pour la vie se mobilise !
Venez encourager les sénateurs à s'opposer à ce projet de loi inique !
ÉCRIVEZ AUX SÉNATEURS |
21:58 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal du Chaos
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11:52 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 24 février 2024
Marion Maréchal visitera le Salon de l'Agriculture jeudi prochain, 29 février...
16:31 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Crise agricole… d’une clarté aveuglante.
Bernard Germain
Ce matin le salon de l’agriculture devait ouvrir, mais l’ouverture en a été retardée. En effet, à l’intérieur dès l’arrivée du président de la république à 8 H 00, des heurts ont commencé à opposer agriculteurs et forces de l’ordre.
C’est la première fois qu’une telle situation existe avec de sérieux affrontements physiques, tellement les agriculteurs sont exaspérés.
Le président de la république s’est réuni avec les organisations syndicales au deuxième étage du bâtiment et a donné une rapide conférence de presse dans le couloir. C’est dire le caractère électrique de la situation. À l’heure où je rédige ces lignes - 10 H 20 - il n’a toujours pas pu se promener dans le salon où il y a plus de policiers que d’exposants et d’animaux. Personne ne sait ou il se trouve à l’heure actuelle. En bas, un comité d’accueil l’attend…
À la seconde (10 H 30), le salon vient d’ouvrir ses portes au public mais pas le bâtiment 1 où se trouvent policiers, agriculteurs en colère et un président introuvable.
Du jamais vu !
Le plus extraordinaire étant que le président de la république parle depuis des jours, propose et fait semblant d’être aux commandes, mais la réalité est qu’il ne contrôle rien du tout. Tout se décide à Bruxelles. Emmanuel Macron n’est plus qu’un exécutant.
En effet depuis le traité de Maastricht (1992), les pays membres de l’Union européenne, ont accepté de renoncer à une partie de leur souveraineté nationale. Et cette perte de souveraineté qui n’était que partielle en 1992 est aujourd’hui quasi totale.
Malgré tout le baratin que nous délivre le personnel politique singulièrement macroniste, mais pas seulement, c’est que l’agriculture est une « compétence exclusive » de l’Europe. La France sur ce sujet n’a plus son mot à dire. La commission européenne décide de tout et donne chaque année ses directives via les GOPÉ (Grandes orientations des politiques économiques) que la France (comme chaque pays membre de l’UE) doit appliquer scrupuleusement et rendre des comptes à la commission européenne et donc exécuter à la lettre ce que l’Europe veut imposer.
Le résultat de ces évolutions est des plus simples. En 2019, l'INSEE recensait 400 000 agriculteurs et 250 000 ouvriers agricoles en France, représentant un peu plus de 2 % de la population active, alors que leur nombre était évalué à respectivement 1,6 million et 310 000 en 1982. Cette diminution de la part des actifs agricoles dans la population active française est encore plus forte lorsqu'on l’observe depuis 1945, où leur nombre était évalué à 10 millions.
12:23 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Angers : les étudiants décorent la cité du Roi René
10:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ordre, contre-ordre, désordre
Yves Thréard
Quelle semaine éreintante ! Elle aura une nouvelle fois montré qu’il n’est pas simple de suivre Emmanuel Macron dans le labyrinthe de sa pensée.
Le chef de l’État avait affirmé, à l’automne, en rappelant à l’ordre Élisabeth Borne, qu’il ne fallait surtout pas faire du Rassemblement national « l’héritier » du pétainisme. Lundi, dans un entretien à L’Humanité, il a pourtant exclu le RN de l’« arc républicain ». Mercredi soir, à l’occasion de l’entrée de Missak et Mélinée Manouchian au Panthéon, célébrés au nom de la Résistance étrangère, il prononce une ode au communisme, oubliant qu’il fut le cimetière de dizaines de millions de personnes. Puis, en cette fin de semaine, il devait se consacrer au monde paysan, en colère contre les normes et l’écologie punitive. Un débat était prévu ce samedi au Salon de l’agriculture, mais l’Élysée y a invité le collectif des Soulèvements de la Terre, mouvement ultraviolent, qualifié d’« écoterroriste » par le ministre de l’Intérieur, qui voulait le dissoudre. La présidence a eu beau plaider l’erreur, le mal était fait : les agriculteurs sont furieux. Même le ministre Marc Fesneau n’a pas compris cette invitation « inopportune ». Le grand débat a finalement viré à la débâcle. Gare au pugilat dans «la plus grande ferme du monde » !
On sait Emmanuel Macron volontiers joueur, provocateur, disrupteur. Mais ces penchants n’empêchent pas la cohérence. Certes, depuis l’épisode des « gilets jaunes », il va de crise en crise, dont il ne porte pas toujours seul la responsabilité. Pour mieux se poser en arbitre, cherche-t-il, dans une option un tantinet cynique, à faire monter les extrêmes? Ou, plus prosaïquement, tâtonne-t-il ? Celui qui reprochait à François Hollande de présider en zigzags ressemble chaque jour davantage à son prédécesseur. Ordre, contre-ordre, désordre, telle est l’image que donne de plus en plus sa politique.
Les agriculteurs, eux, ont une raison supplémentaire d’être révoltés. Au lieu de mettre la lumière sur leurs problèmes, les feux de l’actualité s’arrêtent sur une polémique qui n’avait pas lieu d’être...
Source : Le Figaro 24/2/2024
09:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 23 février 2024
De reporters à imposteurs sans frontières
La chronique de Philippe Randa
L’actualité réserve fréquemment des surprises… tout comme se vérifie souvent cette maxime vieille comme l’Antiquité que « Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre. »
Perdre ou ridiculiser : la preuve par l’explosion en plein vol médiatique de l’association Reporters sans frontières (RSF) et de son secrétaire général Christophe Deloire.
Quelle vilain parasite a donc piqué les dirigeants de cette association (co-fondée voilà des décennies par l’actuel maire de Béziers Robert Ménard) pour exiger en avril 2022 une mise en demeure de la chaîne CNews par l’Arcom, accusant celle-ci de « préférer le commentaire à la neutralité » ? Ce, sans sans s’inquiéter de vérifier si ce n’est pas aussi le cas des autres chaînes de télévision, BFMTV et France info pour ne citer que les plus emblématiques.
L’Arcom ayant alors attesté que Cnews respectait parfaitement les obligations qui lui étaient imposées, RSF a alors saisi le Conseil d’État pour « excès de pouvoir » afin qu’elle reprenne l’offensive contre la chaine d’information en continu… ce qui a aussitôt « réveillé » les chaînes concurrentes qui s’inquiètent brusquement qu’elles puissent être dans le futur, elles aussi, et pour cause !, à leurs tours inquiétées pour les mêmes motifs.
« En ce qui concerne Cnews, c’est presque le plus facile, tout le monde est d’accord », s’est angoissé le journaliste Cyril Lacarrière sur France inter ; angoissé, mais ne réalisant nullement l’intolérance quasi-inquisitoriale des mots– « Tout le monde est d’accord » – qu’il emploie sans honte aucune. Ou toute honte bue, à l’exemple de tous les autres médias de grands chemins, comme les surnomme assez justement l’Observatoire du journalisme (OJIM), dirigé par Claude Chollet.
Cyril Lacarrière ajoute encore avec une lucidité tout autant apeurée : « Cette décision finira par se retourner contre tous les médias. »
Mais plus qu’une lueur de lucidité – tout arrive ! – n’est-ce pas surtout un cri du cœur… ou du portefeuille, l’un étant souvent proche de l’autre chez les éternels donneurs de leçons.
En tout cas, ce n’est pas la prestation télévisuelle de Christophe Deloire, invité le 14 février dans l’émission de Pascal Praud sur Cnews, qui mettra du baume au cœur à tous les imposteurs de la liberté d’expression…
Il s’attendait visiblement à pérorer sans contradiction aucune, convaincu d’être un preux chevalier défenseur de « la » Vérité et plus encore de « la » Liberté. Mal lui en pris… et le téléspectateur attend encore un début de semblant de commencement d’argumentation de l’intéressé, voire de défense de RSF ou encore de justification de la folle accusation auprès du Conseil d’État.
Sa sidération d’être malmené était visible. Elle l’empêcha de répliquer même symboliquement à ses détracteurs, dont Robert Ménard qui lui a fait part de sa honte de voir ce qu’était devenu Reporters sans frontières, foulant aux pieds les principes de liberté d’expression qui étaient les raisons de sa création, comme il n’a pas manqué de le rappeler sur C8 dans l’émission de Cyril Hanouna TPMP : « L’objectif n’était pas de choisir les bons et les méchants journalistes. Ce n’était pas de se mobiliser pour les uns ou les autres, c’était juste se mobiliser quand un type est en prison ou pris en otage (…) Je n’ai jamais demandé aux gens que je sortais de prison ce qu’ils pensaient. […] Je ne me disais pas qu’ils sont de droite, de gauche ou qu’ils pensent ceci ou cela. »
Mais que RSF ait renié ses fondamentaux est-il finalement le plus odieux de sa démarche ? À bien y réfléchir, c’est surtout qu’il le fasse au nom de la liberté d’expression.
Songeons aux bolcheviques à la tête de l’URSS ou aux nationaux-socialistes à celle du IIIe Reich allemand : ces régimes au parti unique interdisaient à leurs adversaires toute possibilité d’expression. Ils imposaient, l’un et l’autre, leurs seules pensées au nom de leur idéologie qu’ils considéraient comme la meilleure pour leur peuple, mais ils ne l’imposaient nullement au nom de la liberté d’expression. Ça ne leur serait même pas venu à l’idée !
Quoi que l’on pense ces régimes, de leurs buts, de leurs réalisations ou de leurs crimes, reconnaissons-leur pour le moins cette décence.
Une décence que n’ont pas les imposteurs sans frontières !
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23:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'AUDIENCE D'EXTRADITION DE JULIEN ASSANGE - INTERVIEW DE STELLA ASSANGE PAR TUCKER CARLSON
15:26 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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