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mardi, 02 janvier 2024

Sortir de l’Eurogoulag par l’insoumission et le refus des diktats de l’UE. Face à l’Eurogoulag une prise de conscience ?

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André Posokhow

En quelques mois, c’est dans la précipitation et la panique face à une possible déroute de l’atlantisme que les dirigeants non élus de l’Union européenne pour qui la constitution du fédéralisme européen c’est maintenant ou jamais, ont procédé à un coup d’état contre les Etats-nations. Visiblement ils n’ont pas l’intention de demander leur avis aux peuples européens. Nous nous trouvons dans un processus de création d’un État européen qui fera l’objet d’un élargissement à dix nouveaux pays dont l’Ukraine. Cet Etat deviendra un OTAN bis dédié en priorité aux conflits avec la Russie et est appelé à prendre en main l’organisation et la gestion des migrations à la place des Etats.

Appartenir à cet Eurogoulag, né d’une escroquerie idéologique, quasi totalitaire, corrompu, ouvert aux invasions et vassalisé par l’atlantisme ne peut n’être ressenti que comme humiliant et déshonorant d’une manière intolérable par les citoyens européens lucides.

Une prise de conscience existe chez les peuples européens. Elle semble aujourd’hui encore minoritaire Elle se traduit cependant par l’existence et la présence politique de partis attachés au concept d’Etat-nation, plus ou moins hostiles à l’invasion migratoire et à la dissolution de leur pays dans le magma européiste et mondialiste.

Beaucoup clament qu’il faut sortir de l’Union européenne et qu’il s’agit d’une une question de vie ou de mort . C’est le titre du livre d’Alain Falento. Certains, comme François Asselineau, appellent à un Frexit que mènerait un gouvernement attentif aux intérêts de la France et des Français et soucieux de notre indépendance et de notre souveraineté.

Une sortie de l’Union européenne par le Frexit ?

Les objectifs d’un Frexit.

Comme le plaide Asselineau, le Frexit devrait être lancé et se dérouler en application des traités qui ont créé l’Union européenne dans son état actuel et en priorité de l’article 50 du TFUE qui prévoit un mécanisme de retrait volontaire et unilatéral d'un pays de l’UE. Celui-ci doit notifier au Conseil européen son intention de le faire.

Quels pourraient être les grands objectifs ?

Refuser notre vassalisation et reprendre possession de notre destin afin d’éviter , comme aujourd’hui, d’être engagé dans des conflits qui ne nous concernent pas et de garder le contrôle de l’immigration dans notre pays ;

Retrouver les attributs de l’Etat-Nation :

• l’indépendance ;

• la souveraineté (en regrettant que ce mot ait été pollué et déconsidéré par le jacobinisme de certains), juridique, monétaire, militaire, diplomatique ;

• réaffirmer les principes républicains du suffrage universel, de la démocratie et de l’intangibilité des libertés fondamentales.

• récupérer notre souveraineté énergétique, industrielle, économique et financière.

Un Frexit réussi devrait être accompagné de l’abandon de la monnaie commune, l’euro. Il en irait de même d’une sortie de la Cour Européenne des Droits de l’Homme fortement infiltrée et noyautée par l’organisation Soros. A terme, la France devrait quitter l’OTAN, organisation à but défensif qui aurait dû s’autodissoudre lors de la fin de l’empire soviétique.

Les obstacles à un Frexit.

Les obstacles à un Frexit apparaissent cependant nombreux et contraignants :

Politiques tout d’abord,

• la puissance de l’oligarchie financière mondialiste capable d’imposer par un coup d’Etat médiatico-judiciaire un candidat quasi-inconnu et sans bilan économique et politique , à la présidence d’une grande nation occidentale ;

• l’infiltration et la présence étendue dans les rouages politiques français des complices du mondialisme et du « deep state » américain ;

• a force militante de la plupart des médias occidentaux qui écrase les opinions dissidentes ;

• les ruines encore debout de l’espoir européen ;

• la frilosité d’une partie importante des populations âgées soucieuse de ses économies et guère tentée par ce qui lui apparaitrait comme une aventure incertaine représente un argument fort contre le Frexit. Asselineau reproche vivement, parfois avec excès, à ses concurrents, notamment Zemmour, leur refus du Frexit. Mais serait-il raisonnable , face aux réalités de cet électorat de s’exposer à un échec qui serait funeste pour la cause de la sortie de l’Union européenne ? Même si aujourd’hui , il constate de plus en plus la présence de personnes plus âgées qu’auparavant à ses réunions, lancer un Frexit à l’heure actuelle aboutirait probablement à une impasse ;

• les difficultés techniques et la lenteur forcée d’une sortie. Nous le voyons bien avec le Brexit. Il aura fallu beaucoup de temps au Royaume uni pour le faire voter et les réalités économiques et juridiques ont pesé et pèsent toujours sur la sortie effective de l’Union européenne. Or l’Angleterre ne s’est pas heurtée au problème de la sortie de l’euro ce qui pourrait être le lot de la France. Un Frexit pur et simple exigerait des années d’effort. Or il y a urgence .

Bernard Monot qui est profondément hostile à ce qu’est devenue l’Union européenne a cependant écrit dans son livre « l’Eurovision pour les peuples » qu’un Frexit se traduirait pour la France par une déstabilisation politique et économique et, à terme, par un chaos social plus grand encore que celui engendré par l’application des politiques de l’UE. C’est la raison pour laquelle au vu des difficultés inextricables du Brexit il choisit l’option inverse : faire un « Bruxit » plutôt qu’un Frexit, c’est-à-dire de retirer le fédéralisme bruxellois de l’UE pour reconstruire une « Europe des patries », fondée sur des projets et des coopérations.

Mais pour le réaliser il faudrait un gouvernement attentif aux intérêts et au destin de la France. Ce n’est pas le cas.

A court terme la solution devrait passer par l’insoumission et la dissidence.

Objectifs et démarches.

L’objectif serait de contester et délégitimer la gouvernance bruxelloise sur des sujets primordiaux comme mineurs et de déstabiliser voire de dérégler la machine bureaucratique de cette Tour de Babel bruxelloise par des dénonciations des dérives de l’UE et de ses dirigeants et des refus d’obéissance aux diktats de sa bureaucratie. Par exemple :

• la corruption qui règne à la tête de l’UE, en particulier celle de la présidente de la commission : Frau Von der Leyen qui n’a toujours pas communiqué ses mails concernant les contrats Pfizer, peu de pays tapant du poing sur la table, malgré les efforts admirables de Sylvie Joron. Sans parler des valises de billets qu’on trouve sous les lits de responsables ;

• l’exercice d’un pouvoir illégitime et non conforme aux traités et aux règles de l’union par la même Frau Von der Leyen, non élue, qui, en particulier, en bonne bochesse, nous pousse à la guerre avec la Russie ;

• ce sont des opportunités qui sont de nature, sous condition d’être saisies avec vigueur et éloquence comme le fit Farage, à faire sentir aux eurocrates leur absence de légitimité et leurs responsabilités dans ce qu’est devenue l’Union européenne.

Notre pays devrait reprendre la main sur la législation et la réglementation, notamment en matière économique :

maintenir contre la Commission, comme la Hongrie et la Pologne, des lois et des réformes conformes à l’intérêt national et aux traditions du pays, même si elles ne cadrent pas avec l’idéologie européiste ;

• refuser des directives conformes à l’idéologie européiste et mondialiste, contraires à l’intérêt national et qui détruisent notre industrie et notre agriculture;

• prendre des mesures de protection du patrimoine industriel, foncier et artistique de notre pays par une procédure d’autorisations qui a existé (Notamment celles du Trésor) et par des nationalisations temporaires ;

• créer l’équivalent du «  small business act» américain ;

• refuser la logique des travailleurs détachés dont les cotisations salariales et patronales devraient être celles du pays d’accueil et non du pays d’origine.

Refuser l’invasion migratoire et les quotas de clandestins comme le fait la Hongrie, restaurer des protections aux frontières et adapter Schengen à nos urgences.

Annuler progressivement nos sanctions à l’égard de la Russie qui nous ruinent.

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"La France qu'on aime", un petit livre sympathique de Franck Nicolle édité par l'Atelier Fol'fer

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Itinéraires, anecdotes, recettes identitaires & bonnes adresses…

L’immense mérite de Franck Nicolle, dont la culture encyclopédique égale la bonne humeur contagieuse, est de se placer dans le temps long, de rappeler la longue mémoire de nos provinces, de l’Alsace au Comtat Venaissin et de les ancrer dans l’Histoire avec un grand H qui, presque autant que la terre nourricière et les produits du cru, modèle les goûts et donc les gastronomies locales.

Visiter La France qu’on aime, titre ne devant rien au hasard, c’est donc goûter, voire s’initier car ce livre foisonnant abonde en recettes, aux cuisines des près de quarante « pays » qui ont fait la France. Mais aussi rencontrer le petit peuple ou les grands hommes – ceux-ci rarement fréquentables selon les critères du Politiquement Correct – de ces terroirs dont certains ont subi tant de vicissitudes. Et enfin, car notre auteur est un fin lettré des plus éclectiques, faire une jolie promenade littéraire, où l’on rencontre au hasard des pages Alexandre Dumas et Marcel Amont, Robert Brasillach et Georges Brassens, Kleber Haedens et Louis de Funès ou Léon Daudet et Antoine Blondin.

Personnages qui avaient peu de points communs sinon un amour charnel de « Madame la France ».

Camille Galic

L'auteur : Chasseur un jour, chasseur toujours, sociologue de formation, mais cuisinier amateur au premier sens du terme et chef de cuisine, récompensé par le guide Michelin, le Gault & Millau, Le Routard, le Collège Culinaire de France… Il a effectué tel un compagnon passant du devoir, son tour de France gourmand et déclare : « En France, je suis partout chez moi ! »

La France qu'on aime, Franck Nicolle, préface de Camille Galic, Atelier Fol'fer, 172 pages, 21,00 € (+6,00 € de port).

Pour le commander cliquez ici

12:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 6 janvier, à Paris :

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samedi, 30 décembre 2023

2024 : COURAGE, PERSÉVÉRANCE ET AUDACE...

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Dimanche 7 janvier 2024, en Vendée : la Galette des Rois du Rassemblement vendéen

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Pour bien commencer cette année 2024, à l’occasion de l’épiphanie et de la galette des Rois, le Rassemblement Vendéen vous invite cordialement à venir partager un moment de convivialité.
 
Dans le respect des traditions, ce sera l’opportunité d’échanger nos vœux dans une ambiance de détente, de bonne humeur et d'animation musicale en savourant les « galettes vendéennes » autour du verre de l’amitié.
 
Venez nous retrouver sur le stand Synthèse éditions.

vendredi, 29 décembre 2023

Paris : conférence sur l'écrivain Pierre Gripari le jeudi 4 janvier 2024 à la Nouvelle Librairie

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16:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tours : vendredi 12 janvier, conférence de Sylvain Roussillon sur le nationalisme irlandais

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16:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 décembre 2023

42e PÈLERINAGE DE PENTECÔTE 18, 19 et 20 mai 2024 "Je veux voir Dieu"

Le thème du pèlerinage de Pentecôte 2024, « Je veux voir Dieu », va nous faire réfléchir sur les Fins dernières. L’abandon, depuis les années 1960, de la prédication sur les fins dernières est incontestablement l’un des symptômes majeurs de la crise de la Foi. Il s’agit donc de revenir à la mission de l’Évangile : enseigner Jésus-Christ, et tout Jésus-Christ. C’est la plus grande des charités. Parler des fins dernières, c'est pratiquer une pastorale de la vérité.

La fin dernière n’est pas le baisser de rideau. La fin, c’est le bien absolu, c’est ce qui attire et oriente tout. La fin dernière, c’est Dieu. Cette fin donne tout son enjeu, toute son importance et sa beauté à la vie humaine. Nous sommes des pèlerins : notre patrie se trouve dans les cieux. Seule la pensée de la vie éternelle donne du sens à nos combats terrestres.

Rendez-vous les 18, 19 et 20 mai 2024 sur les routes de Chartres pour méditer sur les fins dernières. Et dès maintenant, formez-vous sur ce thème !

Abbé Jean de Massia Aumônier général NDC

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Samedi 13 janvier 2024 : Paris honore Sainte Geneviève

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mercredi, 27 décembre 2023

La France du silence

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Jacques-Olivier Martin

On les a aperçus avec leurs gilets jaunes posés sur le tableau de bord de leur voiture, on les en- tend autour de la dinde de Noël, lorsque les familles venues de partout décrivent leur vie quotidienne, loin des hôpitaux, des métros ou des lycées. Il faut écouter ces ruraux raconter comment le voisin agriculteur s’est organisé pour conduire les enfants des fermes isolées au collège de la sous-préfecture ou que le dernier médecin parti en retraite a repris un peu de service, faute de remplaçant. Et puis il y a le centre de loisirs qui ne trouve plus d’animateurs, l’installation de la fibre repoussée aux calendes grecques... La désertification des territoires n’est pas nouvelle, et les habitants de nos bourgades ont appris à se débrouiller avec moins de services publics, plus d’isolement et désormais une pénurie de candidats pour remplacer l’autocariste ou la cantinière... À la campagne, la solidarité, le système D et l’entraide font partie du quotidien. Le maire et ses adjoints sont toujours disponibles, prêts à donner un coup de main.

Cette vie, beaucoup ne la quitteraient pour rien au monde. Mais, dans le même temps, ce délitement des services de proximité attise le sentiment d’abandon, nourrit le rejet grandissant à l’encontre des grandes villes, et plus encore de Paris. Après tout, les isolés ne paient-ils pas autant d’impôts et de taxes que les autres ? Et pourquoi les dépenses publiques, qui ne cessent de flamber depuis des décennies, n’atteignent plus les rives de nos campagnes et ne permettent pas de donner de l’attractivité pour faire revenir un fils, une fille, un couple pour reprendre la ferme, l’épicerie ou le café ?

À l’heure où les débats sur l’immigration, la préférence nationale ou l’intégration enflamment l’Assemblée nationale et agitent la capitale, n’oublions pas la France du silence, de nos clochers, de nos terroirs, des petits bassins industriels... Elle réclame peu de choses, une puissance publique qui ne néglige pas ses devoirs, ni ne sacrifie ses territoires, et surtout des bras pour continuer à faire vivre nos bourgs et nos campagnes !

Source : Le Figaro 27/12/2023

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Le coup d’œil de Philippe Randa : La réjouissante déroute des faiseurs de morale !

randa-e1679415716764-300x440.jpegLa chronique

de Philippe Randa

Le magnifique Conte de Noël raconté par Philippe de Villiers sur CNews, enthousiasma plus de 583 000 téléspectateurs – selon les chiffres de Médiamétrie –, avant de devenir aussitôt « viral » sur internet (vu plus de 900 000 fois sur les réseaux sociaux)…

Au-delà du succès d’audience, la réaction haineuse du journaliste Jean-Michel Aphatie est particulièrement révélatrice de la déroute politique des auto-proclamés détenteur de la vérité : ces journalistes mainstream qui ont régné des décennies durant sur les médias français.

L’intéressé a en effet laissé exploser sa rancœur via un tweet qui a dû mettre mal à l’aise plus d’un lecteur : « Tout y est : la musique comme une mélasse, la niaiserie en couches épaisses, peut-être le sourire en coin de Geoffroy Le Jeune qui semble dire : “il ose tout”, enfin l’autosatisfaction régressive de Philippe de Villiers retourné au XIIe siècle. Joyeux Noël »… propos qui lui attirèrent cette réponse d’Eliot Deval, animateur de « l’heure des pros » sur Cnews le 25 décembre : « Cette séquence vous a touchés. Des milliers de messages inondent la toile. Mais c’était sans compter l’aigreur d’un homme, le pape de la bien-pensance qui voit son trône idéologique vaciller », avant d’enfoncer le clou : « Jean-Michel Aphatie enrage, déchaine ses passions tristes. Il a mené la danse des interviews politiques. Aujourd’hui, ses idées sonnent faux et, quand il attaque, il vise à côté (…) Aphatie n’est plus grand chose et, en même temps, tout ce que les Français ne supportent plus : les donneurs de leçons, les faiseurs d’une morale qui ne trouve plus le moindre écho, si ce n’est sur le boulevard Saint-Germain»

Tout est dit…

Le « dernier » (pour l’heure) scandale médiatique en date de cette fin d’année 2023 est donc particulièrement réjouissant, n’en déplaise à tous ceux qu’on entend souvent dire, avec une insistance quelque peu désespérée, que « tout est foutu »…

De même, le quotidien Libération témoigne que « dépassée pour la première fois par le canal 16 de Vincent Bolloré sur une période d’une semaine début décembre, la chaîne du groupe Altice imite sa concurrente et invite toujours plus de polémistes identitaires pour tenter de regagner des téléspectateurs. En interne, les journalistes font part de leur inquiétude face à une direction embarrassée (…) La participation de Thais d’Escufon à des débuts sur BFMTV n’est en effet que la plus récente des invitations de figures de l’extrême droite identitaire par la chaine d’information, Il y eut ainsi Laurent Obertone, essayiste de l’ensauvagement, connu pour son best-seller La France orange mécanique, et convié fin novembre pour évoquer le drame de Crépol. Il y eut aussi Juliette Briens, chroniqueuse sur Radio Courtoisie et collaboratrice au magazine zemmouriste L’Incorrect (le théoricien du grand remplacement Renaud Camus est en couverture du dernier numéro), intervenante régulière (et rémunérée) sur les plateaux de la chaine d’info. On peut aussi citer Olivier Vial, participant assez assidu de l’émission 22h Mas, simplement catégorisé comme directeur du Ceru, laboratoire d’idées universitaires, alors qu’il a surtout été, et pendant longtemps, le président de l’UNI, le très droitier syndicat étudiant (…) »

Sans doute, parmi les lecteurs qui lisent ce « coup d’œil » en est-il beaucoup, voire une majorité, qui le pense : le présent est moche, mais l’avenir sera désespérant…

Prenons le risque de les contredire, preuves ci-dessus à l’appui et affirmons plus que jamais que l’avenir ne sera pas forcément aussi triste que cela en rappelant, encore et toujours, la célèbre phrase de Charles Maurras : « Le désespoir en politique est une sottise absolue… »

Enfin, peut-être que si, finalement, mais pour tous ceux qui ont œuvré, des décennies durant, à favoriser la submersion migratoire et la mondialisation économique, tous ceux qui abhorent la culture française et la civilisation européenne.

Ont-ils tant de raison que cela de se réjouir de notre présent et n’ont-ils pas encore plus à craindre de l’avenir ?

Et puis, vous savez quoi ? Allez, tiens… Joyeux Noël !

Lire aussi dans Le Nouveau Présent cliquez là

10:15 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cinéma : Le monde d’après III

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Charles-Henri d'Elloy

Le « Monde d’après III » du réalisateur Laurent Firod, est un film qui fait du bien parce qu’il concentre une grande quantité d’absurdités irritantes contemporaines et qu’il les tourne en dérision.  Mélangeant humour et gravité, Laurent Firod, avec sa bande d’acteurs aussi vrai que dans la réalité, nous entraîne avec talent, au travers de scènes déroutantes dans un univers devenant de plus en plus invivable mais qui est hélas devenu le nôtre !

Le film politiquement très incorrect se donne à l’Espace Saint-Michel dans le cinquième arrondissement de Paris.

En savoir plus cliquez ici

mardi, 26 décembre 2023

Patrick Buisson est décédé aux Sables d’Olonne : l’hommage de ses proches

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Au lendemain de la Nativité, la France perd l’un de ses penseurs les plus éminents. Tout au long de son existence, l’auteur de La Cause du Peuple a mobilisé ses immenses talents au service d’une action politique fondée sur un patrimoine intellectuel incandescent. 

Homme de lettres et d’action, Patrick Buisson n’a jamais reculé devant les défis de son époque, offrant à ses contemporains une leçon de courage contre tous les tremblements de son siècle. Au rebours de ceux qui veulent brader un héritage qui irrigua toute son existence, le sage de Vendée porta la conviction que la droite française n’avait pas d’autre ambition estimable que celle d’être la patrie de l’intelligence. Souvent déçu, jamais abattu, Buisson aura conseillé certaines des personnalités publiques qui façonnent notre époque.

Nous ne pouvons qu’espérer ardemment que son héritage soit fécond et invitons tous ceux qui connurent sa personne comme son œuvre à s’incliner devant la mémoire d’un phare de notre époque. Puissent les prières monter pour le Salut de son âme et ses héritiers agir pour celui de notre pays.

Dans ces heures douloureuses, nous appelons chacun à témoigner pudiquement des trésors que recela une vie qui ne fut pas dénuée de fracas.

Patrick Buisson, présent !

Alexis Chevalier, fondateur du Pélican noir,

Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient,

François Bousquet, rédacteur en chef d’« Éléments »

 

Source Eléments cliquez ici

Lire aussi Polémia cliquez là

NDLR SN : Tout est dit, rien à rajouter. C'est une perte pour la droite de conviction. Qu'il repose en paix.

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Le cocard du coco Mondange : un nouveau bobard contre “l’extrême droite”

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Martin Molsan Riposte laïque cliquez ici

Si on en croit les gros titres de la presse républicaine, le maire d’une commune de l’Isère a été attaqué par des gens se "prétendant nationalistes" et tenant des propos "racistes". cliquez ici

Comme aurait dit Brassens, "la seule chose un peu sincère dans cette histoire de faussaire", c’est le beau cocard que porte le nommé Mondange après que des individus lui auraient demandé ce que signifiait la cocarde au revers de son veston. Tout le reste est flou et sent le narratif inventé de toute pièce, vraisemblablement pour habiller une embrouille qui a mal tourné. Autrefois au rugby quand tu ne savais plus quoi faire, tu tapais en touche, aujourd’hui à gauche quand tu t’es pris une tête au carré, tu balances la double accusation de racisme et de fachisme, le double effet censé marcher à tous les coups.

"Se prétendant". Déjà, dès les gros titres dans la presse, le ton est donné et tout le monde en reste à une sorte de conditionnel suggéré. D’ailleurs, si la presse main-stream a relayé, c’est finalement avec pas mal de distance et de doutes à peine voilés, en tout cas pas avec le buzz qu’aurait dû susciter l’attaque d’un maire de gauche par des fachos sur un motif raciste.

De leur côté, le pouvoir et les officiels en sont restés au service minimum.

Prudent, le préfet de l’Isère reste dans le vague. Pas de reprise ni du caractère raciste, ni de la revendication par de prétendus identitaires. On me permettra de penser que connaissant l’oiseau, il aura jugé préférable de rester à distance par rapport au narratif de l’édifiant édile.

Plus laconique que le tweet de la préfecture de l’Isère, on n’a jamais vu : "Le préfet Louis Laugier condamne avec fermeté l’agression d’André Mondange, maire de Péage-de-Roussillon. Il apporte tout son soutien au maire et ses proches devant cette épreuve, face à cet acte inacceptable." Cliquez ici

Cécile Helle, maire d’Avignon (PS) également sur le reculoir. « Je vais rentrer en contact avec lui pour lui exprimer le soutien de la Ville, voir comment on peut l’accompagner, lui témoigner ma solidarité. C’est un acte intolérable, qui touche un élu de la République. Si en plus, il a été agressé parce qu’il était maire, c’est quelque chose de condamnable. »

Là non plus, aucune référence ni au caractère raciste ni aux prétendus auteurs. Pire, le ”si en plus” de la dernière phrase exprime clairement le doute sur les motivations de l’agression et sur la véracité du récit. Prudente l’élue de gauche qui a dû se renseigner sur le lascar, se tient à bonne distance. Serait-il un peu mytho ? En bon coco-CGT, serait-il un habitué des coups tordus ? Sa réputation serait-elle établie dans le milieu, au point que tout le monde se tienne sur la réserve ?

Yannick Neuder, député (LR) de la 8e circonscription de l’Isère. « Cette agression est révoltante et s’inscrit dans un contexte toujours plus inquiétant d’atteintes verbales et physiques ciblées sur nos élus, notamment maires. André a aussi été ciblé, lui et sa famille, avec un motif raciste. Il va bien, mais il est affecté pour sa famille. Personne ne devrait avoir à vivre ça devant ses proches. Ses agresseurs doivent être traduits devant les tribunaux. »

Petite insuffisance personnelle, comme il est de droite et donc entaché par le péché originel, il s’est senti obligé de reprendre l’accusation de racisme tellement porteuse, tellement républicaine et surtout tellement libératoire. Le conformisme et la lâcheté de ces élus de droite sont à gerber. Un LR qui défend un coco, ça sent aussi la fraternelle tripodique.

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00:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 décembre 2023

BON NOËL

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12:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les voeux de Noël de Marion Maréchal

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12:44 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villiers raconte magnifiquement Noël

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12:25 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 décembre 2023

Journal du chaos

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02:10 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 22 décembre 2023

Martin Peltier : le procès Tintin

Après 1968, Tintin, tranquille héros de bande dessinée, fut découvert par les cuistres. Depuis, lui-même, ses amis, son chien, sont l’objet de théories farfelues et d’un procès permanent de leurs mœurs et opinions – en particulier politiques.

Il faut dire que leur père à tous, Georges Rémi dit Hergé, a eu le malheur de commencer sa carrière dans un journal catholique avec pour mentor un abbé d’Action française et pour copain un journaliste qui allait devenir le plus turbulent des politiciens belges. Lui-même dut travailler pour vivre sous l’Occupation, fit un jour de prison à la Libération et connut quelques mois d’exclusion.

Hergé fut-il collabo, et quel sens donner au mot ? Son monde est-il un monde sans femmes, pire, un monde sexiste ? Un monde fasciste ? Tintin, boit-il, fume-t-il, ruine-t-il l’environnement ? Qui est-il en fin de compte ? Le plus simple était de le lui demander, et à Milou. Mais comme ils n’ont pas eu le droit de nous répondre, nous sommes allés chercher leurs avatars dans un métavers parallèle, Pimpin et Bilou. Ils ont scruté pour nous les 23 albums signés Hergé, des Soviets aux Picaros.

Reporter comme Tintin, Martin Peltier a fait une longue carrière dans la presse. Classé hors système par conformisme, il y est resté, par paresse ou par fierté. Auteur d’une quinzaine d’essais, biographies et romans, il traite ici, enfin, un sujet qu’il connaît.

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16:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Le Parti de la France apporte son soutien à Thaïs d'Escufon,

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Thomas Joly, président du Parti de la France :

Le Parti de la France apporte son soutien à Thaïs d'Escufon, poursuivie par la DILCRAH, officine anti-française, pour avoir déclaré le 18 décembre dernier, sur le plateau de la chaîne gouvernementale BFMTV, cette évidence : « Le principal danger pour les femmes, ce sont les hommes immigrés, africains, noirs et arabes ! »

Alors qu'elle devrait être massivement soutenue par l'ensemble de celles qui se disent féministes, celles-ci sont évidemment muettes et même furieuses qu'une femme ait osé dire publiquement que les prédateurs extra-européens étaient le plus grand fléau pour les femmes dans notre pays.

Le Parti de la France est favorable au rétablissement de la liberté d'expression, dans tous les domaines, n'en déplaise aux censeurs politiques.

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RAPPEL : il reste quelques jours, participez à la souscription patriotique de Synthèse nationale...

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Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale

Quelle année compliquée que celle que nous venons de passer… Après les « tracasseries » dues aux contraintes sanitaires qui nous avaient amenés à renoncer, en 2020 et 2021, à la tenue de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge annuels, nous pensions, que tout cela était derrière nous. C’était sous-estimer la capacité de nuisance du pouvoir macronien et de son ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui, jusqu’à ces dernières semaines, s’évertuaient à vouloir éradiquer les forces nationales et identitaires.

Entre mai et septembre, on ne compte plus les réunions, manifestations et colloques nationalistes qui ont été interdits. En septembre, Darmanin passe au braquet supérieur et annonce la dissolution, sans raison sérieuse, de Civitas. D’autres organisations, nous le savons, sont aussi inscrites dans son plan liberticide…. Voilà pourquoi, par prudence et la rage au cœur, nous avons renoncé à nos BBR 2023.

Arrive le 7 octobre, jour du massacre provoqué en Israël par les islamistes du Hamas. En quelques heures, la classe politico-médiatique semble découvrir que l’eau est mouillée et que le principal danger qui menace ne s’appelle pas « l’extrême droite » mais plutôt l’islamo-gauchisme. Vous nous direz qu’il n’est jamais trop tard pour ouvrir les yeux… Certes !

Quoiqu’il en soit, nous pensons que les événements qui se déroulent actuellement en Ukraine, au Proche-Orient, ou, ne l’oublions pas, en Arménie, sont les prémices d’une crise beaucoup plus grave dans laquelle nous entraine la folie guerrière des mondialistes. Ils ne supportent pas de voir leur hégémonie sur la planète remise en cause par un nombre croissant de nations qui veulent retrouver leur liberté.

Dans ce contexte, la France doit retrouver sa souveraineté et son identité. C’est là le sens du combat que nous menons depuis bientôt 18 ans à Synthèse nationale. Il est en effet plus que temps que les forces conscientes de notre pays laissent leur orgueil au vestiaire et se mettent à tirer dans le même sens. Pour faire passer dans notre camp cette idée, nous avons besoin de votre aide à tous. Chaque année, nous élargissons notre audience, mais il reste encore beaucoup à faire pour imposer « l’esprit de synthèse » dont la droite de conviction a tant besoin. Tout cela a aussi un prix. Voilà pourquoi, une fois de plus, nous faisons appel, à travers notre souscription patriotique 2023, à votre contribution militante à tous.

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Tout d’abord, bien sûr, en vous engageant dans l’une ou l’autre des formations, partis, associations ou mouvements, qui se battent, comme nous, pour notre nation et pour notre civilisation. Vous pouvez aussi le faire en aidant Synthèse nationale, pôle de rencontre et de réunion des différents courants qui font la richesse de notre famille d’idées :

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= en contribuant à notre souscription patriotique 2023 qui nous permet d’amplifier notre combat, vous pouvez aussi faire un don en cliquant ici (colonne de droite)...

Nous vous remercions par avance pour votre soutien et pour votre fidélité militante.

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La cabale des dévots contre Gérard Depardieu

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Éric Delcroix

La grande presse crie haro sur Gérard Depardieu, qui serait coupable d’avoir tenu des propos grossiers et vulgaires contre les femmes, occasion pour quelque fouille-merde et pour les perroquets l’ayant relayé à l’envi, d’exprimer un goût pervers pour la délation. Délation devenue, il est vrai, vertu républicaine depuis que des lois (Pleven, Fabius-Gayssot et Perben II) l’ont institutionnalisée, à partir de 1972. Cette nouvelle cabale des dévots justifie que l’on prenne la défense de l’acteur. Question de mesure, question de principe.

Vie privée et mauvais goût

Tels que les faits transparaissent à travers leur couverture médiatique, il apparaît que Gérard Depardieu aurait tenu, en privé mais sous l’œil indiscret d’une caméra, voire d’un simple téléphone portable, des propos vulgaires à l’encontre des femmes. Propos évidemment grossiers et détestables, mais comme on peut certainement en entendre  dans des salles de garde, ou proférés par des adolescents boutonneux dans une cour de récréation de collège. La vidéo indiscrète, en de telles circonstances, nous rappelle à point nommé qu’Orwell et son 1984 sont dépassés à l’ère du numérique : de nos jours l’État n’a même plus besoin de nous espionner, l’usage compulsif des smartphones permettant en continu des dénonciations mutuelles fréquentes et inopinées des faits et gestes les plus incongrus de tout-un-chacun.

Mais, il est malheureusement vrai, que les lois et la jurisprudence, en rupture avec le legs positif des Lumières (1), tendent à rétablir l’inquisition des consciences et à nous sommer de justifier de nos intentions subjectives, arrière-pensées ou fantasmes.

Mais les esprits de plus en plus dévoyés évoluent fâcheusement dans le même sens, celui du nouvel ordre moral venu d’Amérique. Le scandale n’est plus arrêté par la sphère de la vie privée, laquelle pourtant n’est sans aspérités et débordements que dans les discours des tartuffes, ces dévots que moquait Molière… Saperlipopette, seule la Vierge a été conçue sans péché, non ?

La lâcheté des dévots à l’heure du wokisme

Comme dans l’air de la calomnie du Barbier de Séville, où « le pauvre diable est menacé comme un coupable », aujourd’hui, par le fait, le pauvre diable s’appelle Depardieu à qui l’on reproche de ne pas être un saint ! Envieux, jaloux et tartuffes sont légion, eux qui « portent dans le cœur leur poison » (toujours l’air de la calomnie) et prospèrent, comme au temps de la cabale des dévots,  portés par la vague woke et la lâcheté sans complexe célébrée par la morale puritaine décadente. Aujourd’hui, la délation est effectivement ressentie comme une vertu, soutenue par des ligues légalement agréées, toujours à la recherche d’un pauvre diable.

Sans temps de réflexion ni mesure, notre dévote ministresse de la Culture, Rima Abdul Malak, choisie non sans pertinence par un président pour qui « la culture française n’existe pas », et dont elle était précédemment la conseillère, a annoncé qu’elle entendait ouvrir une procédure disciplinaire pour retirer sa Légion d’honneur à Gérard Depardieu. Et ce avec un manque de tact très sûr, puisque sans même en informer le grand maître éphémère de l’ordre de la Légion d’honneur, Emmanuel Macron ! Écœurant, mais dérisoire : le nom et l’œuvre de l’évanescente Abdul Malak seront vite oubliés, alors que nous reverrons les films du diable de rencontre encore et toujours. Quant aux dévots du musée Grévin, ils ont fait savoir incontinent, urbi et orbi, qu’ils retiraient de l’exposition publique la statue de cire de l’acteur ; ils sont l’illustration de la vulgarité de l’époque, bien plus vulgaire que les propos objets d’un scandale subalterne. La chasse aux statues des immoralistes est un marqueur typique du nihilisme woke.

Un tel empilement de conformisme woke et de lâchetés revendiqués, au prix de l’évanouissement du sens commun, sont un appel à la révolte. En France peut-on trouver plus grossières, lourdes et vulgaires que ces années Macron ?

A côté de ce désastre national, les délires ponctuels, vrais ou supposés, de l’acteur ne devraient tout simplement pas constituer un objet de débat.

1 – Que je défends quant à leur apport au droit.

Source Polémia cliquez ici

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jeudi, 21 décembre 2023

"Loi immigration" : réaction du Rassemblement vendéen

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La réaction de Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen :
 
Il est évident que tout cela n’est que manoeuvre politicienne. Macron a pris conscience que la situation économique, l’immigration, l’islamisation, les attentats et autres crimes crapuleux dus à des migrants font dangereusement monter les votes des Français pour la droite et même la dite extrême-droite. Alors il essaie un petit jeu pour essayer de faire peur en parlant à nouveau du croque-mitaine… Pas sûr qu’il ne soit pas trop tard, Macron !
 
Et pendant qu’on s’étripe à l’Assemblée, que les journaleux rendent compte du moindre hoquet, du moindre ricanement, que les hypothèses sur ce que veut Macron se succèdent, que les Insoumis jouent “au Théâtre ce soir” toute la sainte journée… la France fait naufrage, pour tout un tas de raisons y compris, car elle est essentielle, l’immigration, liée à l’islamisation.

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LA « LOI IMMIGRATION » : MIEUX QUE RIEN ? NON, HÉLAS ! PIRE QUE RIEN.

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Eric Zemmour, président de Reconquête !

Les lampions sont éteints. La fête est finie. La sarabande des cameras a cessé. Les bouteilles de champagne vides jonchent le sol du Palais Bourbon. De Gérald Darmanin à Marine Le Pen, en passant par Elisabeth Borne, Olivier Marleix et Éric Ciotti, ils ont tous célébré leur victoire.

Mais contre qui ont-ils tous gagné ? Le peuple français.

Que savons-nous de manière certaine et définitive sur cette loi ?

Qu’elle ne supprime pas le droit du sol. 

Elle ne supprime ni le regroupement familial, ni l’immigration familiale.

Elle ne supprime pas l’AME, ni les prestations sociales pour les étrangers extra-européens, qui sont les pompes aspirantes de l’immigration.

Elle ne permet pas l’expulsion des délinquants, criminels et fichés S double-nationaux.

Elle ne concernera aucun Algérien, puisque les ressortissants de ce pays bénéficient toujours des privilèges migratoires de l’accord de 1968.

Elle continuera donc de laisser entrer, chaque année, 100 000 étudiants étrangers, 150 000 demandeurs d’asile et 100 000 personnes venues au titre de l’immigration familiale.

Derrière les cris de victoire, dès l’année qui vient, 500.000 nouveaux étrangers pourront donc encore débarquer sur le sol français avec la bénédiction de cette « loi immigration » qui porte si bien son nom : elle confirme que l’immigration est la loi.

Nous savons également que les étrangers continueront de bénéficier de notre générosité, après un petit « délai de carence », que LR et le RN font mine de prendre pour une avancée colossale. Rappelons à ces génies parlementaires que c’est ce qui existe déjà pour le RSA. Merci à eux de m’avoir fait comprendre pourquoi ils avaient troqué la préférence nationale, défendue jadis par le FN, en « priorité nationale » : les Français sont prioritaires, mais les étrangers restent bénéficiaires. Contrairement à eux mais comme la majorité des Français, je ne souhaite plus que les étrangers bénéficient de nôtre générosité : cela s’appelle la préférence nationale.

Cette loi, en vérité, est dans la lignée des vingt-neuf qui l’ont précédée depuis trente ans : une digue de sable pour arrêter une vague gigantesque. Prenons l’exemple censé résumer la fermeté de cette loi : pour faire venir sa famille, un étranger devra désormais avoir résidé 24 mois sur notre sol. Auparavant, c’était 18. Six mois d’écart, qu’est-ce que cela pèse à l’échelle du grand remplacement qui nous menace ?

Les plus candides diront : « c’est mieux que rien ». Hélas, non. Je dis que cette loi est encore pire que rien, car elle n’est pas seulement inutile, elle est également nuisible. Elle permet toujours plus de régularisations de travailleurs clandestins. Il faut écouter Darmanin remercier ironiquement le RN « d’avoir voté pour 10 000 clandestins régularisés de plus ». Mais il faut dire la vérité jusqu’au bout : ces 10 000 régularisés auront ensuite le droit de faire venir leur(s) femmes, leur(s) enfants, leur grand-mère, leurs cousins. La famille, c’est sacré ! Cela s’appelle le regroupement familial.

Par ailleurs, cette loi interdit désormais la rétention des mineurs délinquants : une manière juridique de dire que l’impunité sera désormais totale pour ces fameux « mineurs isolés », qui ne sont, pour la plupart, ni mineurs ni isolés, mais qui pourrissent bel et bien la vie des gens, coûtent une fortune aux départements, et encombrent les tribunaux. Merci pour eux et leurs futures victimes.

Dans ce contexte, quelle indécence de parler de victoire idéologique. Ces mesures signent au contraire une terrible défaite pour les Français. La classe politique ne parvient même pas à retarder ce qu’elle devrait empêcher : notre Grand Remplacement. Elle remet à plus tard la lutte contre l’immigration, elle durcit les mauvaises décisions prises par le passé, elle en invente de nouvelles tout aussi néfastes et, au passage, elle offre un cirque politique grotesque.

La Macronie se déchire sur des mesurettes. La gauche fait semblant de s’offusquer d’un texte qui fait semblant d’être ferme. Chez LR et au RN, on se félicite d’une fantastique victoire, alors qu’on n’a même pas fait de mal à une mouche, et alors, surtout, que ce texte prévoit toujours plus d’immigration. Victoire à la Pyrrhus. Et cerise sur le gâteau : le Conseil constitutionnel attend son heure. On peut compter sur lui pour annuler les petites mesures « qui allaient dans le bon sens ». C’est le Président de la République lui-même qui saisira le juge constitutionnel, pour être bien sûr qu’il ne restera rien d’autre dans ce texte que la régularisation de nouveaux clandestins.

La brume parlementaire va bientôt se dissiper. Cet épisode va passer. Son inanité sera bientôt visible aux yeux de tous. Tous ceux qui ont voté cette loi en seront comptables devant le peuple français. On pourra alors passer aux véritables mesures à adopter. Elles existent et sont simples à mettre en application. J’insiste : simples. C’est le peuple qui doit en décider, par référendum, pas le cirque parlementaire. Je ne veux nullement doucher les espoirs des rares à y avoir cru. Simplement, je crois en l’espérance. Et l’espérance ne se nourrit jamais d’illusions.

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"Lectures françaises" publie son 800e numéro

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Notre confrère et Ami Lectures françaises vient de faire paraitre sa 800e livraison. À cette occasion, son directeur, Mickaël Savigny, relate dans son éditorial les conditions pittoresques dans lesquelles, en 1957, fut créée cette courageuse revue. Cette aventure, et la longévité qui est celle de Lectures françaises, prouvent à elles seules, s'il en est encore besoin, "qu'en politique, le désespoir est la pire des sottises".

Longue vie à Lectures françaises !

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Voici l'éditorial de Mickaël Savigny :

1957. À peine dix ans après la terreur de l’épuration qui laisse la droite nationale exsangue, trois lascars, épurés, réprouvés, que ni la prison ni la haine ni la calomnie n’a réussi à démobiliser, se retrouvent à l’auberge d’Écluzelles « riante localité de la vallée de l’Eure » (1), où les Coston possèdent une jolie propriété. Henry Coston, né en 1910, libéré de prison depuis six ans, à la carrière journalistique déjà impressionnante ; Pierre-Antoine Cousteau, né en 1906, libéré depuis trois ans, « compagnon merveilleux, étourdissant de drôlerie, constant dans ses affections et d’un grand courage physique » (2), directeur du sulfureux Je suis partout pendant la guerre ; Michel de Mauny, né en 1915, militant, journaliste (Gringoire, La Gerbe, Écrits de Paris, etc.). Après un souper qu’on imagine bien arrosé, nos trois compères décident de sauver la France ! Et voici en mars 1957 le numéro 1 de Lectures Françaises, revue de 16 pages en petit format (11,5 cm x 18 cm) avec un éditorial de Pierre-Antoine Cousteau dont la plume caustique est un véritable feu d’artifice pour les neurones et de très nombreux articulets toujours finement ciselés, spécialités d’Henry Coston, et qui ont fait sa gloire d’archiviste.

Imaginaient-ils que ce premier numéro lancé un peu comme un pari de fin de soirée serait suivi de tant d’autres, jusqu’au numéro 800 de décembre 2023 ?! Et si la forme, et si la couleur, et si la présentation ont bien changé en 66 ans, le fond et l’esprit demeurent les mêmes. 80 pages de plus (en accueillant sous ses couvertures notre petite revue Lecture et Tradition), d’abondantes illustrations, des collaborateurs plus nombreux mais toujours aussi compétents, deux changements de direction : en 1977, Jean Auguy, fondateur de Chiré, reprend le flambeau qu’il passe ensuite à son gendre, François-Xavier d’Hautefeuille en 2010, fier de poursuivre le combat de Coston :

« Nous l’avons dit bien souvent : Lectures Françaises n’est l’organe d’aucun parti, d’aucune coterie. C’est une revue indépendante de documentation politique. Non conformiste, elle ne cherche pas à imposer les idées de ses dirigeants et rédacteurs, mais à informer ses lecteurs sur les dessous des cartes. Il s’ensuit que les articles qui paraissent dans ces pages sont écrits en toute franchise, en toute bonne foi. Cela lui valut, dans le passé, maints déboires, le plus grave étant la perte de 30 % de ses abonnés au lendemain du référendum de septembre 1958 parce que Henry Coston, avec une quinzaine d’autres journalistes nationaux, avaient dit “NON !” à celui qui s’apprêtait à brader l’Afrique. » (3).

De même que l’espoir de Cousteau formulé à la fin de son premier édito anime toujours les équipes qui se succèdent dans notre comité de rédaction :

« Il est bien exact, en effet, que dans l’état actuel de nos mœurs, des critiques justifiées constituent en soi une exagération. Mais j’ai encore la naïveté de croire que si cette sorte d’exagération perçait l’écran de fumée de la grande presse reptilienne le Système n’y survivrait pas. » (4)

Notes

1 et 2 – « Réflexions personnelles autour d’un livre sur Cousteau », article d’Henry Coston, Lectures Françaises n°449, septembre 1994.

3 – Lectures Françaises n°238, février 1977.

4 – « Le pamphlet est à droite », éditorial de Pierre-Antoine Cousteau, Lectures Françaises n°1, mars 1957. Il est décédé le 17 décembre 1958, très rapidement après la création de notre revue, à qui il a confié son ultime papier : « Petit portrait du “Figaro” » pour le numéro 19-20 d’octobre-novembre 1958.

Site de Lectures françaises cliquez ici

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François Asselineau - Ukraine, Occident, UE : l’effondrement global

François Asselineau, le président de l’Union Populaire Républicaine, l’UPR, revient sur l’actualité internationale, française et européenne dans "Le Samedi Politique".

À l’heure où les États-Unis se rapprochent à grands pas d’une nouvelle élection présidentielle, les positions géopolitiques fluctuent. La guerre en Ukraine, favorisée par Washington pour nuire à la Russie tout en dopant le complexe militaro-industriel, est en passe de se solder par un véritable de carnage pour Kiev. L’Ukraine et Volodymyr Zelensky voient alors s’éloigner leur prétendu allié américain déjà tourné vers Israël, de nouveau en guerre contre la bande de Gaza.

Dans ces foyers incandescents, l’Europe suit et essuie les ratés de l’Occident. De son côté, Emmanuel Macron, soucieux d’exister sur la scène internationale, enfonce quotidiennement le clou qui crucifie notre pays pour le plus grand malheur des Français, invités aux urnes pour les élections européennes dans un peu moins de 200 jours !

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11:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 décembre 2023

Pierre de Gaulle: ''La Russie peut se passer de l'Europe mais nous ne nous passerons pas de la Russie ''

Irina Dubois reçoit Monsieur Pierre de Gaulle pour cette dernière interview de l'année 2023

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Source : Dialogue Franco-Russe.

22:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La santé internationale selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ? (1)

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Claude Janvier

« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les états signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous ne sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. » Extrait d’un article de Réinfo-Québec.

Depuis la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Selon sa constitution, l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires à un niveau de santé le plus élevé possible ; la santé étant définie comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

L’OMS est donc devenue incontournable dans le domaine de la santé mentale et physique, dictant ses recommandations à la planète entière.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien.

Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation au vu, entre autres, du nombre grandissant des effets secondaires des liquides expérimentaux appelés frauduleusement « vaccins » pour soigner la Covid-19, qui ont occasionné « 2 600 effets secondaires graves par semaine en France 2 ».

À peine sortis des essais cliniques non concluants, les vaccins Covid-19 continuent d’être injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, y compris les jeunes enfants, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires dans l’Union européenne et aux États-Unis.

Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée « EudraVigilance », 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens 3.

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