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samedi, 04 novembre 2023

Samedi 4 novembre, à Saint-Jean-de-Monts :

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00:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 novembre 2023

Pierre Conesa : ''Plus de 2 millions de Gazaouis vivent dans les conditions effroyables''.

Aujourd'hui, Irina Dubois reçoit Pierre Conesa, écrivain, ancien haut fonctionnaire au ministère de la Défense, auteur de plusieurs ouvrages, notamment ''La Fabrication de l'ennemi", ''Vendre la guerre : le complexe militaro-intellectuel''

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Source : Association Dialogue Franco-Russe

17:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pédophilie : Le tabou français

Ce reportage traite d’un des sujets les plus tabous en France, la pédocriminalité.

Pour ce reportage, nous sommes allés voir le film « Le consentement » sorti ce mois-ci. C'est à travers un micro-trottoir et l’intervention de la team Eunomie, une association spécialisée dans la traque de pédocriminels, que nous avons recueillis des informations et des témoignages graves. Un sujet qui passe souvent sous les radars.

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Source : Livre Noir

17:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Chaillot : "On avance de crise en crise avec des pertes de libertés"

L’avocat italien à la cour de Paris Carlo Brusa, très actif pour dénoncer le covidisme, donne la parole à Pierre Chaillot pour faire un point sur l’arnaque statistique de la prétendue pandémie de Covid-19, et sur ses effets secondaires, bien réels, eux, notamment la baisse de natalité.

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Source : E&R

16:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charmes (88), samedi 2 décembre : centenaire de la mort de Maurice Barrès

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15:47 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Russie est-elle un agent du mondialisme ? Débat entre Pierre Hillard et Xavier Moreau

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14:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ON NE DIFFUSERA JAMAIS ASSEZ LE NUMÉRO HORS-SÉRIE DE SYNTHÈSE NATIONALE : "CE QUI DEVAIT ARRIVER ARRIVA !"

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Au sommaire :

P. 2 : Note de l'éditeur, Roland Hélie

P. 3 : Avant-propos : Ce n'est pas faute d'avoir pressenti et dit ce que l'on a pressenti, Didier Lecerf

P. 8 : Europe, les yeux grand fermés Bruno Gollnisch

p. 15 : Bilan et enseignements des émeutes, Didier Lecerf

P. 22 : Quelques déclarations datant des années 1980

P. 26 : Au cœur du débat : l'idée que l'on se fait de l'identité de la France, Maurice Bernard

P. 33 : Camp du bien contre camp du mal, Jacques Benoist

P. 41 : Ce n'est pas faute d'avoir prévenu, dossier réalisé par Didier Lecerf

P. 94 : Quelques chiffres, faits et avis pour nourrir la réflexion

P. 95 : L'immigration en 2023. Rapide état des lieux, Didier Lecerf

P. 105 : Les Mureaux, la radiographie d'une ville d'immigration, Maurice Bernard

P. 115 : Pour en finir avec les poncifs sur l'immigration, Philippa Randa

P. 122 : Grand remplacement tous azimuts, Georges Feltin-Tracol

P. 130 : Un problème français avant d'être celui des immigrés

P. 136 : Immigration, avenir de la France : à l'arrivée, plus de questions que de réponses, Didier Lecerf

P. 141 : Une conséquence de la politique du chien crevé au fil de l'eau, S N

POUR LE COMMANDER CLIQUEZ ICI

11:12 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre écologie authentique

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Il y a 44 ans, une violente campagne de presse contre la « Nouvelle Droite » marquait l’été 1979. La saison estivale de cette année a vu une autre campagne, moins violente et plus insidieuse, contre le spectre fantasmatique de l’« écofascisme ».

L’Obs (du 17 au 23 août 2023) se demande « Pourquoi l’écofascisme nous menace » et interroge Pierre Madelin, auteur de La tentation écofasciste. Écologie et extrême droite (Éditions Écosociété, 2023, 264 p., 18 €). Coup sur coup, le tristement célèbre quotidien qui sort en début d’après-midi s’empare du sujet. L’éditorial de sa livraison des 15 et 16 août 2023 alerte sur « Écologie et extrême droite : un dangereux mélange ». Comme quoi tous les mélanges ne se valent pas... La veille, son édition des 13 et 14 août 2023 prévenait que « Le RN veut tirer parti du clivage sur l’écologie ». Quelques mois plus tôt, Le Monde (du 24 décembre 2022) s’inquiétait de « Ces jeunes identitaires qui virent au vert ».

Auteur de l’article des 13 et 14 août dernier, Clément Guillon rapporte que Jordan Bardella, le président du RN, aurait déclaré sur CNews que « le meilleur allié de l’écologie, c’est la frontière ». Quelle surprise ! Aux élections européennes de 2019, il plaçait en position éligible l’essayiste Hervé Juvin qui, en compagnie de l’ancien militant de La France insoumise devenu président du groupe RN au conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes, Andréa Kotarac, fonde un micro-parti affilié au RN, Les Localistes. Or, condamné en appel pour des violences conjugales, Hervé Juvin a été exclu en novembre 2022 du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen, puis du groupe RN au conseil régional des Pays-de-la-Loire, groupe qui d’ailleurs n’existe plus. Son éviction destinée à satisfaire le Système médiatique d’occupation mentale constitue une faute supplémentaire à inscrire au débit de cette formation politicienne.

Clément Guillon estime que le RN combinerait des positions technosolutionnistes et des thèses néo-agrariennes. Le technosolutionnisme postule que le progrès technique peut à terme résoudre les problèmes écologiques, ce qui est une approche optimiste de la crise de l’environnement. Cette posture faustienne, ou pour le moins prométhéenne, rappelle la vision du monde de Louis Pauwels dans son recueil Le droit de parler (Albin Michel, 1981). Quant à l’agrarisme, il s’agit d’une force socio-politique présente dès la fin du XIXe siècle en Occident afin que le monde rural puisse peser sur la Modernité industrielle. Le Parti paysan croate a longtemps dominé la vie politique de la Croatie. À Varsovie, le Parti paysan polonais allié aux démocrates-chrétiens conserve les faveurs de l’électorat campagnard. Existe en Hongrie un petit Parti civique indépendant des petits propriétaires et des travailleurs agraires qui est néanmoins l’un des plus anciens. En Lettonie, jusqu’en 2022, les Verts participaient à l’Union des Verts et des Paysans, une alliance électorale avec l’Union des paysans de Lettonie, ensemble qui a déjà gouverné le pays. En France, outre les fameuses « Chemises vertes » de Henri Dorgères, chef des Comités de défense paysanne, le député de la Haute-Loire entre 1936 et 1958, Paul Antier, anima le Parti paysan d'union sociale, soutint un temps Pierre Poujade et contribua au lancement du CNIP (Centre national des indépendants et paysans).

Voyant venir l’accident industriel majeur aux européennes de juin prochain, l’Élysée encourage en sous-main la constitution, sous la houlette de l’influent lobbyiste Thierry Coste, d’une liste de chasseurs, de défenseurs de la corrida et de ruraux. Sa conduite reviendrait à Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, dont l’ouvrage, Un chasseur en campagne. Pour une défense de la ruralité, est sorti en 2020 avec une préface d’Éric Dupond-Moretti… La Macronie voudrait-elle par ce moyen détourné relancer l’électorat chasseur ?

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11:07 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 novembre 2023

Cette époque que les « moins de 1000 ans » n’ont pas connue

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La chronique de Philippe Randa

Je viens de prendre un sacré coup de vieux ! Bien plus terrible que celui qui, comme tout le monde, me tombe dessus, chaque année, à date fixe, le jour de mon anniversaire !

À la lecture de la tribune de Michel Onfray dans le JDD de ce dimanche 29 octobre 2023, j’ai pris… 1 000 ans ! C’est d’ailleurs le titre de sa tribune : « Le 3 avril 1987… il y a mille ans ». Il y explique ce qu’était alors la liberté d’expression, de débats, de confrontation des idées en rappelant (entre autres exemples) cette émission de télévision où un Bernard Pivot « pouvait inviter sur le plateau d’Apostrophes Maurice Bardèche, fasciste revendiqué, et Bernard-Henri Lévy sans que… […] Il y avait juste eu débat. C’était le 3 avril 1987, il y a mille ans. »

Je ne peux que recommander la lecture de cette excellente tribune, même si, à cause d’elle, beaucoup prendront aussi mille années dans la figure, comme une énorme et vilaine gifle ou comme un aussi terrible que maléfique coup de déprime.

1987, les années quatre-vingt du siècle dernier, donc… qui ravivent en moi certains souvenirs de ce qu’était encore le monde des Lettres d’alors !

Une époque où j’écrivais – par passion autant que par besoin financier, la première étant aussi obsessionnelle que le second – des romans populaires aux éditions du Fleuve noir d’abord, puis des Presses de la Cité ensuite.

Jamais alors, malgré mes idées politiques que je ne mettais guère dans ma poche, même si j’évitais toute provocation inutile, et qui, forcément, transparaissaient de-ci, de-là dans mes écrits, je n’ai eu à subir la moindre querelle, la moindre remarque désobligeante… et encore moins la moindre censure.

Lors d’un rare échange « politique » avec le directeur du Fleuve noir qui avait publié mon premier livre, celui-ci m’a avoué au cours d’un déjeuner qu’il se considérait comme royaliste, qu’il pourrait éventuellement accepter une invitation à la Fête de l’Huma, mais que jamais, évidemment, il n’accepterait de se rendre à la fête des Bleu-Blanc-Rouge. Pour lui, ça tombait sous le sens. Mais il ne m’interdisait nullement de m’y rendre moi-même, bien sûr… et d’y dédicacer mes romans qu’il publiait.

Quant aux Presses de la cité, il y eût ce lundi matin où j’avais rendez-vous avec une des deux directrices littéraires des collections « Gérard de Villiers » pour lesquelles j’écrivais des romans policiers et d’espionnage. C’était le 18 juin 1984. La veille avaient eu lieu les élections européennes où furent élus les dix premiers députés du Front national de Jean-Marie Le Pen.

Je frappais à la porte de son bureau. La directrice me pria d’entrer, me faisant signe ensuite de m’asseoir, le temps de terminer sa conversation. Furieuse, elle vilipendait ces « 11 % de cons » qui avaient voté Le Pen. Elle raccrocha et devant mon sourire quelque peu moqueur et terriblement explicite de ce que j’en pensais moi-même, elle grommela que bien évidemment, ça devait me ravir, mais que c’étaient quand même des « cons », etc., etc., ce à quoi je pris un malin plaisir à lui faire remarquer que c’était la démocratie, etc., etc.

Nos rapports, excellents, ne changèrent nullement après cet échange… Quant à mes romans, pourtant lus, relus et corrigés par cette excellente professionnelle, jamais je ne subis la moindre censure, pas même une simple remarque contrariée, même quand j’écrivais dans le premier chapitre de Poudrière javanaise (Skal n° 14) : « Robert Czskalszski (alias Skal, le héros), assis à l’avant de sa Porche 928, parcourut rapidement la une de Présent : Nouveau scandale dans les services secrets français… Suivait un article lapidaire d’Alain Sanders, connu pour ses positions radicales sur tout ce qui concernait la politique étrangère de la France, qui résumait l’affaire… »

Et comme si cela ne suffisait pas à me vouer aux gémonies de la bien-pensance, quelques lignes plus loin, j’en rajoutais une couche en écrivant que « la sœur de l’honorable correspondant venait de déposer, accompagné par son avocat, Maître Éric Delcroix, (1) une plainte en bonne et due forme… »

Imagine-t-on de nos jours la possibilité pour un romancier de commettre ce genre de fantaisies chez un éditeur renommé de la République des Lettres ? (2)

Poser la question est évidemment y répondre.

Notes

(1) Militant d’Ordre nouveau, candidat du Front national, conseiller régional de Picardie (1998-2004), avocat (entre autres) de Claude Autant-Lara, Marie-Caroline Le Pen, Vincent Reynouard, Catherine Mégret, Jean Plantin et… Robert Faurisson ! Auteur de plusieurs ouvrages dont certains que j’ai publiés (La Francophobie et Le Théâtre de satan aux éditions de l’Æncre), cet ami fut également mon avocat.

(2) Pour ce genre de fantaisies, justement, les amateurs pourront désormais trouver leur bonheur parmi les titres du « Lys noir » des éditions Auda Isarn… ou des « bergers de l’évasion » des éditions Dutan.

Lire EuroLibertés cliquez là

19:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie le 15 novembre du nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Le Défi au futur

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“Nous sommes parvenus à une ère de léthargie angoissée, caractérisée par des. abstractions en forme de slogans au sein desquelles tout ce qui était le fruit d’une pensée vivante a été comme gelé”.

Ainsi s’exprime Gabriele Adinolfi au début de ce livre dans lequel il explique comment, dès les premières années de son exil, dans les années 1980, il a travaillé de manière très différente des pratiques habituelles, en mettant en place des réseaux politiques et méta politiques internationaux, composés de centres d’études italiens et européens, de Rome à Bruxelles, d’associations, de média en ligne, en se concentrant sur la formation et l’innovation, tout en veillant à ce que les fondamentaux de l’Idée du Monde dont l’auteur est issu soient toujours respectés. De cette volonté, naquirent Les Lansquenets d’Europe…

L’auteur ajoute : ”Avec ce livre, j’ai voulu expliquer ce que sont et ce que doivent devenir les Lansquenets, au coeur d’un projet de Réseau Impérial avec toutes ses composantes telles qu’elles sont produites par tout ce à quoi nous sommes liés, ou se formant d’elles-mêmes au sein d’un même courant en vue d’objectifs communs poursuivis indépendamment (…) Nous ne pouvons pas dire que le rôle joué par les Lansquenets soit devenu décisif, car en réalité il l’a toujours été.

Aujourd’hui, cependant, la nécessité de ce rôle commence à être comprise, et c’est la raison pour laquelle il est opportun qu’ils gagnent en nombre et en visibilité par rapport au passé”.

L’auteur : 

Gabriele Adinolfi est né à Rome en 1954. Dans les années 1970, il a fondé le mouvement “Terza Posizione“. Traqué dans son pays pour ses idées, il a passé près de vingt ans exilé en France. Depuis son retour en Italie, il dirige des centres d’études et anime diverses initiatives en Europe, dont celle des Lansquenets d’Europe. C’est ce qu’il nous explique dans cet essai.

Le Défi au futur, Gabriele Adinolfi et les Lansquenets d'Europe, Synthèse nationale, collection "Idées", 104 pages, 20,00€ (+ 6,00€ de port), sortie le 15 novembre 2023.

Vous pouvez le commander dès maintenant cliquez ici

18:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La haine en réseaux

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La mécanique des réseaux sociaux est celle de la partition ethnique et religieuse, de l’exacerbation des différences et des haines. Seuls des individus qui auraient reçu les anticorps à cette logique abrutissante et mortifère avant de s’y retrouver confronté peuvent se protéger de leurs effets pervers. Mais les sociétés occidentales ne semblent pas encore décidées à en tirer les conclusions qui s’imposent pour préserver ce qui reste de démocratie et de paix civile.

Lire la suite ICI

Source : Marianne 2/11/2023

11:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 novembre 2023

Samedi 18 novembre : Forum de Polémia

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Samedi 18 novembre 2023 de 9h30 à 19h00, aura lieu le 9ème Forum de la Dissidence. Le thème : « Gouvernement des juges : quel bilan, quelle légitimité ? »

Limiter le droit d’asile ? Impossible : la Cour européenne des droits de l’homme fulmine. Arrêter le regroupement familial des étrangers ? Impossible : le Conseil d’État l’impose depuis 1978. Condamner l’aide au franchissement de la frontière par les clandestins ? Impossible : le Conseil constitutionnel l’a sanctuarisé au nom du principe de fraternité. Lutter efficacement contre l’insécurité ? Impossible avec le laxisme des juges judiciaires.

Gouvernement des juges ? Quel bilan ? Quelles conséquences ? Il est temps d’ouvrir les yeux !

En savoir plus cliquez ici

23:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 4 novembre, toute la Vendée debout à St Jean-de Monts contre l'installation d'un centre de migrants

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COMMUNIQUÉ DU RASSEMBLEMENT VENDÉEN

La Vendée ne veut plus de clandestins africains

Appel au rassemblement 

Samedi 4 Novembre 2023 à 10 h

Hôtel de ville - 85160 St Jean De Monts

Ce sont 624 personnes SDF (Sans chez soi) qui ont trouvé la mort en 2022 dans les rues de France. Ce sont tous des Français de souche. Il n'y a parmi eux ni musulman, ni Africain. Sinon, la France aurait été mise à feu et à sang…

Les migrants vont dans les hôtels comme à Saint Jean de Monts en Vendée et les Français crèvent dans la rue. Les Français sont à bout de souffle, saignés de toutes parts, ils n'en peuvent plus!

L'immigration sème la violence, les émeutes sanglantes..et le terrorisme djihadiste, l'écart culturel qui nous sépare des arrivants n'a aucun équivalent dans notre histoire.

Les Nôtres avant les autres !

Le Groupe " Accueil migrants Vendée (GAM)" invite et installe des migrants sur la commune de Saint Jean de Monts en Vendée, à nos frais, avec la complicité de la municipalité dirigée par Véronique Launay et qui évidemment n'organise pas de consultation citoyenne sur cette question.

64% veulent l'arrêt pur et simple de cette immigration 

Bruno Leroy, représentant de cette association immigrationniste, le GAM , invite donc à une contre-mobilisation ce samedi 4 novembre à St Jean de Monts…

Le Rassemblement Vendéen appelle donc l'ensemble des Vendéens et des Français qui veulent que Saint Jean de Monts reste Saint Jean de Monts, que la Vendée reste la Vendée et que la France reste la France à venir nombreux à ce rassemblement, et en assurer un succès éclatant, en présence de :

• Pierre Cassen : Fondateur de Riposte Laîque.

• Jacline Mouraud : Grande figure des Gilets Jaunes

• Alain Avello : Responsable National des Patriotes

• Alban d'Arguin: Auteur du livre "Réchauffement climatique-Enquête sur une manipulation mondiale"

• Raymond de Malherbe : Conseiller Régional Pays de Loire

• Jacques Leblay : Porte-parole du Collectif Préservation de la Pierre Attelée de Saint Brévin

• Bernard Germain : Porte-parole de la coordination Partout Callac

• Ludivine Fassiaux : Présidente de l'Union Belâbraise

• Philippe Ponge : Collectif Sauvons Beyssenac

• Eric Mauvoisin-Delavaud : Président du Rassemblement Vendéen

Face aux complices du chaos, nous fédérons les partisans du sursaut, tous ceux qui croient en la France, en son identité, en sa culture et ses valeurs! C'est, ensemble, sûrs de nos forces et fiers de nous-mêmes, que nous écrirons une nouvelle page de l'histoire et du roman Vendée.

Nous exigeons donc une consultation citoyenne sur cette question, et l'annulation du projet du Groupe d'Accueil de Migrants en Vendée en attendant.

Haut les coeurs!

Eric Mauvoisin-Delavaud

président du Rassemblement Vendéen

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L'appel de la Coordination Partout Callac cliquez ici

18:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1er et 2 novembre : Souvenir et fidélité

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15:04 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 31 octobre 2023

Soutenez le militant rennais de l'Oriflamme condamné pour avoir dénoncer un spectacle impudique

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Il y a quelques jours, nous avons rapporté sur ce site cliquez ici l'action pacifique menée par les militants rennais de l'Oriflamme contre un spectacle de drag-queens destiné aux écoliers dans une ville de la banlieue de Rennes.

Un militant a été lourdement condamné et vous êtes nombreux à nous avoir demandé comment le soutenir. Voici le communiqué de l'Oriflamme et le lien vers la "cagnotte" ouverte pour lui venir en aide.

Je me suis rendu à Rennes rencontrer ces militants vendredi dernier et je pense qu'ils méritent vraiment d'être soutenus.

Roland Hélie

Le communiqué de l'Oriflamme :

Lundi 9 octobre, un militant a été condamné par le tribunal correctionnel de Rennes à 4 mois de prison ferme pour le simple fait d'avoir participé à une contre-manifestion pacifique de dix minutes qui visait à dénoncer la tenue d'une lecture organisée par des drag-queens dans la médiathèque de Saint-Senoux et cela devant des enfants âgés de trois à six ans.

Cette lecture, faite par des drag-queens militants visait notamment à présenter la "diversité des familles" à des enfants qui ne disposent encore d'aucun esprit critique. Il est inadmissible que des drag-queens disposent de jeunes enfants dans des lieux publics dans le but de leur enseigner leur catéchisme déconstructionniste.

Toutefois, la justice a décidé de condamner ce militant à 4 mois de prison ferme pour incitation à la haine et organisation d'une manifestation non déclarée, et l’a en outre condamné à indemniser les parties civiles qui s’estiment victimes d’une contestation légitime et pacifique des leurs actions militantes.

Alors que la France s'effondre, les patriotes sont les seuls à être réellement condamnés par des magistrats qui ne cachent plus leur idéologie et leur dépendance à l'État, alors que les infractions reprochées n’étaient nullement qualifiées juridiquement.

La pression du tribunal médiatique dans une ville gangrénée par l’extrême gauche aura-t-elle contraint l’autorité judiciaire ?

En outre, la perspective d’une condamnation définitive est de nature à compromettre son avenir professionnel.

Cette cagnotte vise donc à soutenir le militant condamné, sa femme et son jeune fils, pour payer les frais d'avocats et affronter son avenir.

Pour aider le militant condamné cliquez ici

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17:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême

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Guillaume Drago *

Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.

On se souvient que plusieurs propositions de loi constitutionnelle ont été déposées, à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour défendre l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution, depuis 2018. Sans toutes les reprendre, il faut signaler celle votée en novembre 2022 à l’Assemblée nationale puis au Sénat en mars 2023, après une modification sensible.

À l’Assemblée, la proposition défendait un « droit » à l’avortement pour toutes les femmes. Au Sénat, la finesse de la Haute Assemblée avait préféré conforter la compétence du législateur en cette matière, ajoutée à l’article 34 de la Constitution sur la compétence du législateur, en énonçant que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme de mettre fin à sa grossesse », ce qui est fort différent. Le Sénat reconnaît bien une « liberté de la femme », ce qui n’est pas un « droit » que l’on pourrait revendiquer en toutes circonstances, mais il fait du législateur l’organisateur et, d’une certaine façon, le garant de cette liberté, qui pourrait comporter des limitations et des conditions d’exercice précisément définies. Ces différences entre les textes des deux assemblées ne sont donc pas que sémantiques. Cette dernière version devait revenir à l’Assemblée nationale le 30 novembre prochain, dans la « niche parlementaire » ouverte au groupe d’opposition La France insoumise. Les égéries de ce groupe pouvaient espérer un vote de ralliement à la version du texte issue du Sénat, cette « liberté » étant un « premier pas » vers un « droit » qui serait reconnu plus tard.

Mais le vote conforme d’un texte par l’Assemblée et le Sénat, pour une proposition de loi constitutionnelle d’origine parlementaire, devait obligatoirement conduire à la présenter aux Français par la voie du référendum, ce qu’impose l’article 89 de la Constitution (« la révision (constitutionnelle) est définitive après avoir été approuvée par référendum »). Autrement dit, le président de la République aurait dû organiser un référendum, ce qui n’est pas le mode d’action préféré des présidents, ce que chaque Français constate souvent avec regret... C’est ce qui justifie cette déclaration du président de la République, selon un contretemps difficilement explicable sans ces précisions. Annoncer un projet de loi constitutionnelle permet au président de reprendre la main et de solliciter alors le Congrès - réunion des deux assemblées parlementaires - pour un vote commun, évitant ainsi le référendum. Les Français apprécieront.

Ce rappel nécessaire de la procédure permet de comprendre combien ce thème de l’avortement suscite de tensions dans la société. À la vérité, personne, dans la société française contemporaine, ne considère que l’avortement est menacé. Il faut même dire que, plus que jamais, le recours à l’IVG est généralisé puisque, en 2022, 234 300 avortements ont eu lieu, en augmentation de 7 %, soit un quart des naissances potentielles dans notre pays. Ce chiffre considérable devrait inquiéter nos politiques, signe de paupérisation, de jeunesse à la dérive, d’immaturité affective et sexuelle, signe tragique qui révèle le grand tabou de la société française. Au lieu de s’interroger sur les causes du recours à l’IVG et sur les moyens d’aider les femmes en difficulté conjugale, affective, sociale, familiale, on veut inscrire dans le marbre constitutionnel ce que la loi de 1975 identifiait clairement  comme une situation de « détresse », terme employé alors par la loi.

Rappelons que la loi du 17 janvier 1975 sur l’IVG énonce, dans son article premier, que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Ce principe législatif était, lors du débat de 1975, un élément essentiel qui avait conduit à accepter une « suspension » (c’est le terme employé par l’article 2 de la loi) des dispositions du code pénal réprimant la pratique de l’avortement (ancien article 317). Il s’agissait d’équilibrer les droits de la mère et ceux de l’embryon, en posant une règle dérogatoire au « respect de tout être humain dès le commencement de la vie ».  On voit combien l’esprit de cette législation, par essence dérogatoire, a été détourné au profit de ce qui deviendrait une « liberté » constitutionnelle, revendiquée par chaque femme. Si la proposition de loi constitutionnelle était votée, elle s’imposerait à cette législation qui deviendrait en quelque sorte sans objet. C’est l’ensemble de l’édifice législatif relatif à l’IVG qu’il faudrait modifier.

L’inscription de l’IVG dans la Constitution, en tant que liberté fondamentale, conduira nécessairement à la fin de la liberté de conscience des personnels de santé, qui ne pourront pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les droits de l’enfant, la protection de la santé publique, la liberté personnelle des soignants seront gravement en danger avec cette « liberté » constitutionnelle de la femme. Pourra-t-on encore dire que l’on est en désaccord avec l’avortement ? L’enjeu est celui de la liberté des citoyens, et pas seulement de la femme. C’est un enjeu global, celui de la protection du plus faible, l’enfant à naître, ignoré des débats parlementaires et d’un président indifférent.

(*) Guillaume Drago est professeur de droit public à l’université Paris-Panthéon-Assas.

Source : Le Figaro 31/10/2023

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Que du bon sens !

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"QUE NOTRE JOIE DEMEURE" : 2024, sortie d'un film de Cheyenne-Marie Carron consacré au Père Hamel

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lundi, 30 octobre 2023

Transhumains trop humains

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La chronique de Philippe Randa

Jamais l’adage populaire « on n’est jamais trahi que par les siens » n’aura été si vrai. Preuve par les « monsieur-madame-tout-en-un » en général et par les responsables de La Fondation du Refuge, sise à Montpellier et ses victimes, en particulier.

Celle-ci, reconnue d’utilité publique, se doit d’avoir un objet « à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel » : pour cela, lit-on sur son site, elle « héberge et accompagne les jeunes LGBT +, âgés de 14 à 25 ans, rejetés par leurs parents, chassés du domicile familial, parce qu’ils sont homosexuels ou trans et/ou en questionnement identitaire ». Tout un programme !

Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes LGBTXYZ + etc. si une autre association au nom explicite – l’Association des victimes de la Fondation Le Refuge, domiciliée elle aussi à Montpellier – n’avait pas porté sur la place publique la condamnation de la première pour… discrimination sexuelle envers un ? une ? autre ? (sans opinion ?) de ses salarié(e) s.

Monsieur devenu Madame Krystal Gil aurait en effet, selon son avocat, été victime de discrimination pour avoir été licencié(e) le 3 mai 2021 pour « faute grave », ce que bien évidemment l’association dément avec la plus haute indignation.

Le licenciement pour faute grave ayant été requalifié en « licenciement nul », l’employé devenu indésirable a obtenu 15 000 euros en réparation de sa perte d’emploi, du préjudice sexuel et de sa discrimination morale… ou plutôt de son préjudice moral et sa discrimination sexuelle (à force de tout retourner dans tous les sens, on finit par s’y perdre)…

Évidemment, l’association condamnée fait appel et les Montpelliérains auront droit à un deuxième round d’affrontement judiciaire qui restera toujours préférable à quelques castagnes à coups de sac à main, de bas filés et de talons aiguilles cassés.

Quelle que soit l’issue de ce règlement de comptes transhumains trop humains, l’avenir de l’association risque d’être tout de même assombri par un tel crêpage de chignon… et les dons, si ce n’est les subventions publiques, risquent de se faire plus chiches à l’avenir.

Preuve s’il en est une fois encore qu’une révolution, fut-elle sexuelle, finit toujours par dévorer ses propres enfants au nom des grands principes qu’elle est censée défendre ou promouvoir !

Ou, si l’on préfère, qu’un « pur » trouve toujours un plus « pur » qui l’épure !

Lire EuroLibertés cliquez ici

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Eric Zemmour était invité dimanche sur C news

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La statue de la Vierge Marie sur l'Ile de Ré à nouveau menacée... et à nouveau défendue

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Ce samedi, une quinzaine de militants de Touche Pas à Ma Statue se sont retrouvés devant la statue de la Vierge Marie à la Flotte en Ré cliquez là qui doit être déboulonnée à cause de la « Libre Pensée ».

La jeunesse engagée, équipée de chaînes et de béton, a cadenassé la statue.

Les protecteurs du patrimoine se mobiliseront toujours pour défendre le patrimoine culturel français qui est menacé de destruction par les laïcards et ennemis de la France.

Regarder le film cliquez ici

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Touche pas à ma statue cliquez ici

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La France Insoumise, la mal nommée est devenue la France soumise aux islamistes.

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Michel Festivi  

Depuis le début de la guerre entre Israël et le groupe terroriste Hamas, soutenu par la République islamique d’Iran, LFI s’est jointe à toutes les manifestations de soutien à ces tueurs de femmes et d’enfants. Notre Danièle Obono nationale, a refusé mordicus de considérer le Hamas comme une organisation terroriste, il faut signaler d’ailleurs que l’AFP, dans ses dépêches aussi désormais.

Mélenchon y est allé de sa provocation habituelle, en fustigeant Madame Braun-Pivet qui « campe à Tel Aviv ». Même si Madame Braun-Pivet n’est pas, loin s’en faut ma tasse de thé, j’ai le souvenir que pour un jeu de mot de cet acabit, Jean Marie Le Pen, par le passé, pouvait être voué aux gémonies et attaqué en justice par des dizaines d’associations dites « anti-racistes ». Mais Mélenchon, l’islamo-gauchiste est un intouchable de la République, avec la complicité tacite des macronistes, qui ne l’attaquent jamais réellement, sauf en apparence.

Un député de la France soumise a prétendu qu’Israël procéderait « à un nettoyage ethnique » à Gaza, on peut toujours critiquer la politique israélienne, on en a même le droit, mais si nettoyage ethnique il y a, ce sont bien les islamistes qui en sont les responsables dans les territoires qu’ils contrôlent ou ont contrôlés, singulièrement en Syrie et en Iraq, où après leur passage, les chrétiens ont fui en masse.

Mathilde Panot qui préfère voir en France les femmes voilées, a refusé aussi de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, alors que sa charte prévoit « l’anéantissement de l’État d’Israël et l’extermination des juifs du monde entier ». Sans doute Madame Panot pense qu’exterminer un peuple n’est finalement que banalité, où qu’il existe des peuples qui peuvent être anéantis.

Quant à notre Juge à la Cour de Justice de la République, la fringante Madame Obono, elle a désigné le Hamas comme « un mouvement de résistance ». Effectivement éventrer des femmes et des enfants relève de la résistance.

Cela me permet de rappeler que l’antisémitisme vient de la gauche, de Karl Marx, d’Engels, de Proudhon, de Jaurès, qui en leur temps ont multiplié les tirades antisémites que n’aurait pas démenti Der Stûrmer, l’hebdomadaire nazi de Julius Streicher, le pape de l’antisémitisme nazi, Gauleiter de Franconie.  Mais nos gouvernants l’oublient et préfèrent par commodité et ralliement au politiquement correct attaquer les patriotes en les traitant d’antisémites à tout propos et même hors de propos.

Tous les crimes antisémites commis ces derniers temps en France ont été le fait d’islamistes.

Dernièrement, le sinistre et funeste Olivier Véran a cru devoir mettre dos à dos et LFI et le RN, qu’on m’explique en quoi le RN peut-il s’apparenter à LFI ? C’est du macronisme pur jus, tout mélanger et noyer le poisson.

Aussi doit on rappeler que les communistes ne furent pas exempts d’antisémitisme et que de nombreuses campagnes eurent lieu en URSS ou en Tchécoslovaquie communiste, qui finirent au mieux par des expulsions après des emprisonnements, au pire par des exécutions.

Dans les années 1970 et 1980, des milliers et des milliers de juifs d’URSS s’exilèrent en Israël, chassés par des exactions antisémites d’envergures, relayées par le Parti Communiste de l’URSS, on l’a bien oublié. Finalement nos LFI, en sont les dignes héritiers.

Comme le décrit Valeurs Actuelles, dans un article du 27 octobre dernier, sous le titre « Les islamo-collabos de la France insoumise », en décembre 2022, des députés et personnages de « La France soumise », ont fait les honneurs à Salah Hamouri, un avocat franco-palestinien, qui avait planifié l’assassinat de l’ancien grand rabbin d’Israël et qui fut condamné à 7 ans d’emprisonnement.

En juin 2022, « La France soumise » s’est montrée très attentive à Jeremy Corbin, paradant à ses côtés, alors qu’il avait été écarté du Parti Travailliste pour propos antisémites. Et VA de décliner un certain nombre de manifestations ou de soutiens de « La France soumise », du même tonneau.

Sur Europe 1 et C News, ce dimanche 29 Octobre, Éric Zemmour a considéré que 69% des électeurs musulmans ont voté pour JL Mélenchon en 2022, que les mosquées avaient appelé à voter pour lui, comme les Frères musulmans. Pour Zemmour, par le soutien inconditionnel de Mélenchon au Hamas, sa participation au second de la présidentielle de 2027 est acquise. Les prédictions de Houellebecq, dans son livre, Soumission, datant de 2015, seraient-elle en train de se réaliser ? 

Je rappelais il y a quelques jours, que la jeune Iranienne Armita Garawand, molestée dans le métro de Téhéran parce qu’elle ne portait pas son voile, était en état de mort cérébrale ; on vient d’apprendre le décès de cette adolescente de 16 ans, et ce dans l’indifférence totale de notre « France soumise » et de ses compagnons de route. 

Où êtes-vous, Mesdames Panot, Autin, Garrido, Tondellier, Obono, Vallaud Belkacem, et consorts ? Où êtes-vous Messieurs Mélenchon, Bompard, Coquerel, Caron et autres ténors de « La France soumise » ? Le sort de cette jeune Iranienne vous passe au-dessus de vos écharpes parlementaires, comme celle des peuples soumis au totalitarisme islamiste ?  Le sort de la France aussi.

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Tribune libre : GAZA est une prison bombardée par ses matons

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Pieter Kerstens

Ce territoire de la Palestine s’étend sur 360 km2 et compte plus de 2 millions d’habitants. Doté d’un statut d’autonomie en 1994, Gaza est soumis depuis de longues années à un embargo strictement contrôlé par les forces israéliennes qui filtrent toutes les marchandises, transactions et aides internationales.  Contestée depuis 1948, lieu d’affrontements sanglants permanents, la Palestine dans son ensemble aspire à l’indépendance, au même titre que l’Ecosse, la Catalogne ou la Flandre.

Sioniste un jour, sioniste toujours.

Le devoir de mémoire nous dicte que l’Etat hébreux, ses dirigeants successifs et son peuple ne correspondent pas vraiment à ce que le Mahatma Gandhi avait déclaré le 26 novembre 1938 : « Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre. »

La politique de Tel-Aviv, dès le début, n’a été qu’une succession d’actes belliqueux, d’arrogance et de cruauté.  Peuple souverain, il applique ce qui lui semble bon pour la défense de ses intérêts, de sa population et de sa sphère d’influence, qui s’étend de Wall Street à Doha et de Kiev à Pretoria.

Les Hébreux se moquent de la résolution 181 votée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU pour le partage de la Palestine en 3 entités, résolution non appliquée et à l’origine de la NAKBA. 

De même pour la résolution 194 votée le 11 décembre 1948 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants.  

Jamais les Israéliens n’ont appliqué la résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 au sujet des territoires occupés. 

Les résolutions de l’ONU n°476 du 30 juin 1980, n°478 du 20 août 1980 et 672 du 12 décembre 1990 condamnent toutes l’attitude belliqueuse d’Israël et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.  Le fait de la déclarer par la suite capitale de l’entité sioniste n’a rien fait pour calmer les esprits.

Depuis 75 ans, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 : « Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.

Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Qui donc attise la vengeance ? Qui appelle à l’extermination du peuple palestinien ? Qui répand la haine ?  Combien de manifestations et de procès contre les propos immondes de Jacques Kupfer ?

Dès lors, on ne peut que condamner les prises de positions et les soutiens apportés à Israël par certains « patriotes » ou « nationalistes » comme ceux du RN ou de Reconquête. Ces imbéciles ignorent les agissements permanents du Mossad, du Shin-Beth et de l’Aman qui apportent également depuis des années le soutien de l’Etat hébreux aux djihadistes du Front al-Nostra et aux terroristes de DAESH, dont les hors-la-loi blessés ont été soignés dans les hôpitaux israéliens !

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De l’État de droit à des tas de droits

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Pierre-Henri Tavoillot *

L’État de droit et la démocratie sont unis par des liens sacrés. Sans le pouvoir (cratos) de l’État, le peuple est réduit à l’état d’impuissance. Sans le droit, il s’expose à l’injustice, car la loi de la majorité ne saurait l’autoriser à opprimer une minorité ni à bafouer les libertés fondamentales. Mais sans le peuple (demos), l’État de droit est inexorablement entraîné dans une dérive techno-bureaucratique à force d’empiler des règlements toujours plus nombreux et complexes. La démocratie contemporaine est donc un ménage à trois à l’équilibre aussi subtil que délicat, et il faut veiller à ce qu’aucun des conjoints ne prenne le pas sur les deux autres.

Or, c’est cet équilibre qui est aujourd’hui menacé, par le gonflement démesuré du droit. On peut même se demander si l’on n’assiste pas à l’avènement d’un nouveau régime concurrent de la démocratie : la « nomocratie » (ou pouvoir des normes), c’est-à-dire des tas de droits qui s’imposent contre l’État et sans le peuple.

Trois phénomènes me semblent concourir à cette évolution.

Le premier est le plus connu : c’est la défiance à l’égard de la politique. « Tous les arts ont produit des merveilles, disait Saint Just, seul l’art politique n’a produit que des monstres. » Propos surprenant de la part de l’archange de la Terreur, mais qui est devenu l’opinion dominante, y compris chez les élus. Conséquence : honnis par les citoyens, ne s’estimant plus légitimes pour décider, ils sont tentés de se défausser de leurs missions en faisant appel à des « autorités indépendantes » ou en laissant les tribunaux et les cours de justice trancher à leur place. Le succès du terme de gouvernance à la place du démodé gouvernement indique assez ce rêve fou d’un pilotage automatique de la cité... qui vire assez logiquement au cauchemar ! Car, pourquoi faudrait- il voter pour des élus qui n’osent plus agir ? L’abstention massive est l’effet moins d’une prétendue « crise de la représentation » que de ce renoncement du politique à la politique.

Le deuxième phénomène est celui d’un droit mutant – et il excuse en partie les élus incriminés. Car, dans la rase campagne de la désertion politique, dont les citoyens indignés se font les complices, un droit nouveau s’épanouit, tentaculaire et gigantesque. C’est un droit obèse, complexe et dégradé. L’hypertrophie juridique, dénoncée par les Cours elles-mêmes (voir les rapports réguliers du Conseil d’État), est sidérante : elle ridiculise l’adage selon lequel « nul n’est censé ignorer la loi », et, plus encore, l’exigence de la comprendre, puisqu’elle devient illisible même pour le spécialiste. Résultat : au droit protecteur s’est substituée l’insécurité juridique, avec, comme effet pervers supplémentaire, la baisse de qualité. Un droit mou, flou, bavard, langue de bois, bien-pensant... Trop de normes produisent de mauvaises normes qui engendrent plus de normes dans des procédures sans fin et des recours incessants. L’autorité de la chose jugée en pâtit et on comprend que la fonction de décider soit devenue, dans ce contexte, plus délicate. C’est un euphémisme. Le troisième phénomène qui accompagne cette dérive est la montée en puissance d’une idéologie, dont l’expression emblématique se trouve dans la Commission, dite de Venise, intitulée explicitement Commission européenne pour la démocratie par le droit. Organe consultatif du Conseil de l’Europe, créée en 1990 dans l’euphorie de la chute du mur de Berlin, elle considère que la démocratie n’a qu’accessoirement besoin du peuple pour fonctionner et que les seuls vrais démocraties sont en vérité les juges, notamment ceux de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Ces idées se diffusent au cœur de l’Union européenne, dans les Cours suprêmes nationales et jusqu’au moindre tribunal administratif.

Cette doctrine d’un droit sans le peuple et contre l’État a atteint désormais son rythme de croisière. Les cours jonglent avec les principes, en inventent de nouveaux, les appliquent de manière inédite, somment l’État d’agir ou, au contraire, l’empêchent d’agir... Bref, elles font de la politique sous couvert de neutralité juridique. « Si l’État est fort, disait Paul Valéry, il nous écrase ; s’il est faible, nous périssons. » Aujourd’hui nous périssons écrasé sous le droit d’un État impuissant.

Cette doctrine est souvent dénoncée par nombre de juristes et de poli- tiques lucides. Comme eux, je pense qu’elle constitue la menace la plus grave pour nos démocraties libérales, non seulement parce qu’elle nous expose aux séductions autorita- ristes des régimes illibéraux, mais surtout parce qu’elle trahit la promesse démocratique selon laquelle le peuple est maître de son destin. L’impérialisme des droits décourage la capacité d’agir, organise l’impuissance publique et éparpille la volonté générale « façon puzzle ».

Il est donc urgent, pour la paix du ménage à trois, de remettre le droit à sa place, en redonnant de la voix aux voix et de la puissance à l’État. Sinon, l’adage attribué à Cicéron deviendra notre régime de croisière : « Summum jus, summa injuria - Droit extrême, injustice suprême. »

(*) Pierre-Henri Tavoillot est philosophe, président du Collège de philosophie. Auteur notamment de Qui doit gouverner un peuple roi ?, Odile Jacob, 2021.

 Source :Journal du dimanche 29/10/2023

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dimanche, 29 octobre 2023

Samedi 4 novembre à Paris : colloque d'Académia christiana

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11:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le 3 avril 1987... Il y a mille ans

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Michel Onfray

La liberté d’expression est morte depuis qu’elle est devenue, pour les tenants du gauchisme culturel, la liberté d’interdire d’expression quiconque ne pense pas comme eux. On ne compte plus les atteintes à cette liberté : interdiction à tel ou tel de donner une conférence, défense de réunir ses lecteurs dans une salle publique, une bibliothèque, une librairie, à l’École normale supérieure, à Science Po, dans des universités.

Le service public, payé par le contribuable, propose des plateaux et des tables rondes où débattent blancs bonnets et bonnets blancs. Les contradicteurs sont des faire-valoir. Questions perfides aux Rebelles, ronds de jambe de connivence pour les Soumis, proscriptions des Résistants. Ceux qui en appellent à la liberté d’expression l’interdisent au nom de la liberté d’expression. À Bordeaux, on interdit Sylviane Agacinski qui s’élève contre la traite négrière moderne qu’est la vente d’enfants ; et on invite Judith Butler qui œuvre à la marchandisation des corps et on lui décerne le titre de docteur honoris causa à l’Université de... Bordeaux. On interdit Alain Finkielkraut à Science Po Paris ; et on sollicite Houria Bouteldja, racialiste, antisioniste et décolonialiste à l’Université de Limoges. On détruit quatre cent cinquante livres de François Hollande à l’Université de Lille ; et on déroule le tapis rouge de l’Université de... Bordeaux à Jean-Marc Rouillan, d’Action directe, bien qu’il ait tué deux personnes et fait l’apologie du terrorisme en 2015 – bien que, ou peut-être plutôt parce que.

J’ai souvenir, pour ma part, qu’une pétition lancée par les freudolâtres, Élisabeth Roudinesco en tête, avait été envoyée à France Culture pour interdire la diffusion de mon séminaire de l’Université populaire de Caen consacré à Freud. Cette demande de censure avait été effectuée « au nom de la liberté d’expression » ! Le directeur de l’époque, Olivier Poivre d’Arvor, n’y a pas consenti, qu’il en soit ici remercié. La besogne fut exécutée il y a six ans par Sandrine Treiner. Je suis toujours interdit de service public, y compris dans cette maison qui affiche sans rire un slogan à se tordre : « France Culture, l’esprit d’ouverture ». C’est probablement au nom de l’esprit d’ouverture qu’ils décrètent tant de fermetures !

L’impossible débat

Le débat démocratique n’existe plus. Quant, à Front populaire, nous avons organisé une rencontre avec Éric Zemmour, qui n’était pas encore candidat, devant quatre mille personnes au palais des Congrès de Paris, L’Obs a fait paraître un article expliquant ce que cette rencontre avait donné... une heure avant qu’elle ait eu lieu ! Incestueuse, la presse maëstrichienne a ensuite fait savoir que j’étais aligné sur lui.

Quelque temps plus tard, l’Agence France Presse annonça que « j’envisageais de voter Zemmour » en oubliant que j’avais ajouté une condition : « S’il muscle son bras gauche ! » Il ne l’a pas musclé, c’est le moins qu’on puisse dire, il n’y eut donc pas de compagnonnage. Mais débattre avait suffi pour anathématiser. Peu importe que j’aie fait savoir partout que je souscrivais à son diagnostic d’une France qui allait mal, mais pas à ses solutions ; il croit à l’homme providentiel, moi au peuple providentiel ; rien n’y a fait. Nous avions débattu, nous nous sommes parlé, nous avons ferraillé et bataillé sans nous insulter, mais j’étais un allié du diable du simple fait d’avoir échangé avec lui !

Il est loin le temps béni où l’excellent Bernard Pivot pouvait inviter sur le plateau d’Apostrophes Maurice Bardèche, fasciste revendiqué, et Bernard-Henri Lévy, sans que la presse du gauchisme culturel ne titre le lendemain que BHL souscrivait à ses thèses antisémites. Il y avait aussi, sur ce plateau, un certain Gabriel Matzneff. Quelle était la thématique ? La responsabilité des intellectuels. Bardèche, l’un des inventeurs du négationnisme, y défendait un livre sur Céline, et BHL son Éloge des intellectuels. Personne n’a estimé que, par capillarité, Bernard-Henri Lévy soit devenu négationniste, ni même que Bardèche fût converti aux idéaux de BHL. Il y avait juste eu débat. C’était le 3 avril 1987, il y a mille ans.

Ces débats ne sont plus parce que la gauche culturelle voit son pouvoir menacé par une presse et des médias vraiment libres qui n’appartiennent ni à l’État ni à des milliardaires alignés sur son idéologie nihiliste.

De Gaulle avait, après-guerre, donné la culture, l’éducation, la recherche, l’université à la gauche avec laquelle il gouvernait – difficile de confier l’Intérieur, les Affaires étrangères, l’Armée aux communistes qui prenaient leurs ordres à Moscou...

Mai 68 a généré une gauche soixantaine-huitarde qui s’en est donnée à cœur joie en se recasant chez Mitterrand, grand recycleur de trotskistes. Ceux-là ont détruit ce qu’ils ont touché. On commence à le dire, ça commence à se voir, à se savoir : ils défendent leur peau de chagrin idéologique comme des satrapes le dos au mur. Quand ils entendent une voix qui ne vient pas de leur meute, ils sortent leur revolver.

Source : Journal du dimanche 29/10/2023

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samedi, 28 octobre 2023

Journal du chaos

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Le « résistant » Erwan Chartier voulait nous ruiner : fiasco judiciaire mémorable.

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Bernard Germain

Erwan Chartier vous ne voyez pas de qui il s’agit ? C’est le rédacteur en chef du petit journal gauchiste « Le Poher » qui doit tirer à 1 000 ou 2 000 exemplaires par semaine et qui est basé pas très loin de Callac.

Ces derniers temps on voyait beaucoup le « résistant » Erwan Chartier sur les plateaux télé et dans la presse. Pensez donc il a même écrit un livre, un petit livre d’après ce que j’ai vu lorsqu’il l’a montré au cours d’une émission à sa gloire, sur FR3 me semble-t-il. Il paraît que dans ce livre il parle de la résistance notamment FTP (communiste) à Callac durant la seconde guerre mondiale et fait d’après ce que j’ai compris un parallèle avec le combat mené à Callac pour la venue de migrants et contre les horribles « fachos ».

En clair, dans le combat mené à Callac contre le projet Horizon qui entendait faire venir plusieurs centaines de migrants, nous étions les « nazis » et les immigrationnistes étaient les FTP des temps modernes.

N’ayant pas lu le livre, et je ne vais pas donner de l’argent à ce « résistant » pour en prendre connaissance, je me demande si dans sa glorification de l’action des FTP il a oublié ou pas d’indiquer que le 23 août 1939, était signé un pacte de non agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie. Pacte connu sous le nom de pacte germano-soviétique.

Le pacte fut brisé le 22 juin 1941, par la décision d'Hitler d'attaquer l'URSS en déclenchant l'opération Barbarossa. Mais entre temps, c’est à dire pendant presque deux ans, le PCF malgré l’invasion de la France en juin 1940, a eu une politique de « fraternisation » avec les Allemands. À l’époque le PCF disait « Ne tirez pas sur un uniforme allemand. Derrière chaque uniforme il y a un travailleur. » Et il n’y avait aucune résistance communiste à cette époque. D’ailleurs ceux qui ont résisté avant que le PCF ne le décide, ont eu de sérieux ennuis. Par exemple Georges Guingouin dans le Limousin pour le maquis qu’il a monté à côté d’Eymoutiers en Haute-Vienne. Le PCF a essayé de l’assassiner à plusieurs reprises, ce qu’il explique entre autres dans son livre « Quatre ans de lutte sur le sol Limousin ». Mieux, le PCF a même été négocier la reparution légale de l’Humanité à la Kommandantur de Paris.

Quant à son secrétaire général, on n’oubliera pas de relever qu’il a déserté, a couru se réfugier en URSS et y est resté jusqu’à la fin de la guerre. C’est De Gaulle qui l’a amnistié pour ces faits infamants.

Toute cette période et ces évènements sont soigneusement cachés aux générations actuelles et ce qui leur est vendu c’est la fable du « Parti des 75.000 fusillés ». Il m’étonnerait que le livre du « résistant » les expose à ses lecteurs. Je pense qu’il participe plutôt à la propagation du mensonge du « Parti des fusillés ».

Il faut que je m’explique. Je dis le « résistant » car depuis la lourde défaite des immigrationnistes à Callac, il semble qu’il se sente investi d’une mission divine, reprendre le flambeau des immigrationnistes - flambeau tombé par terre - et pourfendre les « nazis » des temps modernes que nous serions en osant défendre notre pays contre l’invasion migratoire que nous subissons.

Ne pouvant revenir en arrière et empêcher le maire d’annoncer qu’il jetait l’éponge, notre « résistant » s’est mis en tête de faire payer les fachos pour cette victoire.

J’ai donc été clairement ciblé, pour un article paru en octobre 2022, qui répondait à un article d’une journaliste du Poher sur notre combat de Callac et qui n’a pas pu le faire sans nous traîner dans la boue et nous calomnier.

Nous avions répondu et cela n’a pas plu au « résistant » qui a donc saisi la justice. J’ai reçu une assignation au Tribunal le 30 janvier à mon domicile par exploit d’huissier.

Et bien sûr, ce qui devait arriver, arriva…

Quelques jours plus tard, le Télégramme de Brest ou Ouest-France - peu importe - publièrent un article dans lequel le « résistant » se disait victime d’une campagne de menaces téléphoniques et par mail ayant commencé… le lendemain du jour où j’ai reçu mon assignation au tribunal.

En clair et sans le dire, on m’accusait d’être à l’origine de ces menaces notamment de mort.

Et l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Presque chaque jour il y avait des éléments nouveaux. Le « résistant » était à l’évidence la personne la plus menacée de Bretagne. Peut-être même de France.

La dernière invention fut une soi-disant alerte à la bombe qui provoqua l’arrivée massive de gendarmes, démineurs, avec évacuation des locaux. Le tout largement relayé par la presse régionale et même nationale.

En réalité, tout cela n’était que du théâtre. L’objectif était simple : comme l’audience au tribunal était prévue le 3 mars à Lorient il fallait, entre fin janvier et le 3 mars, créer l’ambiance afin que lors de notre comparution le « résistant » apparaisse comme une personne en grand danger et menacée par les horribles fachos, avec moi à leur tête et à la manœuvre.

Mais l’audience fut reportée au mois de septembre.

Curieusement, toutes les menaces cessèrent brusquement et, autre curiosité, les gendarmes qui pourtant ont de sacrés moyens n’ont jamais rien trouvé pour me mettre en cause ni aucun facho.

On me permettra d’être perplexe devant ce concours de circonstances. Arrêt brutal des menaces dès que la date du procès a changé et incapacité des gendarmes de trouver le moindre responsable alors qu’ils ont de puissants moyens et que le « résistant » était soi-disant assailli de menaces.

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vendredi, 27 octobre 2023

Macron relance l'invasion des campagnes : mobilisation générale !

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COMMUNIQUE DE LA COORDINATION PARTOUT CALLAC

En Israël, les terroristes du Hamas ont commis le 7 octobre un épouvantable massacre en s’introduisant sur les terres d’Israël au petit matin. Au cri de « Allah Akbar », ils ont égorgé, décapité (même des bébés), éventré, violé, tué à tour de bras.

Comme d’habitude, en France, un nombre non négligeable d’individus, regroupements et partis (NPA, LFI CGT, Indigènes) n’ont rien trouvé de mieux que d’inverser les responsabilités et la culpabilité. Pour eux, ce sont les « palestiniens » qui sont victimes des odieux Israéliens.

Ce sont les mêmes partis, syndicats et associations qui soutiennent l'invasion migratoire et l'islamisation de notre pays, et qui nient le djihad quotidien qui se déroule en France, avec des méthodes qui rappellent parfois la barbarie du Hamas.

Ils osent manifester avec ceux qui poussent le même cri que les assassins du 7 octobre : « Allah Akbar ».

Moins d’une semaine plus tard le 13 octobre, un professeur de français a été égorgé à Arras par un musulman « réfugié » Tchétchène au cri de « Allah Akbar ». Juste trois ans après la décapitation de Samuel Paty. Le même cri que celui poussé par les assassins de Charlie Hebdo, du Bataclan, de Nice et de tellement d'autres lieux...

Depuis le 7 octobre le ministère de l’intérieur a relevé plus de 600 actes antisémites en France. « Normalement » c’est 400 en une année. Là, c’est 600 en 3 semaines. La quasi totalité commis par ceux qui crient « Allah Akbar ». Pas un jour ne se passe sans que 120 à 140 coups de couteau ne soient donnés. Tout les jours il y a des morts un peu partout en France avec un nombre très élevé d’égorgements qui signent l’origine des tueurs. On ne compte plus non plus les viols (même de nonagénaires), les vols et les violences en tous genres.

Le lien entre ces violences et délinquances avec l’immigration est reconnu par le président et le ministre de l’Intérieur.

Or, non seulement rien n'est fait pour arrêter l'immigration, mais c'est dans ce contexte que le pouvoir, avant les Jeux Olympiques de Paris, paraît décidé à accélérer l'invasion migratoire de nos campagnes, au nom de ce que Macron ose appeler "la transition démographique".

À St-Brévin, malgré un combat acharné du Collectif de préservation de la Pierre Attelée, le CADA va certainement ouvrir ses portes prochainement à une centaine d’Africains hommes, juste à côté d’une école maternelle et primaire. Si demain un crime de type Arras se produisait contre des enseignants ou des enfants, mettant en cause un ou plusieurs résidents du CADA, il ne faudra pas oublier la responsabilité écrasante de Dorothée Pacaud, nouveau maire de Saint-Brevin, et de tous ses complices immigrationnistes.

À Bélâbre, dans l'Indre, le maire, Laurent Laroche, contre l'avis de sa population, par idéologie, a refusé une usine avec trente emplois, pour imposer ses migrants. Une manifestation est organisée ce samedi 29 octobre contre l’ouverture d’un CADA dans ce petit bourg du centre de la France. Le préfet a voulu l'interdire, mais le tribunal administratif l'a désavoué.

A Plainfaing, dans les Vosges, village de 1600 habitants, sans prévenir personne, 30 mineurs non accompagnés sont arrivés récemment de Lampedusa, et ont été installés dans le centre de vacances du village. Pourtant le ministre de l’intérieur avait déclaré de manière très martiale : « Aucun immigré de Lampedusa ne viendra en France ».

À St-Jean de Monts (Vendée), une manifestation est organisée par le Rassemblement vendéen ce 4 novembre à 10 heures devant la mairie, contre l’arrivée de 22 migrants, supervisée par une organisation locale pro-migrants, le Groupe d'Accueil de Migrants de Vendée, avec la complicité de la municipalité, sans demander, là encore, l’avis de la population.

Sans parler d'autres endroits où les choses se font en douce, derrière les populations et souvent les élus. 

Cette situation ne peut plus durer. La sécurité et le mode de vie des Français sont délibérément mis en danger. La coordination « Partout Callac » appelle tous les Français se mobiliser contre cette politique immigrationniste complètement folle, et à soutenir par leur présence toutes les initiatives qui vont se mettre en place.

Le principe de précaution, mis en avant souvent à tort et à travers par les écologistes, doit s'imposer en France pour l'immigration africaine.

Bernard GERMAIN

Porte-parole de la Coordination Partout Callac

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Samedi 4 novembre, à 10 heures : TOUS À SAINT-JEAN-DE-MONTS (VENDÉE)

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COMMUNIQUÉ DU

RASSEMBLEMENT VENDÉEN

Appel au rassemblement
Samedi 04 Novembre 2023 à 10h
Hôtel de ville – 85160 Saint-Jean-de-Monts

Depuis plusieurs années, le Groupe accueil migrants Vendée (GAM) invite et installe des migrants sur la commune de Saint-Jean-de-Monts en Vendée, encore ce mois-ci cette association gauchiste pro-migrante va installer 22 migrants sur notre commune à nos frais.

Miraculeusement, les autorités qui ont préféré financer les banlieues islamisées pour acheter la paix sociale, trouvent soudain des millions pour arroser nos campagnes et évidement des millions qu’ils n’ont jamais proposés aux travailleurs pauvres, agriculteurs, artisans et retraités de Saint-Jean-de-Monts.

L’union sociale pour l’Habitat, reconnaît que 2 423 000 ménages sont en demande de logement social. Des salariés et des retraités dorment dans leur voiture, faute d’accès aux logements. Les logements sociaux de Saint-Jean-de-Monts doivent être réservés en priorité à nos ménages vendéens, qui ont plus de légitimité que des clandestins pour être logés décemment.

Les Nôtres avant les autres !

Si l’on fait le bilan économique, depuis le regroupement familial, depuis les années 70, l’immigration a coûté 1 000 milliards d’euros à la France ! Cette immigration est un gouffre financier qui avale les impôts des Français contre leur gré. Les Français sont à bout de souffle, saignés de toutes parts, ils n’en peuvent plus ! L’immigration sème la violence, les émeutes sanglantes, et le terrorisme djihadiste, l’écart culturel qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire.

Tous viennent du tiers-monde, de sociétés défaillantes où règnent l’incivisme, la violence et la corruption. La grande majorité est de religion musulmane et cela suscite une discorde religieuse et civique sur notre sol.
64% veulent l’arrêt pur et simple de cette immigration, et 48% des électeurs de gauche trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France.

Lors de la réforme des retraites, l’ensemble de la gauche, à laquelle appartient la municipalité de Saint-Jean-de-Monts, réclamait un référendum. Ce projet de l’installation de 22 migrants, sur notre commune, qui se fait avec la complicité de la municipalité, ne faisait pas partie du programme pour lequel elle a été élue. Nous demandons donc une consultation citoyenne sur cette question et l’annulation du projet du Groupe d’Accueil de Migrants en Vendée en attendant.

Il en va de l’avenir de nos villages, que Macron, au nom de la transition démographique “Grand remplacement”, veut transformer de force en village africain.

Nous appelons donc l’ensemble de Vendéens et des Français qui veulent que Saint-Jean-de-Monts reste Saint-Jean-de-Monts, que la Vendée reste la Vendée et que la France reste la France à venir nombreux à ce rassemblement et en assurer un succès éclatant.

Haut les cœurs !

Eric Mauvoisin-Delavaud,

président du Rassemblement vendéen.

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