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mardi, 12 septembre 2023

Valérie Bugault - La République française n'existe plus !

La République française n'existe pas, l'État français n'existe pas ! Techniquement, la France n’existe plus, elle doit désormais s’écrire l’aFrance. Ce malheureux pays, l’une des premières cibles du globalisme financier, est devenu un simple relai d’influence des intérêts financiers supérieurs, lesquels rendent comptent aux maîtres globalistes qui opèrent historiquement à partir du centre financier de la City of London. Il existe des relais locaux d’organismes centraux qui gèrent des populations, mais il n’existe plus d’États au sens politique du terme depuis l’avènement du parlementarisme représentatif et du phénomène "banque centrale". Les seuls intérêts représentés politiquement sont ceux bien compris des intérêts qui financent les partis politiques. La Res Publica n’existe pas dans de tels régimes, elle cède la place à la Res Privata. Seul un changement d’organisation politique pourra remédier à cela. Valérie Bugault, spécialiste de la géopolitique juridique et économique, à la tête du projet Révoludroit, propose de renouer avec les fondamentaux de notre civilisation chrétienne à tous les niveaux : économique, via "la nouvelle entreprise", juridique par la réhabilitation d’un droit civil commun respectueux des grands principes issus du droit naturel et étatique avec la réévaluation du sens du Chef d’État et de l’utilité d’un gouvernement.

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OBAMA : LA SOURICIÈRE

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21 janvier 2024, rendez-vous à la Marche pour la vie

Comment peut-on accepter 220 000 avortements tous les ans, sans rien dire ni rien faire ? 

Depuis un an, par un soi-disant débat démocratique qui n'est qu'une mascarade, le gouvernement envisage de légaliser l’euthanasie et le suicide assisté. Début 2024 devrait avoir lieu l’examen au Parlement d’un projet de loi « Fin de vie ». Nous demandons 100 % de soins palliatifs, mais 0 % de ce qu'ils appellent "l'aide à mourir". L'interdit de tuer doit rester absolu !

Nous étions des milliers à Paris en janvier 2023. Cette année encore, mobilisons-nous davantage en janvier pour défendre la Vie !

Réservez dès aujourd’hui la date de la prochaine Marche pour la vie dans vos agendas et communiquez-la largement autour de vous : Dimanche 21 janvier 2024.

Avec votre aide, nous serons encore et toujours plus nombreux dans les rues de Paris !

enmarchepourlavie.fr

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ÉOLIENNES UNE ARME CONTRE LA FRANCE

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Au cœur du nouveau conflit mondial

La Troisième Guerre mondiale a commencé. C'est une guerre de l'énergie. Elle a éclaté le 26 septembre 2022 avec le sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui reliaient la Russie et l'Allemagne par la mer Baltique.

Les États qui contrôlent les ressources énergétiques disposent d'un puissant levier géopolitique. Vladimir Poutine a été plus loin : il a utilisé l'énergie, et en particulier le gaz, comme outil politique et arme de guerre économique.

L'énergie a une importance vitale pour nos économies, notre santé, notre production industrielle ou alimentaire. Le contrôle de sa production est déterminant pour les nations qui veulent assurer leur souveraineté et leur indépendance politique.

Choc gazier, inflation, confrontations entre les empires russe et américain, contrôle du gaz et du nucléaire, affaiblissement de l'Europe, amitié franco-allemande vacillante, guerre en Ukraine, propagande anti-nucléaire, ONG en eau trouble, perte de souveraineté… Cet ouvrage décrypte les ressorts et les enjeux de cette Troisième Guerre mondiale.

Les exploitants d'éoliennes utilisent de plus en plus l'argument commercial de la Guerre en Ukraine pour imposer sur nos territoires l'installation d'éoliennes qui sont présentées comme la solution pour répondre à la crise énergétique. 
 
À la suite de son livre sur les éoliennes, Fabien Bouglé qui est Vice-Président de la Fédération Environnement Durable, a tenu à répondre à de nombreuses questions sur le sujet et a rédigé un nouveau livre qui sort ce 13 septembre.
Il y expose comment - couplées au gaz ou au charbon - les éoliennes sont devenues une véritable arme contre la France et les Français. 
 
Ce livre, suite naturelle du précédent, est un nouvel outil que vous pouvez utiliser dans votre lutte contre l'invasion des éoliennes. 
 

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La bataille de Saint-Brévin n’est pas perdu. Le combat continue

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Eric Monvoisin, président du Rassemblement véndéen nous confirme que des patriotes avaient organisés, en vue du samedi 9 septembre, une manifestation pour occuper le Cada (Centre d’accueil des demandeurs d’asile) de Saint-Brévin, ce qui nous aurait valu un déchainement médiatique et des gardes-à-vue. Mais les forces de l’ordre étaient là de bon matin et le silence radio est retombé sur la manifestation avortée. Ce qui ne veut pas dire qu’il faille renoncer à monter ce genre d’opération. Bien au contraire. Il faut continuer et empêcher Gérald Darmanain et ses sbires, les préfets, de nous imposer des clandestins dans nos villes, nos villages et nos campagnes.

La racaille gauchiste et ses collabos entendent venir faire la promotion de l’accueil d’immigrés à Saint-Brévin le samedi 23 septembre prochain. Aux armes citoyens ! organisons-nous pour empêcher une telle infamie.

Voir la vidéo ICI

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lundi, 11 septembre 2023

Les « coallahborateurs » de l’Abaya tentent le tout pour le tout.

2023-09-07T162350Z_1_LYNXMPEJ860R9_RTROPTP_3_FRANCE-ISLAM.JPGMichel Festivi 

L’interdiction du port de l’abaya dans les établissements scolaires, édictée, plus exactement reprécisée par le ministre Yvan Attal dans le cadre de la loi de 2004, interdisant tout signe religieux ostensible fait polémique et les collaborateurs de l’islamo-gauchisme montent au créneau, on s’y attendait.

Le Conseil d’Etat, dans le cadre d’un référé-liberté, procédure tout à fait spécifique et particulière, a rejeté la demande formulée par « l’association des droits musulmans », qui motivait cette requête : « au nom du risque de discrimination et d’atteinte aux droits ». Déjà l’intitulé de cette association ne permettait aucun doute sur le caractère religieux de ce « vêtement » par nature ostensible.

Le Juge suprême du référé administratif, en édictant que cette mesure : « ne porte pas une atteinte grave et manifestement illégale au droit au respect de la vie privée, à la liberté de culte, au droit à l’éducation, et au respect de l’intérêt supérieur de l’enfant ou au principe de non-discrimination » a mis un frein indéniable aux manifestations islamistes, militant pour l’abaya à l’école.

Mais le plus intéressant dans cette décision est le fait d’avoir souligné que le port de ces vêtements, abayas ou qamis s’inscrivait : « dans une logique d’affirmation religieuse ». C’était évident, mais cela va mieux en l’écrivant.

On a appris quasi simultanément, que des enseignants et des personnels du lycée Maurice-Utrillo de Stains (93), se mettaient en grève, et, sous le couvert de revendications syndicales avaient rajoutés subrepticement, « se désolidariser de la politique islamophobe (sic) du gouvernement. Nous refusons de stigmatiser les élèves qui portent une abaya ou un qamis (resic) ».

Et l’on découvre à cette occasion, que bons nombres de pions, ou autres personnels n’avaient pas hésité récemment ou par le passé, à tolérer voire à encourager le port de ces vêtements et ce bien souvent au mépris de leur hiérarchie.

Comme le souligne avec justesse Fatiha Boudjahlat le 7 septembre dans une tribune du Figaro s’agissant de ces intervenants scolaires : « Ce faisant, ils trahissent leur mission et pire, ils trahissent leurs élèves qu’ils enferment plus loin dans un ghetto communautaire. »

Si le gouvernement allait au bout de sa logique, il se devrait de prendre des sanctions exemplaires contre ces personnes qui corrompent les devoirs de leur charge. Il se devrait aussi, car beaucoup d’élèves qui se présentent en classe en abaya sont mineures, sanctionner les parents par le retrait ou la suspension des allocations familiales par exemple. Frapper au porte-monnaie a toujours été d’une efficacité redoutable.

Car comme le souligne cette chroniqueuse, infatigable combattante contre l’islamisme : « Les mêmes tartuffes, qui s’opposent à l’idée de l’uniforme manifestent pour normaliser l’uniforme islamique réservée aux filles. », c’est plutôt bien vu.

Fatiha Boudjahlat, ne craint pas de relever que cela se passe dans une commune, Stains : « dont le conseil municipal, s’il est à l’image de la ville, en montre le caractère de ghetto ethnique et communautariste. ». Le mal est donc particulièrement profond et ancré. Déjà en 2015, dans son roman Soumission, Michel Houellebecq avait décrit des situations similaires ou comparables. Que n’avait-il pas osé écrire !

De son expérience d’enseignante, qui plus est  de 18 années, dans des « zones sensibles », Fatiha Boudjahlat évoque dans cette même tribune, que bien des personnels de la vie scolaire sont les suppôts de l’islamisme en fustigeant les filles pas assez couvertes, réprimandant ceux ou celles qui ne mangeraient pas hallal ou ne respecteraient pas le ramadan etc… Monsieur Attal, s’il veut s’attaquer réellement à cette islamisation de l’école a bien du pain sur la planche, car les racines sont profondes et viennent de très loin, du laxisme généralisé de l’Etat depuis des décennies, mais cela, nous le dénonçons depuis des lustres.

Madame Boudjahlat cite de nombreux exemples de ces collaborateurs de l’abaya, comme ces surveillants, qui à Marseille l’an dernier, s’étaient introduits avec violence dans le bureau du Proviseur qui s’opposait au port de l’hidjab.

Tout comme en politique, avec le vote nupes, EELV ou LFI, la CGT et le syndicat SUD sont en concurrence pour capter ces « enseignants », ces « surveillants », c’est ce que souligne aussi Fatiha Boudjahlat, car « ils trahissent la nature du syndicalisme pour des slogans communautaristes ».

Un proviseur de Clermont-Ferrand vient d’être menacé de mort par le père d’une élève qui s’était fait exclure de son lycée pour être venue en abaya et avoir refusé de l’enlever. Espérons que les sanctions seront à la hauteur de cet acte inqualifiable dans une France où un professeur a été décapité au couteau, alors que l’Education dite Nationale avait été en dessous de tout à l’époque comme l’ont révélé plusieurs enquêtes journalistiques courageuses Cf David di Nota « j’ai exécuté un chien de l’enfer » au Cherche Midi ou le livre de Stéphane Simon « les derniers jours de Samuel Paty » chez Plon.

Comme le soulignerait Florence Bergeault-Blaclker, les réseaux islamistes agissent en sous-main et tentent de manipuler les uns et les autres, soyons en sûr.

Selon un très récent sondage, 74% des français soutiennent l’interdiction de l’abaya dans les établissements scolaires et 63% l’expérimentation de l’uniforme ou d’une tenue unique à l’école. Il est donc évident que des français qui votent à gauche, approuvent aussi ces directives ministérielles.

Et Fatiha Boudjahlat, de clouer au pilori : « les tenants de cette accusation d’islamophobie d’Etat et de sexisme veulent le feu. Les dernières émeutes n’ont pas étanché leur soif de destruction ni épuisé leurs fantasmes de grand soir contre la république » A qui diantre, peut-elle bien faire allusion ? 

Prochaine étape indispensable, un vrai référendum sur l’immigration, à condition que les bonnes questions soient posées. Donner la parole au peuple, la « république » si prompte en mettre en avant ses soi-disant valeurs jamais définies de surcroit, s’enorgueillirait.  

 

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dimanche, 10 septembre 2023

Mes chers confrères…

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Depuis l’arrivée de Vincent Bolloré dans le marigot médiatique et plus précisément journalistique (CNews, Europe 1, Journal du dimanche), c’est la curée. La gauche s’alarme de voir son monopole à désigner où est le bien et où est le mal, remis en question. Alors fatalement, tout ce qui n’est pas de gauche est d’extrême droite. On voit surgir de toutes parts les folliculaires. Une émission à charge comme Complément d’enquête, sur France 2 dirigée par la très poissarde boboïde Elise Lucet, vient de s’en prendre à la réussite du Puy-du-Fou, allant jusqu’à balancer des contre-vérités et d’accuser Philippe de Villers de s’en être mis plein les poches. Pascal Praud rappelle, ici, que le rôle des journalistes n’est pas de donner des leçons mais d’exposer les faits. C’est toute la différence qu’il y a entre la droite et la gauche. La droite voit le monde tel qu’il est, la gauche tel qu’il devrait être.

 Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 10/9/2023

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samedi, 09 septembre 2023

LORSQUE LES FAITS NOUS DONNENT, HÉLAS, RAISON...

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Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

Editorial du n°64 (été 2023)

L'embrasement de tout le pays qui a marqué le début de l'été n'est que l'aboutissement logique des politiques menées par l'ensemble des gouvernements qui se sont succédés depuis une cinquantaine d'années en matière d'immigration. En effet, à force de se voiler la face et de nier les réalités, on finit par se retrouver face à des situations catastrophiques de plus en plus difficiles à gérer.

D'abord, revenons sur les faits. Un délinquant de 17 ans dénommé Nahel Merzouk, consommateur de stupéfiants, roulant à vive allure dans les rues de Nanterre (92) au volant d'une voiture de luxe alors qu'il n'a pas l'âge d'avoir le permis de conduire, refuse d'obtempérer lors d'un contrôle de police... Ce garçon, c'est le moins que l'on puisse dire, n'a pas hésité à prendre des risques inconsidérés. Or, lorsque l'on prend de tels risques, il faut en assumer les conséquences. Certes, l'issue fatale de ce "GymKhana" urbain est sans doute regrettable pour Merzouk mais, qu'on le veuille ou non, elle fait partie des écueils éventuels du "jeu"...

Ce qui est le plus regrettable encore, c'est la tournure que prirent les événements suite à ce fait divers hélas trop fréquent. Des nuits d'émeutes d'une rare violence se sont succédées à travers la France, des dizaines de villes furent saccagées et des centaines de magasins pillés. Fait nouveau, ces violences ne touchèrent pas seulement ce que l'on appelle pudiquement "les quartiers" (entendez les zones dominées par les populations d'origines diverses), elles embrasèrent l'ensemble du territoire national, y compris parfois les communes les plus reculées.

Alors, comment en est-on arrivé là ?

Le développement de l'immigration, dans la seconde moitié du XXe siècle, voulu par les dirigeants de la planète, encouragé à la fois par la haute-finance apatride à la recherche de profits immédiats (baisse des salaires, docilité supposée des immigrés due à la précarité...) et les syndicats marxistes à la recherche d'un prolétariat de substitution (le prolétariat français s'étant peu à peu rallié au camp national) et orchestré par les lobbys humanitaristes peu scrupuleux à l'affut de juteuses subventions, le tout sous l'œil bienveillant des médias aux ordres, ne pouvait, à terme, qu'engendrer la situation actuelle. Les brassages de populations étant immanquablement synonymes de déracinements et de pertes des repères civilisationnels.

Déjà, il y a 50 ans, des voix se sont élevées.

Dès le début des années 1970, des voix téméraires se sont élevées en France et en Europe pour dénoncer l'immigration incontrôlée. Ce furent les nationalistes du mouvement Ordre nouveau en 1973, puis l'immense écrivain Jean Raspail avec son roman prémonitoire le Camp des saints qui fit grand bruit à l'époque et, bien sûr, le Front national de Jean-Marie Le Pen à travers les multiples campagnes électorales auxquelles il participa. Plus tard, de nombreux mouvements et associations, ainsi que des intellectuels de renom, tels Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus ou Éric Zemmour et bien d'autres leur emboitèrent le pas et sonnèrent le tocsin. Tous payèrent très cher leur lucidité et leur engagement... Honneur à eux d'avoir eu raison alors que leurs contemporains se complaisaient dans un aveuglement confortable.

Quand la réalité dépasse la fiction.

Aujourd'hui, la terrible réalité éclate à la face de tous. Les Français lobotomisés constatent que leur pays est livré à la chienlit et les péroreurs patentés qui encombrent les plateaux de télévision étalent, avec des mines contrites de circonstance, leur stupéfaction artificielle face aux conséquences de leur inconséquence. Si la situation n'était pas aussi grave, nous pourrions éclater de rire face à ce spectacle affligeant.

Il est donc plus que temps pour nous autres, nationalistes et identitaires, de rappeler la justesse de notre combat. Ce n'est pas au moment où les événements nous donnent raison que nous allons réduire la voilure.

Cela, le gouvernement le sait bien et il le craint plus que tout. Voilà pourquoi, depuis quelques mois, il s'évertue à vouloir "museler", dans son ensemble, l'opposition nationale, seule opposition crédible à la destinée mortifère du mondialisme. En interdisant de manière arbitraire les réunions et les colloques, en procédant à des dissolutions injustifiées, en calomniant en permanence les forces patriotiques, le pouvoir macronien aux abois tente par tous les moyens de sauver sa peau. 

Alors, évitons de sombrer dans ces provocations, amplifions notre combat et gardons notre détermination car nous savons, et l'Histoire vient une fois de plus de nous le prouver, que nous avions et que nous avons toujours raison.

Nous n'allons pas nous priver de le faire savoir. Dans les semaines qui viennent, nous allons publier un numéro hors-série de Synthèse nationale entièrement consacré à cela. Nous comptons sur vous tous pour nous aider à le diffuser le plus largement possible. 

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Rappel : IL EST ENCORE TEMPS, INSCRIVEZ-VOUS À LA "FÊTE DU COCHON" DU PDF, DIMANCHE 10 SEPTEMBRE PRÈS DE RENNES

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RÉSERVATIONS : 06 09 53 93 84

Sur la Fête du cochon 2022 cliquez là

Journal du chaos

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vendredi, 08 septembre 2023

Jacques Bompard présente son nouveau livre "Le gouvernement des juges" à TV Libertés

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Le gouvernement des juges, Jacques Bompard, éditions Godeffroy de Bouillon, 2023, 230 pages, 25,00€

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jeudi, 07 septembre 2023

Beaucoup ne naissent pas victimes, mais le deviennent… surtout en Macronie !

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La chronique de Philippe Randa

Depuis le jeudi 31 août, la quasi-totalité des médias et une multitude d’associations n’ont de cesse de s’indigner de l’assassinat d’une policière, mère de quatre enfants, massacrée par son ex-compagnon à coups de machette devant son petit garçon de trois ans.

Rarement, par le passé, l’assassinat d’une policière aura à ce point ému le quatrième pouvoir (les médias) quand les victimes étaient tuées alors qu’elles étaient simplement « en service »… Mais il est vrai que ce tragique fait divers survenu en Savoie est surtout prétexte à dénoncer les violences conjugales : les violences sociétales, criminelles ou religieuses, elles, ne semblant pas justifier la même indignation de la part des autoproclamés détenteurs de la vérité.

Toutefois, le terme « féminicide » – soit le « meurtre de femmes commis par des hommes parce que ce sont des femmes » (définition de l’écrivain Carol Orlock) – est sans doute particulièrement inapproprié dans la plupart, sinon la totalité des 90 assassinats comptabilisés à ce jour sous ce terme depuis le début de l’année 2023 : ce n’est pas parce qu’elles étaient femmes qu’elles sont mortes, mais pour des motifs de jalousie, de colère, de séparation, de bêtise, sinon de culture et peut-être aussi, dans certains cas, de religion… ce qui rend particulièrement stupide, sinon odieux, le slogan braillé dans certaines manifestations « On ne naît pas femme, mais on en meurt », dérivé de la célèbre phrase de Simone de Beauvoir « On ne naît pas femme : on le devient. »

La lutte contre les violences faites aux femmes ayant toutefois été déclarée en 2017 par le président de la République « grande cause du quinquennat », Caroline Boisnoir, la présidente de l’association « Cœurs de Guerrières » (association nationale d’aide aux victimes de violences conjugales) a donc beau jeu de s’indigner : « Beaucoup d’effet d’annonce de la part du gouvernement […]. Nous, on y a cru quand il nous a évoqué cette grande cause du quinquennat. On a eu des effets d’annonce, en parlant des téléphones “Grave danger” qui ont été multipliés et des bracelets anti-rapprochement. Mais les téléphones “Grave danger” sont toujours aussi difficiles à obtenir. Les bracelets anti-rapprochement, il faut le consentement aussi de l’homme qui sort de prison pour être sûr qu’il est bien d’accord de porter ce bracelet et… il n’y a pas d’obligation ! Ce qui est assez bizarre. »

Des esprits chagrins pourraient faire remarquer à cette dame que les « effets d’annonce » gouvernementaux ne sont pas choses nouvelles et en quoi d’ailleurs les violences conjugales devraient-elles être davantage une « grande cause nationale » que d’autres violences ?

Seraient-elles plus inadmissibles, et donc plus prioritaires, et à quel titre, que toutes les autres maltraitances, délits ou crimes envers non seulement enfants ou personnes âgées, mais aussi envers n’importe quel citoyen, quel que soit son sexe, son âge, son origine, ses opinions ou sa vie privée ?

Du moins dans une société de droit où la sécurité se doit d’être la première obligation d’un État digne de ce nom pour tous ses citoyens… sans discrimination de sexe !

Si certains naissent stupides et n’en meurent pas pour autant, il est certain que beaucoup d’autres ne naissent pas victimes, mais le deviennent… surtout en Macronie !

Lire EuroLibertés cliquez ici

23:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

États-Unis : Trump et l'élection présidentielle 2024 plus l’affaire Barack Obama

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17:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éric Dupond-Moretti deviendrait-il le porte-parole du RN ou de Reconquête ! ?

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Michel Festivi 

Il me deviendrait presque sympathique mon garde des sceaux préféré. Interrogé par la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les violences commises à Sainte-Soline, ce printemps, par des écolos-gauchistes, il a tenu des propos particulièrement roboratifs, qu’on en juge.

Après avoir exprimé : « son ras le bol face à la petite musique de la désobéissance civile », il a fustigé ceux qui croient « qu’on a le droit, quand on est porteur d’une cause légitime, de ne plus obéir à la loi, c’est infernal. » Car rajoute-t-il non sans raison : « rien n’est plus liberticide ».

Et de rappeler avec beaucoup de bon sens, il faut en convenir : « Quand on n’est pas content de l’inaction gouvernementale en matière d’écologie, on peut aller fracasser des œuvres d’arts ? ».

S’agissant de Sainte Soline, où visiblement le Conseil d’Etat, lui, n’a rien vu, rien entendu, Dupond-Moretti en rajoute une couche évoquant : « des hordes de types qui ne respectent rien… qui ont traversé l’Europe… » pour aller casser à Sainte Soline. Espérons que cela arrivera aux oreilles de nos juges du Palais Royal, qui vivent dans leur bulle dorée.

Il a déclaré avoir été très choqué par ces violences, comme celles qui ont gravement endommagé le Tribunal d’Aurillac qui a été mis à sac, et le mot est un doux euphémisme, par des bandes de gauchistes qui comme d’habitude cassent et brisent tout. Mais qu’à-t-on fait ?

Dénonçant « des incendiaires dans le monde politique », un élu du RN lui a alors judicieusement demandé à qui il faisait allusion, sans désemparer, Éric Dupond-Moretti à lancé tout uniment : « à l’extrême gauche » et d’en rajouter une couche : « Aux gens qui pensent que nous avons basculé dans le liberticide, je les invite à faire un petit tour à l’étranger. Faut arrêter de raconter ces salades…Faut arrêter de raconter ces conneries. C’est insupportable. »

Pour une fois la langue de bois n’était pas de mise. Mais EDM devrait rapporter ses solides propos à son collègue Gérald Darmanin, qui lui est un grand liberticide en faisant donner des ordres systémiques à ses préfets et à sa police pour interdire les réunions ou manifestations de patriotes ou de personnes qui refusent l’immigration sauvage et débridée, et qui eux ne cassent pas, ne brisent pas et se contentent de faire valoir leurs idées.

En tout cas, ne goûtons pas notre plaisir. Même si tout cela est passager ou temporaire. Mais cela fait plusieurs fois que je remarque que les propos de notre ministre de la justice sont en déphasage complet avec ceux d’autres ministres. C’est sans doute dû au fait qu’EDM n’est pas un politicien ordinaire, qu’il vient de la société civile, qu’il a exercé, lui, un vrai métier et qu’il ne dépend pas de la politique politicienne. Si demain sa carrière politique s’arrête, et elle peut s’arrêter brutalement, il reprendra sans doute sa robe d’avocat sans sourciller. Il a d’ailleurs souvent déclaré qu’il avait divisé par 10 ses revenus en devenant ministre.

En tout cas encore un petit effort, mon cher maître, Monsieur le ministre, de Renaissance au RN ou à Reconquête ! il n’y a qu’un pas si l’on vous entend !

Rappel : Michel Festivi donnera une conférence samedi prochain, 9 septembre, au Puy-en-Velay cliquez ici

17:29 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour était ce jeudi matin l'invité de C News et Europe 1

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Eric Zemmour, entretien au Figaro

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Dans cet entretien avec Paul Laubacher et Albert Zennou du Figaro, Eric Zemmour confirme qu’il a confié la tête de liste de Reconquête à Marion Maréchal pour les prochaines échéances électorales européennes de 2024. Comme il l’affirme, « Je n’ai pas vocation à être candidat à toutes les élections ». et en profite pour se livrer à une analyse subtile de la situation politique de notre pays. Tout en se désolant que l’union des droites, en l’état actuel des choses, soit impossible à réaliser. Instructif.

Lire l'entretient ICI

Source : Figaro 7/9/2023

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Quand Macron prétend « refaire » la nation

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Vincent Coussedière*

Les émeutes de fin juin 2023 auraient-elles enfin fait prendre conscience à Emmanuel Macron de la gravité de la crise nationale et identitaire traversée par la France ? L'entretien que le président a accordé au Point pourrait le laisser croire, tant il ne cesse de répéter que le défi de son second quinquennat sera de « refaire », « rebâtir », « refonder » la nation.

On pourrait penser que si la nation est à refaire c'est parce qu'elle a été défaite par les émeutiers. Or la lecture de « la grande explication » du président fait apparaître le contraire. A ses yeux, il semble que la nation soit responsable des émeutes davantage que les émeutiers eux-mêmes.

En effet, que nous dit Emmanuel Macron à propos des émeutes ? Que c'est parce qu'elle n'a pas su « intégrer » ses  propres  enfants que la France est contestée par ceux- ci. Il faut donc que la nation se remette en question à travers son Etat et que celui-ci ouvre davantage de "chantiers" permettant l'intégration: celui de la famille, de l'école, de l'offre économique. A aucun moment, le discours présidentiel ne porte sur la responsabilité des émeutiers dans les émeutes, et Macron reste prisonnier d'une forme de renvoi dos à dos entre ceux-ci et les détenteurs de l'autorité publique: « Ce qui se passe, c'est que vous avez une relation qui n'est pas réglée entre une partie de la jeunesse et l'autorité. » Le lecteur se demande alors qui est responsable de cette relation non réglée avec l'autorité, le président se plaçant dans une curieuse position d'extériorité alors qu'il incarne lui-même le niveau le plus élevé de l'autorité publique !

Tout, dans le portrait des émeutiers brossé par le président, concourt à les déresponsabiliser. « Ce ne sont pas les étrangers qui ont causé ces émeutes, 90 %sont nés français ! »: le sous-entendu étant que la France, mauvaise mère, reconnait les individus issus de l'immigration "français" sans leur donner les moyens de l'être, sans avoir cherché à les "intégrer" véritablement. Déresponsabilisation aussi lorsque le président fait des émeutes une simple réaction à l'injustice ressentie: « Il n'y a pas eu de message politique, pas davantage de message social ni religieux. » Comme si l'irrespect de la loi n'était pas soutenu par le respect d'une autre "loi" qui la conteste : loi de la bande, loi des caïds, loi religieuse.

Déresponsabilisation encore quand il souligne la jeunesse des émeutiers, la fragilité de leur lien familial et la faiblesse de leur nombre: « Une immense majorité des personnes interpellées vient de familles monoparentales ou de l'aide sociale à l'enfance ». « 10 000 personnes environ qui ont créé du désordre », « D'abord, on parle de quelques milliers de jeunes, très jeunes. » Or ce point est contesté par de nombreux spécialistes qui multiplient au moins par dix le chiffre cité par Macron et soulignent que les très jeunes étaient souvent encadrés par des moins jeunes...

Sur les bases d'un tel diagnostic, la solution ne peut venir que d'un effort supplémentaire de cette mauvaise mère qu'a été la France. L'Etat doit se substituer à la famille plus tôt encore: les enfants devant pouvoir entrer dès 2 ans à l'école. Il doit contrôler l'usage des écrans qu'il a lui-même introduits en suréquipant les écoles. Il doit proposer une école ouverte de 8 heures à 18heures pour que les enfants ne soient pas dans les rues. Il doit travailler avec les familles pour leur apprendre à être des familles Il doit proposer de l'emploi à tout le monde car « intégrer suppose de trouver une place dans la société. par le travail ». Bref, Macron reprend toutes les solutions d'intégration "républicaine" ayant échoué depuis quarante. ans et ayant conduit au point ou nous en sommes.

Cette continuité dans l'erreur se révèle au moment où la rédaction du Point l'interroge sur la question du nombre. « Est-ce qu'on est submergés par l'immigration ? Non. C'est faux de dire cela. Cela dit, la situation que nous connaissons n'est pas tenable et nous devons réduire significativement l'immigration. » Et pourquoi la situation ne serait "pas tenable" si tout risque de submersion est exclu ? On ne le saura pas. C'est tout juste si le président accorde qu'il faut réduire l'immigration : « Il faut réduire l'immigration, mais il faut continuer en parallele d'agir par l'école, l'intégration, l'autorité, la République. Et l'économie. »

Rien, dans cette «grande explication » présidentielle, ne temoigne d'un veritable travail de reflexion. Au lieu de comprendre que la France en a trop fait en matière d'immigration, Macron dit qu'elle n'en a pas fait assez.

Réduire l'immigration d'un côté, accentuer l'effort étatique de l'autre: il poursuit la "chimère de l'intégration" sans s'interroger sur le fait que c'est cela qui a produit des Français qui n'aiment pas la France. La « conversion au réel » qu'espérait le préfet Brochand, inquiet que le « pronostic vital du pays » ait été engagé dans ces émeutes n'a pas eu lieu. 

(*) Vincent Coussedière est philosophe et essayiste

Source :Valeurs Actuelles 7/9/2023

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mercredi, 06 septembre 2023

Marion Maréchal conduira la liste Reconquête ! aux élections européennes de juin 2024

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Un communiqué de Eric Zemmour :

Je veux vous annoncer que j'ai décidé de confier à Marion Maréchal la mission de conduire la liste de Reconquête pour les élections européennes. 

Je souhaite qu'elle soit accompagnée par toute la jeune génération, venue de tous les partis de droite, qui m'a rallié pendant la présidentielle et que notre liste fasse le meilleur score possible.

Vous le savez : je ne suis pas un politicien comme un autre. Je n'ai pas vocation à être candidat à toutes les élections. Je me suis présenté à l'élection présidentielle pour des raisons précises et je ne serai pas systématiquement candidat à toutes les élections. 

Marion Maréchal a du talent. Toute la jeune génération de mon parti a aussi beaucoup de talent et j'estime qu'ils seront très à même de défendre ma conception de l'Europe, ma conception de la civilisation. 

Comme président de Reconquête, je serai évidemment à leurs côtés et j'espère que vous aussi. Je ferai évidemment campagne. On peut faire campagne, défendre ses convictions, sa conception de l'Europe sans forcément être tête de liste.

Une belle année de combats nous attend. Nous avons un pays à reconquérir. 

Vive la Reconquête, et surtout, vive la France ! 

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IL N’Y A PAS D’URGENCE CLIMATIQUE

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Robert Spieler

La climatologue Judith Curry, une climatologue américaine de premier plan, explique que la science a été corrompue par la politique et qu’il n’y a pas d’« urgence climatique ». Judith Curry, qui est présidente et cofondatrice du Réseau d’applications des prévisions climatiques, qui a occupé la chaire des sciences de la terre et de l’atmosphère pendant 13 ans, qui est un ancien membre du comité de recherche sur le climat du Conseil national américain de la recherche, membre de l’American Meteorological Society, de l’American Association for the Advancement of Science et de l’American Geophysical Union, a publié plus d’une centaine d’articles scientifiques, et a codirigé plusieurs ouvrages majeurs sur le climat. Ses recherches portent sur les ouragans, la télé- détection, la modélisation atmosphérique, les climats polaires, les interactions air-mer, les modèles climatiques. Elle connaît a priori son sujet, en tout cas mieux que Sandrine Rousseau. Elle était interviewée dans le Marc Morano Show sur TNT Radio Live. Elle s’est moquée des prédictions selon lesquelles la Terre entre dans l’ère « de l’ébullition mondiale », rappelant que les records de chaleur ne remettent pas en question les limites de la survie humaine et que le froid tue beaucoup plus de gens que la chaleur. Elle note aussi perfidement qu’aux Etats-Unis, la population des 50 comtés les plus exposés à un « risque de chaleur extrême » a augmenté en moyenne de 4,7 % entre 2016 et 2020, et les localités où le risque climatique est relativement faible ont vu leur population diminuer. « Soit ils sont tous idiots », dit-elle, soit, le « risque climatique » est une amplification médiatique.

Se moquant du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, très en pointe sur le sujet, elle conclut : « Je me demande qui invente ce genre d’âneries pour Guterres ». Judithe Curry n’est pas seule, loin de là. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, viennent de déclarer que « l’urgence climatique est un mythe » et qu’ils « s’opposent fermement à la politique néfaste et irréaliste de réduction nette des émissions de CO2 » qui est préconisée dans le monde entier. Ils ne nient pas l’effet nocif des gaz à effet de serre, mais remettent en question l’hystérie provoquée par le récit d’une catastrophe imminente, demandant aux autres scientifiques de « s’attaquer aux incertitudes et aux exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique ». Ils affirment que la politique et la frénésie journalistique ont propulsé une hystérie apocalyptique sur le changement climatique. Leur conclusion : « la science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques ».

Le Docteur John F. Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, a déclaré, quant à lui : « La science climatique erronée s’est métastasée en une pseudo-science journalistique massive et choquante. À son tour, cette pseudo-science est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d’autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendues par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi malavisés ».

Source Rivarol 6/9/2023

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mardi, 05 septembre 2023

Michel Festivi sera samedi au Puy-en-Velay

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Samedi 9 septembre, à 17h, la librairie Arts Enracinés recevra notre collaborateur Michel Festivi pour une conférence sur la guerre d’Espagne et une signature de ses livres.

Michel Festivi présentera notamment les ouvrages suivants :

​- Miguel Primo de Rivera : un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne (1923-1930)  cliquez ici ;

L’Espagne ensanglantée : anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires (1880-1939) ;

Les trahisons des gauches espagnoles : du républicanisme au totalitarisme (1930-1936).

L’entrée est à 10€.

Arts Enracinés 25 rue Raphaël 43 000 Le Puy-en-Velay - 06 32 25 93 59

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Espagne : Où en est Vox ? Quid de l’union des droites ?

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Michel Festivi 

A la suite des élections régionales et municipales du 28 mai, puis des législatives du 23 juillet, il était important de faire le point sur la situation du parti Vox emmené par Santiago Abascal, parti qui se bat pour l’unité de l’Espagne, l’unité de sa langue, la lutte contre l’immigration sauvage et débridée, et qui pourfend les doxas ultra féministes et la chape de plomb mémorielle des gauches qui se sont abattues sur le pays depuis plusieurs années.

S’agissant des élections législatives du 23 juillet dernier, il est de bon ton dans la grande presse et les grands médias du système, de soutenir avec délectation que Vox a singulièrement reculé et qu’il est en grande perte de vitesse.

Or, pour qui connaît bien la vie politique espagnole, c’est loin d’être le cas. Vox avait obtenu un score sensationnel en 2019 en engrangeant 52 députés (Les Cortès des députés disposent de 350 sièges). Mais ce que les commentateurs n’évoquent jamais, c’est qu’alors, le Parti Populaire était en totale perdition et avait recueilli 89 sièges soit l’un des pires résultats de son histoire.

Vox en avait logiquement profité, par le jeu des vases communicants (les élections ne sont qu’à un seul tour, à la proportionnelle par listes provinciales). En effet, dans la précédente législature Vox avait obtenu 24 députés. Il n’est pas inutile de rappeler que Vox n’a été créé qu’en 2013, d’une scission du PP d’ailleurs. Dès lors en obtenant 33 députés ce 23 juillet, Vox a fait un résultat des plus honorables, le PP obtenant 137 députés, soit 48 de plus qu’en 2019. Au demeurant tous les sondages prévoyaient qu’avec un PP en ascension fulgurante, Vox ne pouvait pas maintenir son niveau de 52 députés, c’est quasiment mécanique, certains sondages indiquaient même que Vox n’aurait que 20 à 25 députés.

Aujourd’hui on attend le dénouement de la tentative d’Alberto Nuñez Feijoo, le chef du PP, d’obtenir des Cortès son investiture, mais cela s’annonce difficile voire impossible de réunir une majorité absolue et même relative. Le résultat aura lieu pour le 27 septembre. En cas d’échec, c’est Pedro Sanchez du PSOE qui tentera l’investiture, et à défaut, les espagnols revoteront vers la mi-janvier.

S’agissant des municipales et des régionales du 28 mai, Vox a multiplié par 3 voire plus le nombre de ses élus. Avec le PP, Vox gouverne désormais dans près de 150 municipalités, dont plusieurs capitales provinciales, comme Tolède, Burgos, Aranjuez, Ciudad Real, Alcala de Henares etc…

Une municipalité en Espagne est une collectivité territoriale bien plus importante qu’en France en superficie, voire en habitants, l’Espagne ne comptant que 8112 municipalités, contre 34945 en France. Dans mon « municipio » de la province d’Almeria par exemple, avec une seule voix de majorité, le PP et Vox gèrent désormais cette cité andalouse de plus de 31000 Habitants, le PP avait comme le PSOE obtenu 10 sièges et Vox 1. Ici l’union des droites a prévalu. Le lecteur avisé observera qu’en Espagne pour une municipalité de plus de 31000 habitants, cela génère 21 conseillers, contre 39 en France.

Mais, et de loin, le plus important restait les élections aux communautés autonomes qui disposent de très larges pouvoirs en divers domaines, économiques, fiscaux, sanitaires, scolaires et d’infrastructures. Désormais et après bien des tergiversations, le PP et Vox ont réussi, non sans mal, à s’accorder dans les régions qui ne pouvaient être gouvernées qu’avec leur entente.

Il faut dire que le galicien Alberto Feijoo est franc comme un âne qui recule, et qu’il a passé son temps à envoyer des messages contradictoires aux électeurs de droite, ce qui lui a coûté cher, puisqu’il n’a pas obtenu avec Vox la majorité absolue aux Cortès (176 sièges). A cet égard, il ne peut que s’en prendre à sa très mauvaise campagne des législatives, alors qu’il surfait sur sa victoire aux municipales et régionales. Mais à vouloir effectuer, comme disait Lénine « un pas en avant, deux pas en arrière », on n’arrive à rien ou à pas grand-chose.

Si aux Baléares, Vox a accepté de soutenir le PP, sans sa participation directe à l’exécutif, il a obtenu néanmoins des conseillers locaux à Minorque et à Majorque. En Estrémadure, dans la région de Valence, en Castille et Leon, en Aragon et désormais dans la région de Murcia, Vox est rentré dans ces exécutifs régionaux, dans le cadre d’accords de gouvernement avec le PP.

Cela tranche totalement avec les rejets réitérés des LR chez nous, de refuser tous accords même locaux avec les élus RN, préférant laisser la gauche prendre le pouvoir. Malgré de nombreux obstacles liés essentiellement au Parti Populaire, dont le leader n’a aucune doctrine claire, les choses avancent et des jalons sont posés pour l’avenir. 

Reste maintenant à Vox à démontrer son sérieux, sa constance et sa volonté de faire triompher les forces populaires et nationales contre les séparatismes, les indépendantismes, et les gauchismes de toutes obédiences. Ce sera l’enjeu crucial des prochaines semaines et des prochains mois.  

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Lâcheté, inculture et propagande : une prof lève le voile sur l’école de 2023

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Arnaud Florac Boulevard Voltaire cliquez ici

Puisque c'est bientôt la rentrée, l'occasion faisant le larron, intéressons-nous à ce que l'on apprend désormais à l'école. Demandons-nous ce que nos chères têtes (de moins en moins) blondes entendent toute la journée, ce qu'on leur fait dire, écrire et même penser. Comme pour nous épargner un fastidieux travail de recherche, la décidément excellente Judith Waintraub relaie, dans Le Figaro, de larges extraits de La Grande Garderie, un livre qui semble très prometteur, écrit par Lisa Kamen-Hirsig, une enseignante qui a tout vu et nous le fait partager. Alors, allons-y !

L'idéologie semble être, sans surprise, la base de tout. L'Éducation nationale fournit les grands sujets : sexualité et écologie sont au cœur du projet. Dans le domaine de l'éducation sexuelle, on commence dès le CP et on demande ensuite à des enfants de huit ans (dont le propre fils de l'enseignante) d'imaginer qu'ils changent de sexe. Au concours de professeur des écoles, on pose la question suivante : « En classe de moyenne section, vous remarquez que les garçons jouent aux voitures et les filles à la dînette : comment résolvez-vous ce problème ? » Parce qu'évidemment, il y a un problème là-dedans. On demande aux élèves de réécrire une histoire caricaturale, et totalement inventée par l'Éducation nationale, dans laquelle un père et son fils regardent le foot à la télévision pendant que la mère et sa fille préparent des crêpes. Sous prétexte de l'impayable « lutte contre les stéréotypes de genre », on fait donc n'importe quoi. Il n'y a guère d'autre terme. Dans le domaine de l'écologie, on fait des « jeux de rôle » pour négocier pendant une COP. Les élèves y jouent des militants d'ONG, avec des consignes tellement claires que, sur une fiche de poste pour les grandes personnes, cela semblerait très directif : « En tant qu’ONG, vos revendications en faveur de la nature peuvent paraître irréalisables aux yeux des autres participants. Les États pourront vous reprocher d’oublier leurs enjeux économiques (compétitivité et emplois). Pour légitimer vos propos, vous devrez donc vous appuyer sur votre expertise scientifique et votre expérience des négociations internationales. Vous aurez également un regard critique sur les conclusions de la négociation en produisant un compte rendu sur les mesures prises. » Quand on fait les questions et les réponses, comment cela s'appelle-t-il ? L'URSS, peut-être ?

Voilà pour le fond idéologique. Passons au contenu des programmes. Évidemment, rien de contraignant, pas de discipline à l'ancienne, pas d'apprentissages fondamentaux. En classe de première (!), on trouve les injonctions infantilisantes suivantes, dans une liste intitulée Ma petite planète scolaire, au chapitre « biodiversité » : « réaliser la posture du lion en yoga et en profiter pour méditer cinq minutes » ou encore « faire un câlin à un gros arbre (un dont tu ne peux pas faire le tour avec les bras) ». Les plus petits ne sont pas épargnés, rassurons-nous. Ainsi, entre le CP et le CE2, « cycle des apprentissages fondamentaux », on trouve la matière « questionner le monde », qui reprend peu ou prou les vocables ringards d'histoire, géographie et sciences naturelles. Curieux, vous direz-vous peut-être, de questionner le monde en général au lieu de poser des questions concrètes à des adultes précis, qui vous donneront des réponses, imparfaites peut-être mais du moins réelles. Elle est comme ça, l'Éducation nationale. Plus c'est abstrait, mieux c'est. Moment de sabir issu du programme, choisi parmi mille autres : « Utiliser et produire des représentations de l’espace. »

On termine ce consternant florilège par la dernière couche de vernis : fascination idiote pour le numérique et le ludique (avec la fin des tableaux noirs, la transformation de tout en jeu sans conséquence, etc.), couplée à une lâcheté totale du corps enseignant. Lisa Kamen-Hirsig raconte que deux harceleurs qu'elle avait punis, et dont elle avait demandé l'exclusion, ont été couverts par le proviseur, qui a refusé de les renvoyer pour ne pas avoir d'ennuis avec le rectorat.

Voilà, en somme, ce qui attend nos enfants ou nos petits-enfants à l'école de la République. Pour ceux qui en seraient atterrés, il y a toujours la solution adoptée par des élites qui savent très bien ce qu'elles ont fait et agissent en conséquence : mettre ses propres enfants dans des écoles privées exigeantes qui appliquent des méthodes intemporelles. Ainsi de Pap Ndiaye avec l'École alsacienne - comme tant d'autres avant lui. Ou alors, au hasard des listes de classe, il y a la possibilité de tomber sur un professeur passionné qui serpente entre les oukases académiques pour transmettre son savoir avec passion. Bon courage à tous les parents, bonne rentrée à tous les enfants ! La vie est un combat, si on veut, mais l'instruction ne devrait pas être une lutte.

La Grande garderie, Lisa Kamen-Hirsig, Albin Michel, 2023, 288 pages, 20,90 €

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SOS Santé

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Jacques-Olivier Martin

L’inaction et les mauvais politiques sont un poison redoutable.  Et voilà que l’on découvre politiques sont un poison redoutable. Les premiers symptômes sont très longs à se manifester. Mais, lorsqu’ils deviennent visibles, la dégradation s’accélère. Difficile alors, pour ne pas dire impossible, de faire machine arrière. Il en est ainsi du recours à la dette publique. Au début (il y a cinquante ans), quelques milliards d’euros, puis 100, 1 000 et plus de 3 000 milliards aujourd’hui. Toujours plus d’intérêts, de prélèvements, de promesses non tenues de baisse de l’endettement... Redoutable nœud coulant. Et que dire des 35 heures, qui ont sapé la valeur travail. Aux mêmes maux, les mêmes conséquences. Partout, y compris pour les pénuries de médicaments qui frappent notre pays. Là encore, elles sont la conséquence des errements politiques des décennies passées. Quels sont-ils ? La combinaison de trois calamités au minimum. L’abandon de l’industrie. Au départ, rien de bien visible. Les usines sont toujours là, mais leurs propriétaires n’y investissent plus et les nouveaux traitements sont produits ailleurs. Les principes actifs cruciaux pour la souveraineté du continent tombent à bas bruit dans l’escarcelle de la Chine ou de l’Inde. Et voilà que l’on découvre politiques sont un poison que l’on manque d’aspirine et d’antibiotiques.

La bureaucratie dévorante, ensuite. Celle du médicament, si lente et tatillonne, pousse les labos à mener leurs essais cliniques à l’étranger. Les moins téméraires ne veulent même plus demander l’autorisation de mise sur le marché de leurs traitenemts en France, tant la procédure est lente et coûteuse.  Et, enfin, une politique de santé qui a fait du médicament, et notamment du prix des génériques, la variable d’ajustement du financement d’une Sécurité sociale obèse et dispendieuse.

Alors, que faire ? Commencer par augmenter les prix pour que les laboratoires livrent nos officines. Et puis débureaucratiser la santé, restaurer les finances publiques pour retrouver des marges de manœuvre financières pour l’éducation, la formation, l’innovation, le prix des médicaments... Première urgence : passer à l’action. Désormais, la santé des Français en dépend.

Source : Le Figaro 5/9/2023

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Affaire Traoré : Rendons au Mali ses forces vives !

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La réaction du Parti de la France :

La justice a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans l'affaire du délinquant Adama Traoré, mort en juillet 2016 à la suite de son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, selon une ordonnance des juges d'instruction.

Ça fait donc 7 ans que la smala Traoré excite les banlieues afro-maghrébines contre les forces de l'ordre et la France en général pour que, finalement, la justice admette au bout du compte que ces mythomanes ont raconté n'importe quoi depuis le début.
 
Remigration prioritaire pour toute cette racaille ! Rendons au Mali ses forces vives !

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lundi, 04 septembre 2023

Malgré les injonctions du préfet de la Vienne, les Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil ont remporté un grand succès...

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Comme chaque premiers samedi et dimanche de septembre, depuis le début des années 1970, se sont déroulées cette fin de semaine les traditionnelles Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86) organisées par Diffusion de la Pensée française cliquez ici.

Lancées par Jean Auguy, fondateur de DPF, et ses amis, ces Journées, parfaitement encadrées, se sont toujours déroulées, avec un succès croissant, sans qu'aucun incident ne viennent perturber "l'ordre républicain". Cependant, cette année, il a faillit en être autrement. Figurez-vous que l'annonce de la venue, samedi matin, de l'historien Pierre Hillard a visiblement contrarié le Préfet de la Vienne qui n'a pas trouvé plus malin que d'interdire à celui-ci de prendre la parole en menaçant purement et simplement d'interdire l'ensemble de ces Journées. Une fois de plus, la macronie aux abois nous a montré son vrai visage, celui de l'intolérance et de la répression. Rappelons qu'au même moment, il était interdit à Yvan Benedetti et à ses militants de déposer une gerbe sur la tombe de Pierre Sidos, au cimetière de Thiais (94), décédé il y a trois ans.

L'interdiction de s'exprimer faite à Pierre a eu un effet que ce malheureux préfet n'avait certainement pas prévu : les ventes de ses livres ont pulvérisé les records... Pauvre Darmanin, pauvre préfet... continuez comme cela et le jour viendra où vous vous en mordrez les doigts...

Synthèse nationale, comme chaque année, était aussi invitée à ces journées et notre stand a reçu un grand nombre de visiteurs qui en profitèrent pour acheter nos livres ou pour s'abonner à notre revue. Didier Lecerf, auteur de la biographie de François de La Rocque que nous avons publiée l'hiver dernier, a donné une conférence sur le sujet. Il passa ces deux journées à dédicacer son livre. Il en alla de même pour Bernard Germain et pour Michel Festivi aussi présents sur notre stand.

Remercions François-Xavier d'Hautefeuille, le directeur de DPF, Mickaël Savigny, l'éditorialiste de Lectures françaises, ainsi que toute l'équipe de Chiré pour leur aimable accueil et souhaitons que l'an prochain la folie liberticide darmanesque ne soit plus qu'un mauvais souvenir... 

R. H. 

Le stand de Synthèse nationale :

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Didier Lecerf et Roland Hélie

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Michel Festivi, Roland Hélie et un ami chouan

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Bernard Germain dédicaçant ses livres

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Abaya, hidjab, burkini et autres qamis, tout est religieux et politique en islam, et réciproquement.

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Michel Festivi 

On le sait, ou on devrait le savoir, le coran ne distingue pas le politique du religieux, contrairement aux Evangiles qui ne sont pas la retranscription de la parole de dieu, mais des témoignages humains sur la vie et les actes de Jésus, fils de Dieu : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » Matthieu, XXII page 21 ou Luc, XX, 25.

Tout, absolument tout procède du dieu des musulmans dans le livre incréé, le coran (la récitation), qui n’est que la retranscription littérale en langue arabe, des ordres d’Allah dictés à Mahomet par le truchement de l’ange Gabriel (Djibril). Et ce même si le coran nous explique dans plusieurs versets que Mahomet était illettré, ce qui renforce le caractère incréé du livre.

Le coran est une loi politique, religieuse, civile, pénale, qui ne donne tous les droits qu’aux croyants et voue aux gémonies certes les non croyants, athées ou agnostiques, mais aussi avec certaines nuances, les juifs et les chrétiens. Ensuite, le coran distingue les hommes qui sont supérieurs aux femmes, et les femmes croyantes qui ont plus de droits que les autres femmes, l’esclavage est aussi légitimé dans plusieurs sourates. Cf Malek Chebel, L’esclavage en terre d’islam Chez Fayard, 2007.

Dans le coran la « miséricorde de dieu » n’existe qu’envers les croyants et seulement pour eux. L’islam peut se traduire par « la soumission ».

Globalement, le voilement des femmes croyantes, donc ce qui ne recouvrent pas seulement leurs têtes et leurs cheveux, mais aussi leurs corps est inscrit dans les versets du coran, deux au moins sont explicites à cet égard. Mais surtout, les sourates consacrent l’inégalité ontologique entre les hommes et les femmes. Elles doivent en toutes circonstances obéir aux hommes de leur famille (Père, mari, fils, frères, oncles, cousins etc.). Ce n’est pas une coutume, c’est la parole de dieu. Une coutume peut se modifier, pas la parole de dieu.

Dans le coran, la femme, à tout âge, ne peut jamais se marier sans un tuteur. Elle peut être répudiée unilatéralement, elle doit baisser les yeux devant un homme et accepter de se laisser frapper si par exemple elle a désobéi à son mari etc. Elle doit admettre sans sourciller que son mari ait trois autres épouses, plus autant de concubines qu’il souhaite. La femme mariée ou pas doit toujours être sous l’autorité d’un homme. Tout cela est écrit noir sur blanc dans le coran et repris par les hadits qui sont la compilation des faits et gestes de Mahomet.

La femme en islam, se doit donc de couvrir son corps et de ne pas faire apparaître en aucune manière ses formes. C’est très exactement le pourquoi du fondement du port du voile et de tous ces vêtements qui couvrent le corps des femmes.

Ces vêtements sont bien des signes religieux en islam. Ce sont des porte-drapeaux de l’avancée conquérante de l’islam dans nos sociétés occidentales. Leurs symboliques représentent l’antithèse totale de la séparation des pouvoirs spirituels et politiques qui depuis les premiers Rois de France est le fondement de la France et de ses institutions. Leurs significations, (et cela devrait faire bondir de colère, toutes nos féministes révolutionnaires et nos islamo-gauchistes), sont que ces vêtements concrétisent l’inégalité fondamentale entre les hommes et les femmes et la séparation des sexes que les lois de l’islam imposent de manière draconienne. Ensuite, en fonction des périodes, cela peut être appliqué avec plus ou moins de rigueur, mais les fondamentaux sont toujours là et peuvent resurgir à tout moment.

Comme le souligne avec justesse Jeannette Bougrab : « l’abaya répond aux prescriptions religieuses rigoristes, pour respecter l’awra, « la pudeur ». Les femmes doivent ainsi porter un vêtement couvrant toutes les parties de leur corps, afin de ne pas se montrer désirables. »

« Il faut se couvrir les cheveux, dissimuler les formes de son corps dans des tenues larges, noires, beiges, surtout pas chatoyantes, pour ne pas attirer le regard des hommes. L’abaya est le symbole de l’enfermement du corps de la femme. » 

Comme elle l’indique dans sa tribune du 4 septembre dans le Figaro Vox, l’Algérie s’est islamisée de cette manière en citant l’éditorialiste Amin Zaoui de Liberté Algérie. Comme l’a très judicieusement rapporté Jean-Eric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil Constitutionnel : « le port de l’abaya conduit l’élève qui la revêt à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse. Or, comme le souligne la circulaire du 18 mai 2004, prise pour l’application de la loi du 15 mars 2004… les signes et tenues interdits par la loi sont ceux dont le port conduit « à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse ». Et selon le titre de son article du 30/08/2023 dans le Figaro : « la loi de 2004 interdit l’abaya, ceux qui en doutent sont les idiots utiles de l’islamisme. » Chez nous en France on sait parfaitement qui sont ces idiots (ou idiotes) utiles.

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Ecole : mettre fin au collège unique

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Pédagogisme, collège unique, laïcité à géométrie variable, égalitarisme... En cette rentrée marquée par l’arrivée de Gabriel Attal au ministère de l’Éduca- tion nationale, Jean-Paul Brighelli revient sur ses thèmes de prédilection. Dans son nouvel essai cinglant, L’École à deux vitesses (L’Archipel), il dénonce les hypocrisies de la mixité, et l’«héritocratie», qui «laisse dans le fossé 90% du potentiel du pays». L’auteur de La Fabrique du crétin (2005) n’y épargne ni la jeune classe politique aux commandes - sa « conformité aux codes », sa « superficialité brillante » - ni les professeurs satisfaits de « ronronner devant un public présélectionné ».

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Source : Le Figaro 4/9/2023

10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette Amérique qui ne veut pas mourir

 

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Nous sommes témoins d’événements dont l’ampleur nous écrase. La disproportion semble ridicule avec des époques où les caractères nous semblaient à la hauteur des défis. À moins que ce soit l’inévitable distorsion du temps qui nous leurre ? Qui nous dit que les contemporains de la chute de Constantinople, de la Révolution française ou de la Grande Guerre n’étaient pas aussi timorés, aussi incompétents et aussi corrompus que ceux qui se retrouvent à piloter nos destinées alors que leurs pieds ne touchent pas terre? À moins, aussi, que nous ayons les lorgnons si bien ajustés sur la bassesse qu’il nous soit impossible de voir la grandeur ? De cette Amérique qui agonise, par exemple, ne voit-on pas émerger des figures épiques?

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Source : Antipresse

08:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 03 septembre 2023

Du suicide démographique

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Alors qu’une nouvelle loi immigration sera prochainement débattue au Parlement, les travaux de l’Insee devraient alerter le gouvernement sur l’ampleur des bouleversements démographiques qui attendent la France, explique le professeur émérite à l’université de Rouen Normandie, Pierre Albertini dans une chronique aussi inquiétante que pertinente du Figaro (31/08/2023). Vingt siècles et plus de culture et de civilisation pour en arriver là ! Désespérant.

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samedi, 02 septembre 2023

Contre la tenue d'un colloque immigrationniste à Saint-Brévin

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Grande initiative contre le colloque "Saint-Brevin terre d'accueil" le 23 septembre

Le collectif de Préservation de la Pierre Attelée, qui mène le combat depuis plus d'un an contre l'implantation d'un Cada près d'une école maternelle et primaire, a pris connaissance de l'initiative, impulsée par la LDH, le Mrap et d'autres associations immigrationnistes, le week-end du 23 et du 24 septembre (voir ICI)

Nous considérons la tenue de ce colloque, alors que la construction du Cada se termine, comme une véritable provocation, soutenue par les pouvoirs publics. 

La majorité de nos compatriotes réclame un référendum sur l'immigration, 

La surdélinquance explose dans tout le pays, touchant à présent trop souvent des enfants et des adolescents, 

Quatre manifestations pacifistes ont été méprisées par les pouvoirs publics, et agressées par des militants d'extrême gauche, 

Promouvoir "Saint-Brevin terre d'accueil" dans un tel contexte ne peut que susciter des tensions supplémentaires dans une ville où de plus en plus d'habitants prennent conscience de la folie de ce projet. 

Nous ne renonçons pas à faire annuler un projet qui doit imposer 110 clandestins, extra-européens, sans la moindre consultation démocratique, à notre quartier et à notre ville. Nous n'accepterons pas que des associations nationales et locales, gavées de subventions, vienne narguer les habitants de Saint-Brevin.

Nous organiserons donc une riposte déterminée à cette provocation, ce même week-end, en respectant, comme toujours, le cadre démocratique, et appelons l'ensemble des partis et associations qui soutiennent ce combat à nous rejoindre pour contester cette initiative douteuse et la politique du fait accompli.

Fait à Saint-Brevin, le 1er septembre

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