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samedi, 04 mars 2023

Découvrez comment mettre fin au chantage des Sleeping Giants... Connaissez-vous Les Corsaires de France ?

Le site Corsaires de France cliquez là

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Sabotage politique

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Jacques-Olivier Martin

La souveraineté et l’indépendance énergétique tiennent à peu de chose. Il aura suffi, il y a douze ans, d’un petit marchandage politique sur fond d’élection présidentielle pour briser quatre décennies d’une stratégie nucléaire qui ont permis à la France, pays sans gaz ni pétrole, de se doter d’une électricité abondante et décarbonnée. Quel gâchis ! En s’engageant à réduire la part du nucléaire de 75% à 50% de la production d’électricité d’ici à 2025, François Hollande, otage des Verts, a préféré la lutte des classes écolo au pragmatisme énergétique, quitte à sacrifier cette filière d’excellence. Quel avenir pour le nucléaire français, pour EDF, pour Areva, pour les réacteurs de nouvelle génération, pour les prix et les volumes d’électricité ? Autant de questions alors restées sans réponses. Et pour cause : « On s’est mis d’accord sur un marqueur politique, de manière à marquer les esprits. (...) Et après, vogue la galère!», a résumé Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie du président socialiste, devant la commission d’enquête de l’Assemblée qui planche actuellement sur «les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France ».

Et quelle galère, en effet! Pendant deux quinquennats, notre pays est resté prisonnier de cet accord idéologique «de coin de table». Avec les dégâts que l’on sait : la fermeture de Fessenheim, les atermoiements coupables sur l’avenir du parc nucléaire, et la chute d’EDF, privé d’une stratégie claire, de ses revenus, captés par l’État pour faire face à la flambée des prix de l’électricité, et aux prises avec des réacteurs vieillissants. Aujourd’hui, le chef de l’État n’a de cesse de vouloir s’ériger en chantre de la relance de l’atome civil et de l’indépendance électrique retrouvée. L’intention est louable, mais, soyons lucides : si la souveraineté énergétique peut se briser sur « un coin de table » politique, elle ne se reconstruit pas avec de belles promesses ou d’un coup de baguette magique. Pour l’heure, Emmanuel Macron, bien long à rompre avec la ligne Hollande, est aux yeux des Français le président qui a fermé deux réacteurs nucléaires remis à neuf!  

Source : Le Figaro 4/3/2023

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Bernard Germain remercie les patriotes qui lui ont apporté leurs soutiens

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Chers amis,

Le procès, que le journal Le Poher m’intente, devait avoir lieu ce vendredi 3 mars au tribunal judiciaire de Lorient cliquez ici. Il est reporté à une date ultérieure. Dès que nous la connaîtrons nous vous en informerons cliquez là.

N’ayant pas la possibilité de faire face aux frais de justice qui sont élevés, nous avons fait appel à la solidarité patriotique et nationale.

Les dons collectés, grâce à vos versements et au soutien que m'apporte Reconquête !, me permettent d’assumer les frais de la première instance.

Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont répondu à notre appel et me sont venus en aide.

La cagnotte restera en ligne pendant encore 6 jours.

Les nouveaux dons serviront à financer l’inévitable procès en Appel qui aura lieu à la suite.

Merci d’avance à ceux qui comprendront la situation et répondront à notre appel à la solidarité.

Avec tous mes remerciements

Bernard Germain

Pour ceux qui souhaitent faire

un don, c’est ici : cliquez là

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Journal du chaos

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vendredi, 03 mars 2023

Ivan Rioufol reçoit Reynald Secher

Reynald Secher prendra la parole :

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 Prenez dès maintenant votre réservation cliquez là

 

Frédéric Roy - "La France se suicide !" Marché européen de l'énergie

La faillite des entreprises françaises, ces TPEs et PMEs qui sont au bord du gouffre. André Bercoff reçoit Nicolas Meilhan, membre des éconoclastes, conférencier, ingénieur sur les sujets de Transport et d’énergie et Frédéric Roy Artisan-boulanger Niçois.

Nicolas Meilhan : "Chaque jour, une quarantaine de boulangeries ferme en France ! Il faut qu'on sorte de ce marché européen de l'énergie avant qu'il ne soit trop tard !" 

"Si Elisabeth Borne ne comprend pas que l'ARENH n'est pas en train de nous protéger, mais nous tuer à petit feu, on est quand même sacrément mal barré vu que c'est elle qui décide : c'est une scientifique qui a troqué sa règle de calcul contre un plat de lentilles bio."

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18:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Loïk Le Floch-Prigent : "On a confié le destin énergétique de la France à des ignorants"

Loïk Le Floch-Prigent, industriel, ancien PDG de Gaz de France et président de la branche industrie du mouvement patronal ETHIC, répond aux questions de Sonia Mabrouk.

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Arnaud Montebourg auditionné par la commission d'enquête souveraineté de l'Assemblée nationale

Créée à la demande du groupe Les Républicains, la commission d’enquête visant à établir « les raisons de la perte de souveraineté énergétique de la France » poursuit ses auditions. Après Luc Rémont , le Président-directeur général EDF, elle entend Arnaud Montebourg, ancien ministre du Redressement productif (2012-2014).

« On a perdu en 15 ans : Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Essilor. »

Cette intervention nous explique absolument toutes les mauvaises décisions de ces dix dernières années. J'espère que ça va ouvrir les yeux de beaucoup de Français. Rien que la partie sur les véhicules électriques et thermiques en dit extrêmement long sur l'incompétence de nos politiques.

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Conjectures politiciennes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

C’est une petite musique qui commence à circuler dans le tout-Paris médiatique et que le landernau politicard répète à l’envie afin de s’effrayer à bon compte. 2027 verrait l’élection de Marine Le Pen à la présidence de la République.

Les ultra-modernes augures expliquent cette prédiction par des analogies. Après deux mandats, Barack Obama qui, s’il avait pu se présenter encore, aurait effectué un troisième, puis un quatrième mandat, a laissé la place à Donald Trump. Ne pouvant plus se représenter, Emmanuel Macron passerait la main à la finaliste malheureuse de 2017 et de 2022. Cette hypothèse hardie se base sur une gauche, unie ou non, absente du second tour, des Républicains en coma dépassé et, surtout, une majorité présidentielle éclatée en plusieurs candidats (Édouard Philippe, François Bayrou, Bruno Le Maire, peut-être Gérald Darmanin et un représentant de l’aile progressiste de la Macronie). Elle parie enfin sur une exaspération populaire générale croissante à venir propice à la victoire du marinisme.

Mais le scénario envisagé ne s’arrête pas en 2027. Il intègre l’échéance présidentielle suivante avec une nouvelle candidature d’Emmanuel Macron, âgé de 55 ans. Il reviendrait à l’Élysée effectuer un nouveau décennat. Observons le tumulte permanent suscité par une opposition protéiforme qui a paralysé, parasité et éclipsé l’action de Trump et du Brésilien Jair Bolsonaro. Aujourd’hui, l’Italienne Giorgia Meloni montre toute la difficulté de diriger un pays occidental quand on ne provient pas entièrement des cénacles officiels. La médiacratie, l’opposition de gauche, la haute-administration et la magistrature l’encerclent et l’empêchent de conduire la politique pour laquelle elle a été élue. En quatre mois, la présidente de Frères d’Italie est revenue sur ses promesses électorales, applique une politique dans la stricte continuité de Mario Draghi et se doit de composer avec la Commission de Bruxelles qui sait que le rapport de force joue en sa faveur.

Malgré une éventuelle majorité absolue au Palais-Bourbon, Marine Le Pen à l’Élysée serait ligotée et surveillée par le Conseil constitutionnel, la Cour de Cassation, la Cour de justice de l’Union pseudo-européenne, la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil d’État, les réseaux d’influence qui noyautent la fonction publique, les syndicats, la médiacratie, l’ONU, l’OTAN, etc. Soit elle renoncerait à des pans entiers de son programme déjà bien léger, ce qui plongerait la France dans la déception, le marasme et la dépolitisation, soit son expérience présidentielle s’achèverait à la Mohamed Morsi, en référence au président islamiste égyptien renversé au bout d’un an en 2013, ce qui inciterait un prompt retour de son prédécesseur à la tête de l’État.

Une autre spéculation excite les commentateurs politiques, à savoir le risque de dissolution de l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron s’irrite de ne plus disposer de majorité absolue. Il aurait la tentation de déclencher des législatives anticipées au premier prétexte trouvé. Or, les circonstances présentes ne se prêtent guère à cette manœuvre politicienne. À partir de septembre 2023 se déroulera dans l’Hexagone la Coupe du monde de rugby. Difficile d’être en campagne électorale à ce moment-là. En 2024, hormis les trois – quatre premiers mois de l’année, il y aura d’abord les élections européennes en mai ou en juin, sauf si elles sont couplées avec des législatives anticipées, puis ensuite les Jeux Olympiques. Leur fin constituerait une assez bonne fenêtre de tir à la condition que les JO soient un succès indéniable sur lequel le chef de l’État puisse s’appuyer. Il n’est pas certain que cette manifestation dispendieuse réussisse au regard de l’état des transports publics parisiens, de l’organisation de l’évènement et de la sécurité. Un effet sur-multiplié « Stade de France » avec ces méchants Anglais agresseurs d’honnêtes racailles du 9-3 est fort prévisible.

En cas de dissolution, l’Assemblée nationale conserverait peut-être une majorité relative ou bien, hypothèse plus improbable, consacrerait la victoire du RN. Dans cette perspective, Marine Le Pen a dès à présent annoncé qu’elle refuserait sa nomination à Matignon. À l’instar du Polonais Jaroslav Kaczyński, longtemps chef du groupe parlementaire majoritaire, elle resterait présidente de son groupe au Palais-Bourbon. Ce retrait tactique préserverait en partie ses chances de l’emporter en 2027. Cependant, tout gouvernement RN subirait les entraves énoncées précédemment et vivrait une cohabitation éprouvante avec un président prêt à tout pour le faire dérailler, quitte à redissoudre la chambre basse dès la carence d’une année révolue.

La funeste révision constitutionnelle de 2008 voulue par Nicolas Sarközy et adoptée de justesse par le Congrès à Versailles qui empêche tout troisième mandat présidentiel consécutif fige les initiatives de l’actuel locataire de l’Élysée. Sans cette contrainte stupide, preuve flagrante de l’américanolâtrie de l’ancien maire de Neuilly-sur-Seine, Emmanuel Macron pourrait démissionner, être réélu, dissoudre l’Assemblée de juin 2022 et, cette fois-ci, obtenir une majorité absolue. Toutefois, s’il démissionne au cours de son second mandat, pourrait-il immédiatement se représenter en considérant que l’intérim de la présidence de la République par le président du Sénat compte pour un mandat ? Les constitutionnalistes divergent sur la réponse apportée. Une minorité avance que sa candidature serait légitime et invoque un avis du Conseil d’État rendu le 25 octobre 2022. Saisi par le gouvernement à propos de la présidence de la Polynésie française et de la possibilité qu’un président puisse exercer un troisième mandat alors que la loi organique interdit plus de deux mandats consécutifs de cinq ans chacun, le juge administratif explique finalement que « la disposition s’entend comme limitant à deux mandats successifs de cinq ans complets l’exercice de la présidence de la Polynésie et qu’une personne ayant exercé deux mandats successifs, dont l’un est inférieur à cinq années, peut légalement briguer un troisième mandat ». La plupart des spécialistes s’accorde néanmoins qu’il appartiendrait au Conseil constitutionnel dont les membres ne sont pas impartiaux – on l’a vu avec l’approbation de l’horrible passeport sanitaire -, de valider ou non les parrainages.

Histoire de terrifier leurs quelques lecteurs bien-pensants à peu de frais, la grasse presse et les prescripteurs d’opinions convenus échafaudent volontiers de vaines supputations politiciennes. Il faut toutefois retenir que l’activité politico-électorale se joue pour l’instant dans un cadre règlementaire défavorable à l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne. Il lui reviendra le moment venu de s’affranchir du carcan institutionnel en instaurant une situation exceptionnelle apte à remplacer réellement les fondements philosophiques du gouvernement.

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°63, mise en ligne le 1er mars 2023 sur Radio Méridien Zéro.

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jeudi, 02 mars 2023

Satisfaction de la Coordination Partout Callac suite aux encouragements de Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain et Jean-Marie Le Pen

Un communiqué de la Coordination Partout Callac

Jean-Marie Le Pen fut le premier en France à tirer le signal d’alarme sur les dangers de l’immigration. Surtout si elle est complètement incontrôlée comme actuellement.

En réponse, il fût insulté et ostracisé par presque toute la classe politique. Gauche et droite réunie.

Pendant des dizaines d’années. Aujourd’hui encore.

Pourtant il avait raison comme le prouve ce que nous vivons actuellement dans notre pays, qui est au bord de l’abîme et en passe de disparaître si l’évolution actuelle continue encore quelques années sans aucune mesure sérieuse pour l’arrêter.

Des hommes politiques ont eu les mêmes opinions que lui.

Ainsi :

  • Georges Marchais (PCF) pendant la campagne présidentielle de 1980-1981 a déclaré : « il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ». Il faut dire que le PCF régnait sur tous les quartiers populaires. Et dans la « ceinture rouge » (les départements autour de Paris) il était aux premières loges pour constater les effets dévastateurs du regroupement familial que Giscard d’Estaing venait de mettre en œuvre.
  • Michel Rocard (PS) a également déclarer : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde » Et à l’époque on était très loin de la situation actuelle. Que dirait-il s’il voyait la situation de notre pays ?
  • La Droite également, toutes tendances confondues, lors de la Convention de la droite a dit et voté une résolution se prononçant clairement pour l’arrêt de toute immigration. On trouvait même dans cette résolution que « l’islam est incompatible avec la République ».

Chirac élu en 1995 oublia tout cela et pratiqua une politique tournant radicalement le dos à ce qu’il avait voté en 1990 avec tous ses amis (Juppé, Sarkozy, Bayrou, … etc).

C’est à partir de ce moment qu’est apparue la « droite républicaine ».

Idem pour la gauche, qui oublia ce qu’avait dit Rocard. A l’inverse elle se mit à glorifier la « différence », les « chances pour la France » et le « vivre ensemble ». 

Seul Jean-Marie Le Pen et le Front national resta fidèle à ses convictions.

Quelques dizaines d’années plus tard, force est de constater que Jean-Marie Le Pen avait raison.

Et les Français l’ont bien compris.

En 1974, il obtenait 0 ,74 % des voix à l’élection présidentielle.

En 2022, Marine Le Pen… grâce à son nom, obtenait plus de 42 % des voix.

Aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen, dans son Journal de bord hebdomadaire a commenté l’affaire de Callac ainsi que le site que nous avons lancé « Partout Callac » (www.partoutcallac.fr).

Non seulement il en a parlé, mais il soutient le combat que nous menons contre l’immigration folle que connaît notre pays.

Notre combat marche dans les pas qui étaient les siens. C’est avec fierté que nous entendons ses paroles sur notre combat.

Vous pourrez les entendre sur cette vidéo : cliquez ici.

23:26 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Consultez le site cliquez ici

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ATTENTION : LE PROCÈS DE BERNARD GERMAIN PRÉVU VENDREDI 3 MARS À LORIENT EST REPORTÉ

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Vous êtes nombreux à nous avoir fait part de votre intention de vous rendre à Lorient vendredi matin pour venir soutenir notre camarade Bernard Germain, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, trainés devant le tribunal suite à un article dénonçant les fantasmes de la presse remplaciste à Callac.

L'avocat de nos amis, Maître Frédéric Pichon, nous fait savoir que le procès est reporté à une date indéterminée. Nous vous demandons par conséquent de ne pas vous déplacer devant le tribunal de Lorient vendredi matin. Cependant, il est nécessaire de rester mobilisés. Nous vous tiendrons informés sur ce site de la suite des événements...

S N

 

Lire aussi : cliquez ici et cliquez là

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Samedi 4 mars, au Mans, rassemblement pour la défense de notre patrimoine

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10:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'intervention d'Alain Escada, président de Civitas, samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins

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mercredi, 01 mars 2023

Yona Dureau : Trump/Biden : la plus grande fraude électorale ?

Les élections américaines de 2020 ont donné lieu à la plus grande fraude électorale de tous les temps. Factuellement, cette fraude retentissante, mais étouffée, résulte du long développement d'un processus complexe.

L'ouvrage de Yona Dureau, "Chine-États-Unis : Le réveil du Dragon et la revanche du Kraken", retrace l'historique et les conséquences de la théorie politique et idéologique dite de l'interdépendance qui a fondé les rapprochements successifs de la Chine et des États-Unis depuis 1960. Ces rapprochements successifs ont progressivement changé de nature avec le détournement de la puissance financière des USA et de la Chine au profit d'un petit groupe de politiciens.

Ces détournements ont ensuite requis des complicités internes à l'appareil de ces deux grands États et ont abouti à une corruption systémique, transformant ainsi les gouvernements de l'intérieur pour permettre un contrôle croissant de la Chine sur les États-Unis. La lutte pour le rétablissement d'élections honnêtes a donc pour enjeu l'avenir tout entier de la première puissance mondiale.

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Ingénierie sociale et communication politique : Conférence de Lucien Cerise près de Rouen

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Conférence de Lucien Cerise à proximité de Rouen le samedi 4 mars 2023 à 14 h 15 intitulée « Ingénierie sociale et communication politique » et sous-titrée « Comment communiquer (ingénieusement) en milieu ingénieré ».

Né en 1972, docteur en philosophie, ayant suivi une formation en sciences humaines et sociales (avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie), géopolitologue, essayiste, conférencier et auteur de près d’une dizaine d’ouvrages, dont les fameux Gouverner par le Chaos – Ingénierie sociale et mondialisation (initialement publié anonymement sur Internet, puis aux éditions Max Milo en 2010) et Neuro-Pirates – Réflexions sur l’ingénierie sociale (édité en 2016 par Kontre Kulture)

Lucien Cerise défend l’idée parfaitement « complotiste » que les gouvernements acquis au mondialisme cherchent à « pirater nos cerveaux », avec la complicité des médias de masse dans le but d’instaurer un « Nouvel Ordre mondial » tyrannique, totalitaire, ayant récemment pris la forme – depuis l’épisode « pandémique » du Covid-19 – d’une société de la surveillance à visage techno-sanitaire autant que pseudo-sécuritaire.

Il définit l’ingénierie sociale comme synonyme d’« infiltration des esprits, analyse de nos moindres faits et gestes, contrôle des comportements à distance, marketing de l’intime et autres réjouissances qui font de nous de bons consommateurs ».

Entrée : 10 euros - Apéro dînatoire : 10 euros (optionnel)

Réservations et renseignements : normandie@e-r.fr

Le lieu exact vous sera communiqué au plus tôt la veille, sinon au plus tard le jour même.

Présence d’un stand Kontre Kulture assurant la vente aussi bien de beaux livres classiques que d’affreux ouvrages subversifs !

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« Ce que j’ai reçu de la France »

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Un texte de Bruno Gollnisch publié sur le site de Renaissance catholique cliquez ici

Lorsque Jean-Pierre Maugendre m’a proposé de m’exprimer devant vous, honneur qui m’avait déjà été donné dans le passé, et auquel je suis très sensible, mais honneur redoutable, je suis resté quelques instants perplexe devant le thème qu’il avait choisi : décrire ce que j’avais reçu de la France.

Mettez-vous à ma place : Ce que moi j’ai reçu de la France ? Mais tant de choses ! Et par quel bout commencer ? Et me pardonnera-t-on le narcissisme que m’impose le sujet, consistant à parler de mon cas personnel, alors que chacun d’entre nous a son parcours qui lui est propre, et n’est pas moins riche ?

Héritier d’une incomparable civilisation

Par le seul fait de ma naissance, la France m’a fait héritier du legs d’une incomparable civilisation, fleuron de la civilisation occidentale. Ayant consacré une bonne partie de ma vie à l’étude et à l’enseignement des langues et  civilisations de l’Extrême-Orient, je n’en suis que plus à l’aise pour dire qu’elles comportent certes des œuvres admirables, autant de la matière que de l’esprit, réflexions philosophiques et spirituelles, art dans tous les domaines, porcelaines, architecture, temples, jardins, etc. mais que la nôtre les surpasse encore tant par son extraordinaire diversité selon les époques et les régions, que par sa profusion au profit du plus grand nombre et dans tous les domaines : Lettres, philosophie, sciences, médecine, droit, architecture, beaux-arts, musique, jardins, etc… Comme en témoigne le moindre de nos villages, dans ce qui est aujourd’hui en train de devenir le désert français, avec son église, ses calvaires, son château ou son manoir, son lavoir ou ses halles, ses fermes, ses demeures cossues ou modestes, mais toujours agencées, selon un miracle d’harmonie propre à chacune de nos régions.

J’y suis partout chez moi, puisque je suis français.

« France, mère des arts, des armes et des lois » disait déjà Joachim du Bellay, et de poursuivre : « tu m’as longtemps nourri du lait de ta mamelle ».

Une langue merveilleuse

Mais c’est aussi une langue admirable, par sa précision, sa concision, sa clarté, son héritage de littérature, de théâtre, de réflexion philosophique de toute nature, de poésie…  et surtout, ce qui est paradoxalement plus perceptible à l’oreille pour des étrangers qui ne la parlent pas que pour nous-mêmes, son extraordinaire mélodie.

Je ne partage pas, loin s’en faut, toutes les opinions de l’économiste et écrivain François Rachline, ni celles de l’Institut Montaigne devant lequel il s’exprimait lors d’un intéressant colloque sur le thème « Qu’est-ce qu’être français ? ». Mais comment ne pas être d’accord avec lui lorsqu’il s’exclame : «  Quel autre pays a pu inciter tant d’écrivains à adopter sa langue pour s’exprimer, du Cubain José Maria de Heredia au Tchèque Milan Kundera en passant par l’Américain Julien Green, l’Italien Gabriel d’Annunzio, l’Autrichien Rainer Maria Rilke, l’Irlandais Samuel Beckett, le Roumain Eugène Ionesco, l’Albanais Ismaïl Kadaré ou l’Égyptien Edmond Jabès ? »

Oui, c’est un héritage prodigieux, même s’il n’est pas très facile à appréhender, comme bien des générations qui ont transpiré sur les exercices de grammaire, les conjugaisons, les dictées, les rédactions, les dissertations, peuvent en témoigner. « Ce qui n’est pas clair n’est pas français », écrivit Rivarol… Je pense à ma classe de terminale au lycée Janson de Sailly, où se trouvait aussi Olivier Duhamel, déjà d’une gauche arrogante et bourgeoise. Notre professeur de philosophie M. Boulay prévenait que dans une copie l’expression « en général » qui ne serait pas suivie un peu plus loin de : « mais en particulier » ne serait dès lors qu’un alibi de l’approximation de la pensée, et serait frappée de 5 points de moins. Le sujet de notre première dissertation était : « Regret, remords, repentir » ; et débrouillez-vous avec ça. On apprenait à réfléchir au sens des mots ! Je ne sais lequel de ces trois termes occupe aujourd’hui la conscience de Duhamel…

Le sujet de la deuxième dissertation consistait à commenter le premier des aphorismes d’Hippocrate « ars longa, vita brevis », : « L’art est long ; la vie est brève ».  Je n’ai connu que plus tard le texte complet :

Ars longa,
Vita brevis
Occasio praeceps
Experimentum periculosum
Judicium difficile

Approximativement : L’art est long ; la vie est brève, l’occasion fugitive, l’expérimentation dangereuse, le jugement difficile. En somme : un résumé de la condition humaine.

Oui, la vie humaine est brève, et l’art, c’est-à-dire, comme l’exprime mieux le mot grec tekhné, non seulement le legs des artistes, mais tous les savoir-faire, tous les acquis de la science et des techniques, en un mot : la civilisation, sont le fruit, le prolongement continu, de plusieurs vies de travail. En France, c’est le fruit du labeur de près de deux milliards d’êtres humains qui, depuis l’aube des temps historiques, y ont vécu, travaillé, aimé, souffert, et parfois sont morts pour elle. « Les morts gouvernent les vivants » écrivait Auguste Comte. Et cet héritage nous est donné d’emblée. Voilà pourquoi le patriotisme bien compris est une forme de la piété filiale, comme se plaisait à le rappeler le regretté Jean Madiran.

L’esprit d’un peuple

Ce que j’ai reçu de la France aussi, c’est l’esprit véritable de son peuple. Je pense en particulier au petit peuple de Paris de mon enfance, qui a presque disparu, travailleur, enjoué souvent, râleur parfois, gouailleur, impertinent à l’égard des puissants, et fidèle en amitié. Voici ce que disait il y a 450 ans Montaigne du peuple de France : « C’est un bon peuple, guerrier et généreux, capable pourtant d’obéissance et discipline, et de servir à quelque bon usage, s’il y est bien guidé. » Bien guidé, c’est tout le problème…

De la France, en principe fille aînée de l’Église – mais qui donne beaucoup de soucis à sa mère – j’ai aussi reçu le don fragile et précieux de la foi, héritage de la cohorte de saints, de martyrs, de religieux et de religieuses, de missionnaires de toutes vocations ; et quand j’y songe, je repense surtout à mes aumôniers de lycée ou de scoutisme, et dans ma petite enfance, à mes deux bonnes grands-mères qui en furent les canaux, non exclusifs, mais privilégiés.

Plus particulièrement la France, dans mon cas personnel, m’a offert un enseignement de grande qualité, qui ne fut perturbé au niveau supérieur que par le désordre, produit par la violence haineuse des révolutionnaires gauchistes (ma première année de faculté, c’était à Nanterre en 1967-68 !). Études de sciences politiques, de langues étrangères, et de droit ; de ce droit qui est (ou plutôt qui était) en France admirable de logique et de clarté. Dans quel autre pays, muni du seul certificat national de fin d’enseignement secondaire pouvait-on s’orienter librement vers la formation de son choix presque sans autre formalité ? Et sans avoir à débourser de sommes considérables ?

Lorsque fut venu pour moi le temps de la servir sous ses drapeaux, la France a fait confiance au tout jeune homme que j’étais en en faisant un officier de marine qui eut la chance de connaître en un court laps de temps embarquements divers et missions passionnantes.

A l’issue, la France m’a offert un séjour d’études au Japon de 18 mois comme boursier du ministère des affaires étrangères. Elle m’a ensuite incorporé dans son corps enseignant, et confié la direction d’une faculté où l’on enseignait 25 langues et civilisations étrangères à plus de 2000 étudiants…

Elle a aussi fait de moi un avocat et plus tard un élu, même si ce fut au prix d’âpres combats contre la dictature de plus en plus prégnante, morale, physique, professionnelle, médiatique, de la pensée unique.

Autre chose : lorsque moi-même, puis ma pauvre épouse, fûmes atteints dans notre santé, la France nous a soignés presque gratuitement. Je le mentionne, car il n’y a pas beaucoup de pays où c’est le cas. Moi qui dans ma jeunesse, fort de ma bonne santé, pestais contre les abus de la sécurité sociale, lorsque parvenu à l’âge mûr et fatigué par une vie trop trépidante, je dus subir un quadruple pontage coronarien, suivi d’une hospitalisation de trois semaines, et d’une longue rééducation, je me souviens de ma stupéfaction, quand à la sortie de l’hôpital on me présenta la facture, assez considérable, tout en me précisant que la seule chose que j’avais à payer… c’était la location de la télévision.

Oh, bien sûr, rien de tout cela n’allait forcément de soi ; et ce que j’ai reçu comportait parfois une part d’épreuves, de persécutions, et parfois même de fiel et d’amertume. Et je me suis parfois identifié à du Bellay que j’ai cité à l’instant lorsqu’il dit encore à la France qu’il interpelle :

Je remplis de ton nom les antres et les bois (…)
Que ne me réponds-tu maintenant, ô cruelle ?
France, France, réponds à ma triste querelle !
Mais nul, sinon Écho, ne répond à ma voix.

France que mon cœur aimer doit

Car je ne me résous pas à faire miennes les fureurs destructrices de l’esprit révolutionnaire, non plus que les affreux symptômes de décadence maquillés en individualisme libéral et en avancées sociétales, comme ils disent…

Mais je ne demande pas le bénéfice d’inventaire. J’accepte tout, je ferai le tri plus tard. Je prends tout de cette France qui sut se faire aimer par des étrangers comme  ma pauvre Setsuko, qui connaissait les mérites de chacun de nos rois, ou comme Savorgnan de Brazza, venu d’Italie, enseigne de vaisseau à titre étranger, qui explore l’Afrique équatoriale et l’acquiert à la France, ou le lieutenant d’origine polonaise Guillaume Kostrowitky dit Guillaume Apollinaire, engagé volontaire, mort en 1918 des suites de ses blessures, dont la poésie m’évoque le souvenir de mon grand-père maternel, jeune héros de la Grande Guerre…

Si je mourais là-bas sur le front de l’armée
Tu pleurerais un jour, Ô Lou, ma bien-aimée
Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt
Un obus éclatant sur le front de l’armée
Un bel obus semblable aux mimosas en fleurs

Car la France m’a donné de vives illustrations de l’Honneur, au singulier, toujours préférable au pluriel. Elle m’a appris que même les échecs pouvaient être glorieux : Jeanne brûlée vive à Rouen, Jean Le Bon à Poitiers, Camerone, Bazeilles, les Cadets de Saumur, Dien Bien Phu…

Et je fais miens en conclusion les vers de Charles d’Orléans, prisonnier 25 ans des Anglais après le désastre d’Azincourt, regardant au loin depuis Douvres les côtes de notre pays :

Si commençai de cœur à soupirer,
Combien certes que grand bien me faisoit
De voir France que mon cœur aimer doit.

France que mon cœur aimer doit … 

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Marylou Mary est décédée

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Marylou Mary, compagne de notre ami Bernard Bres - militant bien connu de la cause qui a collaboré à plusieurs numéros de la revue Synthèse nationale ainsi qu'à Rivarol - avait adhéré au début des années 1980 au Front national, puis avait suivi Bruno Mégret en 1999.

« Pied Noire » de naissance, elle était une active participante aux activités du Cercle algérianiste de Paris/Neuilly.

Elle nous a quittés courant février.

Que son compagnon, Bernard, trouve ici nos condoléances attristées.

Jean-Claude Rolinat

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Au-delà de la fatalité du mal, le vide de sens

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Bien que très différents, les drames vécus et causés par Pierre Palmade et l’assassinat de la professeur de Saint-Jean-de-Luz questionnent notre humanité, affirme l’historien et essayiste, Pierre Vermeren. Si, de tout temps et en tout lieu, le mal a existé, ni l’économie de marché ni l’État de droit n’offrent un idéal permettant de lutter contre les afflictions de l’âme.

Lire la suite ICI 

Source : Le Figaro 28/2/2023

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mardi, 28 février 2023

Face au terrorisme de gauche : la droite nationale unie a tenu bon

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"Coupables d'avoir été victimes" : quand la Justice déraille

Alors que les détenus et les délinquants sont défendus par des dizaines d'associations, les victimes sont les grandes oubliées du système judiciaire français. Après avoir subi une agression, un viol, parfois un meurtre, les victimes se retrouvent le plus souvent seules et complètement démunies face à un système qui les broie.

Un reportage réalisé par Armel Joubert des Ouches.

Une production de l'Institut pour la Justice.

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14:26 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourvou que ça doure

6a00d8341c715453ef02b75173779b200b-320wi.jpegJean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Ce 27 février, on me pardonnera, j'espère, de me montrer sceptique, et même grincheux, alors que de "bonnes" nouvelles sont supposées nous consoler du lot quotidien des mauvaises. Le Figaro annonce pourtant à ses lecteurs, sous la signature de Marie Visot "qu'en 2022, la France n'a jamais été aussi attractive pour les investisseurs étrangers".

À en croire en effet les statistiques officielles, les projets auraient"permis la création ou le maintien de 58 810 emplois". Une telle évaluation vient de Business France, cet organisme d'État, au sigle particulièrement flatteur pour notre langue, créé en 2015 par la fusion d'Ubifrance et de l’Agence française pour les investissements internationaux.

Le chiffrage ne distingue hélas même pas entre les emplois créés et ceux qui, nonobstant le rachat par un groupe dont le siège social et l'encadrement dirigeant se situeront désormais hors de France, ont été "maintenus". Combien de brevets, de technologies, de savoir-faire, de marques partiront sans retour ?

La propagande gouvernementale s'empare avec délices de cette apparence de succès. On peut donc lire un peu plus loin, citons le journal : "L'an dernier, ce sont 1 725 projets qui ont été recensés sur le territoire, selon le bilan annuel de Business France, l'agence publique en charge de l'attractivité. Cela représente une augmentation de 7 % par rapport à l'année précédente. L'année 2021 avait d'ailleurs déjà été très bonne (après une période compliquée sous l'effet de la crise sanitaire en 2020), permettant aux investissements internationaux de revenir au-delà de leur niveau d'avant-crise."

"Ces nouveaux investissements en 2022 ont permis, poursuit l'article, de créer ou de maintenir 58 810 emplois, « soit une augmentation record de 31 % par rapport à l'année précédente », précise l'étude. En moyenne, 33 décisions d'investissement ont été prises par semaine en 2022. Bref, la France atteint son plus haut niveau d'attractivité historique. « Les investisseurs ont désormais bien à l'esprit le package de réformes du précédent quinquennat, sur la fiscalité et le marché du travail, ils font état d'une meilleure résilience de la France à la crise que nombre de ses voisins, et apprécient l'avance prise par le pays pour investir dans la transition énergétique », souligne Laurent Saint-Martin, le directeur général de Business France.

Épatant n'est-ce pas ?

Tout semble aller très bien Madame la Marquise. Et la direction de Business France a fait montre de vigilance, qui s'interroge :

"Cela lui permet-il [à la France] de se maintenir comme premier pays d'accueil des investissements internationaux en Europe ? Il faut attendre le traditionnel rapport EY sur le sujet, publié mi-mai à l'occasion du prochain sommet Choose France, pour avoir la réponse. « Mais il se pourrait que nous conservions cette place », dit-on dans les rangs de l'exécutif."

« Il faut maintenant que tout cela dure… », reconnaît Laurent Saint-Martin.

Pourv (o) u que ça d (o) ure disait Madame Mère au temps de l'Empire. Ça n'a pas duré. Il s'agissait alors de choses tangibles, de victoires militaires considérables ; pas d'un triomphalisme mal placé contemplant des statistiques biaisées.

"Choose France" dites-vous, toujours en l'honneur du 350e anniversaire de Molière.

Mais pourquoi ce "choix" de la France ne semble-t-il pas intéresser des investisseurs français ? Sans doute ces derniers se montrent-ils plus conscients que quiconque des handicaps créés par l'État lui-même, par le fiscalisme, par la bureaucratie, par le centralisme, par la gréviculture, le tout ayant encore été aggravé par six années de "en même temps" et de "quoiqu'il en coûte", après des années de socialisme rampant. Les jeunes créateurs, les entrepreneurs, mais aussi un nombre grandissant d'actifs de toutes catégories, de toutes compétences, vont chercher fortune à l'étranger...

Désolé, par conséquent, de ne pas pouvoir partager l'enthousiasme macronien du Figaro.

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lundi, 27 février 2023

Le témoignage édifiant d'un "mauvais" qui s'est infiltré dans la manif du "camp du bien...

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Nicolas Zahar
 
Nous étions quatre dans la voiture de mon ami Gilles, direction Saint-Nazaire... Puis Saint-Brevin-les-Pins pour une manif contre l'importation de migrants chez nous.
 
Avec mes trois camarades, nous sommes arrivés à l'avance, c'est toujours comme ça avec les anciens du DPS recyclés au Parti de la France, parce qu'il faut que je vous dise que mes trois compagnons ont plus de 70 ans, mais n'ont rien perdu de leur testostérone. Un beau passé de militants royalistes et nationalistes derrière deux d'entre eux ! Ils ont d'ailleurs l'âge de mes parents, et sont de très chouette compagnie.
 
Arrivés sur place, un café d'abord puis une visite de courtoisie à la contre-manif de midi devant la mairie. On y voit une cinquantaine de jeunes tout de noir vêtus (un peu crades, comme d'hab) avec sac à dos bien dodus, quelques visages barrés de tatouages brouillons, des piercings dans les narines façon bétail, regroupés autour d'une affiche où il est indiqué "Nous sommes tous des fils de P..." (pour le P j'imagine qu'ils voulaient dire "patrons") et cette odeur âcre de "beuh", d'herbes, ou de haschisch... Bref ! De drogue.
 
Aucun filtrage des poulets, mais des drapeaux de la CGT venant soutenir le grand remplacement de leurs emplois, la LFI revendiquant sa soumission à tout, des enseignants, des libertaires, des wokes, des non genrés, des écolos, des communistes, des socialistes, des libéraux, des bien-pensants, bref toute la gauche, toute la république, le camp du bien, en tout 150 citoyens démocrates, plus 50 journalistes-fonctionnaires, vachement sympas, dont certains avec qui j'ai échangé. 
 
Manu par exemple, qui aime bien Macron, et qui en est à sa cinquième dose ; il est venu avec son "fiancé" Ahmed pour dire non au fascisme et à l'intolérance ; peut-être admet-il que l'on puisse être fasciste et tolérant ? Je lui demande ce qu'est le fascisme aujourd'hui en France, en guise de réponse j'ai plutôt eu un regard explicite du genre "tu t'es gouré de manif"... Bref, je salue ces deux gentils invertis pour aller causer avec une loqueteuse aux gros nibars, Martine qu'elle s'appelle. Martine, la cinquantaine, mon âge, un sourire crampé d'illuminée et une poitrine intelligente (je sais j'insiste un peu trop, mais c'est là tout son capital). Martine est une femme libérée, d'ailleurs personne ne chercherait à l'emprisonner bien longtemps. Martine sait qu'elle a raison puisqu'elle est de gauche et que tout le monde le lui dit, BHL (elle fait partie des 29 spectateurs qui sont allés voir le film de BHL sur BHL par BHL pour BHL avec BHL...), les journalistes, les profs, les psychologues et même le camp républicain. Martine est psychologue d'ailleurs, elle m'avoue avoir tout de suite deviné que Zemmour était un pervers narcissique, elle connaît bien ce genre d'individus puisqu'elle a récemment rompu avec l'un d'eux ; j'aimerais bien me marier avec Martine pour une heure ou deux, mais je comprends que je ne suis pas son genre ; son genre c'est plutôt les hommes déconstruits qui sont végans et tolérants. J'aime trop la viande ! Je me replie vers un porte-drapeau de la CGT, je lui demande si c'est une manif contre le projet Macron des retraites ou pour la sauvegarde de nos emplois, il me répond que c'est une manif contre l'extrême droite, je lui dis que je ne savais pas que les syndicats faisaient de la politique. Je devine qu'il me prend pour un con ; je suis presque vexé, alors je lui fais remarquer qu'il faudrait faire une manif pour que les Français se mettent au boulot, il n'a pas l'air d'accord, il préfère sans doute que ce soit les étrangers qui bossent et lui qui manifeste... Pour quoi, pour qui ? Il se barre direction le bar. Moi pareil. 
 
On casse la croûte au cul de la bagnole. A côté un groupe de trentenaire, des enseignants sans doute ? Ils remarquent ma casquette "Place d'armes" vissée sur le crâne, alors ils me saluent en me braillant qu'ils seront à la manif. Charles leur indique que ce ne sera pas la même. Ils me disent qu'ils aiment bien Zemmour, surtout pour son humanisme. C'est vrai que Zemmour est contre l'esclavage, particulièrement celui qui sévit aujourd'hui et qui consiste à importer une main d'œuvre déracinée pour effectuer les tâches qu'ils refusent...
 
13h45, direction Place de la Mairie pour notre manif. Sur le chemin, nous avons un petit accrochage avec une trentaine de gauches qui nous interdisent l'accès ; ils bousculent mes trois septuagénaires. Mes vieux se retrouvent le cul par terre, ils protestent et ont du mal à se relever. Je suis assez fier d'eux, je les relève, les "jeunes" me bousculent à peine, mais me subtilise ma casquette à cinq balles, ça semble les rendre heureux et ils nous oublient le temps d'un repli ! Les CRS présents ont disparu. En fait je pensais que ces jeunes gens courageux, prêts à défendre toutes les plus nobles et merdiatiques causes, se seraient concentrés sur ma personne ; c'est le contraire qui s'est produit, j'ai été méprisé, ce sont les personnes âgées qui les intéressent, les salauds ; bien que nous connaissions la lâcheté de ces étrons républicains, je dois avouer avoir été malgré tout surpris. Comment peut-on s'attaquer à des vieux ?
 
Nous arrivons à notre manif : pas mal de monde malgré les obstacles, dont une cinquantaine de jeunes, évidemment pas de la même qualité. Beaucoup de Reconquête!, une poignée de RN qui refusent les oukases de la direction de leur parti, Place d'armes, les frères dissidents, mais aussi quelques personnes engagées à gauche. Et comme animateur courageux, talentueux et énergique, Pierre Cassen.
 
A la manif des gauches aucun filtrage, à la nôtre fouille complète et gros détour pour y accéder.
 
Du coup les flics ont reçu sur la gueule des projectiles, du genre boules de pétanque, et ont fini par un peu se fâcher avec l'autorisation de leur hiérarchie ; dix minutes plus tard, la cinquantaine de jeunes natio-royalistes (aucun républicain parmi ces jeunes que j'ai interrogés, moitié AF, moitié dissidents AF regroupés au sein de mouvements plus légitimistes) ont fait le ménage... Plus personne lorsque nous sommes retournés récupérer nos bagnoles.

23:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des nouvelles du procès intenté contre Bernard Germain

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Nous vous en avons tenus informés sur ce site cliquez là, les mauvais perdants de Callac, les thuriféraires du grand remplacement, furieux d'avoir perdu la bataille se livrent maintenant à un acharnement judiciaire contre les porte-parole de la résistance identitaire. Ainsi, nos amis Bernard Germain, du comité d'organisation des manifestations, auteur du livre Callac, la mère des batailles cliquez ici et responsable de la Coordination nationale Partout Callac cliquez là, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, ont été convoqués suite à des plaintes fumeuses d'un canard gauchiste local en mal de pub, devant le tribunal de Lorient le 3 mars prochain. Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque cliquez ici, est lui-aussi inquiété pour des raisons similaires.

Rappelons le côté dérisoire de cette affaire : depuis quelques jours, une obscure gazette intitulée Le Poher, dont tout le monde chez nous, jusqu'à aujourd'hui, ignorait l'existence, serait la cible de menaces de la part du "mal absolu", entendez la droite nationale... Comme si les militants nationaux et identitaires n'avaient rien d'autre à faire que de se polariser sur ces gens-là. Donc, faute de recueillir l'assentiment du peuple breton, les pauvres chéris du Poher multiplient les plaintes contre nos amis encombrant ainsi honteusement les tribunaux et les gendarmeries qui, n'en doutons pas, ont bien d'autres affaires à régler.

Tout cela serait risible si ces plaintes n'occasionnaient pas des frais de justice que nos camarades doivent supporter. Voilà pourquoi, à Synthèse nationale, nous avons décidé de lancer une souscription cliquez là pour aider notre collaborateur et ami Bernard. En l'attaquant, c'est toute la résistance nationale et identitaire qui est attaquée. Cette souscription a déjà reçu, et c'est une bonne nouvelle, de nombreux soutiens que nous tenons à remercier ici (près de 2 000 € - cagnotte + chèques). Soulignons aussi que le parti Reconquête !, dont il est membre, lui apporte aussi un soutien. Grâce à ces nombreuses contributions, nos amis sont presque en position pour affronter sereinement leurs détracteurs.

Et, comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, nous venons d'apprendre par notre avocat, Maître Frédéric Pichon, que l'audience du 3 mars est repoussée...

Nous vous tiendrons ici au courant de la suite des événements.

S N

 

12:28 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Louis-Antoine, un nouveau venu dans la musique dissidente : Dieu, la France et le Roy

gunnamed (1).jpegThierry DeCruzy

Nouveau venu dans la musique dissidente, Louis-Antoine nous propose un album de dix chansons de sa composition. Engagées, elles sont prometteuses. Le style rappel Brassens, par le jeu de guitare, mais sur une autre voie… L’artiste est musicien, de formation classique, et a déjà bourlingué dans la chanson sous d’autres styles. Musicalement, il est passé “du côté obscur de la Force”, suivant l’expression consacrée pour signifier qu’il est entré dans la dissidence, corps et âme. Effectivement, sa démarche est totale : politique et spirituelle comme l’illustrent ses compositions. Il chante ainsi Dieu, la France et le Roy, titre éloquent de son album.

Les chansons suivent une progression en s’ouvrant sur une invocation à Jeanne d’Arc, l’Occupation, poursuivant par une description de la France et un appel à s’engager avec la Guerre.

Nos Amis les saints, se signale par une référence à Péguy : « Heureux les braves, les modestes […] Heureux les justes…» La chanson Par amour de ma Reine, est ouverte et clôturée par l’Ave Maria, ce n'est pas un chapelet, mais le chansonnier veut manifestement y inciter ses auditeurs.

Dans l’émouvant Miserere Nobis, il déclame une imploration sous la forme d’un puissant slam, original pour ce thème, qui montre que le compositeur sait s’adapter sans être vulgaire.

Il affirme un choix politique, il est pour le roi. Il l’exprime dans la chanson qui donne son titre à l’album et dans le précise dans Vive Louis XX.

Les textes sont travaillés, profonds, méritant d’être des supports à la méditation ; les paroles des chansons sont en ligne sur son site. Ses chansons ne versent pas dans le sentimentalisme, marque de fabrique de la chanson commerciale. Par cet album, Louis-Antoine nous offre son engagement, et c’est une belle entrée dans l’arène car il devra livrer combat contre les ennemis de la dissidence, il en a le talent et ceux qui l’apprécient vont lui apporter leur soutien, déjà en se procurant son album.

La chaine YT de Louis Antoine cliquez ici

10:47 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Saint-Brévin devant les caméras de Breizh info

Lire le reportage de Breizh info cliquez ici

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Le livre Callac, la mère des batailles cliquez ici

 

10:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 26 février 2023

Après Callac, Saint-Brévin-les-Pins se soulève contre le projet remplaciste du maire

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Depuis quelques mois, à Saint-Brévin-les-Pins, en Loire-Atlantique, la municipalité remplaciste veut imposer à la population l'implantation d'un centre pour migrants dans une école. Les habitants, clairvoyants, n'envisagent pas de laisser occuper ce lieu où s'épanouissent leurs enfants sans réagir. Ainsi, ils ont créé une association, le Collectif de préservation de la Pierre-Attelée (du nom de l'école), animé par la courageuse Elsa Caduc et, samedi 25 février, ils ont organisé un rassemblement populaire devant la mairie. Alertée par les responsables de ce Collectif, c'est bien naturellement que Synthèse nationale a relayé ces derniers jours les appels à manifester...

Ainsi, malgré une contre-manifestation violente organisée par l'extrême gauche qui a occasionné de nombreux dégâts et graffitis dans le centre ville, ainsi que la lâche agression (40 antifas contre 4 paisibles Bretons) contre des personnes se rendant au rassemblement, c'est plus de 400 patriotes qui ont répondu à l'appel du Collectif et de plusieurs partis et mouvements nationaux et identitaires (Reconquête !, le Parti de la France, l'Action française, Les Patriotes, Riposte laïque, Civitas...), montrant ainsi que les fantaisies immigrationistes du maire avaient assez duré.

Les orateurs (une douzaine au total dont notre collaborateur et ami Bernard Germain, auteur du livre Callac la mère des batailles cliquez ici), après avoir suscité l'enthousiasme général en annonçant la création de la Coordination nationale Partout Callac cliquez là, appelèrent les Brévinois et les Brévinoises à intensifier leur action pour que leur ville demeure à jamais une ville française...

Cette manifestation fut, pour Synthèse nationale, l'occasion de distribuer des centaines de tracts présentant le livre de Bernard Germain sur Callac cliquez ici ainsi que notre revue, et nombreux furent les manifestants qui nous firent savoir que leur présence était en partie due à la campagne que nous avons menée sur notre site. Ce qui est, disons-le, encourageant... 

S.N.

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Alain Escada, président de Civitas, rappelle le combat héroïque de l'Ouest catholique face à la terreur républicaine et se réfère à l'excellent film apprécié de tous Vaincre ou Mourir.

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Les Chouans, toujours présents...

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Bernard Germain, collaborateur régulier de Synthèse nationale et auteur de Callac, la mère des batailles, annonce sous un tonnerre d'applaudissements la création de la Coordination Partout Callac 

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Eric Mauvoisin, président du Rassemblement vendéen et responsable de Reconquête en Vendée,  Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, Bernard Germain, Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, Patrick Jardin, père de Nathalie assassinée au Bataclan.

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La police, présente en force, a évité (en partie) les tentatives d'agressions de la part des prétendus antifas mais vrais valets de la finance mondialiste, contre les patriotes.

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La Nouvelle Grande Époque des rois du bobard

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Bernard Plouvier

Notre très distingué Président-Dictateur-Général avait lancé, lors de son premier quinquennat illustre entre tous, la « chasse aux Fake News » - en France, on avait pourtant le choix entre « Canard journalistique » ou plus simplement « Bobard de propagande », mais notre sémillant jeune Président n’est pas très fort en histoire, littéraire ou non, et de toute façon préfère le chic de l’expression anglo-US.

De toute façon, cette ouverture de la chasse ne déboucha sur rien. Car ce fut très vite la Covidiomania, soit l’épisode de longue durée du plus éhonté des bourrages de crânes depuis la Grande Guerre. De fait, notre Grand Timonier nous avait prévenu : au nom de la France, il déclara la guerre... à un virus qui s’en moque.

Les fausses informations sur cette virose plus bénigne qu’une pandémie virale ont toujours cours et, bientôt, nous atteindrons les 4 ans de désinformation caricaturale sur le virus et ses variants. Et nul ne peut oublier le stock de bobards sur ses « vaccins », qui ne vaccinent en rien, même ceux qui procèdent par l’injection d’ARN messager viral dans des organismes humains... et personne ne veut faire la relation entre ces « vaccins », fabriqués et approuvés en toute hâte, et la surmortalité constatée en 2022, dans les zones hyper-vaccinées (Europe Occidentale), comparée à une sous-mortalité en zones sous-vaccinées (l’Europe pauvre de l’Est et du Sud-Est), si l’on se réfère à la mortalité d’avant 2020.  

En 2023, nous avons droit – en tant que Français – à divers bobards économiques dont celui, réellement hilarant, de la « taxation des superprofits » (une affaire conjoncturelle et rarement durable), pour régler le problème structurel du financement – par définition à très long terme – de la retraite des vieux travailleurs. Au moins peut-on s’ébahir du spectacle grotesque, offert par nos clowns surpayés du Palais-Bourbon !

Ailleurs, ce n’est pas mieux. Les lecteurs du canard de référence de la crème internationale des « penseurs » - The New York Times, célèbre par diverses campagnes de désinformation  (celles de 1916-22 ou de 1933-46 sont dans toutes les mémoires des historiens, ou devraient l’être) – sont eux aussi à la fête.

Toutes les semaines, ils peuvent depuis plus de 20 ans déguster la chronique hebdomadaire du sieur Paul Krugman – titulaire du pseudo-Nobel d’Économie en 2008 pour ses thèses d’inspiration keynésienne sur l’économie de marché. En 2016, ce grand penseur prédisait l’effondrement de l’économie des USA en quelques mois, si Donald Trump était élu. Chacun sait, qu’avant la ruine économique planétaire induite par la gestion absurde de la covidio-folie, l’économie US, dopée par Trump, avait atteint des records d’activité industrielle inconnus depuis le début de l’ère globalo-mondialiste.

De nos jours, le grandiose Krugman présente l’Ukraine de son congénère Zelenski comme une « démocratie... imparfaite comme en toute nation ». On abonde dans son sens : la vraie démocratie est chose fort rare, reposant sur trois grands piliers : une Justice égale pour tous les citoyens – l’isonomia -, la dévolution par concours anonyme de tous les postes payés par l’argent public – la méritocratie-, enfin le recours systématique au plébiscite pour tout choix majeur de société – soit, les grandes mesures qui engagent l’avenir à court et moyen termes d’une Nation : guerre (hors urgence liée à l’invasion du territoire national) et paix, politique démographique, durée légale du travail, peine de mort, immigration, intolérance envers les criminels et délinquants multirécidivistes, législation sur les toxicomanies etc.

Ce que ce bon Krugman – un homme très utile, car ses chroniques sont une source inépuisable de rire, certes involontaire, car l’homme se veut très sérieux – oublie de rappeler, c’est que le régime ukrainien est né, en 2014, d’un putsch militaire quelque peu – oh, si peu ! - aidé, financé, orchestré par le « tandem du Bien, du Bon et du Juste » : Obama (Président) et Biden (Vice).

De la même façon, il n’informe guère son public Bon Chic Bon Genre globalo-mondialiste d’un fait bien connu, à savoir que le régime ukrainien est considéré comme le plus corrompu d’Europe... et pourtant la concurrence est rude.

Notre merveilleux chroniqueur quasi-nobélisé (l’Économie fut une discipline ajoutée tardivement à la liste des célèbres Prix scandinaves, ce qui n’a pas plu à tous les membres du marigot universitaire) doit être aussi mauvais en histoire que notre très distingué PDG. Il semble ignorer que le délicieux Joseph du Kremlin a, durant les années Trente, dépeuplé quelque peu l’Est de l’Ukraine, implantant des Russes entre Dniepr et Don. 

Même un chroniqueur ignare en histoire contemporaine ne peut oublier que, de 2014 à 2022, des activistes aux ordres des maîtres de Kiev ont fait souffrir – oh, si peu ! – les Russes du Donbass, soit les grandes régions de Louhansk, du Donetz, de Zaporizia ou de l’antique Chersonèse que Poutine a décidé en février 2022 de « secourir » - après avoir vainement tenté d’obtenir du « gentil démocrate de Kiev » l’arrêt des persécutions ethniques.

Il ne s’est même pas agi d’un « piège » des USA ou de l’OTAN vis-à-vis de la Russie de Vladimir Poutine, mais d’une volonté de « nettoyage ethnique » du Donbass, pour permettre aux délicieux financiers, entrepreneurs et négociants cosmopolites de mettre le grappin sur des ressources minières que Poutine voulait mettre en valeur, en coopération avec des entreprises allemandes, ce qui ravivait de vieilles haines du côté de New York et de Washington.

D’un chroniqueur « nobélisé » (ou presque), on serait en droit d’attendre autre chose que des imprécations d’un manichéisme primaire, tout juste bonnes pour des querelles d’école primaire.

Soyons honnêtes : c’est ce type d’information-désinformation que nos Z’honnêtes journaleux nous servent quotidiennement depuis une année, aidés de vieux généraux de plateaux télés. Et ça ne sert à rien de zapper : on trouve le même bourrage de crânes sur toutes les chaines de TV et de radio ! Cent ans après la désinformation sur la Grande Guerre et ses « Réparations », on en reprend une grosse dose et au quotidien.

C’est sûr, le « Français moyen », cher à ce gros pontife ridicule Édouard Herriot, n’a fait aucun progrès dans l’esprit critique. Il faut dire que, de nos jours, on préfère enseigner les œuvres sublimes d’auteurs exotiques à l’expression bizarre que les œuvres, écrites en bon français, d’un La Fontaine, d’un « Voltaire » ou d’un Diderot.     

00:48 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 4 mars : réunion nationaliste à Vire (14)

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samedi, 25 février 2023

Malaise à la ferme

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Yves Thréard

Derrière des paysages bucoliques, l’agriculture française souffre de plus en plus. Quelques chiffres suffisent à planter le décor, à traduire le malaise qui court les campagnes. En moins de dix ans, notre balance commerciale agricole est passée d’un excédent de 6 milliards d’euros à un déficit de 300 millions. Aujourd’hui, notre pays achète un poulet sur deux à l’étranger, importe 40% de ses légumes et 60% de ses fruits. C’est dire si l’excellence française donnée en spectacle au Salon de l’agriculture, grand-messe annuelle qui s’ouvre ce matin, n’est qu’une façade trompeuse. Elle est loin de garantir l’indépendance alimentaire que la crise sanitaire a plus que jamais mise au goût du jour.

Bien sûr, le réchauffement climatique n’est pas hors de cause. L’année 2022 en a été une criante illustration : il assèche les sols, détruit les cultures, dérègle les saisons, rend incertaines les récoltes et les conditions d’élevage. Mais cet inquiétant phénomène ne sévit pas qu’en France et n’explique pas tout. Il y a aussi, et surtout, la tyrannie des contraintes écologiques, plus violente dans notre pays qu’ailleurs.

Si le recours abusif à certains produits phytosanitaires doit être dénoncé, le jusqu’au-boutisme des règles et diktats imposés aux agriculteurs est blâmable. Il répond à une idéologie plus verte que verte, qui contamine élus et bureaucrates, de Bruxelles à Paris. Pire, même la constitution de réserves d’eau donne lieu à des batailles rangées. Agri-bashing et écoterrorisme font des ravages. Résultat, les champs sont désertés et les métiers agricoles n’attirent plus. En quarante ans, le nombre de paysans est passé de 1,6 million à moins de 400000, dont près de la moitié ne seront plus en exercice en 2030. Est-il besoin d’ajouter, à l’heure du débat sur la réforme des retraites, que la pénibilité est une notion inconnue à la ferme ?

Attendu ce matin porte de Versailles, Emmanuel Macron a promis qu’une grande loi d’orientation serait présentée cet été. Mais les agriculteurs réclament moins un énième texte qu’un changement d’état d’esprit dans le pays.

Source : Le Figaro 25/2/2023

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