mardi, 11 juillet 2023
CIRCULAIRE DARMANIN : VOUS POUVEZ METTRE FIN AU SCANDALE DES INTERDICTIONS PRÉVENTIVES !
Depuis plusieurs mois, le gouvernement d’Emmanuel Macron se permet de jouer les gendarmes du politiquement correct en interdisant sans aucun fondement des colloques, des manifestations ou des processions religieuses…
Au moment où la France est à feu et à sang à l'occasion d'émeutes ethniques sans précédent, le gouvernement continue d'attaquer les lanceurs d'alerte. Un vrai scandale !
La dernière interdiction en date, ordonnée par un État voyou qui piétine les libertés publiques, était un simple hommage à un historien (sic).
Une célébration organisée par l’Institut Iliade, une association culturelle, qui est maintenant dans de graves difficultés financières, d’autant plus qu’elle a entrepris courageusement de mener trois procédures judiciaires qui vont être longues et chères pour mettre fin aux arrêtés liberticides de Darmanin et de Nuñez.
Aujourd’hui, en France, le gouvernement essaye d’interdire toute pensée divergente, comme dans 1984 de George Orwell. Celui qui pense différemment est criminalisé, bâillonné, et Macron utilise la police pour l’empêcher de se réunir.
Pire encore, la circulaire Darmanin permet une véritable censure préalable : vous êtes condamné par avance, sans autre forme de jugement, alors que vous le savez, en France, la liberté est la règle, et la restriction doit rester l’exception. Un vrai scandale ! En signant cette pétition, vous exigez que le gouvernement et l’État appliquent enfin la liberté de réunion et d’opinion.
En signant cette pétition, vous soutenez les procédures judiciaires qui vont attaquer de front la circulaire Darmanin, liberticide et totalitaire.
En signant cette pétition, vous soutenez l’Institut Iliade qui mène ces procédures avec des moyens réduits.
Signez la pétition cliquez ici
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Penser la guerre moderne
Scipion de Salm
Un colloque tenu en décembre 2019, dans le cadre de l’Institut Universitaire Saint Pie X à Paris, a proposé une série de réflexions cohérentes, dans une perspective catholique authentique, sur la guerre moderne. Les actes en sont donc enfin publiés, dans ce numéro spécial de la revue Vue de Haut. Ce sujet reste ô combien d’actualité avec le drame ukrainien en cours, ou tant de pays en Afrique, du Mali au Soudan, ou la Birmanie, etc. Il est à craindre que la guerre accompagne en permanence l’être humain.
Aujourd’hui, on réfléchit trop peu. On aimerait pouvoir se contenter du cri du cœur du pape François, qui est « contre la guerre ». Evidemment, sauf cas pathologiques, personne n’est « pour » la guerre en soi. Mais la pensée catholique traditionnelle, avec deux phares indépassables, saint Augustin et saint Thomas d’Aquin, a précisément défini les choses. Dans la doctrine pacifiste, laïque ou chrétienne, il faudrait tout simplement, en cas d’agression, se laisser massacrer sur place. Or, non, une société, un individu, attaqués, ont le droit, et même le devoir, de se défendre. Saint Augustin avait bien affirmé, vers 410, qu’il fallait défendre l’Empire contre les envahisseurs barbares, et les campagnes contre les brigands ; saint Thomas d’Aquin, vers 1250, a envisagé les conditions de la « guerre juste », qui peut donc exister.
En effet, il est donc plus que légitime de se défendre, et, dans la manière de mener les combats, il faut tenter, autant que possible, de ne frapper que les soldats ennemis, et pas les civils. La deuxième guerre mondiale, dans les deux camps, n’a absolument pas respecté cet impératif, exigeant certainement, mais pas inatteignable ou résolument impossible. Des auteurs de qualité développent ces points fondamentaux, en y intégrant même la bombe atomique, arme terrible certainement, mais qui ne sort pas du champ des réflexions générales. Sont proposés de nombreux exemples historiques contemporains pour étayer les propos. Beaucoup de réflexions fines dépassent le grossier résumé proposé ici.
Quant à nous, nous confesserons parmi tous ces articles, un faible, certainement deviné par nos lecteurs réguliers, pour l’excellente contribution de Mme Imbert, maître de conférences en Histoire de l’Art, sur « comment peindre la guerre ». Elle traite précisément, de la Renaissance italienne au vingtième siècle, de la manière de représenter le fait guerrier et des messages véhiculés à cette occasion dans les tableaux. Avec les illustrations nécessaires, cette contribution est absolument passionnante !
Collectif Penser la guerre moderne, Vue de Haut, printemps 2023, 258 pages, 10€ (à commander sur le site de l’établissement : www.iuspx.fr )
Les interventions cliquez ici
18:03 Publié dans Scipion de Salm | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Requête en excès de pouvoir de l’Institut Iliade auprès de la section du contentieux du Conseil d’État contre la circulaire Darmanin
Un communiqué de l'Institut Iliade :
À la suite de l’interdiction de son évènement consacré à l’historien Dominique Venner par le préfet de Police de Paris, sur ordre de Gérald Darmanin, le 21 mai 2023, l’association Institut Iliade a décidé de réagir face à ces attaques sans précédent contre les libertés publiques.
Comme annoncé lors de la conférence de presse du 25 mai 2023 par Claude Chollet, Secrétaire de l’Institut Iliade, nous avons saisi notre avocat Maître Triomphe, afin qu’il engage trois procédures distinctes :
Un recours en excès de pouvoir auprès du Conseil d’État contre la circulaire Darmanin, base de l’interdiction ;
Un recours en annulation contre l’arrêté d’interdiction du Préfet de Police de Paris lui-même ;
Un recours au plein contentieux c’est-à-dire en indemnisation auprès du tribunal administratif de Paris ;
Une plainte au pénal contre le préfet pour discrimination politique, contraire au code pénal.
Afin de respecter les délais imposés par le cadre judiciaire, nous débutons cette contre-offensive judiciaire par le dépôt officiel d’une requête en excès de pouvoir auprès de la section du contentieux du Conseil d’État contre la circulaire révélée le 9 mai 2023 par le ministre de l’Intérieur Monsieur Gérald Darmanin, puis par son exécution, donnant instructions aux préfets d’interdire par principe toutes les manifestations qualifiées « d’ultra-droite ou d’extrême-droite » (requête N°475734 du vendredi 7 juillet 2023).
En s’appuyant sur les textes officiels et un certain nombre de jurisprudence, nous prouvons que ce sont des moyens illégaux qui ont permis la circulation d’instructions contraignantes annoncées le 9 mai 2023 par le ministre de l’Intérieur et scrupuleusement appliquées par le préfet de Police de Paris et que celles-ci doivent être annulées pour excès de pouvoir.
Il est demandé par l’Institut Iliade l’annulation des instructions données aux préfets et annoncées par le ministre de l’Intérieur de toutes ces mesures d’interdiction et de condamner l’État à verser à l’Institut Iliade une indemnité pour les frais de défense engagés en application de l'article L 761-1 du Code de la justice administrative.
En marge de cette première étape judiciaire, l’Institut Iliade lance une grande pétition que tous les Français soucieux de préserver les libertés publiques face aux attaques liberticides du gouvernement, sont invités à signer : cliquez ici
15:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
On n'est jamais si bien présenté que par soi-même... Ainsi va Scipion pour présenter son nouveau livre "Mon combat"
Avec cynisme et humour, notre ami Scipion de Salm analyse dans son livre Mon combat (édité chez Auda Isarn, cliquez ici) la situation actuelle de la France. Il avance quelques solutions audacieuses face à la décadence... Il répond avec talent aux questions de Alexandre Hinger.
Pour acheter le livre Mon combat cliquez ici
01:31 Publié dans Scipion de Salm, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès d’Alain Besançon, l’analyste du totalitarisme léniniste, fondement du communisme.
Michel Festivi
Ce 9 juillet 2023, est décédé Alain Besançon, né en 1932, professeur, historien, journaliste, membre de l’Académie des Sciences morales et politiques, auteur d’une multitude d’ouvrages sur la Russie et le communisme. Ses deux principaux livres à mon sens sont : Les origines intellectuelles du léninisme, paru chez Calmann-Lévy en 1977 et Le Malheur du siècle : sur le communisme, le nazisme et l’unicité de la Shoah, publié chez Fayard en 1998.
Il fut comme beaucoup d’intellectuels de son temps, membre du PCF, parti qu’il quittera en 1956, après l’écrasement par les chars soviétiques de l’insurrection hongroise. A l’instar d’Annie Kriegel, ou de François Furet, aussi adhérents du PCF, il fera partie de ces personnalités qui seront à l’origine de la remise en cause de cette idéologie mortifère, qui fit selon les estimations plus de 100 millions de victimes, c’est-à-dire bien plus que le nazisme.
Comme l’avait dit Emmanuel Leroy Ladurie, je crois, « la seule supériorité des camps russes sur les camps allemands, c’est que les premiers existent toujours, tandis que les second ont disparu ». Cette sentence avait été prononcée dans les années 1980, le goulag russe étant toujours existant, sans compter les enfermements actuels chinois, laotiens, vietnamiens, cubains, nord-coréens etc...
On se souvient également qu’en 1949, lors du procès en diffamation contre les Lettres Françaises, journal communisto-stalinien, procédure intenté par Victor Kravchenko, transfuge russe aux USA, Margarete Buber-Neumann, veuve du chef communiste allemand Heinz Neumann, fut internée dans les goulags staliniens, puis ensuite, livrée par Staline à Hitler, et emprisonnée à Ravensbrück ; elle viendra témoigner au soutien de Kravchenko, pour établir un parallèle entre les deux systèmes concentrationnaires, précisant que les camps soviétiques étaient pire que les camps nazis, ce qui jeta alors, un certain effroi tant la bien-pensance communiste dominait la pensée française.
C’est cette comparaison qu’analysa aussi Alain Besançon. Or, la gauche, les communistes s’opposaient avec une violence verbale inouïe à ce que l’on puisse seulement envisager une telle analogie. Les quelques courageux qui s’y risquèrent connurent une chape de plomb et furent ostracisés. L’Université française était totalement acquise au stalinisme triomphant. Il suffit de se remémorer les débats virulents, suite à la sortie en France de l’Archipel du goulag, d’Alexandre Soljenitsyne, en 1974.
Alain Besançon avait notamment écrit : « Le communisme est plus pervers que le nazisme parce qu’il se sert de l’esprit de justice et de bonté qui est répandu dans toute la terre pour répandre dans toute la terre le mal. Chaque expérience communiste est recommencée dans l’innocence. »
J’ai le souvenir précis, d’un débat télévisé, en 1997, lors de la sortie du livre noir du communisme, publié chez Robert Laffont, controverse qui opposait Robert Hue, alors pitoyable secrétaire général d’un PCF déclinant, à Jean-François Revel et Stéphane Courtois, maître d’œuvre de cette remarquable anthologie, qui fut vilipendée par toute la gauche, Lionel Jospin étant premier ministre « d’une gauche plurielle », qui comprenait des communistes au gouvernement.
A un moment donné, l’inénarrable Robert Hue se crut imparable en fustigeant toute comparaison entre communisme et nazisme, partant du principe que l’idée communiste, au départ, voulait le bonheur de l’humanité. Jean-François Revel, alors redoutable polémiste, pris la balle au bond et lui asséna que cela était pire et aggravait le cas du communisme, ce qui eut le mérite de clouer le bec à notre communiste de service.
Comme l’a démontré Ernst Nolte, l’immense historien allemand, dans son ouvrage de référence, La guerre civile européenne, publié en 1989 : « Ce qu’il y a dans le national-socialisme de plus essentiel, c’est son rapport au marxisme, au communisme particulièrement, dans la forme qu’il a prise grâce à la victoire des bolchéviks ». Pour lui, sans la révolution bolchévique léniniste, il n’y aurait jamais eu ni fascisme, ni nazisme. Aujourd’hui encore, les gauches, les communistes refusent toute idée même de rapprochement. Cela doit rester toujours le sens de notre combat.
01:13 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 10 juillet 2023
Tatiana Ventôse - Pour en finir avec les éoliennes : Des promesses aux réalités
Ce projet sur lequel on travaille depuis plus de six mois avec le Fil d’Actu vient de sortir ! Il s'agit de la première partie de notre documentaire sur les éoliennes, qui suscitent une colère grandissante. Pour mieux comprendre l'ampleur du phénomène, avec l'équipe du Fil d'Actu, nous avons rencontré élus locaux, riverains et experts du sujet. Nous vous livrons donc ici la première partie de notre enquête, consacrée à la réalité derrière les promesses de production d'énergie « verte » et infinie… La seconde partie sortira à la rentrée. Bon visionnage, prenez soin de vous !
19:12 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Emeutes : la mise en place d’un contre-récit
Mathieu Bock-Côté
Il est d’abord apparu évident aux yeux de tous que les émeutes de la semaine dernière étaient indissociables de l’immigration massive, qui a transformé en profondeur la population française depuis cinquante ans. Plusieurs voulurent croire qu’elles s’accompagneraient d’une prise de conscience, entraînant plus tôt que tard un véritable changement de cap politique. Il fallait être bien naïf pour s’imaginer cela.
C’est François Hollande qui a amorcé la contre-offensive en affirmant que ces émeutes n’avaient rien à voir avec l’immigration. Il était permis de parler de la crise de l’autorité, de l’effondrement de la famille, des dysfonctionnements de la République, du manque de respect pour la police... de tout, sauf de l’immigration. Les commentateurs furent trop heureux de se rallier à cette interprétation lorsqu’ils apprirent que 90 % des émeutiers interpellés étaient administrativement de nationalité française. Ils n’y virent pas le signe d’une dissociation de plus en plus marquée entre la nationalité juridique et la nationalité existentielle, mais la preuve que la question de l’immigration ne se posait plus.
Il y avait comme un soupir de soulagement dans l’air. D’émeutes communautaristes, il n’y avait pas eu. Gérald Darmanin a même voulu refaire le coup du Stade de France. On s’en souvient, il avait alors affirmé que les exactions commises lors de ces razzias étaient le fait de supporteurs britanniques.
Une fois établi que ce n’était pas le cas, et que les pillards provenaient des banlieues, le ministre de l’Intérieur déclara que s’interroger sur l’origine des émeutiers était nauséabond, sans qu’il ne lui vienne à l’esprit que « britannique » était bien une nationalité. Cette fois, Gérald Darmanin a voulu dissocier les émeutiers de l’immigration en expliquant qu’on y trouvait aussi des Kevin et des Matteo. Faut-il en comprendre que les prénoms ont une signification sociopolitique ?
En moins d’une semaine, le constat initial a donc été intégralement retourné. Le régime diversitaire a engendré un contre-récit, vite devenu la norme. Il ne serait donc plus permis d’analyser l’acculturation ratée des populations issues de l’immigration, naturalisées sans être assimilées. Il ne serait plus permis de chercher à comprendre pourquoi la jeunesse des quartiers préfère un drapeau étranger au drapeau français lors des compétitions sportives, pourquoi elle rejette souvent l’identité française pour se replier vers un islam qui se présente comme une identité alternative et revendicative, pourquoi elle voit dans le refus d’obtempérer face aux policiers un rituel initiatique dans les banlieues. Le réel n’a pas eu lieu. L’institutionnalisation du mensonge se confirme.
Le régime diversitaire venait donc de reprendre le contrôle du récit politico- médiatique. Il se radicalise au rythme où il se sent fragilisé, en cherchant à contrôler plus que jamais la mise en récit de la décomposition du « vivre-ensemble », par exemple en voulant censurer ou encadrer les réseaux sociaux et les images qui y circulent. Officiellement, il s’agit de limiter leur utilisation par les émeutiers, qui en avaient fait un outil. Dans les faits, il s’agit d’empêcher que puissent s’y raconter un autre récit et une autre description de l’émeute que celle validée par le régime diversitaire et relayée par le système médiatique.
Mais, surtout, le régime diversitaire entend sanctionner ceux qui ne se soumettent pas à l’analyse officielle des événements. Ils doivent servir d’exemple aux autres, qui devront savoir à l’avance le prix à payer pour contester le régime. Bruno Retailleau en a fait les frais. Retailleau s’est pourtant contenté de rappeler que les jeunes des banlieues se détournent souvent de la référence française pour embrasser plutôt leur identité d’origine, ou celle de leurs parents, ou même de leurs grands- parents – une identité qu’ils se réapproprient de manière victimaire, en l’investissant d’un grand ressentiment, pour ensuite marquer leur rejet de la France. Ce phénomène, Bruno Retailleau l’a assimilé à une forme de régression ethnique, aux explications nombreuses.
Twitter s’est emballé en laissant croire qu’il avait soutenu que les comportements des émeutiers s’expliquaient par leurs origines ethniques, et voudrait trier les Français selon leur couleur de peau. On se demande comment ses contempteurs ont pu en venir à cette conclusion. S’agit-il de carence en lecture ? D’une diversion malhonnête pour faire oublier les émeutes ? Chose certaine, le message était clair : le régime apposera la marque indélébile du racisme à ceux qui s’entêteront à poser la question
de l’immigration et de l’existence au cœur de la société de communautés inassimilées se voulant étrangères et même quelquefois hostiles à la France. Le réel ne passera pas. « No pasaran ». Et quant à ceux qui s’obstinent, on les fascisera.
Source : Le Figaro 8/7/2023
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dimanche, 09 juillet 2023
« Menace d’ultra droite ». Que faire lorsque l’on a tout le système contre soi ?
Julien Dir, Terre & Peuple cliquez ici
Ces derniers jours ont été marqués en France par d’innombrables pillages, incendies, émeutes, dans les banlieues comme dans certaines métropoles, mais aussi dans de plus petites communes. On a vu des milliers d’individus, s’en prendre à des automobilistes, à des élus, à des bâtiments publics parfois flambant neufs, à des médiathèques, à des écoles, à des policiers, à des pompiers.
Le point de départ ? Le décès d’un individu de 17 ans, Nahel, sur qui un fonctionnaire de police a fait feu alors qu’il venait de refuser d’obtempérer au volant d’une voiture que ni vous ni moi n’aurons le loisir de nous offrir tout au long d’une vie. Un individu qui avait été arrêté pour le même motif la semaine précédente. Qui était connu des services de police. Un individu ayant grandi sans père (lire les conséquences de ces générations sans père dans le livre de Maurice Berger sur le sujet) gavé dès le plus jeune âge à la culture banlieue, rap, racaille, en plus d’être manifestement en décalage culturel total avec les autochtones de ce pays.
Après plusieurs nuits d’émeutes, de blessés, de destructions, il est intéressant d’observer les réactions du système politique et médiatique, c’est à dire du système qui, aujourd’hui, décide d’une partie de notre avenir.
On a vu un président de la République, Emmanuel Macron, briser la présomption d’innocence du policier (qui n’a pas été jugé mais placé en détention provisoire). On a vu un footballeur icône de toute une partie (une partie seulement) de la jeunesse, prendre la parole sans que personne ne lui ait demandé. On a vu des ministres paniqués, multiplier les déclarations de fausse empathie, tout en prenant le risque pour certains, de se mettre leur police d’Etat à dos.
On a vu une meute médiatique subventionnée, chercher dans la pauvreté, dans la misère sociale, dans l’exclusion, dans le racisme même (ce qui revient à valider de manière implicite que ces émeutes sont majoritairement le fait d’extra-européens), pour justifier cette atmosphère pré guerre civile, qui a sidéré toute une partie de la population. A aucun moment, vous n’avez lu ou entendu, dans vos quotidiens régionaux, sur les principales chaines de télévision, que les banlieues enflammées sont celles qui ont touché, depuis trente ans, le plus d’argent, votre argent, via les successions de « plan banlieue » qui n’ont servi à rien, si ce n’est à acheter la paix sociale pour le résultat que l’on connait.
14:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Angers : les militants patriotes placés sous contrôle judiciaire
Source Le Nouveau Présent cliquez là
Alors que certains, à l’extrême-gauche – tel Philippe Poutou – réclament la libération des émeutiers et l’abandon de toutes les poursuites les concernant, et qu’une manifestation interdite peut tranquillement se dérouler en présence d’élus dits « républicains », la justice continue de persécuter les militants patriotes d’Angers, coupables d’avoir défendu leur local associatif face aux hordes de racailles et d’antifas.
Attaqués plusieurs jours d’affilée (où était la police ?) par des bandes armées de hachoirs, de tournevis et de machettes, 10 militants sont en effet passés en comparution immédiate pour « attroupement armé » (sic) et ont échappé de peu à une mise en détention préventive. Il ont finalement été placés sous contrôle judiciaire très strict avec renvoi du procès au 10 août. Leur local, quant à lui, a été fermé administrativement. La racaille a donc gagné. Temporairement, espérons-le…
Cette affaire est particulièrement inquiétante et grave car elle révèle clairement une volonté de « casser » ces jeunes – étudiants ou jeunes actifs, certains pères de famille…. – qui refusent de baisser la tête, de céder, de plier le genou et de n’être que des victimes. C’est aussi une négation radicale du droit à l’auto-défense et à la protection de ses biens, alors même que les pouvoirs publics démontrent leur totale incapacité à assurer la sécurité la plus minimale.
C’est pourquoi, plus que jamais, il est nécessaire, impérieux même, que tous les patriotes, nationalistes, identitaires, et même toutes les personnes un tant soit peu attachées à la liberté et à la justice, apportent leur soutien à ces jeunes militants.
Contrairement aux voyous d’en face, ils ne peuvent pas compter sur le laxisme des magistrats ni sur la bienveillance des médias, encore moins sur la complicité des élus et des « associations », ils ne peuvent compter que sur nous, sur notre solidarité sans faille. Se défendre était leur droit, les soutenir est notre devoir.
Aidez les patriotes angevins cliquez ici
00:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 08 juillet 2023
Le déni de réalité sur les émeutes des cités islamisées, l’Histoire explique le Présent.
Michel Festivi
Dans un article remarquable intitulé : « Emeutes urbaines de 2005 : ces faits accablants qu’on n’a pas voulu voir » publié dans le Figaro Vox du 8 juillet 2023, Guillaume Perrault revient très en détail sur les circonstances de ces guérillas sans précédent qui avaient surpris la France du chiraquisme triomphant, à la suite de la mort par électrocution de Zyed et Bouna qui fuyaient des policiers de la BAC et qui avaient touché un transformateur EDF après avoir escaladé un mur d’enceinte, alors que les policiers n’étaient pas allés au contact et attendaient les fuyards à la sortie. Deux fonctionnaires seront poursuivis pour « non-assistance à personne en danger » et relaxés.
Guillaume Perrault rappelle la paralysie politique de l’époque, paralysie qui nous en remémore étrangement une autre, celle d’aujourd’hui, et ce comme si aucune réflexion sérieuse n’avait eu lieu. Déjà en 1986, sous Chirac premier ministre, les autorités d’alors avaient tout lâché suite à la mort d’un manifestant anti-Devaquet, Malik Oussekine, fait divers monté alors en épingle par la gauche, avec la complicité de François Mitterrand, trop heureux de voir un Chirac se liquéfier à vue d’œil, lors de la première cohabitation.
Il compare cette liquéfaction, avec les réactions affolées de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur en 2005, qui « hanté par la perspective d’un mort parmi les émeutiers qui l’assimilerait-à tort ou à raison- à la « bavure » dont un étudiant, Malik Oussekine, avait été victime en 1986 » avait la trouille de voir sa future candidature à l’élection présidentielle foudroyée en plein vol.
Pourtant, Nicolas Sarkozy avait multiplié peu de temps auparavant des paroles fortes. Il avait promis de nettoyer « au Karcher » la cité des 4000 à La Courneuve en juin 2005, suite à la mort d’un enfant de 11 ans touché par une balle perdue lors d’un règlement de compte. Et encore en octobre 2005, un mois avant les émeutes, il avait juré qu’il lutterait contre « la racaille ». Et l’on verrait ce que l’on verrait…selon la belle formule « retenez moi ou je fais un malheur ».
En 2005, le gouvernement s’était résolu, après des jours et des jours d’atermoiements, à décréter l’état d’urgence. Mais Guillaume Perrault pointe la faiblesse de l’Etat qui ne put envoyer alors que 8000 hommes, au plus fort des émeutes d’une violence inouïe « pour renforcer leurs collègues déjà en première ligne ». Cette faiblesse est toujours présente, peut-être plus que jamais.
Pour les sociologues Hugues Lagrange et Macro Oberti, des jeunes originaires du Sahel, issus de familles nombreuses étaient surreprésentés parmi les émeutiers, Emeutes urbaines et protestations-une singularité française, Presses de Sciences Po, 2006.
Mais, le plus intéressant dans cette histoire française, c’est qu’en 1998, il y a 25 ans, un journaliste du Point, Christian Jelen, disparu cette année-là, après avoir effectué un travail de terrain de près de deux ans, avait publié, La guerre des rues, la violence « des jeunes » chez Plon. Il écrivait en avant-propos, une réflexion déjà prémonitoire : « On ne peut résoudre un problème en le posant mal ou en omettant un certain nombre de ses paramètres. C’est pourtant ce qui se passe depuis des années avec les violences urbaines. » Visiblement, Monsieur Darmanin persiste et signe dans cette attitude.
Dans ce livre, Jelen, analyse en autres, l’influence de la polygamie sur l’éducation des enfants, que l’Etat et la justice française ont trop longtemps tolérée. Comme l’avait magnifiquement souligné Jean François Revel, patron du Point et ami de Christian Jelen : « La peur d’être taxé de racisme a donc conduit les responsables politiques, depuis deux décennies, à escamoter le nœud de la difficulté, toujours par peur d’être assimilés au FN », Le Point, 23 janvier 1999.
Décidément, 25 ans après, sous les Macron, Borne, Darmanin, Dupond-Moretti, Pap Ndiaye, rien n’a changé, sauf en pire, et ce commentaire avisé de Jean-François Revel pourrait être réécrit in extenso. C’est pourquoi aussi, les propos « musclés » de nos Ciotti, Lisnard, Wauquiez et autre LR sont suspects et entachés d’un sentiment de « déjà entendu ».
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Si nous en sommes là, c’est à cause d’une immigration massive
Pierre Brochand a été directeur général de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) de 2002 à 2008, ainsi qu’ambassadeur de France, notamment en Hongrie et en Israël. Sa parole est extrêmement rare dans les médias. En exclusivité pour Le Figaro Magazine, il livre son regard sur les émeutes, un moment charnière de notre histoire.
Selon lui, nous vivons la révolte contre l’État national français d’une partie significative de la jeunesse d’origine extra-européenne présente sur son territoire. Cette explosion est le résultat de décennies d’aveuglement et de propagande envers une immigration de peuplement dont on n’a jamais mesuré les conséquences. Il analyse le cocktail fatal que devait constituer la rencontre entre une société des individus fondée sur l’ouverture et la démocratie et l’arrivée de diasporas entières au bagage culturel totalement différent. Est-il trop tard?
Auteur d’une intervention remarquée à l’Amicale gaulliste du Sénat, l’ancien directeur de la DGSE - qui est intervenu lors d’un colloque de la Fondation Res Publica sur le thème: «Pour une véritable politique de l’immigration» - invite à ne pas commettre les mêmes erreurs que par le passé et livre ses pistes pour sortir de cette crise inédite dans l’histoire de la France.
Lire la suite ICI
Source : Figaro magazine, 8/7/2023 – Entretien mené par Eugénie Bastié.
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vendredi, 07 juillet 2023
Celles et ceux dont on na pas entendu parler...
Un communiqué du Collectif Némésis :
• Pas un seul débordement pour Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
• Pas un seul débordement pour Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
• Pas un seul débordement pour Aurelie Châtelain tuée Sid-Ahmed Ghlam
• Pas un seul débordement pour Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
• Pas un seul débordement pour Stéphanie Monfermé tuée par Jamel Gorchene
• Pas un seul débordement pour Marie-Belen tuée par Faycal
• Pas un seul débordement pour Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
• Pas un seul débordement pour Helana tuée par un Afghan
• Pas un seul débordement pour Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
• Pas un seul débordement pour Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
• Pas un seul débordement pour Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
• Pas un seul débordement pour Nicole Pallud tuée par Abousalem Nagad
• Pas un seul débordement pour Françoise Combier tuée par Mohammed Mettellaoui
• Pas un seul débordement pour les victimes de Brahim Aouissaoui
• Pas un seul débordement pour Julie Puzenat tuée par Akil
• Pas un seul débordement pour Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
• Pas un seul débordement pour Christelle et son fils tués par Azzedine
• Pas un seul débordement pour Lola Daviet tuée par Dahbia
• Pas un seul débordement pour Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
• Pas un seul débordement pour Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
• Pas un seul débordement pour Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
• Pas un seul débordement pour Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
• Pas un seul débordement pour Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
• Pas un seul débordement pour Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
• Pas un seul débordement pour Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
• Pas un seul débordement pour Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
• Pas un seul débordement pour Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
• Pas un seul débordement pour Vanessa tuée par Fouad Reddad
• Pas un seul débordement pour Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
• Pas un seul débordement pour Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
• Pas un seul débordement pour Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
• Pas un seul débordement pour Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière
• Pas un seul débordement pour Shaina tuée par Omar Ouzzig
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes tuées par des hommes issus de l’immigration.
Collectif Némésis cliquez ici
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Emeutes : après le déni total de nos gouvernants, la salutaire et éclairante rencontre entre Boualem Sansal et Florence Bergeaud-Blackler sur l’islam et l’islamisme dans nos sociétés occidentales.
Michel Festivi
Le grand écrivain algérien, Boualem Sansal (ci-dessus), qui vient de recevoir le prix Constantinople et qui publie, Gouverner au nom d’Allah, islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe, chez Folio, et Florence Bergeaud-Blacker (FBB, ci-dessous), qui vient de recevoir le prix de la Revue des deux Mondes pour son ouvrage sur Le Frérisme et ses réseaux, chez Odile Jacob, que nous avons largement commenté ici, viennent d’être réunis par le Figaro Magazine pour un entretien croisé étincelant.
A l’heure où Monsieur Darmanin se refuse à prendre conscience de la réalité des cités de notre pays, confrontées à des bandes qui veulent en découdre, animées par une haine de la France et de ses institutions, et ce, qu’ils soient « français » ou non, cet entretien est à lire absolument.
Car pour Boualem Sansal : « Ne parler que d’islamisme est une façon de détourner le regard. La civilisation qui s’installe en France, c’est l’islam, l’islamisme n’est pas une civilisation, c’est un mouvement politico-religieux vulgaire, dont l’histoire commence au tout début de l’islam ». Et lorsque l’on lui demande s’il fait une distinction entre islam et islamisme il a cette réponse : « l’islamisme, se veut en quelque sorte l’avant-garde l’islam, auquel il épargne les considérations prosaïques ».
FBB, définit cette montée de l’islam ou de l’islamisme par « la ruse mobilisée dans toute lutte asymétrique…l’objectif c’est la société islamique. Les Frères européens n’ont pas une préférence pour la guerre ou les moyens coercitifs violents…Les frères peuvent utiliser des moyens beaucoup plus sournois et délétères. »
Décidemment nos décideurs publics ont les paupières fermées et les oreilles bouchées par le déni absolu de la réalité, mais leurs paroles sont trompeuses et mensongères.
Boualem Sansal qui a vécu en Algérie les années de plomb, où les soldats de l’islam se sont abattus sur ce pays, et qui connait donc parfaitement le problème nous alerte : « Les propos que j’entends en France me rappellent ceux que nous tenions à Alger lorsque l’islamisme commençait à installer ses bases ». Il décrit très bien la multiplication du port du voile, alors que notamment dans les villes ce port était tombé en désuétude.
Quant à FBB, elle indique indirectement à Monsieur Pap Ndiaye, qui n’ose jamais prononcer le mot « islamisme » et qui a la foi de l’aveugle volontaire chevillé au corps, que l’école et l’université ont été le terrain de prédilection de l’emprise des Frères musulmans. Et elle précise : « Les Frères ont des alliés dans beaucoup de secteurs notamment grâce aux syndicats et aux partis de gauche comme LFI ou EELV, ce que l’on appelle les relais "islamo-gauchistes". La France Insoumise est allée jusqu’à draguer ouvertement les voix fréristes et le parti est devenu en quelque sorte son obligé, idem pour les élus locaux qui s’engagent dans des deals avec des chefs religieux dont ils auront du mal à sortir. On ne pactise pas avec les Frères sans payer un prix d’entrée ou de sortie… ». Certains maires qui ont vu leurs mairies incendiées devraient y réfléchir.
Pour l’instant, on a le sentiment que toutes ces paroles profondes et justes n’ont aucun effet concret sur notre oligarchie, notre caste politico-médiatique, à de trop rares exceptions près. Et comme l’a titré Mathieu Bock-Côté dans une chronique du 16 juin dernier au Figaro Vox « Faible avec l’islamisme, fort avec les chrétiens », car ajoute-t-il avec pertinence : « ce n’est pas la religion qui revient, c’est l’islam qui arrive. Ceux qui parle indistinctement du « phénomène religieux » sous prétexte de ne pas cibler une religion en particulier oublient que toutes les religions ne sont pas interchangeables ». Comme l’avait déclaré Albert Camus, « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde. » Le peuple doit forcer nos gouvernants à le reconnaître et à lui donner la parole, c’est plus qu’urgent.
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Soutien aux étudiants patriotes angevins et à Jean-Eudes Gannat
Vendredi dernier, à Angers, le local des jeunes étudiants nationalistes et identitaires a été attaqué par une horde de racailles gauchistes. Les militants patriotes ont défendu avec courage et détermination leur local. C'est tout à leur honneur.
Depuis hier, notre camarade et ami Jean-Eudes Gannat, figure emblématique de la jeunesse non-conformiste angevine, est inquiété par les autorités qui, une fois de plus, confondent agresseurs et agressés.
S N
Jean-Eudes était l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio :
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« Sud global » contre « Occident collectif » ?
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Longtemps écartée de l’Université au profit des « relations internationales » et mal vue des géographes et des politistes, la géopolitique retrouve une notoriété certaine aux lendemains de la chute du Mur de Berlin, de la fin de la Guerre froide, de la disparition du bloc soviétique et de l’éclatement de l’URSS. Le mot devient tendance au point qu’on l’accommode avec tout et n’importe quoi : « géopolitique des goûts », « géopolitique des couleurs » ou « géopolitique des mentalités ». Si certaines combinaisons se révèlent pertinentes, d’autres témoignent d’un conformisme veule et d’un regrettable détournement sémantique.
Il est par exemple excessif de parler de « Sud global ». Cette notion apparue dans la décennie 1980 remplacerait maintenant le concept de « Tiers-Monde » que forge en 1952 le démographe français Alfred Sauvy. Le « Tiers-Monde » coïncide en partie avec les États membres du Mouvement des non-alignés inauguré lors de la Conférence afro-asiatique de Bandung en 1955 et officialisé à Belgrade en 1961. L’Indien Nehru et le Yougoslave Tito cherchaient à se dégager de l’étreinte mortelle du condominium planétaire soviéto-étatsunien. Si Charles De Gaulle avait été plus audacieux tant en matière de participation dans les entreprises qu’en politique étrangère, la France des années 1960 aurait pu devenir la figure de proue du non-alignement.
Interrogé par Le Figaro du 22 juin 2023, le professeur d’économie en Sciences Po, Bertrand Badie, définit le « Sud global » comme « un ensemble de pays d’Afrique et d’Asie qui, durant la Guerre froide, furent exclus de l’ordre mondial soit parce qu’ils étaient dominés et colonisés, soit parce qu’ils étaient totalement marginalisés, humiliés, écrasés ». Les participants au Sud global « se caractérisent, poursuit-il, par un faible PIB et surtout une situation défavorable en terme d’indice de développement humain ». Mais les critères de ce développement humain qui sont d’origine occidentale, sont-ils les plus idoines pour des peuples non occidentalisés en profondeur ? L’économiste hétérodoxe François Partant ne cessait de vitupérer contre les théories fallacieuses du développement à la mode euro-nord-américaine. En 2023, ce « Sud global » regrouperait des États d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Ses coryphées seraient la Chine populaire et l’Union indienne. Cet ensemble disparate ne forme nullement un nouveau bloc géopolitique bien qu’il a pu montrer une neutralité officielle à propos du conflit russo-ukrainien en ne suivant pas les consignes occidentales.
Au Sud global qui dépasse – et de loin ! - les simples BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), Moscou aimerait opposer le concept d’« Occident collectif ». L’association de ces deux mots désigne le monde occidental moderne américanomorphe et ses déclinaisons institutionnelles (OTAN, Union dite européenne, FMI…). Dans plusieurs de ses discours qui justifient l’actuelle guerre en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine use de cette expression et cible les méfaits du gendérisme et de la doxa LGBTQIA+++. Cet « Occident collectif » pensé à l’intérieur de l’appareil de propagande russe correspond à l’« Occident globalitaire » cher aux oligarchies cosmopolites tels que le Bilderberg ou la Commission Trilatérale. La priorité accordée aux enjeux sociétaux favorables à une indifférenciation généralisée ne relève pas d’un quelconque esprit complotiste.
Sous la plume de Marielle Vitureau, Le Figaro du 23 juin 2023 explique que « l’Estonie autorise le mariage pour tous » et que cette loi entrera en vigueur le 1er janvier 2024. Le texte législatif remplace les mots « homme » et « femme » par « personnes physiques », ce qui est une nouvelle et sordide discrimination envers les animaux, les plantes, les appareils électro-ménagers et les bâtiments. Selon un sondage du Centre estonien des droits de l’homme - oh pardon !, des personnes physiques -, 53 % de la population estonienne, y compris au sein de l’importante minorité russophone souvent discriminée, soutiendraient cette loi. Rédactrice en chef lesbienne de la revue en ligne Feministeerium, Kadi Viik, se félicite de cette approbation qui « reflète le fait que nous sommes orientés vers les valeurs occidentales ».
Pour sa part, la présidente de l’association LGTB d’Estonie, Aila Kala, déclare qu’« il existe plusieurs moyens de montrer que notre société est occidentale et évidemment, le mariage pour tous est l’un de ses moyens ». Dans Le Monde du 22 juin 2023, le député social-démocrate estonien, Eduard Odinets, estime que ce « vote nous permet de rompre une bonne fois pour toutes avec l’idéologie et les valeurs de l’ère soviétique ». Il considère qu’« en autorisant le mariage pour tous, nous disons clairement aux Russes et à la Russie que nous ne sommes pas dans leur camp, mais dans celui qui défend la liberté et l’égalité, et nous montrons à nos frères et sœurs européens que nous partageons leur conception de ce que doivent être les fondements de la société ». Cet élu ne comprend pas que la liberté et l’égalité ne font jamais bon ménage...
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Face à la meute politico-journalistique, Jean Messiha explique pourquoi il a lancé la cagnotte pour aider le policier
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LES DEALERS SIFFLENT LA FIN DE PARTIE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Ce ne sont pas les Macron et autre Darmanin qui ont ramené le calme dans les cités exotiques, jusqu’à la prochaine explosion, avec armes à feu cette fois. Non, ces « zones de non droit » que les derniers résidents « de souche » et immigrés intégrés à la société française cherchent à fuir, sont sous la suzeraineté de néo-féodaux. Ces derniers ont presque droit de vie et de mort sur les habitants de tous ces « quartiers difficiles ». Sont-ils dans ces nouveaux fiefs, les descendants de Barbaresques conquérants qui, par-delà les siècles, sembleraient vouloir prendre leur revanche ?
1300 bâtiments incendiés ou sévèrement dégradés, et pas moins de 5700 véhicules carbonisés, des millions d’euros de dégâts plus tard, les maîtres du trafic de drogue ayant estimé qu’à la longue, les émeutes étaient nuisibles pour leur business, ont sifflé la fin de la récré !
« Ca suffit les petits, les grands frères ont autre choses à faire que d’aller à la dépouille »…Le juteux trafic de stups. doit reprendre, et les désordres sont évidemment nuisibles au commerce. Que chacun reprenne sa place, les caïds au sommet de la pyramide, et les guetteurs aux marges des cités, à leur poste, pour prévenir de l’éventuelle arrivée des « keufs ».
Demain, sans l’avouer, combien de maires et autres élus municipaux négocieront la paix sociale avec les « grands frères », maitres de la rue et des barres d’immeubles, des plus grandes conurbations aux plus petites zones d’HLM dans d’anonymes sous-préfectures ? Pourra-t-on leur jeter la pierre, alors que l’État est incapable d’assurer la sécurité des biens et des personnes, et qu’il freine les capacités de sa police et de sa gendarmerie dans la répression, de peur de nouvelles « bavures » ? Il faut voir avec quelle rapidité, sans attendre les premières constatations de la justice, le système a condamné le motard auteur du tir qui a tué le jeune Nahel. Lequel policier, jusque-là bien noté et en passe d’être promu au grade supérieur, est maintenu au-delà de toute décence derrière les barreaux à la Santé, alors qu’il pourrait être mis en résidence surveillée à son domicile.
Le plus croustillant si je puis dire, vient de l’Iran et de l’Algérie. Le premier, qui ne manque pas de toupet, semble s’indigner de la manière dont nous réprimons les émeutiers, alors que le régime des enturbannés n’a pas hésité à faire tirer sa police, à balles réelles, sur des manifestantes qui protestaient contre le port du voile obligatoire. Quant à la seconde, elle nous a habitués depuis juillet 1962 à des actes permanents contraires à nos intérêts. Outre que son hymne national réintroduit un couplet hostile à notre patrie, son président qui devait venir en visite officielle à Paris, ose s’inquiéter du sort de sa (trop) importante communauté dont, hélas, une bonne moitié est « binationale »… Sans compter qu’un certain nombre des siens font partie des casseurs arrêtés. L’hôpital qui se moque de la charité, en quelque sorte.
Vite, vite, en place, un Gouvernement de défense des intérêts nationaux vitaux, à la main ferme, qui ne tremble pas et qui ne transige ni avec la camarilla gauchiste, complice des émeutiers, ni avec les communautés ethniques en rébellion. Les « nounours, les petites fleurs et autres marches blanches » qui ponctuent sans cesse l’actualité française, ça suffit : ordre doit rester à la loi, notre loi, pas celle des voyous, des voleurs, des violeurs et autres barbares !
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jeudi, 06 juillet 2023
Solidarité raciale et haine du pays d'accueil
Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :
À la différence d'un grand nombre d'afro-maghrébins occupant notre pays, les Français de souche ne ressentent aucune solidarité ethnique avec les délinquants et criminels blancs. Ceux-ci s'excluent eux-mêmes de la communauté nationale par leur comportement asocial et se retrouvent naturellement marginalisés.
Il s'agit d'un fossé civilisationnel fondamental. Pour les allogènes, la haine viscérale du pays d'accueil et de ses symboles d'autorité prime largement sur toute notion d'honnêteté, de respectabilité et de probité individuelle. Pour ces gens-là, soutenir une petite crapule comme Nahel Mezrouk tombe sous le sens. Ils s'identifient sans difficulté à ses proches ou à lui-même.
Le « vivre ensemble » est une chimère. Notre société multiraciale est une poudrière constamment prête à exploser à la moindre étincelle.
L'unique salut possible pour le peuple français est la remigration d'une majorité d'extra-européens. Tout le reste n'est qu'illusion et voué à l'échec.
Source cliquez ici
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mercredi, 05 juillet 2023
Bilan carbone...
Une petite question, comme ça, en passant, pour Marine Tondelier et ses "matons de Panurge" d'Europe Ecologie les Verts : on a beaucoup parlé du bilan matériel et humain des ces cinq jours d'émeutes ; mais qu'en est-il du bilan carbone ? Eh oh, les écolos, notre maison France brûle, et vous regardez ailleurs ?
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Retour sur les victoires électorales de L’Alternative pour l’Allemagne (A.F.D)
Michel Festivi
L’AFD a été créée en 2013 d’une dissidence de la CDU, pour initialement lutter contre les institutions européennes, contre l’Euro et pour le retour du Deutsche Mark. Aujourd’hui les dirigeants ont changé, et l’AFD se présente désormais comme un parti anti-immigrationnistes, voulant protéger les frontières du pays et défendre la sécurité des allemands.
Malgré plusieurs crises internes et une volonté gouvernementale de la supprimer politiquement et juridiquement, l’AFD a rapidement obtenu des élus. Au Bundestag, après avoir échoué d’un cheveu avec 4,7% des voix en 2013 à obtenir des députés (le seuil est de 5%), en 2017 l’AFD obtient 12,6% et 94 députés, et en 2021, alors que le parti était en proie à des tiraillements internes considérables et à des poursuites judiciaires, le parti réalisa un score de 10,3% et obtint 83 députés.
Actuellement, l’AFD dispose de 11 députés européens et de plus de 150 députés régionaux, surtout dans les régions Est, très défavorisées.
Tout dernièrement, l’AFD vient de remporter deux victoires particulièrement symboliques, qui ont marqué les esprits. Fin juin, l’AFD a obtenu de gouverner seule, le Landkreis de Sonneberg dans le Land de Thuringe, un district dans l’Est du pays. Robert Sesselmann, a conquis cet arrondissement territorial de 56 000 habitants avec 52,8% des suffrages. Les médias allemands se sont déchainés en évoquant « Un séisme », « un coup de poing pour les autres partis », « un signal d’alarme », bref toute la panoplie habituelle, que l’on connait que trop bien, pour effrayer les électeurs et tenter de les détourner de ce parti « sulfureux ».
Mais la classe politique et médiatique n’a pas eu le temps de souffler, puisque le dimanche 2 juillet, L’AFD a remporté sa première victoire à des municipales d’importance. Avec 51% des voix, Hannes Loth a été élu maire de Raguhn-Jessnitz, commune de 9000 Habitants, toujours dans l’Est de l’Allemagne, dans le Saxe-Anhalt. Comme le souligne avec effroi la presse, jusqu’à présent l’AFD ne gérait que de petites communes rurales, où les maires étaient des bénévoles, ce qui ne sera pas le cas cette fois-ci.
Le porte-parole du parti et Président du groupe AFD au Bundestag, Tino Chrupalla a déclaré à l’issue de cette victoire : « Hannes Loth devient le premier maire AFD Nouvelle Normalité : nous sommes un parti qui représente le peuple ».
Car ce qu’il faut souligner et qui fait sursauter toute la classe politique allemande, c’est que l’AFD a résisté à « un front commun », qui allait de la CDU, en passant par les écolos, les libéraux, et la gauche radicale. De plus, actuellement, tous les sondages montrent que si des élections générales avaient lieu, l’AFD obtiendrait près de 19% des voix, faisant jeu égal avec le SPD. Il faut dire que la coalition de gauche, écologiste et libérale actuellement au pouvoir est particulièrement impopulaire, suite notamment de sa politique d’ouverture des frontières à tout -va. Les préoccupations de l’AFD, qu’elle relaie sur le terrain, sont outre la lutte contre l’immigration, les questions énergétiques, la politique de sécurité, et l’arrêt de la guerre en Ukraine.
Ce qui est frappant et réjouissant, c’est que la CDU ne profite nullement de l’impopularité du gouvernement actuel, alors qu’elle avait promis en 2018, de réduire par deux le score de l’AFD. Encore un effort et le score de l’AFD sera multiplié par deux ! Après l’Italie, l’Espagne, la France et ses 89 députés RN, et certains pays scandinaves, les droites populistes ont le vent en poupe. Comme le disait un personnage célèbre : « pourvu que ça dure ».
Dans le dernier numéro de Lectures françaises, un grand entretien avec Michel Festivi sur son nouveau livre consacré à Miguel Primo de Rivera : cliquez ici
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Oran, 5 juillet 1962 : ne jamais oublier...
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La facture des vandales
Gaëtan de Capèle
Magasins pillés, bâtiments publics ravagés, écoles détruites, voitures calcinées... Les émeutes des derniers jours laissent, un peu partout en France, un paysage dévasté. Les images de la télévision et les vidéos sur les réseaux sociaux ne diront jamais totalement la réalité de ce que vivent dans leur chair les victimes des voyous. Il faut entendre le désarroi de ceux qui, ne demandant rien à personne, se levant chaque matin pour aller travailler ou tenir un commerce, ont tout perdu. Le vandalisme endémique - « gilets jaunes », manifestations contre les retraites... - qui gangrène le pays devient leur pire cauchemar. À travers ces saccages, c’est toute leur vie professionnelle et familiale qui part en fumée. Ils n’ont que faire, et on les comprend, des grandes explications sociologiques sur la dérive des jeunes pillards. Encore moins des larmes de crocodile de cette gauche qui, après avoir témoigné d’une coupable bienveillance à l’égard de leurs agresseurs, les assure maintenant de son soutien.
Ce grand carnage n’aura, paraît-il, aucun impact sur l’économie française, ni sur notre attractivité. On aimerait le croire, mais on en doute. Les mises à sac à répétition de nos centres-villes, qui font le tour du monde, ont déjà lourdement entamé notre réputation. Leur coût, énorme, devra bien, quant à lui, être épongé par quelqu’un. Les compagnies d’assurances en prendront bien sûr une partie en charge. Mais l’État, c’est-à-dire le contribuable, sera lui aussi contraint de participer, une fois encore, au règlement de la facture. Les Français subiront alors la double peine de réparer des équipements qu’ils ont déjà payés. Et les vandales, dans tout cela ? Les bonnes âmes nous expliquent à quel point il serait injuste, puisqu’ils sont des victimes de la société, de les faire payer. Combien ajouter de la misère à la misère risquerait de conduire au chaos. Comme si l’impunité dont ils bénéficient n’avait pas déjà produit ce résultat. Abasourdi par les événements, Emmanuel Macron serait, paraît-il, prêt à sanctionner financièrement les familles des délinquants. La grande majorité des Français n’attend que cela.
Source : Le Figaro 5/7/2023
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LA MOUVEMENT NATIONAL-DÉMOCRATE PRÉSENTE SON PROJET POUR ORGANISER LA REMIGRATION
Vincent Vauclin, président du Mouvement national-démocrate
En quelques jours, la France a basculé dans le chaos. Des milliers de véhicules incendiés, de commerces pillés, de mairies et de commissariats attaqués, d'écoles et de bibliothèques vandalisées, des centaines de policiers et de pompiers blessés... Tel est le bilan - encore provisoire - de ces quelques nuits d'émeutes durant lesquelles les pouvoirs publics ont été débordés malgré le déploiement de 45 000 policiers et gendarmes sur l'ensemble du territoire. Une situation quasi-insurrectionnelle mêlant violences gratuites, attaques ciblées contre les représentants de l'État et pillages systématiques, y compris dans des villes de taille moyenne jusqu'ici épargnées par les émeutes urbaines.
Après des décennies de laxisme judiciaire et migratoire, la France est toujours confrontée aux conséquences inévitables du multiculturalisme et de la faillite de son modèle d'assimilation. Multiplication des zones de non-droit, sédition communautariste, ressentiment et racisme anti-français assumé : le déni n'est plus permis, et seul le Ministre de l'Intérieur peut encore prétendre qu'il n'existe aucun lien entre ces évènements dramatiques et l'immigration massive imposée à notre pays depuis plus de quatre décennies.
Ces nuits d'émeutes ne sont que la préfiguration de l'embrasement qui menace la France à court terme si rien n'est fait. Mais une autre politique est encore possible, à condition d'aller au-delà des considérations superficielles et du déni dans lequel les médias subventionnés entendent enfermer l'opinion publique. Voilà pourquoi le Mouvement National-Démocrate dévoile aujourd'hui son dossier CTRL+Z : le projet des nationaux-démocrates pour organiser la remigration cliquez ici
Site du MND cliquez là
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mardi, 04 juillet 2023
Les islamo-gaucho-écolos vs les « M’sieurs-dames tout en un »
La chronique de Philippe Randa
Je relatais dernièrement (Nouveau Présent du 20 juin 2023 « Poor lonesome wokistes »), les soucis outre-atlantique des « M’sieurs-dames tout en un » avec le conseil municipal 100 % musulman de Hamtramck dans le Michigan qui a interdit le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville… Mais outre-Manche également, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).
À Londres, c’est par les écologistes que la 51e Marche des Fiertés a été contrarié. Quelques minutes seulement, certes, mais le temps ne fait rien à l’affaire et quand on veille à enquiquiner son prochain, qu’importe l’arc-en-ciel des sentiments : le groupe Just Stop Oil a bloqué un char du cortège dénoncé comme « le pire pollueur plastique au monde » ; rien que ça !
Et quel est ce char impie frappé par l’opprobre escrologique ? Celui de Coca-cola qui a ainsi pu tester l’efficacité de son nouveau slogan 2023 « Taste the feeling/goûte la sensation » (qui a remplacé celui datant de 2009 : « Ouvre un Coca-Cola, ouvre du bonheur ») !
Car, nous apprend le site euronews, « Just Stop Oil avait auparavant demandé aux organisateurs de renoncer à être sponsorisé par “des industries hautement polluantes”. La Marche des Fiertés compte parmi ses plus grands sponsors la compagnie aérienne United Airlines »… et Coca-Cola a signé en 2007 avec United Airlines un accord de cinq ans sur les boissons, devenant ainsi son principal fournisseur de boissons non alcoolisées… C’est ballot, tout de même !
Mais comme si les déboires LGBTruc-machins d’outre-Altlantique et d’outre-Manche n’étaient pas déjà si révélateurs d’un « pas vivre avec tout le monde », voilà qu’« outre-Couesnon », en Bretagne extrême, donc ! le bar LGBT Happy Café à Brest a été obligé, « en catastrophe, de fermer ses portes après un signalement de messages haineux des émeutiers sur les réseaux sociaux » parce que pris pour cible sur les réseaux sociaux par de susceptibles « chances pour la France » qui se répandaient depuis le début des émeutes de la fin de semaine en messages d’amour explicites tels que : « Les gars priorité à l’happy Café on brule les PD qu’ils crèvent en enfer le Coran », « Exploser l’happy café faut respecter notre religion Allah Akbar », « Happy café zéro pitié »… et autres aimables sentiments de fraternité religieuse !
Seuls, bien sûr, des esprits chagrins se réjouiraient de voir tout ce beau monde s’entre-dévorer ainsi à pleines dents et leur souhaiteraient « bon appétit ! »
Eurolibertés cliquez ici
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Décès du « petit ange », au profil de racaille.
Pieter Kerstens
Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.
Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?
Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?
Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.
MIEUX VAUT OBEIR AUX FORCES DE L’ORDRE.
On peut se demander s’il est normal qu’un garçon de 17 ans conduise une Mercédès immatriculée en Pologne, sans permis de conduire, ni assurance. Les motards de la police avaient pris Nahel en chasse, car celui-ci roulait dans un couloir réservé aux bus et aux véhicules de secours. Refusant une première fois de s’arrêter, Nahel grille un feu rouge et manque d’écraser un piéton, puis ensuite de renverser un cycliste. Ce n’est que dans les embouteillages que les deux flics arrivent à coincer le véhicule, dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’Ordre et repart, ce qui déclenche le tir mortel.
Il est absolument inacceptable que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, se mêle des faits divers en France et exige du docteur Micron que celui-ci « protège les citoyens algériens résidants dans l’Hexagone » !
Les syndicats de la police ont bien raison de parler de la « guerre aux nuisibles ».
En outre, la population a bien compris que le fond de ce drame concernait évidemment les séquelles de l’échec d’une intégration mal vécue. Suite à un sondage du Figaro auprès de 71.000 lecteurs, 84% sont favorables à la cagnotte lancée en faveur de la famille du policier actuellement en garde à vue. Ce mardi 4 juillet, cette cagnotte s’élevait à 1.380.000 euros, quand la cagnotte pour Nahel ne recueillait, elle, que 340.000 €, soit quatre fois moins !
PILLAGES ET RAZZIAS SONT LES DEUX MAMELLES DE LA CRAPULE.
Dès le mardi soir, 27 juin, partout en France (en aussi en Belgique) les émeutes ont émaillé les villes où des jeunes issus de l'immigration ont montré qu'ils se considéraient comme des Français de papier en déversant leur haine contre nos lois et règlements, contre nos us et coutumes, en cassant et en brûlant tout ce qui leur tombait sous la main, qu’il s’agisse de biens publics ou privés.
La racaille jeune et moins jeune s’est abattue comme un vol de prédateurs sur les commerces les plus divers (tabacs, électroniques, parfumeries et boutiques de luxe), dont les vols se montent à plusieurs centaines de millions d’euros, qui s’additionnent à tous les dégâts survenus aux bâtiments publics et privés, ce qui va aboutir à une addition que les contribuables français vont devoir payer dans l’avenir. Merci aux gouvernants qui, au fil des années, ont ignoré les conséquences d’une immigration sauvage, dénoncée par mes camarades d’Ordre nouveau en juin 1973 et relatée par Jean Raspail dans son livre prémonitoire « Le camp des saints » la même année.
19:45 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce n'est pas nous qui le disons...
"Un pitbull avec un air de cocker" (Paul Benayoum)
Synthèse nationale
Avec les émeutes, de nombreux commentateurs se souviennent brusquement du "père de la rénovation urbaine (...) qui porta l'un des plus grands programmes publics en faveur des quartiers difficiles" (selon Le Point), Jean-Louis Borloo, ministre délégué à la Ville sous Chirac, de l'Ecologie sous Sarkozy puis auteur d'un plan d'action pour les banlieues qu'Emmanuel Macron enterra sans fleurs ni couronnes en 2018....
Espérons qu'ils se souviennent également de ce que l'intéressé déclarait en 2002, dans Un homme en colère (éd. Michalon), un livre écrit par Jean-Paul Brighelli (l'auteur de La fabrique du crétin) :
"Je me souviens d'une époque où la peau d'un flic, dans le cadre de sa mission, était sacrée. Je souhaite (...) que, sauf preuves contraires, comme pour les douanes, la parole d'un policier dans l'exercice de ses fonctions prédomine. Il me paraît, par ailleurs, indispensable que les délits constitués à l'encontre du policier dans le cadre de ses fonctions (...) vaillent double sanction à leurs auteurs".
"A côté du délit de faciès (...) se développe aujourd'hui surtout le délit d'uniforme. Oui, nos forces de sécurité sont en péril, démobilisées, démoralisées, abandonnées (...). Oui, j'en ai assez de voir nos gendarmes et nos policiers pris pour cibles, non respectés (...)".
"Si l'on n'y prend pas garde, il y aura de plus en plus de bus qui brûleront, de gamins qui se drogueront, d'échecs scolaires qui deviendront des violences urbaines (...). La sécurité pour tous est une impérieuse nécessité de l'Etat. Dans ce domaine, on constate en partie sa défaillance (...). Défaillance dans les résultats, défaillance dans l'état d'esprit des commentateurs pour qui il n'y a de bavures que policières".
"L'absence de répression est une forme d'oppression, car elle revient à supprimer tout repère (...). Le meilleur moment pour dire non, c'est le premier. Disons non tout de suite, à la première déviance".
On le voit : comme trop souvent, des constatations et des réflexions frappées au coin du bon sens... qui, au final, ont débouché sur rien ou pas grand chose... Derrière les mots, l'inaction... Paroles, paroles, paroles, encore et toujours des paroles, chantait Dalida... Aujourd'hui, vingt-et-un ans après ces propos du "pitbull avec un air de cocker", les Français constatent les résultats de la politique du chien crevé au fil de l'eau. Espérons que cette fois, ils sauront en tirer les bonnes conclusions et voter en conséquence...
18:01 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes
Un communiqué de la
Coordination Partout Callac :
Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.
Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.
Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.
Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».
Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.
Dans les banlieues, prenant prétexte de cette mort, d’un bout à l’autre du pays ce fut une explosion de violence contre la police, contre tout ce qui représente l’autorité et porte un uniforme.
Des bâtiments publics (écoles, mairies, commissariat de police, bibliothèque,… etc.) ont été détruits par le feu. De même une multitude de véhicules ont été incendiés, ainsi que des bus et des tramways.
À cela il faut ajouter les pillages qui eurent lieu sur le mode « razzias » dans les magasins, notamment de centre-ville et zones commerciales, dont le butin fut ramené dans les quartiers.
17:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Franc-Maçonnerie : révélations politiques d’un ex-Vénérable Maître - Serge Abad-Gallardo
Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain qui est une obédience mixte et internationale. Il a occupé la plupart des postes d'officier de loge, y compris celui de Vénérable Maître. Revenu à la foi chrétienne en 2012, il témoigne de sa connaissance du monde de la franc-maçonnerie dans de nombreuses conférences qu'il donne en France et à travers le monde.
Ce livre est disponible ICI
16:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
" Sound of Freedom " La terrible réalité
Ce 4 juillet 2023 sortira – enfin – dans les salles de cinéma américaines le film Sound of Freedom réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde. Il met en vedette l’acteur catholique Jim Caviezel, qui a notamment interprété le Christ dans le film La Passion réalisé par Mel Gibson. Cette fois, Caviezel joue Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement devenu justicier et qui se lance dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie.
Il s’agit d’une histoire vraie. Tim Ballard a quitté son emploi d’agent spécial auprès de US Homeland Security Investigations (HSI) pour devenir justicier et se lancer dans une mission de sauvetage d’enfants prisonniers des cartels et des trafiquants d’êtres humains en Amérique latine.
Ballard a personnellement demandé à Jim Caviezel de tenir son rôle, même si l’acteur ne lui ressemble pas.
Le tournage a commencé à l’été 2018. Une partie du film a été tournée aux États-Unis (Calexico, Californie), mais la plupart des tournages ont eu lieu à Carthagène, en Colombie.
Le film a été achevé il y a plus de quatre ans et un accord de distribution avait été conclu avec la 21st Century Fox. Mais, lorsque ce studio a été acquis par Walt Disney Pictures, le film Sound of Freedom a été rangé au placard. Les cinéastes ont passé des années à batailler avec Disney pour essayer de récupérer les droits de distribution et pouvoir le projeter enfin en salles.
En mars 2023, la bonne nouvelle s’est répandue qu’Angel Studios avait acquis les droits de distribution mondiaux, avec une sortie prévue au cours du second semestre 2023. Angel a ensuite fixé une date de sortie au 4 juillet 2023.
Angel a utilisé le financement participatif pour collecter les fonds nécessaires au marketing et encourager les clients à “payer pour un autre” afin de permettre à d’autres personnes de venir gratuitement regarder ce film. Goya Cares, une fondation contre la traite des êtres humains, a annoncé son soutien en tant que producteur exécutif pour la sortie.
Le 30 juin 2023, Deadline a rapporté que les préventes de billets avaient déjà rapporté 7,2 millions de dollars et concernaient 2 626 salles de cinéma, avant même sa sortie officielle aux États-Unis ce 4 juillet 2023.
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Une odeur de révolution colorée en France
15:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |