lundi, 24 avril 2023
Magnifique réussite du premier "Rendez-vous avec nos Chères Provinces" dimanche ne Mayenne.
Reynald Secher, très écouté, lors de son intervention
Le premier "Rendez-vous avec nos Chères Provinces", organisé ce dimanche 23 avril sous le parrainage de Synthèse nationale, d'EuroLibertés et de l'association éponyme cliquez ici dans le sud de la Mayenne a remporté un franc succès.
C'est en effet près de 300 personnes qui se sont retrouvées dans une ambiance décontractée pour participer à cette manifestation culturelle. Une vingtaine de stands d'écrivains ou d'éditeurs, des artisans locaux, le célèbre dessinateur Ignace, "croquant" ceux qui le souhaitaient, un espace restauration où l'on pouvait déguster des "fouées", fameuses spécialités angevines, ou des (non moins fameuses) crêpes bretonnes, le tout en buvant du cidre du Trégor ou du vin de Loire, une animation permanente de Bastien, l'accordéoniste de talent à la voix haute, un concert du jeune et prometteur Louis-Antoine, une brillante prestation de Gilles-G. Raab, comédien et auteur qui a lu un extrait de l'une de ses pièces de théâtre (celles-ci viennent d'être publiées aux éditions Dutan cliquez là), voilà pour la partie festive.
L'après-midi fut marquée par une succession d'interventions de qualité. La première d'entre elle, celle de Bernard Germain, auteur de plusieurs livres édités par Synthèse nationale cliquez ici, traita de l'écologie. Notre Ami connaît bien le sujet et il dénonce sans réserve à la fois les éoliennes et la méthanisation, deux escroqueries imposées par les lobbys écolos-lucratifs qui n'hésitent pas à saccager la France au nom d'un dogmatisme anti-nucléaire complètement désuet. Le tout pour un résultat nul. Bernard Germain fit l'unanimité en concluant son discours en considérant que "l'écologie était une chose trop sérieuse pour la laisser à des exaltés wokistes du style Sandrine Rousseau..."
S'en suivit l'intervention fort attendue de Reynald Secher, le célèbre historien spécialiste des Guerres de Vendée. La sortie, l'hiver dernier, du magnifique film "Vaincre ou Mourir" était évidemment au centre de celle-ci. Reynald rappela un certain nombre de vérités historiques indispensables à savoir pour bien mener le combat d'aujourd'hui. Il se félicita à juste titre de l'engouement provoqué par ce film vu déjà par plus de 300 000 spectateurs. Il est en effet temps que la France entière prenne conscience du génocide subit par les provinces de l'Ouest au moment de la Révolution. Reynald Secher lança un appel pour que partout en France des initiatives soient prises pour défendre notre patrimoine civilisationnel comme c'est déjà le cas en Anjou, en Vendée et en Bretagne où des groupes de jeunes s'opposent aux démolitions d'églises ou de calvaires.
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, rappela que le combat culturel et le combat politique sont intimement complémentaires si l'on veut aboutir à la victoire. Il rappela que dans un entretien accordé par Jean Raspail à la revue Synthèse nationale (n°51, printemps 2019), quelques mois avant son décès, celui-ci conseillait la constitution de ce qu'il appelait des "isolats" afin de sauver notre civilisation. Cette journée répond à ce voeux du grand écrivain auteur du Camp des Saints...
Puis, il revenait à Philippe Randa, éditeur et directeur du site EuroLibertés, initiateur de cette heureuse journée, de conclure cette enrichissante manifestation. Il se félicita que, malgré les menaces émanant des gauchistes locaux, cette réunion s'est tenue sans aucun incident. Il remercia chaleureusement Nathalie Joron, présidente de l'association Nos Chères Provinces, ainsi que celles et ceux qui contribuèrent à cette réussite. et précisa que cette expérience allait s'institutionnaliser. Rendez-vous est donc pris pour l'an prochain pour une nouvelle journée de nos Chères Provinces.
Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cet évènement...
S N
Roland Hélie, satisfait de la réussite de cette journée
Le romancier Patrick Gofman et Philippe Randa
Pendant le banquet amical, Reynald Secher s'entretient avec des participants
Ignace "croquant" ceux qui le souhaitaient
Bernard Germain et Roland Hélie
Le stand de Synthèse nationale où furent enregistrés de nombreux nouveaux abonnements
Tout cela, malgré les piteuses tentatives d'intimidations gauchistes...
20:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Parti de la France de Loire-Atlantique aux côtés des habitants de Saint-Brévin-les-Pins samedi prochain
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Hommage à Sainte Jeanne d’Arc le 7 mai à Paris
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Les élites et le peuple vivent des réalités imperméables
Michel Maffesoli, sociologue et professeur émérite à la Sorbonne décrypte les causes de la crise démocratique actuelle en France. Nous sommes dans un monde que l’on pourrait qualifier de l’entre-deux. Le vieux monde disparaît là où un autre émerge dont on ne discerne pas encore les contours. D’où ce décalage entre le peuple et la grisaille d’une élite en voie de perdition. Mais ce n’est pas une raison pour désespérer.
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Source : Le Figaro 20/4/2023
08:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 23 avril 2023
Valérie Bugault - "Les raisons cachées du désordre mondial"
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samedi, 22 avril 2023
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 21 avril 2023
"Vaccins" Pfizer : ils ont piloté un avion pendant qu'ils étaient en train de le construire !
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DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : DE NOMBREUX ÉCRIVAINS, PARMI LESQUELS LOUIS-CHRISTIAN GAUTIER ET JACQUES DANSAN, DÉDICACERONT LEURS LIVRES LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
Louis-Christian Gautier, diplômé en histoire médiévale et de l’Enseignement Militaire Supérieur Scientifique et Technique (option histoire), a été rédacteur et conseiller éditorial de la revue Aventures de l’Histoire. Il est l’auteur de plusieurs livres, en particulier sur les Templiers et la IIe Guerre mondiale.
Jacques Dansan, auteur de plusieurs ouvrages sur Lassay-les-Châteaux et la religion, s’est attelé pour la première fois à l’écriture d’un roman qui raconte l’histoire de la Cagoule, une organisation secrète créée en 1936 qui regroupe d’anciens combattants de la Grande Guerre, des officiers et sous-officiers, aidés par les royalistes.
10:17 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vers l’implosion des États-Unis ?
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Le procureur démocrate de Manhattan, Alvin Bragg, a inculpé, le 30 mars dernier, l’ancien président Donald Trump sous trente-quatre chefs d’accusation pour des peccadilles. Un procès au civil s’ouvre par ailleurs à New York à propos d’un viol qu’il aurait commis sur une journaliste il y a plusieurs années. Candidat déclaré aux primaires présidentielles républicaines de l’an prochain, le 45e président crie au complot politique, à l’instrumentalisation judiciaire et à la manipulation médiatique.
Le 7 avril, un juge fédéral au Texas, Matthew Kacsmaryk, interdit la pillule abortive. Cette décision devrait normalement faire jurisprudence sur l’ensemble du territoire étatsunien. Quelques heures plus tard, dans l’État de Washington, un autre juge fédéral, Thomas Rice, nommé par Barack Obama, rend une décision contraire à la première. Bien que les deux sentences s’annulent, l’administration Biden fait aussitôt appel.
Le 27 mars, Audrey Hale, âgée de 28 ans, en pleine transition dysgenrée, commet une tuerie dans une école de Nashville dans le Tennessee : six morts dont trois enfants de 9 ans chacun. Elle (ou il, voire « iel » - sic !) a auparavant rédigé un manifeste dont le contenu reste inconnu. On peut déjà présumer que sa teneur cisphobe et hétérophobe n’indignera guère les plumitifs complaisants.
Une guerre culturelle bat son plein outre-Atlantique. Des États républicains tels la Floride chassent les bouquins wokistes et pornographiques des bibliothèques scolaires. Dans les États démocrates, ce sont les livres jugés sur des critères subjectifs et partiaux discriminants et attentatoires à la liberté des minorités qu’on retire d’autorité s’ils ne sont pas réécrits en novlangue inclusive.
Ces quatre exemples montrent qu’Oncle Sam connaît de profondes divisions intestines. Cette situation conflictuelle est au cœur de l’essai de Stephen March au titre évocateur : USA : la prochaine guerre civile. Vers l’explosion des États-Unis ? (Buchet-Chastel, 2023, 306 p., 22,50 €).
Canadien vivant aux États-Unis, ce journaliste collabore à la presse du Système (New York Times, Wall Street Journal). Il observe les dissensions multiples qui fracturent la société étatsunienne. Il constate que cela ne concerne pas que le clivage républicains « rouges » - démocrates « bleus ». Les contentieux dépassent le cadre politique même si la géographie et la sociologie confirment d’indéniables correspondances. Les États progressistes côtiers de l’Est (New York) et de l’Ouest (Californie) font face aux États conservateurs de l’intérieur. Victimes d’un déclassement social et de la consommation affligeante d’opioïdes, les « petits Blancs » détestent une caste arrogante et incompétente, surprotégée. Appuyée par la doxa médiatique politiquement correcte, la communauté noire tente d’imposer son monopole culturel à travers l’activisme Black Lives Matter.
Stephen March estime que « les forces qui la déchirent sont à la fois radicalement modernes et aussi anciennes que le pays lui-même. […] La révolution sanglante et la menace de sécession sont des composantes intrinsèques de l’expérience américaine ». Les premiers colons puritains fuient l’Angleterre agacée par leur rigorisme. Au XIXe siècle, les mormons préfèrent s’installer au bord du Grand Lac Salé plutôt que de continuer à côtoyer des mécréants. Les immenses espaces de l’Amérique du Nord facilitent une existence côte à côte sans craindre la promiscuité. L’auteur objecte cependant que « les services de renseignement d’autres pays préparent des dossiers sur les scénarios éventuels d’un effondrement de l’Amérique ». Il se montre ainsi alarmiste.
À partir de sources ouvertes, d’entretiens, d’enquêtes et d’analyses de sondages, l’auteur pose cinq hypothèses de déflagration socio-politique. Une seule a une cause naturelle : un puissant ouragan ravage New York et contraint les citadins rescapés à se réfugier à l’intérieur des terres. Les quatre autres conjectures reposent sur une amplification des heurts d’autant qu’à ses yeux, « l’Amérique s’est toujours définie par la violence ».
Stephen March accuse une « extrême droite » aux mille facettes de préparer un « terrorisme de l’intérieur ». La mouvance patriote anti-gouvernementale serait le principal responsable de cette ambiance délétère dont le paroxysme se serait déroulé le 6 janvier 2021 au Capitole… Il remarque que « l’intensité de leur haine du gouvernement est leur façon d’exprimer leur amour pour leur pays. Ils croient que l’autorité fédérale détruit la véritable Amérique ». Il ajoute même que, selon eux, « l’Amérique n’est plus possible au sein des États-Unis d’Amérique ». Il ignore en revanche le pesant danger wokiste. Son approche verse dans le manichéisme grossier. Pis, il envisage le recours à des lois d’exception. « Pour survivre, prévient-il, le gouvernement devra suspendre les droits les plus emblématiques inhérents à son pouvoir, ceux du Bill of Rights ». Il avertit avec une gourmandise certaine que « le gouvernement américain n’aura pas d’autres choix que d’instaurer un contrôle des armes à feu, un contrôle des faits et gestes de ses citoyens et un contrôle des discours de haine ». Pas certain que l’habitant du Kentucky, du Colorado ou du Texas accepte calmement ces restrictions anti-constitutionnelles…
L’auteur mentionne les mouvements séparatistes, mais il ne développe pas assez. Il n’a rencontré que les indépendantistes texans et californiens. On n’a rien sur les souverainistes du Vermont, les tenants de l’autodétermination des tribus amérindiennes, les chantres d’un État afro-américain, les rêveries chicanos de reconstitution du Grand Mexique d’avant 1848 ou les nationalistes blancs qui investissent depuis plus d’une décennie dans le Nord-Ouest étatsunien. Fatigués de migrer vers un État politiquement à leur convenance, d’autres Étatsuniens suggèrent plutôt de déplacer les frontières administratives inter-étatiques.
Dans son édition du 5 avril 2023, le correspondant permanent du Figaro aux États-Unis, Lucien Jaulmes, s’intéresse à « Ces républicains de l’Oregon qui rêvent de faire sécession ». Le titre de l’article est à la fois excessif et racoleur. En effet, irrité par le confinement, l’hystérie covidiste, les limitations croissantes du port et de la détention d’armes, les projets sociétaux déviants, l’écologie punitive et la fiscalité confiscatoire, Mike McCarter fonde en 2021 le Mouvement des citoyens pour le plus grand Idaho. Grâce aux zones urbaines du littoral Pacifique qui leur sont acquises, les démocrates contrôlent l’Oregon. À un fuseau horaire d’écart de Salem, une quinzaine de comtés, 400 000 habitants et 63 % de la superficie de l’État, se tournent vers l’Est, en direction de l’Idaho républicain. Mike McCarter et ses amis font pression sur les législatures des deux États afin que l’Oregon oriental, après des phases de négociations, de référendum et de ratifications, intègre l’Idaho. La procédure paraît plus simple que l’érection d’un nouvel État fédéré. La Virginie-Occidentale se sépare bien de la Virginie en 1862 à cause de l’esclavage. Les démocrates aimeraient éclater la Californie en cinq entités fédérées, élever le District de Colombia et la ville de New York en nouveaux États de l’Union. Pendant la Guerre de Sécession (1861 – 1865), des comtés officiellement dans des États nordistes soutenaient le Sud tandis que des comtés de la Confédération rebelle revendiquaient leur attachement aux États-Unis. La présidente de la minorité démocrate à la Chambre des représentants de l’Idaho, Ilana Rubel, rejette ce projet, sinon ce précédent signifierait pour elle que « nous allons droit à la guerre civile si nous continuons sur cette voie ».
Stephen March pense que « les États-Unis vont bientôt entrer dans une phase d’instabilité radicale à l’échelle du pays entier, quels que soient le ou la président(e) au pouvoir et la politique qu’il ou elle appliquera. L’avenir économique sera plus volatil. Le futur environnemental sera plus imprévisible. Les villes seront plus vulnérables. Le gouvernement sera incapable de mener des politiques et sera déconnecté de la conception qu’aura le peuple de sa volonté collective ». Ce pessimiste oublie bien vite que la première économie mondiale détient un imposant arsenal nucléaire, que sa monnaie continue sa domination financière, que son poids diplomatique demeure prédominant dans les institutions internationales, que les super-productions cinématographiques inondent la planète et formatent les esprits au mode de vie, de penser, d’agir et de parler américanomorphe. Souvenons-nous que malgré les sanglantes guerres civiles du Ier siècle avant notre ère, Rome continuait ses conquêtes territoriales. Loin d’affaiblir le gouvernement, les rivalités internes le rendent plus expansionniste encore.
Vigie d’un monde en ébullition », n°70, mise en ligne le 18 avril 2023 sur Radio Méridien Zéro.
10:02 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les petits nervis du régime et leurs sales besognes
Suite à la lâche agression dont il a été la victime, Pierre-Marie Bonneau, avocat réputé de nombreux militants de la cause nationaliste, vient de publier le communiqué ci-dessous.
Un communiqué de Me Pierre-Marie Bonneau :
Le dimanche 9 avril 2023, alors que je me trouvais, en compagnie d’un viel ami, bien paisiblement installé en terrasse d’un café, en plein centre-ville de Toulouse, j’ai été agressé par un « antifasciste » courageusement accompagné, évidemment, d’une dizaine de ses camarades. Je n’ai heureusement pas été blessé.
L’impunité totale dont bénéficient ces groupes de nervis démontre simplement qu’ils ne sont que les auxiliaires zélés du système politique qui dirige notre société pourrissante. Loin de combattre le gouvernement, loin de servir une quelconque révolution, ils décrédibilisent par leur défense ridicule de tout ce qui peut être laid, sale ou stérile les révoltes populaires auxquelles ils se greffent, pour le plus grand profit de ceux qui les manipulent.
Cela ne fait que me conforter dans mon engagement, professionnel tout autant que politique, et me confirme qu’effectivement, défendre les militants nationalistes chaque fois que cela est possible est toujours plus nécessaire. Que les roquets de garde du régime politique en place s’en prennent à moi vient encore le démontrer s’il en était besoin.
Face à cette attaque, je tiens à remercier mes amis et camarades pour leur soutien et à leur rappeler que nous devons garder le calme des vieilles troupes, jusqu’à ce qu’enfin, un jour, le retour de nos Nations balaye ces scories toxiques du capitalisme apatride.
Je vous invite donc toujours et de plus fort à rejoindre les Nationalistes et à soutenir l’action du CLAN.
Nous sommes tous les maillons d’une même chaîne, serrons les rangs, ne lâchons rien et rendez-vous à la victoire !
Source Jeune nation cliquez ici
09:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 20 avril 2023
Marylise Léon chef de la CFDT en juin : la décomposition de notre société s’accélère
Bernard Germain
Et de deux.
En juin 2021, Marylise Léon deviendra le nouveau secrétaire général de la CFDT. Après Sophie Binet, wokiste et féministe assumée, élue à la surprise générale secrétaire général de la CGT en remplacement de Martinez et ses célèbres moustaches.
Marylise Léon a dores et déjà un point commun avec Sophie Binet, elle est féministe. On notera au passage que Laurent Berger se moque de l’accord ou pas des syndiqués CFDT sur la pertinence de ce choix. En bureaucrate roué, il s’est fait réélire il y a peu, en sachant parfaitement qu’il ne finirait pas son mandat qui doit s’achever en 2026.
Donc, son départ était déjà planifié lorsqu’il s’est présenté et fait réélire.
Pour Marylise, c’est tout simple, elle sera désignée par le Bureau National de la CFDT. Donc aucun risque que l’opération capote. Elle aura jusqu’en 2026 pour mettre en place son propre appareil et créer les conditions de son élection à cette date lors du prochain congrès. C’est de la « démocratie » très organisée.
Mais revenons au fait que cette dame est féministe.
Les idiots vont se féliciter de son arrivée à la tête de la CFDT. Pour ceux-là, la compétence n’est qu’une option. Ce qui compte c’est qu’elle est de sexe féminin. Ils diront… « enfin des femmes qui accèdent aux plus hautes responsabilités. Il était temps. »
Malheureusement ces bouleversements à la tête des syndicats ne sont des bonnes nouvelles qu’en apparence.
Le fait que ces deux personnes soient féministes est autrement plus préoccupant. Pourtant peu de monde ne semble s’en alarmer. Et c’est vraiment inquiétant.
Pour me faire comprendre je dois revenir sur certains points.
À l’origine, le féminisme revendiquait une égalité entre les hommes et les femmes. Cela se traduisait par exemple par l’une des plus vieilles revendications syndicales : « à travail égal, salaire égal ». Ce n’était que justice.
Idem, pour le droit de vote qui ne fut accordé aux femmes qu’en 1945.
Mais le féminisme a largement évolué et le « néo-féminisme » est devenu le combat des femmes contre les hommes et leur société « patriarcale ». Ce qui n’est plus du tout la même chose.
Pendant des siècles, l’homme avait une fonction protectrice vis à vis des femmes et de la famille.
C’était lui qui allait gagner de quoi « faire bouillir la marmite ».
19:19 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ROBERT SAUCOURT, ÉCRIVAIN, DÉDICACERA SES LIVRES LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
Né en 1943 à Alger, Robert Saucourt est arrivé en France le 22 juin 1962, Membre du Cercle algérianiste de Nice, Président de l’Association pour la Mémoire de l’Empire Français (2000- 2018).
IL DÉDICACERA SES LIVRE :
Aux éditions Dualpha
Ces femmes de l’Algérie française
Lieutenant-colonel Georges Masselot
Aux éditions de Nos Chères Provinces
12:48 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journées de formation dans l'Aisne avec Civitas ces 22 et 23 avril
11:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un scandale caché : La Ligue des « droits de l’homme » soutien du totalitarisme communiste, à l’égal des grandes figures de la gauche française.
Michel Festivi
Cette officine de gauche, s’est totalement fourvoyée avec le totalitarisme le plus mortifère du XXe siècle, le communisme léniniste puis stalinien, et elle aurait dû être remisée « dans les poubelles de l’Histoire », selon la bonne vieille formule léniniste qu’employa Trotski à l’égard des menchéviks.
Imaginons un seul instant, une association qui aurait eu pour but de promouvoir « les droits de l’homme », et qui aurait justifié les camps de concentration et le régime hitlérien, elle aurait à juste titre été vouée aux gémonies. C’est mutatis mutandis ce que fit la LDH tout au long du XXe siècle vis à vis du totalitarisme communiste.
En 1984, dans un livre remarquable et injustement oublié, L’aveuglement, les socialistes et la naissance du mythe soviétique, Editions Flammarion, Christian Jelen, trop tôt disparu, qui fut journaliste à l’Express puis au Point, et un ami de Jean-François Revel, avait rappelé, documents et témoignages à l’appui, que le journal l’Humanité (qui en 1917 était encore socialiste), avait publié des articles de Boris Kritchevski, son correspondant en Russie, qui annonçait dès octobre 1917, la dictature sanglante bolchévique, avec une préscience digne d’un Jacques Bainville.
Sur ces entrefaites, la LDH, va aussi enquêter sur ce qui se préparait dans la Russie devenue léniniste et va interroger plusieurs témoins, qui tous vont confirmer que non seulement les communistes mettaient en place un régime totalitaire, mais que régnait désormais le banditisme, la corruption, le parasitisme, le vol, l’escroquerie et Christian Jelen de conclure : « Derrière la grande lumière venue de l’Est, l’Humanité et la ligue des droits de l’homme découvrent une secte fanatique et doctrinaire.. »
Mais la Ligue refusera malgré tous ces témoignages accablants, au nom de la « Grande Révolution Française » et sur le principe que « l’on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », de condamner le communisme léniniste qui mettait en place dès la fin 1917, un régime hyper policier avec la redoutable Tchéka, sous la houlette du sinistre Dzerjinski, comme le démontrera magistralement Stéphane Courtois dans la plupart de ses ouvrages (Cf en autre, Lénine l’inventeur du totalitarisme, 2017, Editions Perrin.).
Déjà il ne fallait pas désespérer Billancourt ! Nous savons par ailleurs que l’Assemblée constituante russe élue démocratiquement à la fin 1917, qui sur 703 délégués ne comptera que 168 bolchéviques, sera dissoute manu militari par les gardes rouges le 19 janvier 1918, soit le lendemain de sa première séance, sur ordre express du même Lénine.
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Macronisme et Poutinisme
Fallait oser… Emmanuel Todd l’a fait en comparant le régime de Poutine à celui de Macron. Deux Etats autoritaires. Sauf que celui de Macron est aux mains d’une bureaucratie qui nie la voix du peuple, alors qu’en Russie c’est la voix du peuple qui soutient Poutine. Paradoxal ? Pas vraiment, nous explique Emmanuel Todd dans cette chronique forcément rebelle.Va-t-il finir au trou ?
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Source : Marianne 20/4/2023
09:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 19 avril 2023
Bruno Le Maire vient-il d’être frappé de lucidité ?
Bernard Germain
Le ministre de l’Économie et des Finances, vient de mettre les pieds dans le plat. A-t-il été frappé d’un éclair de lucidité ? Toujours est-il qu’il a déclaré : « Nos compatriotes en ont raz le bol de la fraude et de voir que des personnes envoient illégalement l’argent du contribuable au Maghreb ou ailleurs ».
Le moins qu’on puisse dire est que cette déclaration est, pour une fois, frappée au coin du bon sens. Elle est bien tardive, mais mieux tard que jamais.
Reste une question : cette déclaration sera-t-elle suivie d’effets ?
Cette question est d’autant plus importante que cela fait des années que ça dure et les choses vont en s’aggravant à la vitesse grand V.
Revenons tout d’abord sur le sujet des fraudes sociales.
Entendu par une commission parlementaire le commissaire responsable du service des faux documents a déclaré, sous serment, qui si on prend en compte les critères de la police sur les faux documents, on devrait rejeter 1/3 des documents produits par des gens nés à l’étranger et qui demandent leur inscription à la Sécurité Sociale. Le stock total étant de 21 millions de documents, dont 12,4 millions perçoivent des prestations sociales, on arrive au chiffre phénoménal de 4 millions de faux documents et donc 4 millions de gens qui devraient être sortis du système.
A l’inverse le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président du Modem, sur la base d’une enquête qu’il a fait mener, prétend que la fraude sociale ne représenterait que 0,7 % du nombre des assurés sociaux et que les sommes en cause pour la fraude sociale seraient négligeables et ne représenteraient que quelques dizaines de millions d’€.
Qui doit-on croire ?
Des policiers dont le métier est d’identifier les faux documents ou ce sénateur qui se veut très rassurant, mais n’a aucune compétence en matière de faux documents ?
Pour ce qui me concerne, je fais confiance aux professionnels du domaine, pas à ce sénateur se voulant ridiculement rassurant.
Mais l’affaire est encore plus grave que cela.
19:08 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Saint Michel DÉBOULONNÉ ? Touche Pas À Ma Statue dit non !
Après un premier recours judiciaire victorieux pour l’association fin 2021, le maire de la commune, Yannick Moreau, farouche protecteur de son patrimoine, a fait appel, en plus de et lancé un referendum local auprès de ses administrés. 94 % des Sablais ont voté pour le maintien de cette statue.
Plus tard, ce sont les magistrats de la cour d’appel de Nantes qui rejettent l’appel de la commune en septembre 2022, le maire décide alors de saisir le conseil d’État. Conseil d’État qui a retoqué, lui aussi, la ville des Sables-d’Olonne en ce 7 avril 2023. Une décision que Yannick Moreau, a vivement critiquée dans un communiqué : "Nous ne plierons pas devant ce vandalisme d'État, cette inquisition wokiste, ces casseurs laïcards".
Face à cette association aux positions sélectives contre le christianisme, une association « Touche Pas à Ma Statue » se lève pour défendre saint Michel. Composée de nombreux jeunes, elle a manifesté à plusieurs reprises aux Sables d'Olonne avant de se réunir ce dimanche 16 avril devant la librairie tenue par l’association, en plein cœur de Paris.
Si le déboulonnage a officiellement été acté par la Justice, le maire et l’association ne comptent pas en rester là. Yannick Moreau s'est engagé à trouver une solution pour maintenir cette statue aux abords de l’église Saint-Michel tout en respectant la décision judiciaire.
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DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : ANDRÉ POSOKHOW, ÉCRIVAIN, DÉDICACERA SES LIVRES LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
01:10 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le 1er mai, à Paris, le Parti de la France rendra hommage à Sainte Jeanne d'Arc
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Hubert Falco, clip de faim pour le failli du Var
La chronique de Philippe Randa
Falco Hubert n’est plus maire de Toulon, ni président de la Métropole Toulon Provence Méditerranée (TMP) : condamné le 14 avril pour recel de détournement de fonds publics à trois ans de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité par jugement du Tribunal correctionnel de Marseille, l’exécution provisoire a été prononcée, d’où la déchéance immédiate de ses mandats.
Sa chute n’a sans doute pas l’impact médiatique qu’elle devrait, à l’exemple de quelques autres scandales politico-financiers, ceux de Jacques Médecin, Michel Mouillot ou Bernard Tapie dans un passé déjà lointain, de Dominique Strauss-Kahn à Jérôme Cahuzac sous la présidence Hollande, puis des Balkany plus récemment sous celle d’Emmanuel Macron pour n’en citer que quelques-uns dans les dizaines, voire centaines d’autres affaires peu reluisantes impliquant tant de femmes et d’hommes ayant jugé plus rentable de vendre leur personne à la France plutôt que de lui en faire don.
Rallié à Emmanuel Macron en 2021, Hubert Falco aura occupé tous les mandats politiques du Var : député, sénateur, président du conseil général, maire (de Pignans avant Toulon), il fut également ministre de Jacques Chirac, puis de Nicolas Sarkozy : c’est dire si à 75 ans, il n’aura donc pas jugé sa retraite suffisamment sonnante et trébuchante pour renoncer aux dorées fonctions électives dont le tribunal correctionnel de Marseille vient de le priver.
Et, à en croire son ami André Herrero, ancien champion du XV de France, il en serait « très abattu, très affecté, en dessous de zéro et complètement sidéré par ce qui lui arrive. Jamais il n’a pu imaginer une aussi grosse sanction contre lui. Il ne s’attendait pas à ça. Pas du tout. Ça l’a dépassé. Il cherche à comprendre. Il ne s’est pas aperçu qu’il marchait dans les sables mouvants ». Mouvants, certes… et surtout rentables. Jusqu’à l’aveuglement.
C’est en octobre 2021 qu’il fut mis en garde à vue pour détournement de fonds publics ; motif ? Ce gourmand soucieux de ses économies avait gardé table ouverte jusqu’en 2018 à la cantine du conseil départemental du Var, ayant simplement oublié qu’il ne le présidait plus et n’en était même plus membre depuis 2002. De même, « il lui était aussi reproché d’avoir profité de repas à domicile et de frais de pressing réglés sur des fonds publics de la collectivité. L’affaire était connue sous le nom du “frigo de Falco”. Selon les enquêteurs, ces repas privés servis à l’élu et à son épouse, employée du conseil départemental, auraient coûté au moins 64 500 euros entre 2015 et 2018, soit 1 500 euros par mois », rapporte Les Échos.
On veut bien croire encore André Herrero qui affirme que son ami « n’était pas un jouisseur, ni un garçon qui jette les sous par les fenêtres » : le siens, c’est certain, il l’a prouvé ; ceux des contribuables, en revanche, non, c’est certain aussi.
Des esprits chagrins pourraient estimer qu’Hubert Falco n’est qu’un ripou parmi bien d’autres qui « a eu quelques torts, mais (…) n’a jamais rien fait d’exceptionnel (…) n’a pas pris la mesure de ce qu’était la gestion d’une collectivité comme le Département. Il n’a pas vu arriver ces petites bavures qu’il a faites, qui à la longue sont devenues un vrai problème » (dixit André Herrero, encore), mais tout de même : à qui fera-t-on croire que personne n’a été au courant, près de 20 ans durant, des « avantages » dont il bénéficiait indûment : les services comptables, mais probablement d’autres employés des services généraux, tout comme les élus et surtout Horace Lanfranchi, son successeur en 2002 à la tête du conseil, et réélu en 2004, 2008 et 2011… voire même Marc Giraud, élu en 2015 et lui-même « démissionné » par le préfet à la suite d’une condamnation dans une affaire de détournement de fonds publics à Carqueiranne.
« Pas du beau monde ! », comme disait ma grand-mère !
Et donc, pourquoi n’y aurait-il pas d’autres mises en examen pour complicité de détournement de fonds publics ? Poser la question est y répondre… Va-t-on assister un jour ou l’autre, enfin ! à une vaste opération « manu pulite » (mains propres), à l’exemple de ces enquêtes judiciaires au début des années 1990 en Italie qui décapitèrent littéralement le monde politique et économique corrompu de ce pays.
Si on faisait un rêve, nous aussi ?
Article paru sur le site du Nouveau Présent.
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Si Macron « lèche le cul de la Chine », les bien-pensants lèchent le cul de l’Amérique !
Marc Rousset
Il suffit de lire dans le Figaro, depuis février 2022, les mensonges dogmatiques, outranciers, inconditionnels, systématiques, à sens unique, de mauvaise foi, pro-atlantistes, anti-russes, sur la guerre en Ukraine des journalistes Isabelle Lasserre et Laure Mandeville ! Il est surprenant de voir tous ces médias qui soutiennent habituellement Macron se retourner subitement contre lui, suite à ses déclarations gaulliennes en Chine, pour une fois pleines de bon sens ! La France ne doit pas être un valet de l’Amérique ; elle n’a absolument rien à faire en Ukraine, et encore moins à Taïwan, en Extrême-Orient, qui est chinoise depuis 1683, aussi longtemps que les Chinois ne voudront pas l’évincer de ses territoires stratégiques pleins d’avenir en Polynésie et en Nouvelle Calédonie !
Même l’ONU a reconnu dès 1971 que Taïwan était partie intégrante de la Chine, d’autant plus que pendant 20 ans, suite à la guerre civile sur le continent, le seul représentant de la Chine à l’ONU a été Taïwan de Tchang-Kai-Chek, face à Mao-Tsé-Toung ! Le problème de Formose, c’est que l’immense majorité de la population se sent chinoise mais, échaudée à juste titre par ce qui est arrivé à Hong Kong, elle ne veut pas du régime autoritaire chinois et de son niveau de vie moins élevé ; en fait tout se passe comme si la guerre civile reprenait entre les deux Chine ! Il se trouve qu’en Ukraine, contrairement à la propagande occidentale, le contexte est différent car les civils russophones de Novorossia, occupés en fait par l’armée otano-kievienne, sont majoritairement favorables à la Russie et à Poutine !
Si le voyage de Macron en Chine est une catastrophe de plus, comme tout ce que peut faire un adolescent attardé qui ne connait pas l’histoire, imbu d’une idéologie bien-pensante complètement dépassée, droit de l’hommiste progressiste, fédéraliste au niveau européen, atlantiste, du moins les paroles prononcées sur l’autonomie stratégique française et européenne, ainsi que sur le non alignement avec les intérêts américains, sont pertinentes. La France n’a pas à faire la guerre pour le compte des Américains que ce soit en Ukraine, en Irak ou à Taiwan ! Comme dit le dicton, parfois sur un tas de fumier, il pousse quelques belles fleurs…
Macron doit donc être conséquent avec ses déclarations, mettre fin à ses rêves d’Europe fédérale, arrêter de vendre l’industrie française à l’encan (Alstom à General Electric). Si la France veut regagner son indépendance stratégique et quitter l’OTAN (ce que n’envisage pas Macron) encore nous faut-il une Armée forte, puissante, autonome et une puissance industrielle, agricole, économique, technologique suffisante ! Maastricht a créé une France déboussolée, dépendante et pauvre, pas le surplus de puissance qui avait été promis par Mitterrand car les Français se sont laissées piéger par un euro stable et surévalué en passant des lois sociales suicidaires pour leur compétitivité (35 heures, et retraite à 60 ans complètement aberrante). De plus, les charges sociales, suite à l’invasion migratoire et à la gabegie des dépenses publiques, ont tué l’industrie française et l’ont amenée à délocaliser !
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mardi, 18 avril 2023
Macron à la télévision : 12 minutes d'autosatisfaction présidentielle
Communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Ce lundi soir, Emmanuel Macron s'est livré à son numéro préféré : l'autosatisfaction béate.
Justifiant sa réforme des retraites, il prétend maintenant renouer avec le dialogue social et vouloir rencontrer les syndicats : ce type est clairement cinglé...
A part ça tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes : la France est en train de se réindustrialiser parce qu'elle est le pays le plus attractif d'Europe (malgré des taux de prélèvements dans les plus élevés au monde, cherchez l'erreur), l'État de droit va être rétabli (lol), le gouvernement va lutter contre l'immigration illégale en favorisant l'immigration légale (si, si), l'Éducation nationale va redevenir un lieu de transmission du savoir (sûrement en invitant des travestis dans les écoles), les services de santé, de justice et de gendarmerie vont recevoir des moyens humains et financiers exceptionnels (on jugera sur pièces) et Notre-Dame va être reconstruite dans les temps grâce au génie du Président de la République.
Attention : la « planification idéologique » sera dévoilée cet été. Attendez-vous à toujours plus de taxes punitives et à une culpabilisation de plus en plus agressive.
Le seul point positif de l'intervention présidentielle : elle n'a duré que 12 minutes.
Site de Thomas Joly cliquez ici
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JEUDI SOIR, ROLAND HÉLIE INVITÉ AU FORUM DU PARTI DE LA FRANCE
Dans le Forum du PdF du jeudi 20 avril, Alexandre Hinger reçoit Alexandre Simonnot (Délégué général du Parti de la France) et Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale).
L'émission sera consacrée à cette légende vivante qu'est Jean-Marie Le Pen ainsi qu'à l'actualité politique.
C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : CLIQUEZ ICI
13:31 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Immigration : le parler vrai
La liberté d’expression, on le sait, est devenue aujourd’hui un bien rare, et c’est davantage encore le cas, peut-être, de la vérité. Mais de temps à autre, quand même, on tombe sur de belles pépites.
Ce fut le cas par exemple le 1er avril dernier dans Répliques, l’émission hebdomadaire d’Alain Finkielkraut, le samedi matin sur France Culture. Ce samedi-là, il était question de l’immigration, avec deux invités dont Pierre Brochand, un haut fonctionnaire aujourd’hui à la retraite. Brochand dirigea la DGSE de 2002 à 2008.
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lundi, 17 avril 2023
Oui Jean-Marie, emmerdons-les tous...
Bernard Germain
Durant toute la fin de la semaine, certains avaient sorti les verres et s’apprêtaient à sabler le champagne. D’autres étaient en train de dépoussiérer la nécrologie qu’ils pensaient publier sous peu.
En effet, l’annonce en était publique : Jean-Marie Le Pen était hospitalisé pour un malaise cardiaque et ses amis s’alarmaient des conséquences possibles de cet épisode fâcheux.
Apparemment, les bobos et autres fêtards peuvent ranger leurs bouteilles. Le « vieux » va mieux et n’a pas lâché la rampe. Ils en sont donc pour leurs frais et c’est tant mieux.
Cet évènement me permet de dire quelques mots de cet homme, que j’ai eu l’honneur de rencontrer personnellement à son domicile de St-Cloud en septembre 2022.
L’objet de ma visite, organisée par mon ami Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale), était de présenter à Jean-Marie Le Pen le dossier de Callac et la bataille que nous y menions contre l’invasion migratoire que subit notre pays. Nous avons eu un échange des plus intéressants, à l’issue duquel je lui ai remis un exemplaire de mon livre « Callac, la mère des batailles ». Lorrain de Saint Affrique, homme particulièrement sympathique et d’une rare intelligence, participait également à cet échange à quatre.
Ce qui m’a beaucoup frappé lors de cette rencontre, c’est le côté intact de la vivacité intellectuelle de Jean-Marie Le Pen. Certes le corps porte les stigmates du temps, à 94 ans quoi de plus normal, mais l’intelligence et la vivacité d’esprit sont toujours là. Notre échange fut donc des plus intéressants.
Jean-Marie Le Pen fut certainement l’un des hommes politiques les plus importants de ces 50 dernières années. Souvenons-nous qu’en 1974, lors de sa première candidature à l’élection pour la présidence de la république son score fut de 0,74 %. Que de chemin parcouru depuis cette élection.
Mais ne nous y trompons pas, c’est le nom de « Le Pen », intimement lié à la droite nationale et identitaire, qui est aujourd’hui à 42% et qui est même donné à 55% dans les derniers sondages d’avril 2023, car Jean-Marie a réussi à l'imposer durablement dans l'inconscient collectif des électeurs comme étant le recours face à la dilution de notre nation. Pas le prénom de la candidate du RN à la dernière Présidentielle qui, obsédée par sa volonté de normalisation, n'hésita pas, en 2015, à exclure son père de son propre parti afin de mettre en œuvre sa stratégie de « dédiabolisation » qui l’amène à remettre en cause tous les fondamentaux du Front national. Comme par exemple en votant l’inscription dans la constitution du « droit » à l’avortement ou ses déclarations stupéfiantes telles : « le voile islamique n’est pas un problème » ou encore : « l’islam n’est pas incompatible avec la république ». Et tant d’autres prises de position plus incroyables les unes que les autres.
Pendant toute sa vie politique Jean-Marie Le Pen fut victime d’une campagne de haine et de diabolisation. Constamment qualifié de « fasciste », voir de nazi, par des crétins qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Pourtant les faits donnent aujourd’hui totalement raison à ce que disait à l’époque Jean-Marie Le Pen.
Ainsi pour ne prendre que deux exemples, il dénonçait l’immigration et prônait la « préférence nationale ». Et que constate-t-on aujourd’hui ? Que tout ce qu’il disait à l’époque est visible et d’une actualité brûlante.
L’immigration, totalement incontrôlée, est en train de détruire notre pays et s’accompagne d’une insécurité délirante. Quant au sort des Français, il est des plus pitoyables.
Les migrants sont prioritaires partout, au détriment des « Français de souche ».
Faut-il rappeler ce couple avec 4 enfants, à Ploërmel, non loin justement de Callac, obligé de vivre dans une caravane sur un terrain insalubre parce qu’il n’y a pas de logement social pour eux. Les migrants sont prioritaires. Pourtant ce couple travaille et paye ses cotisations sociales et impôts. Pas les migrants qui arrivent de l’autre bout de la terre et ne vivent pour l’essentiel d’entre eux que grâce aux multiples aides reçues… payées par les cotisations et impôts des français qui, eux, sont abandonnés à leur triste sort.
C’est d’ailleurs la raison principale de notre victoire à Callac. Les habitants de cette commune ont dit : « Pourquoi y a-t-il autant d’argent donné aux migrants alors qu’il n’y a pas un euro pour les callacois pauvres ou dans le besoin ? »
Hier, comme aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen avait raison. Il faut arrêter d’urgence toute immigration et en revenir à la préférence nationale.
Comme les Français ne sont pas fous, ils ont compris depuis longtemps, tout particulièrement les « couches laborieuses », comme on disait à gauche, que la dite gauche ne les défendait plus. Cet abandon fut officialisée d’ailleurs par le rapport Terra Nova de 2011, qui prônait l’abandon de cet électorat populaire pour lui préférer les immigrés et les minorités, notamment sexuelles.
Le passage des « couches laborieuses », c’est à dire les Français modestes et une bonne partie des classes moyennes, vers le Front national est un réalité qui existe depuis plusieurs décennies et ne fait que croître. Ces Français ont compris depuis longtemps qu’il n’y a rien de bon à attendre de la gauche qui les méprise et les considère comme des « réacs »et des « beaufs » à la Cabu.
Reste que le plus révoltant est le cynisme de ces gens de gauche. Ceux qui prétendent être le bien et exhortent les français à se mobiliser pour « faire barrage » et ainsi sauver la France du fascisme.
Pourtant il s’agissait et il s’agit encore de nos jours d’une incroyable escroquerie politique. Pour preuve, nous mentionnerons les paroles de Lionel Jospin prononcées le 29 septembre 2007 sur France Culture dans l’émission « Répliques » : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, et donc tout anti-fascisme n’était que du théâtre. »
Reste que cet argument de la « menace fasciste » fut utilisé en permanence pendant des décennies contre le Front national. Au final, Jospin a reconnu que ce n’était que « du théâtre ». Il en est de même aujourd’hui où l’expression fait à nouveau florès.
Enfin, je veux conclure en rappelant que rien, strictement rien ne fut épargné à Jean-Marie Le Pen.
Un exemple suffira à me faire comprendre : le fameux « détail ». Souvenons-nous. Jean-Marie Le Pen avait dit lors d’une interview à la radio que les chambres à gaz n’avaient été qu’un « détail » durant la seconde guerre mondiale. Ce que les gens ont oublié, c’est que pendant 48H00, personne n’avait réagi, ni crié au scandale. Puis un journal avait commencé à utiliser cette déclaration pour discréditer son auteur. Et un tsunami médiatique s’en était suivi, encore invoqué de nos jours.
Mais si l’on est simplement honnête intellectuellement, on ne peut contester que « détail » peut être utilisé et compris de deux manières :
- Détail peut être compris comme un élément d’un tout beaucoup plus grand
- Détail peut être compris comme quelque chose de méprisable, d’insignifiant.
A l’évidence, et on me l’a confirmé, Jean-Marie Le Pen a utilisé ce mot pour dire que les chambres à gaz étaient un « élément d’un tout beaucoup plus grand ». Pas pour dire que c’était insignifiant.
Pourtant, 48H00 après sa déclaration un premier journaliste a prétendu que, pour Le Pen, c’était pour dire que c’était « insignifiant ». Et comme tirer sur le FN et son dirigeant était un devoir pour certains, l’affirmation de ce journaliste fut reprise avec zèle et enthousiasme par tous les bien pensants. Jean-Marie Le Pen eut beau s’expliquer en long, en large et en travers, personne ne voulu entendre ses explications et le « détail » fut invoqué durant des années pour le discréditer.
Pour moi, et pour tant d’autres, Jean-Marie Le Pen est et restera comme celui qui a ouvert la voie et montré le chemin. Un homme attaché avant tout à notre pays, notre identité, notre culture et notre civilisation. Une référence et homme éminemment respectable.
Un dernier mot. Jean-Marie Le Pen aurait déclaré : « Je compte vivre jusqu’à 100 ans pour les emmerder tous ».
Absolument Jean-Marie, … emmerdons-les tous !
19:05 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : GILLES-G. RAAB, ÉCRIVAIN, DÉDICACERA SES LIVRES LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
18:15 Publié dans Nos Chères Provinces | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Islamo-gauchisme menace et montre son visage haineux : La terreur toujours et encore.
Michel Festivi
On le savait, on y était habitué, mais à chaque fois cela fait froid dans le dos. Déjà par le passé, Reynald Secher, le valeureux historien de l’Histoire génocidaire de la Vendée, grand prix de l’Académie française, avait subi les foudres, non pas de l’islamo-gauchisme à l’époque, mais du gauchisme violent, qui depuis des lustres empêche toute liberté d’expression de la pensée et gangrène l’Université française d’ailleurs en pleine déliquescence.
Les Robespierristes des facultés, à défaut de pouvoir lui couper la tête, l’avaient fait écarter de toute carrière universitaire, malgré sa thèse de 3e cycle avec mention TB et son Doctorat d’Etat obtenu avec les félicitations du jury.
Plus récemment, en 2008, Sylvain Gouguenheim, universitaire médiéviste, qui avait osé démontrer dans son Aristote au Mont Saint Michel, la précocité d’une transmission directe du savoir grec par les monastères chrétiens, remettant ainsi en cause le dogme de la diffusion de la philosophie, des mathématiques et de la physique au Moyen Age, par l’Espagne alors musulmane, car notamment la langue arabe n’était pas propice au développement de la pensée rationaliste, avait été cloué au pilori par les bordées d’injures de meutes d’universitaires biberonnés à l’islamo-gauchisme, qui souhaitaient sa mort professionnelle.
Pareillement en 2015, l’historien de la Shoah, Georges Bensoussan, qui dans une émission de radio d’Alain Finkielkraut « Répliques », avait dénoncé l’antisémitisme arabo-musulman de bon nombre de banlieues françaises, fut poursuivi judiciairement et par le Parquet et par toutes les associations « anti-racistes », subventionnées par nos impôts, dont le CCIF, qui fut dissout après l’assassinat de Samuel Paty. Relaxé à trois reprises jusqu’à la Cour de Cassation, après 4 années de procédure, il quitta ses fonctions au mémorial de la Shoah, dépité et dégouté. (Cf son entretien avec Alexandre Devecchio du 22/09/2021 dans le Figaro).
Mais tout récemment, c’est l’Historienne-chercheuse au CNRS, Florence Bergeaud-Blackler, qui fait les frais de son enquête implacable sur les ramifications en Europe et en France des Frères Musulmans. Depuis la publication de son ouvrage chez Odile Jacob, Le Frérisme et ses réseaux, en janvier 2023, elle est l’objet d’invectives et de menaces de mort, comme le relate le Figaro dans un article du 15 avril 2023 : « De la publication d’un ouvrage aux menaces de mort : itinéraire d’une chercheur du CNRS prise pour cible ».
Ce livre, préfacé par Gilles Kepel, véritable plongée circonstanciée dans les arcanes des islamistes et de l’islam politique en Europe, a déchaîné des injures, des propos diffamatoires et des menaces de mort. Commencée sur les réseaux sociaux, cette cabale a été orchestrée par un ancien du CNRS, François Burgat, et par un avocat Rafik Chekkat, qui a osé comparer Madame Bergeaud-Blackler à l’antisémite Drumond. (Cf cet article du 15 avril 2023 où tout y est parfaitement détaillé). François Burgat est opportunément qualifié par Madame Bergeaud-Blackler de « compagnon de route des islamistes », comme il y avait dans un passé pas si lointain, des « compagnons de route des communistes », à tous les étages universitaires, remplacés aujourd’hui par des islamo-gauchistes.
Des plaintes pour menaces de mort ont dû être déposées, Madame Bergeaud-Blackler a été placée sous protection policière. Mais cette dernière a déclaré, ce qui en dit long sur l’état de soumission absolu de l’université française à l’islamo-gauchisme : « Ma promotion est bloquée depuis plusieurs années…Mes travaux n’étaient jamais mis en avant, notamment à l’Ireman (Institut de recherche sur le monde arabe et musulman), où François Burgat a été directeur de recherches », tiens, tiens, bizarre.
L’Avocat de Madame Bergeaud-Blackler, Thierry de Montbrial (le CNRS a finalement accepté, non sans mal, de lui accorder une protection fonctionnelle), détaille judicieusement : « S’est mis en place autour d’elle un cycle similaire à celui qui a conduit au martyre de Samuel Paty : on la dénigre professionnellement, puis on l’a traité « d’islamophobe », ce qui lui colle une cible dans le dos. »
Car comme le disait Georges Bensoussan, « le vrai tabou n’est pas l’antisémitisme, mais qui sont les antisémites ? » Pierre-André Taguieff répond clairement à cette question : « Depuis le début des années 2000, les meurtres de français juifs, tués en tant que juifs ne sont pas commis par des extrémistes de gauche ou de droite, mais par des jeunes musulmans, souvent des délinquants ou ex-délinquants…depuis 2003, ceux qui, en France, ont assassiné des juifs en tant que juifs se sont tous réclamés de l’islam. » Cf, PA Taguieff : « La judéophobie islamiste est la matrice de la judéophobie mondialisée. » dans son grand entretien avec Alexandre Devecchio au Figaro Magazine du 18/02/2022, pour la publication de son livre, Sortir de l’antisémitisme, chez Odile Jacob. Directement ou indirectement, la gauche et le gauchisme épaulent cet antisémitisme sous couvert de lutte contre « l’islamophobie », comme ils acceptaient la terreur mortifère communiste sous couvert de lutte contre le soi-disant « antifascisme », l’histoire de la Ligue des « droits de l’Homme » et son refus militant de condamner les procès de Moscou, en a été une preuve patente.
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La France entière devrait demander pardon à Jean-Marie Le Pen
Cyrano Riposte laïque cliquez ici
Jean-Marie Le Pen a de nouveau été hospitalisé, suite à des problèmes cardiaques. Il va sur ses quatre-vingt-quinze ans, et il n’est pas éternel. Certes, il a promis de vivre jusqu’à cent ans, pour “les emmerder tous”. C’est tout ce qu’on lui souhaite, car, si l’homme est diminué physiquement, il demeure d’une lucidité exceptionnelle pour son âge.
Il n’est pas un homme politique qui n’ait été, depuis plus de soixante ans, combattu avec autant d’acharnement par l’ensemble du système, que certains appelleront “appareil d’État”, d’autres “État profond”. Cet homme a été calomnié tout au long de sa vie, traqué par les juges, sali par les médias, harcelé par les gauchistes, racketté par le fisc.
Tout a été permis contre lui : des attentats, des insultes, des contre-manifestations à chacune de ses initiatives, des agressions de ses militants, des coups tordus (Carpentras) et surtout des comparaisons historiques des plus crapuleuses. Aux yeux de ses détracteurs, il n’avait qu’un tort : il aimait trop la France, et pour cela, il dénonçait le péril immigrationniste. Cela lui a valu les qualificatifs infamants de “F comme fasciste, et N comme nazi”, sans oublier bien sûr le coup du racisme.
Pourtant, il suffit de voir dans quel état est notre France, en 2023, après quarante ans de trahisons, pour comprendre à quel point, sur l’immigration, mais aussi tant d’autres sujets, il a été un visionnaire. Il suffit de réécouter ce débat de 1989 entre Jean-Marie Le Pen et Bernard Tapie pour comprendre qui avait tort, et qui avait raison. Clin d’œil de l’histoire, Bernard Tapie, avant sa mort, a été sauvagement agressé par ces immigrés qu’il a passé sa vie à imposer aux Français. Et il n’a jamais fait la moindre auto-critique, continuant jusqu’au bout à soutenir Macron et une politique immigrationniste mortifère pour la France.
Plutôt que de discuter sur le fond de ses idées, la gauche, mais aussi la droite molle, la fausse droite, ont choisi de diaboliser le fondateur du Front national. Pourtant, même un Lionel Jospin a admis que tout cela c’était du théâtre, et qu’il n’y a jamais eu le moindre danger fasciste en France. Mais le cinéma continue contre sa fille Marine, et contre Éric Zemmour.
Il a tellement affolé le système que, quand il a été présent au deuxième tour de la présidentielle, en 2002, on a vu le vrai visage de la fausse démocratie qui prétend fixer les règles de ce pays au peuple. Toutes les règles ont été transgressées, et le débat entre les deux tours a été supprimé, tant Chirac était convaincu de se faire laminer. Au nom de l’antifascisme, naturellement. Et personne n’a été indigné de ce véritable coup de force contre les règles de la démocratie, et du viol du vote des Français.
Personne ne prétend que l’homme était parfait, et heureusement, sinon il ne serait pas humain. Certains, dans notre camp, ne lui pardonnent pas d’avoir laissé son parti à sa fille qui, sur nombre de sujets, paraît très éloignée de ses valeurs. D’autres lui reprochent certaines provocations – montées en épingle par les journalistes – inutiles et contre-productives. Mais sans Jean-Marie Le Pen, Éric Zemmour aurait-il fait la campagne qu’il a faite ? Sans Jean-Marie Le Pen, sa fille aurait-elle atteint le deuxième tour, à deux reprises ? Sans Jean-Marie Le Pen, y aurait-il Marion ? Sans Jean-Marie Le Pen, des milliers de jeunes, malgré la propagande, redresseraient-ils la tête en se disant fiers d’être français ?
Tous ceux qui l’ont insulté, calomnié, sali et qui ne lui arrivaient pas à la cheville, devraient, tant qu’il est encore vivant, lui présenter des excuses. La France entière devrait lui demander pardon.
Il a été, seul contre tous, la voix du peuple de France, face aux Giscard, Chirac, Mitterrand, qu’il a tous enterrés, dont l’action a consisté à détruire notre merveilleux pays. Il a été un vrai chef de la cause patriotique.
Pour tout cela, longue vie à Jean-Marie Le Pen.
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Les leçons du voyage de Macron en Chine
Pierre Lelouche, ancien député, ex-conseiller diplomatique et ex-président de l’Assemblée parlementaire de l‘Otan, réagit aux propos tenus par Emanuel Macron lors de son voyage en Chine le 9 avril dernier. S’imaginer peser sur la diplomatie de Xi-Jipping en jouant Monsieur bons offices à l’égard de la Russie tout en prônant un désengagement vis-à-vis de l’influence des Etats-Unis et en avouant ne pas être concernés par Taïwan, était un leurre qui a suscité une bronca générale de la part de nos alliés (les vrais comme les faux).
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 17/04/2023
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Violences antifas : les apprentis sorciers s’affolent
Bernard Germain
Samedi 15 avril, à Rennes d’innombrables violences eurent lieu. Officiellement pour protester contre la réforme des retraites que venait de valider le Conseil constitutionnel, après que Macron l’ait fait passer au parlement avec le 49.3. Colère légitime de la population, qui s’exprima à travers toute la France dans le cadre de défilés certes très remontés contre le pouvoir mais dans lesquels aucun incident notoire ne fut relevé. Ce dont nous voulons parler dans cet article, ce n’est pas de cette colère légitime, ni des manifestations pacifiques. Nous voulons parler des violences exercées en marge par ceux que l’on appelle des antifas.
Ils profitent bien sûr du contexte politique pour à chaque occasion laisser s’exprimer leur violence. Elles deviennent de plus en plus importantes et occasionnent des dégâts et des blessés. Un jour, ils finiront sans aucun doute par causer la mort d’une ou plusieurs personnes, qu’il s’agisse de simples citoyens ou de membres des forces de l’ordre. Ce jour là, c’est certain, c’est à qui ne sera pas responsable… Mais qui a permis à ces nervis de prospérer ? Indéniablement la gauche, les bien pensants et le pouvoir.
Et ce qui est le plus extravagant c’est que ceux qui les ont créés, les ont fait prospérer, les protègent et ne dénoncent jamais leurs exactions, semblent aujourd’hui pris de panique devant ce qui se passe.
Ainsi, le maire Nathalie Appéré (PS) a appelé l’État à l’aide pour « reconnaître la situation particulière » de Rennes. Déclarant : « Les Rennais, les habitants du centre-ville et particulièrement nos commerçants, sont les victimes incrédules de ce déchaînement de violence. Les dommages se chiffrent en centaines de milliers d’euros. Après les événements de la nuit dernière, où la porte du Couvent des Jacobins et celle du commissariat de la rue de Penhoët ont été incendiées, et où des dégâts considérables sont à déplorer, que va-t-il se passer désormais ? Jusqu’où ira cette folie destructrice ? ».
« Reconnaître la situation particulière de Rennes »… on croit rêver. Mais qui a fait de Rennes une « situation particulière » sinon Mme Appéré elle-même ? Son laxisme, et même sa collusion avec les antifas et l’extrême gauche sont de notoriété publique. Tout comme son silence vis à vis des violences et dégradations des antifas.
Cela fait des mois que l’opposition au conseil municipal dénonce tout cela dans l’indifférence de la majorité municipale de gauche. Les violences de toutes sortes sont le quotidien des Rennais qui ne comptent plus les agressions. Les mineurs isolés sont légions dans les rues.
Bref, Rennes qui était une ville des plus sympathiques est devenue en quelques années une ville « pourrie », sous l’heureuse action et le laxisme de son maire PS. Et aujourd’hui Mme Appéré (Mme Apeurée) s’affole : « Jusqu’où ira cette violence destructrice ? ». Il est bien temps d’y penser et de se poser la question.
Reste que la situation est devenue tellement compliquée que le ministère de l’Intérieur a envoyé sur place la CRS 8, le corps d’élite des CRS, afin de faire face aux violences urbaines.
La situation est identique à Nantes, autre ville tenue par un autre maire PS, la célèbre Johanna Rolland. Elle aussi est un as dans son domaine.
Son budget municipal ne consacre que 1% à la police municipale. Celle-ci, en semaine arrête de travailler au milieu de la nuit. Et elle ne travaille pas le dimanche. Nantes, qui était une autre ville fort agréable, est devenue un authentique coupe-gorge. Comme Rennes. Et les antifas y prospèrent dans l’indifférence totale de la municipalité.
Ces élus tels Appéré ou Rolland, et tant d’élus d’extrême-gauche partout en France, ont soutenus ces nervis antifas et leurs violences comme à Sainte-Soline. La LDH a même été jusqu’à mettre des « observateurs » pour surveiller… la police. Mais pas les antifas alors que la manifestation était interdite.
A Callac, les élus de la municipalité de gauche ont soutenus les violences antifas contre les patriotes qui s’opposaient au projet du maire voulant faire venir des centaines de migrants.
C’est partout la même chose.
Tous ces élus qui répètent « pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie » ont soutenu les antifas chargés, par la violence, de faire taire les opposants des bien pensants.
Sauf que le phénomène a pris une telle ampleur que les mêmes élus sont pris de panique aujourd’hui. Le monstre qu’ils ont créé et soutenu, leur échappe.
Cela me fait penser à cette scène de Fantasia, le film de Walt Disney, où l’on voit Mickey ensorceler un balai. Mais comme il n’est qu’un apprenti sorcier, il est incapable de contrôler la situation. Tous les balais s’ensorcellent et provoquent une catastrophe. C’est exactement la même chose avec les antifas, mais c’est autrement plus grave que des balais. Ces antifas sont devenus un véritable cancer pour notre société.
Le plus grave étant que personne ne semble vouloir prendre contre eux les mesures qui s’imposent. C’est notamment le cas du ministère de l’Intérieur, dont on aura du mal à me convaincre qu’il n’a pas identifié ces furieux. Alors pourquoi ne sont-ils pas arrêtés ? …jugés et condamnés à payer pour les dégâts commis et les blessures infligés à des citoyens et de policiers ou gendarmes ?
Pourquoi ne sont-ils pas interdits de manifestation et obligés de pointer dans une commissariat ou une gendarmerie à l’heure des manifestations ?
De même, pourquoi le procureur de la république des Côtes d’Armor n’a-t-il engagé aucune poursuite contre la municipalité de Callac pour deux contre-manifestations non déclarées, les 17 septembre et 05 novembre 2022 ? Pourtant c’est un délit condamnable.
Pourquoi ce procureur n’a-t-il lancé aucune poursuite contre les antifas qui ont exercé des violences à Callac à trois reprises ? Délit condamnable aussi.
Au final, tous ces élus bien pensants ainsi que l’État sont les véritables responsables de ces situations chaque jour plus préoccupantes. Les uns parce qu’ils ont créé ce cancer, les autres parce qu’ils ne veulent pas le traiter. Attendent-ils qu’il y ait des morts pour finir par réagir ?
Et les médias bien pensants, à partir de quand vont-ils cesser de soutenir ces hordes violentes et les dénoncer pour ce qu’elles sont… des hordes fascistes ?
Le 29 avril, à St-Brévin aura lieu une nouvelle manifestation contre l’installation d’un CADA. Le préfet de Nantes va-t-il comme la dernière fois laisser la contre-manifestation des antifas approcher à quelques dizaines de mètres de notre rassemblement pacifique, ou va-t-il les contenir à plusieurs centaines de mètres ?
Ce n’est certes qu’un petit évènement par rapport à tout ce qui se passe en France, mais nous verrons ce jour là si l’État a tiré des leçons des évènements que nous vivons ou s’il souhaite continuer à laisser pourrir encore plus la situation.
00:52 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |