mardi, 22 mars 2022
Après les éoliennes, la nouvelle escroquerie écologiste : la méthanisation
Sortie très prochaine d'un livre consacré à ce nouveau scandale rédigé par Bernard Germain
Il y a deux mois Bernard Germain était invité à l'émission Synthèse sur TV Libertés.
Peu de gens savent ce qu’est la méthanisation. Et pour cause, ces structures ne sont construites qu’à la campagne, loin des villes.
La méthanisation leur est présentée comme le moyen de produire du gaz « bio », ce qui préserverait notre dépendance vis à vis de l’étranger.
Ce gaz « bio » est produit à partir de déchets, notamment les déjections animales, ce serait donc écologique et vertueux.
Enfin, la méthanisation est présentée comme une solution mise en œuvre « à la ferme », assurant un petit complément de revenu aux agriculteurs qui souffrent tant des prix reçus pour leurs productions.
Au final, la méthanisation n’aurait que des avantages.
Mais la réalité est bien différente.
L’auteur de cet ouvrage a été confronté à la tentative d’installation d’une structure de méthanisation proche de son domicile en Bretagne.
Il s’est opposé à ce projet avec des centaines d’habitants de son bourg.
Ce livre explique d’abord ce qu’est la méthanisation, ses dangers pour l’environnement et les populations, ainsi que sur le plan économique.
Il démontre aussi que la méthanisation, qui est l’un des piliers des « énergies renouvelables » n’est qu’une escroquerie sur tous les plans.
Il constitue aussi un guide pour l’action à destination de ceux qui souhaitent s’opposer.
À lire d’urgence … si vous ne voulez pas être victime de cette nouvelle escroquerie écologique.
Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste, Bernard Germain, édité par Synthèse nationale, mars 2022, 104 pages, 18,00 €
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Entretien avec Alain de Benoist sur les crises du moment
Entre la guerre en Ukraine, la fièvre nationaliste corse, les élections présidentielles qui arrivent, la radicalisation de la vie politique en France, il y avait énormément de sujets que Breihz Info voulait aborder en cette fin mars avec Alain de Benoist. C’est chose faite avec cet entretien.
Lire l'entretien ICI
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Les Etats-Unis n’ont rien à espérer de la Chine
Christian Dalsug
De solides preuves accumulées dès le début du mois de janvier dernier ont persuadé les Américains que Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, était en train de programmer l’invasion de l’Ukraine. L’attaque devait avoir lieu fin janvier. C’est alors que se greffèrent sur ces sombres desseins deux opérations extérieures et contradictoires. L’une, venue de Washington, sollicita l’influence du président chinois Xi Jinping sur Poutine pour tenter de tuer cette guerre dans l’œuf ; l’autre, née à Pékin, demanda au Kremlin de remettre les affrontements militaires à la fin des Jeux olympiques d’hiver. Deux initiatives croisées : la première échoua lamentablement ; la seconde fut couronnée de succès.
Pour sceller leur « mariage de raison », Poutine et Xi se rencontrèrent à Pékin le 4 février ; l’Ukraine n’avait plus que quelques jours de paix à vivre. Dépitée, la Maison-Blanche prit conscience du décalage de sa diplomatie. Dans cette affaire, la Chine avait quelques longueurs d’avance sur elle.
Pourtant, ce camouflet administré non sans un certain mépris ne découragea pas le moins du monde Joe Biden qui chargea Jake Sullivan, son conseiller pour la Sécurité nationale, de relancer la Chine afin d’utiliser son poids pour, cette fois, arrêter la guerre. La rencontre de Sullivan et du ministre Yang Jiechi dura sept heures. Pour rien. Les Etats-Unis et l’Europe perdirent brutalement leur double illusion : dans cette affaire, le couple qu’ils forment n’a qu’un crédit très limité ; en revanche, le couple sino- russe paraît résister aux secousses du conflit. Pékin a refusé de qualifier Poutine d’« envahisseur », d’œuvrer pour un cessez-le-feu ou de rejoindre les Occidentaux dans leurs sanctions contre le Kremlin. Xi a réaffirmé la pérennité des accords du 4 février. Mieux : il a ouvert ses banques à son partenaire et doublé ses échanges commerciaux avec lui.
Ni le coût humain, économique et diplomatique des opérations militaires, ni les risques de mesures coercitives n’ont fait reculer Xi. Si sa tactique a dû changer au gré des événements ponctuels, sa stratégie, jusqu’à preuve du contraire, reste la même. Pourquoi ? Cinq raisons :
- – Poutine et Xi sont de vieux complices avec des pays qui, sur les plans politique et économique, ont prouvé leur complémentarité. La Russie propose son pétrole et son gaz, la Chine sa masse et sa puissance. Pour remplacer les Etats-Unis, il vaut mieux être deux. D’autant qu’aucune rivalité ne pourrait ternir le tandem à long terme : Poutine se fixe en Europe et au Moyen-Orient, Xi lorgne l’Indo-Pacifique et l’Asie centrale.
- – L’autre semaine, Emmanuel Macron et Olaf Scholz, le chancelier allemand, ont participé à un sommet virtuel avec Xi. Les « durs » à Pékin tirèrent de ce contact deux conclusions sans surprise : les Européens ne sont prêts ni à défendre leurs arguments par la force ni à rompre tous liens avec la Chine. Reste la gestion d’un moment difficile...
- – Xi fut surpris par la résistance des Ukrainiens. Et par l’absence – ou le dérapage – d’une opération « coup de poing » qui était sans doute initialement prévue. La guerre traîne trop et empoisonne l’ atmosphère générale. Mais, pour Xi, ce qui importe, c’est l’OTAN. A l’image des capitales européennes, l’« obsession » de son allié Poutine n’a pas bougé. Un signe encourageant pour les deux compères. La paix viendra. C’est donc une question de temps.
- – On pourrait imaginer Xi intervenant en fin de course afin de contribuer au ficelage d’un cessez-le-feu. Que pourrait-il mettre dans la balance ? Quelques concessions qui ne troubleraient pas Poutine, « son meilleur ami » : mariage de raison oblige. Les experts, ici, ne croient pas à un Xi lâchant du lest. Il a misé toute sa carrière sur le nouvel axe Moscou-Pékin. Le moindre retour en arrière serait assimilé à un aveu d’échec. Une raison suffisante pour le limoger cet automne au XXe congrès du Parti communiste.
- – Ultime justification à la route tracée par Xi : la faiblesse et l’incohérence des Etats-Unis. Obnubilés par l’humanitaire ukrainien, ils ont manqué de stratégie à long terme. A cela s’ajoute un budget militaire centré sur le défensif, une politique énergétique aberrante et un président qui n’est pas pris au sérieux. L’axe Moscou-Pékin est à la fois un défi et un test. Appliqué à l’affaire ukrainienne, cet axe recèle une charge offensive multipliée par cent. A Washington, l’establishment ne semble pas s’en être rendu compte.
Source : Présent 22/3/2022
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Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : L'Abécédaire de la décadence...
L’auteur dresse un diagnostic implacable de la décadence occidentale en général, et de la France en particulier. Innombrables sont les renoncements et les lâchetés d’une société qui semble à bout de souffle. Trahie par ses élites, livrée à toutes les vagues migratoires et à toutes les subversions sociétales, la France pourrait-elle se redresser ?
Jean-Claude Rolinat propose un saisissant catalogue de nos pathologies et suggère quelques remèdes, sans oublier, parfois, une dose d’espoir.
De A comme « agression », en passant par I comme « institutions » ou « Islam et islamisme », M comme « Macron », jusqu’à V comme virus chinois ou vulnérabilité et, finalement W pour « woke », ces entrées permettent d’engranger des munitions pour soutenir la controverse et alimenter le débat.
Au fil des pages, il fait leur « fête » aux rappeurs et autres « footeux » – enfants gâtés d’une société du « fric » –, sans oublier les parasites de la généreuse République française et ses Tartuffes.
Demain, serons-nous encore « maîtres chez nous », libres d’utiliser notre vocabulaire comme bon nous semble – pourrons-nous ainsi déguster des « langues de chat », sans que des « antispécistes » ne nous tombent sur le poil ! –, ou commander un « noir bien serré » sur le zinc de notre bistrot préféré, sans qu’une ligue de vertu « racialisée » ne nous traine devant un tribunal ? La folie transhumaniste, l’expansionnisme musulman, l’immoralité d’un État qui est « fort avec les faibles et faible avec les forts », les attributs et autres symboles d’une fausse grandeur, sont les cibles de cet Abécédaire dont la lecture ne peut que nous inciter à nous mobiliser et dire non au renoncement. Efforçons-nous de ne pas donner crédit à la citation de Charles Péguy – sacrifié sur l’autel de la patrie en 1914 –, qui écrivait : « Je ne dis pas : le peuple est perdu. Je dis : nous avons connu un peuple que l’on ne reverra jamais. »
L'Abécédaire de la décadence, Jean-Claude Rolinat, Dualpha, 220 pages, 25,00 €
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00:50 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi 24 mars à Wolfisheim (près de Strasbourg) : Nikola Mirkovic, invité du Cercle Mercure
00:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 2 avril à Paris : IXe colloque de l'Institut Iliade
00:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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