Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 08 juin 2023

Abayas et qamis, l’entrisme islamiste continue, dans l’indifférence du ministre de l’Education nationale

0ee2ea4_1685461042730-000-33gk38n.jpeg

Michel Festivi 

Depuis 2022, une guerre larvée mais réelle a lieu dans les établissements scolaires, sans que le ministre dit de l’éducation nationale n’y trouve à redire de sérieux et de concret en tout cas. Il faut ajouter qu’il a fait du slogan ne rien voir, ne rien entendre, ne pas parler, sa ligne de conduite, sauf bien évidemment pour distiller son venin à tous ceux qu’il considère comme étant de la mouvance de « l’ultra-droite ».

Pourtant, les services du renseignement ont alerté sur l’apparition de plus en plus importante d’abayas et de qamis (le pendant pour les garçons), dans les enceintes scolaires.  De nombreux incidents se sont produits, alors que les services de renseignements évoquent : « un entrisme salafo-frériste ».

En avril 2023, et malgré deux semaines de vacances, 625 faits contraires aux règles de la laïcité ont été recensés, soit une augmentation de 25% par rapport au mois de mars. Et l’on considère que par peur, lâcheté, manque de temps, surcroit de travail, refus de faire des vagues, bons nombres d’atteintes à la laïcité ne remontent pas jusqu’au ministère.

Sur les réseaux sociaux, les techniques pour pouvoir porter des vêtements ostensiblement religieux, se répandent à la vitesse du son, profitant de cette carence absolue de l’état.

Un homme politique aurait dénombré jusqu’à 170 abayas dans deux lycées de Lyon.

Pourtant les discours de nos autorités se sont succédés. Yaël Braun-Pivet a déclaré : « ces tenues-là ne doivent en aucun cas être tolérées ». La secrétaire d’état en charge de la citoyenneté (sic), Sonia Backès y est allée de son couplet : « l’abaya et le qamis sont des vêtements religieux par destination. Leur port en milieu scolaire est contraire à la loi de 2004. ». Alors, qu’attend-on pour agir ?

Comme le souligne Iannis Roder, professeur et membre du Conseil des sages de la laïcité (resic) : le port de ces vêtements conduit « à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse ». On semble parfois découvrir le nez au milieu de la figure !

Même si Pap Ndiaye a pris une circulaire en novembre dernier, pour rappeler les termes de la loi de 2004, rien n’est fait concrètement sur le terrain et les ports des vêtements religieux se multiplient. Les commentateurs avisés soulignent tous, qu’il n’a pas la même conception de la laïcité que son prédécesseur, Jean Michel Blanquer. On l’avait compris.

Rappelons la loi de mars 2004 : « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent une appartenance religieuse tels que le voile islamique, quel que soit le nom qu’on lui donne, la kippa ou une croix de dimension manifestement excessive est interdit ».  La loi insiste, les élèves peuvent « porter des signes religieux discrets ».  Cette loi ne s’applique qu’aux écoles, aux collèges et aux lycées. Les abayas ou les qimas sont incontestablement des « tenues » religieuses, et de plus ostensibles, la loi n’invoque le voile qu’à titre d’exemple, sans se limiter à cela. Pour plus de sécurité, il suffirait de faire un simple rajout au texte.

Il faut aussi rappeler que la loi de 2010 interdit de dissimuler son visage dans l’espace public et que cette loi, pour une fois, a été validée en 2014 par la Cour Européenne des droits de l’homme, qui a estimé que « la préservation du vivre ensemble était un objectif légitime » des autorités françaises qui disposent à cet égard « d’une ample marge d’appréciation. »

On pourrait aussi imposer des tenues uniformes dans les écoles, collèges et lycées, comme cela se pratique dans de très nombreux pays, mais en France on a l’art de disséquer sur le sexe des anges pendant que le pays brûle.

Par contre, comme l’écrit Boulevard Voltaire le 7 juin 2023, des « commandos » d’inspecteurs de l’EN ont pratiqué des intrusions massives dans les écoles privées catholiques hors contrat avec des méthodes rappelant parfois, certaines heures tragiques. Arrivées surprises d’une kyrielle d’inspecteurs, interrogatoires vindicatifs des professeurs comme des élèves sans l’accord des parents, fouilles systématiques des cartables, des casiers, intimidations, et comme l’a rappelé une fillette de 5° : « Ils voulaient que l’on dise que l’on était malheureux dans l’école, mais on leur a dit que ce n’était pas vrai. » Cf l’excellent article de Gabrielle Cluzel « les étranges priorités de Pap Ndiaye ».

Elle pose l’interrogation qui fâche de savoir pourquoi tant de signalements, comme le harcèlement scolaire dans l’école publique, ou les atteintes à la laïcité, restent sans effet, alors que ces écoles indépendantes qui enseignent avec succès les fondamentaux, dans la discipline et le calme, font l’objet de la vindicte ministérielle ? En réalité énoncer la question c’est y répondre.

Et pour couronner le tout, Valeurs Actuelles vient de se procurer une note du Service Central du Renseignement Territorial qui « alerte sur l’essor de cette mode vestimentaire récupérée par l’islamisme », dans le cadre de manifestations telles que « la Modest Fashion », (mode pudique) qui ne servirait en réalité qu’à banaliser les principes fondamentaux de l’islam. Cf VA du 7 juin 2023 : « Comment la « Modest fashion est devenue le cheval de Troie du marketing islamique ».

23:55 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi soir, Pierre Cassen et Bernard Germain étaient les invités de Nicolas Stoquer sur Radio Courtoisie

téléchargement (1).jpeg

Pour écouter l'émission : cliquez ici

Pour acheter le livre Transgression cliquez là

10:33 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de presse : Les vainqueurs de Callac présentent leur livre “Transgression”

IMG20230606163947.jpg

Un communiqué de Riposte laïque :

Ils ont été présentés par les médias comme les deux principaux animateurs de la bataille victorieuse de Callac. Pierre Cassen et Bernard Germain tiendront une conférence de presse, à Paris, le jeudi 8 juin, à 15 heures 30, et y présenteront leur dernier ouvrage, édité par Synthèse nationale, “Trangression, voyage du camp du bien vers le camp du mal”, préfacé par Jean-Yves Le Gallou.

Issus tous les deux de la mouvance gauchiste (LCR pour Pierre, et OCI pour Bernard), anciens syndicalistes (CGT pour Pierre, et FO pour Bernard), ils expliqueront pourquoi ils militent aujourd’hui dans la mouvance patriotique, et se sont retrouvés, à Callac et ailleurs, face à leurs anciens camarades.

L’adresse de la conférence de presse sera communiquée aux journalistes qui en feront la demande.

Contact presse : redaction@ripostelaique.com

Pour commander ce livre cliquez ici

10:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Travailler plus longtemps pour se faire tondre davantage encore ?

Fiche de paie.jpeg

Arnaud Raffard de Brienne

La période actuelle d’inflation qui voit fondre à vitesse accélérée notre pouvoir d’achat comme notre épargne n’offre-t-elle pas une occasion propice de s’interroger sur les dernières mesures régressives concernant l’indemnisation du chômage, les retraites et, de façon plus générale, sur la finalité de cette frénésie productiviste et matérialiste qui domine la fonction économique, le consumérisme et la folie du toujours plus de production, de productivité, de consommation, de gaspillage aussi, auxquels nous n’avons que trop sacrifié. Et si nous nous demandions sérieusement un instant pour qui et pour quoi il nous faudrait travailler toujours plus longtemps alors que la productivité n’a jamais cessé de s’améliorer pour atteindre des sommets, notamment en France et contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire ?

Nous savons tous plus ou moins qu’entre le salaire total payé par l’employeur, le “salaire super brut”, et ce que perçoit le salarié sur son compte en banque, la captation de départ s’élève déjà à environ 50%. Le salaire véritable, celui déboursé par l’employeur se trouve, avant même prélèvement de l’impôt sur le revenu, diminué de moitié avant de rejoindre l’escarcelle du salarié, ce qui n’est pas rien mais ne constitue pourtant qu’un tout début…

Le salarié va-t-il quand même pouvoir vivre de la moitié de ce salaire brut total ? Non, bien entendu, cette inimaginable ponction initiale ne constitue en effet que le point de départ d’un laminage fiscal en règle qui fait de notre pays le champion du monde des prélèvement fiscaux et sociaux comme l’a reconnu l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport publié en 2019. Le pays le plus taxé au monde donc, celui du vin et du fromage dont il serait capable d’offrir une variété chaque jour de l’année mais aussi celui de près de 500 taxes et impôts divers et variés.

Revenons à notre salarié lambda dont le salaire a déjà été divisé par deux puis ponctionné de l’impôt sur le revenu calculé en fonction de sa rémunération et donc de la tranche d’imposition dans laquelle il se situe, avant même d’aboutir sur son compte bancaire. Mais il ne s’agit là que d’aimables préliminaires et c’est maintenant que commence vraiment la fête. La totalité de ses achats de biens et de services, de la plaquette de beurre au PC portable ou à l’automobile lui coûtera 20% d’impôts au titre de la fameuse Taxe sur la valeur ajoutée (TVA), cette invention perverse datant des années 1950. Perverse en effet puisqu’elle sera ajoutée aux dépenses à chaque stade de la commercialisation d’un bien ou d’un service, sur la base de la valeur dépensée, ce qui revient à intégrer dans l’assiette de l’impôt la valeur de taxes déjà récoltées au stade précédent. Il fallait y penser !

Donc, après avoir perdu à la source la moitié de son salaire puis l’impôt sur le revenu et 20% sur tout achat de biens et de services, voici notre salarié pour le moins allégé. Il lui reste maintenant à subir les centaines de taxes et impôts directs et indirects potentiels au premier rang desquels la taxe d’habitation, les taxe foncière pour les propriétaires de leur logement, les intérêts et frais bancaires en tous genres, la taxation aberrante prélevée par les notaires pour tout acte de vente, d’achat ou toute opération patrimoniale, les taxes spécifiques sur les carburants, le tabac, l’alcool, les jeux bien sûr mais aussi l’impôt sur les sociétés, l’un des plus élevés au monde, sur l’épargne, sur les droits d’enregistrement de tout acte juridique, taxes à l’importation, à l’exportation, pour l’environnement, le recyclage, les amendes… L’exhaustivité en la matière relèverait d’une gageure et d’un labeur de bénédictin.

En 2022, le jour de libération fiscale, celui à partir duquel le salarié commence à travailler pour lui et les siens, était estimé au 19 juillet 2022. Il aurait donc travaillé six mois et demi pour la collectivité, ce qui nous apparait très largement sous-estimé puisque ne prenant pas en compte la totalité des éléments mentionnés ci-dessus. Il ne resterait en fait au salarié que bien moins de 20% du salaire brut total déboursé par l’entreprise. Sans doute entre 10 et 20%, selon la combinaison des variables propres à chaque cas.

Mais n’imaginez pas pour autant que le salarié et ses héritiers puissent jouir sans entraves de ces ressources résiduelles car ce serait ignorer le terrible coup de rabot qui, au soir de sa vie et surtout après, lui volera une bonne partie de ce qu’il aura néanmoins réussi à grappiller tout au long de son existence placée sous le signe de la tyrannie fiscale. Nous voulons bien entendu évoquer l’épargne et la fiscalité du patrimoine et de la succession. Après avoir gavé sa vie durant l’État, les banques, notamment à travers ses emprunts, les intermédiaires en tous genres (assurances, syndics…) et l’ensemble du système, il lui faudra, une fois ad patres, se faire voler, selon les cas de figure d’une fiscalité complexe, en moyenne 20% de son patrimoine légué à ses propres enfants mais carrément 35 à 45% si la succession bénéficie à ses frères et sœurs, 55% pour les autres membres de la famille et jusqu’à 60% pour les tiers et concubins… La fiscalité nécrophagique en quelque sorte.

Seule consolation  dans cet enfer fiscal : pareille prédation globale nous garantit évidemment un État prospère, des ministères pleins aux as, des infrastructures de premier ordre, la gratuité des autoroutes et un réseau routier de qualité irréprochable, des villes propres et pimpantes, un système de santé incomparable et un hôpital opulent, une sécurité à toute épreuve pour les citoyens, un premier rang dans le domaine de la recherche, le plein emploi, l’absence de toute précarité et une éradication durable de la pauvreté, des logements douillets pour tous, une armée puissante, bien dotée, aux équipements d’avant-garde, des retraites confortables garanties pour des décennies et des décennies et une Éducation nationale aux performances mondialement enviées, n’est-ce pas ? Et, bien entendu, pas le moindre centime de dette de l’État ! Bon, passons… Insister serait cruel.

Il faudrait donc, si l’on s’en tient au récent pseudo-débat sur les retraites et aux votes de l’Assemblée nationale et du Sénat, cotiser deux années supplémentaires pour que se prolonge pareille félicité ? On comprend qu’il y ait peu de volontaires.

10:09 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 24 juin, 14 h, Place Beauveau à Paris : CONTRE LA RÉPRESSION ET L'OPPRESSION, DARMANIN DÉMISSION !

image_0931529_20230607_ob_c7e7df_manif-24-juin.png

Un communiqué du Parti de la France :

Samedi 24 juin à 14h, Place Beauvau à Paris, devant le Ministère de l'Intérieur, le Parti de la France appelle à un rassemblement de tous les Français attachés à la liberté d'expression et de manifestation.

Depuis plusieurs semaines, au mépris du droit fondamental de manifester librement reconnu dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, suite à des directives politiques de Monsieur Darmanin, les préfets interdisent tout ce qui ressemble de près ou de loin à un rassemblement ou à une réunion de Français qui ne veulent pas voir disparaître leur peuple et leur Nation.

Cette grave atteinte aux libertés publiques relève de l'oppression politique ! Ça suffit ! Faisons valoir nos droits !

Les différents orateurs seront annoncés dans les jours qui viennent.

Source cliquez ici

10:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Menhirs détruits à Carnac : la bureaucratie française en cause ?

image_0931529_20230608_ob_a44d4c_648094418ad62-photo-1-carnac-mr-bricol.jpeg

Samuel Martin

Cela pourrait être le prochain album d’Astérix : Obélix et les 40 menhirs. Mais ce n’est pas une fiction : 39 menhirs ont disparu à Carnac (Morbihan), dans la Z.A. de Montauban. Oh, pas de ces mégalithes qui font la réputation mondiale du site, pas des microlithes non plus : des pierres d’une cinquantaine de centimètres de haut. Elles sont parties dans des bennes de gravats et de terre lors des travaux de construction d’un magasin Mr Bricolage, ont peut-être été, depuis, concassées en gravier et on n’a pas le cœur à rire devant ce fiasco patrimonial qui vient d’être dénoncé sur www.sitesetmonuments.org, en date du 2 juin, par un Carnacois, Christian Obeltz, prospecteur-correspondant du Laboratoire de recherche archéologie et architecture de l’université de Nantes.

Jointe par nos soins, la mairie de Carnac se défend de toute erreur. Une première étude du site, classé ZPPA (Zone de présomption de prescription archéologique), avait été menée en 2015 suite à une demande de permis de construire pour un Super U. L’INRAP avait alors repéré des éléments qui posaient la question : « Une file de menhirs inédite à Carnac ? » Pour l’auteur de l’étude, Stéphan Hinguant, il s’agissait vraisemblablement « de la réutilisation probable de blocs issus de monuments mégalithiques plus anciens » (p. 43). Et d’ajouter : « Seules des observations complémentaires sur les monolithes, voire une fouille, permettrait de certifier l'origine néolithique de cet ensemble qui pourrait au final s'inscrire en bonne place dans la cartographie des monuments mégalithiques locaux » (p. 45). Mais, explique aujourd’hui la mairie, « aucune suite n’a été donnée par le maître d’ouvrage à la prescription de fouille émise par la DRAC, le permis de construire de ce supermarché ayant été refusé en raison de hauteur sous faîtage non réglementaire et de la présence d’une zone humide ». Fin du premier acte.

Puis un deuxième permis est demandé en 2022, pour Mr Bricolage, cette fois. Entre-temps, les réglementations ont évolué, explique la mairie : l’« alurisation » et la « grenellisation » des plans locaux d'urbanisme (PLU) (en référence à la loi ALUR et au Grenelle de l’Environnement) font que, désormais, la ZPPA est devenue une AVAP (une aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine) ! Le dossier, transmis à l’UDAP (Unité départementale de l'architecture et du patrimoine), revient avec un avis positif qui a valeur décisionnaire : le permis est accordé.

Je vous aurais bien fait grâce des sigles – encore n’ai-je pas mentionné la DDTM ni le SCOT… –, mais ils semblent être la clé du gâchis qui vient d’avoir lieu à Carnac. Christian Obeltz accuse le maire de Carnac, mais aussi le Centre des monuments nationaux pour d’autres « aménagements brutaux » (le CMN a la responsabilité des alignements de Carnac), de se dépêcher d’aménager Carnac et d’y construire avant le classement probable du site au patrimoine de l’UNESCO, qui le rendrait intouchable. C’est peut-être un élément du problème, mais le mille-feuille administratif et les réglementations tous azimuts censées protégées l’environnement (dans son sens le plus large, englobant aussi bien la faune et la flore que les pierres de nos ancêtres) pourraient bien être la cause d’une décision ubuesque aboutissant à l’inverse du but recherché. Pour la mairie, le permis accordé respecte toutes les normes en vigueur, « conformément aux documents d’urbanisme » et seule la fatalité expliquerait cette aberration bureaucratique… bien que « cet imbroglio de réglementations » puisse être incriminé.

Reste que, de l’aveu même du cabinet du maire, « le site est détruit » définitivement et nul ne sait où sont passées les pierres préhistoriques. Le maire de Carnac, Olivier Lepick, est aussi le président de l’association Paysages de mégalithes, qui porte le projet de l’inscription, à l’UNESCO, des mégalithes de Carnac et des rives du Morbihan. On a connu sans doute meilleur porte-drapeau.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

10:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce jeudi 8 juin, à 18 h 30, à Paris :

Présentation1 copie 7.jpg

Chers Amis lecteurs franciliens de Synthèse nationale, je serai heureux de vous retrouver nombreux jeudi 8 juin (à 18 h 30) à cette conférence à Paris.

Roland Hélie

Pour confirmer votre venue : assoc.artemis@gmail.com 

09:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |