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mercredi, 05 juillet 2023

Bilan carbone...

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Une petite question, comme ça, en passant, pour Marine Tondelier et ses "matons de Panurge" d'Europe Ecologie les Verts : on a beaucoup parlé du bilan matériel et humain des ces cinq jours d'émeutes ; mais qu'en est-il du bilan carbone ? Eh oh, les écolos, notre maison France brûle, et vous regardez ailleurs ?

 

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Retour sur les victoires électorales de L’Alternative pour l’Allemagne (A.F.D)

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Michel Festivi 

L’AFD a été créée en 2013 d’une dissidence de la CDU, pour initialement lutter contre les institutions européennes, contre l’Euro et pour le retour du Deutsche Mark. Aujourd’hui les dirigeants ont changé, et l’AFD se présente désormais comme un parti anti-immigrationnistes, voulant protéger les frontières du pays et défendre la sécurité des allemands.

Malgré plusieurs crises internes et une volonté gouvernementale de la supprimer politiquement et juridiquement, l’AFD a rapidement obtenu des élus. Au Bundestag, après avoir échoué d’un cheveu avec 4,7% des voix en 2013 à obtenir des députés (le seuil est de 5%), en 2017 l’AFD obtient 12,6% et 94 députés, et en 2021, alors que le parti était en proie à des tiraillements internes considérables et à des poursuites judiciaires, le parti réalisa un score de 10,3% et obtint 83 députés.

Actuellement, l’AFD dispose de 11 députés européens et de plus de 150 députés régionaux, surtout dans les régions Est, très défavorisées.

Tout dernièrement, l’AFD vient de remporter deux victoires particulièrement symboliques, qui ont marqué les esprits. Fin juin, l’AFD a obtenu de gouverner seule, le Landkreis de Sonneberg dans le Land de Thuringe, un district dans l’Est du pays. Robert Sesselmann, a conquis cet arrondissement territorial de 56 000 habitants avec 52,8% des suffrages. Les médias allemands se sont déchainés en évoquant « Un séisme », « un coup de poing pour les autres partis », « un signal d’alarme », bref toute la panoplie habituelle, que l’on connait que trop bien, pour effrayer les électeurs et tenter de les détourner de ce parti « sulfureux ».

Mais la classe politique et médiatique n’a pas eu le temps de souffler, puisque le dimanche 2 juillet, L’AFD a remporté sa première victoire à des municipales d’importance. Avec 51% des voix, Hannes Loth a été élu maire de Raguhn-Jessnitz, commune de 9000 Habitants, toujours dans l’Est de l’Allemagne, dans le Saxe-Anhalt. Comme le souligne avec effroi la presse, jusqu’à présent l’AFD ne gérait que de petites communes rurales, où les maires étaient des bénévoles, ce qui ne sera pas le cas cette fois-ci.

Le porte-parole du parti et Président du groupe AFD au Bundestag, Tino Chrupalla a déclaré à l’issue de cette victoire : « Hannes Loth devient le premier maire AFD Nouvelle Normalité : nous sommes un parti qui représente le peuple ».

Car ce qu’il faut souligner et qui fait sursauter toute la classe politique allemande, c’est que l’AFD a résisté à « un front commun », qui allait de la CDU, en passant par les écolos, les libéraux, et la gauche radicale. De plus, actuellement, tous les sondages montrent que si des élections générales avaient lieu, l’AFD obtiendrait près de 19% des voix, faisant jeu égal avec le SPD. Il faut dire que la coalition de gauche, écologiste et libérale actuellement au pouvoir est particulièrement impopulaire, suite notamment de sa politique d’ouverture des frontières à tout -va. Les préoccupations de l’AFD, qu’elle relaie sur le terrain, sont outre la lutte contre l’immigration, les questions énergétiques, la politique de sécurité, et l’arrêt de la guerre en Ukraine.

Ce qui est frappant et réjouissant, c’est que la CDU ne profite nullement de l’impopularité du gouvernement actuel, alors qu’elle avait promis en 2018, de réduire par deux le score de l’AFD. Encore un effort et le score de l’AFD sera multiplié par deux ! Après l’Italie, l’Espagne, la France et ses 89 députés RN, et certains pays scandinaves, les droites populistes ont le vent en poupe. Comme le disait un personnage célèbre : « pourvu que ça dure ».

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Dans le dernier numéro de Lectures françaises, un grand entretien avec Michel Festivi sur son nouveau livre consacré à Miguel Primo de Rivera : cliquez ici

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Oran, 5 juillet 1962 : ne jamais oublier...

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La facture des vandales

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Gaëtan de Capèle

Magasins pillés, bâtiments publics ravagés, écoles détruites, voitures calcinées... Les émeutes des derniers jours laissent, un peu partout en France, un paysage dévasté. Les images de la télévision et les vidéos sur les réseaux sociaux ne diront jamais totalement la réalité de ce que vivent dans leur chair les victimes des voyous. Il faut entendre le désarroi de ceux qui, ne demandant rien à personne, se levant chaque matin pour aller travailler ou tenir un commerce, ont tout perdu. Le vandalisme endémique - « gilets jaunes », manifestations contre les retraites... - qui gangrène le pays devient leur pire cauchemar. À travers ces saccages, c’est toute leur vie professionnelle et familiale qui part en fumée. Ils n’ont que faire, et on les comprend, des grandes explications sociologiques sur la dérive des jeunes pillards. Encore moins des larmes de crocodile de cette gauche qui, après avoir témoigné d’une coupable bienveillance à l’égard de leurs agresseurs, les assure maintenant de son soutien.

Ce grand carnage n’aura, paraît-il, aucun impact sur l’économie française, ni sur notre attractivité. On aimerait le croire, mais on en doute. Les mises à sac à répétition de nos centres-villes, qui font le tour du monde, ont déjà lourdement entamé notre réputation. Leur coût, énorme, devra bien, quant à lui, être épongé par quelqu’un. Les compagnies d’assurances en prendront bien sûr une partie en charge. Mais l’État, c’est-à-dire le contribuable, sera lui aussi contraint de participer, une fois encore, au règlement de la facture. Les Français subiront alors la double peine de réparer des équipements qu’ils ont déjà payés. Et les vandales, dans tout cela ? Les bonnes âmes nous expliquent à quel point il serait injuste, puisqu’ils sont des victimes de la société, de les faire payer. Combien ajouter de la misère à la misère risquerait de conduire au chaos. Comme si l’impunité dont ils bénéficient n’avait pas déjà produit ce résultat. Abasourdi par les événements, Emmanuel Macron serait, paraît-il, prêt à sanctionner financièrement les familles des délinquants. La grande majorité des Français n’attend que cela.

Source : Le Figaro 5/7/2023

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LA MOUVEMENT NATIONAL-DÉMOCRATE PRÉSENTE SON PROJET POUR ORGANISER LA REMIGRATION

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Vincent Vauclin, président du Mouvement national-démocrate

En quelques jours, la France a basculé dans le chaos. Des milliers de véhicules incendiés, de commerces pillés, de mairies et de commissariats attaqués, d'écoles et de bibliothèques vandalisées, des centaines de policiers et de pompiers blessés... Tel est le bilan - encore provisoire - de ces quelques nuits d'émeutes durant lesquelles les pouvoirs publics ont été débordés malgré le déploiement de 45 000 policiers et gendarmes sur l'ensemble du territoire. Une situation quasi-insurrectionnelle mêlant violences gratuites, attaques ciblées contre les représentants de l'État et pillages systématiques, y compris dans des villes de taille moyenne jusqu'ici épargnées par les émeutes urbaines.

Après des décennies de laxisme judiciaire et migratoire, la France est toujours confrontée aux conséquences inévitables du multiculturalisme et de la faillite de son modèle d'assimilation. Multiplication des zones de non-droit, sédition communautariste, ressentiment et racisme anti-français assumé : le déni n'est plus permis, et seul le Ministre de l'Intérieur peut encore prétendre qu'il n'existe aucun lien entre ces évènements dramatiques et l'immigration massive imposée à notre pays depuis plus de quatre décennies.

Ces nuits d'émeutes ne sont que la préfiguration de l'embrasement qui menace la France à court terme si rien n'est fait. Mais une autre politique est encore possible, à condition d'aller au-delà des considérations superficielles et du déni dans lequel les médias subventionnés entendent enfermer l'opinion publique. Voilà pourquoi le Mouvement National-Démocrate dévoile aujourd'hui son dossier CTRL+Z : le projet des nationaux-démocrates pour organiser la remigration cliquez ici

Site du MND cliquez là

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