mardi, 04 juillet 2023
Les islamo-gaucho-écolos vs les « M’sieurs-dames tout en un »

La chronique de Philippe Randa
Je relatais dernièrement (Nouveau Présent du 20 juin 2023 « Poor lonesome wokistes »), les soucis outre-atlantique des « M’sieurs-dames tout en un » avec le conseil municipal 100 % musulman de Hamtramck dans le Michigan qui a interdit le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville… Mais outre-Manche également, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).
À Londres, c’est par les écologistes que la 51e Marche des Fiertés a été contrarié. Quelques minutes seulement, certes, mais le temps ne fait rien à l’affaire et quand on veille à enquiquiner son prochain, qu’importe l’arc-en-ciel des sentiments : le groupe Just Stop Oil a bloqué un char du cortège dénoncé comme « le pire pollueur plastique au monde » ; rien que ça !
Et quel est ce char impie frappé par l’opprobre escrologique ? Celui de Coca-cola qui a ainsi pu tester l’efficacité de son nouveau slogan 2023 « Taste the feeling/goûte la sensation » (qui a remplacé celui datant de 2009 : « Ouvre un Coca-Cola, ouvre du bonheur ») !
Car, nous apprend le site euronews, « Just Stop Oil avait auparavant demandé aux organisateurs de renoncer à être sponsorisé par “des industries hautement polluantes”. La Marche des Fiertés compte parmi ses plus grands sponsors la compagnie aérienne United Airlines »… et Coca-Cola a signé en 2007 avec United Airlines un accord de cinq ans sur les boissons, devenant ainsi son principal fournisseur de boissons non alcoolisées… C’est ballot, tout de même !
Mais comme si les déboires LGBTruc-machins d’outre-Altlantique et d’outre-Manche n’étaient pas déjà si révélateurs d’un « pas vivre avec tout le monde », voilà qu’« outre-Couesnon », en Bretagne extrême, donc ! le bar LGBT Happy Café à Brest a été obligé, « en catastrophe, de fermer ses portes après un signalement de messages haineux des émeutiers sur les réseaux sociaux » parce que pris pour cible sur les réseaux sociaux par de susceptibles « chances pour la France » qui se répandaient depuis le début des émeutes de la fin de semaine en messages d’amour explicites tels que : « Les gars priorité à l’happy Café on brule les PD qu’ils crèvent en enfer le Coran », « Exploser l’happy café faut respecter notre religion Allah Akbar », « Happy café zéro pitié »… et autres aimables sentiments de fraternité religieuse !
Seuls, bien sûr, des esprits chagrins se réjouiraient de voir tout ce beau monde s’entre-dévorer ainsi à pleines dents et leur souhaiteraient « bon appétit ! »
Eurolibertés cliquez ici
19:52 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Décès du « petit ange », au profil de racaille.

Pieter Kerstens
Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.
Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?
Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?
Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.
MIEUX VAUT OBEIR AUX FORCES DE L’ORDRE.
On peut se demander s’il est normal qu’un garçon de 17 ans conduise une Mercédès immatriculée en Pologne, sans permis de conduire, ni assurance. Les motards de la police avaient pris Nahel en chasse, car celui-ci roulait dans un couloir réservé aux bus et aux véhicules de secours. Refusant une première fois de s’arrêter, Nahel grille un feu rouge et manque d’écraser un piéton, puis ensuite de renverser un cycliste. Ce n’est que dans les embouteillages que les deux flics arrivent à coincer le véhicule, dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’Ordre et repart, ce qui déclenche le tir mortel.
Il est absolument inacceptable que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, se mêle des faits divers en France et exige du docteur Micron que celui-ci « protège les citoyens algériens résidants dans l’Hexagone » !
Les syndicats de la police ont bien raison de parler de la « guerre aux nuisibles ».
En outre, la population a bien compris que le fond de ce drame concernait évidemment les séquelles de l’échec d’une intégration mal vécue. Suite à un sondage du Figaro auprès de 71.000 lecteurs, 84% sont favorables à la cagnotte lancée en faveur de la famille du policier actuellement en garde à vue. Ce mardi 4 juillet, cette cagnotte s’élevait à 1.380.000 euros, quand la cagnotte pour Nahel ne recueillait, elle, que 340.000 €, soit quatre fois moins !
PILLAGES ET RAZZIAS SONT LES DEUX MAMELLES DE LA CRAPULE.
Dès le mardi soir, 27 juin, partout en France (en aussi en Belgique) les émeutes ont émaillé les villes où des jeunes issus de l'immigration ont montré qu'ils se considéraient comme des Français de papier en déversant leur haine contre nos lois et règlements, contre nos us et coutumes, en cassant et en brûlant tout ce qui leur tombait sous la main, qu’il s’agisse de biens publics ou privés.
La racaille jeune et moins jeune s’est abattue comme un vol de prédateurs sur les commerces les plus divers (tabacs, électroniques, parfumeries et boutiques de luxe), dont les vols se montent à plusieurs centaines de millions d’euros, qui s’additionnent à tous les dégâts survenus aux bâtiments publics et privés, ce qui va aboutir à une addition que les contribuables français vont devoir payer dans l’avenir. Merci aux gouvernants qui, au fil des années, ont ignoré les conséquences d’une immigration sauvage, dénoncée par mes camarades d’Ordre nouveau en juin 1973 et relatée par Jean Raspail dans son livre prémonitoire « Le camp des saints » la même année.
19:45 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Ce n'est pas nous qui le disons...

"Un pitbull avec un air de cocker" (Paul Benayoum)
Synthèse nationale
Avec les émeutes, de nombreux commentateurs se souviennent brusquement du "père de la rénovation urbaine (...) qui porta l'un des plus grands programmes publics en faveur des quartiers difficiles" (selon Le Point), Jean-Louis Borloo, ministre délégué à la Ville sous Chirac, de l'Ecologie sous Sarkozy puis auteur d'un plan d'action pour les banlieues qu'Emmanuel Macron enterra sans fleurs ni couronnes en 2018....
Espérons qu'ils se souviennent également de ce que l'intéressé déclarait en 2002, dans Un homme en colère (éd. Michalon), un livre écrit par Jean-Paul Brighelli (l'auteur de La fabrique du crétin) :
"Je me souviens d'une époque où la peau d'un flic, dans le cadre de sa mission, était sacrée. Je souhaite (...) que, sauf preuves contraires, comme pour les douanes, la parole d'un policier dans l'exercice de ses fonctions prédomine. Il me paraît, par ailleurs, indispensable que les délits constitués à l'encontre du policier dans le cadre de ses fonctions (...) vaillent double sanction à leurs auteurs".
"A côté du délit de faciès (...) se développe aujourd'hui surtout le délit d'uniforme. Oui, nos forces de sécurité sont en péril, démobilisées, démoralisées, abandonnées (...). Oui, j'en ai assez de voir nos gendarmes et nos policiers pris pour cibles, non respectés (...)".
"Si l'on n'y prend pas garde, il y aura de plus en plus de bus qui brûleront, de gamins qui se drogueront, d'échecs scolaires qui deviendront des violences urbaines (...). La sécurité pour tous est une impérieuse nécessité de l'Etat. Dans ce domaine, on constate en partie sa défaillance (...). Défaillance dans les résultats, défaillance dans l'état d'esprit des commentateurs pour qui il n'y a de bavures que policières".
"L'absence de répression est une forme d'oppression, car elle revient à supprimer tout repère (...). Le meilleur moment pour dire non, c'est le premier. Disons non tout de suite, à la première déviance".
On le voit : comme trop souvent, des constatations et des réflexions frappées au coin du bon sens... qui, au final, ont débouché sur rien ou pas grand chose... Derrière les mots, l'inaction... Paroles, paroles, paroles, encore et toujours des paroles, chantait Dalida... Aujourd'hui, vingt-et-un ans après ces propos du "pitbull avec un air de cocker", les Français constatent les résultats de la politique du chien crevé au fil de l'eau. Espérons que cette fois, ils sauront en tirer les bonnes conclusions et voter en conséquence...
18:01 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes
Un communiqué de la
Coordination Partout Callac :
Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.
Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.
Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.
Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».
Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.
Dans les banlieues, prenant prétexte de cette mort, d’un bout à l’autre du pays ce fut une explosion de violence contre la police, contre tout ce qui représente l’autorité et porte un uniforme.
Des bâtiments publics (écoles, mairies, commissariat de police, bibliothèque,… etc.) ont été détruits par le feu. De même une multitude de véhicules ont été incendiés, ainsi que des bus et des tramways.
À cela il faut ajouter les pillages qui eurent lieu sur le mode « razzias » dans les magasins, notamment de centre-ville et zones commerciales, dont le butin fut ramené dans les quartiers.
17:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Franc-Maçonnerie : révélations politiques d’un ex-Vénérable Maître - Serge Abad-Gallardo
Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain qui est une obédience mixte et internationale. Il a occupé la plupart des postes d'officier de loge, y compris celui de Vénérable Maître. Revenu à la foi chrétienne en 2012, il témoigne de sa connaissance du monde de la franc-maçonnerie dans de nombreuses conférences qu'il donne en France et à travers le monde.
Ce livre est disponible ICI
16:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
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" Sound of Freedom " La terrible réalité
Ce 4 juillet 2023 sortira – enfin – dans les salles de cinéma américaines le film Sound of Freedom réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde. Il met en vedette l’acteur catholique Jim Caviezel, qui a notamment interprété le Christ dans le film La Passion réalisé par Mel Gibson. Cette fois, Caviezel joue Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement devenu justicier et qui se lance dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie.
Il s’agit d’une histoire vraie. Tim Ballard a quitté son emploi d’agent spécial auprès de US Homeland Security Investigations (HSI) pour devenir justicier et se lancer dans une mission de sauvetage d’enfants prisonniers des cartels et des trafiquants d’êtres humains en Amérique latine.
Ballard a personnellement demandé à Jim Caviezel de tenir son rôle, même si l’acteur ne lui ressemble pas.
Le tournage a commencé à l’été 2018. Une partie du film a été tournée aux États-Unis (Calexico, Californie), mais la plupart des tournages ont eu lieu à Carthagène, en Colombie.
Le film a été achevé il y a plus de quatre ans et un accord de distribution avait été conclu avec la 21st Century Fox. Mais, lorsque ce studio a été acquis par Walt Disney Pictures, le film Sound of Freedom a été rangé au placard. Les cinéastes ont passé des années à batailler avec Disney pour essayer de récupérer les droits de distribution et pouvoir le projeter enfin en salles.
En mars 2023, la bonne nouvelle s’est répandue qu’Angel Studios avait acquis les droits de distribution mondiaux, avec une sortie prévue au cours du second semestre 2023. Angel a ensuite fixé une date de sortie au 4 juillet 2023.
Angel a utilisé le financement participatif pour collecter les fonds nécessaires au marketing et encourager les clients à “payer pour un autre” afin de permettre à d’autres personnes de venir gratuitement regarder ce film. Goya Cares, une fondation contre la traite des êtres humains, a annoncé son soutien en tant que producteur exécutif pour la sortie.
Le 30 juin 2023, Deadline a rapporté que les préventes de billets avaient déjà rapporté 7,2 millions de dollars et concernaient 2 626 salles de cinéma, avant même sa sortie officielle aux États-Unis ce 4 juillet 2023.
16:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Une odeur de révolution colorée en France
15:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Angers. Racailles et militants antifas ont attaqué le local du RED ce lundi soir
Source Breizh info cliquez ici
La racaille et l’ultra gauche se sentent pousser des ailes à Angers depuis qu’une certaine presse, mais aussi les pouvoirs publics, semblent avoir fait des jeunes du Rassemblement des étudiants de droite (RED) une cible prioritaire. Résultat, depuis samedi soir, chaque soirée est ponctuée par de violentes attaques par des bandes armées, en plein centre ville d’Angers, attaques visant le local qui appartenait par le passé à l’Alvarium.
A chaque fois, les jeunes présents dans le local tentent de riposter et de faire fuir des agresseurs de plus en plus nombreux et armés. Les vidéos, diffusées sur les réseaux sociaux, montrent que manifestement, les forces de l’ordre ont des consignes pour ne pas mettre hors d’état de nuire les assaillants (il est impossible de se battre aussi longtemps sans intervention policière, sinon cela signifie que même le centre ville d’Angers n’est plus protégé de rien)
Nous vous laissons découvrir les vidéos, aux allures de véritable guerre ethnique, et les violences auxquelles font face, seuls contre tous (la presse mainstream et les politiques déformant totalement la réalité), les jeunes militants identitaires.
Lire la suite sur Breizh info cliquez ici
NDLR SN : à Nantes, la Librairie Dobrée elle-aussi aussi attaquée cliquez ici
11:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Emeutes en France : Comment en est-on arrivé là ? Le déni du « gauchisme culturel ».
Michel Festivi
Il est toujours particulièrement valorisant, dans le cadre du combat des idées, de trouver chez ceux qui peuvent apparaître à des années lumières des convictions du camp dit « patriotique » ou « national » pour faire très court, des arguments forts qui vont dans notre sens et qui donnent de l’eau à notre moulin.
Je ne rapporterai donc pas, cette fois, les propos solides d’un intellectuel de droite, voire « d’extrême droite », ou d’un chroniqueur régulier d’un périodique de notre famille de pensée, mais celle d’un historien de la Shoah, d’un intellectuel d’origine juive qui avait subi par le passé la vindicte des bien- pensants de l’islamo-gauchisme, pour avoir affirmé que les banlieues promouvaient l’antisémitisme.
Je veux évoquer ici, Georges Bensoussan (ci-dessus), qui avait dirigé en 2002 déjà, un ouvrage collectif qui avait fait grand bruit alors, Les Territoires perdus de la République, qui lui avait attiré les foudres des élites aveuglées et contaminées par le refus d’appréhender le réel. 2002, nous étions alors en plein chiraquisme, c’est-à-dire dans un déni total de réalité et ça continue allègrement depuis.
Que nous dit d’éclairant Georges Bensoussan, dans un entretien du 2 juillet 2023 au Figaro ? Il n’a pas apprécié visiblement, l’incompréhensible minute de silence imposée à l’Assemblée nationale. Cela ne lui inspire que « du chagrin et de la pitié », et aucune minute de silence « pour Sarah Halimi, ni pour d’autres victimes civiles ou policières » dénonce-t-il.
Il professe que le déni est l’une des causes majeures de la situation actuelle, déni « entretenu par les classes dirigeantes qui, pour partie, dominent médiatiquement ce pays ». C’est le nœud de son propos.
Implicitement, il compare la situation actuelle avec la montée du nazisme, que les élites de l’époque se refusaient à percevoir alors. Aujourd’hui, tout le monde voit le naufrage arriver, mais les gouvernants se sont tellement auto-entravés, auto-censurés, qu’ils sont d’une impuissance absolue, qu’ils sont paralysés face aux drames qui arrivent. Et il reprend le mot de Walter Benjamin : « le cheminement vers la catastrophe ». Nous y sommes en plein.
Et les références pleuvent. La haine entretenue à l’égard du pays d’accueil que notait Pierre Legendre, historien du droit et psychanalyste, haine facilitée par la volonté mortifère de refuser d’imposer nos lois et nos mœurs aux arrivants. L’hyperviolence des adolescents des cités, devenus des « enfants-roi », fonctionnant au « code de l’honneur » « par un sentiment de toute puissance et d’absence de limites », caractères qui ont été analysés par le pédopsychiatre Maurice Berger, qui déplorait le laxisme judiciaire, surtout celui de la politique pénale des mineurs.
L’analyse de l’ethnologue Germaine Tillon, qui dans son ouvrage, Le harem et les cousins, avait disséqué que dans les sociétés maghrébines où : « Le garçon… plus particulièrement le fils aîné- est un roi fainéant, autour duquel convergent les attentions serviles de toutes les femmes de la famille… il doit (être) continuellement disposé à égorger tous les hommes et à violer toutes les femmes ».
Selon Georges Bensoussan, Germaine Tillon faisait le distinguo entre « une société des cousins » et « une société des citoyens », où le « code de l’honneur » affronte frontalement nos sociétés dites « libérales ». Et d’ajouter opportunément : « Les accusations de racisme pleuvent. Répétées ad nauseam, elles vont condamner ce pays à une atrophie du débat public. ». C’est déjà le cas.
Il fustige l’antiracisme dévoyé qui ne permet plus une vision saine du réel, allant jusqu’à « travestir la réalité et trafiquer le passé historique ». On le constate avec des déclarations inconséquentes de Macron ou de Borne qui vont jusqu’à falsifier de l’Histoire de France.
Et c’est ce même Georges Bensoussan qui nous dit : « Le chantage à l’extrême-droite a rendu impossible la peinture vraie de la réalité française ». Cela conduit tout droit, nous affirme-t-il, à taire le sort fait aux jeunes filles, aux femmes célibataires ou divorcées dans les cités, à taire l’identité des auteurs de viols collectifs etc…Comme à taire l’identité de ceux qui égorgent, les attaques aux couteaux ayant subi une augmentation considérable ces dernières années.
A quoi alors ont servi depuis 40 ans les 14 plans banlieues ? A rien à l’évidence, sauf à une augmentation effarante de la fiscalité française, l’une des plus importante des pays de l’OCDE.
Il pointe du doigt le grand patronat, qui a voulu et mis en place à partir du séisme de mai 1968, et avec la complicité de tous les pouvoirs publics successifs, une politique migratoire démesurée et finalement incontrôlée pour peser sur les salaires, dans le cadre d’une main d’œuvre à très bon marché, mais avec toutes les conséquences sociales que cela a induit, dans le cadre de la mondialisation dévoyée à la Georges Soros, et Jacques Attali, et l’incontrôlable regroupement familial.
La faillite de l’intégration est soulignée avec comme corollaire, « la multiplication des proclamations sur la République, la laïcité et la citoyenneté qui toutes évitent soigneusement le mot Nation. » Et d’enfoncer brillamment le clou, dans une envolée que n’aurait pas renié ni Charles Péguy ni Maurice Barrès : « Le contenu charnel (de la nation) dont le paysage français témoigne depuis la plus petite église romane de Saintonge jusqu’au plus modeste des monuments aux morts de 1914-1918. La nation… c’est notre héritage et la perspective d’un avenir commun. ». Bref le rappel de la France de la terre et des morts. Rappelons-nous que Chirac s’était fortement opposé à l’affirmation des racines chrétiennes de l’Europe dans le projet de constitution européenne, et une Europe sans racine, c’est une construction totalement artificielle mais qui promeut le port du voile.
Bien sûr, l’islamisation, voire la « palestinisation » de nos sociétés sont évoquées, ce qu’il nomme « l’archipélisation » de la France, déstructurant tout, du fait dit-il « de la chute de la pratique religieuse, une véritable révolution anthropologique concomitante de l’effondrement des grandes structures d’encadrement de jadis. », une analyse que Patrick Buisson a fait sienne depuis longtemps.
Car c’est bien « un antiracisme dévoyé qui nous a empêché pendant des années de nommer la réalité », et il faut lutter contre les discours moutonniers invoquant le racisme, ou les conditions socio-économiques pour expliquer ces émeutes qui pourraient s’apparenter à des prémices de guerre. La loi du nombre dans le cadre de l’immigration illégale et massive faisant le reste. La libanisation de la France approche à une vitesse qui prend tous les jours de l’ampleur.
11:28 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Aux armes citoyens… Formez vos bataillons…

Jarente de Senac
A l’initiative de l’homme politique et chroniqueur Jean Messiha, a été lancé un compte sur la plateforme Godfundme afin de venir en aide a la famille du policier qui a tiré et tué le jeune Nahel, 17 ans, fils d’immigrés, dans des circonstances qui ne sont pas encore totalement établies. En attendant, le policier a été mis en examen. En a peine trois jours, la cagnotte constituée pour venir en aide à sa famille a déjà recueilli plus de 1,3 million d’euros de la part de plusieurs milliers de donateurs quand celle lancée pour la famille de Nahel, Laetchi, atteint péniblement les 180 000 €.
Godfundme est une plateforme américaine de collecte de fonds de crowfunding (financement participatif). Celle-ci a fait savoir que les conditions de la collecte étaient parfaitement régulières et que les fonds recueillis seraient versés à la famille. Car il ne s’agit nullement, d’un soutien financier pour la défense juridique du policier. La loi française interdit d’ouvrir des souscriptions pour indemniser des frais de condamnation judiciaire. Ce qui n’est pas le cas. Et le montant recueilli en si peu de temps en dit long sur le sentiment et l’exaspération des Français.
Inutile de dire que dans la majorité comme à gauche, les pleureuses ne se sont pas faits attendre pour dénoncer cette initiative et valider une incitation à l’émeute. Les médias publics comme ceux de gauche – en fait la même chose -, montent au créneau et dénoncent un « appel à la haine ». Sauf que les Français disent le contraire.
Ils en ont marre d’une violence qui est dans sa grande majorité la conséquence de l’immigration. Une immigration qu’elle soit contrôlée ou non et qui aboutit aujourd’hui à des émeutes, où le pays est mis à feu et à sang, où des maires sont menacées quand ce n’est pas leur famille qui est visée comme ce fut le cas à Lhaÿ-les-Roses.
Les Français en ont marre de cette gauche autant que de cette majorité qui voudraient de surcroît soupoudrer nos campagnes de cette racaille incontrôlable comme ce fut le cas à Callac et à Saint-Brévin-les-Pins. Marre de leur politique de la ville qui est un échec depuis Bernard Tapie et dans laquelle tous les gouvernements, de gauche comme de droite, ont investi des milliards… en vain.
Les Français en ont marre de cette insécurité qui gangrène nos villes et nos villages. Marre aussi de cet Etat qui ne cesse de nous montrer sa trouille et son impuissance et qui laisse la société s’islamiser, les soignants, les pompiers, les policiers se faire agresser, caillasser, insulter. Ces émeutes ne sont rien moins qu’un état de guerre civile. Ces jeunes émeutiers de 13 ans et plus sont désormais irrécupérables. Ils sont en guerre contre la République et ses lois. Et le pire c’est qu’ils agissent en toute impunité sous l’œil goguenard d’un Mélenchon ou d’une Sandrine Rousseau et de toute cette gauche qui a détruit l’école, piétiné l’histoire de France, vomi l’armée et dont l’idéologue délétère tend à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. La gauche… ce grand mensonge national, cette haine de l’autre !
Et le pire dans cette histoire, est que les Darmanain et autres Dupond-Lajoie-Moretti vont vouloir jouer les gros bras en enchristant des manifestants dans des prisons déjà surchargées d’immigrés où ils pourront renforcer tout à loisir leur haine de ce pays et de sa République.
03:41 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Condamnations très dures pour le mouvement italien Casapound : « Nous ne reculerons pas d’un mètre »
Audrey D’Aguanno
Il y a exactement vingt ans, le mouvement Casapound occupait un immeuble dans le centre de Rome, rue Napoléon III. Accusés d’occupation abusive, dix de leurs militants viennent d’écoper de peines de prison de deux ans et deux mois, ainsi que d’amendes très élevées. Une décision politique comme l’indiquent, en miroir, la complaisance et le financement publics des occupations opérées par les organisations d’extrême gauche.
L’édifice de six étages était à l’origine une école publique désaffectée, squattée et réduite à taudis par des immigrés en situation irrégulière, où trafic de drogue et délinquance étaient la norme. Les “fascistes du troisième millénaire”, comme les surnomment les médias – le terme de fasciste n’étant pas en Italie synonyme de totalitarisme, mais renvoyant à une idéologie de troisième voie et une période historique précise – nettoient, réparent, remettent en état le bâtiment. Ils en font un espace social où sont organisées, entre autres, rencontres, conférences, expositions et autres initiatives à caractère social et culturel. Mais pas que. Car de nombreuses familles y trouvent refuge, dans un contexte de grave crise immobilière après que dans les années 90, les banques ont spéculé rachetant la plupart des logements vides, avec comme conséquence une augmentation drastique des prix des loyers. Des milliers de Romains se retrouvent à la rue.
À côté de cela, de nombreuses occupations rouges sont financées par les pouvoirs publics, recevant des centaines de milliers d’euros. Même lorsqu’elles ne sont que des squats où règnent l’anarchie, le délabrement et… le meurtre comme, celui de l’adolescente Desirée Mariottini, morte des suites d’un viol collectif par quatre migrants africains qui fréquentaient l’endroit. Sans aller jusqu’au décès, les histoires sordides sont légion, et les riverains se plaignent de la détérioration et de l’insécurité qui font suite à l’installation abusive de centres sociaux d’extrême gauche, notoires repères d’illégalité.
Rien de tel, ne s’est produit au 8, rue Napoléon III à Rome. Tout au contraire. Si le quartier entier n’était pas laissé à l’abandon par la politique de la ville, on pourrait même parler de requalification. Pourtant, c’est cette occupation non-conforme qui est visée par les autorités, une association qui avait fait de la défense du logement sa priorité.
Parmi les accusés, le Président Gianluca Iannone, Simone et Davide Di Stefano qui ont quitté le mouvement. Une amende immédiate de 20.000 euros, l’indemnisation à l’État, et l’évacuation ont aussi été ordonnées. Nous publions ci-dessous le communiqué signé Casapound :
« Alors qu’à Rome, la Mairie achète avec des millions d’euros des espaces et les offre aux centres sociaux comme dans les cas du Porto Fluviale et du Spin Time, on frappe l’unique occupation non-conforme de la ville où des familles italiennes ont trouvé au fil des années un lieu d’aide et de confrontation. Sans Casapound, l’immeube de la rue Napoléon III serait l’énième symbole de la dégradation de la capitale, alors qu’il est actuellement un point de rencontre culturel, social et politique dans un quartier totalement délaissé par la politique.
Dans tous les cas, cette sentence ne nous trouve pas pris au dépourvu : nous sommes prêts à défendre l’immeuble et les familles en difficulté qui y ont trouvé un endroit sûr et nous recourrons évidemment en appel. Il s’agit du premier cas où, pour une occupation qui remonte, qui plus est à deux décennies, on en arrive à des condamnations de plus de deux ans impliquant même des familles en situation d’urgence qui avaient trouvé un toit en Casapound. Cela démontre, une fois de plus, de quel côté sont ceux qui combattent depuis des années un système pourri et qui, de l’autre, joue au rebelle avec le soutien de la politique et de la magistrature, comme les centres sociaux et l’extrême gauche. Qu’il soit bien clair à tout le monde que nous ne reculons pas d’un mètre ».
Source Breizh info cliquez ici
00:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) |
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