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dimanche, 12 octobre 2025

L’État Profond français : qui le finance et pourquoi ?

Etat-Profond-Francais-Janvier-Lagarde-195x300.jpgUne grande enquête réalisée par Claude Janvier et François Lagarde, avec une introduction de Thierry Meyssan et une postface de Philippe Broquère.  Chez « The Book Edition ». 

Vous en rêviez et vous l’attendiez. L’étude approfondie des rouages de la haute fonction publique, de la haute sphère du privé et des financiers.

L’Etat profond est censé aller dans le sens du bien commun, donc du bien-être des peuples. Un des problèmes majeurs est qu’il s’associe avec des lobbies sans scrupules, une espèce de monde sans foi ni loi, ou le règne du plus fort et du plus fortuné écrase la majorité. Empiler l’argent, encore et encore, au détriment des Français. L’idéologie mortifère absolue dans toute sa splendeur. La plaie de l’espèce humaine, du règne animal, végétal et minéral.

Tous les rouages d’une république au garde-à-vous obéissent sans sourciller, aux ordres bien trop souvent nocifs, d’un état devenu ivre et boulimique, avec leurs têtes de gondoles beaucoup plus préoccupées à se maintenir à des postes de pouvoir et à se faire élire et réélire, peu importe le poste obtenu, du moment que ça « paye bien ».

Quant à Emmanuel Macron, il est au pouvoir et il veut y rester le plus longtemps possible. Découvrez l’historique de son ascension dans nos chapitres. Il se pose en chef de guerre de la France et de l’UE, sans états d’âme. Ses déclarations incessantes, quasi-quotidiennes, démontrent sa volonté de plonger les Français, dans un climat de peur perpétuel. Quand une population est plongée dans la terreur, elle est ensuite totalement mûre au point d’accepter toutes les compromissions, les abnégations, et de partir guerroyer envers et contre tous.

Comment y remédier ? Les réponses sont dans ce livre. Puissiez-vous ne plus être le même quand vous l’aurez terminé.

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Le RN est-il prêt à rassembler tous les patriotes pour sauver le pays ?

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L'édito de Cyrano de ce matin sur Riposte laïque

Nous sommes dans une période historique. Ceux qui se font appeler le socle commun sont en train de s’écrouler, incapables de sortir de la crise et de leurs contradictions. Et pourtant, de LR aux Insoumis, en passant par les macronistes, les centristes, les socialistes, les communistes, les écologistes, tout les rassemble. Ils ont voté, depuis quarante ans, tous ensemble, les mêmes textes, ils nous ont imposé l’invasion migratoire, l’islamisation de notre pays, la perte de souveraineté, la mort de notre industrie, la dictature du politiquement correct, le coup d’État des juges, l’Union européenne, le mondialisme, en un mot, la mort de la France.

Mais la Bête Immonde, la leur, a des soubresauts, et ils ne sont plus capables de faire face aux conséquences de leur alliance, en 2024, pour empêcher le Rassemblement national de gagner les élections législatives, suite à la dissolution prononcée par Macron. Depuis, le régime fait tout pour gagner du temps, et surtout ne plus redonner la parole au peuple. Nous avons eu Barnier, Bayrou, et à présent Lecornu 1 et Lecornu 2. Sachant que le régime conserve l’arme ultime, la clique Mélenchon, alliée des islamistes, pour empêcher par la rue l’alternance démocratique voulue par le peuple français.

Face à cette situation historique, nous sommes en droit d’attendre de la part de tous ceux qui se réclament de la résistance patriotique un discours et surtout des pratiques à la hauteur des enjeux. Dans ce contexte, tout ce qui divise notre camp doit être banni, et tout ce qui empêche son unité doit être combattu.

Le Rassemblement national représente l’alternative des urnes contre nos ennemis. Il est l’élément dominant de par son histoire, son poids, ses résultats électoraux, du camp patriotique. Il ne peut gagner seul, et ne peut se contenter de sa seule alliance avec Éric Ciotti, et son parti l’UDR, pour incarner cette alternance et cette véritable alternative que les Français espèrent.

Il doit sortir de son sectarisme à l’encontre de Reconquête et permettre, fort de sa position dominante, comme sait le faire la gauche, de créer les conditions pour que l’unité de tous ceux qui ne veulent pas que la France meure se concrétise.

Et tout le monde doit avoir sa place dans ce regroupement.

Marion Maréchal, n’en déplaise à ceux qui, au RN, ne veulent pas d’elle, et à ceux qui, à Reconquête, la considèrent comme une traîtresse.

Philippe de Villiers, qui a l’avantage de ne pas avoir d’ennemi dans son camp, et qui, chaque semaine, émerveille des centaines de milliers de Français sur CNews et Europe 1, par son érudition et son décodage de la situation politique française.

Florian Philippot qui a le mérite, sur le terrain, de mener des combats nécessaires, hier contre la dictature sanitaire, ce jour contre la volonté de Macron de nous embarquer dans une guerre contre la Russie aux effets dévastateurs contre la France, sans oublier son combat de toujours contre l’Union européenne.

Sans oublier Nicolas Dupont-Aignan, et tant d’autres, combattants de toujours au service d’une France souveraine et identitaire.

Seul le RN, dans cette situation exceptionnelle, où Marine Le Pen a été déclarée inéligible par les juges du régime, peut créer les conditions, par sa position dominante, de cette alliance indispensable à la victoire de notre camp.

En a-t-il envie ?

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10:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Badinter panthéonisé mais la moitié des Français favorables au retour de la peine de mort

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Claude Lorne, Le Nouveau Présent cliquez ici

Quoi qu’en pensât l’« universaliste » Badinter, tous les hommes ne sont pas égaux. Ainsi, l’imbécile profanation de sa sépulture au cimetière de Bagneux le 8 octobre, veille de sa panthéonisation, a provoqué une indignation générale alors que l’annonce de la tombe attaquée à la masse — la croix celtique la surmontant étant méthodiquement réduite en miettes — de Jean-Marie Le Pen et de ses parents au cimetière de La Trinité-sur-Mer le 31 janvier dernier, puis du caveau de la famille Brasillach vandalisé le 7 février suivant au cimetière de Charonne avait été accueillie au mieux par de l’indifférence, au pis par des ricanements revanchards.

Un « humanisme » à géométrie variable

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » ? Mais l’icône du monstre qu’est le prétendu État de droit « préférait la République à la France ». Ce n’est pas nous qui le disons mais son thuriféraire Éric Fottorino interminablement interrogé le 9 octobre sur France Info où il évoqua l’attachement viscéral de son idole aux « Lumières ». Lumières dont découla la Grande Révolution, qui donna tant de boulot aux bourreaux qu’on estime à 17 000 le nombre des victimes de la guillotine. Cette hécatombe ne gêna-t-elle donc jamais Badinter alors que beaucoup des ratiboisés par le « rasoir républicain » n’avaient pas une goutte de sang sur les mains ? On ne sache pas d’ailleurs que l’aient davantage incommodé les massacres de 1944-45 pourtant dénoncés par son coreligionnaire Robert Aron dans son Histoire de l’Épuration publiée chez Fayard, épuration dont il évalue les victimes « à plus de 10 000 » en quelques mois, entre condamnés à mort et assassinés par les FTP après des parodies de « procès populaires ».

De même, dans son oraison sur « le grand avocat et le grand ministre » auquel nous devons l’abolition de la peine de mort, Emmanuel Macron — tout heureux de s’évader un moment de la pétaudière qu’il a lui-même provoquée avec la dissolution de l’Assemble nationale — a-t-il insisté sur la présence de Badinter à Jérusalem lors du procès d’Adolf Eichmann, haut dignitaire du IIIème Reich jugé pour crimes contre le peuple juif et contre l’humanité après avoir été kidnappé en Argentine par le Mossad en mai 1960. Mais, si nos souvenirs sont exacts, Eichmann fut condamné à mort et pendu le 31 mai 1962. Et, si notre mémoire est fidèle, Badinter n’y vit aucun inconvénient, au contraire d’un autre de ses coreligionnaires, la philosophe Hannah Arendt pour laquelle le condamné n’avait été qu’un rouage de la « banalité du mal ».

Pour sa défense et celle de l’État hébreu, le « grand humaniste », qui savait inéluctable l’exécution d’Eichmann, écrivait en effet préventivement dans L’Express (du 6 avril 1961) : « L’antisémitisme, aujourd’hui apparemment apaisé et comme repu par le carnage récent, n’est qu’un des aspects du crime fondamental de racisme. En lui, l’antisémitisme se perd comme les millions de juifs assassinés se fondant dans la masse immense des crimes du racisme qui déroulent leur procession tragique dans l’Histoire. Par le Noir lynché en Afrique du Sud, le « raton » torturé dans les douars, le Blanc assassiné au Congo, la chaîne des tortures se tend à travers ces jours que nous vivons et se lie à celles des ghettos martyrisés. C’est pourquoi, au-delà du crime contre le peuple juif, Eichmann répond du crime contre l’humanité ». Et passez muscade !

Comme on ne prête qu’aux riches, Badinter est également crédité de la « dépénalisation de l’homosexualité », chose faite depuis deux siècles. Sa loi du 4 août 1982 dépénalise en fait les relations sexuelles avec les mineurs de plus de 15 ans. Nuance… Croisée de l’avortement et député socialiste à l’époque, Gisèle Halimi était le rapporteur de cette loi. Au nom de la parité et du droit des femmes, fera-t-elle avant la fin du quinquennat partie de la cuvée panthéonisée par Macron autour des « valeurs républicaines » menacées par « une recrudescence de l’antisémitisme et une montée des communautarismes » dans « les temps obscurs » que nous subissons, succédant ainsi à Simone Veil, Joséphine Baker, les époux Manouchian et l’historien Marc Bloch dont le sacre est prévu en juin 2026 ?

Si, comme l’a rappelé l’actuel Élyséen, le garde des Sceaux de Mitterrand avait pris position pour une « dépénalisation universelle de l’homosexualité », il militait aussi pour l’« abolition universelle de la peine de mort ». Peine à laquelle 62% des Français étaient favorables en 1981. Qu’en est-il aujourd’hui ?

En 2010, ils étaient seulement 34 % à souhaiter le retour du « rasoir républicain » cher aux Jacobins. Mais, conséquence d’une criminalité galopante et des attentats de masse islamistes de Paris à Nice, on comptait 55% de partisans de la peine capitale en 2020 selon une étude de l’Institut Montaigne — qui s’en désolait. Avec l’arrivée de la génération Z biberonnée aux droits de l’homme, ce chiffre a un peu chuté : 49% selon une étude publiée cette fois par Sciences Po en 2025. N’empêche, 49%, c’est la moitié de la population cédant à la « réaction tripale » stigmatisée par l’historien Jean-Yves Le Naour. Qu’aura pensé cette moitié des fastes du Panthéon alors que les assassins, eux, n’ont nullement désarmé, bien au contraire, et que le ventre est toujours fécond qui les engendre ?

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Samedi 22 novembre, en Lorraine :

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01:22 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réaction en Corse face à l'insécurité

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Un communiqué du mouvement corse Azzione Ghjuventù :
 
Bastia, Montesoru. Ce samedi, le mouvement Azzione Ghjuventù a tenu une conférence de presse au parc Nelson-Mandela, afin d’alerter sur la montée de la drogue et de l’insécurité dans le quartier.
 
Le président du mouvement a dressé un constat alarmant, évoquant une situation devenue préoccupante pour les habitants. Selon lui, de nombreuses personnes âgées n’osent plus sortir de chez elles, par crainte d’agressions ou de trafics dans les environs.
 
Une résidente présente a d’ailleurs témoigné : « J’ai peur d’aller acheter du pain », a-t-elle confié.
 
Le président d’Azzione Ghjuventù a appelé les forces de l’ordre et la mairie de Bastia à agir rapidement pour renforcer la sécurité du secteur.
 
Il a également remercié le Rassemblement National et Forza Nova pour leur présence, tout en soulignant que d’autres partis politiques avaient été invités, mais n’ont pas fait le déplacement. Le mouvement indique par ailleurs que la maire de Bastia, également conviée, n’a pas assisté à la conférence.
 
En conclusion, Azzione Ghjuventù a remercié les habitants du quartier pour leur mobilisation et leur participation à cet appel à la vigilance.

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