mardi, 11 juin 2013
Serge Ayoub revient sur le déroulement de l'agression dont ont été victime des jeunes nationalistes à Paris mercredi dernier...
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Que faire en dictature ? RESISTER !
Yves Darchicourt
Nous entrons dans une période cruciale où tout peut basculer du jour au lendemain. Le Système est aux abois, il a le réflexe de la bête nuisible blessée qui va tenter de piquer ou de mordre cruellement une dernière fois. Nos compatriotes et congénères sont anesthésiés par une propagande ouverte dans nombre de domaines et insidieuse en d'autres qui vise à neutraliser leur instinct de survie et travaille à les livrer pieds et poings liés aux charognards affairistes et aux collabos de l'idéologie mondialiste.
Nous avons encore le moyen de contrer le bourrage de crâne et la désinformation : par la parole dans la sphère familiale, auprès du voisinage ou de l'entourage professionnel, par le militantisme au sein des partis, organisations et associations qui ne sont pas encore interdits, par l'utilisation d'Internet où fonctionnent toujours nombre de blogs résistants dont on peut sur-multiplier l'impact auprès de nos "contacts", par la diffusion de la presse libre aussi. S'abonner, faire circuler, lire, faire lire les parutions de notre famille de pensée nationale, identitaire et solidariste sont autant d'actes de Résistance.
Pépère veut nous interdire l'utilisation des mots "dictature et résistance" qu'il voudrait réserver à quelques uns dans un cadre limité de l'Histoire officielle revisitée façon "nouvel ordre mondial". Prétention inouïe qui ne fait que renforcer nos certitudes : la dérive dictatoriale des écolos-socialistes prend de l'ampleur et il faut lui résister pendant qu'il en est encore temps. Pas pour servir de supplétifs à la droite dite parlementaire (simple excroissance à dextre de l'UMPS) ni pour amener dans les assemblées des courtisans "bleu-marine" isus de la porosité avec l'UMP de la franc-maçonnerie, de la jet-set, de la république plurielle ou des associations d'invertis...mais pour entrer en Résistance au sens fort du terme et donner radicalement - dans les urnes peut-être, dans la rue pourquoi pas ou les deux à la fois - le grand coup de balai qui nous débarrassera de l'engeance qui veut faire du gaulois, de l'européen, du blanc une espèce en voie de disparition. Résister ou mourir, l'expression n'est pas trop forte.
Rassemblement - Résistance - Reconquête
13:08 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 10 juin 2013
Où l’Etat panique...
Source cliquez ici
Nous assistons depuis plus de trois jours à une manipulation savamment orchestrée et digne des plus grands enfumages de l’histoire. Du Carpentras, voire du Reichstag. Depuis jeudi, l’ensemble des mouvements nationalistes est diffamé et insulté en permanence par la classe médiatico-politique.
Assassins, meurtriers, peste, etc. Les mots ne sont pas assez durs.
Mais que cherche-t-on au final ? Pourquoi la retenue et la réserve, qui sont habituellement de mise lorsque l’on ne dispose que d’informations incomplètes et fragmentaires, pourquoi la simple prudence ne s’est-elle pas appliquée dans ce qu’il est convenu de nommer l’affaire Méric ?
Parce que nous sommes sur la bonne voie. Parce que nos idées trouvent un écho de plus en plus large chez une grande partie de nos concitoyens, et que cela devient de plus en plus insupportable à ceux qui estiment détenir seuls la vérité.
Parce que lorsque nous condamnons la mondialisation, les grands remplacements de population, la toute-puissance de la caste financière, loin d’affabuler, les faits, les évènements, l’Histoire, valident notre vision du monde et nos solutions pour sauvegarder nos peuples et notre civilisation.
Aussi l’Etat ne recule-t-il devant rien pour nous faire taire et pour nous salir. Quitte à mentir un peu plus, quitte à renier nos libertés fondamentales.
Sous l’accusation fantasque que nous serions un danger pour la démocratie et la république, il voudrait nous condamner tout en nous refusant le moindre traitement équitable.
Pour mémoire, la possibilité de dissolution donnée à l’Etat ne s’applique que dans de strictes conditions. Il faut que les groupes visés appellent à la haine ou à la violence, ou bien qu’ils mettent en danger la république. Mais entendons-nous bien, combattre l’immigration et dénoncer toutes les catastrophes économiques et humaines qui en découlent ne sont en rien des appels à la haine ou au racisme. C’est la libre expression d’une analyse politique, dont en réalité seule la pertinence dérange.
Le pouvoir, les pouvoirs devrais-je écrire, nous la jouent à l’envers. Ce n’est pas nous qui nous mettons en marge de la république, ce sont ses représentants, ou du moins ceux qui se pensent comme tels, qui nous poussent vers la sortie.
Mais que croient-ils ? Que nous allons nous laisser faire, courber l’échine et rentrer dans le rang ? Je ne parierais pas trop là-dessus.
L’exploitation de ce double drame, un jeune homme qui perd la vie bêtement et un autre qui voit la sienne s’assombrir durablement, n’est à l’honneur de personne. Ni de la gauche et de l’extrême-gauches si promptes à crier au fascisme quand bien même celui-ci ne correspond plus à quelque réalité politique que ce soit au XXIème siècle, ni la presse faisant ses choux gras du malheur des autres et si rapide pour dégainer ses coupables idéaux, ni même enfin les partis de l’opposition, qui n’ont rien compris aux enjeux de demain et se contentent de botter en touche pour ne pas déplaire à la pensée unique.
Ceux qui ne sont pas des salauds sont des lâches.
On se croirait revenu au temps des proscriptions, lorsque pendant la guerre civile, entre la fin de la république et le début de l’Empire, à Rome, l’on affichait publiquement la liste des noms des citoyens qui devaient être mis à mort sans procès dès qu’on les croisait.
Non contents de violer nos droits fondamentaux, ils poussent le vice jusqu’à estimer, par la bouche de Najat Vallaud-Belkacem, que nous avons encore trop de visibilité et qu’il ne faut plus du tout parler de nous. Je ne relèverai pas tout l’absurde de la situation…
Pour terminer, je tiens à remercier tous ceux d’entre vous qui m’ont témoigné leur sympathie suite à la violente attaque de ma boutique jeudi dernier. Pour la petite histoire, les antifas lillois ont prévu une nouvelle manifestation le mardi 11 juin en centre-ville. Compte-tenu des graves débordements survenus tant à Lille, où trois commerces ont été attaqués et au moins deux policiers blessés, qu’à Paris ou à Nantes qui ont vu de nombreux actes de violence, cette manifestation devrait être interdite par le Préfet pour risque de troubles à l’ordre public. Mais je ne me fais aucune illusion. Ceci dit, si quelque incident devait se produire contre la boutique Tribann, je n’hésiterai pas à faire valoir mes droits de citoyen et mettrait en cause la responsabilité de l’Etat pour son aveuglement complice.
Je ne sais pas si ces proscriptions modernes marqueront, comme il y a 2000 ans, le passage de la république à l’Empire, mais je sais que notre priorité à tous aujourd’hui est de dépasser nos querelles de Gaulois, et ensemble, soutenir le grand perdant de cette manipulation : Esteban.
23:12 Publié dans Les articles de Luc Pécharman | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Bardèche et l'Europe", le nouveau livre de Georges Feltin-Tracol, vu par Yanndarc
Par Yanndarc cliquez ici
Le dernier livre du camarade Georges Feltin-Tracol nous explique la vision qu’avait Maurice Bardèche de l’Europe.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, deux grandes puissances règnent en maître : le bloc soviétique et le bloc américain. Contre le communisme et contre le capitalisme représenté par les États-Unis, Maurice Bardèche envisageait une troisième voie : une Europe forte totalement indépendante et reposant sur des nations souveraines. Bardèche – tout en étant un fervent européen – croît au rôle essentiel des Nations : « La position dont le nationalisme doit s’emparer, comme une armée au combat, est celle du jacobinisme. »
Cette vision de la France va à l’encontre de celle que promeuvent d’autres farouches Européens comme Jean Mabire. En effet, le militant normand plaide plutôt pour une Europe ethno-régionaliste.
Une fois l’État-nation renforcé, Maurice Bardèche estime que la construction de l’Europe doit prioritairement et principalement reposer sur une puissance militaire. L’économie est certes importante mais il estime que cela est secondaire. L’économie doit bien évidemment aider à la création d’une Europe puissante. Mais en aucun cas elle doit en être le moteur. D’ailleurs il n’aura de cesse de dénoncer cette Europe économique que nos ennemis veulent créer. Son anticommunisme ne lui fait pas oublier que « le libéralisme sauvage nous expose non seulement à une invasion, mais à une dépossession. Il entraîne à la fois notre assujettissement économique et la paupérisation de tous ceux qui travaillent dans les branches détruites ou fragilisées de chaque production nationale ». Ou encore : « Le libéralisme économique, c’est-à-dire l’acceptation des lois de la concurrence sur le marché mondial, est à l’origine de la plupart des maux de la civilisation moderne. ». Écrits prophétiques.
À l’heure où l’Europe de Bruxelles mène à la ruine les nations et les peuples, peut-il y avoir un avenir pour une Europe vraiment européenne ? Le beau-frère de Robert Brasillach nous répond par l’affirmatif : « L’heure de l’Europe reviendra. Elle reviendra quand viendra l’heure du courage et celle de la volonté. » Des propos qui nous rappelle la philosophie de Dominique Venner, cet autre Grand Européen récemment disparu.
Un livre incontournable pour tous ceux qui veulent connaître le modèle européen que nous proposait Maurice Bardèche. L’Europe de Bardèche, un modèle en devenir ?
Georges Feltin-Tracol, Bardèche et l’Europe. Son combat pour une Europe « nationale, libérée et indépendante », Les bouquins de Synthèse nationale, 112 p., 18 € (+ 3 € de port), à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton, 75012 Paris, chèque à l’ordre de Synthèse nationale.
Blog de Yanndarc cliquez là
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23:02 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’extrême droite ne demande l’interdiction de personne...
Nicolas Gauthier
Boulevard Voltaire cliquez ici
Mort dramatique du jeune Clément Méric oblige, voilà que le gouvernement nous ressort l’arlésienne de la dissolution des groupuscules d’extrême droite. On leur souhaite bien du plaisir, la majeure partie de ces derniers n’ayant aucune existence légale. Certains, tels Yves Thréard (patron du Figaro), évoquaient encore, ce dimanche sur RTL, la dissolution d’autres groupuscules, d’extrême gauche ceux-là, devant une Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, pas tout à fait à l’aise. À cause du parallèle – pour elle manifestement incongru ?
Alors, oui, dissoudre l’extrême droite et l’extrême gauche… Extrêmement crétin, surtout sachant que ces mouvements plus ou moins violents renaissent immanquablement sous d’autres enseignes. Le parallèle, ensuite, est des plus spécieux. On a toujours entendu l’extrême gauche exiger l’interdiction de l’extrême droite, mais jamais le contraire. Comme quoi la tolérance niche parfois là où on ne l’attend pas. C’est l’extrême gauche qui manifeste contre les réunions de l’extrême droite – voir le fameux meeting tenu par Ordre nouveau au palais des sports à Paris, le 21 juin 1973 – et pas l’inverse.
À l’époque, l’extrême droite est anticommuniste, à l’inverse de l’extrême gauche. On sait au moins qui soutenait les tyrans d’alors, qui niait la réalité du goulag. Quelques années plus tard, le Mouvement national-révolutionnaire de Jean-Gilles Malliarakis affine même le concept en ajoutant l’antiaméricanisme au combat anticommuniste d’origine. Bien vu. Et c’est là où le parallèle figaresque ne tient pas vraiment : l’extrême droite a toujours fait preuve de plus de lucidité politique que l’extrême gauche. Mieux : elle avait pour elle le culte de la déconne et ne s’est jamais vraiment prise au sérieux. Jack Marchal, figure historique du GUD et dessinateur de talent, mettait même en scène les travers de ses propres camarades dans Les rats noirs, BD proprement hilarante.
Chez les trotskistes de la LCR ou de l’OCI, une initiative équivalente aurait déclenché un procès politique pour se conclure en cassage de gueule. Et ne parlons même pas de ceux de Lutte ouvrière ou des maoïstes de la Gauche prolétarienne. Pauvres gars obligés de se taper du Grand Timonier et du Petit Léon à longueur de journée ; et gare à ceux qui avaient mal appris la leçon et oublié de réviser leurs devoirs.
Alors qu’en face, on lisait Marcel Aymé et Jacques Laurent, Michel Audiard et Antoine Blondin. Eh oui, les gars… le talent littéraire est à droite, surtout chez ces écrivains-là qui, à rebours d’un Jean-Paul Sartre, n’ont jamais exigé que tombent les têtes ! Au risque de peiner Najat Vallaud-Belkacem, on dira que si l’extrême gauche a la culture de la haine, l’extrême droite, elle, a toujours cultivé le mépris.
Ça a tout de même plus de gueule.
22:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serge Ayoub et ses amis ne menacent personne, contrairement aux islamistes
Riposte laïque cliquez ici
En écrivant « Celle qui dit non » (cliquez ici) j’avais un rêve, celui de faire prendre conscience, à toute la classe politique, tout parti confondu, à quel point une victime est madame, monsieur tout le monde, à quel point, elle est le peuple et à quel point le déni général est la balle tirée à bout portant pour achever cette dernière, si elle ose survivre.
A la sortie du livre, un seul désir m’animait; il est d’ailleurs toujours présent à ce jour: porter la parole des victimes à travers mes maux et par mes mots, plus loin, plus haut, plus fort.
C’est donc, dans ce contexte et cette démarche que Monsieur Serge Ayoub m’a permis, à moi, la victime aux trente-trois agressions, de faire en toute simplicité une conférence « au Local ». Trois heures face à un auditoire attentif, sans aucune incitation à la haine mais avec une immense compassion. Malgré des demandes à des associations, des groupements politiques divers et variés de gauche, du centre, de droite, cet endroit fut le seul à répondre présent.
Monsieur Le Premier Ministre, vous désirez faire dissoudre les « JNR », une petite précision donc.
Il y a mille fois plus dangereux en mon département et en ma ville, incitant à chaque prêche ou presque, à la haine de notre Nation, imposant des règles et des us importés d’un ailleurs, la mosquée Al Imane du Bourget. Ici, comme sur tout le territoire, des Imams enseignent une vision de la religion ne permettant pas de pratiquer » le bien vivre ensemble ».
Vous voulez « tailler en pièces, de façon démocratique, sur la base du droit, ces mouvements d’inspiration fasciste et néonazie, qui font tort à la République et qui font tort à la France. » Quelle volonté, quelle force, quelle détermination, mais pour ce faire:
- Commencez par ces endroits où la haine est véhiculée dès le plus jeune âge avec votre aval.
- Poursuivez en assainissant nos prisons qui sont de véritables chaudrons intégristes conduisant la racaille à se radicaliser..
- Attaquez-vous à ces citées devenues des lieux de non-droit où la peur règne en maîtresse.
- Songez à vous tourner sur votre gauche, vous y découvrirez d’autres haineux faisant également tort au peuple, le mettant régulièrement en danger lorsque celui-ci ose manifester car « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes » (Winston Churchill).
- Osez dissoudre les groupuscules, les associations représentant un réel danger.
- Laissez nous, à nous les victimes, des endroits où la libre expression et l’écoute existent vraiment.
La mort de ce jeune homme est intolérable pour nous tous mais encore plus pour les victimes en survie.
Toutefois votre partialité m’effraie car vous conduisez le pays au chaos, à la guerre civile par choix politique, un magnifique exemple « d’incitation à la haine » passible de la cour martiale.
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Violences médiatiques...
La chronique de Philippe Randa
On connaît l’importance disproportionnée accordée au fait-divers par les médias contemporains… Pour peu que celui-ci soit de nature politique et que la droite dite extrême soit susceptible d’être impliquée, c’est l’emballement immédiat ! Auto-programmé, en quelque sorte.
La mort à Paris d’un militant d’extrême gauche a été l’événement majeure de la semaine passée… Aujourd’hui, un événement chassant l’autre, le soufflet d’une indignation politiquement manipulée retombe et la chasse aux sorcières s’essoufle. Médiatiquement, en tout cas.
À nouveau, et quelle que soit la réalité de ce qui s’est passé à la gare Saint-Lazare et la responsabilité des uns ou des autres dans cette échauffourée, remarquons à nouveau que les comptes-rendus « à chaud » des médias tout autant que les réactions du monde politique n’ont été ni très sérieux, ni vraiment dignes.
Alors que les supposés agresseurs n’avaient pas encore été interpellés, on passait suivant les commentaires, d’un « guet-apens tendu à la victime » à une simple altercation, à la conséquence certes tragique, entre celle-ci et trois de ses amis d’une part et un autre groupe dont certains « auraient arborés » des tatouages à croix gammées…
Tandis que le Front de Gauche où militait la victime appelait derechef à la dissolution des « groupusucles d’extrême droite », Pierre Bergé tweettait sur la responsabilité de « l’immonde Barjot » – meneuse la plus médiatisée des Manifs pour tous – au mépris de tous les risques de poursuites pour insultes et diffamations que cela implique ; sa fortune, il est vrai, le met au-dessus des fâcheuses conséquences pécuniaires de toute condamnation future.
Et bien évidemment, comme d’habitude, planait dans tous les commentaires la question de l’implication du Front national dans ce fait-divers… ne serait-ce que par la simple interrogation de la possibilité d’une infime ou majeure responsabilité de ce mouvement, auquel répondait l’écho évident, mais lourd de sous-entendus, que cette implication serait évidemment très difficile à prouver. Ça, on n’en doute pas !
L’UMP, de son côté, a appelé à dissoudre tous les « groupuscules extrémises », de gauche comme de droite… renvoyant ainsi tout ce qui n’est pas UMPS dos à dos au grand dam des humanistes de gauche qui se sont aussitôt étranglés de rage que l’on puisse mélanger les abhorrés « torchons fascistes » avec les héroïques « serviettes antifas ».
Bref, des commentaires cent fois entendus, mille fois répétés, cent mille fois sans suite aucune, un million de fois creux et inutiles.
Car les bagarres entre ennemis politiques, il s’en déroule chaque jour et pas seulement à Paris … Rarement mortelles, heureusement, car qui peut croire que tous les protagonistes aux motivations certes idéologiques de cette « mort stupide » à Saint-Lazare aient eu l’intention de tuer ? Qui pourrait s’imaginer un instant qu’une organisation puisse ordonner ou encore suggérer, voire simplement fermer les yeux sur des tentatives de meurtres d’« opposants politiques » par ses militants ? Le juge d’instruction n’a d’ailleurs pas retenu l’intention de tuer en mettant en examen, samedi soir, l’auteur présumé des coups mortels.
C’est pourtant ce que médias et politiques n’ont cessé de marteler des jours durant, au mépris de toute vraisemblance. Mais plus c’est gros, plus ça passe… ou, finalement, plus ça indiffère !
Cette « baston » entre groupes politiques opposés n’a pas été la première et ne sera pas la dernière… Les rixes entre militants de partis opposés jalonnent l’histoire de l’Humanité et les agressions, préventives ou en représailles, ne sont l’exclusivité d’aucun camps, d’aucune idéologie.
Imaginons enfin que la victime ait été présumée « d’extrême droite », les commentaires auraient-ils été aussi nombreux et unanimes ?
Bien sûr ! Qui en douterait ?
16:37 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Suisse : raz de marée populaire pour une restriction du droit d'asile !
Yves Darchicourt
Il est dangereux pour certains de consulter le Peuple ! En Suisse, une votation sur le durcissement du droit d'asile a eu lieu hier 9 juin à l'initiative des "jeunes verts" et de quelques officines mondialistes soutenus par le parti socialiste. Les référendaires ne voulaient pas que soient maintenues les mesures restrictives d'urgence appliquées par le Conseil Fédéral depuis septembre 2012, mesures soutenues notamment par l'Union Démocratique du Centre (UDC) Pan sur le bec des vilains oiseaux de l'immigration échevelée et du cosmopolitisme qui ont subi une défaite d'une rare ampleur : par 78,50% de OUI, les citoyens helvètes ont entériné la législation restreignant le droit d'asile. Le OUI l'emporte largement partout : de 61% à Genève à 76% dans le Valais et 80,50% à Berne Ce fut clairement une victoire du peuple suisse sur les idéologues fumeux, une victoire de "l'helvète moyen" quotidiennement exposé à la promiscuité allogène financée avec ses impôts sur les nantis de l'intelligentsia mondialisante; parmi les grands perdants de la consultation, on signalera les Eglises Protestantes et leurs évèques engagés en faveur d'un accueil universel libéralisé à outrance et qui apparaissent nettement coupés de leur base populaire.
Actuellement, la Suisse comptabilise environ 48 000 candidats à l'asile dont 28 000 nouveaux arrivants pour 2012 et le pays enregistre 4 à 5 fois plus de réfugiés que l'Allemagne, l'Italie ou la France, pays beaucoup plus vastes et plus peuplés. On ne s'étonnera pas du résultat de la votation qui va considérablement entraver l'obtention du droit d'asile et faire que la Suisse "soit moins attractive" pour les candidats "réfugiés" ou "pseudo-réfugiés" allant de l'objecteur de conscience érythréen au pédéraste du Zimbabwé en passant par toutes les "victimes" de persécutions invérifiables englobant nombre de courageux à qui les ong mondialistes ont su faire comprendre qu'ils vivraient mieux en Helvétie (comme partout en Europe) à ne rien foutre que chez eux en travaillant.
Le peuple suisse a bien de la chance d'être consulté directement sur de tels sujets et de pouvoir librement s'exprimer pour la défense de son identité. En France - république mère des droit de l'homme paraît-il - le citoyen n'a pas voix au chapître sur les sujets qui fâchent les "grandes consciences" comme l'immigration, la peine de mort ou la famille naturelle. Le gaulois au front bas n'a le droit que d'élire des représentants interchangeables soumis peu ou prou à la même idéologie mondialiste dans un Système soigneusement verrouillé. Il faut que cela cesse : un grand coup de pied dans les urnes et un grand coup de balai, vite ! Rassemblement - Résistance - Reconquête !
16:04 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lettre ouverte d’un militant de Troisième Voie à Jean-Luc Mélenchon
« Tout le monde a sa place dans la société, mais toutes les idées n’y ont pas leur place. »
Jean-Luc Mélenchon.
J’aimerais vous rappeler, Monsieur Mélenchon, la célèbre phrase qu’un non moins célèbre philosophe formula : « Je pense, donc je suis. »
Si mes idées n’ont pas leur place dans la société alors, de facto, je n’y ai pas ma place. Car mes idées, mes pensées, et donc ma façon d’agir, font de moi ce que je suis.
Vous vous dites antifasciste, alors que vous voudriez que je m’intègre à cette société, tout en m’interdisant d’y penser ce que je pense. La liberté de penser ne vous intéresse que lorsqu’elle va dans votre sens. Ce mode de fonctionnement est digne d’une dictature fasciste.
Pour ma part, je resterai cohérent : je fais pipi sur votre tronche, et sur vos idées.
Cordialement,
Aurélien.
Source + Mélenchon cliquez là
12:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Holland'ouille au Japon !
Décalage horaire, abus de saké ou tout simplement illustration de son ignorance crasse... en déplacement officiel au Pays du Soleil Levant l'andouille élyséenne a récemment articulé "peuple chinois" en évoquant le peuple nippon devant ses représentants.
Diplomatiquement parlant, c'est un peu comme s'adresser à des arméniens ou à des grecs en les assimilants aux turcs. Après avoir fait rutiler un visage hilare dans un cimetière militaire britannique et avoir piqué un roupillon pendant une réception officielle au Maroc, Pépère persévère dans la gaffe diplomatique.
A moins que le Normal ait ainsi inconsciemment révélé son attachement à l'idéologie mondialiste destructrice des peuples et des nations. Président socialiste de la république française, il n'est guère que le porte-parole de la "Section Française de l'Internationnale Mondialo-Maçonnique" pour qui les différences nationales, ethniques et raciales sont des superstitions anachroniques au regard des valeurs du "nouvel ordre mondial". Des différences pourtant à l'évidence criante, tout comme les différences sexuelles comme lui rappellent humoristiquement ces deux bambins fort heureusement protégés par leurs familles du bourage de crâne de l'éducation dite nationale.
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dimanche, 09 juin 2013
Face à Valls, un premier collectif d'avocats vient de naître pour défendre les prisonniers politiques...
17:47 Publié dans Informations nationales, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le magnifique hommage rendu à Dominique Venner vendredi 31 mai au centre Equinoxe à Paris
12:51 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Après tout, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Japonais et les Chinois, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés »…
12:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre les prétentions du gouvernement de dissoudre les JNR : conférence de presse samedi après-midi à Paris...
Samedi après-midi, au Local, une conférence de presse a été organisée en quelques heures pour répliquer à l’annonce faite, le matin même, par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault de vouloir procéder à la dissolution des Jeunesses nationalistes révolutionnaires.
Devant un important parterre de journalistes, tant de la presse télévisée que de la presse écrite ainsi que plusieurs radios, Serge Ayoub, porte-parole du mouvement Troisième Voie et fondateur, dans les années 80, des JNR, et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale et membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, qui avait tenu à apporter son soutien aux JNR, ont dénoncé la grossière manœuvre liberticide du gouvernement.
D’emblée, Serge Ayoub a répondu aux prétentions de celui qui fait figure de Premier ministre de la France par un énorme éclat de rire montrant ainsi le mépris que les nationalistes et les solidaristes ont pour ce petit monsieur qui espère faire oublier la faillite de sa politique en s’auto-persuadant que les JNR seraient à l’origine de la mort du gauchiste Clément Méric.
La vérité c’est que les vrais responsables de cette tragédie, ce sont ceux qui poussent certains jeunes crédules à agresser les militants patriotes ; ce sont ceux qui, en leur bourrant le crane avec des âneries telles que l’antifascisme, ont conduit des pauvres naïfs à s’engager dans des groupes ultra-violents tels que celui auquel appartenait Méric. Ces groupes ne sont que les bandes armées de l’hyper-classe mondialiste qui veut détruire les nations et les identités afin de les remplacer par un ensemble de consommateurs déracinés justes bons à enrichir les multinationales et qui a besoin de ce type de groupes pour combattre la résistance nationale qui, partout, s'organise. Voilà à quoi servait un Clément Méric.
Le pouvoir veut dissoudre les JNR alors que les JNR ne sont en rien responsables de ce qui s’est passé mercredi soir à Paris. Il s’acharne sur ce mouvement en le faisant passer pour un mouvement violent. Mais, que le pouvoir nous prouve en quoi les JNR sont violents. Lorsque l’on affirme de telles choses, il faut des preuves ! La violence, il faut la chercher ailleurs et Serge Ayoub a montré, documents à l’appui, le vrai visage de la bande à Méric, le soi-disant gentil étudiant idéaliste. Un groupe armé qui entend, selon ses dires, « tuer des fascistes ».
Depuis des mois ce groupe, intitulé Action antifasciste, multiplie les attaques contre la résistance nationale : en novembre ils ont tenté de manifester contre la 6e journée de Synthèse nationale ; toujours en novembre, ils ont aussi tenté d’agresser des personnes qui, dans le Ve arrondissement, venaient d’assister à une messe dite à la demande du Cercle franco-hispanique. Quelques semaines plus tard, ils ont attaqué des vendeurs de l’Action française à Paris, blessant sauvagement l’un d’entre eux ; puis ils ont essayé de s’en prendre à une réunion organisée par l’hebdomadaire Rivarol en février de cette année. Ajoutons à cela les multiples provocations pendant les manifs contre la loi Taubira. Et puis, il y a quelques jours, ils ont tenté de sacager l'Espace Tribann à Lille... La liste de leurs exactions est longue mais qu’importe puisque le Système a besoin d’eux. Et cela à tel point que, comble de ridicule, les députés toutes tendances confondues, du PC au FN, se sont crus obligés d’observer une minute de silence en mémoire d’une petite frappe qui se croyait sans doute encore à Stalingrad ou peut être sur les plages de Normandie… « Lorsqu’un mouvement ou un militant nationaliste, quelle que soit son appartenance, est attaqué, c’est toute la résistance nationale qui est attaquée » a rappelé le directeur de Synthèse nationale.
Aujourd'hui, « il est évident (...) que ceux qui ont voulu cette bagarre sont les nervis, les petits amis de Clément Méric », a déclaré Serge Ayoub, ajoutant : « Il y a un proverbe québécois qui dit « quand tu mets des claques, attends-toi à en recevoir ». Je crois que c'est l'épitaphe de ce Clément, qui a voulu faire l'intéressant ».
Alors, dans ces conditions, notre compassion ne va pas vers celui qui voulait faire la « guerre aux fascistes » et qui en a payé le triste prix. Notre compassion va vers Estéban, Katia et ceux qui sont encore en prison parce qu’ils ont été agressés par cette bande de larbins du Système et qu’ils se sont, en Européens dignes de ce nom, défendus.
Pour conclure cette conférence de presse, laissons le mot de la fin à Roland Hélie : « Après tout, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Japonais et les Chinois, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés »…
Film sur la conférence cliquez ici
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Tours : 200 terroristes gauchistes tentent de s'en prendre à Pierre-Louis Mériguet, responsable de Vox populi
Ce samedi à 16 heures, 200 militants d'extrême-gauche (dont certains masqués et armés) se sont livrés à une véritable descente sur le commerce de Pierre-Louis Mériguet, porte-parole de Vox Populi (cliquez ici). Les slogans criés étaient on ne peut plus clairs : "Mériguet on va te tuer !"
Cette manifestation sauvage et violente était préméditée, puisque plusieurs journalistes étaient présents sur les lieux. Malgré les menaces et le risque évident de violences, seulement une voiture de police encadrait la horde sauvage, renforçant ainsi son sentiment d'impunité. On peut légitimement s'interroger sur cette absence de présence policière, les extrémistes ayant ainsi pu laisser libre cours à leur haine sans être nullement inquiétés.
Réaffirmons-le clairement : l'affaire Méric est une tragédie. Mais elle ne doit pas servir à cautionner les exactions de cette extrême-gauche violente qui cherche - en panique face à sa perte totale d'influence sur la jeunesse tourangelle et française - à museler toute forme d'expression politique ne lui convenant pas. Et cela notamment à l'approche des élections municipales.
Menant un combat légal, politique, démocratique à visage découvert, les enracinés de Vox Populi ne céderont pas face aux menaces et à la haine d'extrémistes cagoulés.
Une plainte va bien entendu être déposée pour menaces de mort, plusieurs agitateurs de l'extrême-gauche locale ayant clairement été identifiés.
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JUSTICE POUR ESTEBAN !
Samedi soir : LE JUGE A REQUALIFIE L'INCULPATION D'ESTEBAN D'HOMICIDE VOLONTAIRE EN HOMICIDE INVOLONTAIRE !
Sur Facebook : en quelques heures la page Justice pour Estéban a reçu près de 5 000 soutiens cliquez ici
10:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Lys noir de cette semaine :
10:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le pouvoir veut dissoudre les JNR : samedi après-midi Serge Ayoub a répondu au pouvoir...
Samedi après-midi, Serge Ayoub a tenu une conférence de presse pour remettre les choses à leur place. Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale et membre du bureau de la Nouvelle Droite Populaire, a apporté publiquement son soutien à Serge Ayoub et aux Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires.
Quand Manuel Gaz prend ses désirs pour des réalités :
01:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 08 juin 2013
Clément Méric : un petit provocateur aux ordres de l'hyperclasse mondialiste
Lorsque Clément Méric attaquait les manifestations contre le pseudo "mariage" homo...
Un crétin provocateur au service des intérêts mondialistes...
Lisez ce texte cliquez ici
11:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Poste refuse les timbres personnalisés LMPT
Depuis quelques temps La Poste propose de personnaliser ses timbres avec des photos, pour un anniversaire, de façon à donner une touche plus personnelle au courrier.
Un internaute a eu l'idée de faire des timbres avec le logo de La Manif pour Tous.
Refus de La Poste, qui a justifié en invoquant l'avis des Juristes...
Source Le Salon beige cliquez là
10:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 07 juin 2013
Ce soir, sur Méridien zéro
Méridien zéro RBN cliquez ici
19:56 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lille : le magazin Tribann attaqué hier soir
19:49 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Affaire Méric : pain béni pour justifier la répression contre la Résistance nationale !
Yves Darchicourt
Qu'on arrête de bourrer le mou du citoyen ! Même si c'est prêcher dans le désert, il est quand même temps de remettre les pendules à l'heure, tant sur le déroulement de l'affaire et l'enquête que sur sa récupération politico-médiatique.
Un méchant hasard fait se rencontrer à la même vente de fringues un bcbg étudiant sciencepolitisé à l'ultra-gauche et un front bas du populaire au "look" insupportable pour un révolutionnaire salonard. Lequel a joué au roquet et provoqué l'autre ? Qui a présumé de ses muscles et déclenché la funeste bagarre ? On sait bien qu'un policier un temps soit peu professionnel et obeissant peut, outre sélectionner les témoins, faire dire tout et son contraire à ces mêmes témoins; dans cette affaire, le directeur d'enquête - celui qui "dirige" au sens propre donc ici qui "oriente" - est le Parquet de Paris, c'est à dire le ministre de l'intérieur...dont on connaît le sectarisme haineux envers ce qui, même de fort loin, évoque pour lui les adversaires du mondialisme et du politiquement correct. Nul doute que l'enquête sera rondement menée et accablante pour ceux que les médias ont eu consigne de désigner comme uniques responsables et coupables obligés, comme ce fut le cas à Lille lors de la rixe opposant "skins" et invertis aux abords d'un bar gay ou lors de la Manif'pour tous où les policiers infiltrés par Valls ont caillassés leurs collègues CRS ou Gardes Mobiles pour susciter les troubles et en faire accuser les jeunes nationalistes.
L'afaire est évidemment pain béni pour tous les politiciens du Système à l'unisson dans les cris d'orfraies poussés du Front de Gauche au Front Marino-poreux en passant par l'UMPS et le centre mou. Haro sur la droite nationale, radicale, identitaire et solidariste et ce même si elle n'a rien à voir dans le fait divers. Il est quand même stupéfiant de voir les gauchistes présentés comme des politiques responsables, respectueux de la république et de la démocratie, victimes de l'intolérance et du fâchisme. Ceux de ma génération qui sont comme moi passés par Occident, Ordre Nouveau, le Parti des Forces Nouvelles et le Front National d'avant sa déliquescence marinienne pourront en témoigner : durant des années, il ne fut quasiment jamais possible de distribuer des tracts, de coller des affiches, de tenir une permanence ou d'organiser une réunion publique sans devoir faire face aux agressions les plus violentes des groupes gauchistes et de leurs supplétifs exotiques. C'est encore le cas aujourd'hui quand ils sont ragaillardis par le sniff et suffisamment supérieurs en nombre; sans compter - o tempora o mores - qu'ils n'hésitent plus à aller pleurer au commissariat le plus proche quand ils se prennent une raclée vite et favorablement médiatisée.
Car les admirateurs de Lénine, de Trotsky, de Staline, de Mao, de Pol Pot et de Castro - c'est à dire des plus grands criminels politiques de l'Histoire - bénéficient de la complaisance des institutions du Système et de la sympathie à peine voilée de la médiacratie, il est vrai amplement fournie en petits bourges de Sciences Po.
Et cela durera tant que ne sera pas donné le grand coup de balai salvateur, peut-être dans les urnes, plus certainement dans la rue.
Rassemblement - Résistance - Reconquête !
19:44 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lille, jeudi soir : l'Espace Tribann attaqué par une bande de nervis
Jeudi soir, à l'issue d'une manifestation gauchiste à Lille, une bande de nervis a tenté de saccager l'Espace Tribann, magasin annimé par notre ami Luc Pécharman (cliquez ici). Un policier a été blessé et les dégats sont importants. Nous reviendrons très bientôt sur cette lâche agression.
Tribann : cliquez là
12:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Valls, Ayrault : des ministres « pousse au crime »?
Réseau Identités cliquez là
Un militant « antifa », c’est-à-dire une personne croyant fanatiquement se trouver dans une société des années 1930, est mort mercredi soir 5 juin. Mort suite à une bagarre qui a mal tourné avec ce qu’il considérait comme étant la bête immonde, l’ennemi à abattre, le facho, le zina, le raciste.
Une énième provocation « antifasciste », afin de tenter, y compris dans une simple vente de vêtements, « de barrer la route à l’extrême droite et à la bête immonde dont le ventre est toujours fécond », a tourné au drame en cette fin de printemps.
La mort d’un provocateur reste la mort; à ce titre et à celui là seul, lorsqu’il elle est sincère l’émotion de la famille et des proches est profondément respectable et ne peut qu’être partagée.
Mais nul projet d’assassinat en vue, pas de lynchage prémédité, pas de complot, simplement des jeunes gens amoureux de leur pays et agacés d’être persécutés, vilipendés, dénoncés, stigmatisés, licenciés, agressés pour des idées supposées qu’ils n’ont pas connu du haut de leurs vingt printemps, ni diffusées. Des jeunes gens qui n’ont fait que se défendre face à des agresseurs fanatisés qui cherchaient à en découdre, pour un look, pour des idées non partagées !
Des jeunes patriotes, comme il en existe heureusement de plus en plus en Europe.
Un coup de poing est parti, un jeune « antifa » est tombé, il est mort. C’est terrible.
Mais auparavant, combien de patriotes, jeunes et moins jeunes ont, depuis des années, dans de nombreuses villes de France, pris ces coups de poings, de pieds, de matraque, simplement parce qu’ils ne respectaient pas le « code de conduite antifasciste » ?
Combien de plaintes déposées dans les commissariats d’État sans aucune suite judiciaire ? Combien de censures journalistiques sur ces faits hebdomadaires ? Combien de Cléments parmi les patriotes ? A t on vu l’assemblée nationale respecter un moment de silence lorsque Yann Laurence a été assassiné, voilà quelques années déjà, par les amis de l’action antifasciste Paris Banlieue ? A on seulement vu des jugements, des condamnations ? La réponse est bien évidemment non.
Le « chasseur de skin » s’est retrouvé, en ce mercredi, non pas chassé, mais freiné de façon définitive dans son énième tentative d’agression, systématiquement impunie.
Mais au-delà de ce cas, ce fait divers, ce décès lié à une simple bagarre comme il en arrive hebdomadairement en France sans que les médias ne s’en émeuvent, c’est le traitement politique et médiatique de l’affaire qui amène à réfléchir, à s’indigner comme dirait un défunt « chasseur ».
En l’espace d’une journée, les ministres les plus importants d’un des pays les plus puissants au monde se sont succédés en appelant à demi-mot à l’éradication des patriotes.
Ils ont ainsi répondu à l’appel immédiat, sans enquête, sans présomption d’innocence, des traditionnels chiens de garde de gauche et d’extrême gauche, ces individus qui, sous des allures et des postures de tolérance et d’humanisme, pourraient s’ils arrivaient au pouvoir, sans aucun problème éthique, rouvrir des camps de rééducation, voir même des goulags à la vue de certains drapeaux staliniens que l’on peut voir dans leurs manifestations du premier Mai.
Un premier ministre qui veut « réduire en miettes » ce qu’il appelle l’extrême droite, un ministre de l’intérieur qui emploie le mot dissolution et condamnation à la manière d’une kalachnikov, sans procès aucun, cela amène nécessairement à se poser des questions sur l’état démocratique ce de pays.
Malheureusement, les forces dites « d’opposition », par peur, mais aussi par fanatisme « républicain », ont également passé leur journée à hurler avec les loups, rétablissant ainsi un « cordon sanitaire » si déshonorant pour tout pays se voulant une réelle démocratie.
Il n’est plus question en ce jour de contrer les licenciements qui s’enchainent à tour de bras aux quatre coins de l’hexagone. Plus question non plus d’une augmentation de l’électricité histoire d’engraisser un peu plus le comité d’entreprise d’EDF. Encore moins question de contrôler les ventes d’armes aux islamistes combattant le régime syrien ou d’oeuvrer à la constitution en urgence d’un gouvernement économique et politique en Europe.
Non, en ce mois de juin, avec un pays qui connait un taux de chômage historique, toutes les forces doivent être concentrées sur sept jeunes patriotes interpellés ce jour, dans une enquête relevant du fait divers et qui est manifestement allée beaucoup plus vite et avec beaucoup moins de discrétion que lorsqu’ il s’agit de démanteler les trafics de drogue dans les cités, les violences ayant entrainé la mort dans les fêtes de village, ou encore les viols motivés pour des raisons religieuses.
Jean Marc Ayrault, Manuel Valls et leurs sbires (faut-il réellement parler de l’inconsistant, de l’inexistant François Hollande ?), leurs associations subventionnées, leurs collectifs intouchables, ont trouvé en une journée comment effacer un bilan calamiteux : il faut faire la peau de l’extrême droite, c’est à dire en réalité de tout ce qui s’oppose réellement au système en place.
Il faut mettre en prison, dissoudre, condamner, hurler avec les loups…et pourquoi pas tuer, assassiner ? Car Messieurs Valls, messieurs Ayrault, vos propos militants ne sont pas dignes de représentants d’un état de droit.
Nous avions déjà bien compris après votre bras d’honneur adressé au million de manifestants dans la rue pour défendre la famille, après les arrestations et les réprimandes à répétition en marge de ces manifestations, que vous n’aviez que faire de cette partie du peuple qui ne partage pas vos idées.
Mais en tenant les propos indignes que vous avez tenu en ce jour, en laissant vos amis politiques exciter les chiens prêts à en découdre, vous venez ni plus ni moins de créer un nouveau permis : celui de tuer du « facho », c’est à dire en réalité de tuer celui qui ne pense pas comme vous.
Après les arrestations, après les lynchages, après les licenciements, après les agressions pour motifs idéologiques, vous venez, avec l’appui des vos amis socialistes, umpistes, mais aussi de vos amis les médias, de planter les graines d’un climat détestable, un climat où tout patriote pourrait rapidement devenir une cible, une cible que tout un chacun sera excusé d’avoir touché.
Après la présomption d’innocence, après la liberté d’opinion, après la démocratie, c’est aujourd’hui le droit d’exister en tant que patriote que vous tentez de tuer aujourd’hui en France.
Alors, messieurs Valls, Ayrault et Désir, si vous aviez au moins le courage de vos idées et que vous arrêtiez de vous cacher derrière les mots « tolérance » et « république » : à quand un permis de tuer du patriote en France ?
10:23 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
10:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès de Clément Méric : une insupportable hystérie politico-médiatique
Secrétaire général du
Parti de la France cliquez ici
Depuis jeudi, on assiste au plus indécent et insupportable déchaînement médiatique depuis bien longtemps contre l'extrême-droite fantasmée, rappelant le parfum d'hystérie collective de l'entre-deux tours des élections présidentielles de 2002.
Politiciens du Système (du Front de Gauche au Front mariniste) et médias aux ordres participent à un lynchage absolument insupportable alors qu'il apparaît de plus en plus clairement, d'après des témoignages concordants, que Clément Méric, accompagné d'autres militants d'extrême-gauche, a sciemment provoqué et agressé un petit groupe de jeunes nationalistes venus faire des achats de vêtements. Ceux-ci n'ont fait que se défendre contre leurs agresseurs et le jeune « antifasciste » a fait une chute malheureuse qui lui a été fatale.
Naturellement, toute la classe politique, au comble de l'excitation et l'écume aux lèvres, réclame l'interdiction de groupes nationalistes, fait des amalgames avec les manifestations contre le mariage gay. Bref le Système tente, en exploitant un fait divers et en travestissant la réalité des faits, de régler ses comptes avec cette vague de protestation populaire qui a pris une ampleur considérable ces derniers mois et qui échappe à son emprise.
Clément Méric est mort de son idéologie dite « antifasciste », de son engagement violent et haineux contre des opposants politiques, de cette extrême-gauche qui l'a embrigadé et poussé à l'affrontement plutôt qu'au débat d'idées.
A titre de comparaison, en début de semaine, François Noguier, jeune étudiant français sans histoire, décédait quasiment dans les mêmes conditions : une lourde chute après un coup de poing asséné par un Nord-Africain alcoolisé. Outre une indifférence médiatique habituelle lorsqu'il s'agit du meurtre d'un Français par un allogène, on notera également qu'aucune grande conscience ne s'est élevée pour demander l'arrêt de la colonisation migratoire de notre pays...
Si je dois avoir de la compassion ce sera d'abord à l'égard de ce jeune étudiant mais également à l'égard des jeunes nationalistes incarcérés et livrés à une vindicte politique, médiatique, policière, judiciaire et populaire absolument écoeurante et inique.
09:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serge Ayoub remet les choses à leur place...
02:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 06 juin 2013
Une fois de plus, les partis du Système racontent n'importe quoi...
Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :
Depuis ce matin, toutes les forces du Système se déchaînent. Une fois de plus les sectaires de la gauche socialo-communiste et les imbéciles de la droite molle ont réagi à l’unisson sans même savoir ce qu'il s’est vraiment passé. Ils jettent à la vindicte des coupables présumés, ils dénoncent sans preuve des organisations et ils racontent à peu près n’importe quoi sans même vérifier la réalité des faits. Pour eux un nationaliste est forcément un agresseur et un gauchiste forcément un agressé.
Or, avec quelques heures de recul, il semble que la vérité soit tout autre que celle véhiculée par les tenants de la pensée unique. En fait d’ « agression commanditée » et d’ « assassinat prémédité », comme on a pu l’entendre abondemment sur certains médias, il semble que cette malheureuse affaire se résume à une banale altercation provoquée par des insultes prodiguées par un groupe de militants d’extrême gauche envers des jeunes gens dont l’allure ne leur plaisait guère et qui faisaient des achats dans une vente privée.
Autre élément allant à l’encontre de la première version des faits : le premier coup de poing aurait été asséné par l’un des gauchistes selon les témoins présents. L’état regrettable dans lequel se retrouve le militant d’extrême gauche relève plus de sa malencontreuse chute accidentelle que de la violence des faits.
Les Mélenchon, Valls, Kosciusko-Morizet et autres politicards en mal de sensations feraient mieux de remuer sept fois leurs langues dans leurs bouches avant de se répandre en calomnies et exiger des lois liberticides à l’encontre des mouvements nationalistes.
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Affaire Caumartin : les langues se délient...
18:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |