jeudi, 12 septembre 2024
Deux rendez-vous avec Michel Festivi
Pour commander ce livre cliquez ici
20:38 Publié dans Michel Festivi, Sortir en ville... ou à la campagne, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À mort la bébête à béret pourtant déjà morte !
La chronique de Philippe Randa
Ah ! la sale bête d’abbé Pierre !
D’autant plus sale et bête qu’il fut tant admiré, tant soutenu, et, diront certains mauvais esprits, d’autant plus qu’il leur a bien rapporté de son vivant : aux politiciens, saltimbanques et people une notoriété certaine et à moindre frais ; aux cadres du mouvement Emmaüs et de la Fondation Abbé-Pierre des emplois gardés et des notes de frais : la misère, c’est comme l’amour, on ne compte pas davantage ce qu’on reçoit que ce qu’on donne.
Mais autres temps, autres mœurs, l’époque est aujourd’hui au dézinguage tous azimuts des statues, surtout, semble-t-il, celles qui furent peut-être trop adulées.
L’indignation est désormais obligatoire ; même les bobos et l’extrême gauche sont brusquement bien silencieux envers cet abbé qu’ils avaient porté aux nues, même lorsqu’il avait déjà déclenché quelques suspicions au siècle dernier pour son soutien au philosophe communiste Roger Garaudy. Celui-ci était alors dans la tourmente médiatique pour des remarques historiques jugées scandaleuses sur la relativité des génocides. Le quotidien Libération n’avait-il pas titré le 22 avril 1996 : « Le dérapage incontrôlé de l’abbé Pierre. Son soutien au négationnisme de son ami Garaudy provoque la stupeur » ?
Le faux pas fut vite oublié, ce qui lui permit d’avoir bien du beau monde à ses funérailles comme l’a relaté Le Monde, autre quotidien de la bien-pensance (forcément lui aussi en 2024 dans la curée contre la Bête immonde) : « Le président Jacques Chirac était assis à quelques mètres, dans un fauteuil. (…) Suivaient les rangs du gouvernement, presque au complet, avec notamment le premier ministre, Dominique de Villepin, Michèle Alliot-Marie, Jean-Louis Borloo et Nicolas Sarkozy, qui a essuyé des sifflets sur le parvis de la cathédrale. Ont également assisté à l’office l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, le président du conseil régional d’Île-de-France, Jean-Paul Huchon, le président de l’Assemblée nationale, Jean-Louis Debré. Venaient ensuite des rangs réservés aux personnalités des arts et du spectacle – on y distinguait Robert Hossein, Laeticia Hallyday, Jean Reno, Lambert Wilson, Marek Halter,… »
C’est que tous ceux-là ne « savaient pas ». Bien sûr. Bien entendu. Il considérait alors Henri Grouès, de son vrai patronyme, comme bien sous tout rapport… certes, de leur point de vue en tout cas, mais sauf sous les jupes des filles comme on nous l’a donc appris !
C’est que le donneur de leçon qu’il fut sa vie durant aurait pu inspirer Marcel Gotlib pour son célèbre personnage de bande dessinée Pervers pépère : un « honorable vieillard » très excessivement porté sur la bagatelle…
Très excessivement ? Voire, car il semble que les turpitudes de l’infâme ne se soit finalement limitées, en de-ça et au-delà de l’Atlantique, qu’à quelques tripatouillages, certes récurents, entre « Pouet pouet camions » au-dessus du nombril et « main au panier » au-dessous des reins, mais les dames auraient peu apprécié de telles manières, ce qu’on peut comprendre.
Des goujateries, donc, soigneusement gardées sous silence des décennies durant, mais pour lesquelles les intéressées demandent brusquement aujourd’hui répérations. Morales éventuellement, mais surtout sonnantes et trébuchantes autant que faire se peut, devine-t-on… et comme il est impossible de juger la bête après sa mort – comme c’est ballot – c’est donc ses collaborateurs et « tous ceux qui savaient » qui se retrouvent aujourd’hui dans le collimateur des inquisiteurs du Nouvel Ordre moral et peut-être bientôt dans celui d’une Justice sommée de se soumettre à leurs jugements, fussent-ils rétroactifs.
« Tous ceux qui savaient… », fort bien… mais les premières qui ont sû, ne sont-elles pas justement toutes celles qui, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, n’ont pas jugé opportun alors de calotter le malapris, ce qui lui aurait peut-être passé l’envie de recommencer et de faire d’autres « victimes » ? En déclenchant alors le scandale, son entourage aurait-il pu faire autrement que d’intervenir et, si nécessaire, l’obliger à se faire, pourquoi pas ! soigner, tel le premier excité de la braguette venu ?
N’ont-elles pas leur part, toute leur part et la plus grande part finalement de responsabilité dans les multiples dérapages de la Bébête à béret ?
D’ici à ce que de telles « victimes », ayant tant tardées à vouloir laver leur honneur, finissent par s’entre-dénoncer et s’entre-judiciariser, il n’y a qu’un pas… ou un ricanement, comme celui que pépère doit avoir, là où ses mains baladeuses reposent… ou ne se reposent peut-être toujours pas, qui sait !
Lire EuroLibertés cliquez ici
18:03 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'enjeu américain
Guillaume Debré, fils de Jean-Louis, journaliste, a longtemps été correspondant de TF1 aux Etats-Unis. Il est aujourd’hui directeur général de la chaîne LCI. C’est un fin connaisseur d’un pays dont les Européens ont tout lieu de se méfier. Mais l’Amérique a beaucoup changé, sociologiquement et surtout idéologiquement. Guillaume Debré a d’autant plus observé la société américaine d’aujourd’hui qu’il est marié avec l’une de ses filles. Ses beaux-parents sont des Républicains purs et durs. Dans cet entretien au Figaro, il dresse le portrait de ce qu’est aujourd’hui la société américaine sur fond de guerre fratricide entre Républicains et Démocrates. Raison pour laquelle cette future élection présidentielle nous interpelle. On n’ira pas se plaindre du déclin américain.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 12/9/2024
12:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 11 septembre 2024
LE NOUVEAU LIVRE DE BERNARD GERMAIN, "DÉMASQUER LA GAUCHE, CETTE IMPOSTURE PERMANENTE", EST PARU
Bernard Germain a dédicacé ce mercredi après-midi les premiers exemplaires de son livre.
Un entretien avec Bernard Germain, publié dans le n°67 cliquez ici de la revue Synthèse nationale :
Bernard Germain, déjà auteur de plusieurs livres édités par Synthèse nationale cliquez ici dont le dernier en date, L’Union européenne, en sortir au plus vite !, qui a rencontré un franc succès, publie à la rentrée un nouvel ouvrage consacré à la gauche et à ses turpitudes. Notre Ami sait de quoi il parle puisque, dans sa jeunesse, il a lui-même milité « à gauche de la gauche »… Nous lui avons posé quelques questions.
En cette rentrée 2024, votre nouveau livre « Démasquer la gauche… cette imposture permanente » va sortir. Pourquoi ce livre ?
L’actualité depuis les élections présidentielle et législatives de 2022 a été particulièrement riche en évènements qui ont placé la gauche à maintes occasions sur le devant de la scène. Ainsi, l’instauration de la NUPES, la réforme des retraites, les affrontements ultra violents à Sainte-Soline, les émeutes des banlieues, le massacre du 7 octobre en Israël, le déferlement d’antisémitisme en France, la crise agricole, le développement incroyable de l’insécurité, l’invasion migratoire totalement incontrôlée, l’élection européenne, la dissolution de l’Assemblée nationale et les élections législatives à la suite avec apparition du Nouveau Front populaire (NFP)… etc.
Sur tous ces sujets la gauche a défendu et défend des positions pour le moins étonnantes et souvent très préoccupantes, voire inquiétantes. Il m’a donc semblé intéressant d’étudier ces positions et d’essayer de comprendre le fil conducteur de ces opinions au travers de tous ces évènements.
Vous vous dites inquiet des positions défendues par la gauche. Mais n’étiez-vous pas de gauche vous-même ? Qu’est-ce qui vous inquiète aujourd’hui ?
Effectivement, lorsque j’ai commencé très jeune à faire de la politique je me suis orienté à gauche. Comme tant d’autres jeunes, je voulais un monde meilleur, plus juste… etc. J’étais plein de bonnes intentions et surtout d’illusions. Reste que tout le monde peut faire des erreurs, j’en suis un exemple vivant. Mais j’ai vite compris que ce choix n’était pas le bon notamment en constatant dès le début la contradiction flagrante entre le discours et les pratiques à gauche en termes de démocratie et modes de fonctionnement des structures politiques. J’ai donc rapidement quitter la gauche… sans regret.
Ce qui m’inquiète ce sont les positions de la gauche actuelle. Par exemple elle ne redoute pas d’afficher un antisémitisme décomplexé, tout comme elle réclame sans aucune gène de pouvoir bâillonner toute opinion qui n’est pas la sienne, elle insulte en permanence ses opposants en les traitant de fascistes et recourt régulièrement et sans état d’âme à la violence. Tout cela m’apparaît dangereux et surtout ne correspond pas à l’image que l’opinion publique se fait de la gauche, qui est souvent vue comme un regroupement de gens généreux, pour la justice sociale, défendant la démocratie. Ce qui est en totale contradiction avec ce que nous voyons quotidiennement. Cela mérite donc d’être dénoncé.
Dans votre livre, en plus de tous ces problèmes d’actualités, vous avez accordé plusieurs chapitres à de nombreux thèmes qui sont d’ailleurs l’objet de polémiques entre la droite et la gauche. Pourquoi et quelle en est l’importance ? Pourquoi parler d’imposture ?
Il m’a effectivement semblé indispensable de revenir sur de nombreux thèmes, afin de rétablir les faits et donc la vérité. En effet, si nous prenons le thème de la colonisation la plupart des gens pensent que c’est la droite qui l’a voulue. Or c’est la gauche et pour des raisons qui aujourd’hui feraient dresser les cheveux sur la tête. À l’époque la gauche justifiait la colonisation dans les termes que Jules Ferry donne dans un discours le 28 juillet 1885, « Il faut dire ouvertement qu’en effet, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures ; mais parce qu’il y a aussi un devoir. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. ».
Donc la France qui a connu les lumières et la révolution de 1789 avait un « devoir » de coloniser les pays qui n’ont pas eu cette chance afin de leur permettre de s’élever à notre niveau.
Incroyable, n’est pas ? Et pourtant cette position a été celle de la gauche pendant des dizaines d’années.
Il en va de même du prétendu pillage des pays colonisés que la France aurait commis et qui justifieraient de nos jours repentance et dette vis à vis de ces pays. Or c’est exactement l’inverse. La France a dépensé des fortunes pour ses colonies, qui n’ont duré qu’une soixantaine d’années au total (excepté l’Algérie). La vérité c’est que la France serait plutôt en droit de présenter la note à tous ces pays.
Donc lassé d’entendre tous ces mensonges sur nombre de sujets et de constater que la gauche ré-écrit constamment l’histoire en s’y donnant chaque fois le beau rôle même si en réalité elle a fait l’inverse de ce qu’elle prétend, j’ai repris ces grands sujets et j’apporte les éléments qui montrent l’ampleur des mensonges que la gauche véhicule.
L’ensemble de ces éléments me permet d’affirmer que l’idéologie de gauche est une incroyable imposture.
La gauche d’aujourd’hui a-telle quelque chose à voir avec la gauche des origines ?
C’est l’autre grand thème que je traite dans mon livre. La gauche est apparue dans la seconde moitié du XIXe siècle en relation avec la révolution industrielle et la création du prolétariat. À l’époque et pendant des décennies sa grille de lecture de la société et de ses problèmes a été la « lutte des classes ».
Durant cette période et jusqu’en 1970-1980 nous avons connu une gauche « à l’ancienne » avec la création de la sociale démocratie et du communisme.
La première grande modification va intervenir en 1981 avec l’arrivée de Mitterrand au pouvoir, plus exactement 1982 et sa conversion au libéralisme. À ce moment le PS va réaliser son « Bad Godesberg » et totalement changer de nature. Ce sera encore la gauche mais sans rapport avec la gauche « à l’ancienne ». Cette évolution se doublera de son implication dans la construction d’une Europe supranationale en particulier avec l’action de Jacques Delors, socialiste français lui-même.
La dernière mutation se fera à partir de 2011 avec le rapport Terra Nova qui prône l’abandon du socle électoral historique des couches populaires qui ont migré vers le FN devenu RN et son remplacement par un nouveau socle électoral constitué des jeunes, des femmes, des immigrés et des minorités notamment sexuelles.
Cette évolution se fait en parallèle du développement du wokisme en France, spécialement dans toutes les structures pouvant être estampillées de gauche.
Aujourd’hui la « lutte des classes » a été remplacée par la « lutte des races ». L’ennemi n’est plus le patron ou le bourgeois, mais le blanc.
La gauche s’appelle toujours ainsi, mais n’a plus rien à voir avec la gauche « à l’ancienne ».
À qui est destiné ce livre ?
Il est destiné d’une part aux gens de gauche qui ne veulent plus vivre dans cette prison idéologique où ils sont enfermés et dans laquelle il faut croire sans jamais réfléchir ni chercher à vérifier si ce qu’on vous dit est vrai ou pas. Ces personnes de gauche qui auront le courage de lire ce livre vont tomber sur quelques éléments qui ne les laisseront pas intacts et feront obligatoirement vaciller nombre de leurs certitudes.
D’autre part, ce livre s’adresse à tous les gens qui veulent se battre pour sauver notre pays, son peuple, sa culture et son identité. Ces personnes n’ont pas forcément les arguments lors de discussions face aux représentants de la gauche ou lors de réunions pour convaincre l’auditoire.
Ceux-là trouveront dans ce livre une foule d’arguments qui les aideront à mener leur combat.
Propos recueillis par Guirec Sèvres
Démasquer la gauche… cette imposture permanente, Bernard Germain, Synthèse nationale, 390 p., 25,00 € sortie août 2024.
Pour commander ce livre cliquez ici
23:50 Publié dans Bernard Germain, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution prochaine du nouveau numéro (n°67) de la revue Synthèse nationale
Sommaire N°67 • AUTOMNE 2024
P 2 : ÉDITORIAL Roland Hélie
P 6 : LA CHUTE DE LA MAISON MACRON Maurice Bernard
P 10 : ENCORE UN EFFORT CAMARADES Didier Lecerf
P 14 : 22, V’LÀ LE GRAND CIRQUE ANTIFASCISTE QUI REPASSE. Alexis Murbas
P 18 : LE CAS RAPHAËL ARNAULT. Maurice Bernard
P 22 : DÉNONCER LE PC « F » Rencontre avec Michel Festivi
P 27 : DÉMASQUER LA GAUCHE. Rencontre avec Bernard Germain
P 30 : OUVERTURE DES JO : BRANCHITUDE ET HUMANITUDE. Maurice Bernard
P 39 : AVORTEMENT : ACTE MÉDICAL OU GÉNOCIDE. Erwan Houardon
P 45 : LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA
P 49 : L’UNION EUROPÉENNE CONTRE L’EUROPE. Robert Neboit
P 53 : UN GLISSEMENT VERS LA GUERRE Jean-Claude Rolinat
P 67 : VERS L’EFFONDREMENT TOTAL Nicolas Zahar
P 80 : NOS AMIS LES LIVRES François Floc’h
P 86 : LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 94 : BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne
P 99 : LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM
P 104 : LA LIBRE CHRONIQUE. Charles-Henri d’Elloy
P 107 : LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayriges de Olmetta
P 113 : BULLETIN D’ABONNEMENT
Et bien d'autres rubriques...
Pour le commander cliquez ici
Pour vous abonner cliquez là
23:34 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un reportage sur la Fête du cochon du PdF dimanche dernier en Bretagne
Lire aussi cliquez là
23:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 19 septembre, à Nantes :
08:56 Publié dans Les entretiens avec Franck Abed, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 septembre 2024
Thierry DeCruzy présente la première émission de Musique & Dissidence sur Radio Courtoisie.
00:37 Publié dans CD, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 09 septembre 2024
Les Bretons (et quelques autres) se sont retrouvés nombreux à la Fête du cochon du PdF dimanche
La pluie n'a pas dissuadé les nationalistes et les identitaires de Bretagne de se retrouver nombreux dimanche à la traditionnelle Fête du cochon organisée par la Fédération du Parti de la France dirigée par Jean-Marie Lebraud.
Repas de (grande) qualité, nombreux stands parmi lesquels ceux de Synthèse nationale et de Francephi, présence d'auteurs, tels Philippe Randa, Bernard Germain ou le dessinateur Ignace qui dédicaçaient leurs ouvrages, délégation du Rassemblement vendéen conduite par son président, Eric Mauvoisin-Delavaud, beaucoup de jeunes étudiants rennais et brestois, une animation musicale entraînante faite par le chanteur Christophe BZH et, bien sûr, les interventions très attendues de Pierre Cassen (Riposte laïque), Roland Hélie (Synthèse nationale), Eric Mauvoisin-Delavaud et de Thomas Joly, président du PdF.
Une journée très sympathique qui prouve, s'il en était encore besoin, la combativité et l'esprit de camaraderie qui existe, au-delà des organisations et des sensibilités, au sein de la droite de conviction bretonne. Tous se quittèrent dans la soirée dans l'impatience de se retrouver encore plus nombreux l'an prochain...
S N
12:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Michel Barnier, hélas !
Le billet de Patrick Parment
Peut-on demander à une belette de se transformer en lion ? Que nenni a priori. C’est pourtant ce qui devrait se passer pour notre nouveau Premier ministre Michel Barnier. L’homme se veut gaulliste social – la bonne idée que fut la participation est un échec -, mais c’est surtout un centriste qui comme tout bon centriste ne veut froisser personne. Certes, face au Brexit anglais, il a joué les Jeanne d’Arc ! Mais il a préservé une institution qui est aujourd’hui un handicap pour les peuples et les nations européens. Cette Europe de l’uniformisation est un non-sens face à la diversité culturelle de notre continent. Mais, revenons à la France. On voit mal comment, malgré toute sa bonne volonté, Michel Barnier effacerait d’un trait trente ans et plus de pleutrerie politique, d’idéologie gauchisante et masochiste, d’interprétation irréelle du racisme, d’immigration incontrôlée et surtout de soumission à un islamisme conquérant qui gangrène nos institutions.
Pour redresser ce pays, il faudrait une grande ambition. Les Français ne demandent qu’à être convaincus. Mais rien dans la carrière carriériste de Michel Barnier ne laisse présager d’une ambition de renverser la table, de jouer les Bonaparte au pont d’Arcole. Michel Barnier appartient génétiquement à cette génération de politicards qui a mis délibérément les choses qui fâchent sous le tapis. Quand on pense que tous – sauf peut-être Balladur -, se sont inclinés devant cet imbécile de Chirac et son sicaire Alain Juppé en dit long sur leur capacité de réflexion et de courage. Loin de nous l’idée de flinguer d’emblée Michel Barnier, mais il est face à un champ de ruines, une classe politique idiote et imbécile où le frapadingue Mélenchon est en liberté, où la mère Le Pen n’a aucune idée, aucune vision de la France et de la société française. Quant à Bardella, il n’est passé par aucune de nos familles politiques qui arment nos jeunes au combat politique et culturel. Marine Le Pen s’est empressée de mettre à la poubelle tout l’héritage intellectuel de son père. Son parti, qui est un simple « gueuloir » n’offre aucune perspective autre que de fournir aux Français la possibilité de manifester leur rejet de cette classe politique. On imagine mal Madame Le Pen faire la synthèse des œuvres fort éclairantes de Christophe Guilluy, Jérôme Fourquet, Emmanuel Todd, Jean-Claude Michéa, Michel Onfray et consorts. Certes, il ne manquera jamais un énarque pour tenter de se faire une place au soleil. Mais tout cela ne fait pas une politique. Comme le notait fort justement le philosophe Alain de Benoist lors de l’une de ses contributions, ce qui manque à nos hommes politiques, c’est le courage. Ce que résumait Jean-Marie Le Pen d’un tonitruant : « On cherche un homme avec une paire de c… ». Si d’aventure, Michel Barnier parvenait à simplement limiter les dégâts, alors nous lui porterons crédit.
10:27 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cette société qui coupe l’envie de se dépasser
Allez camarades, un petit effort de réflexion avant la rentrée du chaos politique qui nous attend. Tout ce foutoir a une raison profonde : on a oublié toutes les valeurs qui ont fondé notre civilisation. Et notamment le dépassement de soi. Sans parler du courage, notamment en politique. Valeurs actuelles a interrogé durant tout le mois d’août différentes personnalités sur des sujets divers. En dernier lieu, le philosophe et essayiste Alain de Benoist, l’un des esprits les plus éclairés et des plus pertinents de ce qui reste de notre petit monde dit intellectuel. Notre mal être fondamental, nous dit-il, vient de l’idée même de ce que le monde dit moderne se fait de la personne humaine : un simple consommateur. .
Lire la suite ICI
Source : Valeurs actuelle, 22/8/2024
09:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 08 septembre 2024
L'UDT de Reconquête! comme si vous y étiez...
23:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
10:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 07 septembre 2024
Demain, dimanche 8 septembre, le dessinateur Ignace sera à la "Fête du cochon" du PdF Bretagne
11:05 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Forum du Parti de la France du 5 septembre avec Roland Hélie et Iannis Moriaud
11:04 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 06 septembre 2024
Un nouveau recueil des chroniques de Charles-Henri d'Elloy sur Radio Courtoisie : "Au bal des facétieux"
Les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien Charles-Henri d'Elloy. Depuis une quinzaine d'années, il nous régale dans chaque livraison de notre revue avec sa chronique grinçante et pertinente très appréciée de tous.
De plus, nous avons édité trois livres de notre ami :
• Petit abécédaire d'un Français incorrect... et quelques joyeuses impertinences, 2015, cliquez là
• Les enfants de Maastricht, 2017, cliquez ici
• Le procès de Jupiter, 2022, cliquez ici
Charles-Henri d'Elloy anime aussi une émission sur Radio Courtoisie. Il vient de publier un recueil de ses chroniques, intitulé "Au bal des facétieux" sur cette radio.
Voici la note de présentation de l'éditeur (Une autre voix) de ce recueil :
Découvrez « Au bal des facétieux », le nouveau recueil explosif de Charles-Henri d’Elloy !
Dans ces 81 chroniques audacieuses, l’auteur vous entraîne dans un tourbillon d’idées provocantes et de réflexions percutantes sur notre société. Avec l’esprit d’un Cyrano moderne, d’Elloy bouscule le politiquement correct et vous fait voir le monde sous un nouveau jour.
De la nostalgie touchante aux critiques cinglantes, en passant par des anecdotes savoureuses, chaque page vous interpelle et vous fait réfléchir. Certaines chroniques ont été acclamées, d’autres censurées, mais toutes portent la marque d’un esprit libre et incisif.
Préparez-vous à une lecture stimulante, drôle et parfois dérangeante. « Au bal des facétieux » vous invite à une danse endiablée au rythme des idées de Charles-Henri d’Elloy. Osez entrer dans la danse !
Pour le commander cliquez ici
19:30 Publié dans Charles-Henri d'Elloy, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La municipalité de La Roche-sur-Yon encourage la propagande immigrationiste
Réaction du Rassemblement vendéen :
19:04 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un bien inutile « Haro sur le Barnier ! »
Bernard Plouvier
Pour une fois, le Président Macron a surpris en prenant une sage décision. Il a écarté d’un revers de main une coalition « de gauche », disparate et sans majorité de gouvernement, car sans autre programme que les gesticulations de l’absurde Mélenchon et de ses pom-pom girls wokistes, genristes, immigrationnistes, hystériques… en un mot : passéistes.
Avec Barnier, on pourrait gouverner du Centre macronien au Mouvement national, pour mettre fin à l’insécurité meurtrière et aux trafics divers qui fleurent bon le banditisme immigré : trafics de stupéfiants, d’armes et de prostituées, assassinats et crimes gratuits au couteau ou à l’arme de poing.
Avec Barnier, on pourrait décider de modifier la Constitution en passant au scrutin proportionnel pour les élections législatives et municipales, comme cela se fait pour les européennes.
La preuve est faite que la multiplication presque indécente des partis et l’émiettement des votes rend la pays, sinon ingouvernable, du moins en proie à la fête des fous – variante politique de la fièvre du samedi soir, où brûlent les voitures et où l’on s’entretue dans ou près des boîtes de nuit.
Macron, qui a tout loupé – et dans les grandes largeurs -, pourrait finir en beauté grâce à un changement de régime électoral permettant à la volonté populaire de désigner réellement quel programme de gouvernement appliquer pour sortir du marasme économique : réindustrialiser le pays, assainir le néo-peuplement d’origine extra-européenne, faire respecter la Loi dans son intégralité, revigorer les campagnes et les petites villes laissées à l’abandon par des « services publics », davantage préoccupés de réparer les dégâts permanents induits par une jeunesse dévoyée et très inutilement importée d’autres continents.
À trois reprises, en juin-juillet de cette année, la Nation s’est exprimée, mais le total des voix n’a pas été pris en compte et le Parlement s’est enrichi de gens bizarres, élus par des grenouillages d’un autre temps. Les temps sont pourtant révolus de l’anarchie entretenue par le millier (Chambre + Sénat) de petits rois ambitieux, qui se comportent en roquets et en fofolles.
Si l’on veut sauver le système démocratique, il faut que chaque voix compte, que chaque citoyen puisse s’exprimer librement – sauf calomnie et pornographie, cela va sans dire. Mais il est consternant de constater que calomnies et pornographie se portent fort bien, alors que tout va mal dans le pays !
Un vieux « général de TSF », qui s’est surtout signalé par ses aptitudes à créer et entretenir la guerre civile, a osé dire un jour : « Moi ou le chaos ». Dans la situation réellement explosive de notre pays, il ne reste que deux éventualités :
• Ou bien, les politiciens comprennent qu’il est temps de respecter l’expression du vote populaire,
• Ou bien, l’on assiste à l’insurrection d’une Nation opprimée, envahie, salie et abandonnée par ses « élus » et ses « élites ».
11:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 septembre 2024
L'européiste Michel Barnier à Matignon
Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France
Après des consultations qui ne paraissaient plus avoir d'issue, Emmanuel Macron a enfin procédé à la nomination d'un nouveau Premier ministre en la personne de cette vieille ganache de Michel Barnier.
Ce technocrate européiste est un véritable alimentaire de la politique, n'ayant jamais travaillé de sa vie en dehors de ses mandats et de ses postes ministériels.
Archétype de la fausse droite qui a tout trahi et tout renié, ce fade septuagénaire est parfaitement compatible avec le macronisme.
Reste à savoir combien de temps son gouvernement va durer avant de se faire censurer par les parlementaires.
L'objectif que lui a assigné le président de la République est sûrement l'immobilisme le plus total. Toutefois, à ne vouloir fâcher personne, on finit souvent par fâcher tout le monde.
Souhaitons de tout cœur la chute rapide de ce régime à bout de souffle, incapable de répondre aux préoccupations des Français.
22:28 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce soir, jeudi 5 septembre, à 21 h, Roland Hélie invité au Forum du Parti de la France : TOUS SUR TELEGRAM !
17:51 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ALAIN ESCADA : "VOILÀ POURQUOI LUCIFER CONTRÔLE LA FRANCE"
Alain Escada analyse pourquoi les élites ne se cachent plus derrière ces symboles occultes et comment cela reflète une volonté délibérée de banaliser des idéologies contraires aux valeurs traditionnelles. Le débat couvre également le rôle des grandes organisations internationales, telles que le Forum économique mondial et les Jeux Olympiques, dans la diffusion de ces messages occultes, et pourquoi une partie de la population semble indifférente ou même complaisante face à ces manifestations.
Le live aborde également le manque de réaction des Français face à ces symboles, en explorant comment la manipulation médiatique et culturelle a contribué à une société apathique, insensible aux déviations morales et spirituelles. Alain Escada souligne l'importance de réveiller les consciences et de résister à cette influence qu'il perçoit comme une attaque contre les fondements de la civilisation occidentale.
Pour ceux qui cherchent des moyens concrets de lutter contre ce qu’Alain Escada décrit comme un système démoniaque, l’émission propose des pistes d’action et des réflexions sur la nécessité de réaffirmer les valeurs chrétiennes et de rejeter les symboles occultes dans la vie publique.
15:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Victoire pour la liberté d'expression : la cour d’appel de Rennes relaxe Breizh-Info face à Ouest France et son journaliste
Source cliquez ici
La liberté d’expression a triomphé ce mercredi 4 septembre 2024, avec l’arrêt de la cour d’appel de Rennes de relaxer Philippe Le Grand, directeur de Breizh-info, Yann Vallerie, rédacteur en chef du site, ainsi que Jean-Eudes Gannat, ancien directeur de l’Alvarium, des accusations de diffamation et d’injure raciale. Cet arrêt représente une avancée significative dans la reconnaissance du droit à la critique, même acerbe, dans un contexte de débat idéologique.
Une première condamnation annulée
Pour rappel, en première instance, suite à des propos tenus lors d’une interview sur Breizh-Info de Jean- Eudes Gannat, le tribunal correctionnel de Rennes avait condamné les trois prévenus à 2 500 euros d’amende chacun, assortie d’une obligation de verser 1 000 euros de dommages et intérêts à un journaliste de Ouest-France, ainsi qu’un euro symbolique à son employeur pour « injure raciale et diffamation ». Or Le tribunal, qui avait prononcé la relaxe des trois prévenus concernant le délit d’injure raciale dans ses motivations, ne pouvait donc évidemment pas entrer en condamnation pour ce chef d’accusation dans son dispositif. Une contradiction reconnue par la cour d’appel qui a annulé le jugement, mais évoqué l’affaire au fond.
La liberté d’expression au cœur du débat
Dans son arrêt, la cour d’appel, se fondant sur les dispositions de l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme, rappelle que la liberté d’expression doit être le principe et que les limites qui peuvent encadrer cette liberté doivent être nécessaires « dans une société démocratique ». Évoquant la ligne éditoriale identitaire du site Breizh-Info et l’engagement indiscutable à l’extrême gauche du journaliste de Ouest-France, la cour a estimé que les propos tenus dans l’interview relèvent du droit à la critique, s’inscrivant dans un débat idéologique entre deux visions politiques radicalement opposées.
La cour a estimé que les termes employés, bien que parfois « acerbes et moqueurs », ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression.
En particulier, la cour a souligné que la référence à Jean-Paul Sartre, que l’avocat du plaignant jugeait négative, n’était en réalité pas péjorative. Selon les juges, « ces mots laissent plutôt entendre que le journaliste chercherait à atteindre le niveau de cet écrivain-philosophe renommé et engagé, ce qui en soi est plutôt positif ». Une ironie certes mordante, mais non injurieuse.
De même, les termes « plumitif guadeloupéen », bien que péjoratifs, ont été replacés dans le contexte d’un débat public et idéologique. Pour les magistrats, ces mots, employés dans un cadre polémique, ne constituent pas une injure raciste, mais relèvent de la satire politique, un genre littéraire historiquement protégé par la liberté d’expression en France.
Une victoire pour le débat d’idées
La cour d’appel de Rennes a donc estimé que les propos tenus dans cette interview, dans le cadre d’un débat d’idées entre opposants politiques, ne tombaient pas sous le coup de la loi. En reconnaissant que le journaliste d’Ouest France « est un sympathisant voire un militant de gauche » et qu’il a lui-même participé à ce débat avec un ton incisif et ironique, les juges ont souligné que la critique formulée par Jean-Eudes Gannat ne pouvait être dissociée de cette confrontation idéologique.
Cette décision est un signal fort en faveur de la liberté d’expression, notamment dans un contexte où la parole critique est de plus en plus surveillée et sanctionnée. Les juges ont rappelé que, dans une démocratie, les débats idéologiques doivent pouvoir se dérouler sans crainte de poursuites systématiques pour diffamation ou injure, tant que les limites légales ne sont pas dépassées.
Une justice enfin rendue
Cette relaxe n’est pas seulement une victoire pour Breizh-Info mais pour la liberté de parole en général. Dans une époque où la censure, qu’elle soit directe ou déguisée, tend à restreindre les opinions divergentes, cette décision réaffirme le droit de critiquer, de débattre et de remettre en cause les dogmes dominants.
La liberté d’expression est un pilier fondamental de la démocratie. Elle permet de confronter les idées, d’éclairer les zones d’ombre, et d’éviter que la pensée unique ne s’impose. En relaxant le directeur, le journaliste de Breizh-Info et la personne interviewée, la cour d’appel de Rennes a envoyé un message fort : l’expression libre, même mordante, doit être protégée, surtout lorsqu’elle se situe dans le cadre d’un débat idéologique.
Cette affaire est un exemple de la manière dont certaines procédures judiciaires peuvent tenter d’entraver la parole critique sous prétexte d’injure ou de diffamation. Mais il est rassurant de voir que, parfois, la justice sait faire la part des choses et reconnaître que la liberté de débattre et de critiquer est plus précieuse que la protection d’une réputation.
Il est à espérer que cette décision dissuadera ceux qui tentent de museler la parole dissidente par des actions en justice infondées. La voie de la liberté d’expression semble désormais solidement tracée.
La Rédaction de Breizh-Info
12:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, nous explique pourquoi il sera dimanche prochain à la Fête du cochon du PdF Breton
12:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de "Réfléchir & Agir" est sorti
10:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 04 septembre 2024
Nazis par-ci, nazis par-là, nazis partout…
La chronique de Philippe Randa
Ce week-end, en Allemagne, le parti AFD a obtenu de larges victoires aux élections régionales (1er en Thuringe avec 32,8 % des voix, 2e en Saxe avec 30,6 % des suffrages, soit seulement 1,3 point de moins que la CDU à 31,9 %).
Ces victoires, l’immense majorité des médias les reconnaissent, bien obligés, mais assortissent leurs commentaires au mieux du constat laconique que « l’extrême droite progresse », au pire en s’horrifiant de ce qu’en Allemagne « l’AfD continue de gagner du terrain grâce au sulfureux Björn Höcke (…) personnage ouvertement néo-nazi », comme l’écrit une journaliste de RTL.
Vraiment néo-nazi ? Bien sûr, la preuve par sa condamnation « à deux reprises pour avoir utilisé l’expression nazie “Tout pour l’Allemagne” » (sic !).
Et pour les esprits lents ou distraits qui n’appréhenderaient pas vraiment la menace, cette journaliste enfonce le clou en interrogeant : « Le retour des néo-nazis au pouvoir ? »
Au moins ne pourra-t-on pas dire, grâce à de telles mises-en-garde, n’est-ce pas ! qu’on ne savait pas !
Pourtant, cela fait près de 80 ans maintenant que le IIIe Reich a mordu la poussière dans les décombres de Berlin et qu’il n’y a guère de jour où les crimes, atrocités, monstruosités, horreurs en tous genres ne sont pas rappelés, commentés, augmentés, multipliés, voire même supposés tant qu’à faire partout dans le monde autant que faire se peut et surtout, peut-on le constater, pour que certains se maintiennent au pouvoir coûte que coûte…
Des esprits chagrins pourraient ainsi faire remarquer qu’un peu partout en Europe ces dernières décennies, ces extrêmes droites tant honnies, ces « désignés nazis » si honnis, ne cessent néanmoins de convaincre de plus en plus d’électeurs.
Serait-ce parce qu’ils seraient vraiment si « nazis » que cela ou parce que le « nazisme » ne serait pas « cela » ou peut-être pas « que cela » ?
Ou pire encore : ces électeurs de l’AFD, pour ne parler que d’eux, n’ont-ils pas finis par considérer que tous les auto-proclamés anti-nazis sont finalement plus méprisables, sinon détestables que les nazis… ne serait-ce que par leurs évidents mensonges et leurs propagandes outrancières ?
Lire EuroLibertés cliquez ici
18:10 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 7 septembre, Claude Janvier dédicacera ses livres à la Librairie Vincent à Paris
12:00 Publié dans Claude Janvier, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Allemagne : la montée des populistes de l’AfD
La percée de l’AfD lors des élections régionales en Saxe et en Thuringe est révélatrice de la crise profonde qui couve en Allemagne, et du fossé qui se creuse entre l’est et l’ouest du pays, explique le politologue Patrick Moreau.
Lire la suite iCI
Source : Le Figaro 4/9/2024
11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 03 septembre 2024
Sortie très prochaine du nouveau livre de Bernard Germain : "Démasquer la gauche, cette imposture permanente"
En savoir plus, le commander cliquez ici
11:54 Publié dans Bernard Germain, La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ces camarades qui nous quittent...
La semaine dernière, quatre de nos camarades de combat nous ont quittés. Il s'agit de Dominique Vernhes (ancienne étudiante à Saint-Maur) et Christian Wirtz cliquez ici, qui avaient milité à Ordre nouveau dans les années 1970, de Jean-Claude Nadot cliquez là et de Jean Barone, décédé vendredi dernier chez lui dans les Yvelines, qui fut, lui aussi, de tous les combats depuis le Parti des forces nouvelles au début des années 1980.
Régulièrement (trop hélas), nous faisons part sur ce site, lorsque nous en sommes informés, des disparitions qui peinent les milieux nationalistes. Si la droite nationale est aujourd'hui aux portes du pouvoir, n'en déplaise à certains, c'est parce que, depuis des décennies, envers et contre tous, des mouvements et des militants ont maintenu la flamme allumée. C'est notre façon à nous de leur rendre hommage...
R H
En mémoire de Dominique Vernhes et de Christian Wirtz, en accord avec Jacques Mayadoux, coordinateur de l'ouvrage, nous vous proposons ici leurs deux contributions parues dans "Ordre nouveau raconté par ses militants" cliquez là
11:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Emmanuel Todd : «La Russie gagne la guerre et l’Europe implose»
11:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |