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vendredi, 22 janvier 2021

« 66 millions de procureurs » : quand Macron découvre la démocratie

Macron, Saclay, 66 millions de procureurs.jpeg

Une tribune d’Anne-Sophie Chazaud

Source Front populaire cliquez ici

Emmanuel Macron semble décidément brouillé avec la démocratie mais aussi avec le respect dû au peuple qu’il est supposé représenter (peut-être parce qu’il ne représente en réalité que les intérêts d’une petite partie…). Raillant les « Gaulois réfractaires », méprisant « ceux qui ne sont rien », morigénant ceux qui n’ont qu’à « traverser la rue » pour trouver du travail (encore faut-il qu’ils soient désormais munis de l’attestation idoine), fustigeant la « société du commentaire permanent » (ce qui s’appelle, habituellement, l’agora, le forum démocratique), le voici reparti comme en 14 dans une de ses coutumières crises de prurit antidémocratique, dénonçant désormais les « 66 millions de procureurs » dont serait constituée la population française.

Devant la bronca suscitée, certains élus LREM ont bien tenté de sortir les rames et de pagayer autant que possible afin de démontrer que cette phrase ne visait pas la population française mais l’opposition politique partisane (à quoi l’on aurait de toute façon dû répondre que l’opposition politique fait aussi partie d’une démocratie normale), il se trouve que, malencontreusement, ce chiffre de 66 millions correspond à celui (approximativement) du nombre de Français : quel manque de chance ! Et l’on se retrouve donc dans la situation inédite d’un président de la République invectivant le peuple tout entier, découvrant probablement avec un certain dépit que ledit peuple n’est pas constitué de sujets soumis ni de moutons mais de citoyens exerçant leur droit mais aussi leur devoir d’esprit critique. Découvrant également que, dans une démocratie, l’opinion publique existe et qu’elle s’exprime librement selon un principe de liberté d’expression inscrit dans la Constitution. On imagine l’effroi provoqué par une telle découverte !

Par ailleurs, quel meilleur moment pour s’en prendre aux Français qui osent émettre des doutes et des critiques sur la gestion de la crise sanitaire et notamment de la stratégie vaccinale (si l’on peut appeler cela une stratégie), que la date quasi anniversaire d’une année de souffrances, de privations, de faillites, de difficultés, de suicides, de désespoirs, d’incertitudes et, surtout, d’un courage exemplaire ! Alors que les rumeurs d’un nouveau reconfinement se font de plus en plus pressantes, qui va entraîner une grande partie de la population au fond du gouffre à la fois matériel et psychologique, le moment est en effet parfait pour expliquer aux citoyens que tout ce qu’ils ont à faire, c’est obéir à des instructions la plupart du temps ineptes, inefficaces, mais tout en se taisant docilement. On appréciera la finesse, l’intelligence et l’à propos de la mise en cause.

Au-delà de cette morgue habituelle qui semble incontrôlable en dépit de tous les actes de contrition a posteriori sur l’air de l’humilité et du « j’ai changé », il semble bien qu’Emmanuel Macron -et avec lui la majorité parlementaire- ait de réelles difficultés avec la notion même de démocratie, de contradiction, de critique.

On ne doute pas que gouverner par temps de pandémie soit un exercice malaisé. On ne doute pas qu’être sous le feu des critiques soit un exercice d’endurance narcissique parfois pénible et qu’il faut, pour cela, avoir le cuir particulièrement épais. Il est permis en revanche de penser que l’humilité plutôt que l’arrogance et la raideur d’un pouvoir autoritaire et imbu de lui-même, en somme narcissique à proportion de son ineptie de fait, seraient appréciés de la part des Français et compris comme un acte d’empathie, de compassion, aux sens étymologiques de ces deux termes, de « souffrir avec », en modestie. Reconnaître que l’on se trompe, parfois, au lieu de mentir, car on pardonne l’erreur, surtout dans une période si complexe et imprévisible, mais pas le mensonge non plus que le fait de prendre constamment les Français pour des imbéciles.

Après la comédie des masques, la comédie des tests, la comédie des vaccins, on peut en effet concevoir que les citoyens exercent leur esprit critique, et il ne suffit pas de geindre en permanence contre la judiciarisation de l’action publique pour s’auto-absoudre de toute faute. L’erreur n’est pas une faute. Le mensonge, la dissimulation, l’incurie en sont, et il est du devoir des citoyens tout comme du devoir de l’opposition parlementaire d’exercer un contrôle de l’action publique, n’en déplaise à l’antidémocratique extrême-centre.

Il faut dire que, du côté des institutions, la démocratie ne se porte pas mieux : extension hallucinante de l’état d’urgence permettant toutes les prises de décision exécutives en dehors des circuits normaux d’une démocratie saine, réduction du parlement à une simple chambre d’enregistrement, gouvernement par ordonnances, réduction des fonctions de conseil à un petit cercle d’experts d’un conseil scientifique quasi autotélique qui n’a été élu par personne et n’est investi d’aucune souveraineté populaire... : Ubu Roi revisité à l’ère post-moderne n’est guère rassurant.

La figure du procureur pour désigner l’exercice normal du contrôle citoyen de l’action publique semble par ailleurs assez mal choisie si l’on considère l’usage répressif qui a été fait de la justice à l’encontre même du peuple français lorsque celui-ci s’est exprimé au travers d’une opposition politique et sociale d’envergure lors de la crise des Gilets jaunes, laquelle a été traitée par le mépris, la haine et la répression (au besoin sanglante) : les procureurs, les vrais, ont alors été sommés par l’exécutif de poursuivre les opposants avec une sévérité revendiquée, aux fins de réprimer sans états d’âme l’une des formes collectives majeures de la liberté d’expression que constitue la manifestation publique.

Enfin, l’on serait tenté de faire observer que présider en s’érigeant soi-même comme le procureur accusateur de tout un peuple, celui-là même que l’on est censé représenter, n’est certainement pas la meilleure façon de renouer avec la confiance desdits citoyens.

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L’uniformisation comme modèle suprême

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Franck Buleux

L’exécutif nous impose des conditions de vie sanitaires de plus en plus drastiques : les libertés de se réunir, de circuler mais aussi les libertés d’opinion et d’expression ne sont plus garanties. Ainsi, il n’est plus possible de critiquer le régime politico-sanitaire (une « fake news » supposée vous interdit de toute présence sur les réseaux sociaux et vous montre du doigt à la manière d’un vulgaire Trump), voire de la mettre en cause (la question électorale ne fait même plus partie du débat, exit sine die les élections départementales et régionales prévues en mars prochain).

Le législatif n’a strictement aucun pouvoir dans la France de la Ve République, Constitution faite par et pour un seul homme en 1958 et modifiée par Chirac qui a mis en place, via un référendum, le quinquennat qui a, ainsi, réinitialisé la présidentialisation totale du régime. La crainte du retour à la IVe République a dû et su figer notre personnel politique… (si ce n’est que personne ne se souvient de cette période sauf pour en rappeler la fondation de l’Europe économique en 1957).

Et le judiciaire ? Le « troisième pouvoir » deviendrait le garde-fou des libertés individuelles face à l’hydre exécutif. Les juges, même ceux du très à gauche Syndicat de la magistrature (SM), deviendraient-ils les hérauts de nos libertés « de base » ? Un indice vient de se produire en matière de liberté d’arborer un autocollant marquant sa spécificité régionale sur sa plaque d’immatriculation automobile : en effet, si vous aviez pensé à coller un autocollant à la place du département actuel, c’est désormais interdit, a tranché récemment la Cour de cassation à la suite de la plainte des fabricants de plaques qui ont eu gain de cause. Ainsi, pour « circulation d’un véhicule à moteur avec une plaque d’immatriculation non conforme », l’amende est fixée à 135 euros, majorée jusqu’à 750 euros en cas de non-régularisation de la situation.

La Cour suprême en matière judiciaire nous interdit donc de mettre en valeur les léopards normands, la croix de saint Olaf, l’hermine bretonne, le cœur sacré vendéen, la croix occitane… Toutes ces représentations régionales dont les Français sont friands sur leurs plaques sont désormais interdites. Une simple disposition fiscale de plus ou un rejet de toute représentation identitaire ?

Interdits de sortir au-delà de 18 heures, ne plus pouvoir partager « un petit noir » ou « une mousse » au zinc, ne plus pouvoir arborer sa propre identité territoriale et ne parlons même pas de notre jeunesse estudiantine, obligée de se cantonner aux joies de l’écran (le distanciel vous dis-je…) plutôt que de partager, in vivo, soirées, cours et culture, notre vie sociale quotidienne est totalement réglementée.

Pour l’autocollant représentant une caractéristique régionale, le virus ne peut pas être mis en cause. Il ne servira donc pas, pour cette fois, de justificatif sanitaire. Le jacobinisme national, motivé par un autoritarisme politique au pouvoir depuis 2017, semble être la cause de cette nouvelle mesure. La France exprime donc son identité grâce aux plaques d’immatriculation normalisées des automobiles, véritables symboles de l’unité nationale, de l’égalité exprimée sous la forme d’un égalitarisme liberticide.

Il ne vous reste plus, avant 18 heures, qu’à retirer cette expression régionale que vous arboriez à l’avant et à l’arrière de votre véhicule. En France, beaucoup s’identifient en accrochant des « pendentifs de voiture » propres à telle ou telle communauté religieuse. Il paraît que ce type de décoration protège, non du Malin mais d’éventuelles détériorations matérielles du véhicule subies dans des quartiers dits sensibles (quartiers où le « petit Blanc » n’est assuré qu’en responsabilité civile, c’est-à-dire uniquement pour des dommages causés et non subis). Ce type d’identification du chauffeur du véhicule reste tout à fait légal, voire conseillé mais la représentation régionale sur une plaque ne l’est plus.

Ainsi, nos « trois pouvoirs » (je ne parlerai pas du « quatrième » représenté par les médias, soutien exacerbé et indéfectible du premier) rivalisent d’interdictions et de limitations de libertés individuelles.

Ce temps du renoncement porte-t-il en lui des germes de « résistance » ? On n’ose le croire tant la propagande (le fameux « quatrième pouvoir ») permet de diffuser aux « citoyens » la bienfaisance des normes adoptées par les élites.

Les élites, parlons-en. Je n’entends plus le politologue écrasant de supériorité Olivier Duhamel. Il est probablement parti en retraite, à 70 ans passés ? Non, il aurait commis des actes que la loi (et certaines morales, mais pas la sienne) réprouve. Il s’est démis (lui-même) de toutes ses fonctions. Il était « survolté » écrit Camille Kouchner, sa propre belle-fille, dans son livre « La familia grande ». Survolté à quoi ? À la défense des intérêts des Français ? Probablement…

L’observation de nos élites et la concentration des pouvoirs nous laissent à penser que le temps du renoncement ne peut pas être éternel et qu’un réveil national et populaire (pas seulement en France) ne peut être que la conséquence, in fine, de ce carcan politico-sanitaire encadré par l’expression médiatique. Deo gratias, comme on ne dit plus dans les cours de récréation. Acceptons-en l’augure.

Source EuroLibertés cliquez ici

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jeudi, 21 janvier 2021

L’ÉLECTION D’ARMIN LASCHET À LA TETE DE LA CDU, UNE FENÊTRE DE TIR POUR L’AFD ?

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Le bloc notes de Jean-Claude Rolinat

Les instances dirigeantes de la CDU, le parti démocrate-chrétien allemand, se sont réunies virtuellement, Covid oblige, le dimanche 17 janvier afin d’élire leur nouveau leader. En effet, Angéla Merkel doit s’effacer au terme d’une très longue mandature, poussée en avant il y a des lustres, par le chancelier  Helmut Kohl, le réunificateur de l’Allemagne. Des trois candidats en compétition, c’est Laschet qui avait les préférences de la chancelière.

Laschet un inconnu du public  européen

Au terme d’un débat entre trois concurrents, c’est lui que les militants ont choisi face à Friedrich Merz, nettement plus à droite, un homme d’affaire et ancien député  du parti. Au premier tour, ce dernier était arrivé en tête battant ses deux concurrents, dont notamment Norbert Rottgen, situé plus à gauche, lequel appela ses partisans à rallier Laschet. Au second tour, avec 52 % pour l’un et 48 % pour l’autre, l’affaire était pliée, Laschet, en devenant président de la CDU pouvait endosser le costume de prétendant à la succession de dame Merkel. Laschet, favorable à une immigration de main d’œuvre, le « continuateur » en quelque sorte !

L’outsider en embuscade

Mais en politique comme chacun le sait, rien n’est forcément linéaire, rien n’est simple, la surprise peut être là, au coin du bois, en l’occurrence en la personne du populaire Markus Sider, le chef du parti chrétien-social bavarois, la CSU. Dans un sondage récent diffusé sur la chaine d’état ZDF, avec 54 % d’intention favorable  parmi l’électorat conservateur pour être chancelier, il devance nettement son homologue de la CDU, Laschet. On sait que ces deux partis sont toujours, indissolublement unis dans toutes les coalitions, depuis la création en 1948 de la République fédérale, la RFA.

Quelles configurations politiques ?

Normalement, les prochaines élections législatives doivent avoir lieu à l’automne prochain, si le virus chinois  n’en décide pas autrement. Logiquement, l‘actuelle coalition CDU/CSU/SPD, le parti social-démocrate, pourrait être reconduite. Mais ce dernier acceptera-t-il d’être encore le troisième larron d’un attelage contre-nature ? Et les Verts, qui gouvernent déjà avec la CDU dans le land du  Bade-Wurtemberg, tenteront ils en fonction de leurs résultats récemment en hausse, un coup de force pour obliger les démocrates-chrétiens à s’allier avec eux, si d’aventure ils devançaient le SPD ?

Une chance pour l’AFD ?

Si l’orientation de centre-gauche du nouveau leader de la CDU l’emportait nettement sur la très droitière CSU, la nouvelle alliance, arrimée à une coalition des gauches, - verte ou socialiste -, dégagerait un espace à droite, car les plus conservateurs des électeurs de la CDU verraient d’un très mauvais œil leur parti pencher dangereusement à gauche. L’Alternative pour l’Allemagne, - pour faire simple le pendant  allemand du RN français ou de la Lega italienne -, aurait alors là une perspective favorable pour non seulement augmenter ses effectifs au Bundestag, le parlement fédéral de Berlin, mais pourrait mettre la pression sur la CDU/CSU et faire éclater, redisons-le, ce mauvais mariage avec les écologistes et les socialistes. Les premiers étant beaucoup plus à gauche que les seconds. D’ici là, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts de la Spree !

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Ignace invité d'Anne Brassié à TV Libertés

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La censure féroce des GAFA

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Arnaud Raffard de Brienne 

Les géants de la communication numérique tels Facebook, Twitter, WhatsApp, Youtube, Snapchat continuent de censurer à tour de bras et de fermer des centaines de milliers de comptes jusqu’à celui de Donald Trump lui-même, leur compatriote, président, au moins jusqu’à ce jour, de le première puissance économique mondiale. Au-delà de l’indignation, on peut néanmoins déplorer l’addiction de ce dernier pour les services Twitter, par exemple, dont il usait et abusait en n’ignorant rien pourtant de la sourde hostilité de ses dirigeants comme de l’ensemble de la petite coterie présidant aux destinées de Big tech. Le gouvernement américain a lancé, mais un peu tard, une enquête aux résultats courus d’avance sur ces entreprises technologiques mais n’eut-il pas été préférable d’impulser et de favoriser l’émergence de réseaux alternatifs durant ces quatre dernières années ?

La folle censure des GAFA

C’est l’électrochoc qui manquait, même si la folie excommunicatrice de ces réseaux sociaux aux mains d’un poignée de milliardaires cosmopolites de la côte ouest des États-Unis n’a rien de bien nouveau. Aux centaines de milliers d’internautes virés de ces réseaux s’ajoutent des centaines de milliers d’autres fermant leur compte pour rejoindre des entreprises plus tolérantes mais aussi plus respectueuses de la confidentialité et de la vie privée. Orfèvre en la matière, Edward Snowden, transfuge de la National Security Agency (NSA) réfugié en Russie, aura suffisamment mis en garde sur les accointances et même la mainmise des services de renseignement sur ces réseaux dits sociaux dont les données sont notoirement épiées, collectées et vendues a plus offrant. Nul ne peut plus l’ignorer.

La perte de confiance planétaire envers ces entreprises de services numériques américaines devrait inciter à migrer plus massivement encore vers des réseaux et messageries davantage sécurisés tels Signal, VK, Parler, Gab et des plateformes vidéo comme Rumble ou Odysée. Selon Snowden et quelques pointures de la sécurité informatique, Signal serait aujourd’hui la messagerie la plus sécurisée connue. Le réseau Parler, réputé pour son respect de la liberté de parole, avait commis l’erreur de confier son hébergement sur cloud à un Amazon, éminent membre des GAFA, dont le PDG, Jeff Bezos, l’homme le plus riche au monde a décidé le blocage.

La Pologne au secours de la liberté d’expression

Ironie de l’histoire, contrastant avec le lâche silence des dirigeants politiques européens, c’est de l’Est que provient la plus claire condamnation de cette révoltante censure. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a en effet rappelé la nécessaire liberté d’expression, évoquant fort opportunément que « Pendant près de 50 ans, nous avons vécu dans un pays où la censure était pratiquée, où Big Brother nous a dit comment nous étions censés vivre et ce que nous étions censés ressentir, et ce que nous n’avions pas le droit de penser, de dire ou d’écrire ».

Plus que jamais, il apparait nécessaire de fuir au plus vite ces officines privées de surveillance au service du Deep State pour rejoindre des services tels que Signal, VK, Gab… et des plateformes vidéo telles que Rumble et Odysée et quelques autres.

Source Présent cliquez ici

10:25 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un numéro hors-série du quotidien Présent consacré aux centenaire du PCF

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LE JOURNAL DE BORD DE JEAN-MARIE LE PEN DE CETTE SEMAINE

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mercredi, 20 janvier 2021

Thomas Joly apporte son soutien aux militants identitaires qui barrent la route aux migrants dans les Pyrénées.

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Un communiqué du Parti de la France :

Le Parti de la France soutient l'action des Identitaires qui, symboliquement, ont décidé de sécuriser la frontière franco-espagnole au col du Portillon pour empêcher le passage de migrants et notamment de terroristes de Daesh.

En cas d’intrusion, ils contacteront aussitôt les forces de police et de gendarmerie afin que les migrants clandestins soient interpellés et expulsés. Pour rappel, condamnés en première instance par le tribunal correctionnel de Gap pour une opération coup de poing dans les Hautes-Alpes en avril 2018, trois militants du mouvement avaient finalement été relaxés par la cour d’appel de Grenoble. Cette mobilisation avait eu lieu au col de l’Échelle, un point de passage de migrants dans les Hautes-Alpes, à la frontière italienne.

Source cliquez ici

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L'émission "Synthèse" sur TV Libertés d'aujourd'hui est reportée à mercredi prochain, 27 janvier

RL 2021 01 20 MICHEL VIAL.jpgInitialement programmée pour aujourd'hui 20 janvier, la diffusion sur TV Libertés de l'émission "Synthèse", avec comme invité l'essayiste Michel Vial, est reportée, en raison d'un problème technique, à mercredi prochain 27 janvier 2021. Nous sommes désolés pour ce contretemps bien indépendant de notre volonté.

Roland Hélie

Philippe Randa

10:30 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La défaite de Trump marque-t-elle la fin du populisme ?

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Le président américain sortant quitte la Maison-Blanche ce mercredi, mais le « populisme », dont il a été l’incarnation, reste un phénomène qui traverse la plupart des démocraties occidentales. Selon nombre d’intellectuels, les fractures sociales, culturelles et démocratiques qui l’alimentent sont, en effet, loin d’avoir disparu. Une réflexion judicieuse d’Alexandre Devecchio, éditorialiste au Figaro.

A lire ICI

02:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 19 janvier 2021

Effondrement de la natalité française. Seule une politique vitaliste nous sauvera.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
13 000 naissances en moins dans notre pays en 2020, soit une baisse de 1,8 % par rapport à 2019. A titre d'exemple, en 2014, il y eut 79 000 nouveaux nés de plus que dans les douze mois ecoulés. Et bien sûr, dans ces chiffres, il convient de comptabiliser les naissances allogènes.
 
Comment s'étonner de cet effondrement ? 
 
Confrontés aux crises sanitaires, économiques et sociales qui se renforcent les unes par les autres, menacés dans leur sécurité et leurs biens, conscients des nuages planétaires qui s'accumulent au dessus de leurs têtes, atteints dans leurs libertés, bouleversés dans leur mode de vie et leurs traditions à la fois par la déferlante migratoire et par la déconstruction systématique des piliers de force de la civilisation européenne que sont la famille, la morale, les valeurs, la fidélité aux origines et le respect de la vie, les Français ne croient plus en eux mêmes et voient l'avenir sous la forme d'un trou noir dévoreur de matière.
 
On chercherait en vain dans les politiques publiques — ce serait pourtant le minimum minimorum — la trace d'un début de commencement d'ébauche d'incitation nataliste: logements familiaux, salaire maternel pour les femmes qui veulent élever leurs enfants à plein temps, créations de crèches pour faire garder ceux dont les mères choisissent de travailler, préférence nationale... Mais, en réalité, le vrai sursaut ne peut être que global. Il passe par le réarmement moral de la France, la confiance réaffirmée et insufflée dans l'esprit de chacun en notre destin et le retour des principes civilisationnels sans lesquels toute entreprise vitaliste est vouée à l'échec.
 
Il passe donc par l'instauration d'un État national.

17:33 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ne pas capituler devant l'islamisme

6a00d8341c715453ef0278800e440a200d.jpgJean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Pendant toute l'année 2020, la fermeté de la politique française face à l'islamo-terrorisme a pu paraître satisfaisante. Même le projet, absurde au regard des Mahométans eux-mêmes, d'un conseil des imams, et de leur formation par l'État – qui se veut « laïc !» –, pouvait être jugé comme partant d'un bon sentiment. La défausse de la Grande Mosquée de Paris aura sans doute délégitimé à nouveau le vieux serpent de mer. L'alignement de la prédication coranique sinon avec les valeurs de la république, ce qui strictement ne veut rien dire, du moins avec les traditions françaises, ce projet maintes fois remanié par tous les ministres de l'Intérieur depuis plus de 20 ans retourne au néant de son utopie.

C''est surtout à l'extérieur, par la présence militaire en Afrique, par le déploiement des Rafales, par l'alliance avec l'Égypte et par la dénonciation du jeu trouble de la Turquie que l'on avait pu apprécier une sorte de volonté de résister à l'islamo-terrorisme. Ceci se traduisait alors aussi par dans l'action discrète mais inlassable et efficace des agents de nos services que par les propos du ministre de la Défense.

Oui dans ces conditions on pouvait espérer que la France renoue avec son rôle historique, avec sa mission, celle du "peuple inventeur de la Croisade" (Péguy). Et votre chroniqueur doit-il l'avouer ? Il se plaisait à rêver d'un tel redressement.

Le point faible cependant ne résidait, et ne se situe, ni dans les doctrines, ni dans les actions extérieures.

Il provenait comme toujours du mal rongeur qui détruit la solidité intérieure de ce pays.

Tant que l'on n'aura pas fait taire à l'intérieur les discours, les propagandes, les délires de la culpabilisation "décoloniale", ils viendront nous trahir. Ils prendront le relais de l'ennemi.

Ce n'est donc pas sans inquiétude que nous les avons vus réapparaître au grand jour en ce début d'année.

Le 8 décembre encore avait eu lieu un entretien téléphonique entre les deux ministres des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian et Mevlut Cavusoglu, « à la demande de ce dernier », précisait le Quai d’Orsay. À la suite de quoi la diplomatie française avait publié un communiqué glacial, rappelant les « exigences françaises et européennes de clarifications. »

Or, le 10 janvier M. Macron s’adresse en des termes surprenants à son homologue turc : « Değerli Tayyip, parlons-nous ! À votre disposition pour une visioconférence », écrit-il de sa main le président français, usant du mot turc Değerliqui signifie « cher ».

Deux jours plus tôt, le 8 janvier, le quotidien pro-business L'Opinion, souvent mieux inspiré, avait confié à son spécialiste des questions militaires, Jean-Dominique Merchet, le soin de dresser, en sombre, le bilan de l'intervention française au Mali, successivement depuis 2013, Serval, qui fut un succès, et maintenant Barkhane. Sa conclusion : il faut plier bagages.

En réalité, si la résistance à l'islamo-terrorisme ne se résume pas à la présence militaire, tout retrait est interprété par l'adversaire lui-même comme une capitulation.

Il faut donc se féliciter qu'au contraire, appliquant l'adage romain "si tu veux la paix, prépare la guerre", certains pays montent en gamme quant aux moyens de leur défense nationale et de notre défense commune de l'Europe.

Et il faut enfin saluer l'intervention très ferme de l'Archevêque d'Athènes : en cette année du Bicentenaire de la guerre d'Indépendance de 1821 contre l'oppresseur ottoman, il rappelle qu'il faut regarder l'islamisme non comme une religion mais comme une doctrine de conquête. On aimerait entendre un discours analogue dans la patrie de saint Louis.

NDLR SN : Jean-Gilles Malliarakis est l'invité de Martial Bild sur TV Libertés cliquez ici à propos de son dernier livre sur le communisme cliquez là

 

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lundi, 18 janvier 2021

La maison natale de Charles Mauras est en péril : les royalistes se mobilisent

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Lire La faute à Rousseau cliquez ici

AUJOURD'HUI, APRES PLUSIEURS ANNEES DE FERMETURE,  1.608e JOUR "D'ABANDON DE FAIT" DE LA BASTIDE MALGRE LE VOTE "POUDRE AUX YEUX" DU CONSEIL MUNICIPAL PROMETTANT DES TRAVAUX...

Jamais ouverte, aérée, ventilée; jamais chauffée depuis plusieurs hivers; exposée sans aucun entretien aux intempéries et à l'humidité, ici plus qu'ailleurs, dans cette ville "bâtie non pas au bord de l'eau mais dans l'eau" (Alexandre Dumas) : tel est l'état pitoyable dans lequel la très riche Mairie de Martigues laisse la très belle bastide de Maurras, au Chemin de Paradis, l'un des deux seuls édifices civils du XVIIe siècle que possède la Ville, et que celle-ci, par sectarisme haineux, laisse littéralement, pourrir sur pied..

La Maison est interdite à la visite depuis plusieurs années déjà (automne 2017), puis ce fut au tour du jardin lui-même d'être "interdit d'accès" de fait (automne 2018). Ce qui nous fait un total de trois longues années et demi d'abandon : environ 1275 jours  !

Le 27 novembre 2019 le quotidien La Provence annonçait que la Mairie venait de débloquer 850.000 euros pour la restauration de l'ensemble.

Depuis ? Rien... 

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En 1997, le maire communiste, Paul Lombard (maire de 1968 à 2008), a accepté la donation à la Ville de la Bastide de Maurras avec, comme seule règles, de pérenniser l’ensemble immobilier, jardin et bâtisse, et d'entretenir la bibliothèque.Après une courte période où la maison fut entretenue, elle fut fermée au public; le jardin, lui, est entretenu depuis "a minima" par la très riche Mairie de Martigues : tous les rosiers ont été arrachés ("trop difficiles à entretenir" nous fut-il dit !) et les inscriptions sur les stèles continuent de s'effacer...

Nous demandons :

1. Que la très riche Mairie de Martigues "communique" sur les travaux prévus, qu'elle donne une date de début de ces travaux, qu'elle indique précisément en quoi ils consisteront et quelle en sera la durée, au moins approximative...

2. Qu'elle donne une date, au moins approximative, de fin de ces travaux, à partir de laquelle on pourra, de nouveau, avoir accès à la Bastide...

3. Qu'elle redonne, en attendant, le libre accès au jardin, comme cela se passait avant l'incompréhensible et inexplicable fermeture de la totalité du site au public...

4. Que ce jardin soit "restitué" dans son état originel (replantation des rosiers et restauration de "l'ensemble architecturé", notamment avec la restauration des inscriptions gravées sur les pierres...) 

5. Que l'on entame la procédure d'inscription de la maison du Chemin de Paradis au Réseau des Maisons des Illustres.

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La sratégie de la peur

mouton_a_la_normale.jpgPierre Vial

Les gens qui sont provisoirement au pouvoir sont prêts à tout pour y rester. Pour cela, il faut transformer les Gaulois en un troupeau de veaux et de moutons apeurés, acceptant tout et n’importe quoi sous les effets d’une propagande incessante et insistante. La covid 19 tombe à pic pour faire passer des mesures de plus en plus liberticides : le conditionnement mental des braves gens est mis en œuvre par les valets du pouvoir, installés à tous les postes de désinformation et misant avec cynisme sur le fait que celles et ceux qu’ils intoxiquent jour après jour n’ont pas les moyens de résister longtemps, faute de moyens appropriés, au poison qui leur est inoculé. Ceux qui essayent de faire passer un message de vérité sont brisés en étant accusés d’être des fous dangereux (voyez le cas du professeur Raoult) ou – ce qui est la même chose dans l’esprit tordu des gens du Système - des fascistes invétérés et inguérissables. Aux braves gens qui souhaitent qu’on leur foute la paix, une solution, toute simple, est proposée : soumettez-vous. Faut-il rappeler une fois de plus que la signification du mot « Islam » est « soumission » ? La stratégie de la peur est le plus évident dénominateur commun des monothéismes. Je m’éloigne du Covid ? Pas tant que cela, si vous voulez bien prendre le temps de réfléchir…

Et pourtant il faut résister, par tous les moyens, à la stratégie de la peur. En se libérant du piège manichéen dans lequel les hommes du Système veulent nous enfermer. Dont le mécanisme est simple mais efficace, peut-être en raison, en partie, de sa simplicité. Il repose sur le fait qu’il y aurait deux types de personnes : les Bons (ceux qui servent ou simplement acceptent le Système) et les Méchants (ceux qui refusent, d’une façon ou d’une autre, le Système, en étant forcément guidés par des instincts pervers – ou fascistes, c’est la même chose…).

Comment se libérer du piège, faire tomber les murs de la prison dans laquelle on veut nous enfermer ? Tout simplement par le refus, total, absolu, inconditionnel du monde qu’on veut nous imposer. Ce que j’ai appelé récemment la Sécession. Il y a des signes qui ne trompent pas : le mouvement des gilets jaunes, hier, l’invasion du Capitole de Washington aujourd’hui montrent à ceux qui prétendent être les maîtres du monde qu’il leur faut compter avec le poids du réel. Les jours de leur règne sont comptés. Et, comme disait un certain Lénine, une étincelle peut mettre le feu à la plaine (son journal L’Iskra – c’est-à-dire « L’étincelle » - a publié de 1901 à 1903 les textes qui seront l’ossature de la fameuse brochure « Que faire », que tout révolutionnaire doit avoir lu et médité, comme le savait bien Dominique Venner)…

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Thomas Joly répond aux adhérents du Parti de la France

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dimanche, 17 janvier 2021

MERCREDI 20 JANVIER : MICHEL VIAL, AUTEUR DE "LA CHUTE DE L'EMPIRE OCCIDENTAL", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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23:29 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 30 janvier : le Parti de la France rendra hommage à Roger Holeindre décédé il y a un an

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Censure des réseaux sociaux : réaction de Franck Abed

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Le temps du renoncement

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Franck BULEUX

Avec un couvre-feu qui partage la journée en deux parties, la première étant consacrée au travail ou à l’oisiveté due à l’âge ou au statut social et la seconde, aux activités intérieures. Le confinement dure 12 heures, partout en France. Cela évite aux Marseillais de se considérer discriminés et on n’entend déjà plus leurs élus. C’est si simple, dans la France de 2021, d’éteindre une « révolte ».

Hier, sur les réseaux sociaux, j’ai vu huit (deux fois quatre) personnes courageuses refuser les contraintes sanitaires, à Caen, devant la préfecture normande. L’exécutif tremble. Du sud au nord de la France, chacun, consciencieusement, met son masque et rentre à son domicile avant 18h. La crainte de la maréchaussée mais aussi de froisser son voisin.

Cela n’a rien à voir, mais j’ai lu que les plaques d’immatriculation des véhicules automobiles ne pouvaient plus arborer des autocollants régionaux : le cœur sacré vendéen, les léopards normands, l’hermine bretonne… Ainsi, pour  « circulation d’un véhicule à moteur avec une plaque d’immatriculation non conforme », l’amende est fixée à 135 euros, majorée jusqu’à 750 euros en cas de non-régularisation de la situation. Concrètement, si vous avez apposé un autocollant sur le rectangle à droite de votre plaque d’immatriculation, il vous faut le décoller dès aujourd’hui, sous peine d’une amende. C’est la Cour de cassation qui ne veut plus que l’on dénature la plaque d’immatriculation. Si le judiciaire s’y met aussi, nos libertés risquent de s’amenuiser encore. Peut-être pour remplir les caisses ? Surtout pour déshumaniser un peu plus nos différences territoriales.

Heureux, les confinés chez eux, peut-être…

Je lisais le compte-rendu de jeunesse de Camille Kouchner, « La familia grande », paru au Seuil il y a quelques semaines et qui est à l’origine de la démission d’Olivier Duhamel, ancien député européen PS, de toutes ses fonctions (il a 70 ans et a très bien vécu, merci…). Une espèce de peinture des mœurs d’une famille décomposée et confinée dans une belle villa du sud de la France dans les années 1980. Une espèce de confinement voulu (ou pas), une bourgeoisie intellectuelle (de gauche, « forcément de gauche », aurait dit Marguerite Duras) qui se laisse aller à des jeux avec des enfants mélangeant rapports sociaux, nudité (beaucoup) et obscénités (parfois). Mais « tout est pardonné », aurait clamé Charlie Hebdo, chantre de la liberté sexuelle dans les années 1970, car l’auteur des faits les plus ignobles est « brillant » d’intelligence, de réparties, d’ouverture d’esprit. C’est l’époque de la poussée du Front national de Le Pen, là voilà l’horreur absolue, la vraie, la seule. Il faut la combattre sur les plateaux médiatiques et prouver, chez soi, qu’il a tort en ouvrant la liberté à tous les pores du corps et les neurones de l’esprit. L’auteure du livre devait « rigoler », c’est elle qui l’écrit. À tout. Rire aux actes d’un beau-père « survolté ». « Survolté » à quoi ? Entre Sanary, dans le Var, et Saint-Germain-des-Prés, le spectacle est permanent, une espèce de « double confinement ». Il y a, en effet, des libertés qui ne sont plus que des confinements. Souvent, le coucher du soleil est propre à toutes ces dérives.

La plupart d’entre nous ne liront pas les aventures de cette « familia grande » et ne partageront pas ce confinement sans couvre-feu, car chez ces gens-là, le coucher du soleil n’entraîne pas, loin de là, la fin des activités. Le diurne laisse place au nocturne.

La France de 2021 semble renoncer. Il y a dans cette société ce sens du repli, repli sur les GAFAM (l’élection enfin validée du couple Biden-Harris va – enfin – nous permettre de saluer les qualités du modèle américain après quatre années de détestation obligatoire) et les plaisirs du quotidien, ceux-là éloignés des principes (sic) des familles Duhamel-Kouchner-Pisier.

Le temps du renoncement est peut-être, qui sait ? celui qui précède le retour de celui de la volonté. Le carcan sanitaire organisé et imposé, dont la plupart d‘entre nous se satisfont, n’est guère opportun à cette riposte sociale.

D’ici la restauration des libertés primaires (celles de circuler, de se réunir mais aussi d’opinion et d’expression via la possibilité de critiquer le système ou, tout simplement, de voter…), il ne reste à fourbir nos armes intellectuelles. Dénoncer le pourrissement des élites (voir plus haut), les mêmes qui nous donnent des ordres, pour pouvoir réagir et sortir de ces temps d’enfermement mental et physique.

Notre média, Métainfos, essaie, modestement mais clairement et obstinément, de participer à la fin de ce…  « grand renoncement ».

18:23 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers l’inflation et l’éclatement de la bulle boursière avec Biden

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Marc Rousset

Wall Street vient de conclure dans le rouge (-0,91 %) une semaine volatile au cours de laquelle le Dow Jones a connu trois séances de baisse d’affilée pour la première fois depuis plus de deux mois, tandis que le NASDAQ et le S&P 500 ont lâché 1,50 %. Quant au CAC 40, il a reculé, vendredi, de 1,22 %. Sous Trump, du 3 janvier 2017 au 15 janvier 2021, le Dow Jones et le NASDAQ sont passés, respectivement, de 19.881 à 30.991 (+56 %) et de 5.429 à 13.113 (+142 %) ! Il n’est pas normal que, malgré les très nombreuses incertitudes de la crise sanitaire, une économie américaine ravagée par le Covid-19 et une activité qui se contracte, le S&P 500 soit 10 % plus élevé qu’avant la crise. Début 2020, les marchés restèrent aussi sereins pendant des semaines après les premières infections à Wuhan alors que la pandémie se propageait partout dans le monde.

Durant le mandat de Trump, la capitalisation de Facebook a augmenté de 150 %, celle d’Amazon de 450 %, celle de Microsoft de plus de 300 %. Quant à Tesla, valorisé à 800 milliards de dollars, il vaut plus cher, en Bourse, que tous les constructeurs du monde réunis alors qu’ils vendent 50 fois plus de voitures. De son côté, le Bitcoin a connu une première descente vertigineuse de 10.000 dollars en deux jours. Il faut donc s’attendre soit à un krach soit à une très forte correction sur les Bourses mondiales.

Alors que Biden annonce un plan d’aide (« American Rescue Plan ») de 1.900 milliards de dollars tous azimuts et un second programme de 2.000 milliards de dollars d’investissements en février, la Fed, très craintive, annonce qu’elle n’a pas l’intention de relever de sitôt les taux d’intérêt ou de réduire le montant du « QE ». La question « tapering » (réduction des achats d’actifs) n’est pas à l’ordre du jour de la Fed car, en 2013, les restrictions du célèbre « taper tantrum » avaient fait tanguer les marchés. La Fed va donc continuer, en plus des dépenses de Biden, à racheter, tous les mois, 80 milliards dollars du Trésor et 40 milliards de dollars d’obligations gagées sur des créances immobilières.

Les États-Unis connaissent, aujourd’hui, des inscriptions hebdomadaires au chômage en hausse (965.000), un chômage de 6,7 %, soit 19 millions de chômeurs, au lieu de 3,5 % avant la crise du Covid-19, une dette publique qui représente 127 % du PIB, un bilan de la Fed qui vient d’augmenter, en un an, de 74 % à 7.300 milliards de dollars. L’inflation, en absence de réaction de la Fed pour éviter un krach boursier, pourrait déjà dépasser les 2 %, d’ici mars-avril, avec un risque d’hyperinflation d’ici deux ou trois ans.

Le Blitz de Biden pour une reprise fiscale et keynésienne devrait, cependant, forcer la Fed à être moins accommodante. Un grand nombre d’Américains sentent l’inflation venir. La masse monétaire M2 a augmenté de 24 %, en 2020. Les stimulations budgétaires devraient donc être compensées par un resserrement monétaire plus tôt que ne l’ont supposé les marchés. Les taux obligataires des bons du Trésor sur dix ans ont doublé, depuis octobre 2020, pour atteindre 1,18 %. La Fed sera peut-être donc obligée d’intervenir, ce qui entraînera une très forte correction à Wall Street, les riches payant les pots cassés avec Biden en 2021, alors qu’en 2020, ce sont les pauvres avec Trump qui ont été matraqués.

L’indice Wilshire 5.000 de Warren Buffett, qui rassemble 3.500 entreprises, soit sept fois plus que le S&P 500, est formel. En augmentation constante depuis 1970, après une pointe passagère à 130 % du PIB pendant le pic de la bulle Internet en 2000, il vient d’atteindre le taux record de 153 % du PIB. Il ne doit pas dépasser 100 % du PIB, selon Warren Buffett, sinon les actions sont trop chères ; il était de 80 % en 2019 ; il est également supérieur à l’indice de 1929. Le célèbre économiste américain Irving Fisher, qui croyait aussi, comme les boursiers de nos jours, à la pérennité de la bulle en 1929, ce qu’il appelait « un plateau permanent », a été ruiné.

Nonobstant le raisonnement ci-dessus, strictement économique, les investisseurs font aussi l’impasse sur les effets incertains des vaccins de la thérapie génique, sur les doutes au sujet de la contagiosité après injection, sur l’immunité à venir ou non des populations si l’on en croit l’OMS, sur les mutations probables du virus (variant anglais, etc.). Pourquoi le PDG de Pfizer a-t-il vendu des millions de dollars d’actions le jour même où son entreprise annonçait les résultats à plus de 90 % des décisifs ?

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11:47 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mineurs Migrants Isolés : Olivier Roudier aborde avec sérénité son procès en appel dans l’affaire du RAIH

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Communiqué de la Ligue du Midi :

On se souvient qu’en 2017, le département de l’Hérault avait décidé d’attribuer une subvention, de 116.000 € à l’association RAIH (Réseau d’Accueil des mineurs migrants Isolés de l’Hérault), pour son fonctionnement interne, ces migrants qui, comme le dénonçait Olivier Roudier (porte-parole de la ligue), agressaient, volaient et dépouillaient, à la nuit tombée, la population montpelliéraine.

Depuis quelques mois la rumeur courrait dans les travées, de l’Assemblée Départementale et quelques conseillers courageux n’hésitaient pas à étaler des chiffres astronomiques de 50 à 80 000 euros par tête de migrants et par an, ce qui représentait au final, - pour 600 à 800 bénéficiaires -, la bagatelle de 30 à 60 millions par an pour les contribuables du Clapas

La Ligue du Midi dénonçait évidemment l’attribution de ces subventions, réclamait un audit pour vérifier si l’obligation d’insertion sociale et professionnelle avait été respectée et s’interrogeait sur la pertinence d’accorder à la même association la détermination de l’âge de ces « jeunes » et des subventions qui augmentent en fonction de leur nombre.

Aucune réponse n’étant apportée aux contribuables, la Ligue du Midi en tant que lanceur d’alerte décidait de se rendre sur place afin de demander des éclaircissements à la présidente et au directeur du RAIH. Dans le même temps la Ligue demandait au président Mesquida, s’il était avéré qu’un chef de projet de l’association « un toit pour apprendre » allait être embauché avec un salaire de 7.800 euros/mois. (aucune réponse à ce jour)

Ce happening semblable plus à une farce de potache qu’à une activité politique, aux cris de « coucou c’est la Ligue du Midi » durait une dizaine de minutes, et se déroulait sans violence avec comme slogans « rendez l’argent », « pas de subvention pour financer l’invasion »… Mais c’en était trop pour la gauche fétide (du PS aux anarchistes) qui hurlait à la mort et au resurgissement des heures les plus sombres de notre histoire…

Comme dans une machine bien huilée, le président Mesquida déposait plainte pour « dégradation en réunion », le RAIH, y rajoutait une plainte en « incitation à la haine raciale », puisque on « aurait vu dans les yeux du meneur un regard contenant comme un appel à la haine » (La connerie n’a pas de limite). Quoi qu’il en soit, la Ligue, en tant que personne morale n’était pas poursuivie.

Evidemment on mettait les deux meneurs de la Ligue du Midi en Garde à vue, et un fonctionnaire de police  « zélé » en profitait pour broyer le doigt de Richard Roudier (21 jours d’ITT), président de la Ligue dans une lourde porte de fer dans les sous-sol du Palais de justice (Cette affaire dans l’affaire, au bout de plus de trois ans, de « sur place », vient de redémarrer puisqu’un juge d’instruction vient enfin d’être nommé. C’est marrant de savoir que quand Roudier porte plainte les dossiers disparaissent comme par enchantement-.

L’affaire se dégonflait et le boomerang se mettait en route : le président du Conseil départemental retirait sa plainte en douce, l’incitation à la haine raciale n’était pas retenue par le parquet et l’un des deux prévenus était relaxé tandis que l’autre écopait d’un mois de prison ferme (ce qui est quand même cher payé pour 2 tasses à café cachées sous un torchon à carreau et tombées accidentellement).  

On apprenait quelques mois plus tard que le RAIH annonçait qu’il devait stopper ses activités : en cause la division par trois des subventions accordées par le département de l’Hérault qui jugeait cette structure « trop partisane ». L’Assemblée Départementale reprochait en effet au RAIH son « manque de neutralité notamment dans sa mission d’évaluation de l’âge des jeunes migrants ». L’association RAIH aurait déclaré comme mineurs 80% des individus testés, un chiffre qui serait largement au-dessus des chiffres nationaux et même d’une autre association similaire dans l’Hérault.

La RAIH a donc déposé son bilan, ce qui a débouché sur une procédure de redressement judiciaire et qui vient d’être transformée il y a quelques mois en liquidation de biens ! Fin du film… Ce qui tend à prouver qu’il ne faut pas réveiller un identitaire qui dort. La partie civile (à l’origine des poursuites judiciaires) devrait donc être absente, ce qui devrait concourir à la fluidité des débats.

Quant au conflit d’intérêt, au détriment du contribuable dans lequel semble être empêtré le RAIH, qu’un magistrat pourrait qualifier d’escroquerie, il semble que le Président du Conseil départemental lui en ait fait grâce. En tout cas il s’est bien gardé de déposer plainte ou même, à notre connaissance, de demander un audit ou une enquête administrative… Le contribuable héraultais est donc bien assuré de demeurer un « cochon de payant ».

C’est donc sereinement et plein d’espoir, que notre camarade Olivier Roudier comparaitra ce mardi 19 janvier à 14h00 devant la Cour d’appel à Montpellier, rue Foch.

D’abord, parce que les juristes de la Ligue avaient relevé un certain nombre d’incohérences de procédure dans l’enquête qui conduisit au procès en première instance et auxquelles il avait été répondu superficiellement à l’époque. Olivier souhaite que tous ces points soient approfondis en appel.

Ensuite, hasard du calendrier et toutes proportions gardées, c’est le télescopage de l’affaire du RAIH avec celle dite de « Wikileaks » qui a porté sur la scène internationale la question des « lanceurs d’alerte ». On sait que Julian Assange vient d’obtenir une première victoire en obtenant des autorités judiciaires britanniques un refus d’extradition vers les Etats-Unis.

Un présage ?

Ligue du Midi cliquez ici

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Marche pour la vie : 14h au Trocadéro

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samedi, 16 janvier 2021

Les révélations d'un ancien militaire sur la crise actuelle

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Source : Jeanne traduction

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Journal du chaos

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 Ultra-droite, la menace fantôme. Décryptage du livre « La Poudrière »

Lucien Lachance9782246821472-001-T.jpg

L'Equipe communautaire Paris 

L’ultra-droite est au cœur de tous les fantasmes dans les rédactions de presse parisiennes depuis déjà plusieurs mois. Après le très brouillon « Les Grands-Remplacés » sorti l’été dernier du côté de Marianne, c’est au tour du livre « La Poudrière » côté Le Parisien d’être publié, s’inscrivant directement dans le cadre du projet de lutte gouvernemental contre les séparatismes (1). Malheureusement, force est de constater que ce travail pseudo-journalistique prétendant démontrer que l’ultra-droite constituerait la principale menace terroriste pour notre société fait l’exploit de ne se baser sur aucune statistique sérieuse, de ne donner aucune source ou, pire encore, de déformer la réalité pour satisfaire des idéaux politiques d’extrême gauche. 

Trois auteurs militants très disparates aux connaissances lacunaires

Ce livre, paru aux éditions Grasset, est écrit par trois auteurs : Jean-Michel Décugis, reporter police-justice au Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste pour la télévision française et Marc Leplongeon, journaliste au Point. Malgré le fait que ces trois auteurs n’en soient pas à leur première collaboration (2), le style d’écriture du livre est brouillon, disparate, pluriel.

Avant de développer sur la démarche intellectuellement malhonnête des auteurs, intéressons-nous au profil très particulier de Jean-Michel Décugis. Le reporter police-justice du Parisien est, en effet, particulièrement réputé pour ses approximations frôlant souvent la « fake news ». Le journaliste, connu pour avoir lancé les policiers sur la piste d’un tueur d’extrême droite lors de l’affaire Merah ou également pour avoir annoncé la fausse arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès en 2019 (3), a fait l’objet d’un article détaillé de la part de l’OJIM revenant sur son palmarès en matière de déontologie journalistique.

Une démarche malhonnête doublée à un manque de professionnalisme

Alors qu’encore récemment Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite, expliquait dans les colonnes du Monde que le « risque (de l’ultra-droite) est secondaire par rapport à celui de l’islam radical » (4), les auteurs de « La Poudrière » estiment à l’inverse que le risque terroriste de militants de la droite radicale est bien présent.

En contradiction totale avec la démarche scientifique, les auteurs décident ainsi de partir de la conclusion que la menace d’ultra-droite serait avérée pour ensuite démontrer celle-ci avec des arguments fallacieux et un méli-mélo d’éléments marginaux retenus par simple biais de confirmation.

Ainsi, sans aucune statistique, les auteurs cherchent à alimenter leur théorie par une légère accumulation de faits divers sans même se soucier de la représentativité de celle-ci. Par ailleurs, les journalistes ne font même pas l’effort de sélectionner uniquement des faits divers liés de près au terrorisme car ceux-ci tendent à prouver le danger de l’ultra-droite française en se basant sur des faits divers s’étant déroulés à l’étranger, des histoires de cyber-harcèlement ou même des incidents qui n’ont même pas été attribués à l’extrême droite (5).

Le trio qui tout au long du livre témoigne d’un réel mépris pour son sujet d’étude (6) fait cependant, dans un même temps, preuve d’une profonde empathie pour justifier les émeutes meurtrières du mouvement « Black Lives Matter » de 2020 : « George Floyd est noir et il n’a rien fait, c’est un contrôle d’identité qui tourne mal. Le policier est blanc, il a sur le dos plusieurs affaires de violences et une de meurtre. La vidéo est insoutenable. » (7)

Alors, dans cette vision manichéenne et parcellaire, on oublie de rappeler que George Floyd était un criminel écoulant de la fausse monnaie, drogué au moment de son arrestation et déjà condamné par huit fois à de la prison notamment pour vol à main armée. Ces approximations sont monnaie courante dans ce livre qui parle du regretté vidéaste TEPA comme s’il était toujours en vie, qui se trompe à de nombreuses reprises sur l’année lors de laquelle se sont déroulés les Gilets jaunes ou encore qui commet de dangereux anachronismes (8)...

Des mensonges grossiers visant à tromper le lecteur

Au-delà d’une démarche sensiblement malhonnête et d’une théorie fumeuse sur le prétendu danger de l’ultra-droite véhiculée tout au long de ce livre, il est essentiel de disqualifier définitivement cette pseudo-enquête. Suivons le conseil de Jean-Yves Le Gallou qui, dans son dernier ouvrage, invite à « diaboliser les diabolisateurs ». Ainsi, rien de mieux que de revenir sur les très nombreux mensonges colportés dans ce livre.

En effet, que ce soit par paresse ou par militantisme, les auteurs ont décidé de remplir cet ouvrage de réelles « fake news », parfois même passibles de poursuites devant les tribunaux...

A la lecture de cette enquête d’investigation, nous apprenons donc que l’organisation Génération identitaire aurait été « interdit(e) (9) », que Clément Méric, militant antifasciste, serait « mort (...) sous les coups de skinhead » (10) alors même que les tribunaux ont reconnu que celui-ci n’avait reçu qu’un seul coup de poing et simplement de la part d’une seule personne. Plus loin, sans aucune statistique à l’appui, nous apprenons également que « dans la capitale, la violence de rue se joue surtout entre fas et antifas, comme dans les années 80 » (11) comme si la majorité des violences de rue à Paris seraient liées à des violences politiques. Enfin, le célèbre attentat de la rue Copernic est attribué à l’extrême droite alors même que la piste palestinienne fait aujourd’hui consensus et que l’auteur présumé de cet attentat est Hassan Diab, chose que le "grand reporter police-justice" du Parisien ne peut ignorer...

En conclusion, « La Poudrière » n’est autre qu’un piètre recueil de faits divers marginaux essayant maladroitement de démontrer des conclusions malhonnêtes et militantes. A ce stade, la principale statistique concernant le terrorisme d’ultra-droite et qui n’est à aucun moment citée par les auteurs est la suivante : le terrorisme d’ultra droite n’a fait aucun mort en France depuis de très nombreuses années « alors que, depuis 2012, 263 personnes ont été tuées par des islamistes radicaux et que des centaines d’autres ont été blessées » (12).

Si vous souhaitez approfondir, la chaine YouTube de l’Équipe Communautaire Paris vous propose également un podcast, avec Thomas Ferrier notamment, visant à décoder en profondeur la rhétorique militante de cette prétendue enquête journalistique : 

 

Notes

(1) Additionnés à la mauvaise écriture, aux fautes d’orthographes très nombreuses, aux coquilles et à l’absence complète de notes de bas de pages, ces éléments laissent à penser qu’il s’agirait d’un livre de commande fait dans la précipitation pour satisfaire un agenda politique.

(2) En 2018, ils avaient écrits ensemble le livre « Mimi » sur la femme d’affaire Michelle Marchand.

(3) "Xavier Dupont de Ligonnès a été arrêté ce vendredi en Ecosse" cliquez ici 

(4) "Les militants de l’ultradroite attendent l’ultime confrontation des civilisations" Le Monde 26/12/2020 cliquez ici

(5) « Des tags antisémites sont découverts sur les murs d’une école, de la mairie et du cimetière juif dans un village d’Alsace. (...) Aucune enquête n’a abouti. », p.165

(6) « Les fachos » comme qualifié par Jean-Michel Décugis lors de son interview promotionnelle sur France 5 du 05/01/2021

(7) p.113

(8) Dans son étude sur le groupe AFO, le livre prétend que celui-ci se préparait à une catastrophe sanitaire depuis le confinement décidé par Macron (p.131) alors même que le groupe a été démantelé en 2019 soit bien avant le confinement...

(9) p.53

(10) p.17

(11) p.84

(12) "Les militants de l’ultradroite attendent l’ultime confrontation des civilisations" Le Monde 26/12/2020 cliquez ici

00:34 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce samedi 16 janvier à Caen :

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Plus d'informations cliquez ici

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vendredi, 15 janvier 2021

Ce soir en direct le "live" des DéQodeurs à 21h

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Dernière ligne droite. Probablement le dernier live avant le début des révélations. Le début de la fin de l'état profond est imminent. Nous sommes à quelques jours. Partagez ce live car notre mission à nous tous, c'est de préparer le terrain. L'histoire se souviendra de la semaine prochaine !

Tous les liens pour assister au live sont sur la page d'accueil du site : lesdeqodeurs.fr 

En cas de coupure, utilisez ce lien là : https://dlive.tv/deQodeurs

Tchat du live : https://t.me/lesdeqodeurs

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« La pandémie n’existe pas. » Interview exclusive avec Astrid Stückelberger

La scientifique, docteur et auteur à succès Astrid Stückelberger nous démontre qu’il n’y a pas de pandémie, nous prouve que le test PCR est un leurre et que le vaccin est une dangereuse aberration.

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Plus d'info ICI

17:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro, Franck Buleux nous parle de Pierre Poujade

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Méridien Zéro cliquez ici

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17:31 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réservez dès maintenant les dates du pèlerinage de Chartres !

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17:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |