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dimanche, 16 août 2020

Dans Présent de vendredi dernier, Francis Bergeron commente le livre de Michel Vial, "La chute de l'empire occidental"

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Francis Bergeron, Présent, cliquez ici

Il y a quelques mois, Michel Vial était venu proposer un article à Présent. Mais à la vérité, il s’agissait d’une étude d’une certaine densité, faite pour être publiée dans une revue pas dans un quotidien d’actualité générale et politique, qui plus est à la pagination réduite. Nous avons donc décliné son offre. Mais à quelque chose malheur est bon : il a revu son travail, pour en faire un essai de 130 pages, intitulé La Chute de l’empire occidental. Et c’est cet essai qui vient de paraître chez Synthèse, dans la collection « Idées ».

MICHEL VIAL ET MOI, nous nous étions croisés au cours de notre jeunesse militante. Le Liban, où nous avons l’un et l’autre crapahuté (pas tout à fait pendant la même période de 1976), nous a plus récemment rapprochés, grâce à la constitution de l’Association des anciens volontaires français du Liban. En bref une connivence politique née dans les années 1970, et concrétisée… 40 ans plus tard. 

Les études déclinistes ne sont jamais youp la boum, et le titre même de l’ouvrage de Michel Vial n’appelle pas à l’optimisme : La Chute de l’empire occidental. L’auteur en est conscient. « Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas… » nous dit-il. « La défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat. » Comme l’écrivait Jacques Bainville : « Tout a toujours très mal marché. » Il faut en être conscient et penser dans le temps long. 

Pourquoi parle-t-il d’« empire occidental » ? Ce n’est pas l’empire romain ou ottoman ou soviétique. Ce n’est même pas l’empire français d’avant-guerre. Cet empire qu’il voit chuter, Michel Vial le définit comme un ensemble spatial sans vraie unité politique, mais un ensemble homogène sur le plan historique, culturel, scientifique, technique, financier. Et j’ajouterai religieux, même si cette dimension s’est fortement affaiblie, par étapes successives, depuis deux siècles. Cet empire, rappelle Michel Vial dans un entretien publié par la revue Synthèse nationale, « s’est imposé au monde il y a environ cinq siècles et s’est considérablement affaibli depuis un demi-siècle ». 

On pourrait discuter du tournant de l’affaiblissement. Il y a un demi-siècle ? Ne faut-il pas remonter plus tôt, à la Première Guerre mondiale ? Elle a fauché les jeunesses française, anglaise, allemande, russe, italienne, serbe, autrichienne et hongroise (près de 10 millions de soldats, essentiellement des jeunes hommes), puis le communisme à l’Est, avec ses famines gigantesques, sa régression économique et le paradoxe de son messianisme agressif, a fait le reste. 

La déchristianisation est souvent négligée 

Mais l’essentiel n’est pas là. « Plus que nos ennemis clairement déclarés, j’ai voulu dénoncer les traîtres à notre nation et à notre civilisation » dit Vial dans l’entretien précité. Ces maux et ces ennemis s’appellent l’intégrisme écologique, la déchristianisation, l’islam, l’immigration, le « vivre-ensemble », le terrorisme, mais aussi la lâcheté de nos dirigeants, les manipulations médiatiques, et les effets pervers de l’Europe telle qu’elle a été conçue. 

Dans ce type d’analyse, la déchristianisation est trop souvent négligée, soit parce que l’étude émane d’adeptes du paganisme ou de théories de ce genre, qui considèrent que le christianisme est en lui-même un ferment de décadence, soit parce qu’ils font remonter la chute ou la décadence à une époque très récente, et qu’ils savent que la déchristianisation a commencé avec la révolution française, ce qui n’entre pas dans leur schéma. Michel Vial définit davantage la déchristianisation par la montée d’un athéisme intolérant que par l’éclipse religieuse actuelle. Il note que malgré le recul de la pratique, notre culture demeurait d’inspiration chrétienne, et ceci grosso modo jusqu’à la fin des années 1960. 

Ces derniers temps la laïcité a pris une tournure antichrétienne, renouant et approfondissant des pratiques atténuées, voire disparues depuis les inventaires, tandis que l’islam est simultanément privilégié, au nom du « vivre-ensemble », ou en raison de la peur qu’il suscite, des violences qu’il peut générer, et donc en fin de compte de la lâcheté de nos dirigeants. Tout se tient. 

Dans le même ordre d’idées, le préambule de la constitution européenne de 2005 ne fait pas référence aux racines chrétiennes des nations européennes. Et ce sont aujourd’hui les pays européens non déchristianisés qui sont l’objet de l’hostilité du reste de l’Europe. 

Dans un contexte de montée de l’islam et d’immigration croissante, la déchristanisation programmée permet à la pierre dure d’éroder la pierre friable. D’autant que, note encore Vial, l’Eglise a abandonné toute idée de prosélytisme, tournant le dos à 2 000 ans de prêches, de conversions, de missions. Pourtant, « croyants ou non, nous sommes tous tributaires de notre passé chrétien », conclut-il. 

En guise de raison d’espérer, il ne nous offre guère que l’idée « raspailienne » (si on peut se permettre ce néologisme), consistant à « enfourcher nos montures et défendre [la cause] dans une dernière charge héroïque, sabre au clair ». C’est un peu court. 

L’ouvrage est donc une bonne « synthèse nationale », complète, sur les maux et les enjeux essentiels, mais il est muet sur les formes du sursaut, de la renaissance, de la contre-offensive. On attend en conséquence le tome II, qui pourrait s’intituler De la reconquête, par exemple. 

La Chute de l’empire occidental, par Michel Vial, Synthèse éditions, coll. « Idées », 2020, 130 p., 18 euros (+ 5 euros de port).

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samedi, 15 août 2020

Suite au drame de Beyrouth, retour sur la Guerre de 1976...

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Source Furia francese cliquez ici
 
Nous avons posé quelques questions à Emmanuel Albach concernant son engagement au Liban et nous le remercions pour ses réponses riches d'enseignements !
 
Vous êtes parmi les deux premiers volontaires Français à partir pour le Liban, quelles ont été vos motivations ?
 
La honte de voir la France abandonner encore un peuple ami auprès duquel notre honneur était engagé depuis mille ans, probablement, a été le déclencheur. Mon camarade Philippe, et moi, qui militions depuis déjà trois ans au Groupe Action Jeunesse - et pour ma part au Mouvement Jeune Révolution (NDLR SN : mouvements solidaristes des années 1960-1970) avant - nous sommes retrouvés un matin de début décembre à une terrasse de café, près de notre fac. Il avait acheté Paris-Match. S’y étalaient, en doubles pages intérieures, des photos des grands hôtels où des poignées de combattants chrétiens luttaient contre des hordes de « palestino-progressistes ».
 
Nous avons dit ensemble : « Et la France les laisse tomber ! Et le serment de Saint Louis est bafoué, sur la terre des croisades ! ». L’évidence nous est apparue. Je crois que j’ai dit : « L’histoire ne doit pas pouvoir écrire qu’aucun Français n’est venu combattre avec eux. Il faut y aller. » Et Philippe a dit : « Chiche ? On part ? Je vais cet après-midi au bureau de la MEA, à l’Opéra. » « J’ai simplement dit : oui, vas-y ! ». J’ai pensé : « Si moi, je n’y vais pas, avec la conscience que j’ai du devoir qui nous incombe, qui ira ? ».
 
Nous avons trouvé un Libanais à la fac, un chrétien d’Achrafieh, dont le cousin était dans les Phalanges. Il nous a fait une lettre de recommandation et nous a communiqué le numéro de téléphone de son cousin. Nous avons pris nos billets, tarif étudiant, pour le 4 janvier 1976, lendemain de mon anniversaire, afin que je sois majeur et libre de voyager.
 
Nous n’avions pas le sentiment d’être des héros, ça, vraiment pas, mai juste de faire notre devoir, comme nos ancêtres avaient toujours su le faire.
 
Racontez nous vos séjours.
 
Holà ! Je pourrais vous en écrire des centaines de pages. Je vais essayé de résumer…
 
Nous étions hébergés dans un collège protestant, pensionnat déserté par ses élèves, le « Good Sheperd College » accroché à flanc de la colline d’Achrafieh, face au sud de la ville, dont les Phalanges avaient fait une caserne. Ses bâtiments, qui dataient des années 20, ont été détruits par l’artillerie syrienne en 1987. Pendant deux jours, Philippe et moi avons été soumis à interrogatoire sur interrogatoire. Ils avaient du mal à y croire. Et puis des infos ont dû leur venir de Paris, et ils ont compris finalement à qui ils avaient à faire. Le troisième jour nous avons été présentés à Pierre Gemayel, vieux monsieur magnifique d’allure, à la vois très grave, qui nous a chaleureusement serré la main. Dans la foulée, dans les sous-sols de la maison des Kataëb, nous avons rencontré son fils, Bachir Gemayel, le chef des combattants phalangistes de Beyrouth, qui a fondu en larmes quand nous lui avons certifié que nous étions prêts à mourir avec eux, pour eux. Il nous a dit, tandis que coulaient sur son visage des larmes qu’il ne cherchait pas à cacher : « La France, c’est tant pour nous. C’est notre mère. Elle nous a laissé tomber, mais vous, ses fils, vous êtes là ! Merci. Merci. »
 
Le sous-sol de notre caserne, lui, regorgeait alors d’armes témoins des luttes passées, de 1860, 1920, 1958 : un vrai musée des combats menés pour leur survie par les chrétiens du Liban. C’était très émouvant. Au fond d’un couloir sombre, se trouvait l’armurerie de 1976. Là nous choisissions l’arme -le fusil d’assaut- que nous voulions pour notre mission du jour – ou de la nuit. Nous avons ainsi pu tester -longuement et en situation réelle - tout le matériel disponible ces années-là : Kalach (russe, allemand de l’est,…), Slavia, FAL belge ou sud-africain, M-16 (provenance du Sud-Vietnam), ou des engins plus lourds et meurtriers, et pas toujours jeunes, comme des mitrailleuses légères PKM, des MG-42 (avec les bandes de cartouches autour du cou, vous voyez le cliché, je suppose…) ou des engins impossibles comme le Mau-Mau chinois avec son gros chargeur camembert. Une fois j’ai même eu une Thompson, calibre 45, pour quelques heures (idiot !).
 
Notre groupe - nous avons rarement été plus de huit en même temps - était lesté aussi de quelques LAW (ou « bazooka kleenex », américain), ou d’un RPG et trois roquettes, et nous gonflions nos poches de grenades russes quadrillées (défensives). Très vite chacun s’est fixé sur une arme. Moi, j’ai trouvé un kalach de mon année de naissance, fabriqué en Allemagne de l’est. Bien entendu, une image de la Vierge était collée sur la crosse. Je n’ai jamais porté de casque ou de gilet pare-balles. Nous partions avec deux cents cartouches chacun, plus nos trois chargeurs de 30 cartouches, scotchés tête-bêche, garnis partiellement de traçantes pour les combats de nuit (c’est très efficace à cinquante ou cent mètres de distance, dans la pénombre des rues, j’ai ainsi fait quelques cartons bien venus).
 
La population nous aimait comme des frères, comme leurs enfants. Nous étions sans cesse invités à déjeuner ou dîner chez des gens d’Achrafieh, chaleureux et si reconnaissants de notre présence. On nous donnait une petite solde, l’équivalent de deux cents euros d’aujourd’hui, qui nous permettait d’aller de temps à autre boire une bière dans un bistro de la place Sassine. Nous étions toujours guidés -au moins pendant les premières heures de combat- par un gars de la caserne. Souvent deux ou trois gamins libanais se joignaient à nous. Les combattants kataêb étaient des étudiants, des lycéeens parfois, des gamins de milieux modestes autant que de familles plus aisées. Comme nous étions en général de service la nuit, pour des positions défendant le premier bassin du port de Beyrouth, ou dans le centre-ville, ou à Achrafieh sur la « ligne verte », où il fallait faire du bruit comme si nous avions été nombreux, nous consommions beaucoup de munitions. Nous étions de retour vers huit heures du matin à la caserne, sauf que, la situation se tendant sérieusement à partir de la mi-mai, nous sommes parfois restés nuit et jour sur le front, avec presque rien à manger et contraints de boire l’eau d’une canalisation éclatée. Heureusement, côté munitions et matos, nous n’étions jamais oubliés !
 
Au combat, dans ces rues, ces escaliers d’immeubles inconnus, quand chaque fenêtre est une menace, la peur devient une sensation permanente que l’on finit par dominer. La mort est toujours là, soit en fin de journée dans le cadavre d’un combattant quinquagénaire troué de plusieurs balles, qui le matin même plaisantait avec nous en fumant sa cigarette, ou celui d’un jeune homme, étudiant en pharmacie, qu’un RPG reçu en plein corps a transformé en un amas de chairs fumantes, éclatées, atroces. Il y eut les cadavres d’ennemis abandonnés, pourrissants sous le soleil si chaud de cette année-là, mal brûlés, parfois démembrés, et cette odeur écoeurante, si pénétrante, d’un lambeau de cervelle écrasé par inadvertance et qui s’est imprégné dans la semelle d’un pataugas pour y pourrir… Il y a aussi le vacarme conjugué des armes automatiques, des obus, des explosions de toute sorte quand, le front s’étant soudain réchauffé, dans les rues du centre-ville soudain saturés de déchirements sonores, tous tirent ensemble d’un côté contre l’autre, que des canons bitubes de 23mm, avec leurs gros pointilleux lumineux, entrent dans la danse, avec leurs « bam-bam, bam-bam » assourdissants, et qu’on se demande quand l’un de ces obus, de ces RPG, finira par nous trouver… On serre les dents, et l’on tient sa place dans la barricade, et l’on essaye d’allumer l’ennemi qui tente une percée sous le couvert de cette préparation cacophonique…
 
Comment cet engagement est il perçu en France à ce moment là ?
 
Nos camarades du GAJ n’ont pas apprécié notre décision. La propagande gauchiste avait son effet : se battre avec les chrétiens du Liban, c’était devenu rejoindre Israël qui, dans nos milieux, n’avait pas souvent bonne presse. Nous, nous partions en croisade et sauver l’honneur de la France. Le reste, nous nous en fichions. Mais quand nous sommes revenus en février, une longue trêve s’étant installée, l’humeur avait changé. Nos camarades avaient compris et les volontaires ne manquaient plus. Côté gauche et majorité fausse droite, nous étions simplement des fascistes, quand ils nous citaient. Plus couramment, nous n’existions pas.
 
Quels liens gardez-vous avec le Liban ?
 
Au retour du Liban, j’ai fait les Langues O’ en arabe littéral (j’ai étudié le coran trois ans !), arabe de presse et de radio (j’ai travaillé quatre ans pour An Nahar) et arabe oriental (parler syro-libano-palestinien). J’ai à Paris, collaboré à Saout El Arz (la Voix du Cèdre, radio parisienne des FL), et j’ai vu Bachir quelques mois avant sa mort à Beyrouth. Quand les FL sont venues en exil en France, après 1990, je les ai aidées à se remettre en selle, en communication. De cœur, d’âme, sans cesse je me suis efforcé d’aider mes amis, mes camarades de combat. Je vais au Liban au moins deux fois par an. J’y ai vu ces dernières années tous les responsables des partis chrétiens, sauf bien sûr, le funeste Aoun. Notamment Samir Geagea qui m’honore de son amitié et aussi l’ancien président Amine Gemayel et son fils Samy Gemayel et des anciens responsables des commandos Kataëb, comme Samy Khoueiry, dont la sœur, une combattante incroyable, est partie vers Dieu fin juillet.
 
Vous êtes le président et un des fondateurs de l’Amicale des Anciens Volontaires Français au Liban, quel est le but de cette amicale ?
 
Entretenir et garder des liens très étroits avec les anciens combattants des milices chrétiennes, Kataëb et FL. Transmettre aux jeunes la flamme de cette amitié combattante, de ce goût de la lutte et de la liberté.
 
En 2014, au cours d’une émouvante et grande cérémonie, le secrétaire général du parti Kataëb, Samy Gemayel, a remis, à Bickfaya, au Liban, à douze d’entre nous la médaille du Combattant Kataëb « Pour fait de bravoure ». Je suis revenu avec une trentaine de médailles à transmettre, avec un certificat, aux camarades qui n’avaient pas pu faire le déplacement, et dont la bravoure était absolument incontestable. Je la leur ai remise, parfois ce sont leurs enfants qui en ont été les dépositaires. Ces médailles gagnées au combat valent mieux pour moi qu’une Légion d’Honneur distribuée par des politiciens. Nous en avons fait coller une sur une dalle de marbre noir, sur la tombe de notre camarade Stéphane Zannettacci, tué au combat à Tall El Zaatar le 19 juillet 1976 et enterré à Cargèse, en Corse, où nous étions une dizaine, en octobre dernier pour une belle cérémonie. Nous avons aussi un drapeau frappé de notre logo et qui est présent à toutes sortes d’événements ou commémorations, comme les funérailles de Roger Holeindre ou la réunion annuelle sur la tombe de Jean Bastien-Thiry…
 
Parlez nous de votre carrière après cette expérience, quels ont été vos engagements depuis ?
 
Je crois que j’ai répondu ci-dessus, au moins partiellement. J’ai été journaliste, puis consultant en communication (et chef d’entreprise). J’ai eu quatre enfants dont le sang me semble bien fort.
 
Un dernier mot ?
 
Préparez-vous au combat ! Beyrouth, bientôt, sera transplanté à Paris. J’espérais pouvoir consacrer mes jours restants à écrire sur des sujets plus légers, mais je ne suis plus très sûr d’avoir encore le temps d’écrire beaucoup. Je crois que le combat nous appelle encore. Et puis quoi ? Mourir au combat, pour un vrai Français, pour un gaulois, quelle meilleure fin, à tout âge, et quoi de plus exemplaire pour les générations futures ?
 
Bibliographie :
Emmanuel Albach, "Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes." 2015, Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, 22 euros (+ 5 euros de port) - quelques exemplaires encore disponibles - cliquez ici

18:37 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'empire de la servitude sanitaire.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le corinavirus circule, certes. 
 
- Comme tous les virus il n'est pas inoffensif, mais il est peu mortel, et parmi ceux qui y succombent, beaucoup seraient morts en toute hypothèse d'autres pathologies ou de l'épuisement de leur âge ; d'autres sont morts AVEC le COVID, mais pas DU COVID. 
 
- Aucune surmortalité n'a été enregistrée en France ces derniers mois.
 
- Le nombre de personnes hospitalisées continue, jour après jour de baisser, tout comme celui des malades en réanimation.
 
- La plupart des contaminés le sont aujourd'hui à cause de leur imprudence juvénile, de leurs habitudes "communautaires", de la promiscuité des "quartiers" où ils vivent ou des pays d'où ils reviennent.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle de l'intoxication gouvernementale diffusée par ses obligés scientifiques et relayée avec complaisance, mais aussi avec incompétence, manque total de sens critique ou du discernement, des journalistes des chaînes d'information en état de cécité absolue depuis leur formatage dans le moule des écoles dont beaucoup viennent à peine de sortir.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle, après le confinement général, du confinement des esprits par sidération des consciences dans un alignement global qui est la marque bien connue de ce que Guy Debord appelait l'empire de la servitude en précisant : « La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

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Violence et civilisation

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Par Jarente de Senac

La lecture des journaux devient effarante tant le nombre de faits de violence ne cesse de croître selon des modes opératoires auxquels nous n’étions pas habitués depuis que nous n’avons eu de cesse de pacifier nos mœurs, d’instaurer des lois et de générer une violence légale. A ce jour, force est de constater que le principal responsable de cette violence, c’est l’immigration qu’elle soit ou non clandestine. Car ses populations de races et de cultures différentes profitent de nos lois et de nos libertés pour les enfreindre avec la complaisance, souvent, de juges soumis à la religion des droits de l’homme. Et généralement partisans d’une gauche aussi imaginaire qu’utopique où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil".

En société l’homme a des devoirs avant d’avoir des droits. Et ces devoirs sont le fruit de l’éducation qu’il a reçu. Raison pour laquelle l’univers mental des immigrés est trop souvent aux antipodes du nôtre.

Toutefois, il ne faut pas non plus se voiler la face, il y a également en Europe des populations qui posent des problèmes quand elles échappent à nos normes comme les Tsiganes par exemple et certaines populations victimes, jadis, des invasions turques comme les Albanais ou les Bulgares. Ces populations constituent en effet un pourcentage non négligeable de crimes et délits au sein des populations immigrées. Le problème majeur posé parmi ces dernières relève en général de leur religion, l’islam. Et pour cause, ses principes sont contraire à ceux prônés par le christianisme qui, à la suite du paganisme, est la véritable religion de l’Europe. Ce qui a pour conséquence directe que notre territoire est sujet à des zones de non-droit en raison du laxisme de nos gouvernants et de leurs affidés, le personnel politique.

L’un des drames de ce pays, mais aussi des Européens en général, à quelques exceptions près, c’est bien la médiocrité de ce personnel politique qui a perdu tous ses repères culturels inhérents à la constitution même des nations européennes. Il n’y a qu’à constater le délabrement de notre système éducatif pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.

Depuis 1968, l’Education nationale n’a cessé sa descente aux enfers et nous en sommes arrivés aujourd’hui à une sorte de point de non-retour. Jean-Michel Blanquer, ministre d’une éducation qui n’a plus rien de national, n’a rien compris au film pour la bonne raison que ce qui nous fait office de Président n’a en rien conscience de ce désastre et encore moins de ses causes. Aujourd’hui, on ne gouverne plus en fonction des desiderata du peuple, mais des contraintes qu’imposent un système économique assujetti au libéralisme. Les dérives de cette nomenklatura politico-administrative a conduit notre pays de désastres en désastres,  industriel notamment et il est en train de s’en prendre au secteur agroalimentaire en appauvrissant nos paysans et nos agriculteurs au bénéfice de la grande distribution. Cette dernière n’a en tête que la rentabilité de leur entreprise au mépris d’une bonne politique de santé publique. En autorisant de plus en plus des normes et des produits transformés, calibrés, épurés, on est en train d’empoisonner la population. Cette pandémie a eu pour effet de mettre en exergue tous les dysfonctionnements d’un système économique devenu fou et absurde qui n’est pas sans rappeler le fameux docteur Folamour.

Est-ce à dire que nous entrons dans un monde infernal qui risque de voir à terme la disparition de tout ce qui a fait la grandeur de l’Europe, de son génie et de l’originalité de ses peuples ?

09:14 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 août 2020

Turquie : un jour ou l'autre il faudra bien faire face.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le dictateur islamique Erdogan accuse Macron de néocolonialisme après son voyage au Liban.
 
C'est entendu, avec ses déclarations de Tartarin du Touquet et ses postures de président-playmobil à la reconquête de l'Orient compliqué, Macron s'est ridiculisé lors de son déplacement à Beyrouth.
 
Cela, nous avons, nous nationaux, le droit - et même le devoir - de le dire. Pas Erdogan !
 
Engagé dans la reconstruction de l'Empire ottoman et le rétablissement du califat ; étendant son influence du Maghreb aux Balkans et aux terres islamiques de l'Empire russe ; développant à outrance ses moyens militaires et les engageant sur de multiples terrains d'opération ; jouant de son appartenance à l'OTAN et de la complaisance intéressée des États-Unis tout en ménageant pour le moment, en sachant jusqu'où ne pas aller trop loin, la susceptibilité russe ; disputant le leadership sunnite régional à l'Egypte et ses alliés du golfe arabique; menaçant la Grèce ;  s'accaparant le contrôle de la route des hydrocarbures ; faisant de la question migratoire une arme de chantage sur l'Europe avant d'en faire demain un instrument de conquête avec l'aide de ses alliés islamistes, des frères musulmans et de la cinquième colonne de la consistante et très encadrée  diaspora turque, le nouveau sultan constitue pour notre continent et notre civilisation une menace mortelle.
 
La France et l'UE, au delà de quelques paroles incertaines et molles, détournent le regard de ce danger comme elles cachent en permanence leur regard sous leurs ailes d'autruche des savanes.
 
Le moment de la confrontation viendra pourtant. Inévitablement. Plus longtemps nous atermoierons, plus dur sera le conflit qui vient, nouvel épisode de la poussée turque et de l'impérialisme islamique millénaire sur l'Europe.
 
Ce jour là, ou bien la France se sera relevée et saura faire face au coude à coude avec nos frères de la grande Europe et le soutien actif de la Russie, et, pour les Turcs, le choix sera alors entre l'abandon total de leurs espérances et la plus cuisante des raclées... Ou bien nous succomberons définitivement. 

10:31 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 12 août 2020

Vous avez dit complot ? “Fake news” ? Bruno Gollnisch plonge un député LREM dans l’embarras

C'était le 16 mai 2018...

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Le blog de Bruno Gollnisch cliquez ici

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Macron, fier à bras au Sahel ou au Liban, impuissant en France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Macron veut renforcer la sécurité des Français au Sahel comme il veut, contre tout bon sens et raison, imposer la Pax Républicana systémique au Liban.
 
Une fois de plus Macron confond le réel et la brume de ses rêves.
 
Le réel c'est la montée terrifiante de la barbarie en France, de la délinquance dans nos villes et nos campagnes, de la main mise mafio-allogène sur l'économie parallèle, et de l'entreprise criminelle substitutive.
 
Assurer la sécurité des Français en France, éradiquer l'ensauvagement du pays, mettre au pas les cités occupées, anéantir la menace islamique sur notre sol national, démanteler les trafics, détruire les stocks d'armes de guerre entreposés dans les banlieues, agir avec fermeté et détermination contre la racaille venue d'ailleurs, expulser sans délai les délinquants étrangers et ceux qui pourraient constituer une menace pour la paix publique,  en un mot rétablir l'ordre français, voilà ce que nos compatriotes attendent.
 
La sécurité de nos représentants diplomatiques et de nos ressortissants impliqués dans les efforts économiques ou autres au service de l'intérêt national doit bien sûr être organisée. Celle de quelques bobos expatriés pour servir des idéaux planétaristes et amateurs de pique-niques au milieu des girafes, est indifférente aux Francais et inutile à la France.

19:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Le vaccin et la haine.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'avenir dira si le vaccin russe contre le COVID-19 est efficace, fiable et performant.
 
Mais le scepticisme aussi automatique que dégoulinant de haine contre Poutine affiché par les scientifiques de mes fesses qui pullulent depuis six mois sur les plateaux de télévision et font la pluie et le beau temps dans les coulisses du pouvoir, le doute janséniste des éditorialistes politiques uniformément formatés par les écoles de propaganda-journalisme, le mépris goguenard de ces "consultants" venus d'on ne sait où pour le plaisir de "consulter" la courbe d'évolution hebdomadaire de leurs piges, est ignoble.
 
La détestation de ce grand pays résistant à l'ordre mondial autant que les pressions des laboratoires font que, par idéologie autant que par cupidité, le monde occidental et l'Europe, sont parfaitement capables d'inclure ce vaccin, même s'il s'avérait salvateur, dans la liste des produits interdits à l'importation dans le cadre des sanctions imposées à la Russie depuis sa légitime récupération de sa terre de Crimée.
 
Le Système en est là...

09:53 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 août 2020

Georges Feltin-Tracol répond à Réfléchir et Agir au sujet du livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme"...

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Avec Réflexions pour un nouveau corporatisme, les éditions Synthèse nationale ont réuni sous la direction de Georges Feltin-Tracol sept rédacteurs qui s'intéressent à cette voie originale. Est-il raisonnable de proposer le corporatisme en 2020 ? Réponse avec le maître d'œuvre de l'ouvrage, bien connu de nos lecteurs.

Pourquoi réfléchir sur le corporatisme au XXIe siècle ?

C'est la funeste réforme des retraites qui est à l'origine de ce livre collectif. Les syndicats gauchistes (CGT et SUD) condamnent le projet macronien. Or, par-delà l'incantation obligée au Conseil national de la Résistance (CNR), ils oublient que le système de retraite par répartition est un acquis de la Révolution nationale. Suite à un article de Franck Buleux sur le corporatisme mise en ligne au début de l'année, Roland Hélie a jugé propice de relancer le débat.

Le corporatisme appartient-il aux essais de troisième voie ?

Oui, bien sûr ! D'ailleurs, le Dr Bernard Plouvier insiste sur la portée, politique et historique, de la troisième voie économique et sociale. L'éditeur Jean-Gilles Malliarakis donne son point de vue sur cette théorie non-conformiste. Quant au traditionaliste radical Daniel Cologne, il examine la fonction productrice sous l'angle novateur du tercérisme.

N'est-ce quand même pas trop réducteur ?

Pas du tout ! Depuis la fin de l'Ancien Régime, l'idée corporative se manifeste en Europe (mais aussi en Amérique latine) sous des formes théoriques ou institutionnelles diverses et variées. Aristide Leucate a raison d'y voir un dépassement nécessaire du syndicalisme et de la lutte stérile des classes sociales. Gabriele Adinolfi explique la novation corporatiste sous le fascisme. Pour ma part, je montre la multiplicité des expériences corporatistes portugaise, italienne, allemande et française au siècle dernier

Le corporatisme n'est-il pas passéiste et rétrograde ?

Il garde toujours sa pertinence. Ancien journaliste, bras droit de Giorgio Almirante et cofondateur de l'Institut d'études corporatistes au sein du MSI, Massimo Magliaro considère que le corporatisme, loin d'être nostalgique ou dépassé, est une doctrine bi-millénaire qui s'inscrit dans notre longue mémoire albo-européenne. Franck Buleux soutient des travailleurs enchâssés dans leur métier ou dans leur profession.

Le corporatisme aurait-il donc un avenir ?

Part intégrale de la dimension socio-économique de notre civilisation européenne, le corporatisme reste ce facteur crucial pour surmonter les impasses mortelles de l'individualisme libéral moderne, de l'étatisme bureaucratique et du collectivisme de la fourmilière.

Comment ?

Par l'abolition du salariat, la généralisation de l'intéressement aux bénéfices et à la direction des entreprises, le développement de la cogestion et de la participation, la constitution de nombreuses coopératives, etc. Le corporatisme s'oppose à la mondialisation son essence est localiste, écologique et décroissante. À l'heure d'Uber et des GAFAM, elle se révèle salutaire, conservatrice et… révolutionnaire.

Réfléchir&Agir N°65 Printemps 2020

Réflexions pour un nouveau corporatisme, ouvrage collectif réalisé sous la direction de Georges Feltin-Tracol, Synthèse éditions, collection "Idées", 180 pages, 20 euros (+5 euros de port).

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Les médias de grands chemins et les autres

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La chronique de Philippe Randa

« Médias de grands chemins » : rendons à l’OJIM (Observatoire du journalisme – www.ojim.fr) ce qui lui appartient : on trouve en effet cette significative expression dans la conclusion d’un article fort instructif sur le respect du confinement imposé aux Français : « Il ne faut pas compter sur les médias de grand chemin pour jouer un rôle de vigie et encore moins de lanceur d’alerte. »

Et pour cause ! N’hésitant pas à parler de « confinement à géométrie variable », l’OJIM dresse la liste des consignes données aux forces de l’Ordre, notamment durant la période du ramadan. Consignes qui, selon l’article « s’accumulent et mettent dans l’embarras une partie de la classe médiatique. »

Car la vérité finit toujours par percer, malgré le black-out que l’on a tenté – vainement – d’appliquer en la circonstance. Ainsi, l’OJIM rappelle entre autres « l’enquête » de LCI sur les « fausses vidéos » dévoilant le non-respect du confinement, l’interrogation que s’est posé Le Monde(« Covid-19 : les banlieues sont-elles stigmatisées ? »), l’affirmation de Terra Femina, considérant qu’« en banlieue, il n’y a pas plus de jeunes dehors qu’ailleurs », contredisant toutefois l’explication que Die Zeit apportait de son côté à la réalité des incivilités des zones de non-droits françaises : ce n’est pas la faute à Voltaire, mais « à la taille des logements dans les banlieues françaises qui n’est pas adaptée au confinement » !

L’édifiante déclaration révélée par Le Canard enchaîné en mars dernier du secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur, Laurent Nunez, qui affirma lors d’une visioconférence organisée avec les préfets : « Ce n’est pas une priorité de faire respecter dans les quartiers les fermetures des commerces et de faire cesser les rassemblements » avait déjà de quoi interpeller les Français, mais désormais, ce sont les consignes données aux forces de l’Ordre qui commencent à fuiter, notamment dans le Calvados, celle du chef d’état-major de la Direction départementale de la sécurité publique : « Sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens (dégradations par moyen dangereux pour les personnes, de bâtiment, véhicule), il n’y a pas lieu d’intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un groupement de personnes rassemblées après le coucher de soleil pour s’alimenter. »

En France, on semble à l’évidence être passé du constat de Jean de la Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » à celui de l’OJIM : « Selon que vous soyez fidèle ou mécréant, la loi vous sera appliquée ou pas »… même si certains vous expliqueront le contraire sans la moindre vergogne !

Lire EuroLibertés cliquez ici

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Le chaos libanais.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
 
Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 
 
Dans ces conditions, ceux qui, en France, soutiennent la pétition poignante et déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.
 
Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.
 
Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est-à-dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:
 
" Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité ". 
 
En attendant, le Hezbollah qui, pour le moment fait profil bas mais ne doute pas que le chaos lui profitera, continuera d'étendre sa main mise politique et militaire sur le pays, les organisations internationales profiteront des programmes d'aide humanitaire pour conforter leurs plans, des dizaines de milliers de Libanais seront contraints à l'exil, tandis que loin des soupes populaires sur lesquelles devront compter ceux qui resteront, les milliardaires de la diaspora continueront leur vie de nababs.

12:02 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la racaille, la colère de Palavas

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Source Lengadoc info cliquez là

Vendredi dernier, près de 400 personnes ont marché dans les rues de Palavas (34) pour dénoncer l’insécurité grandissante que connait la station balnéaire cet été.

Les revendications sont claires : il faut plus de policiers municipaux et de gendarmes, mais surtout il faut leur lâcher la bride pour qu’ils puissent lutter contre les racailles. C’est ce que réclamait les Palavasiens qui ont manifesté dans les rues de Palavas.

A chaque saison estivale, la population du village passe de 6 000 habitants à près de 140 000. une telle augmentation de la population entraîne forcément une recrudescence des violences. Mais cette année, les habitants sont unanimes, l’insécurité a vraiment atteint des sommets : rodéos de voitures dans les rues, agressions gratuites, coups de couteau, cambriolages, drogues en tout genre…

La colère gronde et la manifestation a rassemblé près de 400 personnes, une forte mobilisation pour une commune de la taille de Palavas.

NDLR - SN : notons parmi les manifestants la présence remarquée et appréciée de notre ami Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, accompagné des militants locaux de ce mouvement.

10:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 09 août 2020

Journal du chaos

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09:09 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 08 août 2020

Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le Conseil constitutionnel, au nom des sacro-saintes "libertés publiques" vient d'invalider la loi imposant un suivi des djihadistes à leur sortie de prison.
 
Cette loi, par la faiblesse de son contenu et la timidité des mesures qu'elle instaurait - bracelet électronique, obligation de pointer chaque semaine dans un commissariat ou une gendarmerie, devoir de signalement d'un changement d'emploi ou de résidence, sans oublier l'incontournable, dérisoire et toujours hilarant "suivi psychologique en vue de déradicalisation" - relevait, certes, de la cautère sur une jambe de bois (le traitement clinique le plus efficace étant, selon nous, l'expulsion pour les étrangers et pour les binationaux après déchéance de la nationalité,  et peine de mort dans les cas les plus graves).
 
Cette loi tirée au robinet d'eau tiède du politiquement correct et de "l'arc de raison", pauvre loi d'un régime défaillant et criminel par laisser-faire, se résumait, en quelque sorte et pour user d'une expression à la mode, à une série de gestes barrières à minima pour la protection des Français. C'était déjà trop.
 
Les réformes constitutionnelles successives ont donné à ceux que l'on nomme bien à tort "les sages du Palais royal", sorte d'Ehpad pour vieux politiciens et hauts fonctionnaires en fin de vie publique, une emprise exorbitante sur la conduite des affaires de l'État. La faute en incombe à la lâcheté et à l'esprit d'abandon des Présidents successifs de cette Cinquième République moisie. 
 
Gouvernement des juges, gouvernement des notables, des conseils, des comités, des conventions... Gouvernement des lobbies, gouvernement des convents. En dehors du peuple et contre le peuple.
 
l'État national remettra demain les choses en ordre. 

11:15 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 07 août 2020

LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE

Dans cette vidéo, nous allons commenter ensemble les principales mesures de la loi bioéthique 2020, votée en deuxième lecture par l'Assemblée Nationale le 31 juillet 2020 : PMA pour toutes, embryons chimères, réintroduction du bébé-médicament, absence d'autorisation pour pratiquer des expériences sur les embryons surnuméraires... Encore une fois, ce nouveau projet de loi repousse les limites de la morale et tente de nier les déterminismes naturels.

Mais comment expliquer l'absence de limite ? Le député Jean-Louis Touraine a déclaré que son objectif était de dissocier le s*xe de la reproduction : ce serait "le sens de l'histoire". Que signifie donc cette expression, dans la bouche de toutes les personnalités politiques, pour justifier ces mesures ?

Après avoir parlé des origines du progressisme dans une précédente vidéo, je vous propose d'explorer les racines du modernisme, avec la Querelle des Universaux.

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13:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE CATALOGUE ÉTÉ 2020 DES BOUQUINS DE SYNTHÈSE NATIONALE...

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12:49 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France présente son nouveau matériel de campagne

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Rappel :

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12:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelques jours après la fin des activités de la Dissidence française, Vincent Vauclin annonce la création du Mouvement national démocrate (MND)

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Communiqué du MND :

Dimanche 2 août 2020 - Vincent Vauclin, essayiste et ancien candidat aux élections européennes de 2019, a annoncé dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux la fondation d'une nouvelle force politique : le Mouvement National-Démocrate (MND).

Ce nouveau parti ambitionne de bousculer le paysage politique français pour sortir la droite de son hibernation et faire entendre la voix d'une nouvelle génération. Le MND porte ainsi un projet de refondation civique fondé sur la liberté, l'identité, la souveraineté et l'autorité, et dont les grandes lignes sont présentées dans une Charte en dix points disponible sur le site internet du MND : www.natdem.fr.

Le programme complet du MND sera rendu public dans les prochaines semaines. Le MND ambitionne de devenir le nouveau pôle de rénovation de la droite pour proposer une alternative à la hauteur des enjeux du XXIe siècle et préparer les échéances décisives à venir.

Chacun peut d'ores et déjà adhérer en ligne et gratuitement au MND sur son site internet et contribuer ainsi à édifier la grande force politique de droite alternative dont la France a besoin.

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12:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 06 août 2020

Macron était à Beyrouth. Pas la France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A Beyrouth où il s'est rendu ce jeudi - non comme le Président d'une Nation historiquement intéressée à la survie du Liban, stratégiquement et spirituellement liée à lui, et protectrice, depuis presque huit siècles, des chrétiens qui le peuple et en sont l'âme, mais comme une sorte d'agent spécial dépêché en urgence par les organisations internationales - Emmanuel Macron a invité les Libanais à une réforme politique profonde "avec les responsables en place".
 
Les responsables en place sont ceux qui ont ruiné le pays et l'ont conduit, une fois de plus, au bord du gouffre.
 
Les responsables en place sont ces féodaux corrompus et dépravés qui tiennent le Liban comme un vautour tien sa proie.
 
Les responsables en place sont tous, y compris et surtout le Président Aoun, maronite traître a son camp, des marionnettes du Hezbollah, force politique chiite a vocation de parti unique, secte apocalyptique, armée d'Allah et de l'Imam caché, financée et entièrement contrôlée par l'Iran, dont l'engagement auprès du régime Syrien dans sa juste résistance à l'islamisme sunnite et au nouvel ordre mondial ne peut faire oublier nos 58 paras morts au Drakkar. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Et le Hezbollah fait peser sur le Liban chrétien une menace mortelle.
 
La foule en colère qui, dans les rues du quartier chrétien de Gemmaysé dévasté par les explosions et ravagé par la crise économique, a fustigé Aoun et interpellé Macron aux cris de "Aidez-nous ! Révolution !", et "le peuple veut la chute du régime", devra attendre que la France fasse elle même sa révolution nationale pour lui venir en aide.
 
En espérant qu'il ne sera pas trop tard.

17:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 05 août 2020

Me Fabrice di Vizio : L’heure des comptes a sonné

La crise sanitaire du Covid-19 en France a donné lieu à une gestion calamiteuse. Les acteurs politiques ont montré leur faille à tous les niveaux. Empêtrés dans une idéologie mondialiste, ils ont refusé la fermeture des frontières; adeptes des coupes budgétaires, ils ont mis à sac les hôpitaux; obsédés par le libre échange, ils ont abandonné les stocks stratégiques et notre souveraineté sanitaire. Plus de 30 000 morts plus tard, les responsables doivent s’expliquer. Et ce n’est pas la commission d’enquête parlementaire qui permettra de faire le jour sur cet enchainement d’échecs.

Maître Fabrice di Vizio, avocat spécialiste des questions de Santé, représente le collectif C19, composé de médecins et soignants, qui ont souffert de l’incompétence et l’imprévoyance de nos dirigeants. Tous ensemble, ils ont décidé de mettre l’exécutif face à sa responsabilité. Ils poursuivent Agnès Buzyn, Edouard Philippe, Olivier Véran, parties prenantes gouvernementales pendant la crise, devant la cour de Justice de la République.

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15:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nous avons le droit d'être intelligents !

Pr Didier Raoult,

Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

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Source : ICI

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Beyrouth : solidarité d'Etat avec le Liban, mais solidarité nationaliste avec les seuls Chrétiens.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La double explosion qui vient de tuer et de blesser gravement des centaines de libanais à Beyrouth et dont la cause n'est pas établie est un drame humain auquel aucun français ne peut rester insensible. Touché de plein fouet par la crise sanitaire et plus que jamais confronté aux antagonismes religieux et politiques, le Liban est, une nouvelle fois, cruellement meurtri. Notre solidarité d'Etat va à ce pays qui nous est cher et où l'intérêt de la France a toujours d'être présente.
 
Pour autant, de notre point de vue national et civilisationnel, il nous faut rappeler que, dans les faits, dans l'histoire, et plus encore selon notre coeur, il n'existe pas de "peuple libanais".
 
Il y a nos frères chrétiens maronites ou syriaques du Liban, théoriquement sous la protection de la France depuis Saint Louis et la charte signée à Saint-Jean-d'Acre le 24 mai 1250.
 
Il y a nos camarades des Phalanges chrétiennes que Bachir Gemayel marqua à jamais et au sein desquelles combattirent de nombreux volontaires nationalistes français dans les années 70, ce parti Kataëb dont le secrétaire général vient de périr dans les flammes et le souffle de la déflagration.
 
Et puis, il y a les autres... 

12:05 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dogmatisme écolo, l’été meurtrier

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Par Emmanuelle Ducros

« Vous votez un texte dont nous ne mesurerons l’importance que dans quelques années. Quel autre pays se dote d’un dispositif qui concerne tous les néonicotinoïdes et a posé le principe général d’une interdiction dès 2018 ? », pavoisait Barbara Pompili, alors secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité, en août 2016, lors du vote de la loi du même nom.

Un boomerang politique qui revient à grande vitesse au visage de la ministre de la Transition écologique. Quatre ans plus tard, une infestation de pucerons s’abat sur la France, démontrant en un temps record l’absurdité de se substituer aux scientifiques et d’inscrire dans la loi une décision qui est, normalement, du ressort des agences sanitaire, Efsa pour l’Europe et Anses pour la France.

La betterave à sucre est la première culture touchée. Les 26 000 planteurs n’ont plus de solution pour traiter leurs cultures alors que les insectes suceurs de sève transmettent aux plantes des jaunisses qui les atrophient. Résultat : 40 % à 50 % de la récolte sera perdue. Toute une filière – 21 sucreries et 45 000 emplois directs – est aux abois. La France, premier producteur européen de sucre et de bioéthanol, pour plus d’un milliard d’euros d’excédent commercial, va rendre sa couronne. Sans oublier que de cette industrie dépend aussi notre production de gel hydroalcoolique.

Combat « people ». Nos voisins européens qui appliquent, certes, les interdictions européennes de certains néonicotinoïdes, n’ont cependant pas eu, eux, l’imprudence de les interdire tous. Cette année, quand nos filières périclitent, ils ont sauvé les leurs. Les néonicotinoïdes (NNI) sont des insecticides dérivés du tabac. Utilisés en pulvérisation sur les cultures, ils peuvent nuire aux abeilles. C’est la raison pour laquelle l’Europe en a interdit certains. C’est aussi pour cette raison que le combat écolo anti-NNI est devenu « people » : l’abeille est un symbole. Les milieux agricoles n’étaient pas foncièrement opposés à l’interdiction des pulvérisations. Mais ils demandaient de la nuance, des évaluations des impacts et des pratiques. Il n’y en a pas eu.

Face à ces nouveaux méchants de la pharmacopée agricole, pas de quartier : la loi portée par Barbara Pompili a tout interdit. Y compris la solution très utilisée des enrobages de semences à petites doses, qui disparaissent du sol en cent jours. Y compris sur les plantes qui ne font jamais de fleurs en culture, comme les betteraves ou les céréales. Y compris dans l’hypothèse où la culture de ces graines enrobées serait suivie, pour la récolte suivante, d’une plante qui n’attire pas les abeilles – comme le blé – pour réduire le risque à néant. Les NNI ont été un combat politique pour donner des gages d’écologisme aux marchands de peur agricole. Aux agriculteurs de se débrouiller. Conséquence : des situations absurdes où l’on doit, lorsque c’est possible, pulvériser d’autres produits sur des cultures qu’on ne traitait plus ainsi. Ou des impasses techniques pures et simples. Certaines filières – conventionnelles et bio – sont nues devant les ravageurs.

Argent gratuit. Ce n’est pas comme si agriculteurs, agronomes, et même le ministre de l’Agriculture de l’époque, Stéphane le Foll, n’avaient pas prévenu. « Nous n’avons cessé d’alerter sur ce qui allait se produire, se désole Vincent Laudinat, président de l’Institut technique de la betterave. On nous a rétorqué que nous n’aurions qu’à faire autrement. Mais comment ? Non seulement la combinaison pyrètres-carbamate qu’on nous a opposée ne fonctionne pas sur les pucerons, mais elle tue tous les autres insectes. Il n’y a aucun autre produit dans le pipeline d’homologation. Quant aux plantes résistantes aux différentes jaunisses qu’il faudrait développer, cela prend des années. »

Jean-François Loiseau président d’Intercéréales, filière touchée aussi, fulmine : « Depuis huit mois, un virus qu’on ne sait pas traiter s’en prend aux hommes, mais on n’en tire pas de leçon. On n’a pas encore compris que les plantes ont aussi besoin d’être protégées des virus qui les tuent. Je ne dis pas qu’il faut des solutions chimiques à tout, la technique, l’agronomie comptent ! Mais pas de solution du tout... Comment peut-on accepter de mettre l’agriculture dans cette situation ? »

Face à la négation de la réalité, il y a urgence. Pour l’heure, le gouvernement promet d’indemniser les pertes. « Face à ce choc que nous vivons, la seule réponse est celle de l’argent gratuit. Mais qui pense à la souveraineté alimentaire ? La prochaine crise mondiale sera celle de la nourriture », alerte Jean-François Loiseau. Car l’année 2020, désastreuse, en prélude de pires. Avec les hivers doux, les pucerons feront de plus en plus de ravages. Le désastre de 2020 va obérer définitivement des productions que l’on devra aller acheter ailleurs, sans aucune maîtrise des techniques de production, moins vertueuses que les nôtres. Quelle est la logique environnementale de tout cela ? La France, qui pouvait compter sur l’atout de son agriculture, une des plus propres au monde, la tue.

La betterave est aux premières loges du saccage. C’est en ce moment, alors que les planteurs contractualisent avec les sucriers, que se joue la prochaine campagne. « Pourquoi prendraient-ils le risque de continuer sans solution ? Pour voir leurs récoltes détruites ? s’interroge Grégory Besson-Moreau, député LREM de l’Aube, département qui compte de vastes étendues de betteraves. Autour de moi, 30 % des planteurs vont arrêter. Ce n’est pas un accident passager. » La colère monte dans les campagnes. La loi biodiversité, « un texte dont nous ne mesurerons l’importance que dans quelques années » ? Il n’aura fallu que quatre ans pour constater les effets destructeurs de cette bombe à fragmentation idéologique.

Source : L’Opinion du 05/08/2020

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Vive Juan Carlos !

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Par Jarente de Senac

L’ex-roi Juan Carlos ne pouvait pas tenir longtemps face à une presse démocratique qui cherche des poux dans la tonsure à tout ce qui sort des clous pseudo égalitaires, des fausses fraternités et d’une liberté surveillée par une doxa droit de lhommiste.

A la mort de Franco, le pays aurait pu sombrer dans une nouvelle guerre civile en raison d’un parti communiste qui avait relevé la tête et de socialistes qui nous la jouaient républicains dans sa version 1936. Franco passa le relai au jeune roi Juan Carlos, ce qui mit tout le monde d’accord. A la place d’un bouffon, il nomma un Premier ministre. On connaît la suite, les socialistes s’en sont mis plein les fouilles, la droite tomba dans un libéralisme idiot, mais le roi évitait toujours aux Espagnols de se foutrent sur la gueule. L’Eglise espagnole, n’en parlons pas, elle est toujours du côté d’un manche proche du bénitier. .

Bon, mais quand vous êtes roi, c’est pas pour des prune comme le chantait Lio et vous n’êtes pas régi par la bêtise démocratique. Vous avez le droit de cuissage, de taper dans la caisse, de bien bouffer et d’aller à la chasse sans avoir à rendre des comptes. Sinon, ça sert à quoi d’être roi ? Roi d’un royaume imaginaire, digne de guignol ou souverain bouglionesque à la sauce Monaco ? Pas de ça Lisette, a considéré Juan Carlos avec raison qui a multiplié les maîtresses – pardon les favorites – est parti à la chasse aux grands fauves avec ses potes dans la savane africaine et ses soirées bien arrosées et a bénéficié des pots de vin des monarques à la mode chameau de cette Arabie pétrolière.

Bon, d’accord, sa dernière favorite, une Allemande, lui a fait des misères pour une histoire de fric évidemment, estimant avoir droit à une partie du magot pour avoir fait don de son corps à la monarchie. Et elle a tout balancé aux médias. Faut jamais faire une confiance totale aux gonzesses, même quand elles ne sont pas féministes. Avec elles, y a toujours un moment où ça coince. Relisez nos bons auteurs, c’est plein de bons mots à leur égard. Pas des plus tendre. Faut dire aussi que même cocus, certains en redemandent. Passons. Tout ça, au final, pour quelques millions de dollars. Une broutille.

Et on vient nous seriner sur les difficultés du peuple espagnol avant, après et pendant la pandémie. Mais c’est pas lui qui a sinistré le pays mais bien les magouilleurs politiques de droite comme de gauche. Il n’a rien demandé, lui le roi, du haut de son trône où il ne pouvait pas plus  tarter les uns et les autres que les destituer. Alors, comme il faut bien un bouc émissaire à toutes leurs conneries, on s’en prend au roi, enfin à son père. A ce sujet d’ailleurs, son fils, Felipe, n’a rien compris au film. Il se la joue roi démocratique, pas dépensier du tout, respectueux des droits de l’homme et tout le toutim. Même la reine d'Angleterre n'en fait pas autant ! Mais ils s’en foutent les Espagnols, ils veulent un torero dans l’arène et du panache. A côté de son père, Juan, Felipe c’est le chevalier à la triste figure. Faut dire qu’une rumeur circule comme quoi c’est madame qui porte la culotte ! Une speakrine ! Mais c’est bien dans l’air du temps. Du coup, Juan Carlos, a décidé de s’exiler. Ca aussi, c’est le lot commun de nos monarques européens, l’exil. Les peuples sont ingrats par nature. C’est même la loi du genre !

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mardi, 04 août 2020

Le nouveau numéro d'Eléments est sorti...

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Eléments n°165, cliquez ici

en vente dans les maisons de la presse.

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Terre & peuple magazine n°84 (été 2020) est paru...

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En savoir plus cliquez ici

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Les Lansquenets d'Europe ont tenu, malgré les contraintes, leur rencontre estivale dans le sud de la France

 

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Compte-rendu de la session 2020 des Lansquenets d’Europe

Malgré les nombreuses difficultés actuellement imposées par le pouvoir politique, les Lansquenets d’Europe, association continentale d’ambition métapolitique pan-européenne animée par Gabriele Adinolfi (ci-dessus lors de la réunion de 2019), ont été les seuls de la période estivale à honorer leur rendez-vous annuel dans le Midi de la France. Précisons que cette réunion se tenait dans un lieu privé, en Provence, et, le plus souvent en plein air.

Du 23 au 26 juillet 2020 se sont donc tenues leurs cinquièmes rencontres près d’Aix-en-Provence. Malgré une faible affluence due à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques, une trentaine de personnes, venues de France, d’Italie, de Belgique, d’Espagne, des Pays-Bas, de Pologne et de Suisse, ont néanmoins tenu à s’y inscrire.

Répartis au gré des activités tantôt en trois commissions linguistiques distinctes (français, italien et anglais) d’études et d’analyses, tantôt en quatre équipes portant chacune le nom d’une divinité de la santé issue des panthéons européens et une couleur s’y référant (gris pour le Celte Grian - ou Grannus -, blanc pour le Gréco-Romain Asclepios - ou Esculape -, bleu pour le Gallo-Lusitanien Borvo - ou Boru ou Bruich – et rouge pour Endovelicus le Lusitanien),  les Lansquenets ont, pendant trois jours, non seulement réfléchi au monde post-covid qui se met en place, mais aussi pris des initiatives à court et moyen terme. Ils ont en outre pratiqué quatre épreuves sportives. Vu les circonstances, pas de football ni de tir à la corde ! Plutôt le bon vieux jeu de l’épervier, un concours nocturne de bras de fer, une compétition de course d’endurance rapide et un tournoi de pétanque.

Nourris par une cuisine qui sut mettre les petits plats dans les grands comme ce délicieux poulet à la bière ou la désormais traditionnelle séance des spaghetti al dente à minuit, les participants ont pris connaissance des réalisations audacieuses entreprises en Pologne par le mouvement Troisième Voie, en Espagne par le Cercle Alphonse Premier et, en Italie, dans la région de Florence, par l’association Casaggi. Ils ont enfin suivi une excellente intervention de Lucien Cerise sur les nouvelles pratiques d’ingénierie sociale intitulée « De la société de la communication au transhumanisme ».

Au terme de ces trois journées fructueuses en discussions et en remue-méninge, tous les convives ont reçu de la part de Gabriele Adinolfi une attestation de participation qui proclame avec fierté que « la fidélité est plus forte que le covid ». C’est ça aussi, l’esprit européen !

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Le message de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, aux Lansquenets d'Europe :

Chers Camarades européens,

Chers Amis Lansquenets,

Cher Gabriele.

En écrivant ces quelques mots, je dois dire que j’éprouve beaucoup de peine. Beaucoup de peine car j’ai la détestable impression d’abandonner un Ami en rase campagne. Et, croyez-le, cela bien malgré moi.

En effet, depuis près de 40 ans que je connais Gabriele, jamais celui-ci ne m’a déçu, il a toujours répondu « présent » lorsque je lui ai proposé de venir participer à l’une ou l’autre des réunions, et Dieu sait qu’il y en a eu de nombreuses, que j’ai organisées à Paris ou en province. Gabriele est toujours venu nous éclairer, ou tout du moins tenter de nous éclairer, car nous autres Français avons parfois du mal à suivre les méandres de l’histoire politique italienne. Mais il ne semble pas nous en tenir trop rigueur puisque, imperturbablement, il continue à prêcher la bonne parole auprès de nos compatriotes qui, non seulement l’apprécient, mais l’admirent car il fait partie de ces hommes qui ont tout sacrifié pour la noble cause qui est la nôtre.

C’est donc avec un infini regret que, cette année, je ne peux pas venir suivre les travaux des Rencontres estivales des Lansquenets. Les quelques mois pénibles que nous venons de passer m’obligeant à remettre en marche beaucoup de choses au sein de nos éditions et organisations et, par conséquent, à rester en Bretagne pour cela.

Le souvenir du merveilleux moment passé parmi vous tous l’an dernier rend ce choix encore plus difficile. Mais ce n’est que partie remise...

Vous allez, durant ces quelques jours, travailler sur les différents projets européens initiés par Gabriele Adinolfi. Ceux-ci sont importants car ils permettent de renforcer la cohésion entre les différentes forces nationales que vous représentez, chacun chez vous, sur notre continent. Ils le sont d’autant plus que nous savons que la riposte aux défis qui nous sont imposés par nos ennemis, quels qu’ils soient, ne peut être qu’européenne. Pour triompher des oligarchies mondialistes qui l’asservissent, l’Europe doit être conçue comme une complémentarité de Nations combattantes. Il en va de l’avenir de notre civilisation.

En fait, la synthèse nationale que nous essayons de réaliser en France est aussi en train de se réaliser en Europe grâce au travail exemplaire réalisé par les différents cercles animés par Gabriele.

Notre ami Georges Feltin-Tracol qui, lui, est parmi vous aujourd’hui vous tiendra informés, si vous le souhaitez, de toutes nos activités en France. Il nous fera aussi un rapport complet sur les travaux et décisions prises lors de ces journées. Rapport que nous diffuserons largement auprès des nationalistes et identitaires de notre pays. Même si, comme je vous l’ai dit, la première partie de cette année 2020 n’a pas été facile pour Synthèse nationale en raison des restrictions et du confinement imposé par le gouvernement, ce ne sont pas les projets d’avenir qui nous manquent.

Je vous remercie, Chers Amis, pour votre compréhension et vous souhaite à tous un bon et studieux séjour en Provence.

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lundi, 03 août 2020

Une tribune dans Le Figaro de Jacques Julliard : Pour une Europe politique...

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Le normalien Jacques Julliard, 87 ans, longtemps journaliste au Nouvel Observateur et désormais chroniqueur à  l’excellent hebdomadaire Marianne est l’un des rares intellectuels de gauche – avec Régis Debray – à n’avoir pas un casque à boulon à la place du cerveau comme ses ex-amis socialistes ou les fols dingues écolos. Il nous livre ici une analyse du monde d’aujourd’hui avec laquelle nous sommes globalement d’accord. L’Occident est mort, nous dit-il, c’est fini. Il faut instaurer une Europe de la puissance face au désordre mondial et à la reconstitution des « empires ». Et ce autour d’un axe Paris-Berlin, incluant les pays du Sud comme l’Italie, l’Espagne et le Portugal. Et marginaliser la Hollande et les pays nordiques qui demeurent dans un espace économique et mental anglo-saxon. Pour une Europe de la puissance et non de la dépendance.

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L’Algérie, ce « poison » tellement français

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Une fois de plus, une fois de trop, nous allons parler de cette chère Algérie, « chère » dans tous les sens du terme, qui n’est plus française depuis juillet 1962, tandis que la France devient, petit à petit et de plus en plus « algérienne ». Ce n’est pas nous qui le disons, mais le président algérien lui-même que se sont donné les quelques électeurs qui ont choisi Mr Tebboune, un pâle apparatchik désigné, en coulisse, par les militaires. Lequel Tebboune nous a éclairés sur le nombre de ses concitoyens vivant en France, 6 millions d’après lui, alors que l’INSEE dans ses statistiques, les minore radicalement – pour ne pas effrayer le « bobo », peut-être ?, nationaux ou binationaux compris.

Ces derniers d’ailleurs, n’étant pas reconnus comme tels par Alger qui, contrairement à Paris, n’entend pas reconnaître, à juste titre, ce statut hybride. Ce qui permet à ces gens-là de voter deux fois, une fois en France en tant que Français « bidon », et en Algérie pour les leurs, cette fois. Pourquoi encore et encore, parler de ce pays qui ne nous veut pas que du bien ? Justement, parce que l’Algérie est un poison pour la France. Poison mémoriel, poison économique et poison sanitaire.

Emmanuel Macron, lorsqu’il était candidat à l’élection présidentielle, avait déclaré à Alger en 2017 que la France, son pays, avait commis « des crimes contre l’humanité ». Après avoir salué dernièrement la veuve Audin, femme du traître du même nom, Il vient de faire restituer les dépouilles des « héros » de « la guerre de conquête » menée dans les années 1830 et suivantes, corps qui ont été inhumés avec faste dans le carré des martyrs, dans un cimetière d’Alger. Il faut tout de même rappeler que si le roi de France Charles X a décidé d’une expédition contre Alger, c’est qu’à l’époque il fallait nettoyer la Méditerranée de ce nid de Barbaresques, nominalement sous la suzeraineté de la Sublime Porte.

Ces pirates musulmans qui capturaient des passagers de bateaux européens pour en faire des esclaves – plus ou moins 7 à 800 000 en trois siècles tout de même ! –, notamment des femmes, dont les plus belles finissaient dans les harems d’Alger, de Tunis ou de Constantinople. Les autorités algériennes vont user et abuser encore des réflexes, de ces mauvais réflexes de repentance, qui habitent la classe politique française. Après la chansonnette sur les tortures, on en vient maintenant à suggérer des réparations financières pour les essais atomiques menés au Sahara qui auraient contaminé les populations.

On pourrait demander, nous aussi, réparation, toujours dans le registre du mémoriel et de la repentance, pour les Pieds-noirs et les harkis assassinés, et pourquoi pas, pour les militants du Mouvement Nationaliste Algérien, le MNA de Messali Hadj, le rival politique du Front de Libération Nationale ? Ces gens-là furent aussi massacrés par le FLN dans des conditions atroces. Et puis, s’il fallait présenter une facture, alors là nous sommes blindés. Les chiffres soulignant l’œuvre française réalisée dans ce pays en 130 ans, parlent d’eux-mêmes.

Algériens, voici la facture de la France !

Voici ce que l’Algérie devrait nous rembourser, et la liste n’est pas exhaustive : 150 hôpitaux avec 30 000 lits, un institut Pasteur, des équipes médicales mobiles parcourant le bled, 80 000 km de routes parfaitement carrossables, 4350 km de chemin de fer, 32 aérodromes, 14 ports modernes, 16 000 km de lignes électrifiées, des barrages, des écoles, des facultés, les prospections pétrolières, pétrole et gaz qui permettent au gouvernement de ce pays de subvenir, pour l’instant, aux besoins alimentaires de 40 millions d’individus.

(Si nous avions pratiqué la même politique génocidaire que certains, en Amérique du Nord ou du sud, ou encore en Australie, ce ne sont pas 10 millions de musulmans que nous aurions laissés, en partant !)

Lorsque fut entreprise la colonisation, désolé d’avoir à le dire, il n’y avait….RIEN ! Ce sont les cultivateurs européens, certes importés sur cette terre de mission qui l’ont défrichée, par exemple en assainissant la plaine de la Mitidja au prix de nombreuses pertes humaines en raison des maladies. Alors Messieurs les apparatchiks du FLN, basta, mezzo vocce s’il vous plaît, un peu de modestie et, surtout, de la reconnaissance.

« Le Zambèze avant la Corrèze »

Vous imaginez qu’avec l’argent et la sueur versés par la France et les Français en Algérie, tout ce qui aurait pu être fait dans l’Allier, la Creuse, le Tarn-et-Garonne ou le Calvados ? Comme le disait le regretté journaliste Raymond Cartier qui écrivait dans les colonnes de Paris-Match à l’époque où cet hebdomadaire était un GRAND journal, ce fut le « Zambèze avant la Corrèze ». Mais ce fut surtout l’honneur de la France d’équiper son empire, d’éduquer et de soigner ses ressortissants.

Alors, oui, encore assez, et vous les Algériens, dites-nous au moins merci, merci par respect pour la mémoire de nos ascendants qui ont bâti avec les autochtones ce pays qui est désormais le vôtre. État indépendant par la seule grâce de Charles De Gaulle, et non pas par la victoire de vos armes !

Mais puisque nous sommes d’affreux colonialistes, pourquoi diable autant d’Algériens viennent-ils chercher chez nous le réconfort sans trop d’effort ? Oui, pourquoi viennent-ils, par exemple, se faire soigner massivement en France, plutôt que chez eux ? Pourquoi Bouteflika venait-il jadis et hier se faire soigner au Val de Grâce ? N’avait-il pas confiance dans les praticiens de son pays ?

Une « coopération » à sens unique

L’Algérie nous exporte certes du pétrole et du gaz, mais en prime elle nous envoie ses malades pour lesquelles elle ne paye jamais l’ardoise à la sécu ! C’est comme pour les nombreux centenaires algériens qui ne meurent jamais et qui continuent de toucher leur retraite….Déficitaire la CNAV ? Voici une piste à creuser…

La nouveauté est arrivée avec le Covid-19. S’il y a une recrudescence de cette pandémie dans notre pays c’est dû, bien sûr, d’abord à l’irresponsabilité de certains de nos compatriotes, disons-le, mais aussi et certainement aux Algériens et autres binationaux qui reviennent d’Afrique, porteurs de la maladie, le sachant, mais qui préfèrent nos lits d’hôpitaux d’exploiteurs, de descendants de colonialistes et autres marchands d’esclaves.

Il faut que ce soit dit. Un certain docteur Philippe Parola signalait sur LCI le 15 juillet dernier, citons-le à peu près de mémoire, « que les nouveaux cas de coronavirus recensés à Marseille où le nombre de contaminations a doublé en un peu plus d’une semaine, sont dus à des gens qui reviennent essentiellement de l’Afrique et du Maghreb », et notamment d’Algérie, où les médecins se désolent de l’irresponsabilité des leurs. La direction générale de la santé reconnaît d’ailleurs qu’il y a un problème. Elle a détecté plusieurs cas de covid-19 éparpillés sur le territoire sur des gens revenant justement, d’Algérie.

L’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris signale que depuis la mi-juin plus de 310 nouveaux cas ont été identifiés, parmi lesquels des personnes arrivant de différents pays africains, dont l’Algérie. Il n’y a pas, là-bas, de tests de dépistage avant embarquement sur les avions ou les ferries, pas plus qu’il n’y en avait ces derniers temps aux arrivées dans les ports ou aux aéroports d’Orly et de Roissy avant, qu’enfin, le gouvernement ne se décide à les rendre obligatoires le 25 juillet. Alors, à propos des exigences et autres remontrances du président algérien, comme l’aurait dit l’abbé Pierre en apostrophant jadis Jean-Marie Le Pen, mais d’une façon plus polie, « Tebboune, tais-toi ! »

Une réconciliation est-elle possible ?

Il ne pourra jamais y avoir une VRAIE réconciliation franco-algérienne, tant que les zones d’ombre de l’une des deux parties seront occultées ou réfutées. Dans une guerre, les deux camps donnent des coups et en reçoivent, ce n’est pas un « match » à sens unique ! L’horreur n’est jamais l’apanage d’un seul « partenaire ».

Comme l’Allemagne hier, comme une Turquie débarrassée, demain, d’un Erdogan, l’Algérie et la France devront faire le ménage dans leur histoire commune. Mais pas sous l’égide d’un Stora propulsé par Macron pour raconter une histoire à sens unique. Cette discipline, par définition, est appelée à être constamment révisée, « revisitée » dirai-je.

C’est à ce prix que les ressortissants de nations jadis opposées ou en guerre contre elles-mêmes, peuvent tourner la page. Dans ce genre d’exercice, gardons-nous de l’exemple criminel des socialistes et autres gauchistes Espagnols, qui veulent rouvrir des plaies qui ne demandaient qu’à cicatriser. Souvent, le temps est un allié précieux…

11:29 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |