mardi, 26 mai 2020
Trump : "J'ai une chance de briser l'État profond"
Un extrait de l’intervention de Donald Trump dans l’émission Full Measure with Sharyl Attkisson du 24 mai 2020."Ce que je fais ? Je combats l’État profond"
Source: E&R
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Test Covid : le président tanzanien pense qu’il se passe des choses étranges
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Le Journal de TV Libertés du mardi 26 mai 2020
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Par-delà le neuvième groupe…
Georges Feltin-Tracol
Pendant la crise du coronavirus, la tambouille politicienne continue. Tout l’univers et même au-delà ont été saisis d’effroi et de terreur, ce dimanche 17 mai : le député du Val – d’Oise, Aurélien Taché, abandonne le groupe de La République en marche (LREM), lui, le macronien historique venu du PS. Il accuse son ancien groupe de trop tendre vers la droite… Deux jours plus tard, un nouveau coup de tonnerre retentit dans les couloirs du Palais-Bourbon. Avec ses 288 députés, LREM perd la majorité absolue et dépend dorénavant des 46 élus du MoDem et des 27 députés UAI (UDI, Agir et Indépendants). Aurélien Taché, Cédric Villani, Guillaume Chiche, Mathieu Orphelin et l’ancienne ministre PS de l’Écologie, Delphine Batho, l’actuelle présidente de Génération Écologie, s’associent dans un neuvième groupe de 17 membres intitulé « Écologie, Démocratie, Solidarité ».
Depuis juin 2017, LREM subit une déperdition constante de ses effectifs entre exclusions fracassantes et départs plus ou moins volontaires. Son président, Gilles le Gendre, et le délégué général du parti présidentiel, Stanislas Guérini, prouvent à tous leur incompétence réelle à diriger un collectif, fut-il, de godillots. Pour bien tenir les membres, il aurait fallu toute l’expérience d’un Benjamin Griveaux…
La quinzième législature de l’Assemblée nationale sous la Ve République enregistre le record du plus grand nombre de groupes parlementaires. Qu’il est loin le temps dans les années 1970 où seuls quatre groupes (PCF, PS, UDF, RPR) couvraient presque tout l’hémicycle. Ce foisonnement ne reflète pourtant pas l’état véritable des forces politiques françaises. Les groupes UAI et GDR (Gauche démocrate et républicaine) constitué autour des derniers communistes, émanent de formations groupusculaires. Il existe aussi un groupe, plus technique que politique, de 19 députés dont Jean Lassalle, les autonomistes corses, le radical de gauche Olivier Falorni, des centristes proches d’Hervé Morin, des divers-gauche et des divers-droite, « Libertés et Territoires », qui s’inspire de « République et Liberté » (1993 – 1997). Présidé par le très conservateur député-maire de Tours, Jean Royer, ce groupe transpartisan comptait parmi ses 27 membres le centriste Jean-Louis Borloo, des communistes réunionnais, Bernard Tapie, des chevènementistes ainsi que des radicaux de gauche.
« Libertés et Territoires » et « République et Liberté » se réfèrent à la « Formation administrative des non-inscrits » (FANI) présente au cours de la première législature entre 1958 et 1962. D’une quarantaine de membres, dont le démocrate-chrétien ligérien Eugène Claudius-Petit et le divers-droite niçois Jean Médecin, ce groupe laissait cependant à l’écart 36 autres non-inscrits dont les dix députés communistes. Bien que deuxième force politique derrière les gaullistes, le PCF n’avait pas pu constituer de groupe. Jusqu’en 1988, l’article 19 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale exigeait un minimum de trente députés pour en former un et ainsi bénéficier d’un plus grand temps de parole, de plus de moyens matériels ainsi que de plus de personnel. En 1988, pour complaire aux communistes, le seuil s’abaisse à vingt députés. En 2009, sur la demande des centristes, Nicolas Sarközy ordonna à sa majorité de diminuer encore le seuil à quinze députés !
Il va de soi que si l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne détenait une vingtaine de sièges, le quorum remonterait aussitôt à trente, voire à quarante ou cinquante élus. Dans le second tome de ses mémoires, Tribun du peuple (Éditions Muller, 2019), Jean-Marie Le Pen rappelle qu’entre 1986 et 1988, le groupe FN – RN fut l’objet de tentatives fréquentes de débauchage de la part de la courte majorité RPR – UDF afin de provoquer sa disparition immédiate. Le cas s’est finalement produit en 2016 avec l’explosion du groupe Vert. Tandis que quelques députés verdâtres s’apparentaient au groupe PS, les autres rejoignaient le rang des non-inscrits portés à vingt-cinq, un autre record !
Avec six députés RN, deux divers-droite (Emmanuelle Ménard et Nicolas Dupont-Aignan), l’élue vauclusienne de la Ligue du Sud et un député Les Patriotes, le courant national se voit toujours privé de groupe, ce qui le contraint de siéger avec trois dissidents marcheurs atypiques chez les non-inscrits. Pour l’ancien FN, c’est une habitude tenace depuis 1989 avec Marie-France Stirbois, 1997 avec l’éphémère Jean-Marie Le Chevallier et en 2012 avec Marion Maréchal et Gilbert Collard. S’agirait-il d’une « malédiction » fortuite de Jean Fontaine (1922 – 2014) ? Député de La Réunion à partir de 1968, ce gaulliste très anti-communiste, ancien des Forces françaises libres au physique assez typé, devient non-inscrit à partir de 1978. En novembre 1984, il adhère au Front national et est ainsi jusqu’en 1986 le tout premier député frontiste de la Ve République. Il préside ensuite l’association des élus du FN.
Que ce soit au scrutin majoritaire à deux tours ou au mode proportionnel, le processus complexe de décomposition et de recomposition des forces politiques de l’Hexagone se poursuit et s’accélère. Une véritable assemblée populaire, organique et nationale ne devrait pas accepter des fractions politiciennes litigieuses et factices, mais plus sérieusement les vraies forces vives du travail, de la famille et des patries charnelles de la France européenne.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°173.
Europe Maxima cliquez ici
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Eric Zemmour explique l'esclavage... Pas vraiment "politiquement correct" !
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Les grenouilles se cherchent (encore) un roi.
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lundi, 25 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du lundi 25 mai 2020
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Face à la menace d'extrême gauche notre camp doit se renforcer.
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Philippe Douste-Blazy dénonce l’étude anti-chloroquine et lance un (énorme) pavé dans la mare !
Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là
Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.
Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.
« Pourquoi des scientifiques reconnus fausseraient-ils des données médicales aussi importantes ? » lui demanda alors Apolline de Malherbe, qui l’interrogeait. La réponse de Douste-Blazy vaut le détour. Selon lui, une revue de renom comme The Lancet, comme d’autres revues aussi reconnues, sont désormais sous l’influence directe des multinationales du médicament. Les sommes en jeu sont tellement énormes que les labos financent en sous-main certains articles. « Si le laboratoire américain Gilead annonce qu’une de ses molécules marche, le Wall Street journal reprend cette info le lendemain et la hausse immédiate du cours de Bourse fait gagner quatre milliards de dollars aux actionnaires. Les laboratoires ne peuvent laisser passer cette chance unique de faire des profits colossaux », selon Douste-Blazy.
À travers les annonces fracassantes de l’ancien maire de Lourdes, et surtout ancien ministre de la Santé, on comprend que l’étude en question pourrait n’être qu’une tentative de déstabilisation du professeur Raoult par les multinationales, pour le discréditer et se donner du temps pour proposer leurs solutions. Au demeurant, Philippe Douste-Blazy a cité comme exemple le laboratoire Gilead : est-ce fortuit, quand on sait que cette société a investi des sommes énormes pour sortir le vaccin avant tout le monde ?
« Si on m’avait dit, après vingt ans de recherche, que je verrais de pareilles choses, je n’y aurais pas cru une seconde », a conclu Douste-Blazy, visiblement abasourdi par ce pavé qu’il a lui même lancé dans la mare. Voila donc à quoi tiendrait la santé publique à échelle mondiale, la survie de millions de malades, les cours de Bourse des multinationales de la santé ? Si les nations ne reprennent pas la main au plus vite, l’avenir de tous sera et restera entre les mains des financiers.
NDLR - SN : je ne pense pas que nous partageons beaucoup d'idées communes avec Philippe Douste-Blazy. Cependant, si celui-ci dit qu'il fait nuit à minuit et jour à midi, nous n'allons pas nous évertuer à essayer de lui prouver le contraire... Or, dans ses récentes prises de positions sur ce qu'il est convenu d'appeler l'"affaire de la chloroquine", force est de reconnaître que cet ancien ministre de la Santé, médecin de surcroit, tient bon sur une position courageuse allant à l'encontre de la pensée dominante encadrée. Qu'il en soit donc félicité.
R.H.
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Tout doit disparaître
Par Romain Guérin
Une grave crise économique pointe le bout de son vilain nez. Faillites d’entreprises, licenciements groupés via internet, fermetures d’usines. Avant le coronavirus, tout allait très bien madame la Marquise, on ne déplorait pas même un incident, pas même une bêtise. Le secteur financier était vertueux, les banques étaient saines, la corruption et l’esclavage des femmes et des enfants avaient disparu de la surface de la planète. Le plein emploi régnait en France et les travailleurs, une pâquerette au bord des lèvres, sifflotaient joyeusement en partant au travail. La terre jouissait d’un printemps perpétuel, les fruits et les légumes poussaient tout seuls, les maladies et la souffrance n’existaient pas, l’homme vivait presque éternellement. Bref, c’était l’âge d’or. Là, tout n’était qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Et puis survint du fin fond du puits des Enfers, la bête immonde de l’apocalypse : le monstrueux pangolin. Après lui, un déluge universel ruina en deux petits mois la citadelle cosmopolite imprenable qui protégeait ce paradis déjà perdu.
Vous avez compris braves gens, la catastrophe qui vient, c’est la faute du COVID-19 et seulement du COVID-19. Ne cherchez pas plus loin. C’est la version officielle. Toute contestation de celle-ci sera considérée comme complotiste et antisémite. La cause de cette dé- pression étant naturelle, il n’y a point de responsables, il est donc vain que la populace rêvasse à de beaux procès ou de belles potences. C’est la faute de monsieur Pas-de-chance. Pas de responsable. Pas de coupable. A la foule massée sur la place de grève, curieuse de découvrir la couleur du sang des assassins, circulez ! Il n’y a rien à voir ! Rentrez chez vous ! Le spectacle est une fois de plus annulé, la justice est depuis bien longtemps souffrante, elle est incapable d’assurer ses représentations.
Monsieur Pas-de-chance étant insolvable, il va falloir faire preuve d’inventivité et de malice pour trouver l’agent. Après Jean-Michel Apathie qui raserait bien le château de Versailles « pour que nous n’allions pas là-bas cultiver la grandeur de la France », après Brigitte Trogneux, épouse Macron, qui va brader le mobilier national au pro- fit de sa propre association « Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France », au concours Lépine de la grande liquidation française, la palme est décernée ce mois-ci à Stéphane Distinguin, PDG de la société Fabernovel. Ce philanthrope soutenu immédiatement par Claude Askolovitch, un autre grand ami du genre humain, propose ni plus ni moins, de vendre La Joconde pour 50 milliards d’euros, car « vendre de l’ancien pour faire du nouveau, du patrmoine pour de la création, c’est la marque d’une nation qui croit en son avenir et ses artistes ». Pour lui, nous n’avons pas d’autres choix : il faut vendre nos bijoux de famille « pour permettre à des artistes, des intermittents du spectacle, toute une filière et une industrie de manger et de créer nos futures Joconde ». Si je comprends bien, pour sauver le plug anal géant de la place Vendôme et permettre aux punks à chien de continuer à faire du yoyo au feu rouge, il n’existe qu’un seul moyen : que les Français vendent leurs tableaux de maîtres, qu’ils échangent avec des rastaquouères leur patrimoine inestimable contre de la monnaie de singe.
Deux questions me chatouillent immédiatement l’esprit. Premièrement : en quoi ce que nous désignons par le « monde de la culture » mérite d’être sauvé ? Deuxièmement : aliéner ses trésors nationaux à des vendeurs de ta- pis est-il vraiment la seule ressource financière que la France possède désormais ? Si nous en croyons Stéphane Distinguin, vendre La Joconde permettrait de faire vivre des artistes pour qu’ils créent nos futures Jocondes. Pour ce faux candide, Jack Lang possède les mêmes exigences esthétiques que François 1er et nos 250 000 intermittents du spectacle sont tous des Léonard de Vinci en puissance. Dans un monde normal, en faisant de telles déclarations, Stéphane Distinguin serait pris pour ce qu’il est, à savoir le Ravi de la crèche, l’idiot du village qui nous fait rire autant que pitié. Depuis que l’Etat s’est fait le mécène de toutes les loufoqueries qui allaient dans son sens, c’est-à-dire vers le bas et la boue, combien de chefs-d’œuvre immortels la France a-t-elle offerts à l’humanité ? Réponse : zéro, la bulle, nada, la tête à Toto.
En ce qui concerne les ressources dont la France dispose, elles sont multiples et importantes. Au lieu de vendre nos forêts aux Chinois, au lieu de livrer nos châteaux aux princes arabes, nous pourrions tout simplement, au choix : se servir sur le budget délirant de l’immigration ; aller chercher les grosses valises de fraîche dans les paradis fiscaux ; récupérer l’immense magot de la fraude sociale. Les Français sont des moutons résignés. La république les a dressés à merveille. A chaque fois que l’Etat a besoin d’argent, le Franchouille de base baisse la tête et se dit :
« Allez, c’est encore moi qui vais devoir payer. » Le veau dans les fers de l’abattoir a dans les yeux plus d’espoir de s’en sortir que Jean Dupond devant sa feuille d’impôt. Jean Dupond ne sait plus ce qu’est le volontarisme poli- tique, pour lui, rien n’est possible ou alors vouloir faire des choses, c’est forcément bousculer des personnes et des habitudes, bref c’est violent. Fasciste. Pas bien donc. Jean Dupond n’a plus de coucougnettes, mais il n’a plus bien de jugeote non plus. Il ne voit pas l’alibabesque gabegie que les barons mondialistes font avec son pèze. Jean Dupond, sais-tu qu’avec la sueur de ton front, tu finances des milliers d’associations comme : Solidarité inter lesbien gay bi ; Cameroun et Solidaire Team Tuk Tuk (solidarité à l’égard des pays en développement) ; Solidarité femme algérienne démocrate (intégration et accès à la nationalité française) ; Africlap ; Africolor ; Africultures, Afrika Tiss ; Afriques et noues ; Afrique étoiles ; Afrique pleine d’avenir ; Afrique en scène ; Afrique sur Bièvre, Afrika Dance Perku. J’en passe et des meilleurs !
Tu sais, toi le pigeon, toi la vache à lait, Dieu a dit à l’homme : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Il a bien dit TON pain. Dieu dans son immense sagesse, n’a pas dit : « Tu gagneras par ton travail non seulement ton pain, mais celui de tous les Africains. » Il n’a pas dit non plus : « Tu feras des heures supplémentaires pour payer le dernier iPhone à des clandestins et les prothèses de tous les boiteux de la terre » et encore moins « il te faudra prostituer tes enfants pour payer les safaris de BHL, les hôtels d’Attali et les petites sauteries de DSK »
Source : Présent 26/5/2020
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dimanche, 24 mai 2020
Pourquoi les Bourses mondiales jouent aux montagnes russes
Marc Rousset
La Bourse de Paris a repris 5,16 %, lundi 18 mai, suite à un nouveau vaccin américain qui a soulevé des espoirs irréalistes et démesurés. La place new-yorkaise a terminé aussi chaque jour dans une direction différente, depuis le début de la semaine, signe d’une forte volatilité. En fait, les Bourses sont assises sur un volcan car elles se refusent à voir l’éléphant de la crise économique qui attend dans le couloir.
C’est bien l’Union européenne qui empruntera 500 milliards d’euros avec la garantie de tous les États de l’UE, mais l’UE ne pourra rembourser ces emprunts qu’avec un nouvel impôt européen, ou en demandant aux États de rembourser en fonction de leurs pourcentages respectifs dans le PIB de l’UE. Des subventions seraient accordées à certains pays ou à des secteurs économiques en fonction de leurs besoins, et il y aurait donc bien mutualisation au niveau de l’UE avec un taux d’emprunt plus faible et redistribution des ressources vers les plus démunis. Mais la chancelière Merkel a seulement fait un geste politique : l’Allemagne, grande gagnante du système actuel, suite au laxisme des pays du Sud, leur a seulement proposé un os à ronger.
Les pays sérieux et frugaux tels que l’Autriche, la Hollande, la Suède, le Danemark et la majorité des Allemands n’ont pas encore dit leur dernier mot et peuvent contre-attaquer en demandant que des prêts soient accordés et non pas des dons, tout cela se terminant probablement par un mixage prêts/dons. De plus, ces 500 milliards ne représentent que 3,6 % du PIB de la zone euro (14.000 milliards d’euros), soit une goutte d’eau par rapport à l’hyperendettement existant (95 % du PIB) et à l’océan des besoins. L’Allemagne va dépenser 900 milliards d’euros pour ses propres problèmes, la France 500 milliards d’euros. La réalité, c’est qu’il y a toujours deux forces pour mettre fin à l’euro : l’Allemagne qui ne veut pas payer pour le « Club Méditerranée des pays du sud », qui se retranche derrière les traités de l’Union européenne et la Cour de Karlsruhe ; et, d’autre part, l’Italie, avec la France dans sa roue, qui va très vite se retrouver dans une situation impossible, n’ayant plus que la dévaluation d’une nouvelle monnaie nationale pour faire face à ses obligations.
L’espoir de reprise économique en V est risible. La dette des pays de l’Union européenne pourrait passer à 120 % du PIB d’ici fin 2020. Pour tous les économistes, le pire est à venir, la crise du coronavirus n’étant que le verre d’eau qui fait déborder le vase déjà plein en janvier 2020. Le MEDEF propose d’étendre la prime des voitures électriques boudées par les Français aux 700.000 voitures thermiques que les constructeurs ont en stock et dont ils ne savent que faire.
Le plan franco-allemand a ramené le taux d’emprunt italien, qui était monté jusqu’à 2,228 %, à 1,601 %, mais l’endettement italien devrait bondir de 135 % du PIB à 155 % du PIB d’ici fin 2020, soit 2.400 milliards d’euros. De nouvelles frictions avec les pays « frugaux » pourraient faire remonter les taux italiens à la verticale.
La tendance à long terme de l’or, si l’on considère un simple graphique depuis 1971, est clairement à la hausse, avec l’index technique actuel du RSI (relative strength index) de 70 qui renforce la probabilité. La Bourse américaine est toujours surévaluée avec un ratio P/E (cours/bénéfice) qui est actuellement de l’ordre de 30. Le métal précieux pourrait atteindre les 3.500-4.000 dollars l’once dans les trois années à venir. Rien d’étonnant puisque le bilan de la Fed est en train d’exploser, fin mai, à plus de 7.000 milliards de dollars, alors qu’il était à 4.200 milliards de dollars, seulement, fin février 2020.
Si l’on évalue le coût de la facture des dépenses de l’État fédéral pour éviter le coût de la Grande Dépression aux États-Unis, ce pourrait être jusqu’à 10.000 milliards de dollars, soit une augmentation de 50 % de la dette publique américaine, alors que l’on est, à ce jour, à 2.000 milliards de dollars, avec une demande supplémentaire des démocrates de 3.000 milliards de dollars. C’est toujours la même chanson partout dans le monde : toujours plus de dépenses publiques et de dettes !
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods (Gold Exchange Standard).
20:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gérard Darmanin, vous mentez !
Invité ce dimanche du Grand-Jury RTL- Le Monde, Gérard Darmanin qui cumulera donc désormais la gestion de la ville de Tourcoing et la charge du ministère du Budget et des comptes publiques, tout en entretenant soigneusement ses réseaux politiques, économiques et sociétaux patiemment tissés pour lui permettre de gravir une à une les marches de la République conformément à la haute idée qu'il se fait de lui même et en vertu de l'étendue de son ambition, ment deux fois.
20:56 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ÉLOGE DES FRONTIÈRES...
Franck Buleux Meta infos
Dans les débats qui ont précédé à la période de confinement que nous vivons, la rhétorique politiquement correcte était assez simple, voire simpliste et répétée à l’envi sur tous les médias, en substance le virus n’a pas de frontières, alors il est inutile de fermer celles-ci.
Argument imparable car totalement absurde, comme si le virus avait une quelconque autonomie de déplacement.
Mais revenons-en aux frontières, au Limes, aux limites territoriales des pays. D’abord, à quoi servent-elles s’il n’y en a plus ? L’Union européenne (UE) a mis en place l’espace Schengen. Cet espace européen, qui inclut 22 États de l’Union et les 4 États de l’AELE (la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l’Islande). On peut noter que parmi les micro-États européens dotés de souveraineté nationale, le Vatican, la République de Saint-Marin et Monaco ont mis en place cet accord, en raison des accords passés respectivement avec leurs voisins, l’Italie et la France, au sein desquels ils sont enclavés.
Cinq pays de l’UE n’ont donc pas ratifié cet accord : l’Irlande, la Bulgarie, Chypre, la Croatie et la Roumanie mais à court terme, seule l’Irlande n’a pas prévu d’intégrer ce marché de près de 500 millions d’habitants. Donc, l’avenir est à la disparition des frontières. C’est ainsi… [et l’on discutait déjà dans les couloirs moribonds de Bruxelles de l’élargissement de l’État mafieux albanais – note de la rédaction de Méta Infos]
Admettons-le et revenons-en à notre ennemi. Ainsi, nos médias assimilent la pollution radioactive de Tchernobyl au virus Covid-19. Et chacun de répéter, inlassablement, son refrain : il n’y a pas de frontières pour la pollution atmosphérique, donc il n’y a pas de frontière pour les virus…
Mais quelle ineptie à laquelle personne n’ose, ou ne daigne, répondre. Admettions que la pollution se propageant dans l’air ne subit pas les frontières territoriales. C’est un fait, mais personne ne remet en cause cette vérité, même si personne n’en a tenu compte en 1985. Cependant, les virus ne s’infiltrent pas dans l’atmosphère, ils ne voyagent pas de manière autonome, il leur faut un porteur, une espèce de cheval de Troie.
Car il n’est pas nécessaire d’être un savant pour comprendre qu’un virus doit avoir un média, si vous préférez. Une fake news ne se déplace pas seule, un média lui est nécessaire, comme toute information d’ailleurs, même vraie. Aussi, le virus doit se déplacer grâce à un être vivant, être humain ou animal.
Ici, les gouvernements mondialistes ont poussé des cris d’orfraie, des hourvaris à l’idée de contrôler, voire de fermer les frontières. Comprenons-nous, ce n’est pas parce que ces gens ne savent pas, c’est parce que ces gens ne veulent pas. Pour un Bobo progressiste, il est inconcevable qu’un individu ne puisse pas se déplacer, non pas à travers un canton ou un département, mais via le monde. Pour ces progressistes dont le monde est un terrain de jeux, Orly est comme un arrêt de bus pour un habitant de notre monde rural ou péri-urbain. Pour ces progressistes mondialisés, Charles-de-Gaulle est avant tout un aéroport. À ce sujet, testez d’ailleurs nos nouveaux arrivants, vous verrez la popularité aérienne de « Mon Général ». L’aéroport est plus connu que l’apport du gaullisme à la société française, à moins de penser à la négligence de cet apport… mais c’est un autre débat !
Les frontières sont faites pour définir, pour délimiter, pour distinguer. Quoi de mal à cela ? Le Covid-19 nous réapprend, pour ceux qui ouvrent les yeux, l’utilité des frontières.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Les frontières sont fermées, Orly et Roissy – Charles-de-Gaulle ne jouent plus leur rôle d’« arrêts de bus » mondialisés. Et alors ?
« Nous sommes en guerre », nous a déclamé le Président. Mais être en guerre, c’est se protéger, c’est précisément la fermeture des frontières.
Hier encore, le 4 avril, un ennemi bien réel celui-là, migrant soudanais, abreuvé à l’islamisme militant et au fanatisme sacré, assassinait deux personnes et en blessait plusieurs autres à Romans-sur-Isère, dans la Drôme confinée. Ce Soudanais avait donc passé au moins une frontière, sans doute beaucoup plus pour rejoindre les bords de l’Isère.
Nos ancêtres délimitaient leur territoire, le plus souvent en fonction de la langue parlée ou des reliefs territoriaux.
Il serait temps de restaurer la réalité et l’identité de nos frontières nationales, seules protections face aux ennemis. Certains me répondront qu’il y a des ennemis intérieurs. Oui, c’est probable mais l’ennemi intérieur puisse sa force, sa haine à l’extérieur.
D’une Chine complètement étrangère à l’hygiène à un monde musulman qui convertit, hélas, nombre de nos jeunes pour les rendre ennemis de leur propre nation, l’origine de nos malheurs vient d’au-delà de nos frontières.
Sans doute le libéralisme politique et le progressisme ont le même but, la destruction des frontière, utile aux marchands et aux propagateurs de sociétés sans âme.
Si l’acte de Romans-sur-Isère n’émeut plus grand monde, si ce n’est les familles des victimes, Ciovid-19 arrive encore à le faire. Cette pandémie, du fait de la rapidité de la contagiosité du virus, peut nous permettre d’ouvrir les yeux.
Alors si on nous impose le masque, de grâce, pas sur les yeux !
Note complémentaire de la rédaction de Méta Infos :
À propos de Romans-sur-Isère, on aura remarqué deux choses : la célérité avec laquelle la nationalité du fanatique musulman et de son statut de « réfugié en attente » aura été déclarée dans les merdias qui pour une fois n’ont ps sorti l’excuse habituelle des « troubles psychiatriques » comme une sorte de changement de fusil d’épaule ? Et, quant à la situation épidémique en Seine – Saint-Denis et dans les quartiers dits « sensibles » comprenez « ethniques », l’absence en particulier de mise en application du couvre-feu ne traduirait-elle pas le refoulé d’un gouvernement nouvellement « raciste » dont certains membres souvent transfuges républicains auraient déclaré dans certains couloirs « bon débarras »? Enfin, quid de la couverture des 5 000 libérations dans les prisons ? Quid de la situation déjà catastrophique et inhumaine des hôpitaux psychiatriques ?
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Espagne : énorme succès pour les "Caravanes de la Libertés" lancées dans tout le pays par VOX...
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samedi, 23 mai 2020
Ecole, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé vous décourage d'apprendre et d'acheter
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Est-ce vraiment de Montcornet qu’il faut parler ?
André Posokhow
Pour faire oublier son incurie dans la lutte contre l’épidémie, Macron, en pleine opération de communication relayée par les médias bien-pensants, a souhaité célébrer la « victoire » de Montcornet qui aurait été remportée par le colonel De Gaulle le 17 mai 1940.
Il n’y a pas eu de victoire, ni même un succès. Il y a eu, sur ordre supérieur, l’engagement de l’embryon de la 4e DCR, pour ralentir le déferlement ennemi afin de barrer la route de Paris. Cette action qui a surtout été un va et vient, s’est traduite par des pertes sensibles et un échec tactique et stratégique, les blindés de Guderian poursuivant leur avance sans désemparer.
Il ne s’agit pas de gaullisme ou d’antigaullisme mais de refuser d’être dupe d’un bobard à répétition.
Au moins le chef d’une grande unité, incomplète, sous équipée et sous entrainée, a tenté de faire front et de retourner le destin.
Nous verrons si les mêmes bouffons, épris de mensonges et d’inculture historique, oseront parler de « victoire » au sujet de la bataille d’Abbeville. Celle-ci, il y aura tout juste 80 ans la semaine prochaine, a répondu à la volonté du généralissime Weygand de rétablir une tête de pont sur la Somme. L’attaque franco-britannique s’est déroulée d’une manière peu coordonnée en trois phases successives, conclues après des premiers succès par un échec définitif. Il ne ressort pas des études historiques, notamment des ouvrages d’Henri de Wailly, que le désormais général De Gaulle s’y soit montré sous le meilleur jour au plan du commandement et de la maitrise tactique de ses unités.
La tentative de Montcornet ne fut pas solitaire et il faut espérer que seront évoqués les combats furieux qu’au sein de ce désastre, de nombreuses autres unités ont livrés sans espoir, aux forces allemandes.
Citons les affrontements de Hannut, Gembloux, Flavion où nos unités mécaniques se montrèrent à la hauteur de leurs adversaires, la bataille de Stonne (village qui changea de mains dix sept fois) dont des Allemands comparèrent la férocité à celles de Verdun ou Monte Cassino, les batailles de Lille et Dunkerque qui permirent la désertion et l’évacuation des troupes anglaises, la résistance de la 14e DI du général de Lattre à Rethel, les sacrifices de notre aviation, les chasseurs alpins et la Légion à Narvik, ou enfin l’armée des Alpes invaincue menée par un grand soldat : le méconnu général Olry.
Ces combattants méritaient un autre chef que le général Gamelin qui, choisi par le pouvoir en place et en particulier Edouard Daladier à cause de sa souplesse d’échine, fut placé à la tête de l’Armée française pendant les années 30.
Nous pouvons être certains qu’en revanche, l’ardoise des responsabilités de la classe politique française de l’entre-deux guerres, majoritairement de gauche, sera occultée ou refilée aux seuls militaires qu’elle avait pourtant désignés.
Ce régime politique a vécu dans la licence et a sombré dans la défaite : laxisme politicien, instabilité gouvernementale, faiblesse démographique, atonie économique, incompétence financière (sauf Raymond Poincaré et Paul Raynaud), retards considérables dans le domaine social.
Dès l’après-guerre les gauches pacifistes et antimilitaristes ont désarmé moralement et intellectuellement les Français. Ce fut patent avec l’incompréhension du phénomène du nazisme, et l’appel au désarmement jusqu’en 1936. Léon Blum porte en ce domaine une responsabilité immense.
C’est bien cette classe politique incapable qui laissa l’Allemagne préparer méticuleusement un nouveau conflit dès 1920. Elle ne lança effectivement le réarmement français qu’en 1938, cinq ans après l’arrivée d’Adolf Hitler. Ce retard a certainement été l’une des premières causes du désastre. La gauche parlementaire fit longtemps obstruction à la constitution de divisions blindées, le pouvoir politique désigna des généraux en chef quasi-septuagénaires et la mobilisation industrielle fut inefficace
En diplomatie nos gouvernants se mirent à la remorque de la Grande Bretagne et c’est sous sa pression, dans les pires conditions et sans un vote parlementaire conforme à la Constitution qu’Edouard Daladier déclara la guerre à l’Allemagne
La France partit en guerre sans alliés, sinon les Britanniques dont la contribution au combat commun qu’ils ont imposé en septembre 1939 fut dérisoire, les Américains étant isolationnistes, les Polonais écrasés, les Belges neutres, les Italiens hostiles et les Soviétiques alliés des Allemands.
La France a payé l’addition de toutes les erreurs, les fautes et les lâchetés politiques, stratégiques et militaires accumulées depuis les années 20 par la classe politique de la IIIe République : Edouard Herriot, Léon Blum, Edouard Daladier, Maurice Gamelin, Pierre Cot et de leurs tares : idéologie, incompétence, absence de lucidité, de fermeté et de courage, concrétisées par l’affaire Stavisky, la tuerie du 6 février 1934, la Rhénanie, l’Anschluss, l’échec du Front populaire, Munich et Sedan.
Il est angoissant de constater à quel point la leçon a été aujourd‘hui oubliée. Alors que les menaces se multiplient, ces erreurs et ces fautes se retrouvent dans les politiques de notre classe politique depuis quarante ans : une soumission identique à des puissances étrangères, une diplomatie indigne de ce nom, une puissance militaire dégradée et une situation économique et financière en lambeaux auxquelles il faut ajouter aujourd’hui une 5e colonne de millions de personnes sur notre sol.
L’invocation de la mémoire du général De Gaulle par un président illégitime n’y changera rien et n’est destinée qu’à nous tromper.
Sur l'affaire Montcornet cliquez ici
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Rendez-nous Georges Marchais !
Par Christophe Lafosse
« Taisez-vous Elkabbach ! » Meilleure punchline, meilleur coupage de sifflet de l’histoire de la télé. Et même si Georges Marchais est moins l’auteur de la sommation que Thierry Le Luron, la figure de proue du national-conservatisme communiste français, sa gouaille bourrue, sa connerie têtue, nous enchante avec nostalgie. Comme une revanche posthume contre les sempiternelles tête-à-claques du PAF 70’s, toujours présentes, tel Alain Duhamel, au moins 100 ans, sa coupe de cheveux de mongolien, son regard de veau, ses costumes de trisomique et ses opinions bien convenables en deçà du robinet d’eau tiède et de la connerie vasouilleuse d’idiot utile parvenu.
« Liliane, fais tes valises »
Taisez-vous, chefs de service d’immunologie, consultants éco-développés, coachs sportifs, cuisiniers du dimanche, psychothérapeutes de pacotille, chanteurs solidaires et acteurs moralistes. Le confinement aura beaucoup beurré ses tartines de l’ennui et de la vacuité des enfants bien nourris, ces prisonniers du banal, tortionnaires du désœuvrement. Le nombre de morts actuel demeure toujours inférieur à une journée de guerre de 14-18.
« Liliane, fais tes valises, on rentre à Paris ! » Autre saillie de Marchais face aux deux mêmes Dupondt, lorsqu’il raconte qu’en vacances en Corse avec sa femme en 1980, il entend devant sa télévision François « Mittrrrand » refuser de s’engager sur l’existence d’une défense nationale indépendante – incroyable PCF – avec trahison du programme commun.
La veuve de l’ancien secrétaire général du Parti communiste vient de faire définitivement ses valises. Elle est morte du Covid-19, seule, dans un EHPAD de Champigny-sur-Marne.
Relisons Jean Baudrillard en ses Cool Memories (1987-1990) : « La révolution du ʺvécuʺ est la pire, celle qui a levé le secret dont chacun entoure sa propre vie pour la transformer en reality show. Ce qui a été libéré à travers toutes les révolutions du désir, de l’expression, du phantasme, de l’analyse, ce n’est pas la dramaturgie de l’inconscient ni le théâtre de la cruauté, mais le théâtre de la banalité. L’interdit n’a pas été levé sur les pulsions mais sur la trivialité, la naïveté, d’idiosyncrasie, l’idiosyncrétisme. Ce qui a été libéré, ce n’est pas la singularité mais la bêtise spécifique de chacun, c’est-à-dire celle qu’il partage avec tous les autres. »
Source : site de la revue Eléments
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Journal du chaos
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RAPPEL : SAMEDI 10 ET DIMANCHE 11 OCTOBRE 2020, À PARIS-RUNGIS...
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MONTCORNET : L’HISTOIRE… ET LA LÉGENDE
Pierre Vial
Macron essaye de se rattraper aux branches et pour cela tout lui est bon.
Illustration : le numéro qu’il a fait à Montcornet, le 17 mai, pour célébrer la « victoire » exemplaire remportée par un certain colonel De Gaulle, commandant la 4e division cuirassée, la plus importante, en 1940, des grandes unités blindées de l’armée française (364 chars).
Il était censé bloquer l’offensive allemande. En fait, sur 88 chars français engagés, 23 ont été détruits par le feu antichar allemand et les blindés du général Ewald von Kleist ont continué leur progression vers Cambrai et Saint-Quentin avant de s’arrêter… sur ordre d’Hitler.
De Gaulle est toujours resté très discret sur l’épisode de Montcornet mais ses thuriféraires se chargèrent de bâtir sa légende. Les historiens (les vrais) savent ce qu’il en est mais ont choisi pour la plupart de rester prudemment discrets. On sait que le courage n’est pas la vertu principale de la plupart des universitaires…
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vendredi, 22 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du vendredi 22 mai 2020
21:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nous sommes devenus des virus pour la planète
Anthropologue, spécialiste des Jivaro achuar, en Amazonie équatorienne (Les Lances du crépuscule, Plon, 1994), Philippe Descola est professeur au Collège de France et titulaire de la chaire d’anthropologie de la nature. Disciple de Claude Lévi-Strauss, médaille d’or du CNRS (en 2012) pour l’ensemble de ses travaux, Philippe Descola développe une anthropologie comparative des rapports entre humains et non-humains qui a révolutionné à la fois le paysage des sciences humaines et la réflexion sur les enjeux écologiques de notre temps, dont témoignent notamment Par-delà nature et culture (Gallimard, 2005) et La Composition des mondes (entretiens avec Pierre Charbonnier, Flammarion, 2014). Lire ICI
Source : Le Monde 21-22/05/2020
13:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’exemple chinois de reprise en main de la population pourrait être exportable, lui aussi…
« La stupidité est souvent sœur
de la cupidité et, en la matière, les dirigeants ont
montrés leur immense aptitude »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
Après dix jours de déconfinement, peut-on déjà tirer des conclusions sur la gestion de la crise ?
Rien qui n’ait été dit et redit et qui désormais ne fait plus de doute : nombre de gouvernements occidentaux, confrontés à l’épidémie, ont choisi de terroriser leurs populations ; la question est de savoir si eux-mêmes ont cédé à la peur – ce qui serait impardonnable pour des dirigeants sensés être maîtres de leur nerfs – ou s’ils ont décidé d’utiliser l’épidémie à leur avantage en orchestrant une panique injustifiée.
C’est-à-dire ?
La Chine a la première – et surtout très médiatiquement – mise en scène le confinement intégral de trois villes de la province de Hubei (dont Wuhan où le premier cas de Covid-19 a été signalé en octobre 2019), puis ceux, dans une moindre mesure, de Shanghai, Pékin et Hong Kong début 2020. Il n’est pas impossible que la Chine ait la première instrumentalisé l’épidémie pour reprendre en main sa population –un peu trop assoiffée ces dernières décennies de libertés individuelles –, et réussi à paniquer les États-Unis et l’Europe pour les pousser au confinement, ce qui entraînait automatiquement la détérioration de leurs économies… La Chine ayant arrêté bien avant eux les mesures de confinement – qui n’ont touché qu’une toute petite partie de son immense territoire –, elle prenait ainsi un avantage économique certain.
Un tel scénario est tout de même dangereux pour leur propre avenir économique : l’Europe et les États-Unis semblent réfléchir désormais à relocaliser nombre d’activités de première importance dont, évidemment, les fameux masques de protection qui nous ont tant fait défaut.
Ce ne sont pour l’instant que des déclarations d’intention – de réflexions, dixit le président Macron – des gouvernements européens qui ne pouvaient décemment pas faire autrement. Seront-ils suivis d’effets à l’avenir, rien n’est moins sûr : la stupidité est souvent sœur de la cupidité et en la matière, les dirigeants ont montré leur immense aptitude.
Nos dirigeants pourraient donc n’avoir rien compris et pourraient ne rien changer à leur politique de mondialisation de l’économie ?
L’avenir le dira… Ou alors, hypothèse contraire, on peut imaginer également que l’imminence d’une gigantesque crise économique dont tant d’experts – réels ou auto-proclamés – nous menaçaient tant et tant étaient effectivement réelle. Si c’était le cas, les dirigeants occidentaux ont pu croire qu’ils allaient être remerciés pour leurs mauvais services d’État : la moindre des choses, bien que le choix politique des électeurs, comme leur cœur, a parfois des raisons que la raison ne connait point… Et donc, comment rester au Pouvoir en changeant à 180° de politique économique ? Comme aurait dit, au temps de l’ORTF, l’inspecteur Bourrel : « Bon Dieu ! Mais c’est… Bien sûr ! » possible grâce au Covid-19 ! Du coup, les naufrageurs de l’économie tentent désormais d’apparaître en sauveurs de celle-ci en inondant les populations – dans un premier temps, du moins – de monnaie de singe : du jour au lendemain, c’en a été fini de la maîtrise de l’inflation, fini de l’interdiction européenne de dépasser 3 % de déficit public annuel du PIB (et fini au passage, du tabou de l’impossibilité de fermeture des frontières, mais pour combien de temps ?)… Plutôt que d’avoir à subir la crise économique, les gouvernements l’auraient provoquée en espérant que leurs peuples seraient dupes du tour de passe-passe. Ce n’est pas en l’occurrence et pour une fois « tout change pour que rien ne change », mais « tout changer pour qu’on ne les change pas » !
L’important n’est-il pas le résultat, finalement… S’il y a un coup de frein à la mondialisation, ce sera toujours ça de gagné…
« Tout changer », c’est pour le moment uniquement dans les annonces. L’important n’est-il pas que les électeurs le croient ? Et l’exemple chinois de reprise en main de la population pourrait être exportable, lui aussi… Un million d’amendes infligés aux Français durant les deux mois d’interdiction de circuler et un confinement qui frappe encore nombre d’entre eux et chaque jour qui passe augmente la mort déjà inévitable à terme des petits commerces de proximité, ça y ressemble, non ?
La mort des petits commerces de proximité est-elle vraiment inévitable ?
La disparition progressive des petits commerces de centre-ville n’a pas commencé avec le Covid-19 : déjà entamée avec la prolifération des Grandes surfaces, puis par le e-commerce, l’interdiction gouvernementale d’ouverture de ces deux derniers mois n’est qu’un accélérateur de leur disparition, oui ! inévitable… On peut se lamenter tant qu’on veut de cette situation – et encore ! c’est souvent une posture –mais le réflexe de tout le monde aujourd’hui, c’est d’aller faire ses courses dans une grande surface – ou à une « moyenne » ou « petite » surface de quartier qui sont de plus en plus des franchises de celles-ci – ou d’acheter sur internet : son billet de train comme ses chaussures ou son smartphone… Le choix y est immense, qui plus est 24h sur 24 et c’est beaucoup moins cher… Quant à la prévision de 30 % de bars-restaurants-hôtels qui ne rouvriront plus lorsqu’ils en auront – enfin ! – l’autorisation, et alors ? Ce ne seront finalement que des drames personnels, il restera toujours suffisamment d’établissements à rouvrir pour satisfaire la demande et les gens oublieront rapidement que ces petits commerces disparus ont même un jour existé… ou, pour certains seulement tenté d’exister ! En l’occurrence, cette épidémie de Covid-19, comme pour nombre de personnes âgées ou en mauvaise santé, n’aura jamais été qu’un accélérateur de leurs fins.
Revenons-en au confinement et à ses conséquences ; maintenant qu’il est (presque) derrière nous, objectivement, il a tout de même sauvé des vies ?
Il a d’abord et avant tout été instauré, notamment en France, pour pallier l’état dramatique de notre système hospitalier qui n’était plus – il l’était dans le passé – adapté à relever les défis sanitaires de masse. Le plus inquiétant sans doute reste que ce confinement, s’il a empêché quelques milliers de morts de plus ces deux derniers mois, a empêché l’ensemble de la population de s’immuniser… Le virus disparaît avec l’arrivée des beaux jours, mais si aucun vaccin n’est trouvé d’ici l’hiver prochain, il risque de revenir et bis repetita, que fera-t-on ? On reconfinera tout le monde ? et ainsi de suite chaque année ? Et à chaque nouveau virus ? Sans le confinement, on en aurait au moins terminé avec le Covid-19… Cela a été le choix de la Suède qui n’a que 12,4 % de ratio de morts par cas répertoriés (à peine plus que l’Espagne, moins que l’Italie et la France)… Espérons qu’on n’ait jamais à vérifier si la patrie d’Alfred Nobel a fait le « bon choix » ; en tout cas, il n’aura pas été, chiffres à l’appui, plus dramatique que le nôtre.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
09:45 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 21 mai 2020
Occupation de la mosquée de Poitiers : le parquet abandonne la moitié des charges
Un communiqué de Génération identitaire :
Le 20 octobre 2012, 70 jeunes identitaires avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers. Cette action avait connu un retentissement considérable dans toute l'Europe.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault l'avait dénoncée dans un communiqué et Manuel Valls avait réclamé la dissolution (déjà) de notre mouvement.
Poursuivis en correctionnelle pour incitation à la haine raciale et dégradations, 5 militants avaient été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, cinq ans de privation des droits civiques et familiaux et 40 000 euros d'amende et de dommages et intérêts.
Ce mercredi, devant la cour d'appel de Poitiers, l'avocat général comme les parties civiles ont été contraints d'admettre que le délit de provocation à la haine raciale était prescrit et qu'il ne pouvait donc plus être sanctionné. Cette accusation était d'autant plus scandaleuse que notre seule revendication consistait à réclamer un référendum sur l'immigration massive et la construction de mosquées.
Les islamistes de l’UOIF et du CCIF n’ont pas caché leur mécontentement. Il ne reste donc que les poursuites pour "dégradations" (c’est-à-dire des tapis de prières...mouillés par la pluie). La cour se prononcera le 19 juin.
Cette bonne nouvelle nous confirme qu’il ne faut jamais rien lâcher, dans la rue comme dans les tribunaux.
22:21 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La crise… et après ?
Le billet de Patrick Parment
Il n’est nul besoin d’être grand clerc pour avancer que le Covid-19 laissera des traces tout à la fois politiques, économiques et sociales. L’Etat a adopté des plans financiers massifs d’aide aux entreprises, grandes et petites, sans qu’il soit possible d’en mesurer les effets exacts à court et moyen terme. Si l’on prend comme exemple Renault, où l’Etat vient d’injecter 5 Mds€ et que l’entreprise laisse entendre qu’elle fermera quatre usines en France, on a tout lieu de s’inquiéter. Les grands groupes ne vont -ils pas en profiter pour dégraisser, contraints ou forcés ?
Mais le vrai danger ne vient pas uniquement de ces grands groupes – quoique !- mais bien plutôt des TPE-PMI-PME qui risquent de mettre la clé sous la porte. Or, ce sont eux qui sont le moteur principal de l’emploi dans ce pays – après les fonctionnaires (5,5 millions). Outre des artisans au savoir-faire inimitable, on trouve toute la cohorte des petits commerçants qui risquent d’y laisser leur peau. On pense aux bistrots, restaurants, hôtels et autres acteurs du secteur touristique. Inutile de dire que plane l’ombre d’un chômage plus massif encore que celui que l’on connaît aujourd’hui. On imagine que cela va donner un coup de pouce au mouvement des Gilets jaunes dont la flamme n’est pas éteinte. De quoi donner des sueurs froides au gouvernement.
La question se pose donc de savoir comment ce gouvernement va réagir face à cette nouvelle donne sociale où les acteurs concernés n’ont rien à perdre et que peu à gagner. A toutes ces questions, nos économistes qui jouent souvent les Madame Soleil, restent muets. Bruno Le Maire en réunit chaque semaine une palanquée. On espère qu’ils font au moins bonne ripaille parce que des réponses… ils n’en ont pas. En revanche, ce qui ne manque pas, c’est la rubrique « Qu’est-ce qu’il faudra faire dans après Covid-19 ». Là, c’est le marché aux puces des solutions. Même Mélenchon a des idées. La question de savoir comment remettre un pays au boulot face à un taux de chômage élevé est un authentique casse-tête. Nous ne sommes pas les seuls puisque cela touche, à des degrés divers, toute l’Union européenne.
Le nerf de la guerre, c’est la reprise de la consommation. Mais comment espérer une reprise dans un pays laminé socialement ? Les Français, frileux par nature, comme en atteste le gonflement des livrets A de Caisse d’Epargne, ne vont pas se mettre soudain à surconsommer. Enfin, on ne connaît pas du tout l’impact de la casse industrielle sur l’économie de la société. Ce que l’on sait, mais le fera-t-on, c’est qu’il va être urgent de réguler tout ce qui est lié à la mondialisation en termes de commerce, d’industrie et d’agroalimentaire. Où comment passer d’un libéralisme ouvert à un libéralisme limité autant que faire se peut à l’Union européenne. Pour cela, il faudrait que Bruxelles soit en mesure de jouer le jeu. Et dépasser les antagonismes et autre égoïsme Nord-Sud. De définir enfin une vraie politique en matière d’immigration – car celle-ci nous coûte très chère et ne nous rapporte pas grand-chose, si ce n’est des déficits -, car on ne peut continuer ainsi à accueillir toute la misère d’un monde dérégulé par les irresponsables guerres américaines. Tout redevient politique mais encore faut-il trouver les hommes pour l’incarner.
11:04 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le grand retour du Journal de bord de Jean-Marie Le Pen (visiblement en pleine forme)
11:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IL Y A 7 ANS, L'ACTE ULTIME DE DOMINIQUE VENNER
L'avis de Jean-François Touzé
"Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m'insurge contre la fatalité, contre les poisons de l'âme".
Le 21 mai 2013, Dominique Venner, fidèle à son éthique agiado-achéenne, met fin à ses jours terrestres au coeur de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Ceux qui me connaissent bien savent que je suis loin d'avoir toujours été en accord avec Venner. Mais sa haute vision de l'Europe grande et de l'homme vrai a de tout temps suscité mon estime tandis que le choix de sa mort a forcé mon respect.
11:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après la crise : REPRENDRE L'INITIATIVE !
06:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 20 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du mercredi 20 mai 2020
22:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LAETITIA AVIA, L’ARROSEUSE ARROSÉE
Pierre Vial Terre & peuple cliquez là
Née en Seine-Saint-Denis dans une famille originaire du Togo fraîchement arrivée en France, Laetitia Avia, qui avait les dents longues, a su sauter, parmi les premiers, dans le train macronien. Ce qui lui a permis de devenir députée et porte-parole de la République en marche, une formation qui sait utiliser la couleur puisque Sybeth la bien-nommée est porte-parole du gouvernement… Edouard Philippe, dans son discours de politique générale du 4 juillet 2017, n’a pas manqué de se féliciter de tels choix. Pour faire carrière dans l’Etat macronien il n’est décidément pas recommandé d’être Breton, Alsacien ou Auvergnat.
Avia a choisi comme cheval de bataille la lutte contre le harcèlement et les discriminations. Noble programme. Elle s’est donc lancée dans une croisade pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme sur Internet et propose pour ce faire « des solutions opérationnelles, concrètes, immédiatement applicables »… mais bien sûr « conformes à la liberté d’expression »… Macron, lors du dîner du CRIF le 20 février 2019 s’en est fait gloire, annonçant qu’Avia allait défendre une proposition de loi « régulant les réseaux sociaux sur Internet ». En clair, en instaurant la censure. La loi a évidemment été adoptée par une Assemblée nationale qui n’a plus rien de « nationale » depuis longtemps.
Mais ce qui est gênant pour Avia c’est qu’elle traîne quelques boulets de belle dimension. En 2017, suite à une altercation avec un chauffeur de taxi, elle l’a mordu (affaire révélée par Le Canard enchaîné). Puis, le 12 mai 2020, Mediapart publia les témoignages de cinq ex-assistants parlementaires d’Avia, décrivant les humiliations, le harcèlement, des faits de racisme, de sexisme et d’homophobie, de non-respect du droit du travail. Ils avaient alerté, par six fois, sur ces faits la déontologue de l’Assemblée nationale, Agnès Roblot-Troizier, qui s’est courageusement mise aux abonnés absents.
Un ancien collaborateur parlementaire de LREM commenta, sur BFMTV : « Les collaborateurs ont alerté tout le monde, personne n’a rien fait. L’omerta a encore de beaux jours devant elle… ». Cerise sur le gâteau : Avia a tenté de caviarder sa fiche Wikipedia pour en effacer les éléments gênants.
Visuel publié par Synthèse nationale en septembre 2017 suite à certains comportements douteux de députés LREM dont celui de Mme Avia...
15:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |