lundi, 27 juillet 2020
Coronavirus : Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
En mars, les masques ne servaient à rien. En juillet, les masques sont nécessaires. En mars, il ne servait à rien de faire des tests dans les aéroports. En juillet, c’est nécessaire. Comment fait-on pour croire ce que nous dit ce gouvernement ?
Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur Twitter sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter un masque dans les « lieux clos recevant du public ». Voici l’intégralité de son fil Twitter :
« C’est difficile effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent « punir » les français mal disciplinés… Alors on va debunker un peu.
1) Allez, je fais du #moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.
2) Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée, n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous « apprennent » que l’épidémie reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur.
3) Voilà 2 mois qu’il existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et une reprise de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous prédisaient 80 000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS. Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les évènements et comportements qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé aucune reprise. Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. MAIS,
4) et c’est le point central, toujours le même, à ce jour, il y a chaque jour, chaque semaine, de moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Et ce partout (hors Guyanne). Alors bien sûr, on arrive à un niveau si bas que nous allons forcément voir des hausses. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu’augmenter. Le virus n’est pas mort je le rappelle. Mais est-ce nécessaire de dire qu’on a un signal de reprise quand on passe de 1 par semaine à 3 par semaine? On va arriver à un bruit de fond. En tout cas ds les régions déjà très touchées. Le R est à 2 et quelques en Bretagne! Alerte alerte! Mais non. Il y a juste eu des clusters et des dépistages systématiques. Donc des cas. R (on l’a déjà dit) n’a aucun sens quand l’épidémie est au point mort, outre des clusters. Aucun sens. Sur toute la Bretagne, on est passé de 6 hospitalisations la semaine dernière à 8. Est ce une explosion? Soyons sérieux. Bien sur qu’il y aura toutes les semaines des régions qui verront une augmentation des cas. On part de tellement bas… En Mayenne alerte rouge? Quasi zéro hospitalisations. ZERO.
5) la décision d’imposer le port du masque est très difficile à comprendre. Pourquoi avoir pris cette décision au moment où tous les indicateurs sont au vert? Quel est le plan ? pour combien de temps ? Faut-il vraiment changer la société pour une durée indéterminée sans savoir si c’est nécessaire, et surtout sans savoir ce qui fera revenir en arrière ? Nous sommes nombreux à être d’accord : dans les régions fortement touchées, l’immunité est importante. Probablement suffisante – l’immunité n’est pas uniquement visible sur la sérologie. Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune. Pourquoi cette décision du port du masque obligatoire ? Pour protéger les personnes vulnérables ? Mais les personnes vulnérables se protègent. Elles peuvent respecter strictement les mesures de distanciations et autres.
6) En revanche, il faut se poser la question : veut-on totalement arrêter la circulation du virus? Je pense que c’est illusoire. Ou alors j’espère que vous avez du temps devant vous. La solution de le laisser circuler tout en le contrôlant est probablement la bonne.
Certains disent « pour protéger les personnes vulnérables, protégez vous ». C’est peut être faux. Pour protéger les personnes vulnérables, protégez LES, mais si vous êtes malades puis immunisés, vous les protégerez à vie. ATTENTION je ne dis pas que il faut disséminer le virus partout. Mais vouloir à tout prix arrêter sa diffusion, partout, est illusoire et pas forcément un bon calcul à long terme.
Quel est le plan ?
Il n’y a pas d’autre plan cohérent que de poursuivre les mesures de distanciations sans les renforcer, en pouvant assouplir selon l’évolution, et surveiller les vrais indicateurs! (pas les appels à SOS médecin qui augmentent au début des vacances et face à l’alarmisme ambiant). Il y a une part d’incertitude dans cette maladie. Tout le monde est d’accord là dessus. Mais pourquoi la prendre systématiquement sur le pire scénario possible ? Pourquoi une telle symbiose des médias, « experts », etc ? Alors que c’est incertain ? Ce n’est pas logique. »
Source : Le Salon Beige
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dimanche, 26 juillet 2020
Crise sanitaire : le gouvernement instrumentalise la peur des gens
« Il est difficile de ramener nos compatriotes à la raison. Notamment sur la réalité de cette épidémie, chiffre à l’appui qu’ils n’entendent pas ; pire, qu’ils semblent parfois incapables d’entendre, tant ils sont tétanisés par la propagande gouvernementale »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
En juin, on pensait la crise du Covid-19 derrière nous ; ce n’est pas le cas…
Et ça ne pouvait pas l’être du moment où le confinement a empêché les populations d’être immunisées contre le Covid-19 comme cela a été le cas lors de toutes les épidémies par le passé. Certes, il y aurait eu probablement quelques milliers de morts supplémentaires, mais on en serait débarrassé… et ces quelques milliers de victimes, on risque bien de les compter quand même l’hiver prochain – puisque, a priori, il n’y aura pas encore de vaccin, le délai étant trop court – qui s’additionneront (avec juste quelques mois de retard) aux nouvelles victimes qui auraient pû, ainsi, y échapper…
Cela aurait été le prix à payer ?
Oui, malheureusement… Et on peut désormais légitimement se poser la question de savoir jusqu’à quel point l’installation durable de cette pandémie n’arrange pas nos gouvernants pour retarder le moment d’avoir à rendre des comptes, si tant est qu’ils en rendent un jour…
Pourquoi ?
Rappelons quand même – pour nos compatriotes qui auraient la mémoire bien courte, mais on le dit – la gestion calamiteuse du gouvernement français, pour ne parler que de lui, de cette crise depuis le début : oubli, sans doute par bêtise ou incompétence, l’une n’empêchant pas l’autre, de tester les premiers rapatriés de Chine, fuyant pourtant la région de Wuhan où venait de se déclarer le Covid-19 ; refus de fermer rapidement les frontières, plus sûrement par aveuglement idéologique (« fermer les frontières » était devenu jusqu’à cette année 2020 un tabou politique : c’était odieux et plus encore, paraît-il, « à l’évidence » (sic !) impossible ; pourtant, en deux jours, cela a été appliqué par la plupart des pays dans le Monde) ; refus de reconnaître l’état dramatique des hôpitaux français incapables de gérer convenablement une épidémie ; mensonges des ministres de la santé en exercice Buzyn, puis Véran : la première a menti aux Français sur la gravité de la menace, ce qu’elle a finalement reconnu sans vergogne en osant, qui plus est et sans fausse honte, tenter une reconversion aux élections municipales ; le second pour avoir affirmé, ce qui est véritablement criminel, que les masques étaient inutiles en début d’épidémie, puis en les rendant aussi soudainement que stupidement obligatoires en été, peut-être bien pour écouler des stocks devenus trop médiatiquement encombrants, puisqu’arrivés trop tard. À ce propos, puisque l’absence de masque en début d’épidémie était avérée, pourquoi personne n’a-t-il préconisé, tout simplement, de porter, pour sortir de chez soi, un simple foulard de coton autour de la bouche et du nez ? Cela aurait été mieux que rien, voire suffisant… et gratuit ! C’est peut-être là le hic : ce qui est gratuit n’est pas admissible, sinon « souhaitable », par certains.
Le gouvernement français jouerait donc sur la peur ?
Face à son bilan désastreux, c’est évident ! Loin de reconnaître leurs fautes, nos gouvernants ne cessent depuis mars dernier de culpabiliser les Français : ce sont eux, et eux seuls, qui sont responsables des morts passées – et plus encore à venir – parce que ni hier, ni aujourd’hui, ils ne respecteraient suffisamment les « gestes barrières », parce qu’ils voudraient embrasser leurs proches, parce qu’ils voudraient se réunir entre amis, partir en vacances, se déplacer… tout simplement vivre, quoi ! Et la propagande démente du gouvernement, ça marche ! Le gouvernement instrumentalise la peur des populations comme en temps de guerre et ce n’est sans doute pas innocent qu’Emmanuel Macron ait employé le terme. Avantage supplémentaire, c’en est ainsi fini de la contestation dans la rue, qu’elle soit syndicale ou populiste, façon Gilets jaunes… Le gouvernement ne tolère plus que les manifestations des minorités racialistes type Black Lives Matter ou sexuelles des extrémistes féministes dont les discours n’ont d’autres buts que de renforcer encore et encore la culpabilité des Français…
On ne peut en effet que constater le nombre de nos proches paniqués, voire terrorisés par le discours gouvernemental…
Il est incontestablement difficile de les ramener à la raison. Notamment sur la réalité de cette épidémie, chiffre à l’appui qu’ils n’entendent pas ; pire, qu’ils semblent parfois incapables d’entendre, tant ils sont tétanisés par le matraquage de la propagande gouvernementale et des médias mainstream.
Le nombre des victimes de cette épidémie est pourtant conséquent…
Ah bon ? Prenons les chiffres mondiaux de ce jour (26 juillet) : sur 16 048 100 de cas confirmés de Covid-19, 9 262 887 de guérisons constatées et… 644 537 décès comptabilisés… Faites le calcul en pourcentage : un chiffre dans la moyenne d’une épidémie habituelle. Et encore faudrait-il être certain que tous les décès « officiels » du Covid-19 lui soient imputables, même indirectement ; à ce jour, donc, 93 % à 95 % de gens qui l’ont attrapés en ont guéris ! Et les chiffres des morts sont très probablement à relativiser à la baisse. Ajoutons – bien que le Covid-19 ne soit pas une grippe –, que fin 2017, l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) estimait à 650 000 le nombre de décès par an à la grippe saisonnière ! et rappelons à nouveau que la grippe dite faussement « espagnole » (elle était déjà asiatique) avait fait, elle, 40 à 50 millions de victimes en 1918-1919 et que la grippe asiatique de 1967-1968 en a totalisé 1,1 millions… sans parler du SIDA qui depuis 1981 a fauché entre 25 à 35 millions de personnes (source Wikipedia). Les chiffres mondiaux du cancer ? En 2018, sur 18.1 millions de personnes qui en ont été diagnostiquées, 9.6 millions en sont décédés.
Pourquoi devrait-on relativiser le chiffre des morts du Covid-19 ?
On comptabilise tous les décès de ces derniers mois dans les hôpitaux français, pour ne parler que notre pays, comme dûs au Covid… Ce n’est même pas de la manipulation ou du mensonge : renseignements pris, la plupart du temps les médecins n’en savent rien eux-mêmes… C’est flagrant avec le nombre de personnes décédées dans les Ehpad (stress, isolement, sentiment d’abandon ou encore d’être parvenus, tous simplement, au bout de leur vie…)…
Il n’y a donc pas lieu de paniquer ?
Du virus ? Sans doute pas avant l’hiver prochain et son retour prévisible… et bien qu’il ne s’agisse à nouveau pas de « paniquer », mais d’être vigilants comme lors de toute épidémie… En revanche, si on doit avoir peur, c’est bien plutôt des lois liberticides qui se profilent et dont le port du masque obligatoire dans les lieux publics clos (et déjà dans certains espaces extérieurs suivant l’humeur ou la couardise de certaines autorités locales) n’est qu’une première étape.
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16:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il vient de sortir un nouveau livre sur les généraux français engagés dans la guerre de sécession américaine, Eric Vieux de Morzadec répond aux questions de Synthèse nationale
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Aux USA aussi la « cancel culture » est à l’œuvre
En France, on ne cesse de dénoncer avec raison le conformisme idéologique des médias et de ces pseudo intellectuels qui font régner un climat délétère qui n’est pas sans rappeler les belles heures du stalinisme. Il en va de même aux Etats-Unis comme en atteste ouvertement Donald Trump. Cette « cancel culture » comme on la dénomme débouche en France sur une abstention massive des citoyens aux élections, ce qui ne manque pas de poser la question de leur légitimité démocratique.
SN
Source : Le Monde 26/7/2020
Le 3 juillet, devant les visages des quatre présidents sculptés sur les flancs du mont Rushmore, Donald Trump a rompu avec l’esprit consensuel qui accompagne ordinairement la célébration de la fête nationale américaine. Il a en effet dénoncé « un nouveau fascisme d’extrême gauche » qui se développe notamment, selon lui, « dans nos salles de rédaction ».
« Si vous ne parlez pas sa langue, n’exécutez pas ses rituels, ne récitez pas ses mantras et ne suivez pas ses injonctions, vous serez alors censuré, banni, inscrit sur une liste noire, persécuté et puni », a assuré le président des Etats-Unis.
Mise en garde apocalyptique
Un mois plus tard, le 7 juillet, le Harper Magazine publie une tribune signée par une pléthore d’universitaires, d’auteurs et de journalistes, couvrant un large spectre politique, du linguiste Noam Chomski, figure de la gauche, au plus centriste Mark Lilla, et au conservateur tempéré David Brooks, du New York Times. Les noms de J. K. Rowling, autrice de la saga Harry Potter, mise en cause pour des propos considérés comme transphobes, et de Salman Rushdie, condamné à mort en 1989 par l’Iran pour ses écrits, y figurent également.
Les signataires y dénoncent la menace d’un « conformisme idéologique » perçu comme mortifère : « Les forces de l’illibéralisme gagnent en intensité dans le monde entier et ont un puissant allié en Donald Trump. Mais il ne faut pas laisser la résistance à ce courant se durcir pour produire son propre dogme ou sa propre forme de coercition, que les démagogues de droite exploitent déjà. L’inclusion démocratique à laquelle nous aspirons ne peut être réalisée que si nous nous prononçons contre le climat intolérant qui règne de tous côtés. »
« Tribalisme »
Ils s’inquiètent de la montée, à gauche, d’« une intolérance à l’égard d’opinions opposées, une vogue pour la dénonciation publique et l’ostracisme, et la tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveugle », une pratique qualifiée de « cancel culture ». L’une des signataires de la tribune, Bari Weiss, débauchée du Wall Street Journal par le New York Times après la victoire sur prise de Donald Trump pour élargir la palette des pages « Opinions », l’illustre en démissionnant le 14 juillet de ses fonctions.
Dans une lettre accablante publiée sur son site Internet personnel, elle regrette l’incapacité du quotidien de « résister au tribalisme ». « Des éditoriaux qui auraient facilement été publiés il y a seulement deux ans met traient aujourd’hui leur auteur en sérieuse difficulté, voire conduiraient à son renvoi. Si un papier est perçu comme susceptible d’inspirer un backlash en interne ou sur les réseaux sociaux, on évite de le proposer », poursuit elle avant de dénoncer le « nouveau maccarthysme » qui a pris racine dans le journal, en référence au harcèlement dont elle assure avoir été la victime en interne.
Les déboires du quotidien newyorkais enchantent le camp républicain mais l’enfermement idéologique ne concerne pas que la presse de gauche. Le sectarisme des titres principalement numériques favorables au président l’atteste, tout comme l’expression de « fascisme d’extrême gauche » qu’il a utilisée le 3 juillet.
08:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 25 juillet 2020
Quand Gérard Darmanin dialoguait avec Jean-Marie Le Pen (France 2, mars 2018)
13:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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12:03 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mission sur la mémoire ? Non ! Mission sur la repentance.
10:41 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mers el Kébir. La rançon de la sujétion à un allié déloyal
André Posokhow
Le 3 juillet 1940, Churchill ce « grand ami de la France » ordonnait l’agression par la puissante Navy des unités de la flotte française stationnées dans les rades de Mers El Kébir, d’Alexandrie ou dans des ports anglais ; et ce après avoir décidé et organisé le lâchage, en pleine bataille, de ses alliés belge et français,
Des prémices qui remontent à loin.
La Grande-Bretagne a toujours été hostile à l’existence d’une marine française forte. A la conférence de Washington de 1922, de connivence avec les USA, elle avait ravalé celle-ci à un rang subalterne au même niveau que la marine italienne. Les négociateurs français, Aristide Briand et Albert Sarraut avaient été contraints d’accepter des limitations arbitraires de parité qui se révéleront pour elles contraignantes et de subir cette humiliation.
Le traité naval bilatéral germano-britannique signé le 18 juin 1935, torpillait les dispositions du traité de Versailles. Les Britanniques, sans se concerter avec les Français ni même les avertir, autorisaient le Troisième Reich à disposer d'une flotte de guerre au tonnage limité de façon permanente à 35% de celui de la Royal Navy.
Cet accord qui s’inscrivait dans le cadre d’une politique anglaise de sympathie et « d’appeasement » à l’égard de l’Allemagne hitlérienne contraignit les Français à augmenter le budget de la marine de guerre au détriment de celui de l’armée de terre.
Une coopération amicale durant la drôle de guerre.
Pendant neuf mois la Marine nationale et la Navy ont coopéré dans un climat de camaraderie, notamment pour escorter des convois. La Marine nationale a même participé à l’interception du Graf Spee, à la campagne de Norvège et surtout, ce qui est bien oublié, à l’évacuation de Dunkerque au cours de laquelle elle connut des pertes sensibles.
La question posée du sort de la flotte de guerre française.
Dès que la conclusion funeste de la bataille de France, sur la Somme et l’Aisne, devint certaine, la question du sort de la marine française fut posée par Churchill, anxieux d’éviter qu’elle passe aux mains de l’ennemi, même si rien ne laissait prévoir une telle issue.
09:50 Publié dans André Posokhow, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 24 juillet 2020
"On a eu des ordres extrêmement virulents lors des Gilets jaunes !"
Réécoutez le témoignage édifiant d'Étienne, policier qui évoque un "deux poids deux mesures" entre les ordres reçus lros des Gilets jaunes et de la Manif pour Tous, comparé à des rassemblements "islamistes".
11:47 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Soldat français tué au Mali : assez de sensiblerie.
09:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La note qui dézingue le plan de relance français
« Quoiqu’il en coûte » avait affirmé Emmanuel Macron. Et bien, il va nous en coûter. Une étude cosigné par l’économiste Gaël Giraud, chercheur en économie au CNRS et Willy Bourgeois, conseiller régional PS de Bourgogne France-Comté, relativise grandement l’ambition présidentielle.
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08:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 23 juillet 2020
À force de nier ses racines chrétiennes, on finit par jouer avec le feu
Abbé Danziec dans Valeurs Actuelles :
À quoi bon se mettre au chevet de pierres en péril ou de cathédrales à entretenir, si l’on ne croit pas à leur salut ni à celui qu’elles peuvent nous offrir… Exposer le blanc manteau d’églises qui couvre l’Hexagone aux mites de l’indifférence, ne serait-ce pas livrer notre civilisation judéo-chrétienne au grand froid de l’athéisme : négation de la transcendance, mépris des vertus chrétiennes, disparition du sens du sacré ? À l’heure où la France insouciante partait en vacances sur l’autoroute du Sud samedi matin dernier, l’incendie de la cathédrale de Nantes réveillait les plaies non encore cicatrisées du brasier de Notre-Dame de Paris. Jean Castex l’avait bien compris en se rendant rapidement sur place, accompagné des nouveaux ministres de la Culture et de l’Intérieur. La démarche, sur le vif, était louable. Une fois encore, elle reste néanmoins à se traduire sur le temps long. Plus que jamais, une politique résolue de sauvegarde des édifices religieux de toute taille se fait attendre.
La France périphérique, délaissée et souvent livrée à elle-même, n’a pas manqué de se manifester aux bons souvenirs des pouvoirs publics en se drapant de gilets jaunes. Barricades, ronds-points occupés, esclandres et chaos social : il aura fallu le feu civil pour que l’exécutif prenne la mesure du fossé qui était entrain de se creuser entre le monde de la ruralité, de la campagne, des petites villes et celui des mégalopoles en pointe dans le concert de la mondialisation. L’univers de la tranquillité, du calme et des joies simples face à celui du profit, de la vitesse et du calcul. L’incendie – qu’il soit volontaire ou non -de la cathédrale de Nantes rappelle cette petite musique de l’abandon. Beaucoup d’églises souffrent de ces « brasiers invisibles » évoqués par Michel Onfray lui-même, ces fameuses coupes budgétaires décidées sans peine parce que le patrimoine religieux ne rapporte pas de voix. Un dédain politique qui, depuis longtemps, en dit long sur les priorités existentielles de ceux qui nous gouvernent. Entre la vocation de cette architecture sacrée et ceux qui ont la responsabilité de l’entretenir, le fossé se creuse. On ne restaure pas une prière de pierres sans avoir soi-même de la considération et de l’estime pour le spirituel. À force de nier ses racines chrétiennes, on finit par jouer avec le feu.
Car un héritage n’offre pas seulement un surcroît de patrimoine et d’argent, comme l’amour n’engendre pas seulement un surplus de sensations et de plaisirs. L’un et l’autre, pour porter du fruit, réclament de la responsabilité, du courage et de la fidélité. Aborder la question de l’entretien des cathédrales et des églises sous le seul rapport de l’utile, c’est déjà faire fausse route. Entendons-nous bien, pour un catholique, une cathédrale ne sert à rien. Elle sert quelqu’un, ce qui est bien différent. Et ce quelqu’un, c’est Dieu. Ses bâtisseurs n’avaient pas la folie des grandeurs mais celle du Christ, de Notre-Dame et des saints du paradis.
18:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Turquie d'Erdogan est une menace: ouvrons les yeux de nos compatriotes.
17:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
Merci à Jean-Marie Le Pen, merci à Lorrain et à Marie pour la promotion du nouveau numéro de la revue Synthèse nationale et pour les BBR 2020.
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16:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La défaite en chantant
La crise qui se dessine risque d'être pour la France un pas de plus vers la perte de ses capacités productrices. Analyse de Natacha Polony sur ce qui s'est réellement passé à Bruxelles lors de la négociation de la dette. L'Allemagne, comme d'habitude s'en tire bien. Les Pays-Bas n'en parlons pas. Pour ce qui concerne la France, Emmanuel Macron est un joueur aux petits pieds.
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14:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La soeur du violeur Traoré : la honte de l'Afrique...
10:04 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 22 juillet 2020
Pour un Conseil de Défense sécuritaire.
19:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de la revue italienne "Nova Historica" est sorti
Nova Histórica est la revue partenaire des
Cahiers d'Histoire du nationalisme
Edition Pagine - Rome cliquez ici
12:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : du jeudi 23 au dimanche 26 juillet 2020, 5e rencontre estivale des Lansquenets d'Europe
La 5e réunion estivale des Lansquenets d'Europe se tiendra en Provence du jeudi 23 au dimanche 26 juillet. Le programme comprend des moments ludiques, sportifs, culturels, chantants et de camaraderie. Il y aura des moments organisationnels que nous résumons.
THÈME
On nous dit que tout va changer, la société et la politique. Les géographies nationales et relations internationales. Cela nécessite un saut en avant pour construire une véritable avant-garde.
Jeudi 23 à 20 h : Au-delà de la pandémie.
Rapport sur l'état général de la politique et de l'économie, bilan des Lansquenets entre l'automne 2019 et aujourd'hui et préparation des travaux en Provence. (Gabriele Adinolfi).
Vendredi 24 à 16 h 30 : Transformer la crise en opportunité.
Commissions de travail sur la société post-covid.
Que prévoyons-nous pour l'avenir ? Comment agir sur le plan métapolitique ? Sur celui de l'engagement social ? Qu'attendre des forces politiques ? Comment faire face à la société mondialisée.
Comment agir face à une nouvelle ingénierie sociale.
Divisé par des commissions linguistiques (français, italien, anglais et espagnol).
Vendredi 24 à 20 h : Rapport de travail et rédaction du document politique européen.
Samedi 25 à 9 h 30 : émission du document politique Europe 2020.
Samedi 25 à 15 h 30 : La beauté est dans l'action.
Rapport d'activités dans chaque pays
Politique et social. (Actions rurales, actions entre commerçants, actions entre entrepreneurs, formation politique, etc.).
Invités à prendre la parole et/ou à faire un rapport :
ESPAGNE : Juan Antonio Lopez Larrea (ACIMJI - El cadenazo), Pedro Martinez Alba (Association culturelle Alfonso Primero).
FRANCE : Lucien Cerise, Georges Feltin-Tracol (Europe Maxima), Roland Hélie (Synthèse nationale), Vincent Vauclin (Dissidence Française).
GRÈCE : Kostantinos Boviatsos, Irene Dimpoulos Pappas (assistante parlementaire).
ITALIE : Flavio Belinfanti (Nova Saturnia), Piero Puschiavo (Projet national), Marco Scatarzi (Casaggì), Arrigo Trevisanello (Assistance sociale).
HOLLANDE : Laurens Menger.
POLOGNE : Kamil Gil (3 droga).
Coordonné par Gabriele Adinolfi.
Samedi 25 à 17 h 30 : Structurer l'avant-garde.
Prêts à relever le défi : organisation d'activités pour 2020-2021 dans les différents pays et sa coordination européenne.
Samedi 25 à 19 h : Assemblée publique finale.
Renseignements :
0039 33 91 26 22 93 ou assoc.artemis@gmail.com
12:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JUSTICE POUR AXELLE !
Youcef T, le conducteur de la voiture qui a tué Axelle, une jeune aide-soignante de 23 ans, dans la nuit du 18 ou 19 juillet 2020 rue de l’Antiquaille à Lion 5e a été mis en examen pour violences volontaire ayant entraîné la mort et délit de fuite. Il a été placé en détention provisoire indique ce lundi 20 juillet Nicolas Jacquet, Procureur de la République. Il a 21 ans.
Mohamed Y, le passager de la voiture, âgé de 19 ans, est mis en examen pour « non assistance à personne en danger ». Il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
Sur les réseaux sociaux, les internautes, choqués par le drame, ont appelé à ce que les identités des responsables soient révélées. Un mot-clef #OnVeutLesNoms a été massivement partagé sur Twitter. Il faisait d’ailleurs partie en fin de journée des plus fortes tendances de partage sur ce même réseau social. En soutien à la victime, un autre mot-clef #JusticepourAxelle était lui aussi partagé en nombre.
09:20 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 21 juillet 2020
Macron sur TF1 : cynisme, mensonge, tromperie et imposture.
22:58 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’heure de faire les comptes est arrivée...
Editorial du n°54 (été 2020) de la revue Synthèse nationale
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
Tout avait pourtant bien commencé... Souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps de cela, au printemps 2017, la France légale traversait une véritable cure de jouvence. Le fringant Macron, premier de la classe, bon élève à l’ENA et fidèle toutou de la finance mondialiste, venait d’être élu président et son parti, fraîchement créé et curieusement intitulé « la République en marche », triomphait aux législatives. Ouf, la démocratie était sauvée... elle venait d’échapper à l’effroyable menace populiste alors incarnée par la « terrible Marine Le Pen ». La bobocratie en sortait rassurée et elle commençait à imaginer un monde parfait dans lequel « tout le monde il est gentil et tout le monde il consomme (sans rechigner) ».
Et « plouf », très vite le temps s’est gâté. L’état de grâce n’aura duré que quelques mois. Les belles illusions se sont transformées en un véritable cauchemar...
En fait, à son corps défendant, Macron s’est retrouvé dans une situation qu’il n’avait pas imaginée lorsqu’il était le candidat joker du Système. Il ne savait pas qu’il allait devoir gérer un paquet de factures à payer... factures que lui ont aimablement laissées ses prédécesseurs qui avaient la vue courte, qu’ils soient de « droite » ou de « gauche ».
Première facture : celle de la France des laissés pour compte du mondialisme...
Dès l’automne 2018, la France profonde, celle que l’on appelle aussi « la France périphérique », c’est–à-dire celle qui travaille tôt le matin, qui paye des impôts de plus en plus lourds et qui subit les conséquences dramatiques du mondialisme, occupe les ronds-points et ébranle le pouvoir en manifestant derrière des drapeaux tricolores, en chantant la Marseillaise, vêtue de gilets jaunes. Panique générale en Macronie, on se voit déjà pendu à des crochets de bouchers. Mais il en faut plus que cela pour faire tomber le Système. La « République gouverne malle mais se défend bien » aiment à rappeler les royalistes. Dans ce cas, elle a excellée : d’abord l’anathème en classant cette révolte dans la catégorie des « jacqueries poujadistes », voire « d’extrême droite », puis l’enfumage, avec le pseudo « grand débat », tentative de récupération avec le larbin de service Mélenchon, et discrédit total en envoyant les Black blocs tout casser. Résultat : en quelques semaines, faute de références politiques réelles, le mouvement des Gilets jaunes s’est évaporé (provisoirement peut-être)...
Deuxième facture : celle de la gestion antérieure des retraites...
Puis, en décembre 2019, de nouveaux problèmes surgissent pour les tenants du pouvoir. Ce coups-là, ce sont les retraites des fonctionnaires qui sont au centre de la révolte et c’est la CGT qui est aux manettes Il faut dire que, depuis quelques années, on avait tendance à oublier l’organisation de Martinez. Le mouvement des Gilets jaunes avait, il faut le reconnaître, relégué au second plan les centrales syndicales. Il était donc temps pour elles de se refaire une crédibilité et la réforme des retraites envisagée tombait à pic pour cela. Bref, de décembre 2019 à février 2020, la France est à nouveau bloquée, les moyens de transport étant paralysés par la grève. Comment sortir de cette impasse ?
Macron sait qu’une crise a vite fait d’en évacuer une autre... nous allons voir comment.
Troisième facture : celle de la mondialisation à outrance...
Dès le début de l’hiver les autorités du monde entier sont informées qu’en Chine se développe une épidémie qui risque d’avoir des conséquences planétaires. Dans un premier temps, le gouvernement français, empêtré dans les histoires de retraites et préoccupé par les déboires de ses candidats aux élections municipales prévues en mars, n’accorde pas beaucoup d’importance à cette information alarmante. Et, fin février, les choses se précipitent, la Covid-19, puisque c’est ainsi qu’on l’appelle, arrive en Europe. Il est temps de se secouer...
Stupéfaction, c’est alors que l’on découvre que la France, à force de faire des économies de bouts de chandelles, est démunie face à ce nouveau danger. Plus de masques, pas assez d’appareils respiratoires dans les hôpitaux, une hiérarchie composée de hauts-fonctionnaires souvent incompétents et vite débordés... Il faut absolument masquer tout cela. Et le plus grave pour le Système, c’est que cette crise sanitaire risque de mettre en exergue les limites du mondialisme adulé et de prouver à nos compatriotes à quel point celui-ci est néfaste.
Avoir voulu, au nom de la globalisation, faire de la Chine la zone industrielle de la planète devait, un jour ou l’autre, engendrer des conséquences dramatiques. Nous y sommes. En étant le premier pays à instaurer un confinement, la Chine arrêtait, de fait, toutes ses productions et en privait ainsi la planète. Autant dire que sans celles-ci, toute l’économie mondiale allait, de toute façon, être impactée.
La solution : la dramatisation. Mettre le trouillomètre à zéro, imposer un confinement généralisé et noyer tout cela dans de ridicules discours guerriers, accompagnés par un morbide bilan quotidien destiné à tenir le peuple en haleine et lui faire croire, après avoir dit tout et le contraire de tout, que la situation était contrôlée.
Nous connaissons aujourd’hui le véritable prix à payer de la globalisation pour nos peuples : des milliers de faillites, des millions de chômeurs, sans parler des conséquences sociétales dramatiques auxquelles nous allons être confrontés... La première de celles-ci étant l’accentuation des communautarismes. Il aurait été tellement plus simple et efficace de fermer dès le début nos frontières ou, mieux encore, de ne jamais les ouvrir à n’importe qui ou n’importe quoi. Mais cela, bien évidemment, est aux antipodes de la philosophie mondialiste.
Quatrième facture : celle de l’immigration sauvage...
En laissant faire et dire n’importe quoi dans ce domaine depuis plus de cinquante ans, les pouvoirs successifs ont laissé s’implanter sur notre sol, par idéologie, par désir de profits, par « bons sentiments » ou tout simplement par trouille, des masses venues de la terre entière. Ces populations, en grande partie issues du monde afro-musulman, estiment aujourd’hui qu’elles sont chez elles... chez nous. Elles veulent, et après tout n’est-ce pas logique de leur point de vue, nous imposer leurs coutumes, leur religion et, fait nouveau, leur version de notre histoire nationale. L’affaire du flic de Minneapolis tuant un trafiquant en l’ar-rêtant, certes de manière peu courtoise, a donné un peu partout dans le monde occidental - et en France en particulier - un prétexte aux extrémistes racistes noirs pour tenter de soulever leurs frères de couleur. Et le plus grave, c’est de voir des carpettes blanches reniées se prosterner en guise de repentance face aux exigences de ces extrémistes.
Qu’on le veuille ou non, l’immigration incontrôlée, telle que nous la subissons depuis trop longtemps, devait fatalement avoir comme conséquences l’islamisme et le communautarisme.
Ce n’est pas faute d’avoir sonné le tocsin. Depuis des décennies, les nationalistes et les identitaires n’ont pas cessé de mettre en garde les Français et les Européens. Aujourd’hui, tout se dégrade et Macron, en tant que président, va devoir, là aussi, payer la note.
Tout n’est pas perdu...
Pour sortir de cette situation peu réjouissante, il n’y a qu’une solution : la rupture totale avec le Système mondialiste et sa maquette locale qu’est l’Europe de Bruxelles. Il faut que les nations de notre continent retrouvent leur liberté et leur fierté. Et les raisons de ne pas désespérer sont de plus en plus nombreuses. La crise que nous venons de vivre aura eu le mérite de dessiller un grand nombre de nos compatriotes qui commencent à se demander si, sans nier l’épidémie, on ne les a pas me-né en bateau. Le coronavirus leur semblant avoir eu le dos bien large... Les voix dissidentes se multiplient.
Partout en Europe des mouvements nationaux, nationalistes ou identitaires se développent. Même si en France le mouvement national n’est pas structurellement au plus haut de sa forme, le contexte actuel donne à un mouvement de ce type des perspectives inouïes. Alors, ne baissons pas les bras.
À ceux qui, défaitistes impénitents, pensent qu’il n’y a plus rien à faire, je donnerai ici quatre chiffres : Jean-Marie Le Pen à l’élection présidentielle de mai 1974 : 191,000 voix ; l’Eurodroite (PFN) aux européennes de juin 1979 : près de 300,000 voix ; le même Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2002 (second tour) : 5 525,000 voix et Marine Le Pen, malgré elle, à celle de 2017 (second tour) : 10 638,475 voix. Alors, que l’on arrête de nous dire que « tout est perdu »...
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Macron a vendu la France en viager pour quelques dizaines de milliards d'Euros.
09:16 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nous voulons des noms !
Source Le Salon beige cliquez ici
Quand un policier blanc tue un délinquant noir à 10 000 kms d’ici, toutes les informations tournent en boucle dans les journaux télévisés français.
Mais quand la racaille tue des Français en France, c’est l’omerta médiatique. Nous connaissons les noms des victimes. Mais la presse masque les noms des assassins.
- Philippe Monguillot, chauffeur de bus et père de famille mortellement tabassé par des racailles à Bayonne. Des noms ont circulé hors médias…
- Axelle Dorier, 23 ans, aide-soignante (photo), a été traînée sur 800m et tuée par des chauffards-racailles à Lyon. 3 présumés criminels sont en garde à vue, mais rien ne filtre sur leur identité.
Un journal comme Le Monde consacre un article délirant sur les “micro agressions” racistes. Mais les agressions, lynchages, coups de couteaux, que les Français connaissent, c’est sur FDesouche qu’on les trouve.
La presse française, complice des racailles.
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lundi, 20 juillet 2020
Plan de relance européen : encore la désunion
Par Mathieu Solal
Ils voulaient la paix. En arrivant à Bruxelles, Angela Merkel et Emmanuel Macron entendaient faire de leur alliance le socle de la relance européenne. Dans la droite ligne de leur initiative historique du 18 mai, le Président et la chancelière n’avaient plus qu’à transformer l’essai en convainquant leurs partenaires de réaliser pour la première fois l’union de la dette, pour faire face à la crise qui s’annonce. Quitte à faire des concessions, ils imposeraient leur leadership à cette nouvelle Union européenne débarrassée de l’épouvantail britannique et enfin encline à resserrer ses liens face à l’adversité.
Ils voulaient la paix, mais ils ont oublié de préparer la guerre. En arrivant à Bruxelles « dans un esprit d’unité et de compromis » vanté par leurs entourages, et avec comme unique but de défendre la proposition de plan de relance mise sur la table par la Commission européenne, le Français et l’Allemande se sont logiquement retrouvés en position de faiblesse.
Club des gourmands. En s’élevant au-dessus de la mêlée, ils ont ainsi ouvert un boulevard aux entrepreneurs de la division, dont ils avaient vraisemblablement sous-estimé le pouvoir de nuisance. Le reste n’est que jeu de rôle. Pendant trois jours, les défenseurs d’une relance commune et ambitieuse subissent les assauts de l’autoproclamé club des « frugaux » (Pays-Bas, Danemark, Autriche, Suède) qui pourrait bien être rebaptisé « club des gourmands » tant il aura obtenu des autres sans jamais paraître rassasié. Rejoints par la Finlande, ces contributeurs nets suivent dèlement leur ligne : ouvrir toujours plus de fronts pour obtenir tou- jours plus de concessions. Avec succès : samedi, le Président du Conseil Charles Michel fait de nouvelles propositions consacrant une baisse de la part des subventions au profit de celle des prêts dans le plan global de 750 milliards d’euros, une nouvelle augmentation des rabais dont bénéficient ces contributeurs nets au budget européen, et une gouvernance du fonds de relance permettant une mainmise des Etats.
Très en vue jusque-là, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte salue « un mouvement dans la bonne direction ». Mais ses partenaires frugaux viennent à sa rescousse pour prolonger encore les discussions, exigeant une enveloppe de subvention inférieure à 400 milliards d’euros (contre 500 milliards prévus initialement). Le Suédois Stefan Lofven demande même un maximum de 150 milliards d’euros.
Pour ne rien arranger, l’Europe centrale joue de son côté sa propre partition. La Pologne et la Hongrie refusent tout net la conditionnalité des fonds européens au respect de l’Etat de droit lors d’un dîner houleux. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki profite de ce front commun pour demander un réexamen de la clé de répartition des fonds dont il avait été peu question jusqu’ici, quand le Premier ministre hongrois Viktor Orban enchaîne les déclarations lunaires devant les journalistes.
Dos rond. Face à ces attaques, la France, l’Allemagne, mais aussi l’Italie et l’Espagne font le dos rond, cherchant à préserver coûte que coûte le plan de relance et enchaînant les réunions en petit comité avec les uns et les autres, sans rien opposer au détricotage consciencieux auquel s’adonnent leurs adversaires. Dimanche matin, après avoir claqué la veille au soir la porte au nez des « frugaux » avec lesquels ils tentaient d’obtenir un compromis, Angela Merkel et Emmanuel Macron changent de ton. « La volonté de compromis ne saurait nous faire renoncer à notre ambition légitime », lance le Président quand la chancelière n’exclut pas un sommet sans résultat.
Le revirement apparaît bien tardif et démontre en creux le mauvais calcul stratégique effectué par les défenseurs de la relance. Une stratégie qui s’est mise en place bien avant le Conseil et a consisté en une offensive de charme à destination du nord pour arrondir les angles en amont. Le défilé des dirigeants à La Haye n’aura ainsi servi qu’à améliorer l’image de trouble-fête de Mark Rutte et les réformes structurelles promises par l’Italie et la France à faire travailler l’imagination des « frugaux », ravis de pouvoir remplacer les demandes satisfaites par des nouvelles. Symbole ultime de cette stratégie, la fameuse « boîte de négociation » de Charles Michel présentée en grande pompe la semaine dernière et qui n’aura fait que servir les intérêts des « Frugaux » en favorisant le glissement vers leurs exigences.
Car le bon sens économique prôné par Angela Merkel et Emmanuel Macron est inopérant face aux enjeux de politique intérieure d’un Mark Rutte qui entre en période électorale, et surtout devant la rhétorique frugale fondée sur un irrationnel calcul coût-dépense ne prenant pas en compte l’avantage d’appartenir au marché commun, mais qui n’en a pas moins imprimé les opinions publiques depuis de longues années.
La critique est certes aisée, et l’art de pousser l’Europe à écrire une nouvelle page de son histoire indubitablement difficile. Il n’empêche. En laissant le terrain médiatique à leurs adversaires plutôt que de contre-attaquer en proposant par exemple de lancer une coopération renforcée pour faire la relance sans eux ou en opposant les régimes fiscaux avantageux des Pays-Bas à ses leçons de vertu budgétaire, les défenseurs de la relance ont laissé des plumes dans la bataille. Le fin mot de cette histoire n’est pas encore connu. Gageons que l’urgence obligera in fine les postures à s’incliner et les Etats membres à s’entendre, pour leur salut à tous.
Source : L’Opinion 20/07/2020
11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mouvement national : il est temps de se bouger !
09:54 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'association "Stop éolien 87" lance une campagne pédagogique sur les éoliennes
Imaginez la multiplication de ces matériaux et de leur impact écologique par 10, 20 ou 30 000 éoliennes comme la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie nous l'impose et vous aurez un désastre écologique.
Et voici une seconde leçon qui résume simplement les principaux aspects destructeurs de l'environnement par des machines qui prétendent le sauver. Aucune infrastructure aussi imposante et développant des forces mécaniques sur des surfaces aériennes de presque 2 hectares n'a été implantée dans nos horizons et multipliée par 10, 20 ou 30 000 lieux de nuisances. Il n'y a que des idéologues fanatiques pour croire que cela n'a aucune incidence désastreuse sur l'environnement.
Troisième volet pédagogique sur les nuisances de l'éolien industriel pour les riverains de 500 m à 5 ou 6 kilomètres voire plus pour les effets des infrasons. Vous voudrez bien imaginer que compte tenu du mitage et de la multiplicité des éoliennes - aujourd'hui 10 000 et entre 20 et 30 000 dans 10 ans - l'ampleur des personnes touchées dont la vie est bousillée est considérable.
Quatrième petite leçon de choses sur l'énergie éolienne qui permet de mieux comprendre les enjeux climatiques et géopolitiques d'une technologie inutile, nuisible et dont on se demande à quoi elle sert ? Peut-être vous comprendrez mieux dans la suite de nos publications. Merci à tous ceux qui nous suivent. Même ceux, comme certains de nos contradicteurs, dont la passion remplace parfois l'argumentation.
Source Stop éolien 87 cliquez ici
Sur les éoliennes lire aussi le livre d'Alban d'Arguin "Eoliennes, un scandale d'Etat" cliquez là
09:05 Publié dans Combat anti-éoliennes | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 18 juillet 2020
Quand la mémoire des Peuples balaye « le sens de l’Histoire »
directeur de
Synthèse nationale
Nous relations hier sur ce blog la procession rassemblant des milliers de Russes qui s’est déroulée dans les rues de la ville de Ekaterinbourg, là où il y a 102 ans, le 17 juillet 1918, était exterminée la famille impériale par les communistes cliquez ici.
Outre son côté magnifique, cette manifestation de ferveur populaire doit retenir notre attention pour au moins une autre raison. Elle prouve à elle seule que, malgré le rouleau compresseur soviétique qui a asservi la Russie et ses pays satellites pendant plus de 70 ans, malgré le formatage généralisé des esprits, malgré la propagande intensive du Parti communiste, vecteur de l’idéologie la plus criminelle de tous les temps, malgré les brassages de populations imposés, malgré tout cela... un siècle après le terrible massacre, la Russie est capable d'honorer son Histoire et de renouer avec son identité, ses traditions et, surtout, avec son destin de grande nation libre et souveraine. Evidemment, il convient de rappeler que, depuis maintenant une vingtaine d’années, elle est dirigée par un pouvoir digne de ce nom.
Alors, ne soyons pas en reste. Ce qui s’est passé hier à Ekaterinbourg pourrait très bien, aussi, arriver en France. Et ce ne sont pas les symptômes qui manquent. Une partie de plus en plus grande de nos compatriotes est à la recherche de ses racines. Pour s’en convaincre, il suffit de constater le succès croissant des spectacles historiques qui se déroulent chaque été, depuis des années, un peu partout sur notre sol. Le plus emblématique étant, incontestablement, celui du Puy-du-Fou que nous devons à Philippe de Villiers en Vendée. D’ailleurs, les restrictions qui touchent cette année les vols internationaux ont au moins un avantage, celui de limiter le tourisme bovin qui consiste à envoyer sur des plages sales du monde entier des cohortes d’ahuris qui ne savent même pas dans quel pays ils se font bronzer la pilule. Espérons que ceux-ci en profiteront pour se ressourcer et redécouvrir la beauté et la richesse de notre mère patrie.
Si le peuple russe a triomphé du communisme qui l'oppressait, pourquoi n'en serait-il pas de même pour notre peuple face au mondialisme qui l'assassine ? La première nécessité, si nous voulons reconstruire la France, est de redonner aux Français une conscience ethnique. Il faut en finir avec les clichés importés par les médias aux ordres de la haute-finance cosmopolite. Il faut que les Français retrouvent la France.
Contrairement aux incantations simplistes des marxistes et des libéraux, il n’y a pas de « sens de l’Histoire ». Il n’y a que les destins des peuples et faisons en sorte que le notre, à l’instar de celui du peuple russe, soit tel que nous le souhaitons.
Tel est le sens de notre combat...
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23:29 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les temps barbares
Par Djordje Kuzmanovic*
« Une partie de la gauche semble avoir oublié le concept de « lumpenprolétariat » développé par Karl Marx et qui caractérise bien ces criminels qui s’en prennent d’abord aux travailleurs. Le "lumpenprolétariat" décrit cette frange du prolétariat qui a quitté les classes populaires par le bas et où on retrouve les voyous, les petits criminels – tous ces gens qui n’ont plus de conscience de classe, qui sont immoraux, mal éduqués et individualistes. Ce sont des alliés objectifs de l'oligarchie capitaliste car ils copient, à leur échelle, son ethos : la prédation violente, pour soi et contre les autres. C’est aussi s’occuper des catégories populaires, tâche normalement dévolue à la gauche, que de la débarrasser de ce lumpenprolétariat. La gauche actuelle semble incapable même de penser le sujet. [...] L’impunité de ce nouveau « lumpenprolétariat » fait d’ailleurs écho à l’impunité des plus puissants de notre société qui se délite par ses deux bouts. Il y a dans notre République des zones de non-droit et il faudra un jour prendre le taureau par les cornes avant que cela ne dégénère totalement – par le bas et par le haut. [...]
Le problème, c’est qu’une bonne partie de la gauche parle très rarement d'insécurité, sans se rendre compte que les premières victimes de l’insécurité sont les catégories populaires, qu’elles soient d’ailleurs immigrées ou pas. Or la sécurité est la première des libertés. Le combat contre cette criminalité insupportable est à même de rassembler au-delà de tout communautarisme, par-delà les origines ethniques ou religieuses : la plupart des Français, quelles que soient leurs origines, souhaitent vivre en paix et ne pas craindre les petits voyous auxquels le pouvoir a abandonné les quartiers et leurs habitants. [...]
La droite a, durant les quarante dernières années, défendu avec passion les politiques néolibérales et les exigences de l’Union européenne quant à la réduction du financement des services publics ; elle s’est souvent vautrée dans l’atlantisme le plus complaisant en oubliant que ce qui accompagne le néolibéralisme économique et le communautarisme étasunien, c’est cet individualisme forcené qui n’a que faire de l’autre et de la société et qui est aussi le terreau sur lequel fleurit cette criminalité barbare. »
(*) Dissident de La France insoumise. Il a fondé le mouvement La République souveraine qui entend s’opposer au bloc ultralibéral, européiste et atlantiste.
Source : Russia Today 16/7/2020
18:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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15:56 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |