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lundi, 27 avril 2020

Le cas Sibeth Ndiaye

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En route vers le futur

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Michel Malnuit

Ayant rédigé plusieurs chroniques sous le titre commun « En attendant le grand soir » pour l’ancienne version du site du Parti de la France cliquez ici, plusieurs raisons m’avaient pourtant éloigné de l’écriture (NB : nullement par opposition au PdF, que je continue de soutenir). La situation actuelle, ô combien extraordinaire – au sens qu’elle sort de l’ordinaire voire même qu’elle crée un nouvel ordre –, incite à ne pas se retirer dans sa forteresse loin du monde et de ses fracas laissant le Destin agir, mais à faire un pas de côté tel un laïc faisant une retraite dans un monastère pour trouver les nouvelles voies, les nouvelles pistes du monde qui advient. C’est pourquoi je reprends cette chronique régulière pour « Synthèse nationale », que l’on ne peut que féliciter et soutenir pour son action justement de synthèse des différents aspects politiques, intellectuels et culturels de la droite nationale. Avec cette nouvelle série de chroniques, il ne s’agira pas de donner des leçons à ceux qui s’engagent sur le terrain, aux responsables des mouvements de la droite nationale. Il s’agira de participer aux combats des idées qui est indispensable à l’action politique, mais celle-ci gardera sa primauté.

M.M.

**************

Face à des événements particuliers, que l’on ne peut contrôler, le retour aux sources, à la racine s’avère indispensable. Notamment via l’étymologie. Et ce que nous devons faire avec cette crise qui est sanitaire, mais également économique, sociale, philosophique et politique. Crisis, en latin du Moyen-Âge, signifie manifestation violente, brutale d’une maladie. Et en grec ancien Krisis c’est le jugement, la décision. Il est donc certain que cette crise que nous subissons est un révélateur des limites, de l’explosion du système global. Le Covid-19 c’est le grain de sable qui vient enrayer l’avènement irénique du Nouveau Monde. Comme l’affirmait Antonio Gramsci : « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ». Un autre de ses aphorismes permet de mieux entrevoir ce que nous vivons : « La crise est le moment où l'ancien ordre du monde s'estompe et où le nouveau doit s'imposer en dépit de toutes les résistances et de toutes les contradictions. Cette phase de transition est justement marquée par de nombreuses erreurs et de nombreux tourments. »

Les monstres, c’est le Système – l’occasion faisant le larron – qui impose un contrôle des déplacements, des esprits, de l’activité économique pour mieux imposer son maintien, profitant d’une situation qu’il n’a pas su empêcher. Confinement, déconfinement, reconfinement vont probablement marquer nos vies pendant plusieurs années avec une communication qui mélange amateurisme le plus néfaste et le supplice chinois le plus vicieux. Il ne s’agit pas de nier la dangerosité du Covid-19 qui est tout sauf une grippette et qui risque de nous faire subir plusieurs vagues comme la grippe espagnole il y a un siècle. Oui, rien ne sera plus comme avant mais ce ne sera pas, du moins à courte vue, l’effondrement du Système. Ce dernier va plutôt se renforcer mais telle une cocotte-minute à un moment la soupape ne pourrait plus faire évacuer la vapeur…

Les erreurs et tourments c’est vouloir réagir systématiquement à chaud, croire surtout le moindre propos qui critique la propagande officielle sans se poser la question de savoir si son émetteur, même bardé de diplômes, n’est pas un charlatan ; c’est mélanger complotisme obsessionnel et pensée magique ; c’est enfin ressortir les vielles formules politiques, le plus souvent les plus caricaturales.

Oui, il faut faire un pas de côté, proposer des pistes à la Droite nationale pour qu’elle ne puisse plus regarder le train de l’Histoire passer sans elle ; pour qu’elle ne soit plus seulement observateur ou commentateur énervé mais acteur ; pour qu’elle réalise son unité tout en respectant sa diversité. Laissons au bord u chemin, voire dans le fossé, ceux qui préfèrent passer leur temps à cracher leur fiel sur les camarades les plus proches.

Refusons et dépassons la mauvaise alternative caricature/reniement stratégique.  La Droite nationale n’a pas à avoir honte de ce qu’elle est, n’a pas à renier son héritage sous prétexte de plaire à la caste médiatique – qui est l’une des détestées par les peuples soit dit en passant –, n’a pas à avoir peur d’utiliser les mots droite, nation, national, nationalisme au profit d’un populisme qui est devenu une sorte de marais incapacitant, mais aussi elle n’a pas à se réfugier dans la caricature, dans des formes mortes et qui font peur, dans un refuge de pureté qui ne masque plus le refus d’exercer le moindre pouvoir sous prétexte de ne pas se salir les mains…

La Droite nationale doit retrouver le chemin de la Tradition et d’une certaine modernité. A l’instar de ce que proposait en son temps le Parti des forces nouvelles, la droite nationale doit chevaucher et dompter une partie de la modernité pour s’ancrer dans le monde d’après. C’est repenser à l’archéofuturisme cher à Guillaume Faye (certainement son dernier essai digne de ce nom et un concept qui a marqué une génération dont l’auteur de ces lignes). En effet, l’Européen – car pour nous il ne s’agit pas d’opposer les nations à la nécessaire unité européenne – c’est à la fois le Hobbit qui cultive son champ et maintient ses coutumes mais aussi l’Elfe qui part à la découverte du Monde, y compris des étoiles… C’est Delphes et la fusée Ariane.

La Droite nationale doit donc en finir avec le positionnement contre, elle doit proposer une espérance, un rêve, un mythe, un ordre nouveau.

Tel est notre projet…

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Celui qui fut Weber le rouge est mort.

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L'avis de Jean-François Touzé

Je ne suis pas de ceux qui rient dans les cimetières et, même si je pense avec Vitellius et Charles IX, que le cadavre d'un ennemi sent toujours bon, je ne me réjouis pas de la mort de quiconque quand le temps a fait son oeuvre. Mais tout de même.

Weber fut un militant révolutionnaire marxiste léniniste acharné, déterminé et enragé, aux côtés de Krivine, au temps des JCR puis de la Ligue. Au début des années 70, il habitait juste a coté de chez moi boulevard Saint Marcel. Tout le quartier était couvert d'autocollants d'Ordre nouveau dénonçant la présence de celui qui était bien une crapule gauchiste.

Ni sa mutation ultérieure en sénateur socialiste fabiusien, ni son riche mariage qui lui ouvrit les portes des milieux patronaux, ne peuvent faire oublier les imprécations haineuses du directeur de "Rouge" et de l'orateur idéologue et activiste dont nous avons gardé la mémoire.

Spéciale dédicace à tous ceux de nos camarades d'alors qui ont connu la douceur des arguments en acier trempé de la LCR.

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dimanche, 26 avril 2020

Vincent Vauclin, président de la Dissidence française, répond à vos questions

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L'émission en ligne cliquez ici

19:37 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mutation du mondialisme et réaction de Gaïa

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Nous publions aujourd’hui le septième volet de notre enquête. Co-fondateur et rédacteur en chef du site Europe Maxima, rédacteur à Synthèse nationale et chroniqueur habdomadaire du « Village planétaire » sur la web-radio de TVLibertés, auteur de plusieurs essais de géopolitique et d’histoire des idées dont Pour la Troisième Voie solidariste (Bouquins de Synthèse nationale), Georges Feltin-Tracol vient de diriger un travail collectif à paraître, une fois le confinement fini, chez le même éditeur, Réflexions pour un nouveau corporatisme.

S.N.

Georges Feltin-Tracol

L’idéologie mondialiste peut-elle vraiment détester le coronavirus ? Quelle étrange question : un ensemble d’idées, de concepts et de théories qui supposent une unité du genre humain n’éprouve aucun sentiment pour une souche virale et réciproquement. Et pourtant ! Avec le rétablissement des frontières, y compris intra-régionales, l’assignation à résidence pour tous, l’insistance à respecter la « distanciation sociale », la valorisation des « gestes-barrières » qui auraient pu aussi s’appeler « gestes-frontières », la volonté manifeste de « fliquer » malades et porteurs asymptomatiques ainsi que la petite musique lancinante en faveur de la « renationalisation » et de la « relocalisation » des économies, il serait facile d’imaginer que le cosmopolitisme vient de subir une lourde défaite.

Se souvenant peut-être de son engagement chevènementiste en 2002 et des écrits d’Emmanuel Mounier, le fondateur de la revue Esprit dont il fut l’un des contributeurs réguliers, Emmanuel Macron en appelle à une souveraineté française et européenne. Il comprend que le projet supposé européen vit un instant crucial : soit il franchit l’obstacle et tend vers une plus grande intégration (oui, mais laquelle ?), soit il capote, éclate ou reste un ensemble imparfait branlant, inaudible et inconsistant. Le covid-19 a déjà abattu le critère maastrichtien des 3 % et montré l’impéritie des instances soi-disant européennes juste bonnes à bavasser.

L’aide financière, directe ou non, aux membres les plus touchés par l’épidémie (Italie, Espagne, Grèce) suscite la réserve d’États « austéritaires » tels que les États baltes, la Finlande et les Pays-Bas. Cette absence de compassion agace l’Italie qui, longtemps passionnément européenne, voit grossir le camp de l’« Italixit ». L’Union dite européenne répond mollement aux enjeux actuels tandis que les « réprouvés » de l’Occident international (Russie, Chine, Cuba) n’hésitent pas à envoyer en Lombardie et en Vénétie du personnel et du matériel médical…

La pandémie de coronavirus marquerait-elle le retour tonitruant des États et des nations ? Au quotidien s’esquisse dès à présent une distinction entre « eux » et « nous » ? Fini le « vivre ensemble » quasi-partouzard, attitude maintenant dangereuse, car contagieuse ! Depuis 2010, il est interdit de dissimuler le visage dans l’espace public. Sera-ce toujours le cas avec l’injonction officielle de porter un masque dans les transports en commun, dans les magasins, voire dans les rues ? L’école de la République va-t-elle continuer à exclure les musulmanes voilées alors que leurs camarades et leurs professeurs seront eux masqués ? Le Régime atteint ses limites et révèle ici d’insolubles contradictions.

Il faut s’en réjouir tout en gardant la tête froide. En 2008, au pire moment de la crise financière, les politiciens clamaient, la main sur le cœur, que rien ne serait plus comme avant. La vaste blague ! Une fois la pandémie de coronavirus passée, tout reviendra comme avant… en pire : la transparence impérative et le traçage permanent exigés par la « sûreté sanitaire » faciliteront la mise au pas, rapide et indolore, des peuples récalcitrants. Pis, le mondialisme profite des circonstances pour s’adapter au nouveau contexte et poursuivre son travail subversif. Jacques Attali n’a-t-il pas prévenu qu’il ne fallait surtout pas laisser la nation aux seuls nationalistes et autres populistes ? On assiste donc au retour de la nation. Mais de quelle vision nationale exactement ? Le remarquable « essai historique sur l’idée de patrie en France » de Jean de Viguerie, Les deux patries (Éditions Dominique Martin Morin, 1998), détaille les deux principales acceptions. Pour Jacques Attali et certains souverainistes europhobes carabinés, la nation n’est qu’une collectivité contractuelle d’individus fondée sur la loi et le droit. Cette conception venue du « siècle des Lumières » alimente les élucubrations du philosophe allemand Jürgen Habermas sur le « patriotisme constitutionnel ». Mourir au combat pour la Loi fondamentale allemande de 1949 ou pour la Déclaration des droits de l’homme serait-il plus légitime que le sacrifice pour sa communauté politico-historique - ethno-populaire ?

Loin de favoriser le moindre effondrement général, la crise du covid-19 renforce au contraire le globalisme. Devinant les signes avant-coureurs d’un désastre économique et social supérieur à celui de 1929, l’hyper-classe s’approprie l’idée nationale et la pervertit en un « national-mondialisme » qui, dans le cadre français, renoue avec la matrice originelle, philosophique, individualiste, subversive et réductionniste de la nation appliquée entre 1789 et 1799 et sous la IIIe République laïcarde.

Le petit gars de l’Élysée ne s’y trompe pas quand il utilise un vocabulaire volontiers belliqueux. Quant à sa majorité, elle en appelle à l’« union nationale » comme si des hordes de coronavirus campaient devant les portes de Paris, de Lyon, de Marseille, de Bordeaux, de Mulhouse, de Brest, de Lille ou de Perpignan. Jamais en manque de sottises, le grand patronat estime pour sa part que l’« effort de guerre » nécessiterait une réduction des RTT, une diminution des congés payés, la suppression de quelques jours fériés, voire la remise en cause du repos dominical, parce que la production et la productivité doivent repartir au plus vite. Toute cette logorrhée serait risible si la situation n’était pas si dramatique.

Les proclamations martiales, « patriotiques » et « nationales » du gouvernement ne duperont que les naïfs. Changeons tout dans les discours pour que rien ne change dans les faits. L’immigration de peuplement allogène se poursuit à l’heure même où les honnêtes gens ne se déplacent qu’avec des Ausweis dûment remplis. L’antienne éculée à l’« unité nationale » ne doit pas anesthésier, ni éteindre les prochains foyers de la contestation politico-sociale.

Refuser tout réflexe « patriotique » est en soi un acte plus héroïque que de se rallier, même pour un bref moment, à « DJ Manu » et à sa bande de bras cassés. Le monde post-covid-19 ressemblera encore beaucoup trop au monde d’avant avec plus d’insécurité organisée pour les petites gens, de vidéo-surveillance constante, de puçage obligatoire et de traçage automatique de tous les déplacements. Les permis de citoyenneté et de mobilité non motorisée (à pied, à vélo, en trottinette, dans le métro, dans le train ou en bus) amélioreront le contrôle social intrusif.

La « page du mondialisme » ne se tournera pas parce que les peuples, abrutis de propagande médiatique et dépolitisés en diable, font confiance en période de crise dans leurs dirigeants. Experts dans la manipulation du public, les instituts d’études sur l’opinion enregistrent la forte baisse dans les sondages de l’AfD, du FPÖ et de la Lega. L’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne a beau prévenir la population, celle-ci ne l’écoute pas et maintient sa confiance dans sa classe politique pourrie. La révolution nationale et européenne n’est donc pas pour demain, ni même pour après-demain, sauf si la crise sanitaire, économique, sociale, politique, environnementale s’aggrave vraiment. Il faut le souhaiter vivement d’autant qu’il est hors de question de « sauver la planète ».

De l’éclatement continental de la Pangée à l’extinction des dinosaures en passant par l’avènement au XIXe siècle de l’Anthropocène, la Terre a connu maintes épreuves. Les races humaines ethno-historiques ont longtemps vécu de manière symbiotique avec leur oïkos continental - tellurique. Le surgissement successif du monothéisme et de la Modernité correspond à l’échelle géologique de la planète en la transformation de cette présence humaine à un épiphénomène parasitaire. L’apparition (naturelle ou artificielle) à Wuhan du covid-19, puis l’émergence récente à Harbin en Mandchourie d’une nouvelle souche mutante moins détectable et plus redoutable indiquent que le supra-organisme planétaire holistique Gaïa réagit aux nombreux outrages anthropiques. Quand il ne suscite pas de séismes, de tsunami, d’éruptions volcaniques, d’importantes inondations, de violentes tempêtes, de puissantes tornades, d’orages torrentiels, de fortes sécheresses, il lance à l’assaut de l’exo-organisme humain microbes, bactéries tueuses et virus.

La Terre exprime toute sa colère contre les races humaines. Par ses factions « bio-diversitaires » et New Age, l’hyper-classe cosmopolite s’en doute, d’où son engouement à célébrer l’« écologie de marché » et la mue du mondialisme en versions nationalitaires trompeuses.

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Confinement pour covid 19 : pas d'inquiétude, l'avortement est toujours aussi facile !

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Un décret publié au Journal Officiel le 15 avril 2020 stipule que : « Eu égard à la situation sanitaire (…), les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu'à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d'aménorrhée, date des dernières règles).» Ce décret fait suite à l'avis de la Haute Autorité de Santé, saisie en urgence par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé. Ainsi, le délai pour l'IVG médicamenteuse en ville est allongé de deux semaines.

Faut-il donc que nos autorités (y compris celle de la santé) soient obsédées par l'idée de tuer des embryons (présentée comme un « droit fondamental » des femmes), pour prendre une telle décision !

Réaffirmons que l'avortement ne peut être, au mieux, qu'un pis-aller face à une situation de détresse (Simone Veil l'avait d'ailleurs précisé en 1975, mais ses « successeurs » l'ont bien oublié).

La dernière livraison du Chêne cliquez là

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samedi, 25 avril 2020

Le pouvoir en France et en l'Allemagne face au coronavirus

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Johann Chapoutot*, professeur d'histoire à la Sorbonne est un spécialiste de l'Allemagne dont il enseigne l'histoire de 1806 à nos jours. Il a aussi renouvelé l'étude du nazisme en l'abordant sous l'angle culturel, un aspect que la plupart des historiens ont passé sous silence, réduisant le nazisme à l'archétype du Mal.

Homme de gauche, Johann Chapoutot s'est livré pour le site Mediapart à une comparaison entre l'attitude du pouvoir en l'Allemagne et en France face au coronavirus. En un mot comme en cent, le pouvoir en Allemagne s'adresse à des adultes quand l'Etat français n'a de cesse de nous infantiliser .

(*) On lira avec intérêt, La loi du sang (Gallimard, 2015) La révolution culturelle nazie (Gallimard, 2014), Comprendre le nazisme (Tallandier, 2018).

Lire l'entretien ICI

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RAMADAN 2020, OU L'AN I DE LA CHARIA EN FRANCE.

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Olivier Piacentini

Cela fait des années que nous voyons venir la chose, des années que nous l'annonçons, mettons en garde les populations. Et voila que les prophéties des oiseaux de malheurs et des vilains racistes et islamophobes que nous sommes, deviennent réalité. La France est en passe de devenir sous nos yeux un califat islamique, le ramadan de cette année si particulière le révèle au grand jour.

La preuve ? A Marseille, le préfet vient de concéder officiellement aux musulmans des assouplissements aux règles du confinement pendant le ramadan. Dans le Calvados, des policiers ont révélé une note confidentielle de la préfecture leur intimant de n'intervenir dans les quartiers islamisés qu'en cas d'atteintes graves aux personnes ou aux biens. Et les mêmes policiers de supputer que le Calvados pourrait ne pas être le seul département concerné par ce type de directive.

Qu'est ce que tout cela signifie concrètement ? Si demain, des personnes attrapent le coronavirus à Marseille, la cause pourrait en être les dérogations accordées à l'Islam. Merci Monsieur le préfet, merci messieurs Macron, Philippe, Castaner. Dans le Calvados, les braves gens qui supportent déjà le confinement, les amendes pour oubli d'attestation, ou pour des paniers de courses pas assez remplis, devront également endurer les tapages nocturnes des fidèles, l'agitation au bas de leur immeuble, les actes de vandalisme jugés mineurs sur leur véhicule ou leur logement, ou toutes autres nuisances. Si vous êtes dans ce cas, inutile d'appeler le 17, ni le 22 à Asnières, personne ne viendra : on vous dira de mettre des boules quies, et de prendre votre mal en patience, c'est Monsieur le Préfet qui l'ordonne. Les forces de l'ordre sont mobilisées pour cerner la mémé qui promène son chien, ou encore les plagistes ou les randonneurs de haute montagne poursuivis par des hélicos : aux grands maux les grands remèdes... Ou mieux encore, les quinze fidèles qui assistaient à une messe en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, qui ont suscité l'ire du gouvernement et des médias. Mais pas les musulmans qui fêtent ramadan dans le bruit et ne respectent pas le voisinage.

Après l'affaire Mila, cette jeune lesbienne menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir blasphémé, puis ensuite vertement tancée par mesdames Belloubet et Royal en personne, abandonnée à son sort par la gauche et les associations LGBT, le ramadan 2020 marque donc l'an I de la soumission officielle de la République à l'Islam. L'Islam a donc acquis un statut spécial dans notre république soit disant laïque, neutre, mais qui en réalité se couche devant plus fort qu'elle : les lois de la République, qui exigent de respecter le confinement, la tranquillité du voisinage, l'intégrité des biens et des personnes, doivent donc s'incliner devant la tradition du ramadan.

C'est la première fois que c'est exprimé officiellement par des représentants de l'État. Et avec effusion en plus : Castaner a exprimé ses vœux sincères de bon ramadan à tous nos compatriotes musulmans, après avoir ignoré superbement les fêtes de Pâques. La soumission dans la joie et la bonne humeur, en quelques sorte...

Source cliquez ici

 
 

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Covid-19 et France : des Statistiques et de leur usage

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Bernard Plouvier

Comme pour toutes les épreuves, qu’elles soient individuelles ou collectives, l’unique question importante est invariable : quelle(s) leçon(s) en tirer ?

Pour y répondre, il faut commencer par ouvrir les yeux et aller au-delà de la simple apparence. Fin avril, au bout de vingt semaines de pandémie, les statistiques officielles – certes biaisées par les chiffres curieux lancés de Chine, de Corée du Nord ou d’États arriérés – semblent avoisiner les 3 millions de cas répertoriés et traités. La mortalité globale cumulative atteint pratiquement les 200 000 (soit un ratio de mortalité/cas répertoriés d’environ 6,6%)... on a paralysé la vie économique de l’Occident pour un « machin » qui tue beaucoup moins que la grippe !

Les données catégorielles chinoises des deux premiers mois (qui furent probablement peu truquées, car personne ne prévoyait l’ampleur que prendrait l’épidémie dans l’hémisphère Nord), puis celles venues d’Italie sont confirmées par l’étude des 10 000 premiers décès de France : la mortalité est de type sélection naturelle, comme c’était prévisible.

En France, 9 700 des 10 000 premiers décès ont porté sur des plus de 59 ans (6 000 de plus de 80ans ; 2 500 de 70 à 79 ans et 1 200 de 60 à 69 ans), avec une surmortalité masculine (60% des morts).

Les accidents vasculaires cérébraux ou coronariens liés à l’hypoxie – le manque d’oxygène – témoignent des conséquences du tabagisme plus important dans les antécédents de nos « vieux » que chez nos « vieilles »... lors d’une épidémie survenant dans 30 ou 40 ans, le sex ratio sera probablement égal à 1 du fait du tabagisme forcené de nos jeunes dames ! La soi-disant protection dont bénéficieraient les fumeurs paraît bizarre au vu des statistiques de mortalité qui commencent à être disponibles. Là comme ailleurs, il faut se méfier des effets d’annonce et attendre des études rigoureusement conduites.

Donc, une fois encore : Non ! Ce n’est pas la « guerre », soit une suite d’événements où meurent préférentiellement des hommes jeunes, en plus de « dégâts collatéraux » de tous âges et sexes.  

Ce n’est pas la guerre... sauf dans nos zones de non-droit, où Macron-Philippe-Castaner démontrent plus encore qu’ailleurs leur incompétence et leur faiblesse coupables. Des comptes seront à rendre à la Nation, bien sûr pour la « gestion » (l’expression pilotage sans visibilité semble plus adaptée) économique et sanitaire de cette épidémie, mais aussi pour la tolérance des émeutes provoquées par les envahisseurs inutilement importés.    

Il est très incomplet d’évoquer la « 4e position » de la France dans cette pandémie, en ne tenant compte que du seul nombre de cas traités. Les USA,  où l’on avoisine le million de cas répertoriés, ont un poids démographique (330 millions d’habitants) sans comparaison avec ceux des 2e (Espagne : 220 000 cas) et 3e (Italie avec 195 000 cas) pays réputés les plus touchés. La France arrive effectivement en 4e position (160 000 cas), suivie de l’Allemagne (155 000 cas) et de la Grande-Bretagne (145 000 cas).

La Chine aurait moins de 90 000 cas répertoriés – sur 1,4 milliard d’habitants, dont une majorité d’individus à l’hygiène nulle !  En fait, depuis mi-mars, le compteur est bloqué sur le chiffre de « 83 899 cas ». La tricherie statistique est si évidente que l’on ne doit plus raisonner que sur les statistiques des pays occidentaux, d’autres pays asiatiques publiant aussi des estimations « curieuses ».

Si l’on étudie le nombre des morts en Occident, on peut soit les rapporter à la population soit les rapporter au nombre de cas traités. Bien sûr, les USA enregistrent entre 46 000 et 47 000 morts, à la date du 25 avril, mais rapportés aux 905 500 cas traités, cela donne un ratio morts/cas traités de 5,13%, ce qui est plus bas que la moyenne planétaire.   

Le désastre sanitaire français n’apparaît dans toute son ampleur que si l’on étudie ce ratio mortalité/nombre de cas répertoriés. Avec 5 760 morts, l’Allemagne affiche le ratio le plus bas d’Occident (3,7%). Le système sanitaire français est, au moins pour l’instant, ridiculisé : avec 22 250 morts (13,9% de morts, soit le double de la moyenne planétaire). Nous sommes moins performants que les Espagnols (certes : 22 540 morts, mais pour 220 000 cas, soit un ratio de 10,24%). Seuls, les Belges font pire avec un ratio de 15,1% de morts/cas traités. Même les Italiens et les Britanniques, si critiqués, font un peu mieux que nous avec un ratio de 13,5% ; les Néerlandais sont à 11,7%.

La French Touch, l’exception française et autres fadaises publicitaires se paient très chèrement : incompétence semble rimer avec jactance ! Notre France sortira un peu meurtrie de cette crise, mais bien davantage encore appauvrie et surtout ridiculisée.

En plus de l’épreuve économique et morale engendrée par cette crise sanitaire, nous sommes contraints de subir la folie furieuse d’une population immigrée qui « s’auto-administre » du fait de la lâcheté de nos princes : économie reposant sur divers trafics (drogues, armes, prostitution, pillages), hors de tout contrôle des polices très bizarrement dirigées ; zones de guérilla civile larvée, se réveillant au gré d’imams de quartiers ou d’« intellos » qui ont pour seul objectif de détruire la société d’accueil.    

Par l’effet d’une panique, l’on a ordonné l’arrêt de presque toute la vie économique... sans paralyser un seul instant les trafics de nos chers Z’immigrés. Le coût de cette folie plombera tellement la Dette que nos doux princes recommandent la politique de l’autruche : « Y-a-plus-de-dette » devient le slogan des «experts économistes »... s’ils sont aussi doués que les « experts médicaux » qu’on a vu à l’œuvre ces dernières semaines, ça promet !

Enfin, nos hôpitaux ont démontré qu’ils sont totalement inadaptés à la gestion sérieuse d’une crise sanitaire majeure.

Aux électeurs de conclure : on balaie les charlots ou on les remet en selle pour détruire définitivement l’État et laisser le champ libre à la substitution de population.

La France reste une République européenne ou vire à la Ripoublique islamique de Franchaouia.

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15:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ENCORE UNE VOLTE-FACE DE MACRON

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Pierre Vial président de Terre et peuple cliquez ici

Macron est décidément un nuisible et de la pire espèce. Il vient de démontrer une fois de plus qu’il est un spécialiste de la volte-face la plus cynique : après avoir annoncé que les personnes âgées de plus de 70 ans seraient exclues du déconfinement, il a dit le contraire quelques jours après. Tout simplement parce que, vu le mécontentement que son annonce a provoqué, les fins stratèges (?) qui l’entourent lui ont fait remarquer que son électorat est composé en bonne partie de personnes âgées, trop crédules pour avoir perçu jusqu’à présent le caractère nocif du personnage. Donc, marche arrière toute, avec un grand sourire histoire de rappeler qu’il se fout du monde.

Les maires et autres élus locaux sont bien placés pour le savoir. Quand il y a des problèmes locaux emmerdants (insécurité, insalubrité, équipements défectueux, etc) c’est pour eux. Mais s’ils veulent prendre des mesures affirmant leur autonomie et leur pouvoir local, par exemple pour lutter contre la pandémie, ils se font immédiatement taper sur les doigts par les autorités administratives et judiciaires, émanations du pouvoir jacobin. Le centralisme parisien ne supporte pas qu’on mette en cause son omnipotence et son mépris des « provinciaux ».

Sur le plan international Macron pratique aussi avec désinvolture le retournement de veste. Le dernier en date concerne l’Albanie. Comme le savent tous ceux qui s’intéressent à la géopolitique, l’Albanie est un pays pourri jusqu’à la moelle, un pays maffieux où trafic d’armes, de drogue et même d’organes humains (prélevés sur des Serbes au Kosovo) ainsi que d’esclaves prostitué(e)s sont une « industrie » nationale, comme le savent fort les polices occidentales. C’est aussi une base commode pour les djihadistes voulant s’infiltrer en Europe occidentale. Or, comme le rappelle l’excellente lettre d’information quotidienne Eurolibertés, les différents gouvernements européens ont donné le 24 mars leur feu vert pour relancer le processus d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du nord à l’Union européenne. Le veto que mettait jusqu’à maintenant la France à ces candidatures a été levé par le président Macron.

L’Albanie a initialement présenté sa demande d’adhésion à l’Union européenne en 2009. Depuis cette demande, plusieurs étapes dans le processus d’adhésion ont été franchies.

Quatre pays dont la France ont longtemps mis leur veto au lancement des négociations en vue de l’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine du nord à l’UE et la continuité de cette position a été réaffirmée lors d’une réunion des ministres des affaires étrangères à Luxembourg le 15 octobre 2019. Cinq mois plus tard, changement de cap : le 24 mars 2020, les représentants des divers pays européens décidaient à l’unanimité d’ouvrir les négociations en vue de l’adhésion des deux pays demandeurs à l’UE.

Comment expliquer ce revirement ? L’accord qui permet la relance du processus d’adhésion de l’Albanie à l’UE comporte plusieurs mesures que doit prendre son gouvernement. Ces réformes concernent entre autres le financement de la vie politique, une réforme judiciaire et la mise en place de structures spécialisées dans la lutte contre la corruption et la criminalité organisée. Ce qui fait éclater de rire (jaune) ceux qui connaissent l’Albanie. Mais la nomenklatura des institutions européennes n’en a cure et choisit, comme d’habitude, de fermer les yeux sur les vérités qui dérangent.

On sait combien les politiciens sont des girouettes. Mais Macron restera dans l’Histoire comme un cas exemplaire.

12:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Enquête de Synthèse nationale sur la crise actuelle : le point de vue des Brigandes

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Nous publions aujourd'hui le sixième volet de notre enquête avec le point de vue de nos ami(e)s du Clan des Brigandes. Pour celui-ci, à la désintégration du monde actuel, il faut opposer le rassemblement communautaire. Les Brigandes savent de quoi elles parlent puisque, pour elles, il s'agit là d'une expérience vécue. Pour les autres, peut-être une piste à étudier...

S.N.

Le Clan des Brigandes

Nous traversons une situation historique, un changement d’époque. La « crise coronavirus » qu’on nous impose en est le signe.

Tout d’abord, voici quelques éléments pour ceux qui seraient sceptiques quant à ce que nous allons exposer :

Nous connaissons la plus grande restriction des libertés fondamentales qu’il y ait jamais eu dans notre histoire connue, en temps de paix et à l’échelle mondiale. Cette restriction repose sur une prétendue pandémie, qui est pour le moment bien moins meurtrière que certaines grippes (celles de 1969, 1957,…) n’ayant jamais justifié de telles mesures. On remarque que :

- Certains hôpitaux sont quasiment vides (reportage-vidéo allemand à l’appui).

- Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus. L’écrasante majorité des personnes prétendument décédées de ce virus avaient par ailleurs d’autres maladies graves (voir les statistiques).

- Le taux de mortalité en France n’a pas augmenté d’une manière si significative par rapport aux autres années, et il est même légèrement plus bas en mars 2020 qu’en mars 2018 !

- Des sommités, comme le Prix Nobel Luc Montagnier, affirment que le virus est de fabrication humaine et que toute recherche visant à le démontrer est étouffée par « les autorités internationales ».

- Les articles ou vidéos explorant des pistes alternatives au sujet du coronavirus, sur des plateformes comme YouTube ou Facebook, sont censurés au même titre que « l’incitation à la haine ».

- Des économistes avaient prévus une crise économique pour mars 2020. 

- Etc., etc.

On pourrait aussi mentionner tout ce qui suit cette prétendue crise sanitaire : rachat par des grandes firmes d’une quantité énorme d’entreprises en faillite à cause du confinement, connexion entre le grand ponte de la vaccination mondiale et de l’identité numérique (Bill Gates) avec le patron de l’OMS, etc.

Bref, nous ne nous étendrons pas sur ces multiples éléments, mais ceux-ci démontrent que nous sommes là face à une manipulation ayant permis de tester – et pour un prétexte fallacieux ! – l’immobilisation de la majorité de la planète, ce qui n’avait encore jamais été réalisé.

Le test est concluant : désormais, le coup du virus pourra être ressorti n’importe quand pour justifier la mise à l’arrêt d’un ou plusieurs pays. Nous passons là une étape historique, qui peut ouvrir la voie à de nouveaux totalitarismes, pouvant même se révéler plus dangereux que ceux que nous avons connus au XXe siècle car ils ne seront pas justifiés par une idéologie (laquelle a toujours des opposants), mais par la nécessité de sauver l’humanité ! Qui peut s’opposer à la sauvegarde de l’humanité sans passer pour un monstre ?

Ce nouveau prétexte, ainsi que la dimension internationale de ses conséquences, doivent nous faire redouter le pire : même si le confinement se lève et que nous avons l’impression de retrouver une certaine « liberté », nous avons passé un cap et glisserons progressivement, dans les mois et années à venir, vers une société pouvant légitimer l’interdiction des libertés les plus fondamentales… et ensuite la répression de ses opposants ! On entend déjà que « ceux qui affirment qu’il n’y a pas une réelle pandémie incitent à la baisse de la vigilance et sont donc des dangers publics » ! La catégorisation de certaines personnes en tant que « danger pour les autres » a toujours été le meilleur prétexte à la persécution de ces personnes.

Tout cela, vous le savez probablement. Allons donc plus loin :

Nous ne croyons pas que les peuples vont soudainement se réveiller et reconquérir leur souveraineté. Les révolutions authentiquement populaires n’existent pas sans lobbies. Et elles existent encore moins quand il faut obéir pour préserver sa santé !

Nous ne croyons pas dans la politique électorale, soumise aux impératifs des structures mondiales : tous les pays font partie de l’ONU ou de l’OMS, et on aura vu la crise actuelle rassembler Poutine, Macron et Trump dans le même mouvement ! Comment pourraient-ils faire autrement ? (Pourquoi pas un seul politicien ne dénonce-t-il l’incroyable exagération des mesures adoptées ?)

Nous croyons que nous allons passer par une phase de nouveaux totalitarismes qui pourra durer longtemps, dans laquelle la technocratie globale pourra s’étendre encore plus rapidement et la caste scientiste-médicale se trouvera au poste de direction.

Nous savons que le Système accélère la réalisation de ce plan selon certaines échéances, et la date de 2025 en est une. Cette date-pivot est mentionnée à plusieurs reprises, au départ par la loge occultiste Lucis Trust (qui siège encore aujourd’hui à côté de l’ONU à Genève), jusqu’au rapport de la CIA de 2008 publié dans le fameux livre d’Alexandre Adler dans lequel la pandémie mondiale d’un coronavirus était « envisagée ». Ce rapport de la CIA dresse un calendrier jusqu’en 2025 !

Les religions étant encore les derniers refuges au sein desquels on peut trouver des éléments réfractaires à la technocratie internationale, on assistera à l’établissement d’un syncrétisme religieux accordé à l’ordre mondial. Les chefs religieux conduiront (et conduisent déjà) leurs brebis vers la soumission. La politique du Pape pendant cette « crise coronavirus » est démonstrative à cet égard. On assistera probablement à une mise en scène grandiose pour réunir les tendances religieuses dans un même courant, qui donnera une légitimité théocratique à un ordre mondial ayant déjà sa légitimité scientifique et sanitaire !

Il est bon, sur ce sujet, de consulter notre vidéo Commentaires de Joël LaBruyère sur la chanson des Brigandes "D'ici 2025": Le faux-prophète qui vient cliquez ici 

Voilà comment nous voyons l’avenir. C’est pour cette raison que Joël Labruyère a rassemblé un clan communautaire – dernière possibilité de vivre en accord avec ses idées et avec ses proches, lorsque les libertés de mouvement et de réunion sont profanées.

La civilisation mondiale qui est en place aura, comme toute civilisation, son heure de fin : mais quand ? Il vaut mieux se préparer à ce que ce soit plus long qu’espéré, car en science militaire on envisage le pire pour être préparé à toutes les éventualités.

Alors que faire ? Déjà rester alertes, car la conscience est notre première arme. Et ensuite, préparer des vrais réseaux de proximité, retrouver le sens du réel, avoir des personnes sur qui compter. Internet offrira bien peu de choses, et il n’en offre déjà pas beaucoup à côté de cela : il vaut mieux avoir une personne qui vienne nous rencontrer pour nous témoigner son approbation, que 1 000 qui cliquent « J’aime » à distance.

Puissent ces réflexions servir à ceux qui ne s’abandonnent pas à de vaines espérances.

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Lire aussi l'entretien avec Joël Labruyère dans le dernier numéro de la revue Synthèse nationale cliquez là

11:47 Publié dans Notre enquête sur l'après mondialisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tandis que les banlieues s’embrasent sous l’œil bienveillant de Castaner, des Français inoffensifs sont verbalisés

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Source Medias Presse info cliquez là

Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.

Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine. Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.

Mais pour le ministre de l’Intérieur venu des sombres salles de jeu, Castaner, « ces tensions ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnelle (…) Les causes sont nombreuses, notamment le confinement (…) ». Il faut dire que le gouvernement, via les media aux ordres, minimise largement ces faits, avant tout parce que l’État a depuis longtemps abandonné ces quartiers non pas populaires mais d’immigration aux trafics de drogue et aux caïds.

Par contre, si l’État excuse toutes ces violences en banlieue, non pas quartiers populaires mais d’immigration, il prend sa revanche sur les vrais Français populaires, tous des Gilets Jaunes en puissance qu’il faut mater, et envoie manu-militari sa police sanctionner sans trêve les honnêtes citoyens du monde rural ou les confinés des villes normales. Ainsi une petite vieille, pas riche du tout, a été verbalisée pour avoir été se promener sur un quai d’une petite ville de Bretagne. Et un cavalier parti se promener avec son cheval s’est pris une amende sur un sentier de terre, les gendarmes du petit despote Macron ne pouvant concevoir le cheval comme un honnête moyen de déplacement pour sortir en confinement. 

11:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Pierre Manent dans Le Figaro (24 avril 2020)

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Disciple de Raymond Aron, dont il fut l’assistant au Collège de France, le philosophe, auteur de remarquables travaux sur le libéralisme et l’État- nation, analyse la crise inédite que nous vivons et le rapport à la politique qu’elle révèle. Pour lui, nous subissons un retour des « traits les moins aimables de notre État ». Le confinement, mesure « primitive » et « brutale », est une suspension inédite de nos libertés. Il s’accompagne d’une prise de conscience collective des conséquences de l’abandon de l’idée d’indépendance nationale depuis des décennies.

L’auteur de La Cité de l’homme voit dans la crise actuelle « la fin du bovarysme européen » et la confirmation de l’hégémonie allemande dans une Union délitée. C’est moins le libéralisme qui est remis en cause que l’idée d’un ordre humain réduit à la seule gestion des flux, juge Pierre Manent.

Lire la suite ICI

09:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 24 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (VENDREDI 24 AVRIL)

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Le recours au Moyen Age

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Collaborateur régulier de la presse monarchiste ainsi qu'au quotidien Présent et à la revue Synthèse nationale, Aristide Leucate est intervenu plusieurs années durant comme chroniqueur dans l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et Philippe Randa sur Radio Libertés. Dans le cadre de notre enquête, il nous livre ici ses réflexions sur l'après coronavirus...

S.N.

Aristide Leucate

Et si l’on revenait au Moyen Age ?

J’entends d’ici les bonnes âmes se récrier, trépigner, s’offusquer, hurler au scandale sur le ton courroucé du « mais vous n’y pensez pas », et, dans le même temps (attitude très à la mode, ces derniers temps), condamner sans appel ce « retour à l’obscurantisme et à l’ignorance », à ces autres heures sombres où la peste, la misère, l’Inquisition, les corvées, les guerres féodales, le servage et la sorcellerie, s’abattaient sur le monde comme les sept plaies d’Egypte. Et tous d’invoquer en chœur les mânes de Michelet.

Tout d’abord, on recommandera instamment à ces bonnes consciences modernistes sûres de leur fait – d’autant plus assurées, d’ailleurs, qu’elles ont pour elles, du moins le croient-elles, le sacro-saint « sens de l’histoire », utopie dialectique hégélienne, devenue plus tard, avec les résultats que l’on sait, l’enfer marxiste sur terre – de se calmer et de prendre séant dans quelques bassines d’eau froide.

Ensuite, pour les rasséréner, dirons-nous qu’il s’agit moins d’un « retour » que d’un « recours » – sinon d’un secours – à cette lointaine époque que, par convention, l’on fait remonter à la chute de l’Empire romain d’Occident pour la faire choir aux marches de la Renaissance – « Moyen Age » et Renaissance », deux concepts qui, naguère, provoquèrent l’ire dévastatrice mais érudite d’historiens sourcilleux mais non dogmatiques tels que Régine Pernoud et Jacques Heers. Mais là n’est pas le débat.

Mais foin de toute légende noire ou de glorieux âge d’or.

C’est qu’en ce temps-là, l’on ne cherchait pas à mimer Prométhée – bien que la tentation de l’hubris, fût déjà profondément enracinée dans le cœur de l’homme, ainsi que les Attiques nous l’enseignaient depuis longtemps –, quand bien même s’écharpait-on gaillardement et souvent de la façon la plus sanguinaire qui soit.

Qu’il suffise d’évoquer Saint-Louis, Jeanne d’Arc, Bouvines, Thomas d’Aquin, la chevalerie, l’amour courtois et Chrestien de Troyes, Aliénor d’Aquitaine, Blanche de Castille, le monachisme, les cathédrales, la féodalité (les liens d’homme à homme fondés sur l’aide et le conseil réciproques), pour que l’on saisisse l’esprit d’une époque où il n’était véritablement de richesse que d’hommes.

Recourir à l’esprit médiéval consiste donc à retrouver une certaine enfance de l’âme que surent sublimer Walter Scott et Chateaubriand. Oubliés les hyper-marchés et leurs vastes parkings recouverts d’amas de tôles, oubliés aussi les angoissantes conurbations faisant disparaître la campagne sous d’épaisses toundras de béton et de bitume, oubliés encore les agitations en tous sens, les courses folles vers des buts dérisoires, les brouhahas incessants – toutes ces conspirations contre la vie intérieure, disait Bernanos…

Place au silence, aux angélus, au rythme naturel de la vie, à la germination lente, à la prière, au plain-chant grégorien, à l’élévation mystique, aux forêts, à leurs génies et dieux, aux battements telluriques de la terre, aux métiers cent fois remis, à la terre qui ne ment pas – celle de nos aïeux tutélaires –, à la fine amor – cette féminité sensuelle et raisonnable à mille lieux des hydres répugnantes du féminisme non-genré –, à l’éthique arthurienne, aux vieilles pierres debout, aux contes du vieux-vieux temps, aux flèches effilées d’absolu de nos cathédrales, aux tours crénelées de nos imaginaires, aux fabliaux, aux Sommes théologiques, à l’Edda…

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Banlieues : au diable la tiédeur !

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Par Etienne Defay

Depuis l’accident ayant causé une fracture ouverte à un multirécidiviste à Villeneuve-la- Garenne, les banlieues s’embrasent à nouveau. Le feu ultra communicant touche une liste non négligeable de communes dans le 92 et le 93. Montreuil, Aulnay-sous-Bois, Villeneuve-la-Garenne, Nanterre, Gennevilliers, Asnières, Meudon, Clichy, Rueil-Malmaison, Saint-Denis, Clichy-sous-Bois, Drancy, Neuilly-sur-Marne, Montreuil, La Cour- neuve, Bobigny, Bondy, Villepinte, Fontenay-sous-Bois, Orly, Champigny, Boissy-Saint-Léger... Toute la litanie des cloaques, pardon des territoires perdus de la République, pardon à nouveau, des territoires en reconquête républicaine comme le dirait Christophe Castaner, se dévide sous les yeux impuissants des policiers, hallucinés des patriotes, sous le regard veule des politiques et biaisé des journalistes.

Alors que notre pays traverse la plus importante crise depuis la Seconde Guerre mondiale, alors que tous font preuve d’abnégation héroïque pour la surmonter, que nos personnels soignants en première ligne tombent comme des mouches, l’insupporta- ble cohorte de sauterelles s’abat dans les champs de nos renoncements. En première ligne, les politiques. Elus locaux compromis avec la racaille par électoralisme, maires compromissionnaires qui pour assurer la paix sociale, délèguent leurs pouvoirs régaliens à des grands frères de cité qui sont occasionnellement dealers ou corrompus. Ministres aux vaines rodomontades, accrochés à la menace d’un karcher qu’ils promettaient et que plus personne n’attend jusqu’au préfet de police Lallement qui roulait des mécaniques devant des familles pari- siennes en vacances ou qui sortait les blindés devant une poignée de Gilets jaunes mais qui s’aplatit devant la racaille comme écrasé sous le poids de sa casquette.

En seconde ligne les journalistes, triste cortège de faux-semblants et de vrais couards. Tel France Inter titrant sur le terroriste de Romans-sur-Isère qu’il « supportait mal le confinement » et inventant du même coup le « terroriste claustrophobe », l’heure était à la diminution et à l’excuse : un commissariat flambe à Strasbourg ? « Tensions » pour France Bleue, jusqu’aux planqués de Rue 89 qui nous expliquaient benoîtement que « non, mais ce n’était pas le commissariat qui était visé mais bien le bâtiment limitrophe » alors que tous les documents relatifs à cette attaque démontrent le contraire. La cause de ces émeutes ? La faim pour un élu local repris en boucle par la majorité de nos médias. Quand le sujet n’est pas tout bonnement écarté ou nié par la plupart des journalistes, il est minoré, amendé, excusé, osons le dire, absous. Comme un dommage collatéral inévitable, comme si leur sacro-sainte république était habituée à avoir la tunique couverte d’accrocs et son indigence étalée sur la place publique plus sûrement qu’une lèpre.

Et que serait ce triste panthéon sans les habituels gauchistes de salon et d’amphis bourgeois ? Ces tristes révolutionnaires qui canonisent la racaille et la population des banlieues quand elle sert leurs rêves de cerisiers qui fleurissent ? Tous ces bourgeois confits dans les duplex germanopratins qui ne voient la banlieue que comme une source d’expériences sociologiques ? Osent-ils en sortir et prendre le parti des forces de l’ordre, ils seront traités de bounty, de nègres de maison ou de traîtres. Les Abdoulaye Kant, Linda Kebbab, Noam Anouar sont hais par ces idéologues ratés parce qu’ils ont osé s’extraire de leurs quartiers pour croire en autre chose que la victimisation qu’on leur proposait. Cette crise sanitaire est le dernier avertissement. Au diable les tièdes, il est temps de réagir tant que cela demeure encore possible.

Source : Présent 23/04/2020

 

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Une bonne nouvelle : réédition prochaine des deux premiers Cahiers d'Histoire du nationalisme

Publiés au printemps et à l'été 2014, les deux premiers numéros des Cahiers d'Histoire du nationalisme étaient épuisés depuis plus de trois ans. Une quinzaine de livraisons de cette collection de référence sont venues les compléter.

Le n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves et aux monarchistes et nationaux engagés dans la Résistance en 1940, initialement annoncé pour le mois de mars, sortira, si tout va mieux, en mai cliquez ici. Il en sera de mêmes pour les rééditions du n°1 (Léon Degrelle) et du n°2 (François Duprat).

Comme nous vous en avions tenus informés à la fin mars, nos imprimeurs ont été contraints de suspendre leurs activités en raison du confinement. Dès que celui-ci sera levé, nous pourrons à nouveau, nous aussi, reprendre notre travail d'éditeur. Les commandes seront alors livrées.

Mais que tout cela ne vous empêche pas de commander dès maintenant ces deux rééditions indispensables pour mieux connaître l'histoire de notre famille politique.

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CHN n°1 Léon Degrelle, témoignages et documents cliquez ici

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CHN n°2 François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire cliquez là

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jeudi, 23 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (JEUDI 23 AVRIL)

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De l’urgence de changer de logiciel

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Voici notre quatrième intervenant, l'écrivain, chroniqueur et éditeur Philippe Randa que l'on ne présente plus aux lecteurs de Synthèse nationale...

S.N.

Philippe Randa

Le terme « mondialisme » prête souvent à confusion à notre époque où la circulation à travers le vaste monde, en durée comme en moyens, est aussi simple qu’ancrée désormais dans les habitudes des plus riches comme dans les rêves des plus pauvres. À moins d’être fou ou particulièrement mauvais de nature, on ne saurait, à l’évidence, le déplorer… et encore moins vouloir l’empêcher.

Définissons donc d’emblée le « mondialisme » : une idéologie politique visant à instaurer un État mondial, ayant aboli toutes notions de frontières, appelé parfois « village mondial » et sensé représenter un Eldorado de prospérité économique, de concorde entre tous les humains, d’accès à la consommation pour tous et surtout, béatitude suprême ! de surconsommation… Bref, une sorte de retour de l’Homme, de la femme et du transgenre si affinité au Jardin d’Eden, terrestre celui-là, mais sans l’interdit de manger les fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, puisqu’ils seront génétiquement modifiés aux normes de la Pensée unique.

Et donc ! Ne concevons pas le refus du mondialisme comme une volonté de repli sur soi, de haine de l’étranger, de racisme, de phobie religieuse… et encore moins de craintes économiques. C’est même l’exact contraire car le mondialisme est la porte ouverte à tous ces maux : quand on ne sent plus protégé, on se replie sur soi ; quand l’étranger est perçu comme une menace de son identité, de sa culture, de son économie, de sa religion, de sa sécurité, etc., on finit par le mépriser… avant de le haïr.

Et donc ! S’opposer à un quelconque Ordre mondial despotique, prétendument « axe du Bien » et mensongèrement assurance de paix comme de prospérité, nécessite de prôner un autre modèle de société, applicable à tous les peuples qui ont en commun, sinon langue ou coutumes, une civilisation.

C’est le cas, notamment, des peuples d’Europe.

Ce modèle, qui serait forcément le moins mauvais de tous les systèmes – et donc, de fait, le meilleur, à défaut d’être exempt de failles –, pourraient s’appuyer sur quelques-uns de ces adages populaires qui ont fait leur preuve de sagesse comme de bon-sens et surtout d’efficacité ! Pour n’en citer que deux : « Être charbonnier et maître chez soi » et « ne pas faire à autrui ce qu’on ne voudrait pas qu’on vous fît. »

Alors, concrètement, que faire ? (comme dirait Lénine de ce qui est, à l’évidence un « vaste programme » comme dirait Charles De Gaulle), ou plutôt qu’espérer ?

La crise du coronavirus et sa gestion pour le moins étonnante ayant déclenché un vent de panique rarement connu par le passé et à un confinement général (plus ou moins total suivant les pays) qui est une quasi-première dans la vaste histoire de l’humanité, laisse à penser que « plus rien ne sera comme avant ». Augurons-en pour espérer des lendemains meilleurs.

Par exemple que nos gouvernants, ou ceux qui aspirent à l’être, changent de logiciel, car c’est la même politique menée depuis des décennies, celui du profit immédiat et irresponsable qui a encouragé la délocalisation de tout ce que l’on peut produire, mais à un certain coût, en Europe, à l’autre bout du monde, pour bien moins cher ; quand il s’agit de téléviseurs ou de jogging, il n’y a certes pas mort d’homme, (seulement d’entreprises nationales), mais quand il s’agit de masques et de tests pour les dépistages, il en va tout autrement… comme de la grande majorité des médicaments.

Lors d’une de ses apparitions télévisées, Emmanuel Macron a finalement reconnu – comment en aurait-il pû être autrement, d’ailleurs ! – qu’il faudrait songer à relocaliser certains produits de première nécessité. Cela pourrait être un début de lendemains meilleurs, qui sait ?

De même, ils étaient bien nombreux ceux qui affirmaient péremptoirement que la fermeture des frontières en cas de danger national était impossible. Et qu’il fallait vraiment être stupide pour y songer. Ce fut pourtant fait en quelques jours. Impossible n’est donc pas plus français qu’européen, russe, américain, chinois ou autres…

Cela faisait des années que nombre de médecins et d’infirmières alertaient les Pouvoirs publics sur l’état déplorable de nos services hospitaliers, aux mains d’un personnel administratif aussi incompétent que pléthorique : plus de 20 000 morts avec un taux de mortalité effrayant parmi les gens infectés ont prouvés qu’ils disaient vrais ; Dieu ! que le sanglot du Corps médical est triste au fond des hôpitaux ! L’entendra-t-on enfin ? Mieux vaut tard que jamais…

On déplore que le taux de mortalité lié au coronavirus soit particulièrement élevé en Seine-Saint-Denis, département tristement célèbre pour ses zones de non-droit. Y faire appliquer le confinement n’aurait pas été une priorité du gouvernement selon une fuite d’après-conseil des ministres… Une priorité ou une possibilité ? Près d’un million de contraventions pour non-respect du confinement ont pourtant été dressé partout en France. Certains plus récemment français que d’autres auront donc payés au prix lourd l’antiracisme obsessionnel de nos gouvernants… De « Touche pas à mon pote » à « Touche pas à mes morts ! », le diable en rit encore !

Cette crise du coronavirus permettra-t-elle de dessiller les yeux de nombreux Français sur les tragiques réalités de la réalité mondialiste ? Et qui sait, parmi eux, pourquoi pas quelques-uns de nos gouvernants ?

Avant, ils pouvaient encore dire, sincèrement ou non : « On ne savait pas ! »

Désormais, on sait ! Ite missa est !

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Des masques pour tous... mais pas pour Stéphane Ravier et ses administrés marseillais

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Voici ce qu’on peut lire sur Valeurs actuelles : « Antoine Baudino, attaché parlementaire de Stéphane Ravier et candidat RN à la mairie de Berre-l’Étang (Bouches-du-Rhône), cherchait en effet 1 000 visières de protection auprès des entreprises de la cité phocéenne afin de fournir les commerçants du 7e secteur de Marseille. Parmi plusieurs réponses positives accompagnées d’un devis, à sa grande surprise, il reçoit cette réponse quelque peu détonante de l’une de ces entreprises, nommée Make it Marseille : « Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. » Contacté par Valeurs actuelles, le sénateur RN Stéphane Ravier ne mâche pas à ses mots à l’encontre de cette société : « Ça ressemble à une attitude de “salauds” ».

Dans tous les cas, la discrimination commerciale pour des raisons politiques est sanctionnée par la loi. L’article L121-11 du Code de la consommation dispose qu’« est interdit le fait de refuser à un consommateur la vente d’un produit ou la prestation d’un service, sauf motif légitime ». Cela signifie qu’un professionnel n’a pas le droit de refuser de vendre un produit ou une prestation de service à un consommateur.

Le Code pénal (articles 225-1 à 225-4) sanctionne toutes les discriminations, mais aussi le refus d’une vente ou d’une prestation de services ayant pour cause une discrimination fondée sur l’origine, le sexe, la situation de famille, l’apparence physique, le patronyme, l’état de santé, le handicap, les caractéristiques génétiques, les moeurs, les orientations sexuelles, l’âge, les opinions politiques, les activités syndicales, l’appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion. Les amendes peuvent aller jusqu’à 45 000 euros et/ou un emprisonnement jusqu’à trois ans (sanctions quintuplées pour les sociétés).

Source Breizh infos cliquez ici

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Coronavirus et France : Désinformation, réalité... et le « Monde d’après »

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Bernard Plouvier

Certains quotidiens français de la presse BCBG sont manifestement publiés pour rassurer le bon peuple.

Tel canard parisien dit de « référence » nous assure que la mortalité française est modérée. Par exemple, pour le 22 avril, on y publie un chiffre inférieur à 14 000 morts, alors que le chiffre réel pour cette fin de journée était supérieur à 20 000 morts, selon la comptabilité centrale du Johns Hopkins de Baltimore... donner la préférence aux chiffres du parisianisme triomphant sur ceux du N°1 planétaire de l’épidémiologie semble curieux.

Or, à la date du 23 avril, c’est fait ! La France macronienne est 2e au Hit-parade de l’inefficacité hospitalière occidentale (on ne peut tenir compte des chiffres de pays d’Asie – on ne doit  surtout pas considérer comme crédibles les statistiques chinoises – ou du moyen Orient – où règne une vraie pagaille administrative).

Il est absurde de considérer les chiffres de mortalité sans les comparer au nombre de cas traités. C’est ce que font à longueur de journée les journaleux français à propos des USA : certes, la mortalité globale actuelle y est comprise entre 41 000 et 42 000, mais sur 850 000 cas traités, ce qui donne un ratio aux alentours de 5% de mortalité.

Seule l’Allemagne fait mieux que les States de Trump. Elle fait d’ailleurs mieux que partout ailleurs – sauf dans les pays où l’on truque délibérément les statistiques : moins de 5 340 morts pour près de 151 000 cas traités, soit 3,5% de mortalité.

Notre score français, le matin du 23 avril, est sensiblement différent de ce que la presse bénigne veut nous faire accroire. Avec 21 340 morts sur 157 135 cas traités, nous arrivons à 13,6% de mortalité, ayant un peu dépassé les scores d’Italie et de Grande-Bretagne (13,4% de ratio morts/cas traités). Seule la Belgique fait pire que nous avec son ratio de 15%.

Évidemment, cela n’apparaît pas si l’on utilise les chiffres « bizarres » de la presse destinée au grand public crédule : ni l’efficacité allemande ou nord-américaine, ni notre triste inefficacité (comparable à celles des Belges, des Italiens et des Britanniques, on le reconnaît volontiers).

Non seulement, l’administration issue du Président immuable Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron a cassé l’efficacité hospitalière française et s’est avérée incapable de gérer cette crise épidémiologique à mortalité mineure et de type sélection naturelle – ce qui ne devrait pas entraîner de péril démographique comme on en observe en temps de guerre -, mais elle ment en permanence à la nation. 

Des incapables, servis par des pitres et des menteurs, voilà nos « bons princes ». Mais, en démocratie, la responsabilité incombe à l’électorat... si Grand Public Crédule il y a, c’est en raison de la faible utilisation de leur cerveau par nos merveilleux concitoyens.

Le « Monde d’après » dont on nous rebat les oreilles, ce devrait être idéalement, un monde où chaque être non idiot se mettrait à penser par lui-même, aidé par une presse où ne seraient reportés que des faits vérifiés et des statistiques dûment contrôlées... donc un autre monde que la Ve République en état de décomposition accélérée.

Avant de critiquer Macron et ses Charlots – indéniablement incompétents et menteurs -, il faut faire notre mea culpa. Si nos dirigeants sont ultra-médiocres, si notre administration est minable, c’est parce que nous avons laissé se gangréner un pays et des institutions qui n’étaient pas mauvais.

Les électeurs doivent comprendre que l’avenir leur appartient. Le Parlement, si l’on veut qu’il soit utile à quelque chose, ne doit plus comporter de démagogues qui n’ont jamais travaillé utilement, mais des êtres de grande expérience professionnelle. La vie administrative et les media doivent   reposer sur davantage d’honnêteté, ce qui implique une lutte permanente contre la corruption, le piston politique et maçonnique, le népotisme tribal ou familial, et la prostitution – les merveilleuses « promotions canapé ».

Le monde de l’économie doit rester privé pour d’évidentes raisons d’efficacité, mais il ne doit en aucun cas diriger, de quelque façon que ce soit, la vie politique du pays. Les Français sont coupables d’avoir baissé les bras, d’avoir amené aux apparences du pouvoir les marionnettes des financiers, des producteurs et des négociants.

Le monde d’après doit être celui du retour à la Démocratie : égalité de tous devant la Loi, méritocratie pour l’attribution des postes payés par l’argent public et consultation de la nation pour tous les grands sujets qui engagent son avenir, à court et moyen termes – le long terme étant strictement imprévisible.

Tout cela s’appelle le Populisme.

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Troisième RDV avec l'Académie Europe : Gabriele Adinolfi reçoit Robert Steuckers

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mercredi, 22 avril 2020

LE JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MERCREDI 22 AVRIL)

21:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Coronavirus et France : moins de Cocoricos et davantage d’esprit critique !

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Dans le cadre de notre grande enquête sur l'après crise, nous publions aujourd'hui le point de vue de Bernard Plouvier, rédacteur régulier de notre site et d'EuroLibertés et auteur de nombreux ouvrages aux Edition Dualpha ainsi que d'un Cahier d'Histoire du nationalisme (n°8) consacré au NSDAP cliquez ici et du livre Le populisme ou la véritable démocratie cliquez là.

S.N. 

Bernard Plouvier

Il est exact que tout le monde semble avoir paniqué en Occident et que l’on a ainsi créé les conditions optimales pour obtenir une crise économique majeure, associée à une crise sociale un peu partout. Et ce en raison d’une pandémie nettement moins meurtrière que les précédentes pandémies grippales.

On saura plus tard l’origine exacte de ce Covid-19, qui n’a pu provoquer une épidémie que parce qu’il était nouveau-venu. C’est un truisme de dire qu’il s’agit d’un virus mutant : c’est une vérité de La Palice ! Mais cela ne signifie pas qu’il soit issu du génie microbiologique humain : une mutation naturelle est à envisager en hypothèse logique et moins complotiste.

En revanche, il est évident pour tout le monde – ou du moins ce devrait l’être – qu’il faut mettre au ban des relations économiques et politiques tout État qui ose financer des recherches visant à exalter la dangerosité des microbes. Dans l’hypothèse d’une manipulation génétique d’origine humaine, il faudrait punir avec la plus grande sévérité, ce qui implique la peine de mort pour les preneurs de décision et les « scientifiques » - savants et techniciens – qui se seraient prêtés à cette monstruosité.

On nous a assez bassiné avec le « Devoir de mémoire » à propos du dix-millième génocide de l’histoire humaine. Les nations honnêtes doivent désormais exiger de leurs clowns qu’ils ne fassent pas n’importe quoi, qu’ils ne cautionnent pas les désirs mégalomaniaques de déments, qu’ils soient de nature religieuse, politique ou scientiste.

Pour l’exemple français, un certain nombre de leçons doivent être tirées.

Au plan sociologique, l’on voit – sauf à être sourd et aveugle ou être client des évergètes islamiques, généreux avec leurs pétro-dollars ou leurs haschischo-dollars – l’inassimilation des 15 millions d’immigrés d’origine extra-européenne. Ou la majorité des Français, qui est encore de souche européenne, les renvoie dans leurs continents d’origine, ou elle capitule et la France deviendra, dans un tiers de siècle, la Ripoublique islamique franchaouie.

Cette épidémie de coronavirus a démontré qu’il existait deux France : l’autochtone, disciplinée, et l’autre toujours prête à piller, incendier, organiser des émeutes. On conçoit qu’un politicien ait besoin de beaucoup d’argent pour organiser sa carrière et celle de son parti. Mais aucun électeur ne devrait soutenir un corrompu qui accepte l’argent des organisateurs de l’invasion en cours de notre patrie.

La faillite du système hospitalier français – comme de celui de la Grande-Bretagne, de la Belgique, de l’Italie – est à comparer avec la très bonne réactivité, avec l’efficacité remarquable des systèmes sanitaires allemand et nord-américain.

Il faut évoquer, en effet, les chiffres de mortalité de cette pandémie très peu meurtrière et qui tue selon le schéma ultra-classique de la sélection naturelle, tuant ceux dont les mécanismes d’immunité cellulaire sont défaillants ou dont les poumons, cible essentielle de ce virus, étaient antérieurement pathologiques.

À la date du 22 avril 2020 (et si l’on fait abstraction des mensonges épidémiologiques de la République Populaire de Chine), la mortalité globale cumulée sur près de cinq mois est de 6, 9% - 177 600 morts sur 2,575 millions de cas symptomatiques traités. Soit très peu pour la population touchée : celle de l’hémisphère Nord. Et l’on est en droit d’espérer que l’été arrivant, l’épidémie quitte notre hémisphère... pour l’hémisphère Sud, qui basculera vers l’hiver et où aura lieu cette « deuxième vague » dont on parle à tort et à travers. Par définition, une virose respiratoire épidémique frappe durant la saison froide.

La mortalité allemande est exceptionnellement basse : 3,4% (5 100 morts sur un peu moins de 149 000 cas) et celle des USA – où certains commentateurs, assez peu au fait des réalités hospitalières US, prévoyaient une hécatombe – est de 5,3% (44 000 morts sur 825 500 cas traités).

Ceci est à comparer avec l’effrayante surmortalité d’Europe occidentale. France : 13,05% (20 800 morts sur un peu moins de 160 000 cas traités) ; c’est à peine mieux que l’Italie ou que la Grande-Bretagne : 13,3% de mortalité, mais c’est moins bien que l’Espagne (10,4% de mortalité) ou que les Pays-Bas (11,4%). La Belgique, dont les hôpitaux étaient à la pointe de l’efficacité durant les années 1980, bat tous les records de médiocrité avec une mortalité de 14,6% (6 000 morts sur 41 000 cas traités)... chacun peut aller consulter la carte et les chiffres réactualisés plusieurs fois/jour du Johns Hopkins Center de Baltimore (« coronavirus covid19 global cases csse johns hopkins »).

Il est hors de question de mettre en doute si peu que ce soit le dévouement du personnel hospitalier soignant français, mais en médecine, l’élément essentiel est l’Efficacité... sur ce point, les chiffres en valeur absolue et en simples pourcentages sont effrayants. Non, nous n’avons pas (ou nous n’avons plus) un système hospitalier performant, capable de répondre à une épidémie d’insuffisances respiratoires aiguës.

Et c’est ce qui fait la différence d’avec les hôpitaux allemands et les hôpitaux des USA : médecins et matériel y sont de premier ordre. Que cela plaise ou non à tel gourou omniscient, à tel académicien ou politicard en mal de publicité n’est d’aucune importance. Les chiffres sont là, qu’il importe d’analyser pour remédier à ce triste état de fait.

L’on a osé fermer des lits de réanimation ces vingt dernières années, durant lesquelles les clowns administratifs ont reçu des clowns politiques tous les pouvoirs de décision dans les hôpitaux. Au nom d’une « rentabilité économique », on a fermé des lits « chauds », ouvert quantité de maisons de retraite médicalisées – fort rentables au plan financier – et l’on a multiplié les postes d’agents administratifs... au point que si l’on veut « faire des économies », il sera très possible d’en réaliser rapidement en licenciant les trois-quarts des « administratifs » du secteur hospitalier !  

On ignore si la crise économique et sociale sera longue ou très courte – à la mesure de la faculté d’oubli de l’être humain, sauf quand on lui impose artificiellement un « Devoir de mémoire »... et les journaleux ont tout intérêt à en remettre une couche, voire plusieurs. Les catastrophes sont pour eux l’occasion miraculeuse de se faire mousser, voire d’exalter leurs revenus.   

On ignore totalement ce que sera le comportement des nations après les deux premières semaines de retour à la vie normale – et l’on peut parier sur l’immuabilité des comportements pour penser que rien ne changera au fond, selon le proverbe italien médiéval : « Plus ça change, plus c’est la même chose » !  

Mais il faudra tirer quelques leçons de cette crise artificiellement créée par la panique des politiciens, la nullité de leurs « conseillers-experts » et l’extrême dangerosité des clowns des media qui se sont plus encore ridiculisés (et ça n’est pas peu dire !) que les professeurs de médecine-grands gourous qui venaient débattre, voire s’injurier, dans un but de parade et de positionnement pour l’académie de médecine ou de flatteuses promotions de hochets de vanité.

Notre système hospitalier (comme le britannique, le belge ou l’italien) ne mérite pas les satisfécits ni les coups d’encensoir. Il est inadapté aux chocs épidémiologiques, comme il serait inadapté à l’afflux de blessés au cours d’une guerre, civile ou étrangère. Nos hôpitaux crèvent par l’excès de pouvoir des guignols administratifs, par l’incompétence de nombre de médecins aux diplômes exotiques ou nommés par l’effet d’un piston absolument intolérable dans une profession essentielle pour l’avenir de la nation, enfin par un excès de revendications syndicales qui perturbent inutilement l’esprit de gens qui se sont voués à soigner les misères humaines.   

C’est, en dernière analyse, aux électeurs qu’il appartient de redresser cette situation, où la démagogie outrancière et le faux-semblant cachent une réelle inefficacité... ce qui est la définition de la gabegie.

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Sortie prochaine du n°3 de la Revue d'Histoire européenne

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L'émission "Synthèse" avec Guillaume Fiquet, rédacteur en chef de la Revue d'Histoire européenne cliquez ici

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Une vie de combat pour la France et les Français

Le-Pen-2.jpgGeorges Feltin-Tracol

Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national, a sorti à l’automne 2019 le second tome de ses mémoires. Après la surprise de Fils de la Nation dans lequel on découvrait l’homme Le Pen, ce nouveau volume, intitulé Tribun du peuple, relate sa vie politique, d’où la relative déception de tous ceux qui ont participé de près ou de loin à l’aventure frontiste. L’ouvrage commence à la fondation du Front national (FN) et va jusqu’à nos jours.

Tout au long du récit, Jean-Marie Le Pen s’en prend avec une virulence rare et légitime à ce qu’il désigne comme l’« Établissement » ou le « Système ». « J’appelle système, par définition, la mécanique qui régente la vie politique française par l’alternance de partis complices. Qu’importe le nom qu’on lui donne, bande des quatre ou UMPS, l’important est qu’il ne se cantonne pas à la stricte politique : il déborde sur les médias, la publicité, etc. C’est une machine qui s’empare de la société tout entière pour la diriger à sa convenance (p. 311). » C’est une pieuvre dont les tentacules investissent le journalisme, les universités et l’histoire. C’est un bonheur de voir l’auteur s’attaquer en page 113 à ces chercheurs et plumitifs militants (les Igounet, Albertini, Doucet et Lebourg) qui ne cessent de traquer leurs fantasmes et qui sans l’existence de l’« extrême-droite » seraient contraints d’écrire dans la rubrique des chiens écrasés ou d’enseigner dans un collège paumé dans une banlieue de l’immigration. Jean-Marie Le Pen les fait vivre.

Contre la médiacaste

Ce tome deux a moins suscité l’intérêt de la part des journalistes que le premier. « L’immense majorité des articles que la presse m’a consacrés n’a pas été rédigée après la lecture du livre, mais d’après la “ synthèse ” que l’AFP a publiée en balayant des yeux les bonnes feuilles qu’elle s’était procurées (pp. 7 – 8). » Faut-il s’en étonner de la part de l’officine maîtresse en désinformation ? L’hystérique pathologique Christine Angot au style si nullissime n’a « pas compris que la ruse était de profiter de ce battage publicitaire pour donner envie au grand public de ne pas lire le livre (p. 7) ». Jean-Marie Le Pen accuse : « Mes adversaires se sont arrangés pour que peu de personnes […] partagent (p. 7) » ses mémoires qui jettent une lumière crue sur les événements des quarante dernières années.

À l’instar des décroissants « Casseurs de Pub », il ne se prive pas de souligner que « les messages publicitaires servent à installer dans l’esprit public, de façon subliminale, des images et des sentiments indépendants de l’objet qu’ils sont censés vanter. En d’autres termes, ce sont de puissants instruments de propagande, au service du politiquement correct. En particulier au service du grand mélange et du grand remplacement (p. 264) ». Il confirme en outre que les « nouveaux propagandistes […] sont journalistes et communicants (p. 303) ».

C’est ainsi qu’il qualifie respectivement l’« affaire du détail » du 13 septembre 1987 à RTL d’« embuscade médiatique (p. 175) » et l’odieuse machination socialiste de Carpentras de 1990 de « pacte social spécifique (p. 184) ». Il note qu’à ces occasions de partis pris assumés, « une paire de journalistes frénétiques s’érigeait en tribunal, et l’opinion ratifiait leur condamnation sans même écouter mes arguments (p. 183) ». Rien qu’entre 1986 et 1992, Jean-Marie Le Pen et les membres du FN font l’objet de plusieurs centaines d’agressions ! Sans oublier le traquenard de Mantes-la-Jolie en 1997, l’auteur est encore poursuivi par une justice bien connue pour sa partialité politique. Le FN, son président et ses militants ont subi des attaques, des attentats, des persécutions qui, sous d’autres latitudes, leur auraient valu de recevoir le prix Nobel de la Paix, le prix Sakharov du Parlement européen et le soutien aveugle des ONG droits-de-l’hommistes.

S’élevant contre les mensonges médiatiques, l’auteur s’inquiète d’entrer « dans une société manichéenne, où seuls sont habilités à parler ceux qui figurent le Bien (p. 412) ». Sa préoccupation concerne partout « l’histoire [qui] est aujourd’hui la simple pétrification de la mémoire de la presse dominante, la validation officielle de la propagande de gauche (p. 238) ». Et gare à ceux qui s’écartent des chemins balisés ! Ils risquent dès à présent le bannissement social, voire l’emprisonnement, bientôt peut-être la décapitation en direct sur les chaînes info avant 20 h. Élucubrations fantaisistes ? Bien des Gilets jaunes ont perdu un œil ou une main de l’automne 2018 au printemps 2019. « Les CRS ne sont plus des SS, ce sont les prétoriens de Cohn-Bendit (p. 412). » Avec ses deux tomes de mémoires, Jean-Marie Le Pen entend être « passeur de mémoire et rectificateur d’histoire (p. 8) ».

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mardi, 21 avril 2020

Le JOURNAL DE TV LIBERTÉS (MARDI 21 AVRIL)

20:25 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Deux Frances : celle des émeutes raciales et celle du confinement

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Bernard Plouvier

Que le confinement pour (presque) tous les citoyens soit une « mesure salutaire » (version gouvernementale) ou une stupidité intégrale nous menant à une crise économique d’ampleur et de durée indéterminables, là n’est pas la question !

Il est piquant de constater que peu d’heures après les exposés-fleuves de deux ministres, dont le Premier, le dimanche 19 avril 2020, nos merveilleux jeunes issus de l'immigration, « si bien intégrés » nous dit-on, se sont offerts la joie festive d’émeutes raciales et d’affrontements violents avec la police dans quatre départements – toujours les mêmes depuis quarante années : Hauts-de-Seine, Val-de-Marne, Seine-Saint-Denis, Essonne.

Ah, qu’il est beau et bon de constater la réalité du « Vivre Ensemble », l’intégration de nos ZZ (Z’Honorables Z’immigrés) dans la vie citoyenne des Français ! Qu’un motard maladroit percute une voiture de police et les cités de non-droit se mettent à flamber, crépiter, retentir de tirs de mortiers, comme à Beyrouth, Alep ou Kaboul. Il n’est plus besoin de payer de « grands reporters » : nous avons importé la violence médiévale, grotesque et stupide, où seuls les moyens utilisés sont modernes.  

Effectivement, l’on observe, et depuis un mois que dure la comédie du « Confino » - au moins, Mussolini autorisait-il la déambulation diurne de ses « confinés » ! -, deux Frances.

D’un côté, l’on constate une population européenne autochtone respectant les ukases gouvernementaux et se faisant contrôler par la police, voire se faisant rudoyer par les « forces de l’ordre » s’il manque un iota à l’ATTESTATION DE DÉPLACEMENT DÉROGATOIRE, en application de l’article 3 du décret du 23 mars 2020, que les bons citoyens en panne sèche d’encre pour imprimante doivent recopier pour promener le chien – qui, lui, se moque de Macron-Philippe-Castaner : il a besoin de se dégourdir les pattes et de pisser - ou pour acheter leur pitance.

De l’autre, la Ripoublique franchaouie des ZZ – plus communément appelés « racailles »... de fait, lorsqu’on s’oppose violemment aux contrôles de police, lorsque l’on s’organise une fiesta incendiaire, lorsqu’on tire sur policiers, gendarmes et CRS, l’appellation de hors-la-loi devient juste.

Franchement, quels pitres sont notre Grand Président et ses ministres, même pas capables de faire respecter l’Ordre... qui n’est pas plus républicain que royal ou impérial. L’ordre public, c’est le minimum qu’une Nation doive attendre de gouvernants d’un État qui gère des centaines de milliards d’unités de compte, issus des impôts et des taxes acquittés par les honnêtes citoyens. 

Moins de discours, moins de passages à la télévision de nos « princes », mais davantage de respect de la Loi. C’est tout ce que la Nation est en droit d’obtenir et c’est ce dont elle est privée depuis le début de l’invasion extra-européenne, il y a quarante années déjà.

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16:06 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un carcan français

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Par Vincent Trémolet de Villers

C’est un mal diffus, fuyant, insaisissable. Il peut par sa seule présence décourager les conquérants, ensabler les bâtisseurs. Il frappe les plus beaux esprits comme les intelligences médiocres et peut tout dérégler au nom des règles. Un virus? Non, un tour d’esprit qui fait confondre directve et direction, commission et décision, procédure et discernement. Celui qui en est frappé se réfugiera dans le maquis du règlement. Avec lui, le verbe se fait norme et la vie mouvante, imprévisible, doit entrer de gré ou de force dans l’immense étagère de l’administration des choses. Dans les instants paisibles où «la plupart des choses du monde se font par elles-mêmes» (Montaigne), il règne en maître rassurant, mais «quand les blés sont sous la grêle», que le moment exige agilité et rapidité, il dévoile sa pesanteur, son incurie. On peut l’appeler esprit de système, poison administratif, fanatisme bureaucratique, perfectionnisme excessif... Qu’importe!

C’est lui qui, depuis le début de la crise sanitaire qui nous frappe, ralentit, désordonne, décourage. C’est lui qui grippe la gigantesque machinerie de l’État. C’est lui qui explique qu’avec 56% de dépenses publiques, une pression fiscale écrasante, des mères de famille en soient réduites à coudre des surblouses pour un hôpital qui en manque, que des élus locaux devancent les autorités dans la commande de masques, que des cliniques privées parfaitement équipées soient d’abord restées vides, quand l’hôpital public était submergé. C’est lui qui paralyse, de certification en validation, la chaîne de commandement. Reconnaissons-le, celui qui s’affranchit, de la base au sommet, de ce carcan de précautions prend des risques. Ses audaces peuvent être punies par la funeste combinaison : campagne médiatique - procédure judiciaire.

La partie est extraordinairement difficile : bien présomptueux qui accable ceux qui nous gouvernent. Mais serait-ce trop demander à cet État qui peine à réunir des masques et des tests qu’il cesse d’être à ce point sourcilleux dans les détails, satisfait dans l’expression ? Puisque aujourd’hui tout l’entrave, qu’il laisse faire ces Français innombrables qui conservent dans l’adversité, et les soignants en sont la plus belle preuve, leur ingéniosité et leur courage.

Source : Le Figaro 21/04/2020

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