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lundi, 16 mars 2020

Ce que révèle le Covid-19

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Le billet de Patrick Parment

Ce qui questionne dans les tragiques événements que nous connaissons aujourd’hui, c’est le rôle joué par le coronavirus comme accélérateur d’une crise du néolibéralisme ou capitalisme financier.  Et donc d’une crise de l’économie-monde ou encore d’une économie mondialisée. On n’a jusqu’à ce jour  peu pris en compte le jeu dangereux mené par les banques qui se sont mises à sortir de leur cadre pour s’activer sur les marchés financiers, à savoir boursiers, qui s’apparentent depuis plusieurs décennies déjà à un gigantesque Loto. De ce désordre plusieurs voix éclairées avaient tiré la sonnette d’alarme… en vain.

L’autre aspect de la crise dont nous avions pourtant tous conscience, c’est que le capitalisme entraîne l’économie à satisfaire d’abord et grassement les actionnaires au détriment d’une économie réelle, celle des hommes et de leurs besoins réels. Enfin, last but not the least, afin de satisfaire ces foutus actionnaires, le marché s’est réorganisé selon l’axiome du moindre coût ce qui a amené l’Asie du Sud-Est et surtout la Chine à devenir le lumpenprolétariat de l’Occident. Sauf que la grenouille a fini par se faire aussi grosse que le bœuf et que l’Occident s’est retrouvé le cul nu pour ne pas dire à poil. La Chine est devenue plus riche que ses mentors. Et ceci dans des domaines aussi bien scientifiques que techniques. De sorte que nous nous sommes rendus dépendants dans des domaines considérés comme stratégiques comme ce fut le cas récemment avec une pénurie de médicaments, fabriqués à flux tendus en Chine ou en Inde.

A considérer le monde entier comme un vaste terrain de jeu, voire une immense usine, le capitalisme financier a totalement déséquilibré un système économique traditionnel où les banques comme la Bourse remplissaient le rôle qui leur était dévolu. A la banque le dépôt et le crédit, à la Bourse celui de jouer un rôle régulateur. Le résultat des courses de ce capitalisme financier, c’est une dette  colossale qui devient quasi ingérable.

Alors la question se pose de savoir comment sortir de ce bourbier à l’heure même où se fait pressante l’idée que nous devons protéger la planète, mieux gérer ses ressources selon un mode plus respectueux, plus rationnel, plus intelligent. Il aura donc fallu un malin coronavirus pour mettre en lumière le chaos dans lequel nous précipite ce que d’aucuns appellent le néolibéralisme.

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L’inquiétant dérapage islamiste d’une école suédoise

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de Philippe Randa

La loi du plus fort étant toujours la meilleure, pourquoi certains musulmans se gêneraient-ils d’imposer leur religion aux autres ? Qui plus est à des enfants ! Qui plus est à l’école !

À l’école Söderfors, dans la ville de Tierp, au nord de Stockholm, un professeur a contraint sa classe à écrire : « J’appartiens à l’Islam. Je prie dans une mosquée. Je célèbre le Ramadan. Je lis le Coran. Le Ramadan dure 30 jours. Le Coran possède 114 sourates. »

L’ennui est que l’école n’étant pas (encore) confessionnelle, des parents ont été quelque peu choqués de la facétie…

C’est le site Les.Observateurs.ch, toujours bien informé, qui rapporte l’affaire : « Ma fille est chrétienne et a refusé d’écrire JE CROIS EN ALLAH. Mais elle a dû écrire qu’elle appartenait à l’Islam » s’est offusqué Evelina Wickman, une mère de famille qui a été déposé plainte à la police après avoir eu la confirmation par d’autres parents que sa fille ne délirait pas.

En France, heureusement, la neutralité obligatoire en matière de politique, de mœurs et de religion est sensé protéger de telles dérives nos chères têtes de plus en plus modérément blondes… jusqu’à quand ? Et est-ce vrai sur tout le territoire français ?

À l’heure où certains ministres, notamment l’actuel ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer envisage (déclaration en septembre 2018) de développer l’apprentissage des langues étrangères, dont l’arabe – même s’il n’évoque pas (encore) une quelconque obligation – et qu’un rapport de l’Institut Montaigne (groupe de réflexion libéral) intitulé « La fabrique de l’islamisme » préconise de « mobiliser le ministère de l’Éducation nationale (pour relancer) l’apprentissage de la langue arabe (tant) les cours d’arabes dans les mosquées sont devenus pour les islamistes le meilleur moyen d’attirer des jeunes dans leurs mosquées et écoles », est-il vraiment exagéré de penser qu’on s’achemine, doucement, mais sûrement, vers de telles dérives ? Et plus tôt que tard ?

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Ignace suit les municipales

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02:17 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 mars 2020

Municipales : quelques constats...

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Ne nous étendons pas sur les conditions dans lesquelles se sont déroulées ces élections municipales. Contentons-nous ce soir de quelques constats. 

Tout d'abord, et c'est une bonne chose, la plupart des maires sortants nationaux et nationalistes sont réélus ou en positions favorables pour l'être. Cela est dû à la conduite rigoureuse de leurs communes et à l'application, dans la mesure du possible, des principes politiques et sociaux qui nous sont chers.

Ce qui est plus décevant en revanche, ce sont les résultats plutôt moyens et parfois décevants obtenus par les autres candidats du RN. Ceux-ci, malgré leurs qualités personnelles, leurs campagnes courageuses et une situation politique plus que favorable, sont presque partout en recul. Ils payent ainsi l'hasardeuse gestion, tant financière que militante, de leur parti qui a perdu, en une décennie, sa crédibilité d'antan.

Mais ces échecs auront peut-être l'avantage de mettre en lumière pour beaucoup la nécessité d'une remise en question du fonctionnement actuel de notre famille politique. L'avenir le dira...

En attendant, réjouissons-nous de voir de nombreux camarades élus dans leurs petites communes sur des listes indépendantes et souvent apolitiques. Rappelons que c'est la stratégie qui avait été encouragée lors de nos journées "Bleu Blanc Rouge" d'octobre dernier. Félicitons parmi eux nos amis Hugues Bouchu, élu dans son village alsacien, Christophe Devillers, dont la liste obtient 36,70% à Ronchamp (70), Alexandre Simonnot ré-élu conseiller municipal à Taverny dans le Val d'Oise et Valérie Laupies pour son bon score (35,77%) à Tarascon.

Synthèse nationale

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Affaire Aylan : trois turcs condamnés à 125 ans de prison pour avoir noyé le jeune migrant en 2015

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Source NY Times cliquez là et TV Libertés cliquez ici

Trois turcs ont été condamnés cette semaine à 125 ans de prison pour leur rôle dans la noyade du jeune Aylan, dont la mort en 2015 est devenue un symbole mondial de la souffrance causée par la guerre syrienne et de la crise des migrants qu’elle a déclenchée.

La photo du corps minuscule d’Alan Kurdi, 2 ans, face contre terre sur une plage turque, avait fait la une des journaux en Europe et dans le monde entier, alimentant la sympathie et la colère du public face au sort des migrants.

Alan, dont le prénom apparaissait dans les premiers rapports avec son orthographe turque, Aylan, est mort avec son frère, Galip, 5 ans, leur mère, Rihan, et deux autres réfugiés lorsqu’un canot transportant 14 migrants vers l’île grecque de Kos a chaviré. De sa famille proche, seul le père a survécu.

En 2016, deux Syriens, Muwafaka Alabash, 36 ans, et Asem Alfrhad, 35 ans, ont été condamnés pour trafic de réfugiés dans cette affaire. Une enquête distincte a été ouverte sur les organisateurs de la traversée illégale.

La police turque recherchait trois autres suspects, qui ont finalement été capturés dans la ville d’Adana, dans le sud du pays. Un tribunal de Bodrum, le lieu de vacances populaire où les corps des enfants ont été trouvés, les a condamnés pour homicide involontaire avec intention probable dans la mort des cinq migrants.

L’agence de presse gouvernementale Anadolu a identifié vendredi les hommes comme étant Cebrail E., Ecevit Bulent G et Ali Can S. Leur rôle précis dans la mort des réfugiés n’a pas été confirmé publiquement, et l’audience finale dans cette affaire a eu lieu mercredi.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a longtemps accusé l’Union européenne de ne pas avoir envoyé les fonds qu’elle avait promis dans l’accord et de laisser son pays seul face à la crise migratoire.

Enfin, le mois dernier, la Turquie a ouvert les portes aux migrants qui veulent passer en Europe, envoyant des milliers de migrants – dont de nombreux jeunes enfants – à la frontière grecque. Cela a déclenché des affrontements avec la police grecque et a conduit à la noyade ce mois-ci d’un enfant lorsqu’un canot pneumatique transportant 48 migrants a chaviré alors qu’il tentait d’atteindre l’île grecque de Lesbos depuis la côte turque, ont indiqué les garde-côtes grecs.

NDLR SN : A l'époque les médias nous accusaient, nous européens victimes des envahisseurs, d'être des assassins et d'avoir fait mourir ce pauvre gamin ! Nous attendons des excuses dans les journaux, magazines, JT et radios ! Et bien sûr le rétablissement de la vérité !

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Etats en faillite, explosion du Système d’ici 2021 au plus tard

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Le CAC 40 à 4118, 36, soit -32,35 %, depuis le 1er janvier, le Dow Jones à -25,71 %, après un rebond injustifié de 9,26 %, suite à la simple proclamation de l’état d’urgence, ce vendredi. En 2008, après le krach qui avait suivi la faillite de Lehman Brothers, les marchés avaient mis six mois pour toucher le fond. La « descente aux enfers » devrait continuer. On n’attend plus que les prochaines victimes parmi les « hedge fund « spéculatifs dans les prochaines semaines, les rumeurs les plus folles circulant sur H2O, une filiale de gestion de Natixis. Quant à l’indice VIX de la peur qui était de 15 en février, il a flambé jusqu’à à 70, soit au même niveau qu’en 2008.

On assiste à un choc de l’offre, avec le blocage des chaînes de production et d’approvisionnement en Chine (chômage partiel de 7.000 ouvriers de Volkswagen près de Barcelone et de Skoda en Tchéquie par manque de pièces) et un choc de la demande dans tous les pays touchés par le virus. Les bénéfices vont chuter, comme dans une « économie de guerre », avec des faillites dans les secteurs exposés.

Bruxelles promet une « flexibilité maximale » et Macron  veut jouer au  Mario Draghi de la BCE avec son « quoi qu’il en coûte », mais les garanties accordées, les prêts non remboursés, le coût du chômage dont le partiel, la chute du PIB avec moins de recettes fiscales, c’est au minimum 200 milliards d’euros pour seulement deux mois de coronavirus, soit un déficit public 2020, de 12 % du PIB , avec une dette publique  française de 110 % du PIB jamais contrôlée jusqu’à ce jour durant le mandat de Macron. Comme la dette italienne, elle est irremboursable. L’Etat sortira de la crise sanitaire en situation de faillite, les entreprises privées survivantes étant encore plus endettées. Depuis 2008, les dettes ne font qu’augmenter tous azimuts partout dans le monde pour des raisons différentes et ne peuvent pas monter jusqu’au ciel !

La BCE va continuer la politique de création de fausse monnaie avec un « QE » supplémentaire par rapport aux actuels 20 milliards d’euros mensuels, de 120 milliards d’euros en 2020, afin de racheter entre autres les obligations des Etats en quasi- faillite. Elle va aussi accorder des prêts TLTRO aux banques pour sauver les PME et les entreprises, le taux préférentiel négatif étant de -0,75 %. Les ratios sécuritaires des banques sont allégés et les tests de résistance supprimés : on n’attend plus que les faillites bancaires ! Aux Etats -Unis, l’injection supplémentaire déjà exceptionnelle de 150 milliards de dollars sur le marché monétaire du « repo » sera multipliée par dix : 1500 milliards de dollars !

Le monde, Japon inclus, va tout droit vers la récession car comme le dit très justement l’économiste Christophe Barraud, « le seul moyen pour contrôler l’épidémie…, c’est de tuer l’économie ! ». Quant à la chute du prix du baril de pétrole, elle s’explique par le désir de Ryad et de Moscou de se débarrasser du pétrole de schiste américain, en mettant en faillite 100 compagnies pétrolières.

L’Italie se bat courageusement contre le coronavirus, mais pourrait bien être le prochain cygne noir, déclenchant l’explosion de l’UE et de la zone euro avec ses banques en quasi faillite, sa dette publique de 135 % du PIB, son taux de croissance déjà nul, sa démographie catastrophique. Juste après le discours de Lagarde, les taux italiens à 10 ans se sont envolés de 1,2 à 1,6 % contre -0,548 % pour le Bund allemand.

L’or n’a baissé que suite aux prises de bénéfices pour combler les pertes sur les actions et pourrait s’envoler vers des sommets, comme ce fut le cas après 2008, avec un bond des cours de 1200 dollars l’once en trois ans.

La triste réalité, c’est qu’avec le coronavirus pandémique dans le monde entier, tous les pays déjà hyper-endettés, entreprises privées et particuliers inclus, n’auront d’autre solution pour survivre que de s’endetter encore davantage et de faire tourner la planche à billets. La crise de 2020 sera pire que celle de 2008 car il y aura d’abord mise à l’arrêt de l’économie réelle. Un krach obligataire et immobilier avec des taux qui s’élèvent subitement jusqu’à 20 % dans un monde hyper-inflationniste est aussi probable. La BCE ne pourra pas combattre une perte de confiance dans le Système économique et financier qui débouchera probablement sur une crise sociale et politique, voire une révolution conservatrice, fin 2020 ou, au plus tard, en 2021.

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10:25 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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10:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Coronavirus précipite la crise, il ne la cause pas !

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Le Covid-19 (ex-coronavirus) va-t-il engendrer une crise économique mondiale? C'est ce que prétendent certains commentateurs économiques. Il est fort possible qu’il accélère l’arrivée d’une récession et même qu’éclate une crise financière. Mais il faut distinguer facteur accélérant ou précipitant (le virus) et cause (la suraccumulation financière). Car le ralentissement dans l’OCDE était déjà engagé depuis au moins début 2019. Et pourtant nos dominants, les représentants de l’oligarchie financière, se pressent déjà pour dire : « la cause de nos difficultés est exogène, c’est un virus imprévu. La finance, et ce que nous faisons avec, n’est pas en cause ». C’est à voir... La poudre financière est là, n’importe quelle étincelle peut la faire sauter. Ainsi la capitalisation boursière des entreprises avait-elle plus que doublé depuis la crise financière, alors que le PIB mondial n’avait augmenté que trois fois moins vite sur la même période (+35% contre +113%, en dollars courants1).

Source : Les économistes atterrés

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10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

15 mars 1945 : IL Y A 75 ANS, PIERRE DRIEU LA ROCHELLE SE DONNAIT LA MORT

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09:23 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 mars 2020

Comme à Paris vendredi, les jeunes nationalistes de Lyon ont manifesté devant le consulat de Turquie

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Comme vendredi soir à Paris cliquez ici, une action militante de soutien au peuple grec s'est déroulée à Lyon.

23:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’efficacité des systèmes hospitaliers nationaux confrontés à une même épidémie

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Bernard Plouvier

L’extraordinaire qualité des épidémiologistes de l’hôpital universitaire Johns Hopkins (Baltimore, État du Maryland) permet de suivre quotidiennement le nombre des patients soignés pour coronavirose confirmée, d’étudier la mortalité induite par l’épidémie, comparée au nombre des guérisons déjà constatées.

Dans le feu de l’action, cela permet d’estimer, à première vue, le degré d’efficacité des hôpitaux, puisque les cas répertoriés sont presque tous hospitalisés.

3,5 mois après le début de l’épidémie Covid 2019 ou -19, on en arrive à un peu moins de 146 000 cas prouvés, dont 71 700 malades sont déjà considérés guéris (donc sans séquelle), tandis qu’un peu moins de 5 600 personnes ont succombé (3,8% : le pourcentage de mortalité est stable depuis plus d’une semaine, restant inférieur à 4%).

Bien plus intéressante est l’étude de l’efficacité des prises en charge dans les pays qui ont jusqu’à présent subi la plus grosse attaque, soit plus de 5 000 infectés, prouvés et soignés - les statistiques de mortalité restant floues pour ce qui est de la Corée du Sud.

La Chine, qui totalise près de 81 000 cas répertoriés, affiche une mortalité de 4% (un peu moins de 3 200 morts). L’Iran, très touché également, fait à peine moins bien avec 4,5% de mortalité (515 morts sur un peu moins de 11 370 cas).

La France se situe honorablement avec ses 2,15% de mortalité, faisant un peu mieux que l’Espagne avec 2,5%  (pour un peu moins de 5 300 cas)     

L’Allemagne est de loin le pays le plus performant : mortalité actuelle de 2 pour mille, alors que l’infection a touché le même nombre de personnes qu’en France soit un peu moins de 3 700 cas jusqu’à présent.

La catastrophe italienne se confirme : 7,1% de mortalité (un peu plus de 1 260 morts pour 17 660 cas recensés).

Et ceci permet déjà d’entamer une réflexion de fond.

Dans un système de Santé publique, on doit faire des économies sur le personnel administratif, en dégraissant les deux-tiers de ces baratineurs, planqués dans leurs bureaux ou épuisés à force d’enchaîner les réunions et causeries. Quelques gestionnaires et des informaticiens suffisent, les services techniques (cuisine, blanchisserie, travaux d’entretien reviennent moins cher s’ils sont sous-traités au secteur privé)... ça ne fera pas plaisir aux syndicats, mais il en est ainsi. 

Il est absurde, grotesque de fermer des lits hospitaliers en période d’expansion démographique.

Il est criminel de mégotter sur l’engagement de vrais soignants réellement diplômés et dont la qualification doit être évaluée au bout de 3 à 6 mois de période probatoire. Bien évidemment, aucun soignant ne doit être engagé sur piston familial ou tribal, syndical, politique, maçonnique ou autre... et l’on sait ce qu’il en est en Italie (mais aussi dans certaines régions de France).

Il faudra, en fin d’épidémie, étudier minutieusement le comportement des politicards et de leurs conseillers, et féliciter qui doit l’être : les soignants efficaces. Enfin, l’information de Santé publique ne doit plus être abandonnée à des clowns carriéristes, mais à de véritables soignants expérimentés.  

23:38 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Coronavirus, attention danger, mais pas celui que vous croyez…

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Le Professeur Gilbert DERAY, exerçant à l’Hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris, vient de publier sa réflexion au sujet du Coronavirus, que nous relayons ci-dessous, complétée par un bulletin de situation communiqué par le Général Dominique Delawarde au sujet des dernières évolutions numériques des victimes de ce virus.

Gilbert DERAY, Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris

Depuis 30 ans, de mon observatoire hospitalier, j’ai vécu de nombreuses crises sanitaires : HIV, SRAS, MERS, résurgence de la tuberculose, bactéries multirésistantes. Nous les avons gérées dans le calme et très efficacement. Aucune n’a donné lieu à la panique actuelle. Je n’ai jamais vécu un tel degré d’inquiétude pour une maladie infectieuse et d’ailleurs pour aucune autre.

Et pourtant, je ne suis pas inquiet quant aux conséquences médicales du coronavirus. Rien dans les chiffres actuels sur la mortalité et la diffusion du virus ne justifie la panique mondiale sanitaire et surtout économique. Les mesures prises sont adaptées et efficaces et elles permettront le contrôle de l’épidémie. C’est déjà le cas en Chine, foyer initial et de loin le plus important de cet agent infectieux, où l’épidémie est en train de s’éteindre.

L’avenir proche dira si je me suis trompé.

Par contre :

• Je suis inquiet des vols de masques et que ceux nécessaires à la protection des personnels soignants et des personnes à risque, nos anciens et celles déjà malades, en particulier les patients immunodéprimés, soient distribués dans les aéroports, les cafés et les centres commerciaux, pour une efficacité nulle.

• Je suis inquiet des vols de gels nettoyants.

• Je suis inquiet de ces rixes pour acheter du papier toilette et des boîtes de riz ou de pâtes.

• Je suis inquiet de cette terreur qui conduit à faire des stocks obscènes de nourriture dans des pays où elle est disponible dans une abondance tout aussi obscène.

• Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite, mais « seulement » de solitude. Nous avions l’habitude de ne pas rendre visite à nos parents et grands-parents si nous avions la grippe, pas de les éviter « au cas où » et pour une durée indéterminée, ce n’est en rien différent pour le coronavirus.

• Je suis inquiet que la santé ne devienne un objet de communication belliqueuse et de conflit comme un autre, alors qu’elle devrait être une cause ultime de lutte dans le rassemblement.

• Je suis inquiet que notre système de santé, déjà en grande difficulté, ne soit prochainement débordé par un afflux de malades au moindre signe de syndrome grippal. Ce sont alors toutes les autres maladies que nous ne pourrons prendre en charge. Un infarctus du myocarde ou une appendicite, ce sont toujours des urgences, un virus, rarement.

La couverture médiatique sur le coronavirus est très anxiogène et elle participe à l’affolement de chacun. Cela conduit aux théories du complot les plus folles du genre : « ils nous cachent quelque chose ». Rien n’est obscur, c’est impossible en médecine dans ce monde du numérique où la connaissance scientifique est immédiate et sans filtre.

Le coronavirus ne tue (presque) que les organismes déjà fragiles. Je suis inquiet que ce minuscule être vivant ne fasse que dévoiler les immenses fractures et fragilités de nos sociétés. Les morts qui se compteront alors par millions seront ceux de l’affrontement des individus dans l’indifférence totale de l’intérêt collectif.

Coronavirus : Bulletin de situation au 14 mars à minuit

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Source: Breizh-info.com

21:26 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestations interdites

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Pour cause de coronavirus, le Premier ministre a interdit les manifestations de plus de 100 personnes. Par conséquent le prochain rassemblement de Marchons Enfants devant l’Elysée est reporté.

19:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers un krach général ?

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Par Frédéric Lordon*

Jusqu’à présent cependant, les crises financières se présentaient comme des événements propres à leur sphère seulement — la sphère des marchés, des banques, etc. Or la situation présente offre ce caractère remarquable, et inédit, que la crise financière y est, non pas « isolée », mais comme la métonymie d’une multitude de crises sectorielles arrivant à synchronisation : les crises du néolibéralisme, en cours de fusion-totalisation ; l’ensemble de la construction au bord du syndrome chinois. L’hôpital, l’école, la recherche : tout comme à propos de la finance, on peut dire que le virus est le choc de trop survenant sur des institutions tellement démolies — par le néolibéralisme — qu’un supplément de tension les menace d’effondrement. S’il y a coronakrach, il ne s’agira pas « simplement » de krach financier : mais de krach général  : tout était déjà au bord de craquer, tout va craquer pour de bon.

(…) C’est bien sûr l’hôpital, en avance sur la finance, qui offre le spectacle le plus saisissant du krach général. Le néolibéralisme y a concentré ce qu’il avait de meilleur. La désorganisation est totale, la rationalité néomanagériale à son sommet d’irrationalité, tout a été méthodiquement détruit. Comme l’explique une tribune récemment parue, le bed management dont s’enorgueillissait Agnès Buzyn il y a peu encore, qui soumet l’organisation au seul critère des flux tendus et du zéro-lit-libre — comme une entreprise lean recherche le zéro-stock, puisqu’il est de soi que gérer des flux de malades (les malades sont des particules de flux) ou de pièces détachées, c’est idem  —, le bed management, donc, fait connaître toutes ses vertus : lean mais incapable de reprendre le moindre choc de charge. Bien avant le virus, le monde hospitalier se criait déjà au bord de l’effondrement ; on imagine avec. Il ne faut pas se faire la moindre illusion : le gouvernement ne récupérera ni les 3 milliards d’ISF ni quelque partie des 10 milliards de CICE pour les donner à l’hôpital, mais on peut parier tout au contraire que, l’épidémie passée, et quelques tapes dans le dos distribuées devant les caméras, l’agonie managériale reprendra son cours à l’identique.

(…) Le cas de la recherche, bien sûr est différent, mais pas moins illustratif : on a pu lire ce témoignage de Bruno Canard, spécialiste au CNRS des coronavirus (4), qui raconte les merveilles de la gestion de la recherche « par projet » : incapable de continuité de long terme, soumise aux aléas des sujets « sexy » et aux fluctuations de la mode, soumettant les chercheurs à l’inepte bureaucratie des appels d’offre. Bref : sa recherche sur les coronavirus entamée au début des années 2000 a été mise en cale sèche, privée de financement par le revirement des tendances du glamour académique-institutionnel. En matière de recherche, par définition, on ne sait jamais quoi débouche quand comment, mais on se dit tout de même qu’avec quinze ans de continuité on en saurait un peu plus. Comme à l’hôpital : sitôt la parenthèse fermée, la destruction managériale poursuivra, c’est-à-dire : on surréagira en mettant le paquet sur les coronavirus, mais en asséchant d’autres recherches dont l’utilité perdue n’éclatera que dans une décennie.

Coronakrach, le roi de tous les krachs

C’est l’état de démolition générale qui a installé depuis longtemps les conditions du krach général. On attendait juste la secousse, la voilà. Sans doute, comme à son habitude, la finance se distinguera-t-elle dans l’ampleur des destructions. Mais cette fois elle pourrait ne pas tomber seule, et l’ensemble fera alors un joli spectacle. Entre le scandale des candidats à la réa recalés faute de respirateur, et celui d’un nouveau sauvetage des banques à douze ans d’intervalle, la population ne manquera pas d’occasions de méditer sur les bienfaits de quatre décennies néolibérales. Et sur ses bienfaiteurs aussi.

(…) Ici on pense immanquablement à La guerre des mondes où de terribles puissances extraterrestres mettent l’humanité et la planète à sac, résistent aux armes les plus sophistiquées, mais sont vaincues sans crier gare par d’infimes créatures : microbes et virus précisément. Se peut-il que le coronavirus, son pouvoir accusateur, son potentiel de scandale, soit l’agent inattendu de la chute du monstre ? Coronakrach, le krach couronné, le roi des krachs, pourrait-il être d’une généralité qui étende son pouvoir de destruction jusqu’à emporter les destructeurs ?

Extraits d’un article paru dans le Monde diplomatique le 11/03/2020

(*) Frédéric Lordon est économiste, directeur de recherche au CNRS, membre des Economistes atterrés, collectif défendant une pensée économique antilibérale proche de la gauche radicale.

 

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Symboliquement et courageusement, le Parti de la France a manifesté sa solidarité avec la Grèce vendredi soir devant l'ambassade de Turquie

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Vendredi soir, dans le XVIe arrondissement de Paris, les militants franciliens du Parti de la France se sont rassemblés aux abords de l'ambassade de Turquie afin de marquer symboliquement leur solidarité avec la Grèce envahie par des multitudes de prétendus réfugiés envoyés par Erdogan. 

Préparé en seulement quelques jours, ce rassemblement visait à rappeler aux Français que, face à l'expansionnisme islamique, une riposte européenne est indispensable.

Erdogan, en bon mahométan qu'il est, sait que sa mission est de contribuer à l'implantation de l'islam sur toute la planète. Quant à l'Europe, bercée depuis des décennies dans les illusions mondialistes, elle préfère fermer les yeux. Et c'est le peuple helénnique qui paye lourdement ce dénie de réalité.

C'est afin de montrer aux Grecs que les Français lucides sont à leurs côtés face à l'invasion de leur pays que les nationalistes du Parti de la France ont organisé cette manifestation.

Synthèse nationale

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JEUDI PROCHAIN 19 MARS : BERNARD MONOT INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Une fraude sociale de 30 milliards d’euros ?

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Paul Vermeulen

C’est le grand tabou de la société française, volontairement masqué par les« élites » politiques et médiatiques amoureuses de la « société ouverte » pour lesquelles la fraude sociale ne serait pas un problème grave en France et ne serait pas liée à l’immigration. Le 3 mars 2020, la réalité est revenue comme un boomerang. Le magistrat Charles Prats, interrogé en commission d’enquête parlementaire, rappelle qu’il y a des millions de cartes vitales en trop en circulation, et il évoque une fraude sociale potentielle de 30 milliards d’euros. C’est très loin des estimations d’une Sécurité sociale qui chiffre la fraude à quelques centaines de millions d’euros.

Prats aboutit au chiffre de 2,4 millions d’étrangers actifs en surnombre dans le système de la Sécurité sociale française. Des fantômes qui perçoivent des prestations. C’est l’attribution d’un numéro d’immatriculation par le biais de faux documents qui permet de frauder. La Sé- curité sociale ne demande pas de docu- ments originaux. D’après Le Figaro daté du 5 mars 2020, cette démonstration s’appuie sur « un document publié le 7 novembre : la réponse des pouvoirs publics à une question posée par une précédente commission d’enquête parlementaire. La députée Carole Grandjean (LREM) et la sénatrice Nathalie Goulet (UDI) avaient demandé au ministère des Solidarités et de la Santé le nombre de “NIR actifs”, c’est-à-dire le nombre de comptes au format spécifique aux personnes nées à l’étranger, et capables de recevoir des prestations sociales (excluant donc les cartes désactivées). » Dans le Journal officiel, l’administration recensait 12 392 865 personnes nées à l’étranger « disposant d’un droit ouvert à recevoir au moins une prestation sociale ». 12,4 millions d’assurés sociaux nés à l’étranger alors que les étrangers ne seraient « que » 8,2 millions en France selon l’INSEE.

Tous ces étrangers !

Sur les plus de 12 millions d’assurés nés à l’étranger selon le ministère concerné, 86 % auraient ainsi droit aux prestations maladie, 43 % pourraient percevoir des prestations familiales et 33 % auraient droit à la retraite. En comparant ces pourcentages aux statistiques sur les bénéficiaires d’aides sociales en France, cela donnerait 42 % des bénéficiaires d’allocations familiales ou un cinquième des retraités nés à l’étranger. Des chiffres incohérents, selon le magistrat, sauf à imaginer des comptes de Sécurité sociale surnuméraires – autrement dit une fraude de grande ampleur. C’est justement ce qui a été révélé.

Un exemple concret ? D’après France Bleu Paris, « une escroquerie en bande organisée vient d’être mise au jour le 3 mars par la police des Yvelines. Huit membres d’une même famille, soupçonnés de faux et usage de faux, blanchiment et recel d’escroquerie, ont été interpellés par la sûreté urbaine de Conflans- Sainte-Honorine, avec l’appui du GIR 78. Cette famille aurait escroqué 41 caisses d’assurance maladie, 55 mutuelles et des sociétés d’ambulances, plongeant certaines d’entre elles en très grande difficulté. » Une partie des 675 000 euros détournés a été transférée à l’étranger. La fraude sociale est un mode de vie (immigré) en France, et à l’étranger. Même France Info reconnaissait mi-octobre 2019 que « cette fraude existerait majoritairement chez les per- sonnes vivant à l’étranger ».

Prats soulève indirectement une question grave : celle de la différence entre les chiffres de l’immigration publiés par l’INSEE et ceux publiés par la Sécurité sociale. Si l’Etat est si peu fiable, quels sont les chiffres réels de l’immigration ? Ceux des descendants de migrants ? 20 % ? Les droites authentiques le disent depuis longtemps : l’immigration de masse est une catastrophe sociale et économique. Avec 30 milliards d’euros, différents problèmes qui plombent l’économie pourraient être résolus. Au choix : le « trou » de la Sécurité sociale, dont on connaît du coup la cause, la réforme des retraites, la sécurité ou l’amélioration de la lutte contre le terrorisme. Autrement dit le quotidien des Français qui se lèvent tôt, ne passent pas la journée au PMU ou dans des cafés réservés aux musulmans et interdits aux femmes, une fois les prestations perçues. L’argent dont nous parlons est simplement celui des honêtes travailleurs de nationalité française, pour leur part écrasés de taxes et d’impôts pour financer les fraudes sociales. Charles Prats le dit : la question est d’autant plus grave qu’elle est connue depuis dix ans. Alors, à qui profite cette délinquance, outre aux fraudeurs ?

Source : Présent 10 mars 2020

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Jounal du chaos

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vendredi, 13 mars 2020

Lorrain de Saint Affrique invité du Bistro Libertés de Martial Bild sur TV Libertés

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Face aux crises, l’efficace retour des nations

Par Yvan Rioufol

riou.jpg Où est passé l’Union européenne ? Cofrontée au coronavirus qui a atteint l’Europe début février, Bruxelles en est encore à envisager une coordination des moyens. Face à la menace d’une invasion migratoire massive, encouragée par le Turc Erdogan, elle demeure pareillement empotée. Ses réponses à la crise financière qui se profile ne sont guère plus lisibles. Pourtant, les promoteurs de cette Union, tatillonne pour les petites choses, ne cessent de vanter ses mérites. Ils fusillent de mots blessants ceux qui constatent que ce club de technocrates et de faux curés aggrave la vulnérabilité des peuples, en plus de ne rien comprendre au nouveau monde qui vient.

L’UE a toujours vu les nations comme un obstacle à sa domination, et les frontières comme une contrainte à dépasser. Résultat : le Covid-19, venu de la Chone sans entraves, se balade dans la « Société ouverte » promue par George Soros et ses disciples, tandis que des « réfugiés » prêts à passer en force, rêvent d’en faire autant.et vogue la galère !

N’en déplaise aux hallucinés du mondialisme, l’addition des crises - sanitaire, migratoire, économique - doit beaucoup à la globalisation et à son éloignement des spécificités locales. Lundi, Emmanuel Macron s’est adressé aux dirigeants de l’UE : « Pour faire face au Covid-19, l’union fait la force. J’appelle nos partenaires européens à une action urgente pour coordonner les mesures sanitaires, les efforts de recherche et notre réponse économique ». Pour autant, la France suit sa propre politique. Elle n’a rien de commun avec celle de l’Italie, par exemple. Mardi, ses 60 millions d’habitants ont été sommés par le gouvernement de Giuseppe Conte de rester chez eux jusqu’au 3 avril, dans une mesure unique au monde. Pour sa part, la macronie croyait jusqu’à hier pouvoir gérer « une épidémie la plus courte possible », en misant sur la solidité de ses structures hospitalières. Le président devait en dire plus jeudi soir.

La conjonction des menaces oblige à des protections spécifiques, répondant aux réalités de chaque pays. Il est stupide de soutenir que la mondialisation n’a rien à voir avec la fulgurance de la pandémie, et que les frontières ne sont pas des protections. Après les confinements décidés par la Chine, son président a assuré mardi que le virus était « pratiquement jugulé ». Donald Trump vient de décider de fermer les États-Unis aux Européens, pour un mois. Outre Israël, qui a imposé des quarantaines à ceux venus de pays à risque, de nombreux pays d’Europe rétablissent des contrôles à leurs portes. C’est parce que l’Italie et la France n’ont pas jugé utile de procéder à temps à ces filtrages que ces deux pays ont été les plus rapidement touchés. Se souve ir de ce que soutenait le ministre des la Santé, Olivier Véran : « On ne fermera pas les frontières car ça n’aurait pas de sens ». Position confirmée le 27 février par la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye : «  Les frontières physiques n’ont pas de sens pour un virus».

En fait, le Covid-19 a une vertu : il révèle la contamination des esprits faibles par l’idéologie mondialiste. Cette dernière est plus dangereuse que le virus meurtrier, dont la survie s’annonce limitée selon les experts. Voilà des décennies que les peuples et les nations se laissent empoisonner par les convertis à la religion des droits de l’homme, qui dirigent l’Europe. Leur culte du « mêmisme » les pousse à ne plus différencier les cultures ni les civilisations. L’UE est atteinte de ce mal qui l’aveugle sur les dangers de l’offensive islamiste, qu’elle prend pour la plainte attendrissante des déshérités. Non contente de se faire insulter par Erdogan, cette Europe herbivore est prête aux accommodements avec son voisin carnivore. Angela Merkel et Emmanuel Macron se rendront ensemble à Istanbul le 17 mars afin de noter les exigences du maître chanteur, qui menace toujours de faire envahir le Vieux Continent par des hordes de malheureux. Ces humiliations munichoises sont déjà des défaites.

Sortir de là !

Le vieux monde vacille sous l’accumulation de ses bévues. Le krach boursier de lundi est une autre alerte qui pourrait remettre en cause l’excessive financiarisation de l’économie globalisée et laisser-fairiste. Il aura suffi d’une panique sur le coronavirus, rajoutée à une guerre des prix du pétrole déclenchée par l’Arabie saoudite contre la Russie, pour faire dévisser les places boursières. A rejailli, à cette occasion, le spectre d’une autre bourrasque systémique, comparable à la tempête bancaire et financière de 2008. Les choix mercantiles qui ont poussé naguère des industries françaises, en quête de profits faciles, à délocaliser leurs activités en Chine et dans d’autres pays plus rentables se révèlent désastreux. Ce capitalisme-là, soucieux de faire du fric en oubliant ses responsabilités humaines et sociales, ne peut plus être un modèle. Outre les nations et les frontières, ce sont aussi les souverainetés qui sont invitées à reprendre leur juste place. Les Etats eux-mêmes sont appelés à devenir les ultimes banquiers.

Le grand chambardement reste à mener à son terme. Il a comme précieux renforts les désordres, injustices et violences produits par un système déboussolé. Le progressisme planétaire, dont la macronie est un avatar, a enfanté des sociétés surendettées, fragiles, conflictuelles. Le héros est devenu une vieille chose ringarde, tandis que le statut de victime reste l’unique quête des communautés revanchardes. Constituées sous les vivats de l’idéologie diversitaire, ces minorités ont substitué leur tyrannie à la démocratie du nombre. Sous la pression de féministes radicalisées, Hachette vient de renoncer à publier les mémoires de Woody Allen, accusé sans preuve ni jugement d’avoir sexuellement abusé sa fille adoptive. Portés par leur sentiment d’impunité, les rappeurs Sneazzy et Nekfeu, « fiers » d’être musulmans, menacent le journaliste Pascal Praud d’« une balle dans le cervelet » sans que les protestataires protestent. Un monde agonise, étouffé par l’absurde. Vite, sortir de là !

Source : Le Figaro 13/03/2020

 
 

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La France malade du mondialisme

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Communiqué de la Dissidence Française 

En quelques semaines, l’épidémie de COVID-19 d’origine chinoise est devenue planétaire. Le monde dénombre désormais plus d’une centaine de pays touchés, des centaines de milliers de cas et déjà des milliers de morts. En Europe, la totalité du territoire italien est désormais en quarantaine. Son système de soin est débordé et son économie est au bord de la récession.

En France, le gouvernement Macron a tardé à agir et s’est montré incapable d’anticiper cette crise pandémique. Ainsi, deux semaines avant le commencement de l’épidémie dans notre pays, le 18 février 2020, il décidait l’envoi de 17 tonnes de matériel médical à la Chine, dont des dizaines de milliers de masques qui font aujourd’hui défaut au personnel soignant, aux médecins généralistes, et à la population. Ce même gouvernement a également tardé à limiter les vols en provenance des zones à risque, n’a pas ordonné des contrôles systématiques des voyageurs en provenance de ces zones ni rétabli les contrôles aux frontières, ni pris les décisions nécessaires lorsqu’il en était encore temps, par exemple celle d’accroître les stocks de masques de protection et de solutions hydroalcooliques pour éviter les pénuries. Ainsi, l’annonce par Emmanuel Macron ce soir du renforcement des mesures contre l’épidémie arrive très tardivement, et il y a fort à craindre que notre pays ne soit pas prêt à affronter une crise sanitaire grave et de longue durée. Pire, dans un cynisme à peine croyable le gouvernement Macron poursuit ses réformes et notamment le processus de ratification du projet de loi de réforme des retraites ou celui de l’assurance-chômage alors que plusieurs parlementaires sont empêchés – pour cause de contamination – et que les rassemblements et les manifestations de ses opposants sont limités par mesure de précaution.

Dans ce contexte de crise, la Dissidence Française lance aujourd’hui sa nouvelle campagne militante : « La France malade du mondialisme ». Car si cette pandémie met une nouvelle fois en évidence la légèreté et l’impréparation du gouvernement Macron, elle est aussi révélatrice de la faillite intégrale du mondialisme libéral : ouverture des frontières, délocalisation des activités de productions essentielles en Chine, fragilité des chaînes d’approvisionnement et risques de pénuries, absence de contrôle et de régulation des flux de populations, financiarisation de l’économie, effacement des souverainetés nationales, dépendance accrue vis-à-vis de l’étranger… L’idéologie mondialiste a considérablement accru les risques socio-économiques, politiques et sanitaires qui pèsent sur les nations européennes, et notamment sur la France. Mais si notre pays est aujourd’hui malade du mondialisme, le nationalisme sera son remède. Car il apparaît désormais évident que seule une politique fondée sur le protectionnisme et le localisme, sur le contrôle des frontières et des flux de populations, sur le rétablissement de la souveraineté nationale et de l’indépendance stratégique de notre pays pourra permettre à la France de sortir de cette crise pandémique et de se prémunir des prochains soubresauts de la mondialisation sauvage

Source cliquez ici

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Macron et le coronavirus : la politique du carton-pâte.

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L'avis de Jean-François Touzé.

L'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce jeudi soir se voulait responsable et porteuse d'un message de puissance publique.

Elle ne fut qu'inutilement anxiogène, à l'image de la gestion brouillonne et incohérente qui, depuis les premiers jours, est celle de l'Elysée et du gouvernement face à la crise du coronavirus. 
 
Incapable, malgré ses appels factices à l'unité et à "faire Nation", de s'élever au dessus des contingences et de prendre, au delà de la fermeture des écoles, les mesures concrètes de protection des Français comme le font, par exemple les Présidents russes et américains, oscillant entre tentative décalée de rassurer et une dramatisation à la limite du ridicule, le Président de la République n'aura réussi qu'à convaincre les Français qu'ils n'étaient ni dirigés ni protégés mais conduits dans la nuit noire par un aveugle.
 
C'est au pied du mur que l'on voit le Macron. 
 
Des murs... Loin de dresser ceux qui seraient nécessaires pour combattre l'épidémie et ses effets sanitaires comme économiques et sociaux, loin de bâtir les digues contre l'invasion migratoire, loin d'ériger les barrières commerciales dont auraient besoin notre industrie et notre agriculture, loin de cimenter les remparts stratégiques que l'accumulation des menaces rendrait indispensable, Macron lézarde encore et encore notre édifice national et laisse la France à claire-voie. Ses murs à lui sont des murets. Ils sont en carton-pâte.

02:06 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : VENDREDI 13 MARS À 17 H : RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AU PEUPLE GREC DEVANT L'AMBASSADE DE TURQUIE À PARIS

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Rassemblement de soutien au peuple grec face à l'agression migratoire turque, vendredi 13 mars à 17h à Paris, devant l'ambassade de Turquie (Place de Bolivie - XVIe - station Passy) !

Différents orateurs interviendront : Thomas Joly (Président du Parti de la France), Alexandre Simonnot (lira un message de Jean-Marie Le Pen), Olivier Piacentini, Fiorina Lignier, Epona (lira un message de notre camarade grecque Irène Dimopoulou).

Parce que leur frontière est aussi la nôtre, venez nombreux soutenir la résistance du peuple grec face à la déferlante migratoire organisée par Erdogan !

Seuls les drapeaux français et grecs sont autorisés. Un service d'ordre assurera la sécurité des participants.

NDLR : Synthèse nationale apporte évidemment son soutien à cette initiative.

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L'émission "Synthèse" de cette semaine avec Guillaume Fiquet, rédacteur en chef de la Revue d'Histoire européenne sur Radio Libertés

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Les précédentes émissions cliquez ici

Le lancement, en novembre dernier, de la Revue d’Histoire européenne comble le vide laissé, il y a quelques années, par la disparition de la Nouvelle Revue d’Histoire fondée par Dominique Venner. Pour parler de cette nouvelle publication trimestrielle de qualité, Roland Hélie et Philippe Randa ont invité à l’émission « Synthèse » de cette semaine Guillaume Fiquet, son rédacteur en chef. Il nous présente le numéro 2 consacré à la Rome antique et qui traite aussi de bien d’autres sujets. Le professeur Pierre de Laubier qui collabore aussi à la Revue d’Histoire européenne conclue l’émission par sa chronique sur « l’abominable histoire de France ».

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jeudi, 12 mars 2020

Stéphane Ravier : l’immigration de peuplement pour assistés sociaux

Discours absolument remarquable de Stéphane Ravier

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Psychose, Paranoia, Panique and C°

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Pieter Kerstens

« Psychose » est une œuvre cinématographique de Sir Alfred Hitchcock (1899-1980) né à Londres, naturalisé américain. Tous les amateurs du grand écran se souviennent de ce petit bijou du cinéma interprété par Anthony Perkins et Janet Leigh, dirigés magistralement par le maître du suspense et de l’angoisse. 

Depuis fin janvier en France, avec le rapatriement sanitaire de 220 citoyens résidents en Chine, les responsables politiques et la totalité des médias ont orchestré une réelle manipulation mentale de la population. Bien plus grave que la psychose des attentats durant l’année 2015, la paranoïa actuelle de cette épidémie d’origine virale, risque de déboucher sur une hystérie collective et une panique générale de peuples dorlotés dans un confort matérialiste exclusif. 

Le Covid-19 n’est qu’une affection saisonnière contagieuse.

Et chacun ferait bien de raison garder et de faire appel à son devoir de mémoire.

Le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) issu de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) nous apprend que le nombre de décès des personnes sans domicile fixe (SDF) est estimé à environ 3.600 par an -soit 300 par mois- selon « Libération » du 20/02/2018.

Les accidents à domicile (chutes, noyades, piqûres venimeuses, électrocution, intoxications) sont la cause de 32 décès chaque jour soit 900 tous les mois !

Est-ce pour cela que toutes les chaînes de radios et de télés vous en parlent du matin au soir ?

Et que des ministres se relayent tous les soirs sur les plateaux de télés ?

La grippe saisonnière d’octobre 2017 à avril 2018 a tué 12.980 personnes et d’octobre 2018 à avril se sont 7.200 malades qui ont succombé.

En France, il y avait 7 millions d’obèses en 2017. Ce problème sanitaire majeur est la 3ème cause de mortalité dans les pays riches et en France se sont plus de 50.000 personnes qui en meurent tous les ans (« le Monde » du 12.06.2017 et « l’Express » du 23.05.2017).

Est-ce que vous voyez des campagnes d’avertissements spécifiques à ce sujet, à la télé, dans les écoles, dans les universités, au cinéma ou encore des mises en garde permanentes de la part du Gouvernement ?

La maladie infectieuse la plus mortelle au monde est la TUBERCULOSE. En 2018, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a enregistré plus de 1.700.000 décès. En France, il y a eu plus de 5.000 nouveaux cas ayant entraîné environ 600 décès en 2018.

 Si l’on considère les maladies respiratoires comme la pneumonie, la bronchite ou la pleurésie, qui touchent surtout les enfants, l’OMS compte environ 1 million de décès tous les ans, dont 10.000 en France. Par ailleurs 11 malades décèdent tous les jours des infections nosocomiales en hôpital en France, soit plus que les morts suite aux accidents de la route. Ici encore, règne un silence suspect, pour ne pas parler de graves manquements quand aux mesures de stricte salubrité dans les établissements hospitaliers de l’Hexagone. On vous en parle tout le temps ?

De par le monde, le paludisme -ou malaria- transmis par les moustiques a été la cause de 585.000 décès en 2010, 416.000 en 2017 et 405.000 en 2018 soit 33.750 morts tous les mois !

DIX FOIS PLUS que le coronavirus en Chine ces trois derniers mois !

Et pour en terminer, L’OMS estime chaque année que la fièvre typhoïde touche au moins 15 millions de personnes et qu’elle entraine 150.000 décès, surtout parmi les enfants. Cette maladie transmise par la Salmonella Typhi peut être combattue par une vaccination conjuguée qui assure une immunité plus longue et peut être administrée aux nourrissons dès l’âge de 6 mois.

Bien sûr, ni les ministres et les politiciens de tous bords relayés par les médias « aux ordres » ne s’éternisent sur le nombre de nos citoyens qui décèdent tous les jours par centaines des suites d’infections, de contagions ou de maladies respiratoires, et personne ne diffuse les informations à ce propos, car faisant partie de la vie quotidienne et des aléas de notre existence.

Dix millions de morts dans le monde et 68.000 en France : et alors ?

Aujourd’hui on constate que quelques milliers de chinois seraient décédés du Covid-19, sur une population de 1,45 milliard d’individus. Que quelques centaines sont morts en Italie, sur plus de 60 millions d’habitants. Que cela serait aussi le cas en France dans quelques mois, et ailleurs dans les pays européens. Est-ce que la Terre va s’arrêter de tourner ? Est-ce pour cela que le Soleil ne se lèvera plus à l’Est ? Par contre, on constate déjà une baisse significative de la pollution par le CO2 de 25% en Chine, et les manifs avec Greta n’y sont pour rien !

En appliquant les mesures sanitaires de bon sens et les préceptes de nos grands-mères les gens pourraient évidemment éviter toute contagion à certaines maladies infectieuses.

Seulement voilà, le phénomène de nos sociétés européennes a voulu que toutes les populations exigent de l’Etat une prise en charge de leur existence sans risques ni aléas ; les individus voulant être pris en charge de leur naissance à leur mort par un « Etat Providence » au titre de leurs « droits à » et d’un « principe de précaution » sans pour autant y participer individuellement. C’est le règne du « moi d’abord » fondé sur un égoïsme outrancier et une absence totale des responsabilités. Et la mort met un terme à notre existence qui n’est pas éternelle, c’est bien pourquoi les plus âgés meurent en premier en toute logique!

En ayant imposé une communication permanente et généralisée sur la saga du Covid-19 du matin au soir, semaine après semaine, le Gouvernement et le docteur Micron ont diffusé une psychose au sein de la population qui lentement va conduire à une hystérie collective et aboutir à la panique. Les mesures de confinement des personnes dans leur domicile, la fermeture des écoles et des sites publics, les annulations des salons professionnels et des rencontres sportives et autres interdictions diverses seront autant d’éléments qui vont très certainement entrainer un ralentissement des activités industrielles dans tous les secteurs, alimenter une récession, cause d’un effondrement de nos économies européennes, qui entrainera inéluctablement un nouveau krach bancaire et financier. Et l’argent de nos impôts ne devra pas servir à aider les entreprises privées ni sauver des banques toujours plombées par des « actifs pourris ».

Conséquence des dérives d’un mondialisme effréné, que certains avaient pourtant prévu depuis longtemps, espérons que cette crise du Covid-19 fasse réfléchir les princes qui nous gouvernent.

17:30 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE JOURNAL DE BORD DE JEAN-MARIE LE PEN DE CETTE SEMAINE

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Syrie : Turquie et Russie se partagent le terrain

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C’est peu dire que la situation au Proche-Orient et notamment les rapports de la Turquie avec ses voisins est complexe. D’autant que la Russie s’est investie aux côtés de la Syrie tout en gardant un oeil sur la Turquie. C’est donc un jeu à plusieurs bandes qui se joue avec en toile de fond les milliers de migrants qui désirent gagner le continent européen. Rencontre avec Fabrice Balanche, géographe et spécialiste de la Syrie et du Liban, maître de conférence à Lyon 2.

Source : la revue Conflits n° 26

A lire ICI

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Le nouveau cycle de la mondialisation

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Par Laurence Daziano*

L’épidémie de coronavirus, partie d’un marché de Wuhan, entraîne l’économie mondiale dans un choc d’offre et de demande, aussi majeur que celui du choc pétrolier de 1973. Mais, au- delà de l’effet conjoncturel sur la croissance de l’année 2020, le coronavirus s’inscrit dans une profonde transformation des échanges mondiaux qui ouvre une nouvelle page de la mondialisation dans la prochaine décennie.

Le coronavirus a démontré l’extraordinaire dépendance des économies occidentales à la Chine. Depuis vingt ans, la production industrielle et manufacturière a été délocalisée en Chine, à un niveau extrême pour certains produits industriels stratégiques, à l’instar des médicaments ou des équipements télécoms. Pékin est désormais la « plaque tournante » de l’assemblage industriel mondial, que ce soit pour un smartphone, une voiture ou une batterie électrique. Le coronavirus a montré la grande faiblesse des chaînes mondiales de valeur, disséminées dans le monde entre plusieurs pays producteurs.

La mondialisation n’est pas en recul, mais plutôt en transformation, sous l’effet du protectionnisme de Donald Trump, du Brexit ou des débats autour de la guerre commerciale et technologique entre Washington et Pékin. Le néoprotectionnisme américain et le conflit latent avec la Chine font consensus dans les cercles de pouvoir à Washington. Les pays émergents conserveront l’avantage d’une main-d’œuvre formée et peu chère, mais les chaînes de valeur ainsi que les relations économiques et commerciales vont être transformées.

Les Européens eux-mêmes ont commencé à modifier leur posture en déployant des protections sur leurs actifs stratégiques et en réfléchissant à leur autonomie technologique. L’aggiornamento en cours à la Commission européenne sur la réciprocité commerciale en est un exemple, tout comme la régionalisation des chaînes de production illustrée par l’ouverture d’une usine par LVMH au Texas ou la construction d’une usine de Huawei en France, afin de contourner les obstacles non tarifaires et le souhait des Etats de protéger leurs intérêts strtégiques.

La transformation de la mondialisation pourrait même être analysée, non pas à la lumière du mouvement de globalisation entamée après la chute du mur de Berlin, mais plutôt à travers une histoire continue qui débuterait à l’époque des grandes découvertes et de la Compagnie des Indes orientales. Fernand Braudel l’a magistralement analysé dans « La Dynamique du capitalisme », en décrivant l’économie-monde avec son centre, dont découlent tous les échanges : « Le soleil de l’histoire fait briller les plus vives couleurs, là que se manifestent les hauts prix, les hauts salaires, la banque, les marchandises royales, les industries profitables, les agricultures capitalistes ; là que se situent le point de départ et le point d’arrivée des longs trafics, l’afflux des métaux précieux, des monnaies fortes et des titres de crédit. »

La mondialisation n’a jamais cessé de se développer et de se transformer depuis le 21ème siècle. New York n’est plus le centre unique de la mondialisation dont le cœur bat également à Shanghai, Bombay, Moscou ou Istanbul. Le cycle de la mondialisation « heureuse », apparu après la chute du mur de Berlin et prôné par Bill Clinton, prend fin. Un nouveau cycle apparaît, à l’issue incertaine.

(*) Maître de conférence à Sciences-Po

Source : les Echos 10/03/2020

Municipales : les 22 listes soutenues par le Parti de la France.

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Un communiqué du Parti de la France :

Habité d'une volonté d'implantation locale de ses cadres et inscrivant sa démarche au long terme dans une stratégie de rassemblement des droites nationales non reniées, le Parti de la France soutient activement 22 listes pour les scrutins municipaux des 15 et 22 mars.
 
Tarascon ( Bouches-du-Rhône) : Valérie Laupies
Hombourg (Haut Rhin) : Cassandre Fristot
Niort (Deux Sèvres) : Jean-Romée Charbonneau
Villers-Cotterêts (Aisne) : Franck Briffaut
Orange (Vaucluse) : Jacques Bompard
Bollène (Vaucluse) : Marie-Claude Bompard
Mornas (Vaucluse) : Joseph Joly
Guînes (Pas-de-Calais) : Christophe Marécaux
Metz (Moselle) : Françoise Grolet
Nancy (Meurthe et Moselle) : Grégoire Eury
Montpellier (Hérault) : Olaf Rokvam
Angers (Maine-et-Loire) : Olivier Douay
Le Mans (Sarthe) : Louis de Cacquerai- Valménier
Nantes (Loire Atlantique) : Eléonore Revelle.
Rethel (Ardennes) : Hervé Cambraye
Elbeuf (Seine Maritime) : Marie Durand
Le Luc (Var) : Pascal Verelle
Béziers (Hérault) : Robert Ménard
Romchamp (Haute-Saône) : Christophe Devillers
Taverny (Val-d'Oise) : Alexandre Simonnot
Toulon (Var) : Amaury Navarranne
Marseille ( Bouches-du-Rhône) : Stéphane Ravier.
 
Les lignes politiques commencent à bouger. Le temps d'une large recomposition approche. Ces élections municipales n'en constitueront qu'une étape.

10:04 Publié dans MUNICIPALES 2020 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |