samedi, 10 octobre 2020
Ces défenseurs du bien-être animal qui défendent leurs intérêts financiers…
Nicolas Gauthier
En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.
Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.
Et de poursuivre : « L’interdiction de mettre des animaux en box ou en stalle signe la fin des élevages de chevaux, des élevages de vaches en montagne et même en plaine. L’hiver, toutes les bêtes préfèrent être à l’abri plutôt que dehors, dans la boue ou la neige. » Il aurait peut-être fallu y songer avant. Un métier, on vous dit…
Du côté de la Confédération paysanne, rendue célèbre par José Bové, même son de cloche avec Nicolas Girod, son porte-parole : « Nous avons décidé de ne pas soutenir cette proposition de loi. Ces initiatives ne s’attaquent pas aux causes profondes de la maltraitance animale, qui ne se trouvent pas dans l’élevage, mais dans son industrialisation et sa dépendance au toujours plus. » Bien vu.
À propos de « bien-être animal », il y a encore ce référendum d’initiative partagée dont on commence à parler de plus en plus ; et c’est là que ça se complique, ou s’éclaire, c’est selon. En tête de gondole, Hugo Clément, journaliste de France Télévisions, qui se prétend « transcitoyen », ce qui ne mange pas de pain.
Quant à l’argumentaire, il est aimablement fourni par l’association L214, dont les vidéos volées et consacrées à la maltraitance des animaux dans les abattoirs tournent régulièrement en boucle sur Internet. L214, ce sont 70 salariés, contre seulement 15 en 2015, et des subventions comme s’il en pleuvait. À titre d’exemple, celles versées (1,14 million d’euros en 2017) par l’Open Philanthropy Project, puissante fondation américaine qui finance de nombreuses associations à vocation plus ou moins écologique (857 millions de dollars distribués en 2019).
Mais L214 bénéficie encore de l’aide de sponsors français tout aussi puissants : Xaviel Niel (Free), Marc Simoncini (Meetic) et Jacques-Antoine Granjon (Ventes privées), trois patrons emblématiques de l’économie numérique. A-t-on affaire à des philanthropes désintéressés ? Rien n’est moins sûr. Xavier Niel : « Il y a quelques années, je n’étais pas sensible à la cause animale. En voyant les vidéos de L214, j’ai eu un déclic. »
Au-delà de cette anecdote édifiante, le véritable déclic a vraisemblablement surtout consisté en ces potentiels et mirobolants retours sur investissement dans la recherche sur la viande de synthèse, nouveau filon des biotechnologies dans lequel Jeff Bezos (Amazon) et Bill Gates (Microsoft) ont déjà placé des milliards de dollars.
Méchant procès d’intention ? Non, à en croire L’ADN Tendances, magazine professionnel qui nous apprend, le 3 juillet dernier : « Kima Ventures, le fonds d’investissement de Xavier Niel, soutient déjà la start-up 77 foods, qui fabrique du bacon à base de plantes. »
Voilà qui n’a pas échappé à cet éleveur de vaches, cité par Le Figaro : « Parmi les instigateurs du référendum d’initiative partagée se trouvent des investisseurs et des associations qui, derrière la question du “bien-être animal”, défendent leurs intérêts particuliers. »
Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
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vendredi, 09 octobre 2020
Manifestations le samedi 10 octobre partout en France, près de chez vous !
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Guerre en Syrie, escalade dans le Haut-Karabakh, Covid-19 : interview exclusive de Bachar el-Assad
Dans un entretien exclusif, Bachar el-Assad s’exprime sur la situation actuelle en Syrie, affirmant que la guerre dans le pays n'est pas encore finie. En outre, il désigne Recep Tayyip Erdogan comme le principal initiateur de la nouvelle escalade dans le Haut-Karabakh. Il aborde de même la question des relations avec les États-Unis, la nomination de Donald Trump au prix Nobel et annonce qu'il voudrait se faire vacciner contre le Covid-19 avec le vaccin Spoutnik V russe.
Source : Sputnik
14:59 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les députés votent en 1ere lecture l’extension du crime de l’avortement de 12 à 14 semaines
Hier, les députés ont examiné la proposition de loi visant à étendre l’avortement de 12 à 14 semaines, avant de s’intéresser aux conditions de vie des animaux… Rapprochement symptomatique de la folie de nos contemporains.
La proposition de loi a été adoptée par 102 voix contre 65 (et 11 abstentions). Le détail des votes est ici.
Parmi les députés qui ont pris la parole à la tribune pour s’opposer à cette loi, on peut noter les députés Ménard, Breton (LR), Bazin (LR), Hetzel (LR), Six (UDI), Thill (UDI) et Meizonnet (RN).
Les Républicains ont 104 députés. 37 députés ont participé au vote :
34 ont voté contre
3 ont voté pour : Valérie Bazin-Malgras, Maxime Minot et Laurence Trastour-Isnart
67 sont portés disparus.
Cette proposition de loi doit maintenant être examinée par le Sénat. A moins de terminer dans les poubelles de l’Assemblée.
Source : Le Salon Beige
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Les services de renseignement allemands persécutent les nationalistes et leurs structures, tant politiques qu’intellectuelles
Lionel Baland cliquez ici
L’Office fédéral de protection de la Constitution (Bundesamt für Verfassungsschutz – BfV) est un service allemand de renseignement actif dans toute l’Allemagne, avec pour mission essentielle de surveiller les activités contraires à la Constitution. Chacun des seize États allemands dispose également de son propre Office de protection de la Constitution, qui lui est inféodé. Les structures nationalistes, tant politiques qu’intellectuelles, subissent les pressions et attaques de cette organisation.
Persécutions contre l’AfD
Le parti politique patriotique allemand Alternative pour l’Allemagne (AfD) est soumis aux pressions de l’Office fédéral de protection de la Constitution.
Ainsi, en 2019, l’aile nationale de l’AfD est-elle considérée par l’Office de protection de la Constitution comme « cas suspect », au même titre que l’organisation de jeunesse du parti Junge Alternative (JA).
Au début de l’année 2020, il apparaît que cette organisation espionne, depuis peu de temps, en utilisant des méthodes de services secrets, trois responsables de l’AfD : le dirigeant de l’AfD de Thuringe Björn Höcke, le dirigeant de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz et le député au sein du Parlement de Saxe-Anhalt Hans-Thomas Tillschneider. Tous les trois sont membres de l’aile nationaliste du parti. Il est même annoncé, dans la presse du système, que d’autres responsables politiques de cette aile devraient être, dans le futur, eux-aussi, surveillés.
Les fonctionnaires de l’Office fédéral de protection de la Constitution, ainsi que ceux des autorités de l’Office de protection de la Constitution des États allemands concernés [donc : Thuringe, Brandebourg, Saxe-Anhalt], établissent un dossier et collectent du matériel contre les trois personnes concernées à propos de leurs activités extra-parlementaires. Donc les conversations téléphoniques et les courriels privés et intimes de ces personnes sont archivés.
L’aile nationaliste de l’AfD est placée sous observation par l’Office de protection de la Constitution en mars 2020. L’organisme considère que Björn Höcke (Thuringe) et Andreas Kalbitz (Brandebourg) sont d’« extrême droite ». Les autorités estiment que cette aile compte 7 000 membres. En conséquence, la direction de l’AfD demande l’auto-dissolution de son aile nationaliste et l’obtient.
À la mi-mai 2020, la direction fédérale de l’AfD exclut du parti le chef de l’AfD du Brandebourg et chef du groupe des élus de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz, qui peut être considéré comme le numéro 2 de l’aile nationaliste auto-dissoute de l’AfD, derrière Björn Höcke, par 7 voix contre 5, pour ne pas avoir déclaré son appartenance dans sa jeunesse à l’organisation nationaliste radicale Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) ainsi que son adhésion, entre la fin 1993 et le début 1994, au parti politique patriotique die Republikaner (Les Républicains). Kalbitz avait écrit au sein d’un document de cinq pages, réalisé sous la pression de la direction du parti, avoir possiblement et probablement visité un rassemblement du HDJ, qui entretemps a été introduit sur la liste des incompatibilités de l’AfD. Selon un rapport de l’Office de protection de la Constitution, un numéro lié à la « Famille Andreas Kalbitz » figure dans le dossier du HDJ.
En mai 2020, le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla compare l’Office de protection de la Constitution à la Stasi, la police politique de l’ancienne Allemagne de l’Est communiste.
En juin 2020, l’AfD du Brandebourg devient, pour l’Office de protection de la Constitution, un objet d’observation, après qu’un long examen a conduit à estimer que les conditions pour que cette mesure soit décrétée sont remplies. L’Office de protection de la Constitution peut désormais utiliser des écoutes ou des espions afin de confirmer l’« extrémisme de droite » de l’AfD du Brandebourg.
Fin août 2020, le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution Thomas Haldenwang confirme officiellement que l’ancien dirigeant du groupe des élus de l’AfD au sein du Parlement de Brandebourg Andreas Kalbitz figure sur une liste de membres de l’organisation radicale interdite depuis lors Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ), alors que l’appartenance supposée de Kalbitz à la HDJ était le principal élément qui avait conduit l’AfD à exclure Kalbitz de ses rangs.
Source Breizh-info cliquez là
11:40 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 08 octobre 2020
Un message d'Hervé Ryssen en prison depuis trois semaines
A propos de la détention d'Hervé Ryssen cliquez ici
Réaction de Synthèse nationale cliquez là
23:54 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 10 octobre, dans toute la France, mobilisation contre la PMA et la GPA
Communiqué du Parti de la France
Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.
Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.
23:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
23:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pour ne plus envoyer nos policiers au suicide...
16:44 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les gérants de la Librairie Les Deux Cités (Nancy) dénoncent des groupuscules « qui n’acceptent ni la diversité, ni le débat d’idée, ni la liberté d’expression et d’opinion »
Source Breizh-info.com cliquez ici
Nous relations hier les menaces, les tags visant la Librairie Les Deux Cités, qui vient d’ouvrir à Nancy. La municipalité n’a pas dénoncé clairement les agissements des « antifas » qui s’attaquent à la liberté d’entreprendre. De notre côté, nous nous sommes entretenus avec les gérants, qui n’entendent pas baisser la tête, bien au contraire.
Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
Trois semaines avant l’ouverture nous subissions déjà des attaques virtuelles qui se sont transformées en attaques réelles contre notre vitrine et toute une campagne de diffamation et insultes à travers la ville par le biais d’affiches. Cependant, nous pouvons les remercier car cela nous a fait une publicité exceptionnelle, et a décrédibilisé ces mouvements encore davantage.
Breizh-info.com : Au delà de la surmédiatisation liée aux attaques de l’extrême gauche, avez vous rencontré du succès ? Quelle littérature entendez-vous diffuser au sein de la librairie ?
Ce succès médiatique a effectivement été concrétisé par la venue d’une clientèle nombreuse, cela ne désemplie pas depuis notre ouverture ! Nous diffusons trois gammes philosophie-religion, Sciences-politiques histoire, régionalisme.
Breizh-info.com : Comment expliquez-vous les agissements d’individus qui entendent s’en prendre à des livres. Comportements étranges non ?
Pas si étrange quand on connait l’état d’esprit de ces groupuscules extrémistes et hystériques qui n’acceptent ni la diversité, ni le débat d’idée, ni la liberté d’expression et d’opinion.
Breizh-info.com : Comptez vous vous spécialiser dans le régionalisme lorrain notamment ? Quelle littérature vat-on trouver dans ce domaine ?
Nous avons une belle gamme de livres dans ce domaine, neufs et d’occasion, histoire de la lorraine, personnages, légendes, tradition, il y en aura vraiment pour tous les goûts. Nous promouvons également des auteurs lorrains comme Laurent Schang ou encore Stanislas Berton.
Pour soutenir la librairie Les Deux Cités, vous pouvez leur envoyer un message ici, ou mieux encore, y aller faire vos achats littéraires,
Propos recueillis par YV
La Librairie Les Deux Cités 6 Grande Rue 54000 Nancy (ouverte à partir de 10 h)
09:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 07 octobre 2020
"Corona Scandale": Crime contre l'Humanité selon Me Fuellmich
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ
Me Reiner Fuellmich (barreaux de Californie et Allemagne), prend la parole le 3 octobre 2020 pour annoncer une alliance internationale d’avocat prête à attaquer les responsables de ce qu’il appelle le « coronascandale ». Cette plainte sera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps. Ce réseau d’avocat va poursuivre pénalement les responsables de cette gestion de crise et demander des comptes à ceux qui ont « trompé ou tenté de nous manipuler avec des programmes corrompus ».
19:32 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Trump prépare la fin de l'épidémie
Alexis Cossette
L'épidémie tire à sa fin selon Trump. Cependant, plusieurs gouvernement modifient les critères d'évaluation de l'épidémie afin de maintenir un climat anxiogène.
18:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Avec l'accord de la France, le Mali céde aux islamistes
16:22 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Cercle Pol Vandromme: Jean-Yves Gallou à Bruxelles
Pour leur première conférence de la rentrée, Le Cercle Pol Vandromme recevait Claude Chollet qui interviewait Jean-Yves Gallou au sujet de l'institut Illiade.
12:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 06 octobre 2020
REVUE DE PRESSE Bruno Mégret interrogé par Le Point : « Le RN est touché par la dégradation du niveau de la classe politique
Source Le Point cliquez ici
ENTRETIEN. L'ex-numéro 2 du Front national estime que Marine Le Pen ne propose plus d'idées nouvelles et capitalise sur les fondamentaux du parti.
Propos recueillis par Florent Barraco et Emmanuel Durget
Il fut le premier à promouvoir la dédiabolisation. Sa stratégie de respectabilité du Front national (devenu Rassemblement national) s'est fracassé un jour de décembre 1998 où Jean-Marie Le Pen, soucieux de garder la main sur son parti, a écarté le jeune ambitieux. Bruno Mégret a raté sa scission – que le père Le Pen appela un « pu-putsch » pour mieux se moquer – et il ne put jamais rivaliser avec le fondateur. Vingt-deux ans plus tard, le père a passé le relais à sa fille et le parti d'extrême droite apparaît comme le premier parti d'opposition. Cependant, depuis quelques mois, le Rassemblement national et sa présidente, Marine Le Pen, semblent en retrait, presque anesthésiés par la crise sanitaire et économique. Normal, répond l'ex-numéro 2 du Front, car Marine Le Pen est devenue, selon lui, une femme politique comme les autres. Entretien.
Le Point : Cet été, l'insécurité est revenue au cœur de l'actualité. Pourtant, on a l'impression que Marine Le Pen peine à concrétiser sur ses thèmes forts. Qu'est-ce qui cloche au Rassemblement national ?
Bruno Mégret : C'est vrai, le Rassemblement national ne parvient pas à exister sur la scène politique. Il y a à cela une raison fondamentale : ses représentants tiennent, de façon certes plus énergique, le même discours que la classe politique, alors qu'ils devraient porter une vision radicalement différente pour incarner l'alternative au système en place. Aujourd'hui, les Français n'ont plus la moindre confiance dans les politiques qu'ils savent impuissants à résoudre leurs problèmes et, de ce point de vue, Marine Le Pen n'est pas différente de ses concurrents, car elle ne porte aucun projet qui rendrait sa puissance au politique. Rendre du pouvoir au pouvoir, là est le nœud du succès.
La dédiabolisation du parti ne l'a-t-elle pas banalisée ?
J'ai toujours préconisé la dédiabolisation, mais pour moi elle consistait à en finir avec les provocations sulfureuses et les dérapages verbaux. Car, au-delà, il faut tenir le discours de la rupture avec le système. Sur l'immigration par exemple, ce n'est pas clairement le cas. Pourtant, comme nous l'avions annoncé, ce phénomène est aujourd'hui source de difficultés majeures que personne ne nie plus. Le RN devrait donc proposer une mesure simple et radicale : stopper toute nouvelle immigration pendant dix ans. Et ceci en faisant voter une loi d'exception qui suspende l'ensemble des dispositions permettant l'arrivée de migrants : regroupement familial, droit d'asile, etc. Ce serait une démarche non pas idéologique, mais pragmatique. Quand votre maison est inondée, vous commencez par bloquer l'arrivée d'eau avant de réparer les dégâts.
18:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Conférence Mgr Najeeb - Mercredi 7 octobre à Bruxelles avec SOS Chrétiens d'Orient en Belgique
Monseigneur Najeeb, archevêque de Mossoul pour les chaldéens donnera son extraordinaire témoignage.
Toutes les informations se trouvent : ICI
Rendez-vous donc mercredi 7 octobre à 20h à l’église de l’Annonciation d’Ixelles, les places étant limitées, nous vous recommandons de vous inscrire.
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la Vérité vous rendra libre. Samedi 17 octobre, près de Lyon, avec Bruno Gollnisch
Rencontre locale du Pays Réel dans la région de Lyon le samedi 17 octobre de 9h30 à 17h30.
L'adresse sera indiquée ultérieurement aux incsrits.
Réservez ICI sans tarder !
17:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Découvrez les premières minutes du portrait Faits & Documents de Jacques Attali en vidéo
Qui est vraiment Jacques Attali ? Quel est son rôle exact ? Quelle est sa place dans la superstructure de domination mondiale ? Jusqu’où va-t-il descendre la France ? Afin de répondre à ces questions primordiales, l’indispensable revue d’investigation Faits & Documents, ERTV et Kontre Kulture se sont associés pour réaliser le portrait non autorisé de cet inamovible conseiller du Prince, à la fois prophète du mondialisme et apôtre du Nouvel Ordre mondial.
Source: E&R
00:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 05 octobre 2020
Hommage de la Russie aux soldats français de Napoléon III tombés en Crimée.
22:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Martine Wonner à l’Assemblée contre la politique sanitaire aberrante
l'Assemblée Nationale quasi déserte a voté la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 1er avril. Seuls 17 députés s'y sont opposés. Ecoutons 3 minutes Martine Wonner.
Martine Wonner a été élue député LREM en 2017 dans le Bas-Rhin. Elle a été exclue du mouvement présidentiel en mai 2020. Elle parle avec courage et lucidité de la politique sanitaire française.
19:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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QUE VOILÀ DONC DU BEAU MONDE
Pierre Vial
Selon Le Point, une jeune femme accuse un collaborateur d’Anne Souyris, adjointe d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris et élue écolo (EELV) chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP (hôpitaux), de la santé environnementale et de la réduction des risques, de l’avoir violée dans son bureau de l’hôtel de ville. Une plainte a été déposée et le parquet a confirmé l’ouverture d’une enquête pour viol le 1er octobre. La plaignante est intermittente du spectacle et militante écolo.
Cette affaire rappelle la démission de deux adjoints d’Anne Hidalgo, Christophe Girard, accusé d’abus sexuels et très lié avec Gabriel Matzneff, et Pierre Aidenbaum, accusé de harcèlement sexuel par une de ses collaboratrices. Il y a eu aussi l’affaire de l’ex-député écolo Denis Baupin, un pilier de l’équipe Delanoë quand celui-ci était maire de Paris.
Quant à Alice Coffin, élue écolo du 12e arrondissement de Paris, elle publie chez Grasset Le génie lesbien.
Sans commentaire…
Terre et peuple cliquez là
18:51 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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NOUVELLE CALEDONIE : JAMAIS DEUX SANS TROIS !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Pour la deuxième fois, suite aux accords de Matignon qui le prévoyaient, l’électeur néo-calédonien s’est rendu aux urnes pour se prononcer, OUI ou NON, sur l’indépendance de l’archipel. Sans surprise, le NON l’a emporté, réduisant toutefois son avance par rapport au référendum précédent de novembre 2018. Quels enseignements pouvons-nous tirer de ce scrutin qui a déplacé, tout de même, un nombre record d’électeurs, preuve que la question ne laisse personne indifférent et que, cette fois-ci, le camp indépendantiste a su mieux se mobiliser.
Les accords de Nouméa et de Matignon, ou l’indépendance à marche forcée
On se souvient que suite aux tragiques évènements qui avaient ensanglanté les îles, voir l’épisode de la grotte d’Ouvéa, le gouvernement français avait cherché à apaiser la situation en convoquant en 1988, tous les protagonistes autour de la table. Exercice répété en 1998 sous l’égide de Lionel Jospin, alors premier ministre socialiste. Il ressortait de ces négociations un nouveau statut décentralisé pour la Nouvelle Calédonie, et la promesse de référendum successifs pour peu qu’un tiers des membres du Congrès, l’assemblée territoriale, le demande.
L’indépendance rejetée une première fois ? Qu’à cela ne tienne, rien n’étant trop beau pour le camp séparatiste incarné par le Front de libération national kanak (FLNKS), on a donc revoté dimanche 4 octobre 2020. Mais le NON, une fois de plus, - une fois de trop pour certains beaux esprits « décolonialistes » -, l’a emporté par 53,3 % des suffrages. Il y a tout de même 46,6 % d’électeurs qui veulent quitter la France. Et si le OUI augmente son score par rapport au dernier scrutin, il est vrai aussi, que le nombre de votants a augmenté, passant de 174 000 à 180 640, avec un écart de voix entre les deux choix, se réduisant de 18 000 à 10 446 exprimés.
Qu’en sera-t-il lors de la troisième consultation ? La majorité des Canaques, mais pas seulement, obtiendra-t-elle, cette fois, satisfaction ? À croire que l’on fait revoter les gens, sans cesse, jusqu’à ce que le résultat espéré sorte du chapeau ! On a déjà vu cela, en Irlande notamment.
Un front de résistance au OUI
M. Santanon, président du gouvernement local, - car, oui, la Nouvelle-Calédonie jouit d’un statut d’autonomie interne -, accompagné de la représentante des « Loyalistes », Sonia Backès, et de la tête de liste « Calédonie Ensemble » Philippe Michel, essaye avec ses partenaires, de présenter un front commun hostile à l’indépendance, tout en proposant des réformes. Quelles sont-elles ? Une augmentation des compétences en matière d’éducation, de protection de l’environnement, et de relations extérieures, permettant aux îles de participer à la coopération intergouvernementale dans le Pacifique, en association, bien sûr, avec l’État français. Le chef du gouvernement local propose aussi une réforme des institutions, permettant de débloquer la gouvernance de l’archipel, car pas moins de sept partis politiques sont représentés au conseil exécutif, se répartissant les 11 postes « ministériels » !
Une autre question devra être également être soulevée avant le troisième référendum, - qui pourrait avoir lieu dans deux ans -, c’est la composition du corps électoral, dont certains citoyens, qui votent aux élections nationales, sont écartés lors des scrutins locaux, étant des résidents de trop fraiche date. Faut-il être un descendant de bagnard, ou d’un « peuple premier », comme aurait dit Chirac, pour pouvoir voter ? Il y a, outre les « Caldoches », de nombreux Indonésiens et Wallisiens installés là depuis des lustres. On le voit, il y a du pain sur la planche pour les négociateurs. Emmanuel Macron, dans son discours télévisé, a pris acte des résultats, encourageant les partenaires à négocier, et se félicitant, tout de même, de l’excellente tenue de cette « votation ». C’était le service minimum. Pas d’appel solennel, ni dans un sens, ni dans l’autre.
Le plus dur reste à faire
Il faut que les protagonistes s’engagent, tout d’abord, à respecter les résultats de cette future consultation. Mais nous avons vu qu’il y a des préalables. Et il est à craindre qu’aucun des deux camps n’accepte la victoire de l’autre, ce qui signifierait sa propre perte. Irons-nous alors, vers une partition de fait, la province des îles et celle du Nord, choisissant le grand large et la rupture avec la France, et celle du Sud le maintien dans la République ? Difficile de croire que l’État français puisse accepter ce démantèlement. Séparatisme difficile à acter sur le terrain d’ailleurs, tant les résultats de l’actuel référendum ne recoupent pas forcément le découpage des trois provinces. Si les îles sont massivement en faveur du OUI avec 82,2 %, comme la province du Nord avec 75,8 %, celle du Sud, avec la ville-capitale de Nouméa, est contre par 74,1 %, bien que le OUI y progresse, avec 25,9 % par rapport à 2018.
Des violences sont-elles à craindre, à nouveau ? Il n’y a qu’une alternative à d’éventuels violents affrontements, c’est une solution « mi-chèvre/mi-choux », à laquelle pourraient se rallier et les indépendantistes, et les loyalistes, à défaut d’un très net écart de voix entre les deux camps : la libre association. C’est un statut intermédiaire entre l’indépendance et l’intégration.
C’est celui justement des iles Cook et Tokelau, dans le Pacifique, par rapport à la Nouvelle-Zélande, de Porto-Rico dans les Caraïbes par rapport aux États-Unis, ou des Antilles néerlandaises : la libre association. La France ne peut pas abandonner ses fils et, surtout, une position géostratégique lui donnant, avec la Polynésie française et les îles Wallis et Futuna, plus qu’un balcon sur l’océan Pacifique, cette « Méditerranée du troisième millénaire ».
18:37 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bergoglio, agent de la contre-civilisation.
18:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 04 octobre 2020
Vive le modèle amish !
Georges Feltin-Tracol
Le 14 septembre dernier, face à des entrepreneurs de l’économie numérique invités à l’Élysée, le VRP de la Start up nation, Emmanuel Macron, a réagi à une tribune co-signée par des élus de gauche et Verts hostiles à la 5G. Il a doctement expliqué qu’on ne peut pas « relever la complexité des problèmes économiques en revenant à la lampe à huile ». Il a même ajouté ne pas croire « que le modèle amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine ». Cette attaque honteuse témoigne de l’arrogance, du mépris et de l’ignorance de son auteur envers une minorité chrétienne d’origine protestante révélée en 1985 dans le film policier étatsunien de Peter Weir, Witness (Témoin sous surveillance), avec Harrison Ford et Kelly McGillis.
Les Amish proviennent d’une dissidence de l’anabaptisme et des mennonites survenue en 1693 à Sainte-Marie-aux-Mines à l’initiative de Jakob Amman (1645 – 1730). Ce prédicateur attire vers lui des réformés suisses et alsaciens qui forment des communautés actives. Celles-ci quittent l’Europe pour le Nouveau Monde à partir de 1736. Elles s’installent bientôt dans la province canadienne de l’Ontario et dans les futurs États fédérées étatsuniens de l’Indiana, de l’Ohio et, surtout, de la Pennsylvanie.
S’exprimant en Pennsylvania Dutch, un dialecte haut-allemand mêlant les parlers alsacien, helvétique et lorrain, les Amish se caractérisent par leur mode de vie resté aux XVIIe – XVIIIe siècles. Ils appliquent un ensemble de règles dont la première énonce : « Tu ne te conformeras point à ce monde qui t’entoure. » Ils refusent par conséquent l’électricité, le téléphone, la radio, la télévision et bien évidemment l’ordinateur et Internet. Ils se déplacent uniquement à cheval ou en carriole. Pacifistes et non-violents, ils rejettent toute forme de compétition sportive, préfèrent scolariser leurs enfants chez eux, et pratiquent au quotidien une solidarité communautaire doublée d’une solide entraide familiale. Ainsi récusent-ils tout système de sécurité sociale, d’assurances-santé et de retraite institutionnelle.
Leur manière de vivre sobre, rustique et conviviale ne correspond pas aux canons en vigueur du politiquement correct. Les multinationales ne les apprécient pas parce que ces excellents paysans savent cultiver leurs champs sans l’aide des OGM, ni des produits phytosanitaires. Les harpies misandriques s’élèvent contre de « détestables » structures patriarcales et gérontocratiques. Chaque communauté amish dispose en effet de son propre conseil des anciens qui prend les décisions les plus importantes après maintes discussions dominicales. En outre, mariées dès la sortie de l’adolescence, les femmes amish procréent beaucoup. En vingt ans, leur nombre aux États-Unis et au Canada a augmenté d’environ 3 %, ce qui en fait un des groupes religieux les plus dynamiques d’Amérique du Nord. Observons aussi que certaines communautés acceptent la venue définitive d’adultes convertis en dehors du moindre prosélytisme.
Les détracteurs les plus acharnés des Amish, les chantres de la Subversion « arc-en-ciel », se focalisent sur quelques affaires pénibles de mœurs qui frappent telle ou telle communauté comme partout ailleurs. Ces sales consciences hautement nuisibles n’admettent pas que les communautés amish reposent sur un indiscutable consentement. Vers 17 ans, le jeune Amish suit le Rimspringa, un rite de passage à la vie d’adulte. Pendant une année, il a le droit de découvrir le monde moderne et ses affres. Il peut s’alcooliser, danser en boîte de nuit, fumer, conduire une voiture, aller au cinéma, regarder la télévision, surfer sur Internet, etc. Au terme de cette année, il choisit soit de rester dans la modernité, soit de rejoindre les siens et de mener une vie paisible, communautaire et laborieuse.
Outre ses caractères profondément écologiques et communautaires, le modèle amish peut aider au maintien et à la pérennité des BAD (Bases autonomes durables). Celles-ci pâtissent ou risquent de pâtir du choc des égos individualistes et de la confrontation sur-hormonée de Conducatori de bac de sable. Les tensions entre membres d’un même ensemble sont inhérentes à toute vie en société, fût-elle la plus restreinte. Par leur expérience pluriséculaire, les Amish parviennent à désamorcer des rivalités souvent égotiques. Il serait bien de s’en inspirer.
Une fois encore, en dénigrant de manière gratuite et injuste le modèle amish, le triste garnement de l’Élysée commet une belle erreur morale. Les Amish ont déjà surmonté les défis de l’écologie contemporaine. Ils incarnent une voie intéressante pour notre avenir tandis qu’Emmanuel Macron s’approche, lui, de l’obsolescence programmée pour 2022.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°184 mise en ligne sur TVLibertés, le 29 septembre 2020.
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23:43 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nouvelle Calédonie française : juste un répit en attendant la fin.
23:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chute des Bourses, déferlante de licenciements, récession... et ils parlent de « reprise » ?
Marc Rousset
Le rebond des marchés a tourné court, en septembre, avec un CAC 40 aujourd’hui à 4824,88. Il en est de même à Wall Street où le NASDAQ, le Standard & Poor’s 500 et le Dow Jones ont fini de progresser pour perdre, respectivement, 5 %, 3,9 % et 2,3 %. Depuis son plus haut de l’été, le NASDAQ a perdu 15 % et la bulle folle des GAFAM ainsi que des valeurs technologiques américaines pourrait bien continuer à se dégonfler, à défaut d’éclater subitement.
La pandémie semble reprendre dans le monde, mais les gouvernements occidentaux paraissent enfin avoir compris qu’un nouveau confinement généralisé serait la descente assurée aux enfers avec un risque de révolte des populations et une mort sociale, économique, budgétaire, financière assurée par création de chômage, assassinat des entreprises et hyperendettement menant tout droit à la banqueroute. Des espoirs très nombreux de vaccins dans de nombreux pays sont permis pour 2021, mais sans aucune certitude si ce n’est que les délais d’homologation sont beaucoup trop brefs et comportent donc des risques pour les populations.
La déferlante de licenciements dans les grandes entreprises a commencé : 9.000 emplois, soit 10 % des effectifs, chez Shell ; Disney, American Airlines et United Airlines ont annoncé, à elles seules, 60.000 licenciements en 24 heures. À très court terme, ce sont 100.000 postes qui sont menacés aux États-Unis. En Europe, on évoque 50.000 suppressions de postes. Les aéroports américains affichent une fréquentation en baisse de 60 % à 70 %.
En France, une récession de l’ordre de -2 % à -4 % pourrait bien avoir lieu au dernier trimestre 2020 en guise de reprise. La prévision de croissance de 8 % du budget 2021 par Bruno Le Maire semble très optimiste, avec des hypothèses sanitaires qui peuvent très vite devenir caduques. Quant à l’endettement, pour la France, de 120 % du PIB à fin 2021, ce sera un minimum, la seule certitude étant un endettement hors de contrôle.
« La reprise reste incomplète, incertaine et inégale », a rappelé, lundi, la présidente de la BCE, Christine Lagarde. La Fed et la BCE semblent, en fait, à bout de souffle. Le soutien des banques centrales a permis de sauver les meubles face à la crise sanitaire, tout en provoquant une bulle sur les marchés boursiers. Les facteurs fondamentaux déflationnistes sont tellement puissants que les tentatives de la Fed et de la BCE de créer de l’inflation pour diminuer le poids des dettes des États et des entreprises ont échoué.
À la BCE, la lutte entre les « faucons » menés par Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, et les « colombes » perdure : les premiers veulent mettre fin à la politique non conventionnelle en cours, ultra-accommodante, de création de 1.350 milliards d’euros, tandis que les seconds réclament une rallonge, voire sa pérennisation. Christine Lagarde se veut être une « chouette », symbole de la sagesse, afin de pouvoir trancher entre les deux camps, mais c’est en fait une « colombe » française mise en place par Macron qui risque, un jour, d’être complètement dépassée par les événements. Une explosion de la zone euro ou une scission en deux zones monétaires sera inévitable si la France et l’Italie continuent de se diriger vers la banqueroute.
L’actif du bilan de la Fed, qui représentait environ 10 % du PIB américain en 2000, en représente aujourd’hui 60 %, avec une augmentation continue du cours de l’or de 250 à environ 2.000 dollars l’once. Si les États-Unis continuent au même rythme de création monétaire, l’actif du bilan de la Fed devrait atteindre 150 % du PIB, en 2025, avec un cours de l’or à 7.000 dollars l’once. Powell promet que la Fed aidera « aussi longtemps que nécessaire ». L’argent gratuit va continuer de couler à flots, tandis que l’hyperendettement des États-Unis va s’accélérer. La prochaine crise d’une économie américaine sous perfusion sera monétaire, les investisseurs Warren Buffett et Ray Dalio se préparant à une inflation élevée à venir. Comme l’écrivait Céline, « on ne meurt pas de dettes, on meurt de ne plus pouvoir en faire ».
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12:34 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Des nouvelles du "Journal du Chaos" et de son rédacteur Patrick Parment
Depuis trois semaines, vous êtes nombreux à nous interroger pourquoi vous ne retrouvez plus chaque samedi sur ce site Synthèse nationale Le Journal du Chaos cliquez ici. Et pour cause... Depuis trois semaines son rédacteur, Patrick Parment, est hospitalisé suite à un grave "incident" cardiaque (rien à voir avec le coronavirus). Il "revient de loin" mais, rassurez-vous, le gaillard est solide et, grâce à l'efficacité des soignants, son rétablissement est en bonne voie.
Hier après-midi, Roland Hélie a pu lui rendre visite à l'hôpital où il est toujours en soins intensifs. Certes notre ami est affaibli mais il bouille d'impatience de retrouver son clavier d'ordinateur et la rédaction de sa revue de presse. Il faudra donc encore attendre un certain temps et, dès qu'il sera totalement guéri, nous reprendrons la publication sur ce site du Journal du Chaos, bulletin non-conformiste hebdomadaire qu'il rédige depuis maintenant six ans.
S.N.
12:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vincent Lapierre dénonce les mutilations barbares d'animaux...
Source Le Media pour tous cliquez là
11:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Comment se financent les associations véganes :
11:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Thomas Joly répond aux questions des adhérents du Parti de la France
Site du PdF cliquez ici
11:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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