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mercredi, 09 septembre 2020

Turquie : l’Europe face à un nouveau Munich

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Par Benoît Busonier*

Aujourd’hui, l’Europe est face à un second Munich. Dans le rôle d’Hitler, Recep Tayyip Erdogan. Rêvant publiquement de restaurer l’Empire ottoman, il a radicalisé sa population et fait disparaître les laïcs. Placé devant une situation économique compliquée, il se lance dans une fuite en avant guerrière. Comme toujours, c’est la Grèce qui est en première ligne. Les bâtiments turcs et leurs avions de combat violent régulièrement l’espace maritime et aérien grec. Recep Tayyip Erdogan a assumé ses propos : il dit vouloir tirer dans la tête d’un aviateur grec pour provoquer un incident et déclencher une guerre. D’un même mouvement, ses soldats attaquent avec des armes non létales les gardes hellènes qui protègent la frontière des migrants hostiles amenés en car par le gouvernement turc.

Le Charles de Gaulle a appareillé de Toulon avec son escorte. C’est notre flotte de bataille qui cingle vers la mer Egée pour défendre l’Europe. Certes, le modèle civilisationnel que défend Emmanuel Macron n’est pas celui des lecteurs de Présent : mais face à l’ennemi islamiste ottoman, il faut être fier que la France se tienne aux côtés des Grecs. Seule.

L’Allemagne, du fait de l’immense diaspora turque importée par Angela Merkel pour fournir des ouvriers à vil prix à l’industrie allemande, reste stoïque pour éviter les désordres intérieurs. Une trahison si les Turcs passent à l’attaque. Le comportement à venir des Américains reste une énigme : soit ils soutiennent la Turquie pour verrouiller le flanc sud de la Russie occidentale, soit ils soutiennent l’Europe pour éviter qu’elle ne sombre dans le chaos, ce qui leur fera perdre leur seul allié dans un monde où chaque sub-continent (indien, chinois, sud-américain) devient leur ennemi.

L’OTAN, plus que jamais, est une mascarade grotesque qui paralyse stratégiquement ses membres. Théoriquement au bénéfice des Américains, mais c’est de moins en moins vrai, tant les discrédits incessants finissent par leur porter préjudice.

Un élément clef dans l’engrenage diplomatique est la Russie. Là encore, impossible de connaître les intentions de Moscou, mais il est probable que Vladimir Poutine attendra la réaction des Américains pour agir. Si Joe Biden est élu, il est tout à fait inenvisageable que les Américains et les Russes se battent dans le même camp. Si Trump est reconduit aux affaires, en revanche, cela devient improbable.

La situation en mer Egée est gravissime. Peut-être est-ce la plus grave tension de- puis la fin de la Seconde Guerre mondiale. La France est seule avec la Grèce face au demi-million de soldats néo-ottomans. Le baril de poudre est en place, il ne reste plus qu’une étincelle.

(*) Extrait d’un article publié dans le quotidien Présent du 9/9/2020

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Nouvelle provocation de l'OTAN en Europe avec la complicité de Macron.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sous le nom de code "Partenaire noble" - ce qui signifie en langage washingtonien "supplétif obéissant" - les manœuvres militaires de l'OTAN américano-centrée qui ont débuté ce lundi en Géorgie constituent une nouvelle provocation contre la Russie considérée avec constance par l'administration US comme l'ennemi prioritaire bien avant la Chine. Autre élément déterminant de ce déploiement dans la république caucasienne, la volonté bien affirmée de diviser, d'affaiblir et donc de soumettre un peu plus l'Europe à l'emprise de l'empire étoilé puisque plusieurs forces armées des nations européens ont été sommées de s'y associer. Aux côtés de la Géorgie, de la Grande Bretagne et de la Pologne, la France de Macron participe malheureusement à ces exercices de grande ampleur, creusant encore le fossé entre la Russie et nous, selon le vœu américain.
 
Le départ de la France de l'Alliance atlantique sera pour l'Etat national une priorité aussi forte que doit l'être la fin totale de l'immigration puis son inversion, et la construction d'une autre Europe. Trois conditions majeures sans lesquelles la revitalisation française ne se fera pas.

01:57 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 19 septembre, en Savoie : conférence de Bruno Gollnisch et Jean-Michel Vernochet

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mardi, 08 septembre 2020

"C'est une fausse épidémie !" déclare le professeur Christian Perronne sur RMC

Le 31 août 2020, au Grand Oral des Grandes Gueules de RMC, le professeur Christian Perronne a dénoncé la propagande gouvernementale. Entre autres accusations, il a émis l'hypothèse que l'obligation du port du masque en extérieur est peut-être une manœuvre politique permettant de réprimer toute manifestation. Il rappelle aussi que de nombreuse études prouvent désormais l'efficacité du traitement hydroxychloroquine-azithromycine, et que la kabbale contre cette solution simple et peu coûteuse est organisée par la mafia big pharma afin pouvoir vendre un vaccin à tous les pays. En définitive il dénonce une corruption généralisée et mondialisée.

L'interview intégrale : ICI

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Les raisons du déclin selon Jacques Julliard

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Pour l’historien et essayiste, Jacques Julliard, le morcellement de la société française en groupes dissociés les uns des autres s’explique par le déclin concomitant de trois forces puissantes qui, quoique antagonistes, défendaient chacune une vision de l’universel : la foi catholique, l’esprit républicain et l’espérance socialiste.

Source : Le Figaro 07/09/2020

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lundi, 07 septembre 2020

La Fête bretonne du Parti de la France a remporté un franc succès...

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Plus de 150 personnes ont participé, dans une ambiance unitaire et détendue, dimanche 6 septembre à la traditionnelle Fête du cochon organisée par la Fédération bretonne du Parti de la France.

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était l'invité d'honneur. En début d'après-midi, il a pris la parole pour dénoncer la politique hasardeuse du gouvernement mondialiste et appelé à la mobilisation permanente des forces nationales et identitaires pour défendre la France française dans une Europe européenne.

Au début de son intervention Roland Hélie a demandé à l'assistance de se lever pour observer une minute de silence en mémoire de Pierre Sidos, fondateur de l'Œuvre française, décédé vendredi dernier, et de Roger Holeindre, président du Cercle national des combattants, qui nous a quitté au début de l'année. Laura Lussaud, déléguée du Parti nationaliste en Bretagne, a ensuite évoqué avec émotion et talent la vie et le combat de Pierre Sidos.

Notons la présence de notre ami Philippe Randa, venu en presque voisin, ainsi que celle de nombreux anciens responsables du FN. Félicitations à Jean-Louis Lebraud, délégué régional du PdF, et à sa sympathique équipe pour cette belle réunion amicale.

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11:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le corporatisme du XXIe siècle

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Bastien Valorgues. Europe Maxima cliquez ici

Quelques semaines après la fin du confinement en France est sorti un ouvrage collectif prévu à l’origine pour paraître au début du mois d’avril. Intitulé Réflexions pour un nouveau corporatisme, ce livre explore sous la houlette du rédacteur en chef d’Europe Maxima, Georges Feltin-Tracol et de sept contributeurs, les différentes facettes, historiques et contemporaines, de cette idée politique, sociale et économique.

Le corporatisme n’est-il pas pour autant une idée obsolète ? Au sortir de 1945, l’Europe récuse de manière explicite le concept, le mot et les théories qu’il recouvre. C’est si vrai qu’attaché au corporatisme d’association, la majorité des représentants du catholicisme social préfère employer l’expression plus neutre d’« organisation professionnelle » qui n’implique pas un système précis. Les auteurs démontrent tout le contraire.

Ancien bras droit de Giorgio Almirante, le chef du MSI dans les années 1970 – 1980, et co-fondateur d’un Institut d’études corporatistes à Rome, Massimo Magliaro oppose volontiers l’idéologie (systèmede pensée fermé et utopique) à la doctrine (système ouvert de valeurs s’incarnant dans une communauté qui fait sens). Ainsi considère-t-il le corporatisme comme une doctrine bi-millénaire dont les origines remontent aux collèges (de métier) de la Rome républicaine de l’Antiquité. Gabriele Adinolfi rappelle à propos du corporatisme que « la propagande de gauche l’a toujours utilisé pour indiquer l’égoïsme de catégorie qui rendrait la lutte collective impossible (p. 99) ». Il insiste en particulier sur l’expérience corporatiste du Ventennio mussolinien. Il explique qu’au plus fort de la grande crise de 1929, l’Italie fasciste bénéficie de « l’économie dans le monde qui a eu le moins de catastrophes de cette crise et qui a le plus protégé les groupes sociaux les plus faibles (p. 101) »… On comprend mieux pourquoi l’exemple italien a tant intéressé les économistes les moins conformistes.

C’est ce qu’avancent Jean-Gilles Malliarakis et Franck Buleux. « Se réclamer de la Corporation, note Jean-Gilles Malliarakis, suppose un regard critique de la Révolution française qui les a abolies (p. 29). » Le corporatisme de 2020 sait s’appuier sur un large ensemble théorique et pratique. Franck Buleux y voit donc le retour fécond de « l’homme-métier (p. 117) ». « Conservatisme contre libéralisme, corporatisme contre individualisme est le débat qui vient, celui qui définit le rôle du politique face à l’économique. Dans ce débat, le social, c’est-à-dire la défense de l’individu doit se joindre au politique. Le corporatisme c’est l’inclusion définitive de l’individu au sein de la société : même retraité, l’homme-métier doit rester partie prenante de la communauté dont il est issu, ne serait-ce que dans un souci de transmission (p. 125) ». Il poursuit que « la révolution corporatiste, celle qui remet le métier au milieu de la nation et l’homme (et la femme) au cœur des préoccupations sociales, doit représenter une nouvelle ère politique (idem) », d’où une « politique corporative » envisagée par Georges Feltin-Tracol.

Le corporatisme relève-t-il de la fameuse « troisième voie » ? Oui, estime Bernard Plouvier. Il inscrit même le « corporatisme tercériste » dans la veine plus générale du « populisme ». Dans un second texte, Bernard Plouvier en anti-libéral conséquent soutient avec raison que « l’État corporatiste a pour unique but de gérer le Bien commun aussi correctement que possible (p. 73) » Lecteur avisé de Carl Schmitt et de Charles Maurras (et de Karl Marx ?), Aristide Leucate observe que « le corporatisme comme troisième voie économique connaît un regain d’intérêt, voire d’actualité. L’articulation de la question des corps intermédiaires (piliers du corporatisme) avec la problématique globale de la démocratie, interroge sur la liberté, en général et donc sur la philosophie libérale ayant présidé à l’édification du modèle politique, économique et social français, depuis 1789. Plus précisément, il confronte ce modèle au miroir de ses propres contradictions (pp. 83 – 84) ». Sur la troisième voie et ses implications corporatistes, Daniel Cologne recense Pour la troisième voie solidariste. Un autre regard sur la question sociale de Georges Feltin-Tracol. Cet ouvrage ne se limite pas aux seuls aspects socio-économiques. « Ouvrant la voie à une Europe organique unissant ses nations et ses régions tout en respectant leur diversité, le solidarisme est la “ révolution nécessaire ” telle que l’ont pensée dans les années 1930 les non-conformistes Robert Aron et Arnaud Dandieu (p. 71). »

En introduction, Georges Feltin-Tracol traite longuement de « L’invention corporatiste à l’ère des individus massifiés ». Dans une analyse théorique fulgurante, il relie le corporatisme au créditisme, au distributisme, à la participation ouvrière, à l’association Capital – Travail, à l’intéressement des salariés aux fruits de leur entreprise, à la décroissance et même aux thèses d’économie biophysique… La démonstration y est percutante, mais bien moins que dans « Politique corporative ». Il y encourage le renouveau de l’homo hierarchicus dans une société holistique et par « un État d’ordres communautaires concrets (p. 131) ».

De plus en plus méfiant à l’égard du suffrage universel et très réticent envers les procédures référendaires, Georges Feltin-Tracol préconise un suffrage plus corporatiste tel qu’il s’applique à Caracas au moment de l’élection de l’Assemblée nationale constituante en 2017 ou de la City de Londres où le Lord-maire émane du choix indirect de cent-dix guildes ou « corporations ». On découvre ainsi la persistance du vote corporatif en 2020 !

Deux annexes, l’une de Firmin Bacconnier et l’autre de Louis Baudin, complètent l’étude non exhaustive de cette idée d’avenir. L’essai collectif, Réflexions pour un nouveau corporatisme, constitue par conséquent un excellent manuel de révolution socio-économique non marxiste et anti-libéral.

Réflexions pour un nouveau corporatismeGeorges Feltin-Tracol (sous la direction de), Synthèse nationale, coll. « Idées », 2020, 198 p., 20 €

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Chômage et déflation, puis effondrement et hyperinflation

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Marc Rousset

Alors que le FMI annonçait une croissance de 3,3 % en 2020, le monde connaîtra en fait une récession de 4,9 % et un possible rebond en 2021. La seule chose certaine, c’est que la production mondiale s’effondrera de 7,6 % en 2020. Tous les pays sont en récession. Le paradoxe, selon une enquête du Pew Research Center, c’est que les Européens du Nord, dont la situation économique est plutôt bonne, sont très préoccupés par l’année 2021.

Il y a 20 ans, le CAC 40 était à 7.000. Aujourd’hui, il est à 5.000, après avoir été à 2.401, le 12 mars 2003, pour remonter à 6.200, en 2007, et pour redégringoler à 2.519, le 9 mars 2009. Entre le 21 février et le 18 mars 2020, le CAC 40 a chuté de 40 %, en passant de 6.100 à 3.600. Le CAC 40 comme le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 devraient être beaucoup plus bas et ne sont maintenus aux niveaux actuels que par la création monétaire et un hyperendettement tous azimuts, tous agents économiques, la plupart des États souverains inclus.

Les entreprises du luxe représentent 30 % du CAC 40, soit plus de 500 milliards d’euros, et les valeurs technologiques des GAFAM, aux États-Unis, sont l’unique raison de l’envolée de Wall Street. Mais les arbres ne montent pas jusqu’au ciel et, pour la première fois, cette semaine, les grandes valeurs technologiques ont baissé, ce qui a pesé sur l’indice NASDAQ. Certains économistes ont évoqué le « moment Minsky », du nom d’un économiste américain d’origine russe, qui correspond, en fait, au moment où le prix des actifs est au bord d’un effondrement brutal. Mais le Système étant le dos au mur, prêt à tout, il est à peu près certain que la Fed et la BCE déverseront encore plus de liquidités pour éviter l’explosion de la bulle boursière.

Il reste à récupérer, pour les États-Unis, 10 à 20 % d’activité pour retrouver leur niveau d’avant crise. Sur les 20 millions d’emplois perdus suite au coronavirus, 41 % de ces postes seulement ont été recréés, selon le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin. Pour éviter un désastre social, Trump a mis fin aux expulsions de locataires jusqu’à fin 2020. Le résultat, c’est que ce seront les propriétaires de biens immobiliers qui seront en faillite, avec saisie par les banques, suite à leur impossibilité de rembourser leurs crédits bancaires. À moins d’une nouvelle injection d’argent gratuit par la Fed ou par le gouvernement américain pour indemniser les propriétaires, avec encore davantage de dettes…

En France, les déclarations officielles de faillite vont commencer à partir du 7 octobre, suite à la législation en vigueur. 3.500 milliards d’euros d’épargne liquide sont thésaurisés par les Français soucieux de l’évolution en cours. La pression à la baisse sur les salaires a commencé. L’industrie ne croit pas à un retour rapide à la normale ; le commerce s’attend à une consommation timide ; le bâtiment reste fragile ; le tourisme, l’aérien et la restauration ne voient pas le bout du tunnel.

Le spectre de la déflation avec une chute des prix hante l’Europe. Le taux de chômage va commencer à s’envoler. Si l’inflation disparaît complètement, la BCE n’aura plus d’autre choix que de créer davantage de monnaie et de rendre encore plus négatifs des taux d’intérêt déjà négatifs, ce qui ne s’est encore jamais produit dans l’histoire économique du monde…

Des Bourses qui augmentent aujourd’hui dans une ambiance pareille, c’est de la folie furieuse, de la bulle spéculative qui repose sur du sable. La seule possibilité, pour les banques centrales et les gouvernements, c’est donc de continuer la fuite en avant par la création monétaire, les taux négatifs et l’endettement. Goldman Sachs prévoit que la Fed n’augmentera pas ses taux avant 2025. Et soit les agents économiques prennent peur dès maintenant et on est dans le schéma « Minsky », soit l’immobilier, l’or et les actions continuent de grimper mais, à terme, seul l’or continuera de monter, en même temps que les monnaies devises perdront leur pouvoir d’achat, tandis que les actions, les obligations s’effondreront et que l’immobilier, bien réel, qui préserve habituellement de l’inflation, baissera lui aussi, mais dans une moindre mesure, si les locataires et les commerces sont de plus en plus dans l’impossibilité de payer leurs loyers.

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samedi, 05 septembre 2020

Pierre SIDOS, combattant historique de la cause nationaliste, est décédé

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Pierre Sidos en juin 2010 lors d'un banquet organisé par Synthèse nationale à Paris.

A la fin des années 1940, Pierre Sidos fut (avec ses frères François, Jacques et Henri) l'un des premiers à relever l'étendard du camp nationaliste en créant le mouvement Jeune nation. Celui-ci fut dissous, alors qu'il était à la pointe du combat pour l'Algérie française, à la fin des années 1950. Pierre Sidos participa alors au lancement du Mouvement Occident puis, en avril 1968, il créa l'Œuvre française qu'il présida jusqu'en 2010, année au cours de laquelle il en confia la direction à Yvan Benedetti. Fidèle à sa ligne nationaliste et catholique, il défendit toute sa vie les idées de sa jeunesse ainsi que la mémoire de sa famille qui a beaucoup donné pour la France. 

Un an jour pour jour après son frère François cliquez ici, il est décédé vendredi muni des sacrements de l'Eglise et entouré de sa famille.

A plusieurs reprises, il participa à nos réunions de Synthèse nationale et il m'invita aussi à certaines qu'il avait organisées.

Sa disparition suscite beaucoup d'émotions au sein du camp national. Qu'il repose en Paix.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Parmi les premières réactions :

Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national : La mort de Pierre Sidos concerne cette grande famille nationale et patriote que nous avons servie et guidée, à notre façon souvent différente. Et pourtant… Je salue sa mémoire.
 
Yvan Benedetti, successeur de Pierre Sidos à la présidence de l'Œuvre française : Pierre Sidos nous a quitté ce 4 septembre. La France perd un de ses meilleurs enfants et le nationalisme un de ses meilleurs soldats ! Tout au long de sa vie, son Honneur s'est appelé Fidélité : Fidélité à son nom et Fidélité à un idéal frappé de la Croix celtique ! Pierre Sidos ? Présent !
 
Thomas Joly, président du PdF : Pierre Sidos, figure historique du nationalisme français, a rejoint le ciel. Au nom du Parti de la France, je salue la mémoire de cet infatigable défenseur de la France éternelle. Paix à son âme.

Jean-François Touzé, délégué général du Parti de la France : Je suis loin d'avoir toujours partagé, tout au long de ma vie militante, l'ensemble des options de Pierre Sidos. Mais c'est une très grande figure du mouvement national qui vient de partir. Jusqu'au bout de ses forces il fut un combattant infatigable de la France française. Aujourd'hui tous les nationalistes portent le deuil.

Christian Bouchet, directeur des éditions Art magna : Décès de Pierre Sidos. Je l'ai énormément critiqué (je le regrette maintenant) puis j'ai fini par le respecter. Que le seigneur accueille son âme.

Maître Elie Hatem, l'Action française : Pierre Sidos n'était pas d'Action Française mais partageait avec elle un amour inconditionnel pour la Patrie. Le monde nationaliste perd un grand ami. Nous l'avions reçu à plusieurs banquets d'AF... dans un esprit d'amitié et de compromis nationaliste. Pierre Sidos ? Présent !

 

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Gazoduc, Novitchok et impérialisme américain.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'information est passée a peu près inaperçue. 
 
Début août, au coeur de l'été, les États-Unis, selon la méthode éprouvée du despotisme mondial dont ils usent sans retenue depuis un siècle, ont, par la voix de trois sénateurs proches de Donald Trump, menacé officiellement le port de Sassnitz sur la mer Baltique, base de la construction du pipeline germano-russe Nord Stream 2, de "destruction financière", faute, sans doute, de pouvoir user aujourd'hui des méthodes de jadis quand tant de ports et de villes européennes furent rasées. Cette mise en garde, appuyée par le Secrétaire d'État Mike Pompeo, intervient quelques mois après la promulgation d'une loi signée par le Président américain permettant d'imposer des mesures de représailles contre toute entreprise qui travaillerait à la réalisation de ce gazoduc. En conséquence de quoi, le chantier pourtant finalisé à 95 % est à l'arrêt total et le projet qui permettrait à l'Europe d'assurer en grande partie son indépendance énergétique pourrait être abandonné à la plus grande satisfaction de la technostructure américano-centrée.
 
Le but de cette nouvelle intimidation ? Il est triple : dissuader l'Allemagne pourtant bien timide dans ses velléités d'indépendance à l'égard de Washington de toute tentation d'émancipation européenne, éloigner le risque d'un rapprochement avec la Russie et conserver le contrôle des approvisionnements énergétiques avec l'aide de la Turquie et du Qatar.
 
C'est dans ce contexte qu'intervient l'affaire Alexeï Nalvany, du nom de cet opposant à Vladimir Poutine que le monde occidental aligné accuse d'empoisonnement. Hospitalisé à Berlin pour intoxication potentiellement mortelle au Novitchok, le dissident est devenu un enjeu majeur de la nouvelle guerre froide voulue par l'administration américaine. De nombreuses voix parmi les dirigeants allemands dont Norbert Röttgen, prétendant conservateur à la succession de l'actuelle chancelière, commencent à s'elever pour exiger d'Angela Merkel qui ne saurait y être insensible l'arrêt définitif du projet.
 
Résumons... Menaces americaines... Lois iniques accompagnées de pressions proches de la politique de la canonnière...  Nalvany empoisonné... Poutine coupable... Crise diplomatique... La Russie au ban des nations démocratiques... Le gazoduc fermé... Réussite totale pour Washington.
 
Énumérer les faits dans leur succession et la logique de leur enchaînement revient à poser clairement la vieille question romaine en forme de réponse : "Is fecit cui prodest" "celui là a fait à qui la chose profite".

10:39 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Michel Onfray défend Valeurs actuelles

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A propos de Jacques Doriot

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BULLETIN DE COMMANDE

 

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CANDIDAT NATIONALISTE & IDENTITAIRE À L'ÉLECTION PARTIELLE DU MAINE-ET-LOIRE (3e circ.), JEAN-EUDES GANNAT S'EXPLIQUE

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Source Breizh-infos cliquez ici

Militant identitaire et porte-parole de l’Alvarium, Jean-Eudes Gannat se lance dans la bataille des élections législatives. Il sera en effet candidat à l’élection législative partielle de Saumur Nord, les 20 et 27 septembre prochain.

Avec lui, l’élection législative partielle comptera sept candidats. Outre Daphnée Raveneau (EELV) et Patricia Peillon (LO), Anne-Laure Blin (LR), Guy Bertin (DVD), Adrien Denis (DVD), Patrice Lancien (RN) et Jean-Eudes Gannat (DVD) se disputeront le fauteuil laissé vacant par Jean-Charles Taugourdeau (LR), élu maire de Beaufort-en-Anjou fin juin. Il s’agit de la 3ème circonscription de Maine-et-Loire : Saumur-nord.

Nous l’avons interrogé alors que la campagne s’annonce brève.

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

Jean-Eudes Gannat :  j’ai 25 ans, je suis marié et père de famille. Après un parcours professionnel riche en rebondissements (j’ai beaucoup voyagé puis été viré plusieurs fois pour mon engagement politique, et n’ayant pas fait de grandes études, j’ai enchaîné les boulots précaires ou temporaires, de serveur à vélo taxi en passant par l’assurance, l’usine, le métier de croque-mort etc) je suis désormais à mon compte.

Militant nationaliste depuis plusieurs années, je suis aussi le porte-parole de l’Alvarium, implanté en Anjou.

Breizh-info.com : Tout d’abord, qu’est-ce qui explique l’élection législative partielle à laquelle vous vous présenter ? Quel bilan du député sortant ?

Jean-Eudes Gannat : Cette élection législative partielle a lieu car le député sortant a préféré laisser son siège à l’Assemblée Nationale pour rester maire de sa commune, en application de la loi sur le non-cumul des mandats. En 15 ans de mandature et 40 années de vie politique, Jean-Charles Taugourdeau n’a fait parler de lui qu’une seule fois, en déposant en 2013 120 000 amendements lors des débats sur la loi pour la transparence de la vie publique. Hormis cela, il aura été un député parfaitement inutile que l’Histoire et les Français ne retiendront pas, à l’instar de 99% des membres de l’Assemblée Nationale, de droite comme de gauche.

Breizh-info.com : Qu’appelez vous « un choix de droite authentiquement nationale, sociale et populaire » ?

Jean-Eudes Gannat : J’appelle cela élire un député imperméable aux pressions des lobbies, qu’ils soient financiers, maçonniques, LGBT ou antiracistes. Un député qui se battra bec et ongles contre le fiscalisme, la bureaucratie et la corruption. Un député de droite pour qui la justice sociale est primordiale et n’est pas laissée à la gauche. Élire un homme de droite authentiquement nationale, sociale et populaire, c’est aussi élire député qui s’est fait tout seul et ne dépend d’aucun parti, un député enfin qui soit viscéralement attaché à l’identité française et à la liberté d’expression, et qui ne se gênera pas pour bousculer tous les dogmes assimilationnistes, immigrationnistes, antiracistes, antifascistes etc.

Breizh-info.com : Le Rassemblement national n’est-il pas un obstacle à cette droite que vous appelez de vos voeux ?

Jean-Eudes Gannat : Le Rassemblement National est en stagnation électorale. De vecteur d’espoir, il est devenu l’incarnation du mythe incapacitant de « la victoire dans 5 ans ». Or chaque année qui passe nous éloigne d’une victoire électorale en raison de la démographie et de l’africanisation de notre pays. En dehors des élections, le RN ne fait rien en dépit des talents et des bonnes volontés - de plus en plus rares - qu’il comporte ; ni manifestation, ni revues d’idées, ni alternative aux élections. Et ses élus ne sont même pas les trublions anti-systèmes que les électeurs espèrent ; ils se conforment toujours plus au politiquement correct, comme on a pu le voir - entre autre - lorsque Valeurs Actuelles a été attaqué de toute part pour son dossier sur l’esclavage et Danièle Obono et que le RN s’est refusé à soutenir massivement les journalistes attaqués.

À bien des égards le RN est donc devenu l’équivalent du Chiraquisme autrefois ; une rente électorale auprès du pays réel avec des postures dures et le ventre mou. À la différence que Chirac au moins a fini par prendre le pouvoir…

Comme le RN ne change rien au quotidien des français, malgré de très bons éléments à sa base et une myriade d’élus, les électeurs s’en détournent et retournent à l’abstention ; cela laisse je crois, avec beaucoup d’efforts et de sacrifices, une place électorale à la vraie dissidence..

Breizh-info.com : Vous êtes par ailleurs engagé auprès de l’Alvarium, parlez nous de vos actions à ce titre ?

Jean-Eudes Gannat : L’Alvarium est un centre communautaire d’action sociale et culturelle. Nous organisons des maraudes auprès des SDF et nous aidons des foyers en difficulté. Nous proposons également différentes activités culturelles, sportives et métapolitiques. Enfin, nous menons des campagnes ponctuelles contre l’immigration, la robotisation, la dictature sanitaire etc. Nous possédons un local à Angers, lieu de vie et de rencontre, qui nous permet d’exercer toutes ces activités et de rencontrer nos compatriotes qui le désirent. Ces derniers temps nous enregistrons une ou deux adhésions par semaine, preuve d’une forte dynamique.

Breizh-info.com : La presse locale ne vous a pas épargné ces dernières années. Fait-elle réellement son travail d’information ?

Jean-Eudes Gannat : À notre égard comme sur d’autres sujets, la presse fait plus souvent son travail de laquais du Système que d’information, en dépit de journalistes parfois sincères mais prisonniers soit de leur naïveté soit du manque de liberté d’expression. Globalement, les mots d’ordres ces derniers temps semblent avoir été de nous ignorer pour éviter notre progression et diminuer notre notoriété. Mais les différentes campagnes diffamatoires qui ont précédé cela ont laissé des traces dans l’imaginaire collectif ; nous nous efforçons au quotidien de démentir ces racontars, sans nous excuser pour ce que nous sommes, simplement par notre action et notre persévérance. Cette élection à laquelle je me présente est l’occasion de remettre les points sur les « i » et de tordre le cou à un certain nombre de fantasmes nous concernant.

Breizh-info.com : Vous évoquez un pays au bord de la guerre civile, n’exagérez-vous pas un petit peu ? 

Jean-Eudes Gannat : J’exagère si peu que le socialiste Gérard Collomb lui-même a évoqué cette possibilité. La classe politique -RN compris- se berce d’illusion et refuse de parler de cette guerre civile vers laquelle nous allons, mais dans le peuple personne n’est dupe. Chez les immigrés non plus d’ailleurs. Attentats, affrontements ethniques, libanisation, agressions quotidiennes de la racaille immigrée, crise économique, corruption et explosion des fonctionnements mafieux ; comment pourrions-nous échapper à la guerre civile si nous continuons dans cette voie ? Ma plus grande crainte serait que cette guerre éclate et que nous sortions totalement de l’équation, comme à Dijon où Tchétchènes et Maghrébins se sont affrontés en sortant des armes de guerre sur le sol français sans que notre peuple fasse ou ne puisse faire quoi que ce soit…

Contrairement à ce que disent nos détracteurs, nous n’espérons pas cette guerre et nous sommes les seuls à pouvoir l’éviter par le retour à un régime propre et le recours à la remigration.

Breizh-info.com : Quelles sont, concrètement, les propositions que vous allez faire et mettre en oeuvre si vous êtes élu député à l’Assemblée nationale ?

Jean-Eudes Gannat : En tant que député non inscrit, je n’aurai pas la possibilité de faire voter beaucoup de lois. Cependant je pourrais déposer un maximum d’amendements sur les projets néfastes, alerter nos concitoyens sur ce qui se trame loin de chez eux, dénoncer les traîtres, être la voix de la France qui ne veut pas mourir, refuse les délires sociétaux, la culpabilisation ethnique et l’étouffement bureaucratique. Ces dernières années, Marion Maréchal Le Pen - quoique non inscrite - a été plus utile et marquante pour la mémoire collective que les centaines de députés jouissant de groupes parlementaires et de la complaisance médiatique depuis 30 ans.

Et bien j’ai le sourire moins charmant et la silhouette moins svelte que Marion Maréchal, mais je vous promets que si je suis élu, je saurais être aussi loyal qu’elle vis-à-vis de mes électeurs. Et n’ayant pas Marine Le Pen comme tante et chef de parti, je pourrais me montrer plus libre dans mes paroles et plus offensif contre les ennemis de la France.

Propos recueillis par YV

Lire aussi l'entretien avec Jean-Eudes Gannat dans le Salon beige cliquez ici

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Journal du chaos

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RAPPEL : DIMANCHE 6 SEPTEMBRE, ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, INVITÉ AU RENDEZ-VOUS BRETON DU PDF

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RENSEIGNEMENTS - RÉSERVATTIONS :

pdfbretagne@orange.fr

PRÉCISION : RÉUNION EN PLEIN AIR OU

SOUS BARNUMS GÉANTS EN CAS DE PLUIE,

DONC MAINTENUE...

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale,

prendra la parole au cours de cette fête bretonne.

Il y aura un stand de Synthèse nationale sur place.

vendredi, 04 septembre 2020

La République de Macron.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Née de la défaite de 1870 et des massacres du peuple parisien de la Commune, la troisième République dont Macron commémore ce vendredi les 150 ans de la proclamation fut tout au long de son existence une république bourgeoise, mercantile, cupide, affairiste et corrompue, coupée de la Tradition, hostile à l'ordre naturel, cosmopolite et dépravée.
 
Ni le concept de "revanche" soigneusement entretenu par les gouvernements successifs à fin de diversion, ni la grande aventure coloniale et l'immensité de l'Empire ne suffisent à en gommer les tares et les fautes. Régime profondément anti social, la troisième République ne se rapprocha du peuple que lorsqu'elle eut besoin de lui pour le conduire dans les tranchées quand vint le temps de la guerre civile européenne. Avant d'oublier ses combattants, ses mutilés et ses héros lorsque le moment du grand élan national fut passé et que celui, après le traité de Versailles, du début du règne américain fut venu.
 
République de faiblesse dans les années 20 et 30, le régime, celui des partis et des loges, ne subsista qu'en usant des pires méthodes policières, en matant sans pitié les légitimes mouvements sociaux et en faisant tirer sur les patriotes le 6 février 1934.
 
Incapable de mener une politique de paix par l'alliance avec l'Italie régénérée, détruisant peu à peu les moyens matériels et le moral de ce qui fut la plus forte armée du monde, immobile et inerte devant la montée des périls, cette République créa les conditions de l'effondrement de 1940 dont la France ne s'est toujours pas remise.
 
Voilà le régime que célébre aujourd'hui Macron. Il est vrai qu'il en incarne la triste continuité.

12:00 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le quotidien Présent d'aujourd'hui : un très bel article de Francis Bergeron sur le n°18 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Honoré d'Estienne d'Orves

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Francis Bergeron Présent cliquez ici

LE FAIT QU’UN DOSSIER sur Honoré d’Estienne d’Orves ait été publié par la maison d’édition Synthèse nationale, dans sa revue Cahiers d’histoire du nationalisme, est une très bonne chose. 

Ces cahiers sont tous d’excellente tenue, mais il faut reconnaître que, de Degrelle à Doriot, en passant par Drieu, la revue semblait vouée, pour partie du moins, à la réhabilitation de quelques figures « nationalistes » ayant choisi le camp allemand lors de la dernière guerre. La personnalité d’Honoré d’Estienne d’Orves vient nous rappeler que la Résistance, et tout spécialement la résistance militaire, fut un terreau d’abnégations patriotiques. Les figures des résistants nationalistes sont impressionnantes. Beaucoup d’entre eux y ont laissé leur vie. Jusqu’à une date récente, leur mémoire n’avait pas besoin d’être spécialement défendue : des timbres, des rues, des places, des lycées, des monuments, portaient leurs noms. Ils étaient honorés sans que leurs convictions ou leur passé aient quelque influence positive ou négative à cet égard. C’est leur action pendant la guerre qui était exaltée, et rien d’autre. 

L’engagement dans la Résistance mise en doute ou salie 

Mais les choses ont évolué. A la mort de certains de ces résistants (Jean Vallette d’Osia, Pierre Guillain de Bénouville, Henri d’Astier de la Vigerie, le colonel Rémy, notamment), leur origine droitière (le plus souvent royaliste) a été cachée ou minimisée. Parfois aussi c’est la qualité de leur engagement dans la Résistance qui a été mise en doute, ou salie par d’ignobles sous-entendus. 

Mais ces derniers temps la fameuse cancel culture va encore plus loin et tente d’effacer le souvenir même de ces hommes, y compris de ceux qui ont été déportés, voire fusillés par l’occupant. Ainsi des professeurs du lycée de Carquefou, près de Nantes, ont-ils tenté de s’opposer à ce que la région donne le nom de d’Estienne d’Orves à leur établissement. Ils n’ont pas eu gain de cause. Mais pour la promotion Loustaunau-Lacau de Saint-Cyr, c’est le ministère des Armées qui a reculé. Il ne fait pas de doute que les néo-censeurs reviendront à la charge. 

Honoré d’Estienne d’Orves est sans doute la plus emblématique des figures de la Résistance. Et il est donc précieux que les nationalistes de la nouvelle génération aient la possibilité de découvrir ainsi sa figure lumineuse, mais également ses convictions politiques et religieuses. Il existe plusieurs livres sur d’Estienne d’Orves : celui écrit par des membres de sa famille, celui de Guillain de Bénouville, celui d’Etienne de Montety. Et même si ces ouvrages sont un peu anciens à présent, la biographie de ce héros et ses écrits de prison sont parfaitement connus. 

Ses ancêtres, héros des guerres de Vendée 

L’ouvrage de Didier Lecerf est un peu différent, et très complémentaire : la partie biographique est une simple chronologie détaillée. Ses liens familiaux avec le commandant Driant d’une part, et avec les Lorgeril d’autre part, sont spécialement intéressants car peu connus. L’ouvrage rappelle aussi le pedigree d’ancêtres plus lointains, qui furent des héros des guerres de Vendée. 

Mais outre une importante partie iconographique, l’ouvrage nous offre d’abord une étude approfondie sur les convictions de cet homme « de la droite catholique, monarchiste et sociale, fidèle à Dieu, à l’Eglise, à sa patrie, à sa famille ». L’ouvrage rappelle ce qu’était le catholicisme social, et donne un aperçu des grandes figures de ce courant. Par ailleurs, il raconte, à travers son parcours, le drame des hommes de la Royale (dont était issu d’Estienne d’Orves), au cours de cette période de notre histoire. C’est sans doute la partie la plus passionnante du livre. 

Fidélités contradictoires 

Il en est de même des rapports entre d’Estienne d’Orves et l’Etat français. La complexité de l’époque est niée au fur et à mesure que l’on s’en éloigne. Mais Groussard, Loustaunau-Lacau, de Lattre et beaucoup d’autres ont illustré ces fidélités apparemment contradictoires et interpénétrées entre la Résistance et Vichy, en tout cas jusqu’à l’occupation de la zone libre. Henri Amouroux, dans sa Grande Histoire des Français sous l’occupation, a rappelé l’histoire de ces hommes qui « portent les premiers coups aux Allemands sans pour autant se dissocier toujours du Maréchal ». Et le tout premier acte de résistance n’a-t-il pas été une manifestation nationaliste d’étudiants, à l’Arc de Triomphe, le 11 novembre 1940 ? 

Didier Lecerf, dans sa préface, justifie ce cahier dans la revue de Synthèse nationale pour trois raisons que nous ferons volontiers nôtres : la « suprême leçon de grandeur » que nous donne d’Estienne d’Orves, l’appartenance évidente de cet homme « à la droite nationale, d’essence monarchiste, catholique et sociale », et enfin la démonstration, à travers son destin, de « certains réalités, loin des simplifications, des caricatures, des jugements péremptoires, à l’emporte-pièce, de notre époque volontiers manichéenne et moralisatrice ». Tout est dit. 

Honoré d’Estienne d’Orves, par Didier Lecerf, Cahiers d’histoire du nationalisme n°18, 2020, 200 pages.

Lire ce numéro de Présent cliquez là

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Valérie Laupies prendra la parole dimanche 6 septembre à la Fête de la Ligue du Midi

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L’Afrique prête pour la remigration ?

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Par Paul Vermeulen

Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affir- mer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant.

La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.

La France étant un pays insupportable aux yeux de nombre de militants noirs, « postcolonial », ou toujours colonial mais sur le territoire national, pensent-ils, « raciste », peu accueillant (l’observateur est en droit de se demander s’il rêve), il est une solution toute simple aux problèmes soulevés par ces Noirs malheureux en France : la remigration. Solution d’autant plus intéressante et envisageable qu’elle n’est en rien raciste ou xénophobe, et qu’il ne s’agit pas d’exclure. Il s’agit tout au contraire d’inclure les Noirs « afro-descendants » d’esclaves noirs ou d’esclavagistes noirs en Afrique.

Un retour aux sources qui ne peut que générer un enthousiasme délirant et qui ne devrait pas être entravé par la perte des nombreux avantages, sociaux, éducatifs, économiques, médicaux, etc., qu’il y a à vivre en France quand on est originaire d’une autre partie du monde.

Un retour aux sources d’autant plus d’actualité qu’il est revendiqué par des pays africains et que des ébauches de possibilité d’accueil se mettent en place. Les candidatures devraient donc vite être très nombreuses. Reste qu’il est urgent d’informer les populations militantes noires anti-françaises concernées.

La remigration est en marche et l’Afrique donne l’exemple. Ainsi, au Sénégal, le rappeur Akon a posé fin août 2020 la première pierre de la ville qu’il veut bâtir. Un projet estimé à six milliards de dollars, si- tué sur le site du village de Mbodiène, au bord de l’Atlantique, à une centaine de kilomètres au sud de Dakar. Un projet similaire est en cours de réalisation, « Wakanda », au Rwanda, une ville 100 % écologique. Coût estimé : cinq milliards de dollars. Les travaux étaient censés débuter en 2020 et la ville être terminée fin 2021. Pour l’instant, cela ne ressemble à rien. Cependant, l’heure est venue : la remigration est en route. Voilà qui devrait ravir Camélia Jordana, elle qui affirmait au Festival du film francophone d’Angoulême : « Il y a un énorme travail de décolonisation à faire dans ce pays. » Gageons que les militants noirs de France, soucieux de respect, amoureux de leur « race » et fier de leurs origines, n’hésiteront pas un instant à franchir la Méditerranée dans l’autre sens pour agir et non plus prononcer des mots creux.

Source : Présent 4/09/2020

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jeudi, 03 septembre 2020

Election partielle dans la 3e circonscription du Maine-et-Loire (20 & 26 septembre) : Jean-Eudes Gannat annonce sa candidature

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Jean-Eudes Gannat intervenant lors du Rendez-vous "Bleu Blanc Rouge" de Synthèse nationale en octobre 2019.

Un communiqué de Jean-Eudes Gannat :

Après quatre années d’engagement local au service des français, j’ai décidé de me présenter à l’élection législative partielle de Saumur Nord avec le soutien de l’Alvarium, afin de proposer aux électeurs un choix de droite authentiquement nationale, sociale et populaire.

Alors que notre pays n’en finit plus de s’enfoncer dans la crise économique et migratoire et semble être à deux doigts d’une guerre civile, je veux être à l’Assemblée Nationale la voix de la liberté d’entreprendre, de l’identité française, de la justice sociale et des campagnes oubliées qui meurent en silence. Tandis que les politiciens se contentent de se pavaner sur les réseaux sociaux et les plateaux de télévisions, les habitants de la 3e circonscription ont l’occasion avec moi d’élire quelqu’un qui agit dans le réel depuis plusieurs années, en dépit des persécutions politico-médiatiques, et qui les défendra sans faiblir face aux lobbies et à la bien-pensance.

Dans les jours qui viennent, j’irai à la rencontre des habitants pour leur présenter notre projet de redressement et notre message d’espoir pour la France.

La France est aux Français !

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LE PROGRAMME DE JEAN-EUDES GANNAT CLIQUEZ ICI

23:40 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On vit une époque formidable…

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Pieter Kerstens

Une époque où la caste médiatico-politicienne jette l’opprobre sur les victimes au prétexte qu’elles auraient « provoquées » les agresseurs et les meurtriers.

Une époque où les criminels bénéficient de la complaisance de la Justice qui applique une doctrine de l’excuse et l’alibi d’un milieu défavorisé au lieu des rigueurs de la Loi.

Une époque où les normes de la société, les règlements, les coutumes et les lois de la France sont bafouées impunément par des délinquants multirécidivistes.

Une époque où les forces de l’Ordre sont critiquées par leur hiérarchie, conspuées en permanence et attaquées avec des armes de guerre.

Une époque où depuis des décennies l’Etat n’assure plus la sécurité des citoyens dans 700 zones de non-droit, abandonnées aux mains de trafiquants et de religieux mahométants.

Une époque où les bien-pensants de la gôche caviar et de la droite cosmopolite refusent d’admettre leurs erreurs et nous mènent vers le chaos social, la dépression économique et le gouffre financier.

Une époque où les « élites » baissent les bras, où les enseignants dispensent des études idéologiques à nos enfants en maquillant l’Histoire selon leurs dogmes.

Une époque où les valeurs qui ont fait la grandeur de la France et de l’Europe sont vouées aux gémonies, comme l’abnégation, le sens de l’Honneur et la valorisation du travail.

Une époque où l’on condamne ceux qui combattent le mondialisme, la médiocrité, les mensonges de la seconde Guerre Mondiale et des conflits du Moyen-Orient, et aussi ceux qui contestent les doctrinaires du colonialisme, de l’esclavage et les tabous des camps de concentration.

Une époque où règne le « politiquement correct », où les minorités LGBTQ, pédomaniaques et invertis accaparent le pouvoir afin de donner libre cours à leur perversité.

Une époque où des adolescents font la leçon à des parents ignorants, au prétexte de « défendre la Planète », alors même que la Nature depuis des millénaires se passe des rodomontades.

Une époque où les khmers verts prétendent nous imposer leurs rêveries d’une transition énergétique et d’une mobilité durable, pour limiter les effets des gaz toxiques et du CO2, quand de 1990 à 2016, l’Europe a diminué ces pollutions de 22% ! (Source : Global Project Carbon).

Alors il est grand temps, mais il n’est pas encore trop tard, pour remettre l’église au milieu du village et entamer une réelle RECONQUISTA sur le terrain mais aussi dans les esprits.

C’est pourquoi il faut oser penser et oser agir, par tous les moyens, mêmes légaux !

Ceux qui nous font chier dans nos quartiers et agressent les plus faibles de nos concitoyens, cassent le mobilier urbain, brûlent des voitures au moindre prétexte et pillent les magasins sont le plus souvent des racailles et des crapules maghrébines et africaines.

Ces délinquants et criminels, trafiquants de drogues, faussaires, malfrats et voyous ayant un casier judiciaire long comme le bras monopolisent les rôles à chaque séance des tribunaux. Ceux-là doivent être mis hors d’état de nuire à la société, et vite !

Les pompiers, les médecins, la police, la gendarmerie, les conducteurs de bus ou de trams, doivent être respectés et ceux -ou celles- qui les injurient ou les agressent doivent être jugés, condamnés et rapatriés dans le pays de leurs aïeux après déchéance de la nationalité française.

Quant à la secte écolo-végano-climato-patinnetto-gaucho-sodomite, le moment est venu de la renvoyer dans les poubelles de l’Histoire !

 
 

17:59 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

50 ANS DES JOURNÉES CHOUANNES LES 5 ET 6 SEPTEMBRE

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Ne manquez pas nos cinquantièmes Journées Chouannes. Ces deux jours que nous vous proposons vous permettent de rencontrer de nombreux auteurs, et conférenciers, qui toute l'année, se battent pour vos idées. 

Plus d'infos et le programme des deux jours ICI

 
 

17:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pédocriminalité prédation et complicités.

Interview chez Anne Brassié pour son émission "Perles de culture" chez TV Liberté, du 24 juin 2020. Où on reparle de Matzneff et de ses comparses.

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14:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plan de relance : saupoudrage, illusions et vieilles recettes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sur 100 milliards d'euros financés aujourd'hui  en monnaie de singe mais que devront, en tout état de cause, rembourser les générations futures, le plan de relance de l'économie présenté par le Premier ministre, Jean Castex, n'en consacre que trois à la garantie d'Etat aux fonds propres des entreprises, seule mesure, si elle avait été ambitieuse, qui aurait permis aux entrepreneurs de faire face à la crise, d'investir et d'embaucher. Dans ces conditions, l'espoir de l'exécutif de 160 000 emplois créés dans les deux ans n'est qu'une vue de l'esprit. Quant à l'hypothèse d'un plan de réindustrialisation de la France et de relocalisation des secteurs vitaux de notre vie économique et de notre indépendance énergétique ou sanitaire, la modestie des sommes engagées montre bien que, pour le gouvernement, il ne s'agit en aucune façon d'une priorité nationale. Aucun plan, au demeurant - la nomination de François Bayrou au poste de Haut commissaire témoigne, par elle même, de son  inutilité - ne peut être établi par un pouvoir faible uniquement préoccupé de sa pérennisation et n'ayant, au mieux, de visibilité que sur dix neuf mois.
 
Tout le reste relève de la politique du saupoudrage et de l'art éculé d'accommoder les restes suivant les vieilles recettes politiciennes et par prestidigitation cuisinière en attendant le festin imaginaire de 2022.
 
C'est le grand retour des emplois aidés, du camouflage statistique des réalités du chômage, des chiffres masqués, des formations-cul de sac et des mythes pervers de la transition écologique fantasmée comme base incontournable de la nouvelle économie libérale, équitable, durable et universelle.
 
L'accompagnement social de la crise, lui, se fera a minima. "Cachons ces pauvres que nous ne saurions voir". 

11:58 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 septembre 2020

Cette épidémie ne vaut pas le sacrifice d’une génération

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Par Edouard Tétreau *

Si les Diafoirus modernes sont têtus, les faits et les chiffres récents de la pandémie le sont encore plus. Le CépiDc de l’Inserm montre ainsi que la surmortalité liée au Covid est devenue négligeable (entre 1,3 et 8,7 morts par jour vs 406 morts quotidiennes pour d’autres causes). Que l’âge médian des victimes est de 84 ans, soit 18 mois de plus que l’espérance de vie des Français. La base de données mondiale de la Johns-Hopkins University confirme ce phénomène dans tous les pays : oui, il y a une « deuxième vague », et, bonne nouvelle, cette vague est devenue largement inoffensive. On constate par ailleurs que le taux de mortalité de pays ayant mis en place des mesures très limitées de confinement sont à peu près équivalents au nôtre : les Etats-Unis, la Suède et le Brésil comptabilisent entre 51 et 58 morts pour 100.000 habitants ; la France, l’Italie et l’Espagne, entre 46 et 62 morts.

Bref, il serait temps, en particulier sur le front de l’économie, de reprendre une activité normale, tant les déséquilibres qui se creusent actuellement sont anormaux. En six mois, les Français ont enrichi leurs comptes en banque de plus de 100 milliards d’euros, épargnant comme jamais (taux d’épargne à 27,4 %, soit le double du taux moyen depuis vingt ans), et épargnant leurs efforts, entre le chômage partiel, le télétravail et ses télé-pauses, et les vacances. Enrichissez-vous par le non-travail et par l’épargne, comme ne disait pas Guizot.

Bombe à retardement

Cet argent venu de nulle part – des jeux d’écriture dans les banques centrales – trouve une destination très concrète : nos déficits publics et notre dette (120 % du PIB), que nous laissons de facto aux nouvelles générations. N’en déplaise aux économistes « boomers » qui ne voient pas où est le problème. Or, c’est là où le bât blesse : à cause des Diafoirus modernes, en médecine comme en politique ou dans certains médias, nous avons pris peur au point de moins investir et consommer. Et de ne plus donner de travail aux nouvelles générations : celles qui vont porter le fardeau des dettes du Covid, celles qui paient pour le confort de notre chômage partiel et nos 100 milliards d’épargne supplémentaire.

Le vrai danger de cette pandémie est la bombe à retardement, mondiale, d’une génération qui a joué le jeu de ses aînés – investissement personnel et financier, dettes incluses, pour étudier en vue d’un métier – et à qui on refuse jusqu’à un simple stage aujourd’hui. On ne stigmatisera pas les très grands groupes très rentables, même après le premier semestre 2020, qui ont gelé toute embauche, annulé des CDD, renvoyé des apprentis chez eux et supprimé des offres de stage puis usé de la facilité du chômage partiel. Les Diafoirus auront eu temporairement raison de leur confiance dans l’avenir.

Mais s’il y a un moment où il faut savoir prendre un risque pour son entreprise et son pays, c’est aujourd’hui. Les entreprises localisées en France, rentables, qui continuent de geler les embauches au moment où 700.000 jeunes arrivent sur le marché du travail, se tirent une balle dans le pied, sinon dans la tempe. Où se tournera cette génération sacrifiée, sinon vers les extrêmes de toute obédience et de toute couleur, pour mettre à terre une économie capitaliste qui se sera moquée d’elle – des études pour rien –, et ne lui aura donné aucun espoir – inaccessibilité au logement, au travail, à la constitution d’un patrimoine ? Les islamistes, les après-mondialistes, les communautaristes n’auront plus qu’à leur ouvrir grand les bras et engranger leur énergie, leur colère légitime. Et leurs suffrages.

Freins juridiques

Quel que soit le retard d’un plan de relance ambitieux, ainsi que les limites d’un pouvoir qui fait ce qu’il peut avec les ressources organisationnelles et financières limitées d’un Etat-balourd, c’est aux entreprises rentables de reprendre le flambeau. Si tant est qu’on leur laisse le droit de travailler (notamment dans l’événementiel, le tourisme, hôtellerie-restauration, ou encore les transports), et que l’on suspende les trop nombreux freins juridiques à l’embauche, elles ont entre leurs mains le pouvoir de remettre la nouvelle génération en selle – ou de la jeter dans la rue.

L’armée, hélas, n’est pas capable d’accueillir cette nouvelle génération, l’idée de service national universel n’ayant débouché sur rien de significatif, trois ans après son annonce. Les collectivités locales sont exsangues. Ce sont donc les chargés de recrutement des entreprises privées françaises, et, au fond, personne d’autre, qui détiennent les clés de la relance immédiate du pays et de son avenir. Au gouvernement de se mettre à leur service, en faisant taire les Diafoirus qui l’entourent. Et en faisant de l’embauche des moins de 25 ans une priorité nationale.

(*) Edouard Tétreau, associé gérant de Mediafin, un groupe de médias belge, vient de publier Les Etats généraux en 2022, aux Editions de l’Observatoire.

Source : Les Echos 02/09/2020

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mardi, 01 septembre 2020

Partick Jardin: Pas devant les caméras

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Patrick Jardin est le père de Nathalie, sauvagement assassinée par les islamistes au Bataclan, le 13 novembre 2015. Contrairement à beaucoup d'autres, les ours en peluche, bougies et autres marches blanches ne l'ont pas du tout apaisé. Il veut tout faire pour réveiller nos compatriotes, lutter contre l'islamisation et éviter de nouvelles tragédies du "vivre-ensemble".

"Pas devant les caméras" est le mot ahurissant que lui a dit Manuel Valls, alors Premier ministre, à qui il demandait des comptes. Eh bien, nous, nous allons mettre ce débat sur la place publique! Alors aidez-nous à faire connaître ce livre, véritable cri de colère et cri de douleur. Lisez et faites lire ce livre.

Vous pouvez le commander ici

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Témoignage de Vincent sur le port du masque obligatoire aux enfants de plus de 11 ans

Masques : collégiens, lycéens, étudiants, vous avez le choix

Face à la propagande actuelle, c'est un devoir qu'à notre génération d'agir, car le monde de demain dépend de nos actes d’aujourd’hui. Alors faisons le choix, ensemble, de refuser cette nouvelle mesure liberticide.

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Source : Vincent Lézac

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Les Gilets Jaunes défilent le 5 septembre pour demander la destitution d'Emmanuel Macron

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Après avoir ébranlé le pouvoir d'Emmanuel Macron en 2018, les Gilets Jaunes reviennent en force. Ils s'annoncent en pleine rentrée perturbée par le regain du coronavirus par une première manifestation, qui leur donnera l'occasion de demander ni plus ni moins la démission d'Emmanuel Macron.

Une série de rassemblements et cortèges, se dérouleront le samedi, 5 septembre 2020, à partir de 14 h, depuis la Maison de la Radio en passant par TF1, C8, France 24, Altice Media et se termineront devant le siège de France Télévisions, esplanade Henri de France à Paris, afin de porter les revendications suivantes :

1) Exiger que Macron soit destitué en raison d’un certain nombre de crimes que les Gilets Jaunes vont expliquer aux Français. Notamment, s’agissant de l’affaire Alstom qui relève de l’article 411-3 du Code Pénal, ainsi que, des frappes militaires qu’il a ordonnées sur le territoire syrien en avril 2018, qualifiées de crime d’agression par l’article 8 bis des Statuts de Rome sur la CPI.

2) Exiger que le Référendum d’Initiative Citoyenne à vocation législative et révocatoire, soit introduit dans la Constitution afin d’assurer un contre-pouvoir démocratique réel pour le peuple, que ce soit pour voter des lois ou mieux contrôler la représentation politique.

3) Dénoncer tous les régimes de sujétion économiques que subit la France, que ce soit par son rattachement illégitime à l’UE et l’euro, mais aussi, l’ingérence claire d’intérêts financiers et industriels dans les politiques publiques de la France dont Emmanuel Macron n’est à ce titre qu’un vulgaire chargé de mission.

4) Exiger une remise en cause majeure du traitement de l’information politique par les grands médias (sous entendu ils sont corrompus par des pouvoirs d'argent). "Nous considérons que la censure de certaines personnalités ou opinions politiques et la propagande (comme celle que nous subissons à propos du Covid-19) pour servir les intérêts politiques ou financiers d’un petit nombre de personnes, n’est pas admissible dans un pays qui se dit démocratique", expliquent les Gilets Jaunes. Et d'ajouter : "Nous savons que les journalistes sont pleinement conscients que les Français ne font plus confiance en leur indépendance et leur objectivité dans leur travail, et qu’une grande partie d’entre-vous souhaite enrayer cette crise de confiance. A ce titre, nous pensons que le premier pas consiste à nous rencontrer et discuter pour savoir quelles sont nos attentes et quelles sont les difficultés que vous rencontrez pour améliorer le traitement de l’information en France".

Le ton est donné. Les Gilets Jaunes sont de retour. Pour demander la destitution du président de la République. Ce retour conjugué à la catastrophique situation économique provoquée par le coronavirus, qui, par ailleurs, reprend de l'ampleur, est de nature à donner de grosses insomnies au locataire de l'Elysée.

Source : Afrique Education

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Manifestation contre le port du masque à Londres : le discours de David Icke

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18:53 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur"

 
La prise de parole de Robert F. Kennedy Jr à Berlin le samedi 29 août:
« Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre : parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. »

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«Ich bin ein Berliner»

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Source: E&R

 
 

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De l’art de confiner le rire

Confinerires.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Jean Picollec publie souvent ce qu’on n’attend pas de lui ; spécialiste habituellement des ouvrages d’information non-conformistes, souvent déplaisants pour certains esprits indélicats, il n’en a pas moins déjà été l’éditeur de recueil de dessins humoristiques, tels ceux de Trez, le dessinateur vedette de France-Soir du temps de son impression papier ou encore de Miège ou d’Innocent qui, en compagnie de Trez justement, nous offrirent en leur temps un « Impôt-pourri » en 96 dessins « pour se remonter le moral. »

Le moral, il en est justement question en cette angoissante année 2020 si mise à mal par l’épidémie de Coronavirus qui semblent bien avoir révélé davantage de fous, notamment à la direction des pays à travers le monde que de victimes réelles (à ce jour, l’épidémie n’a « toujours » fait que moins de 5 % de morts parmi les personnes infectées, n’en déplaise aux indécrotables hypocondriaques).

Et donc, quid de l’humour au temps du coronavirus ? Une mère et ses deux filles, Catherine, Peggy et Pamela, nous invitent à le découvrir en ayant rassemblées dans leur Confinerires les meilleurs blagues ou traits d’humour qui fusèrent et se propagèrent, plus vite que le virus durant les mois d’emprisonnem… euh, de confinement du printemps dernier.

Beaucoup d’images détournées et de dessins en couleur pour nous faire éclater de rire, beaucoup impossible à expliquer sans en dénaturer l’effet, mais voici phrases puisées ici ou là au fil des pages : « 17 mars 2020 : Vous voulez fermer les écoles ? OK, mais avec les enfants à l’intérieur ! »… « 25e jour de confinement : Mon groupe sanguin est devenu a-peritif »… « Télétravail… Famille… Pâtes riz »… « Bientôt, nous devrons aller chasser pour manger… et je ne sais même pas où vivent les lasagnes ! »

Remercions donc les dames Wajsman d’avoir confiné en 118 pages les meilleurs moments – ils ne furent pas si nombreux – de ces funestes mois passés… et saluons leurs générosité d’offrir intégralement leurs droits d’auteur aux causes défendues par « La voix de l’enfant » et « La fondation des Hôpitaux de France » (la plateforme www.gandee.com a été sélectionnée comme garant des versements de la part droits d’auteurs au profit des deux causes).

Confinerires, Catherine, Peggy et Pamela Wajsman, Jean Picollec Éditeur, 9,90 euros

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15:42 Publié dans Livres, Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |