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dimanche, 06 décembre 2020

Débat Florian Philippot face à Martin Blachier sur C News :

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vendredi, 04 décembre 2020

USA : les coulisses de l’élection américaine Biden-Trump avec Charles Gave

André Bercoff dans tous ses états... avec Charles Gave, Président de l'institut des Libertés, fin connaisseur de la politique américaine.

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Noel annulé : la stratégie du choc

L'annulation de noël relève d'une stratégie du choc et d'une guerre psychologique des gouvernements contre les populations.

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Communication et engagement public

Dans cette vidéo du 22 janvier 2019, le "commissaire à la grippe" belge Marc Van Ranst explique les technques de propagande trompeuses qu'il a utilisées en 2009 pour créer une hystérie de masse autour de la "grippe porcine" (pour la plupart inoffensive)

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Celui qui désarma la France

giscard.jpgPar Benoît Busonier

Personnene lui enlèvera une chose : il a été un précurseur. Lorsqu’il est élu présidentà 48 ans en 1974, il est une incarnation quasiment parfaite de la génération qui aura la vie la plus facile de l’histoire de l’humanité. Quasiment : parce que contrairement aux enfants du baby-boom, il faut reconnaître à Giscard le courage de s’être battu pour la France. Elève brillant à Louis-le-Grand lors de la libération de Paris, il s’engage dans la 1e armée française de De Lattre, combat comme canonnier dans un char, et reçoit la croix de guerre.

Il gardera toute sa vie un style athlétique et félin, dans son attitude et dans son verbe. Un beau contenant, mais pour quel contenu ? Cet esprit particulièrement affûté sera tombé dans tous les pièges de la modernité et aura posé les bases de la situation tragique dans laquelle la France se trouve actuelle- ment. Alors que le général de Gaulle et son successeur Georges Pompidou ont travaillé opiniâtrement à tracer une troisième voie pour la France, VGE est le président du grand relâchement. VGE : il se faisait volontiers appeler par cet acronyme qui lui rappelait JFK, rencontré en 1962. La France est devenue véritablement accro au poison de la mondialisation sous son septennat. Lui qui a fait Polytechnique et l’ENA a appliqué à la France une politique suicidaire à long terme.

Sur le plan sociétal, c’est le président du divorce, de l’avortement, de la fracturation de la famille, celui qui a préparé les ruines anthropologiques dans lesquelles prospéreront plus tard les idées socialistes, de Mitterrand à Hollande. Sur un plan économique et stratégique, c’est lui qui a ouvert grand la porte au surendettement, tué la banque de France, lancé la désindustrialisation massive, et préparé le terrain à l’euro. Enfin, c’est lui qui a autorisé le regroupement familial, début de l’immigration de masse, qui place la vieille Europe dans une situation pré-insurrectionnelle en ce début de millénaire.

Un jeune banquier, sportif parfaitement à l’aise dans la mondialisation, maîtrisant sa communication de campagne à la perfection, élu très jeune en jouant les centristes plus intelligents que les autres, européiste béat, et vendant la France à l’encan en souriant ? Valéry Giscard d’Estaing et Emmanuel Macron ont effectivement des parcours semblables. A quelques nuances près, et non des moindres, comme l’ancrage régional et local fort du premier en Auvergne, où il fut élu maire d’un bourg, et dont il dirigera la région pendant plusieurs mandats. C’est à son sujet que Raymond Aron a dit : « il ne sait pas que l’Histoire est tragique ». De fait, VGE est le visage rayonnant d’une génération qui a tout reçu, vécu dans un paradis où la sécurité et le plein emploi coulaient de source, et il est mort au moment des premières secousses vraiment dures du monde que lui et les siens ont créé. Il s’est même payé le luxe de devenir immortel en 2003, en n’ ayant guère écrit que des bricoles dénuées d’ intérêt.

Cet homme au style élégant, et qui a gardé ses vestes croisées, pantalons à pinces et pulls en V jusqu’à sa mort, est pourtant celui qui a désarmé la France dans la guerre perpétuelle qu’est l’existence des peuples, en « décrispant » son pays pour re- prendre son terme. En délocalisant, par exemple, le défilé du 14 juillet entre Bastille et République. Il voulait une France « cool ». Elle l’a été jusqu’en 2002 ; depuis, chacun constate que la crise économique, financière, le chômage, la désindustrialisation, l’islamisme, l’immigration de masse, l’érection de la Chine comme puissance mondiale, le retour du péri ottoman, l’extraterritorialité du droit américain, ces faits n’ont rien de « cool ».

Le monde redevient tragique. A-t-il jamais cessé de l’être ? Oui. Pour une seule génération, celle des Européens de l’Ouest qui vécurent entre les années cinquante et s’éteignirent cette dernière décennie. Valéry René Marie Georges Giscard d’Estaing, mari de Anne-Aymone Sauvage de Brantes. Il a mo- delé une France où les hommes portant des noms comme le sien n’existent plus. La France des élites intellectuelles et culturelles, aux noms magnifiques et à la classe aristocratique a presque disparu et il n’y est pas pour rien. Indéniablement il est en partie responsable par la naïveté de sa vision. Est-il coupable pour autant ? On laissera les lecteurs juger son œuvre, on laissera Dieu juger son âme.

Source : Présent 4/12/2020

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jeudi, 03 décembre 2020

Un médecin réanimateur belge licencié pour ses idées

Pascal Sacré, médecin réanimateur au Grand Hôpital De Charleroi (GHDC), a été renvoyé le 20 octobre 2020 pour "faute grave", apparemment en raison des idées qu'il partageait sur internet. Il critiquait la gestion belge du Covid-19, essentiellement sur deux aspects: l'utilisation faussée des tests PCR et de leurs résultats et la gestion libérale des hôpitaux qui ,depuis des décennies, a conduit à la situation actuelle. Ceux qui, comme Pascal Sacré, parlent aujourd'hui, osent briser le faux consensus, doivent être défendus et entendus. C'est ce que Kairos a décidé de faire, respectant ainsi la Charte de Munich, Déclaration des droits et des devoirs du journaliste, dont le premier devoir stipule: "Respecter la vérité, quelles qu'en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison, du droit que le public a de connaître la vérité".

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Source : Kairos

15:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

 

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15:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mort de Giscard. N'ayons pas la mémoire courte.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Quel que soit l'âge auquel elle survienne, la mort d'un homme est toujours regrettable.
 
Mais au milieu des hommages et des éloges, souvenons-nous que Valéry Giscard d'Estaing ce fut 48 ans d'ambitions effrénées suivis de 7 ans de "démocratie libérale avancée", de gestion dilettante de l'Etat, de laxisme judiciaire, de préférence économique de classe, de faiblesse et de dépendance  internationales, de lois "progressistes", d'engrenage immigrationniste, qui entraînèrent le début de la dislocation morale, sociétale, politique et identitaire française et ouvrirent tout naturellement la porte à l'arrivée au pouvoir d'un socialisme plus que radical. Ce fut ensuite 39 années de rancœur, d'introspection psychologique, de romans grotesques, 17 ans  de fauteuil de complaisance à l'Académie française et un long reste de vie marqué de tentatives ridicules de retour au sommet et d'engagement nationalicide européo-mondialiste.
 
De tout ce fatras subsiste quand même le haut fait de Kolwezi grâce au REP du colonel Erulin.
 
Sa disparition sera bien sûr pour nos compatriotes qui ont vécu les années 60 et 70 l'occasion de se laisser aller à une vague d'émotion et de nostalgie. N'ayons pour autant pas la mémoire courte
 
Dieu ait son âme. Mais sa mémoire est de celles que la France ne doit pas honorer.

09:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 décembre 2020

Fraude électorale : les patriotes ont toutes les preuves

Les preuves matérielle irréfutables s'accumulent contre le camp Biden. L'intelligence militaire impliquée contre la CIA.

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23:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le ministre de la Santé belge déclare que la fermeture des magasins était un «électrochoc pour la population»

«Faire du shopping ne comporte pas vraiment de risques quand tout est bien contrôlé. A un moment donné on devait prendre une décision choc. Il fallait vraiment un électrochoc». Ce sont les propos de Frank Vandenbroucke, ministre fédéral de la santé.

Voilà qui devrait ravir tous les commerçants qui ont perdu des sommes colossales en un mois…pour rien. Certains ont même mis fin à leurs jours. Si cette fermeture n’était pas sanitairement vraiment justifiée en Belgique, vous aurez compris qu’elle ne l’était pas davantage en France mais chez nous, aucun ministre n’aura l’honnêteté de le dire.

Dimanche, l’infectiologue flamande Erika Vlieghe avait confirmé au micro de la VRT que la fermeture des magasins était une décision politique, le shopping ne présentant sans doute pas de risque particulier si l’on évite de s’agglutiner et que l’on suit quelques règles.
Les explications du ministre de la Santé publique ont entrainé des critiques, entre autres de la part du président de la N-VA, dans l’opposition au fédéral.

Le vice-ministre-président flamand Bart Somers a quant à lui défendu la décision de fermer pour un mois les commerces non essentiels, « nécessaire » selon lui. « Notre système de santé était sous haute pression. (…) Nous devions intervenir de manière drastique et tout faire pour éviter les contacts », a-t-il estimé lundi.

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22:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ignace – Le vaccin anti-covid arrive !

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Dans son nouvel album, vous retrouverez les meilleurs dessins de l'année 2020. Un régal.

230 pages, env. 600 dessins, nov. 2020, 24€.

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16:30 Publié dans En dessins, IGNACE, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Virginie Vota – Loi pour la sécurité globale : vers un État policier ?

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15:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Message d'alerte du Professeur Perronne : Son avis sur le vaccin Covid19

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Christian PERRONNE​

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste >>, termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. 

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première. 

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. 

Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. 

Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement  pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2. 

L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. 

Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. 

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. 

La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. 

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. 

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour. 
Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers "vaccins" qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. 

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules. 
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN.

Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l'ADN de nos chromosomes. 

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN. 

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes. 
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. 

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. 

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie. 

C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Source : infovaccin.fr

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Du 11 au 13 décembre : 2e édition de la boutique éphémère des artisans enracinés... un rendez-vous parisien avant Noël à ne pas manquer.

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Après une première année particulièrement réussie, la boutique éphémère des artisans enracinés fait son grand retour en 2020. Du 11 au 13 décembre vous pourrez retrouver des artisans des quatre coins de France chez Kervreizh au 5 boulevard Edgar Quinet dans le 14ème arrondissement de Paris. L'occasion parfaite pour faire ses emplettes de Noël auprès d'artisans de qualité, proposant des articles issus de la plus longue tradition française et européenne.

12:04 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UNE DECISION FORMIDABLE !

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Pieter Kerstens

Ce n’est pas une blague : le Comité de concertation du gouvernement belge a décidé ce vendredi 27 novembre que pour les fêtes de Noël les couples (et leurs enfants) pourront inviter UNE SEULE autre personne !

Au choix : soit la grand-mère, soit le grand-père ; un frère ou seulement une sœur ; une amie (sans son copain) ; etc.

Outre Quiévrain les ministres ont perdu la tête. Et après la proposition de reporter Noël à l’été 2021 (quand il fera beau) de la part de l’infectiologue Frédérique Jacobs fin octobre, on pourrait maintenant supposer que le virus ne s’attaque plus seulement aux voies respiratoires, mais également aux capacités mentales des politicards.

Dans la course Européenne aux mesures restrictives et aux privations imbéciles, la Belgique consolide sa médaille d’or.

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Entretien avec Alain de Benoist

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Alain de Benoist dans son nouvel opuscule, La Chape de plomb (La Nouvelle librairie), traque les causes de la disparition de notre liberté d’expression et rappelle que la liberté de l’individu dépend de la liberté de son pays. Il s’entretient ici avec Françoise Bonardel pour le magazine Causeur du mois de décembre.

A lire ICI

10:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 01 décembre 2020

Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.
 
La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération -comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité - si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français.
 
Dans ses articles 7 à 19, la loi prévoit en effet de transférer en certaines circonstances toute une partie des prérogatives attribuées jusqu'à maintenant aux seules forces nationales de police et de gendarmerie.
 
C'est ainsi qu'un préfet pourra confier à des agents privés des missions de surveillance des personnes contre les actes de terrorisme, que le gouvernement sera habilité à prendre des ordonnances dans le domaine de la sécurité privée - autrement dit le droit de décider à sa guise de son emploi - et que les personnels privés pourront être armés. Personnels français ou pas puisqu'il suffira à un ressortissant européen non connu des services de police de pratiquer sans trop de difficultés la langue française pour être homologué, et que ceux venus d'ailleurs devront disposer d'un permis de séjour d'au moins cinq ans. Voilà qui est rassurant...
 
Cette loi renforcera également les pouvoirs des polices municipales sous le commandement des maires et de leurs adjoints. On se réjouit à l'avance de l'usage que pourront en faire les édiles rouges-verts et ceux sous influence islamogauchiste élus aux dernières Municipales.
 
La France avait jadis une police nationale et une gendarmerie habitées de tradition et de fidélité à l'État. Elle aura bientôt des officines de soudards et des agences de mercenaires.
 

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Le commander : cliquez ici

17:42 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Dessous de la Science – Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a récemment annoncé que des coupures d’électricité seront possibles cet hiver.

Floriane Jeannin et Nicolas Faure s’intéressent justement à la thématique de l’énergie dans « Les Dessous de la Science ». Le premier numéro de cette nouvelle émission dédiée aux sciences et à l’écologie aura en effet pour thème : « Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs » et s’attachera à apporter des éléments factuels d’analyse et de comparaison entre ces trois formes de production d’énergie.

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16:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Grand Reset : Christine Lagarde lance l'euro numérique - avec Olivier Delamarche

Marginalisation du rôle des gouvernements, suppression du cash, vie privée sous surveillance... préparez-vous à l'avènement de l'euro numérique. Le 1er novembre, la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a annoncé le lancement d'une "enquête d'opinion" pour savoir si les Européens seraient heureux d'utiliser une monnaie digitale. En réalité, la décision est déjà prise, c'est en tout cas l'avis de l'économiste Olivier Delamarche, qui voit déjà la BCE prendre le contrôle de nos vies.

Face à ces menaces, l'invité de "Politique & Eco" prodigue quelques conseils pratiques frappés au coin du bon sens !

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Source : TVL

 
 

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Xi Jinping encourage les pays du G20 à adopter une appli sur le statut COVID – avec isolement contraint à la clef

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La Chine communiste cherche à répandre son système de crédit social au niveau mondial. Le président chinois Xi Jinping a proposé aux dirigeants des pays les plus puissants de la planète, le week-end dernier, lors du sommet virtuel du G20, de mettre en place des passeports de santé numériques Covid-19 utilisant des codes QR, dans le cadre d’un plan visant à relancer les voyages internationaux et à assurer le « flux ordonné des personnes ». Le tout, bien évidemment, dans le cadre d’une « harmonisation des politiques et des normes » au niveau international.

La Chine a donc proposé un mécanisme mondial de reconnaissance mutuelle des certificats de santé basés sur les résultats des tests d’acide nucléique sous la forme de codes QR acceptés au niveau international, et fonctionnant au moyen d’une application pour Smartphone.
 
Xi a promis le soutien de la Chine au G20 « pour mener à bien une coopération institutionnalisée et construire des réseaux de coopération mondiaux pour faciliter la circulation des personnes et des biens ». Venant d’un chef d’Etat qui soumet sa propre population à des normes tatillonnes qui conditionnent leurs droits de circuler, acheter, voyager entre régions ou à l’étranger, à l’aide d’une surveillance appuyée sur l’intelligence artificielle, la proposition a de quoi inquiéter.
 
Xi Jinping estime également que le Covid-19 « a mis en évidence les déficiences de la gouvernance mondiale » : traduisez, la crise du COVID sert aussi à faire progresser ce mondialisme dont la Chine affirme depuis longtemps qu’elle en prendrait volontiers la tête.
 
« La communauté internationale est fortement intéressée à l’ordre international et à la gouvernance mondiale post-Covid, ainsi qu’au rôle futur du G20 », a ainsi déclaré Xi aux leaders mondiaux.
 
Cela fait déjà plusieurs mois que la Chine a mis en place un système de code QR assorti de trois couleurs permettant d’ indiquer le niveau de liberté auquel peut prétendre son porteur. Le code vert permet à une personne de bénéficier d’une liberté de mouvement maximale, tandis que le code orange signifie qu’elle doit être « mise en quarantaine pendant sept jours ». Le code rouge indique qu’elle doit « être mise en quarantaine par le gouvernement ou en auto-quarantaine pendant 14 jours ». Avec possibilité de mobiliser la police pour assurer le respect de ce dernier…
 
Pour obtenir un de ces codes de santé, les personnes doivent entrer leur « nom, leur numéro d’identité nationale ou de passeport et leur numéro de téléphone », ainsi que leurs antécédents de voyage, les contacts suspects avec toute personne infectée par le virus et les symptômes personnels indiquant la présence du virus. 
 
La version utilisée dans la ville de Pékin contraint également les utilisateurs à consentir à ce que le système opère sur la base de la reconnaissance faciale – omniprésente dans les villes chinoises.
 
Le New York Times, dans un article présentant l’application lors de son lancement début mars, affirmait découvert que le système « semble partager des informations avec la police, établissant un modèle pour de nouvelles formes de contrôle social automatisé qui pourraient persister longtemps après la fin de l’épidémie ». Et ce à l’insu des utilisateurs. Le journal précise que la police a été impliquée dans le développement du système.
 
Il est clair que ce type de système peut être facilement étendu à d’autres formes de surveillance et de « crédit social », notamment par la biais de l’identification des contacts : moyen rêvé pour le pouvoir de surveiller ou interdire les rassemblent de toutes sortes.
 
Il n’est pas nécessaire, en outre, d’imposer téléchargement d’une telle application par la contrainte : dès lors qu’il ne peut se déplacer ou faire des achats sans elle, le citoyen ordinaire n’a guère le choix.
 
Il faut savoir quelLes codes QR se répandent rapidement dans le monde entier. Ainsi, le gouvernement britannique a déjà décidé de mettre en place un code numérique permettant aux personnes d’accéder aux événements publics, selon qu’elles été ou non vaccinées contre le Covid-19.
 
L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a lui aussi lancé un appel en faveur de l’utilisation de codes numériques pour suivre le « statut de la maladie » dans le cadre des plans de relance des voyages internationaux après la crise mondiale du coronavirus.
 
Les premiers passeports numériques enregistrant le statut Covid-19 ont déjà été délivrés. Le CommonPass, développé avec le soutien du Forum économique mondial, a été lancé en octobre et permet aux passagers des compagnies aériennes de scanner un code QR afin de prouver le statut « COVID-19 négatif ».
 
Rien n’empêchera demain d’y associer le statut vaccinal – à moins que ces informations ne soient carrément imprimées dans la chair comme cela se profile avec le vaccin Moderna – bientôt produit en France – qui sous sa forme patch, permet d’injecter sous la peau des informations lisibles par Smartphone sur la date de la vaccination.
 
C’est dire que les injonctions de Xi Jinping ne viennent qu’entériner une réalité qui se répand déjà dans le monde dit libre.
 
Source : cet article est librement adapté de celui de Michael Haynes pour LifeSiteNews

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La face cachée des énergies vertes

Un documentaire d’Arte peut-il s’extraire totalement du discours servant le Système ? Non, et celui-ci ne fait pas exception. On ne s’étonnera donc guère que cette vidéo critique sur ce qu’on nous vend comme des énergies vertes ne le soit absolument pas sur la réalité du réchauffement climatique anthropique, auquel elles sont censées nous permettre de faire face.

Il aurait ainsi pu aller plus loin dans le traitement du sujet, en exposant la tartufferie de cette grande mascarade que sont le réchauffement anthropique et les moyens que l’humanité va pouvoir mobiliser pour limiter les dégâts (Eh oui, bonnes gens, nous n’en sommes plus à pouvoir inverser la tendance !).

Démasquer un Michael Bloomberg, qui vous exhorte à prendre les transports en commun pour sauver le climat ou la planète, quand lui-même parcours le monde dans ses jets privés (vous n’auriez pas assez de vos dix doigts pour les compter), se promène en hélicoptère (il en a plusieurs aussi), roule ou se fait conduire dans l’une de ses voitures, que l’on compte en dizaines. Mais ne soyons pas mauvaise langue, c’est probablement parce qu’il possède plusieurs demeures, que vous ne pourriez compter sur vos deux mains, à moins que la nature n’ait prévu le coup (de pouce).

L’un de ses jets faisait partie des centaines qui sont venus à Davos du monde entier, pour discuter des moyens à mettre en œuvres pour sauver le monde par l’économie verte. Avec Greta comme mascotte…
Une image valant un long discours, rions ensemble de la communication verte ayant prévalu lors de la COP23 à Bonn, lors de laquelle tous ces messieurs-dames ont pu circuler en ville grâce à des véhicules électriques. On ne dira pas que les grands de ce monde ne donnent pas l’exemple.

Une flotte de véhicules électriques à disposition, du pousse-pousse amélioré à la voiture de luxe (il faut respecter les hiérarchies), tout cela alimenté par une flotte… de générateurs électriques diesel pour les recharger.

Mais ne boudons pas notre plaisir, Arte explore certains aspects de l’arnaque des énergies vertes, et cela mérite d’être salué. Une vidéo disponible jusqu’au 22 décembre 2020.

Source : E&R

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Les dessous de l'Oligarchie : la fabrication des "jeans"

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Catholique et militant de la cause légitimiste, le journaliste Daniel Hamiche est décédé

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Le journal catholique Le Salon Beige vient de faire part du décès de Daniel Hamiche, qui s’occupait notamment de l’Observatoire de la Christianophobie, mais aussi de Riposte Catholique. Voici le message que l’on peut lire à son sujet :

"J’ai la douleur de vous faire part du décès ce matin de mon confrère Daniel Hamiche. Il était entré voici quelques jours dans un service de soins palliatifs.

Né le 1er octobre 1947, Daniel fut journaliste, blogueur, essayiste, éditeur… Engagé au sein du courant légitimiste, il rejoint, quelque jours après, le baron Pinoteau (décédé le 24 novembre).

Ancien maoïste, convertit au catholicisme au début des années 1980, il devint royaliste, fonda la revue Bourbons Magazine et la Feuille d’Information Légitimiste, devenue par la suite Le Légitimiste. Il est notamment l’auteur de La Passion de Mel Gibson de A à Z (Sicre, 2004), le traducteur de Kinsey le corrupteur, et d‘Être consommé de William Cavanaugh (Éditions de L’Homme Nouveau, 2007). Il travaillé pour plusieurs journaux, dont L’Homme nouveau, Famille chrétienne, Le Choc du mois, Monde & Vie

Fondateur du blogue Americatho, sur l’actualité religieuse aux États-Unis, il a été rédacteur en chef de Riposte-catholique ainsi que de l’Observatoire de la christianophobie. Il fut également président fondateur de l’« Amitié catholique France-États-Unis » et secrétaire-général de l’association Les Amis de Chesterton.

De 1993 à 2007, Daniel Hamiche assista régulièrement Serge de Beketch dans son Libre Journal de la France courtoise, sur Radio Courtoisie, avant de prendre la direction du Libre journal de Chrétienté".

Source Breizh-info cliquez ici

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Testée positive : histoire vécue

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La chronique de Philippe Randa

Une amie se sentant brusquement très fatiguée avec un mal de tête « à se la taper contre les murs » (alors qu’elle a rarement de migraines) et une douleur au genou, se rend chez son médecin traitant. Considérant la diversité des cas de Covid, il lui signe une ordonnance pour se faire tester… et lui prescrit du doliprane !

Test PCR passé, le résultat tombe 48 heures plus tard : positive ! Appel à son médecin qui lui enjoint de rester chez elle pendant 10 jours… et de ne rien prendre d’autres que du doliprane !

De toute façon, ses symptômes douloureux n’ayant duré que deux jours, « le troisième, en pleine forme, je taillais les haies du jardin ! »

Mais le jour même du résultat, elle reçoit un SMS de l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui lui rappelle les gestes barrières, l’isolement indispensable et… qu’un médecin allait l’appeler. Une heure après, le médecin téléphone pour s’enquérir de son état (ce qui était très gentil) et… lui rappelle les gestes barrières, de s’isoler dans une pièce toute seule, etc. et demande le numéro du compagnon (en pleine forme, lui !) avec qui elle vit.

« Il me dit de rester en isolement 3 jours de plus que la recommandation de mon médecin ! Ils ne sont même pas fichu d’être d’accord entre eux ! »

Le lendemain, nouvel appel d’un autre médecin de la Sécu qui lui laisse un message avec les mêmes consignes (gestes barrières, etc.), puis encore le surlendemain : « Un dimanche, à 8 heures du mat’, sympa ! Et pendant 11 jours, j’ai reçu 4 à 5 SMS (puis un seul !) pour m’enjoindre d’aller m’inscrire sur le site Covid ; quant à mon compagnon, il n’a jamais été appelé, ce dont il ne se plaint pas (euphémisme !)… »

En ce mois de deuxième emprisonnement national, les Français sont de plus en plus divisés sur la réalité de l’épidémie. Entre les hypocondriaques – traduisez « les bons Français » conscients des dramatiques réalités de la pandémie pour qui les cadavres s’accumulent et débordent même ! – et les inconscients complotistes – comprenez « les mauvais Français » perplexes devant les chiffres extrêmement bas de la mortalité du Covid-19 – qui vitupèrent que le « foutage de gueule » commence à bien faire, on ne le répétera jamais assez : « Quand on voit ce qu’on voit et qu’on sait ce qu’on sait, on a bien raison de penser ce qu’on pense ! »

Source EuroLibertés cliquez là

00:18 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’AZERBAÏDJAN ? QUATRE  MOTIFS DE  SATISFACTION  POUR ISRAËL

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

On sait que les États sont des monstres froids, et qu’en général ils n’ont pas « d’amis », mais seulement  des intérêts. Toutefois, il peut y avoir de rares exceptions. Mais ce que l’on appelle la « realpolitik », c’est-à-dire la défense d’intérêts égoïstes, reprend toujours le dessus. C’est ce que nous pouvons constater dans l’affaire de l’agression du Haut-Karabakh arménien par l’Azerbaïdjan chiite. Quatre bonnes raisons ont incité l’État hébreu à ne penser qu’à ses intérêts. Notons, avec amertume, qu’il n’est pas le seul dans le concert des nations, dont certaines, l’Allemagne fédérale pour ne pas la nommer, ont carrément tourné la tête pour ne pas déplaire au satrape d’Ankara.

1°) L’Azerbaïdjan du clan Aliev, est un pays musulman qui entretient des relations diplomatiques avec Israël. Notons que l’État juif n’en a pas tant qui aient ouvert des ambassades chez lui. Au Moyen-Orient, on les compte sur les doigts d’une main : l’Egypte, la Jordanie, bientôt Bahreïn et les Émirats arabes unis. En retour, l’ouverture d’une légation à Bakou était la bienvenue, tant la reconnaissance internationale de leur pays est une obsession des dirigeants israéliens.

2°) Les affaires ! Si les « petits cadeaux entretiennent l’amitié », le businessest un excellent moyen d’influencer un partenaire, sans compter que vendre des marchandises ou du matériel de guerre notamment, rapporte des devises. D’autant qu’Israël excelle dans la production d’électronique militaire et la fabrication de drones.

3°) Les peuples arméniens et juifs, ont été tous deux victimes de génocides au cour du XXe siècle, le siècle le plus meurtrier dans l’histoire de humanité. Israël, au lendemain de la seconde Guerre mondiale, dont une bonne partie de la population était composée de rescapés de la Shoah, - mais pas que -, a-t-il voulu conserver une sorte d’exclusivité du mémoriel, l’holocauste dans son exceptionnelle monstruosité, ne pouvant supporter aucune concurrence ? Dès lors, il semblait inconvenant pour lui, de venir au secours d’un peuple, le peuple arménien, ayant, lui aussi, terriblement souffert.

4°) Le fait que l’Azerbaïdjan, frontalier de l’Iran chiite, n’entretienne pas spécialement de bonnes relations de voisinage avec le pays des Ayatollahs, est un autre motif de satisfaction pour Jérusalem qui, on le sait, mène une guerre larvée contre Téhéran. Le récent assassinat du scientifique Mohsen Fakhirzade, spécialisé dans le nucléaire, imputé à Israël par le ministre des affaires étrangères iranien Mahammad Javad Zarif, s’ajoutant à une déjà  longue liste d’exécutions non élucidées mais attribuées au Mossad, - on ne prête qu’aux riches !-, n’arrange rien. Et c’est dans ce contexte que les velléités séparatistes des Azéris de la province de Tabriz, qui voudraient bien être rattachés à Bakou, s’inscrivent dans une vaste perspective géopolitique pouvant redessiner, un jour, les frontières de l’Iran. N’oublions pas que de novembre 1945 à mai 1946, fut proclamée une « République démocratique de l’Azerbaïdjan » sous la férule de Moscou. D’autant qu’à l’extrémité orientale du pays, plus de deux millions de Baloutches pourraient bien, eux aussi, revendiquer de s’unir à leurs frères du Pakistan qui avaient déjà proclamé leur « État » en 1947, faisant sécession du « pays des purs », sous l’égide du Khan de Kalat (1).

On le voit, les raisons ne manquent pas à Tel-Aviv de ne pas avoir les « yeux de Chimène » en faveur de l’enclave arménienne du Nagorny-Karabakh, renommée « République de l’Artsakh » par les nationalistes arméniens. Il est vrai que, comme pour les pays occidentaux, l’Arménie en général, le Haut-Karabakh en particulier, n’ont ni gaz , ni pétrole, simplement des églises chrétiennes pluri centenaires !

(1) Pour en savoir plus, lire  le « Dictionnaire des États éphémères ou disparus de 1900 à nos jours », éditions Dualpha. cliquez ici

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lundi, 30 novembre 2020

Les 4 France

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Par Georges Lafon *

La présente analyse suppose qu’il n’y ni deux, ni dix, mais quatre France de dimensions inégales qui cohabitent actuellement sur le territoire national

  1. Une France rayonnante, constitué du cœur des principaux pôles urbains métropolitains. Une France CSP+, incarnation de la start-up nation, cumulant les emplois qualifiés et les hauts revenus, dont la richesse produite ne ruisselle que dans ses environs immédiats. Une France pro-européenne, intégrée aux circuits de communication internationaux. Une France du pouvoir d’achat, sensible aux questions sociétales et qui mange bio. Une France qui vote Macron ou écolo en toute bonne foi.
  2. Une France attractive, bénéficiant avant tout d’un emplacement privilégié, autour des métropoles, des frontières suisse et allemande et des littoraux. Bénéficiant de ressources liées au tourisme, à des industries non délocalisées, à l’économie frontalière ou à la présence de retraités avec un bon pouvoir d’achat, le chômage et la pauvreté sont relativement moins élevés qu’ailleurs. Attachée à son terroir, cette France vote plutôt pour des candidats et des partis modérés et ancrés depuis longtemps sur ce territoire: Les Républicains, Parti Socialiste, Modem, UDI, Radicaux et plus récemment Verts.
  3. Une France oubliée, périurbaine et rurale, incluant les territoires d’Outre-Mer, tenue éloignée des grands centres urbains, industriels ou touristiques. Une France vieillissante, perdant des habitants, où les jeunes qui partent sont difficilement remplacés. Une France de petites villes et de campagnes, une France d’agriculteurs, d’ouvriers et d’employés, de petits entrepreneurs qui ont tous connu la précarité à un moment ou à un autre. Une France qui ne s’exporte pas à l’international, et où les touristes s’y font rares hors saison. Dans cette France qui respecte la loi et paie ses impôts, les Gilets jaunes furent appréciés et les ronds-points souvent occupés. Une France qui s’abstient massivement, ou vote de plus en plus souvent pour un parti contestataire (FI, ou le plus souvent RN) lors des élections.
  4. Une France perdue par la République, par l’accumulation de handicaps non résolus depuis 40 ans. Autrefois poches de misère appelées à se résorber par les effets conjugués de la politique de la ville et de l’éducation, de plus en plus de territoires basculent peu à peu dans une réalité qui s’affranchit des lois communes. Les problèmes de sécurité publique y sont devenus récurrents, des trafics s’y sont développés, le maintien de services publics apparaît de plus en plus aléatoire. Ces territoires « perdus de la République » (5), et parfois même « conquis de l’islamisme » (6), sont une terre d’accueil (par défaut) de populations et de familles paupérisées, déracinées, au faible capital culturel et social. La proximité géographique avec les centres métropolitains permet toutefois un accès à l’emploi (le plus souvent non qualifié) plus aisé que dans la France oubliée. Cette France de « quartiers prioritaires » et de « reconquête républicaine » a vu se développer de nouvelles formes et de contrôle et de gestion du territoire qui se sont progressivement substituées aux institutions républicaines. L’abstention y est massive depuis de nombreuses années, et les comportements électoraux résiduels semblent conditionnés par des pratiques clientélistes fondées sur des bases communautaires, ethniques et/ou religieuses. Cette France perdue est devenue une « terre de mission » à reconquérir voire à libérer.

On parle beaucoup des métropoles et des quartiers sensibles, mais finalement assez peu du reste du territoire, pourtant largement majoritaire. L’attention générale (et les fonds publics) est souvent portée davantage vers le rayonnement de la France et de ses grandes entreprises, ou à la gestion de ses quartiers défavorisés les plus visibles.

Or, la grande majorité de la population (40 à 60 millions) vit ailleurs. Dans cette France profonde, pacifique, légaliste et laborieuse, attractive et oubliée, constamment ignorée par les élites, invisible la plupart du temps, et pratiquement instrumentalisée lors des élections.

Partant de ce constat d’une France aussi divisée, comment imaginer réunir de nouveau les Français autour d’un projet fédérateur à même de transcender les différences et les divergences d’intérêt ?

La tâche du candidat populaire ne sera pas facile, mais accessoirement, son programme sera probablement le seul à même de réconcilier la grande majorité des Français avec eux-mêmes. De réduire le gouffre s’élargissant entre les métropoles et les territoires périphériques. De mieux répartir les activités et les ressources entre les territoires attractifs et les territoires oubliés. Et enfin, de résorber durablement les plaies ouvertes qui ont conduit à la perte de contrôle de quartiers entiers, et qu’il est urgent de raccrocher à la République. Mais impossible n’est pas français, n’est-ce pas ?

(*) Historien de formation, Georges Lafon est cadre dans la fonction publique, en charge de questions liées au développement économique.

 Source : site du Front populaire

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dimanche, 29 novembre 2020

L’or et les réalités économiques se vengeront des illusions boursières

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

Le Dow Jones a franchi momentanément, pour la première fois, la barre des 30.000 points, à Wall Street. Depuis l’investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2017, il a grimpé de plus de moitié. L’indice parisien est parti pour boucler son meilleur mois de novembre depuis plus de trente ans. Le sentiment dominant des boursiers, avec la probable nomination au Trésor de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, est que des solutions vont être trouvées pour tous les problèmes des sociétés occidentales.

Cette euphorie nouvelle repose, en fait, sur les potentiels des vaccins, sur l’assurance que tous les gouvernements dans le monde vont continuer à s’endetter de plus belle, sur les certitudes que les injections monétaires de la Fed et de la BCE vont continuer, que les taux resteront à des niveaux planchers pendant des années. En 1980, il fallait briser l’inflation ; aujourd’hui, il faut briser la déflation, quitte à choisir l’option démagogique de la théorie monétaire moderne et des hélicoptères monétaires.

Les réalités économiques présentes devraient, cependant, interpeller les boursiers. L’Italie maintient l’emploi sous perfusion avec interdiction de licencier et chômage partiel jusqu’au 21 mars 2021, afin d’éviter 600.000 licenciements. Aux États-Unis les banques alimentaires concerneraient 50 millions de personnes et plus de 7 millions d’enfants dans une extrême pauvreté.

La dette totale publique et privée des États-Unis devrait s’élever à 80.000 milliards de dollars à fin 2020, soit une augmentation de 9.000 milliards par rapport à 2019. En zone euro, la dette globale a augmenté de 1.500 milliards de dollars en neuf mois et s’élève à 53.000 milliards de dollars à fin septembre. Comment l’économie mondiale pourra-t-elle se désendetter à l’avenir sans des conséquences impossibles à supporter ? Le remboursement paraît impossible à l’économiste Jean-Jacques Rosa : « Je pense que nous assisterons à des défauts de paiement de pays et d’entreprises. Des accidents très sérieux sont devant nous. »

Quant à la BCE, elle alerte sur la vulnérabilité des banques européennes. La pandémie accroît le risque d’insolvabilité des entreprises et des ménages, ce qui fragilise leurs créanciers. Les banques vont bientôt faire face à 1.400 milliards d’euros de crédits à risques, susceptibles de mettre en péril le système financier. Plus les banques prêtent, avec un niveau de profitabilité trop faible de 2 %, plus elles prennent des risques pour leur propre stabilité. En Italie, les dettes souveraines représentent 19 % des actifs totaux des banques. Ce ne sont pas les vaccins qui vont faire disparaître tous les avis de tempête sur l’économie.

L’or vient de baisser à 1.800 dollars l’once, ces deux dernières semaines, soit une baisse d’environ 10 %. Cependant, de nombreux établissements financiers voient l’or à 2.300 ou 2.500 dollars l’once, en 2021. Selon un modèle très sérieux du rapport 2020 In Gold We Trustfaisant intervenir des hypothèses de croissance de la masse monétaire et des ratios différents de couverture en or par les banques centrales, l’or devrait coter 4.800 dollars, en 2030, avec un maximum possible à 8.900 dollars l’once. La réalité hallucinante, c’est que les Bourses s’envolent, fin 2020, alors que nous sommes dans une période de crise ! Tout cela se terminera par la récession et la déflation ou, beaucoup plus probablement, par l’hyperinflation. Que ce soit en matière boursière, économique, politique ou migratoire, l’inconscience et l’irresponsabilité caractérisent les sociétés occidentales.

13:21 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

BRUNO MÉGRET S'EXPRIME SUR L'ACTUALITÉ

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11:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Loi de sécurité globale : la macronie en dérive

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Par la rédaction de Front populaire

133 000 personnes ont manifesté aujourd’hui dans tout le pays contre la loi dite de « sécurité globale ». Dans le viseur des opposants, l’article 24 notamment, pénalisant la diffusion de l’image du visage d'un policier ou d'un gendarme en intervention. A Paris, comme il fallait s’y attendre, la manifestation a dégénéré.

Le syndicat de police alliance avait prévenu ce samedi qu’il y aurait de la casse, jugeant « irresponsable » le niveau de sécurisation de la manifestation parisienne contre la proposition de loi dite de « sécurité globale ». « Mobiliser 2000 membres des forces de l'ordre pour sécuriser une telle manifestation où l'on attend environ 40.000 personnes, c'est irresponsable pour la sécurité des manifestants et pour celle des policiers », jugeait ce matin Frédéric Lagache, son délégué général, avant d’expliquer que « les autorités s'attendaient à des infiltrations de gilets jaunes radicaux, voire des black blocs lors de cette manifestation à haut risque prévue de République à Bastille ».

Pas besoin d’être grand clerc effectivement pour imaginer ce qui allait se passer aujourd’hui : la manifestation parisienne a effectivement dégénéré en fin de journée et de cortège du côté de la place de la Bastille. La préfecture de police a dénombré 23 policiers blessés dans ses rangs, auxquels s’ajoutent 14 blessés chez les gendarmes et un total de 46 interpellations chez les manifestants parisiens en fin de soirée pour faits de violence, dégradations ou port d’armes prohibé. Comment aurait-il pu en être autrement, dans un contexte social extrêmement tendu en France ces derniers mois, voire dernières années si l’on pense à la colère des Gilets jaunes ?

46 000 personnes ont donc défilé à Paris selon le ministère de l’Intérieur. Partout en France, des manifestations ont eu lieu, dans environ soixante-dix villes. Au total, toujours selon l’Intérieur, 133 000 personnes ont battu le pavé ce samedi en France. Pour les participants, il s’agissait de contester la proposition de loi dite de « sécurité globale ». Dans le viseur des opposants : trois articles principalement. L’article 21 sur la transmission en direct d’images des caméras de policiers au poste de commandement du service concerné et leur exploitation, l’article 22 sur la généralisation de la surveillance par drones et le désormais fameux article 24 prévoyant la possibilité de pénaliser d'un an de prison et de 45 000 euros d'amende la diffusion de « l'image du visage ou tout autre élément d'identification » d'un policier ou d'un gendarme en intervention, si l'intention du diffuseur est jugée malveillante (notamment sur les réseaux sociaux).

Cet article cristallise toutes les oppositions au projet de loi, qui intervient dans un contexte de forte remise en question de l‘usage de la force par les forces de l’ordre que beaucoup estiment de plus en plus disproportionné dans l’hexagone. Il intervient aussi dans un contexte de violences policières décriées, dont certaines images ont récemment fait le tour des réseaux : le passage à tabac par trois fonctionnaires de police de Michel Zecler, un producteur noir de musique à Paris.

L’opposition à la loi de sécurité globale ne vient pas que d’associations ou partis classés à gauche, ou dits « progressistes ». Dans le camp souverainiste, des voix s’élèvent également. Anne-Sophie Chazaud, qui s’exprime régulièrement dans nos colonnes est montée au créneau. Partant du passage à tabac du producteur de musique, elle note sur sa page Facebook : « ces images sont de fait absolument inadmissibles et témoignent de ce que je dénonce, au risque souvent d’un désaccord réprobateur et moralisateur sur ma droite, comme étant la dérive de notre police nationale notamment depuis l’arrivée au pouvoir de la macronie ».

Elle poursuit : « je rappelle que j’ai immédiatement et sans la moindre hésitation attiré l’attention sur les dangers liberticides intolérables (mais également démagogiques en direction d’une droite suffisamment stupide pour ne pas comprendre l’usage politique que le pouvoir pourrait ensuite en faire contre elle-même) du fameux article 24 de la loi félonne dite de « sécurité globale ».

Et l’essayiste de conclure : « Je ne crois pas en la thèse indigéniste stupide d’un racisme systémique au sein de nos forces de l’ordre. Je maintiens en revanche que notre police, autrefois si républicaine et dont on nous enviait dans le monde entier le savoir-faire en matière de maintien de l’ordre, a été méthodiquement dé-républicanisée (…) par des mois de gestion violente, répressive et sanguinaire de l’opposition sociale et politique ». Peut-être est-ce d’ailleurs pour cette raison que le préfet de police de Paris, Didier Lallement, avait demandé avant la manifestation à ses policiers de « tenir la ligne républicaine ».

Illustration supplémentaire du malaise : l’hallucinant feuilleton autour du vote de l’article 24 à l’Assemblée nationale. Au sein même de la majorité présidentielle : seuls 103 députés LREM sur 271 ont voté pour. Et alors que le vote est passé, le Premier ministre propose la création d’une « commission indépendante » pour faire évoluer l’article 24. Résultat : colère de plusieurs parlementaires, dont celle du président de l'Assemblée nationale lui-même, Richard Ferrand (LREM). Dans Le Figaro, la présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée, Aurore Bergé, s'irrite également : « Le Parlement et la majorité parlementaire ne sont pas des paillassons sur lesquels on s'essuie. Nous serons condamnés à suivre l'avis de cette commission qui s'imposera à nous immédiatement. »

Le premier ministre a depuis tenté de rassurer en expliquant que cette commission n’avait pas vocation à faire le travail du Parlement, mais qu’elle devait servir à « nourrir la réflexion » du gouvernement.

A moins d’un an et demi de l’échéance présidentielle de 2022, il est intéressant d’observer que la question sécuritaire divise la macronie. Pour autant, le président de la République semble quant à lui droit dans ses bottes, manifestement prêt à assumer ce qui ressemble à une dérive autoritaire du pouvoir. Car comme le rappelle Anne-Sophie Chazaud : « Emmanuel Macron, aujourd’hui si choqué parce qu’un jeune homme (…), issu de la diversité, subit cette violence que l’on nous a vendue pendant des mois comme étant légitime, n’a jamais eu un mot ni éprouvé le moindre choc face à tous les Gilets jaunes éborgnés, estropiés, violentés de manière souvent arbitraire et abjecte ».

Source : site de Front populaire

 
 

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samedi, 28 novembre 2020

Sortie prochaine du n°19 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

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11:58 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |