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samedi, 29 mai 2021

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11:38 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Valérie Laupies à Thierry Mariani : “Allez, Zou, cassez-vous !”

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José D’Arrigo, rédacteur en chef du Méridional

“La seule personne qui soit susceptible de rassembler tous les souverainistes français et les gens de la droite nationale et populaire en 2022, c’est Eric Zemmour”, estime Valérie Laupies,  inspiratrice avec Jacques Bompard de “Zou”, la liste régionale “qui vous débarrasse du système”.

Valérie Laupies est un véritable animal politique de la Région sud. Une lionne qui se débat dans un marigot politicien sans jamais renoncer à ses convictions nationales. Voilà une directrice d’école située dans une zone d’éducation prioritaire de Tarascon, enseignante elle-même depuis vingt-neuf ans, qui devrait clairement être de gauche. Eh bien non, elle se bat contre le nivellement par le bas et le pédagogisme délirant organisés par les mammouths socialistes de l’Education nationale dans tous les établissements scolaires de France.

C’est elle qui a failli triompher du Garde des Sceaux Michel Vauzelle dans la circonscription d’Arles en rassemblant sur son nom 49 pour cent des suffrages. C’est encore elle qui a failli battre à deux reprises le maire de Tarascon. En 2020, elle n’a dû son échec qu’à la présence d’un envoyé spécial de Marine Le Pen, qui a obtenu 514 voix au second tour de scrutin, juste assez pour permettre à Lucien Limousin, le maire sortant, de l’emporter par 1967 voix contre 1607.

Il est vrai que Valérie Laupies n’est plus en odeur de sainteté au Rassemblement national où elle a longtemps été membre du bureau politique national. Mais sa proposition de présenter Nicolas Dupont-Aignan comme tête de liste du RN aux élections européennes n’a pas été du goût de Marine Le Pen qui a mis Valérie au piquet. Elle lui a envoyé une lettre recommandée avec avis de réception pour l’exclure du parti. D’où la brouille actuelle et le jugement sans aménité de Valérie sur Marine Le Pen :

“Marine fait des complexes par rapport à son père qui était très cultivé, dit-elle, c’est une femme qui n’a aucune colonne vertébrale et n’a pas vraiment de convictions bien ancrées. Elle suit les conseils de Florian Philippot ou de Jean Messiha et puis elle les jette comme de vieilles chaussettes. C’est la soixante-huitarde qui se laisse guider par un clan, celui d’Hénin-Beaumont. Et puis n’oubliez pas que Thierry Mariani a voté avec Nicolas Sarkozy pour l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne et qu’il s’est prononcé en faveur du traité de Lisbonne qui dépossède la France de sa souveraineté nationale. C’est Stéphane Ravier qui m’a savonné la planche. Il nous a envoyé Franck Allisio pour nous faire la leçon, mais on l’a accueilli comme un chien dans un jeu de quilles”.

135 candidats zemmouristes dans la Région sud

“Attention, souligne Valérie Laupies, je revendique mon total soutien à Eric Zemmour pour le cas où il se présenterait aux présidentielles de 2022, mais pour autant ce n’est pas lui qui nous a demandé  de présenter la liste Zou dans le sud.” Une liste qui sera présente avec 135 candidats dans les six départements de la région où Valérie Laupies et Jacques Bompard ne ratent pas une occasion de rappeler que Mariani est un fervent défenseur de l’Azerbaïdjan musulman contre l’Arménie chrétienne et qu’il a été le promoteur zélé d’une mosquée sur la commune de Valréas lorsqu’il en était le maire.

Comme Eric Zemmour, elle en a assez des partis politiques qui font mitonner leur petite soupe dans les arrières-cuisines. “Lui, il parle des sujets qui intéressent les Français sur l’identité française, la sécurité, l’immigration de colonisation et les gens boivent ses paroles”, affirme Valérie Laupies qui veut incarner dans cette élection le camp des “désespérés de la politique” contre celui des tartarinades.

Selon elle, les vrais nationaux se souviendront que Mariani, lorsqu’il était élu au conseil régional passait le plus clair de son temps à taper sur les élus du FN et ménageait le président Michel Vauzelle : “C’est l’opportuniste type, celui qui change d’avis comme de chemise, un caméléon auquel  les Provençaux diront : “allez, zou, cassez-vous, on n’a pas besoin  de vous !”

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Affaire de la fac de droit de Montpellier : un procès politique marqué par le courage et la dignité des prévenus d’un côté et de lourdes peines de prison requises de l’autre

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Richard Roudier, président de la Ligue du Midi

Premier coup de théâtre dans « l'affaire dite de la Faculté de droit », au premier jour de procès. Sollicitant une prise de parole « in limine litis » (à l'ouverture et avant toute défense au fond), Maître Demersseman, avocat des huit parties civiles ayant occupé illégalement la Faculté le 22 mars 2018, -cinquantième anniversaire de la création du Mouvement du 22 mars 1968 de Daniel Cohn-Bendit- arguant des nombreux défauts et du manque d’impartialité dans le déroulement de l'enquête et de l'instruction, quittait l'audience avec ses activistes.

Ainsi, après avoir geint devant la presse et mobilisé tout un Parquet et des dizaines de fonctionnaires de Police pendant des mois, craignant sans doute d'avoir à répondre de leurs propres infractions, ces révolutionnaires à géométrie variable claquaient la porte du tribunal et méprisaient l'institution judiciaire, préférant jouer les martyrs devant les caméras de télévision. Rappelons qu’ils avaient même demandé le « dépaysement », alors que tous les prévenus tenaient à un procès ouvert au public et à domicile.

Un des premiers enseignements de ce procès aura donc été la faible capacité de mobilisation de l’extrême-gauche obligée de compenser l’anémie de ses troupes par de faméliques cartons accrochés aux grilles du Palais de Justice.

Les auditions des prévenus purent donc néanmoins se dérouler avec un surcroît de sérénité et donner lieu à d'impressionnantes déclarations, toutes empreintes de courage, de dignité et d'élégance morale, tous ceux ayant agi ce soir-là revendiquant l'avoir fait par sens du devoir et pour apporter un indispensable secours aux « assiégés ».

On soulignera que les parties civiles, occupants illégaux de la fac parmi lesquels des malfaisants et des éléments au pedigree judiciaire chargé et en lien avec le réseau nuisible des squats, avaient en premier lieu et dans la soirée procédé à une évacuation violente des étudiants en droit opposés au blocage de leur Faculté ; ils avaient molesté et insulté ces étudiants et le personnel, frappé le professeur François Vialla, humilié un Doyen abandonné par son Président (Philippe Augé) et par le Préfet (Pouëssel) lequel avait refusé l'intervention des forces de l'ordre « quoi qu'il se passât ». Ce sont ces occupants dans lesquels le procureur de la république n’a vu que des « jeunes filles de vingt ans, endormies sur des bureaux » qui avaient été délogés fermement et les portes refermées au grand soulagement de toute la Faculté.

Second coup de théâtre avec l'arrivée à la barre du Doyen Philippe Pétel qui, mettant fin à une ligne de défense hésitante, finissait par reconnaître sa responsabilité dans la venue du groupe des « débloqueurs ».

Sept peines de prison requises par le procureur dont plusieurs « ferme »

Le Procureur Bélargent requerrait pour tous des peines de prison à hauteur de 1 ans avec une « gratification » à 18 mois pour le doyen Pétel.  Cela se traduit soit par de la prison ferme pour les auteurs de violences et du sursis pour les complices, le tout assorti de cinq ans d'interdiction d'exercer toute fonction publique pour les deux universitaires déjà iniquement condamnés par une instance disciplinaire délocalisée.

Tout ça avec pour seule explication : « On ne peut se substituer à la police ou à l’administration ». Que faire quand celles-ci sont déficientes ?

Plus fort encore : le procureur requiert un an de prison ferme contre un journaliste de la presse libre de ré-information qui nie toute participation depuis le début de l’enquête

Martial R. qui a toujours nié sa participation, que personne n’a vu sur les lieux, qu’aucune partie civile ni aucun prévenu n’a mis en cause, qui était présent alentour de la fac pour « couvrir l’évènement » en tant que journaliste pour Lengadoc-info… se voit assommé par un an de prison ferme. On aurait aimé que le procureur amène des éléments tangibles quant à sa présence à l’intérieur de la fac et nous explique ce qu’il entend quand il estime que ce garçon a géré « la direction matérielle du groupe ». En fait il s’agit d’une argutie peu compatible avec le droit. 

Mais Martial a le gros handicap de s’appeler Roudier.

Ces réquisitions délirantes, soviétoïdes …

…dignes de pays totalitaires démontrant une soumission aux déductions irresponsables de la presse militante ou aux ordres et au diktat de l'émotion instantanée, sont un signal supplémentaire et infiniment déplorable envoyé aux rares courageux de ce pays, qui s'abstiendront désormais d'intervenir quand leur conscience le leur commandera pour porter assistance aux personnes en danger, et passeront leur chemin. 

Même Médiapart qui ne fait pas vraiment partie du club des supporters des « débloqueurs » a titré ce matin : « A Montpellier, le procureur requiert lourdement contre « le commando » de la fac de droit ».

Lourd c’est lourd… d’autant que les parties civiles avant leur retrait ne pouvaient exciper que d’1 seul jour d’ITT !

Le jugement a été mis en délibéré jusqu'au 2 juillet 2021...

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Journal du chaos

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vendredi, 28 mai 2021

Le Préfet de l’Allier interdit notre manifestation à Moulins en hommage à Sainte Jeanne d’Arc et contre la dictature sanitaire. CQFD !

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Un communiqué d'Alain Escada, président de Civitas

CIVITAS avait déclaré bien à temps en préfecture de l’Allier une manifestation d’hommage à Sainte Jeanne d’Arc devant se dérouler ce samedi 29 mai 2021 à Moulins. Nous comptions également invoquer la sainte de la Patrie dans le cadre du combat que mène CIVITAS contre la dictature sanitaire. Sujet ô combien sensible et d’actualité puisque cette manifestation vient d’être INTERDITE !

Ce vendredi en fin de matinée, Jean-Francis Treffel, Préfet de l’Allier, a en effet signé un arrêté portant interdiction de rassemblement sur la voie publique à l’encontre de CIVITAS. Dans la foulée, des gendarmes se présentaient au domicile de notre correspondant local pour lui faire signer accusé de réception de cet arrêté d’interdiction.

Les motifs de cette interdiction sont un long mélange d’arguties juridiques alternant hostilité manifeste à l’expression publique de ce qui est religieux et prétextes d’ordre sanitaire toujours plus restrictifs. La dictature sanitaire n’est pas un mythe !

Ces derniers mois, d’autres préfets ont déjà joué ce jeu et nous avons saisi le Tribunal Administratif pour obtenir gain de cause à plusieurs reprises et avec succès. Mais le Préfet de l’Allier a joué cette fois sur les délais. La préparation logistique de la manifestation était prévue à partir de 9h du matin. Il n’y avait aucune chance pour que le Tribunal Administratif siège demain matin et rende sa décision avant cette heure-là. Et le temps nécessaire à notre équipe juridique pour déposer un référé liberté solidement argumenté en réplique aux différents motifs de l’arrêté d’interdiction n’aurait pas permis un traitement correct par le Tribunal Administratif aujourd’hui même. Au mieux aurions-nous pu obtenir un traitement à la va-vite, ce qui aurait bénéficié au Préfet par manque de temps pour exposer notre défense.

Nous avons également envisagé un repli sur un terrain privé mais l’aspect public de l’événement suffit à le faire tomber sous le même interdit.

Nous sommes donc contraints de renoncer à nous rassembler à Moulins ce samedi 29 mai.

Mais ce n’est que la première manche d’un bras de fer juridique qui s’engage.
Nous déposerons sous peu une nouvelle déclaration de manifestation pour une date qui vous sera bientôt communiquée. Et notre équipe juridique entend bien couper court par avance à tous les faux prétextes du Préfet de l’Allier.

Plus que jamais, nous comptons sur votre soutien dans cette lutte sans merci contre une tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire qui réduit de jour en jour nos libertés les plus fondamentales et nous prépare à la mise en esclavage.

Restez attentifs aux évolutions de ce dossier et à nos prochains appels à la mobilisation.

23:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Le troisième homme

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François Marcilhac L'Action française cliquez ici

Tout se met en place pour la prochaine présidentielle et, si nous étions républicains — hypothèse évidemment absurde —, nous ne saurions trop fulminer contre ce hold-up prémédité de l’élection. La messe est dite : ce sera un second tour Macron-Le Pen avec une victoire plausible du premier sur la seconde, moins bien qu’en 2017 mais comme en 2017 tout de même. Quant à la peur, instillée dans les médias contre une possible victoire de l’hydre fasciste, elle n’a d’autre fonction que de mobiliser très en amont ceux qui seraient tentés par l’abstention. D’ailleurs qu’il s’agisse de la gauche ou de la droite dite républicaine, c’est à celui qui, comme si son honneur en dépendait, appelle déjà à voter Macron au second tour de 2022. Ainsi, récemment sur France. Inter, pour Jadot, le présumé candidat écologiste, ou pour Benoît Hamon, le président de Génération.s (sic), qui a fini de saper la maison socialiste en 2017, le point ne se discute même pas, ce qui montre qu’ils s’inscrivent déjà dans le schéma médiatico-politique préétabli. Quant aux LR, qui hésitent, pour la prochaine présidentielle, entre disparaître et ne plus exister, on imagine mal que, quelques individualités mises à part, ils appellent à voter pour Marine Le Pen. 

Celle-ci ne ménage pourtant pas ses efforts pour se rendre aussi passe-partout que possible : dernièrement encore s’agissant de la Cour européenne des droits de l’homme, dont elle ne veut plus sortir, ne la considérant plus comme un obstacle à la réalisation de ses objectifs. Or, comme la CEDH n’a pas modifié d’un iota sa philosophie — disparition des souverainetés nationales et instauration de la démocratie universelle sur fond de dictature des juges —, cela revient à dire que c’est Marine Le Pen qui, de manière draconienne, a revu ses ambitions à la baisse. Tactique électorale sur fond de cynisme politique ? Ce serait peut-être lui prêter un esprit de calcul qu’elle n’a pas. De manière plus plausible, elle est convaincue, non sans quelque raison d’ailleurs, que les échecs précédents du camp dit national sont dus en grande partie à un discours anxiogène — Frexit, sortie de l’euro —, dont l’effet, sur un suffrage universel naturellement conservateur de l’existant, fut d’autant plus dévastateur qu’il était conjugué à un amateurisme évident. Aussi parie-t-elle sur un discours inverse, qui, loin d’inquiéter les Français et les élites, vise à acquérir en crédibilité ce qu’il perdra en vigueur. C’est ainsi que, sur fond de faux réalisme et de vrai manque de courage politique, le RN se conforme, au plan dit sociétal, au prétendu effet de cliquet. C’est ainsi aussi que, pour rassurer tant les élites que les marchés, elle proclame un attachement tout neuf à la CEDH. On voit pourtant où cet affadissement du discours, ces multiples redditions avant le combat, qui, au nom de la recherche d’un consensus mou sur de prétendus acquis sociétaux, reconnaissent à la seule gauche le droit légitime de diviser les Français, ont conduit la droite parlementaire ! D’autant que, comme en témoigne, par exemple, après quarante ans, la toujours grande popularité de la peine de mort, dont le rétablissement est pourtant rendu impossible par nos différents engagements internationaux, les Français ne semblent pas convaincus par la métaphysique de l’effet de cliquet.

Or, à force de ne plus faire la différence, on prend le risque de devenir insignifiant. Et de passer d’un discours anxiogène à un discours démobilisateur. Un équilibre est à trouver car, si la normalisation peut aider à casser le fameux plafond de verre, elle peut aussi avoir pour effet de décourager son électorat sans en gagner un autre. Car ce sera alors la compétence qui fera la différence : or le RN n’a jamais eu de responsabilités nationales. Ce ne sera pas, en tout cas, la promesse d’un quelconque référendum sur l’immigration, d’autant que la ou les questions posées, puisqu’il n’est plus question de quitter la CEDH, devront respecter les clous très contraignants de cette institution supranationale, très susceptible en matière de droits des migrants, réfugiés et autres clandestins. Autant dire qu’il s’agira d’un référendum pour rien. Tant que nos futurs gouvernants ne se souviendront pas que l’Europe n’est rien sans la France, une expérience populiste ne pourra y finir qu’en eau de boudin, comme en Italie.

Tandis que, contrairement à son engagement de 2017, Macron ne cesse d’abaisser la fonction présidentielle, notamment par un jeunisme sans surmoi, qui est surtout une profonde marque de mépris pour la jeunesse de notre pays, le principal handicap de la France est l’uniformisation, sur fond de médiocrité, de sa classe politique. La droite et la gauche partageant les mêmes tabous — l’Europe, les droits de l’homme, la soumission aux évolutions sociétales et à toutes les formes de minorités, le mondialisme, la nécessité de l’immigration —, tout discours qui s’en éloigne, si peu que ce soit, se trouve diabolisé.  Nul besoin dès lors de faire dans le conformisme, qui est un vrai tonneau des Danaïdes.

C’est d’un troisième homme que la France a besoin, dont la responsabilité historique sera d’assurer le passage. Il ne le pourra qu’en tenant un discours de vérité aux Français, qui se montreront plus réceptifs que le pays légal l’imagine. Rien n’est encore joué, contrairement à la certitude que veulent nous imposer les médias officiels.

14:18 Publié dans Présidentielle 2022, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourquoi le “Politiquement correct” criminalise la liberté de Penser

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Eric Zemmour

La ficelle était trop grosse et les inconvénients supérieurs aux avantages. il avait fait d’Audrey pulvar une victime et rassemblé la gauche autour d’elle. Darmanin n’a pas tergiversé : il a renoncé. son premier réflexe avait quand même été de porter plainte contre elle pour diffamation envers la police. Qu’avait dit l’impétueuse candidate socialiste aux régionales ? Que « la manifestation des policiers de la semaine dernière devant l’Assemblée nationale avait quelque chose de glaçant ». pas de quoi fouetter un chat ni même un poulet ! Darmanin aurait dû ruminer la formule ironique de Talleyrand : « Il faut se méfier du premier réflexe. C’est le bon. » bon pour révéler un caractère, celui d’un personnage comme d’une époque. Que nous dit cette réaction quasi instinctive du ministre de l’intérieur ? Qu’il est bien un politicien de son temps. Et que dit ce premier réflexe de notre temps ? Que les prétoires ont remplacé les hémicycles parlementaires comme ceux-ci avaient remplacé les prés des duels. bien sûr, pendant un temps, les modes de résolution des conflits peuvent cohabiter. Ainsi, le dernier duel entre élus date de 1967. Gaston Defferre fut le dernier grand politique à en user. Mais ce duel à l’épée était depuis longtemps passé de mode. Dès le XIXe siècle, on s’affrontait par le verbe et le talent oratoire à la Chambre des députés. Des tribuns comme Clemenceau ou Jaurès s’escrimaient avec les mots. Et les mots pouvaient tuer, en tout cas politiquement.

Depuis une ou deux décennies, le parlement s’est vidé totalement et de son rôle politique et de ses grands ora- teurs. C’est désormais dans les prétoires qu’on vide ses querelles politiques et idéologiques. incroyable détournement et incroyable transformation du débat intellectuel et idéologique.

On attaque en justice pour pouvoir ensuite ostraciser l’adversaire et l’affubler de l’infâme : « condamné par la justice » ou encore mieux : « multirécidiviste ». Comme si le condamné avait détroussé une vieille dame, alors qu’il a seulement exprimé un désaccord avec la doxa  dominante. On confond volontaire- ment délit avec « délit d’opinion ». On criminalise la liberté de penser et de s’exprimer. C’est la perversité profonde de cette évolution. On multiplie les lois qui incriminent les « délits d’opinion » au nom de la lutte contre les « discours de haine » ou les « discriminations ». On donne au magistrat un rôle inédit de juge politique de ce qui se dit et ne se dit pas, de ce qui se pense et ne se pense pas. On fait de la magistrature une cléricature oligarchique qui détermine les pensées autorisées et les pensées interdites. Dans notre tradition juridique, le juge est « la bouche de la loi ». On le transforme en bouche d’une religion révélée, la « bien-pensance ». Le combat politique n’est plus celui d’idées et d’idéologies qui s’affrontent, mais le combat manichéen du légal et de l’illégal, du bien et du mal. On ne veut plus convaincre mais ostraciser, on ne veut plus dominer mais condamner.

Source : Le Figaro magazine

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jeudi, 27 mai 2021

Philippe de Parseval, auteur du livre "Nos frères d'armes les Harkis", invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

 

Européens et musulmans ! C’est la désignation que les médias unanimement emploient au sujet de ces deux communautés. Il eût été plus juste de maintenir ces désignations "Français de souche européenne" et "Français de souche nord-africaine", tous étant Français des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine.

Pour défendre l'Algérie française, nombreux furent ces Français de souche nord-africaine qui s'engagèrent. On les appelait "les Harkis"... Plusieurs ouvrages ont été publiés sur ces soldats oubliés, trahis par le gouvernement du général De Gaulle en 1962, mais aussi oubliés par une grande majorité de Français qui, pour la plupart, ignoraient leur existence. Lorsqu’on assiste aux cérémonies de l’hommage national rendu aux Harkis le 25 septembre de chaque année, on constate alors, par leur absence, l’indifférence des Français à l’égard de ces sacrifiés de l’Histoire et le rejet de la responsabilité pleine et entière de notre gouvernement de l’époque et de ceux qui l’ont suivi dans ce drame.

Philippe de Parseval a la légitime prétention de réveiller la conscience des Français, anesthésiée par le politiquement correct qui gère l’instruction publique et l’information depuis un demi-siècle après ce qui fut la grande honte de nos gouvernants : l’abandon de nos soldats musulmans d’Algérie dont le plus prestigieux d’entre eux, le bachagha Saïd Boualem, fut un modèle de patriotisme.

Philippe de Parseval est aujourd'hui l'invité de l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et par Philippe Randa pour présenter son nouveau livre intitulé "Nos frères d'armes les Harkis" publié aux éditions Dualpha.

Pour commander ce livre cliquez ici

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LES PRÉCEDENTES ÉMISSIONS

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16:28 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution prochaine du n°57 de la revue Synthèse nationale. Commandez-le dès maintenant, abonnez-vous...

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Au sommaire :

P. 2 : ÉDITORIAL, Roland Hélie

P. 6 : SYNTHÈSE NATIONALE AUX CÔTÉS DES PATRIOTES

P. 10 : 1912 OU 2021, FALLIÈRES OU MACRON, Didier Lecerf

P.  13 : 40 ANS APRÈS LE 10 MAI 1981, Jean-François Touzé

P. 16 : À VOS BOURSES FRANÇAIS. Philippe Randa

P. 18 : À QUI PROFITE L'ÉPIDÉMIE DE COVID 19 ? Arnaud Raffard de Brienne

P. 24 : DE QUOI LE COMPLOTISME EST-IL LE NOM ? Patrick Parment

P. 28 : J'SUIS RÉAC ! Patrick Parment

P. 31 : TERRORISME ET IMMIGRATION, Franck Buleux

P. 38 : LES TURPITUDES BOBOCRATIQUES, Maurice Bernard

P. 50 : LES PAGES DU MARQUIS, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

P. 55 : SAUVER LE SOLDAT BACHAR, Pieter Kerstens

P. 62 : LES NATIONALISTES ÉCOSSAIS, Jean-Claude Rolinat

P. 68 : JUPITER & THANATOS, Charles-Henri d'Elloy

P. 73 : L'AFFAIRE DES FICHES, François Floc'h

P. 76 : LIVRES DU MOIS, Georges Feltin-Tracol

P. 85 : BIOGRAPHIES  LITTÉRAIRES , Daniel Cologne

P. 90 : LES GUERRES CONTRE MARS, Scipion de Salm

P. 96 : LES DÉRIVES SYMPTOMATIQUES DU  FOOT- BALL FRANÇAIS, Patrick Parment

Et bien d'autres rubriques...

Pour le commander en ligne cliquez ici

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16:27 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Si Clément Méric avait tué Esteban, il serait un héros, défendu par toute la gauche

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EXCELLENTE CHRONIQUE TÉLÉVISÉE DE PIERRE CASSEN SUR LE PROCÈS EN APPEL D'ESTEBAN

POUR LA SUIVRE CLIQUEZ ICI

16:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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10:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro (n°190) d'Eléments est paru

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En vente en kiosque et dans

les Maisons de la Presse : 6,90 €.

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mercredi, 26 mai 2021

L'Effet Nocebo : La peur comme mode de gouvernance.

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Mgr Viganò : « Le mensonge, emblème du diable. Il est de notre devoir de dévoiler la tromperie du Great Reset...»

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Après avoir lancé le débat sur l’héritage de Vatican II, exposé au grand jour les incohérences et les responsabilités de François dans la situation actuelle, et révélé la corruption qui sévit dans l’entourage du pape, Mgr Vigano est pratiquement le seul (et pas seulement parmi les catholiques) à dénoncer ce qu’il pense être la grande tromperie de la pandémie. Il le fait avec un grand courage, et de cela au moins, il faut le créditer. Qu’il ait tort ou raison, je ne sais pas, mais force est de constater qu’il s’égosille en pure perte, sa voix – qui pourtant a autant d’autorité et de poids que celle des innombrables faussaires qui se répandent de toutes les chaires pour nous embrigader – résonne dans le désert. Même les catholiques conservateurs (qu’on ne me dise pas que ce mot ne s’applique pas à l’Église, si on la considère comme une organisation humaine, il s’applique, et pas qu’un peu !) le boycottent, quand ils ne le font pas passer pour un illuminé.
Il s’est exprimé récemment à travers trois lettres, toutes relayées (en Italie) sur les blogs de Marco Tosatti et d’AM Valli, mais ignorées par les médias et la quasi-totalité des blogs.
Je les avais traduites au fur et à mesure, pour moi, sans les publier – ce qui représente un travail non négligeable de relecture, de remise en page et de correction, même si la langue est fluide et donne d’assez bons résultats en traduction automatique, avec le risque de faux sens lorsqu’il y a des expressions idiomatiques, et bien sûr l’absence d’explications lorsque le prélat fait référence à l’actualité de son pays.
Bref, le moment est venu de lire ce que Mgr Vigano a à nous dire sur ce sujet. Sans doute y a-t-il des excès, des surinterprétations, des comparaisons discutables, bref, des points faibles (en particulier dans les sources). Mais d’une part, personne ne peut douter que Mgr Vigano est un homme de foi profonde, et surtout, il est presque impossible, sauf à être d’une absolue mauvaise foi, de rejeter d’un bloc son analyse, au moins dans sa partie profane, tellement elle est corroborée par les faits mêmes que nous avons sous les yeux et que les médias mainstream sont parfois obligés de reconnaître aujourd’hui (voir par exemple la responsabilité de la Chine et le virus « échappé » du labo de Wuhan, d’emblée rejeté comme hypothèse complotiste, mais aujourd’hui reconnu par rien de moins que… Le Monde ! )

Voici donc les trois messages, datés respectivement du 25 mars Tosatti; du 8 mai Valli; et du 20 mai Valli. Ils se recoupent en partie, il y a sans doute des redites. On n’est pas obligé de les lire d’une seule traite, encore moins de les prendre en bloc. Mais il n’est pas interdit de réfléchir (et il est même permis d’être intelligent, selon la formule du Professeur Raoult – autre voix réduite au silence, qui sait pourquoi ?)

20 mai: Mgr Viganò : « Le mensonge, emblème du diable. Il est de notre devoir de dévoiler la tromperie du Great Reset »

8 mai: Le seul vrai Great Reset est le retour à Dieu

25 mars: Vigano, la pandémie. Le soupçon d’une troublante conspiration criminelle

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La PMA : une pratique EUGÉNISTE

Aude Mirkovic, porte-parole de l'association Juristes pour l'enfance, nous en dit plus sur les dessous de la PMA et du projet de loi bioéthique. 

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Source: VA

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Toujours plus de démagogie

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Xavier Eman

« Jupiter » est redescendu sur terre. Et au ras de pâquerettes même ! En effet, Emmanuel Macron s’est adonné ce week-end à un exercice de « séduction de la jeunesse » particulièrement grotesque qui décrédibilise et dégrade encore un peu plus – si tant est que cela soit possible – la fonction présidentielle.

Jamais en retard d'une stratégie de haut niveau, le Président Macron a en effet cru bon d'inviter à l'Elysée deux (plus si) jeunes « youtubeurs », très populaires, « MacFly et Carlito », afin de participer avec eux à un « concours d'anecdotes » diffusé dimanche 23 mai et déjà visionné près de neuf millions de fois.

Ceux qui penseraient qu'en ces temps de crises multiples - à l'heure où des policiers tombent sous les balles des voyous et où l'économie nationale retient son souffle - le premier personnage de l'Etat devrait avoir autre chose à faire, sont des tristes sires et des rabat-joie qui ne comprennent pas l'urgence de« renouer le dialogue avec la jeunesse» à travers ce genre de « happening » humoristique et « sympa ». Car apparemment, en tout cas selon l'avis des experts en communication présidentielle, la « jeunesse » ne peut comprendre que la gaudriole et le divertissement bas de gamme. C'est dire en quel degré d'estime on la tient.

Au programme de cette improbable rencontre avec les deux « humoristes », toutes baskets et bonnet rutilants sortis : blagues sur le foot, passionnantes anecdotes de vacances ou de concerts, et même quelques « écarts de langage » du Président (quelle transgression audacieuse !).

Pendant près de 40 minutes, Emmanuel Macron a donc ainsi fait face aux deux youtubeurs, chaque protagoniste devant raconter une anecdote, charge à « l'adversaire » de déterminer si celle-ci est vraie ou fausse. A l'issue de cette « joute » digne d'une cour d'école, le président de la République s'est engagé à mettre en évidence sur son bureau une photo des deux « influenceurs » (6,6 millions d'abonnés à leur chaîne youtube) lors de l'une de ses prochaines interventions télévisées. Rappelons que « MacFly et Carlito » ont bâti leur succès sur des vidéos du type « On dit des dingueries dans le micro d'une grande gare », « On fait des trucs idiots à ne pas reproduire chez soi », « On appelle des gens au hasard dans nos téléphones » ou « On dort chez un de nos abonnés...»...

Et dire que certains naïfs à droite s'étaient enthousiasmés lors de la prise de fonction d'Emmanuel Macron en parlant de « retour à la verticalité » et de « restauration » de la fonction présidentielle!

Tout au contraire, le mari de Brigitte n'est parvenu qu'à faire davantage dégringoler l'image de l'autorité républicaine suprême, l'abaissant jusqu'au plus parfait ridicule, à force de démagogie, de clientélisme, de« marketing » et de volonté assez pathétique de « faire jeune et moderne » en tentant de coller au plus près des modes les plus imbéciles et vulgaires du temps. Bienvenue en idiocratie !

Source : Présent 26/05/2021

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La France périphérique, un mythe à oublier ?

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Depuis plusieurs années, l’idée d’une France coupée en deux s’est imposée dans le débat public, grâce à un ouvrage qui fit grand bruit à l’époque, La France périphérique du géographe Christophe Guilluy. Rien de plus factice, semble-t-il, que cette opposition systématique entre grandes métropoles et territoires oubliés. C’est ce que tend à prouver le récent ouvrage de Laurent Davezies, professeur du CNAM, L’Etat a toujours soutenu ses territoires (Le Seuil). Le débat est ouvert.

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mardi, 25 mai 2021

Stratégie d'une Pulvar

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Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

On doit évidemment souhaiter, et il n'est pas extravagant de pronostiquer, dès maintenant, que la liste conduite par Audrey Pulvar en vue des élections régionales en Ile-de-France aille à la catastrophe. Un désastre pour la gauche signifierait souvent un peu de ciel bleu pour le pays.

Ce 25 mai, sans paraître outrageusement optimiste, Valeurs actuelles décrit par exemple une "Audrey Pulvar en plein naufrage électoral". L'hebdomadaire de droite aime à considérer en effet que "créditée d’à peine 10 % des voix aux régionales en Île-de-France, la candidate socialiste sombre dans le racialisme et le discours anti-police. Une campagne désespérée qui préfigure le sort de la gauche indigéniste à la prochaine élection présidentielle."

Tel sympathique commentateur va plus loin encore. Il se plaît ainsi à imaginer qu'elle entraînerait avec elle également, dans sa chute que nos amis anticipent l'ambitieuse Hidalgo. Celle-ci ne joue-t-elle pas ces temps-ci les rassembleuses, autour d'elle bien sûr, en vue de l'élection présidentielle de 2022.

Il me semble pourtant raisonnable de se garder d'un tel triomphalisme. Aucun match n'est gagné tant que l'arbitre n'en a pas sifflé la fin.

Quelle est donc la tactique actuelle de l'adjointe d'Hidalgo à la mairie de Paris. Elle peut échouer. Et inutile de souligner que l'auteur de ces lignes le souhaite. Mais elle n'est peut-être pas aussi folle qu'on pourrait le penser.

Sans doute est-elle "créditée dans les sondages" d'à peine plus de 10 % des voix. Mais la liste Pulvar entre en concurrence directe avec Clémentine Autain. Se réclamant de la France insoumise, cette dernière n'a, pour le coup, apparemment pas la moindre chance de l'emporter. De plus, sur la photo, observée du point de vue de ces "jeunes" que l'on nous présente toujours comme des "chances pour la France", Pulvar peut paraître plus attirante que la militante Autain.

Sa campagne a bel et bien démarré. Ses prises de position tant soit peu provocatrices contre "le racisme dans la police", et contre la manifestation du 19 mai, choquent la droite. Mais elles font parler d'elles. Les prospectus de sa propagande ont commencé à inonder nos boîtes aux lettres. La démagogie éhontée en faveur de la gratuité des transports publics rencontre un écho favorable chez les naïfs. Il n'est donc pas interdit d'imaginer qu'elle parvienne à ramasser les voix sans espoir de la France insoumise et du parti communiste, bref qu'elle fasse s'approche de 20 % des voix, contraignant l'extrême gauche au ralliement. Elle se retrouverait présente au second tour dans pas mal de départements, éliminant la concurrence mélenchonienne en vue des élections de 2022.

Cette éventualité n'est hélas pas plus ridicule que les éternelles victoires annoncées, comme on les aime beaucoup à droite, mais qui se transforment en déroute. Qu'on se souvienne des pronostics de 2018 à propos des municipales que devait perdre Hidalgo en 2020. Déjà à l'époque cette chronique mettait le lecteur en garde...

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MERCREDI 26 MAI, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS CONSACRÉE AUX HARKIS AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL

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La nouvelle revue Uranus : Révolution spirituelle…

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Entretien avec Antoine Duvivier, rédacteur en chef de la revue Uranus (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Depuis le début de l’année 2021, la Communauté de la Rose et de l’Épée et son fameux groupe « Les Brigandes » font paraître une revue bimestrielle : Uranus. 

Quel est l’objectif de cette nouvelle revue ?

Nous voulons aller plus loin que la conspiration habituellement dénoncée du point de vue géopolitique. Quelles puissances invisibles se cachent derrière les puissances visibles ? Qu’appelle-t-on le Mal et quelles sont les hiérarchies non identifiées, c’est-à-dire occultes, par lesquelles il se manifeste ? Nous voulons réunir la compréhension politique et la compréhension métaphysique du monde, car l’une complète l’autre.

Notre revue veut également amener ses lecteurs à saisir les enjeux spirituels de la grande crise que nous traversons, car c’est bien l’âme qui est la première cible de la dictature matérialiste qui s’installe. Dans cette période de chamboulements, nous allons voir de plus en plus nettement se distinguer deux types d’être humain : l’homme spirituel, qui est fondamentalement attaché à la liberté de conscience, et le matérialiste sécuritaire. Nous nous adressons au premier type.

Votre revue s’appelle Uranus et est sous-titrée « révolution spirituelle », pourquoi ce nom ?

Uranus est la planète de la révolution spirituelle, et l’astrologie nous explique que ses rayonnements vont s’intensifier. (Nous développons ce sujet dans nos deux premiers numéros).

Nous n’attendons rien de l’abominable Système qui est en place, aucune réforme ; nous ne souhaitons que son effondrement. Nous souhaitons que des microsociétés saines puissent se constituer pour manifester le renouvellement spirituel qui est pulsé par Uranus.

Uranus est aussi l’astre de l’ère nouvelle, l’ère du Verseau : choisir le nom d’Uranus est une manière de se projeter en avant. Notre combat n’est pas passéiste : nous désirons être des pionniers d’une nouvelle manière de vivre et de penser, des inspirateurs pour ceux qui refusent la technocratie en place.

On se souvient de « Foutez le camp » ou de « Le Grand Remplacement » avec les Brigandes, mais avec Uranus on est dans l’ésotérisme, l’astrologie et la conspiration occulte – avec, certes, une ferme condamnation de la dictature sanitaire. C’est une autre facette de votre communauté ?

À travers le groupe musical Les Brigandes, Joël LaBruyère, fondateur de notre communauté et auteur-compositeur des chansons, exprime beaucoup de choses différentes. Une révolte contre le mondialisme et contre la tyrannie sur la pensée – notamment celle qui pèse sur des sujets comme l’immigration. Mais aussi des thèmes spirituels, des thèmes plus triviaux ou encore de la poésie et du style chansonnier bien français. L’aspect spirituel et ésotérique que propose notre revue Uranus, se retrouve dans certaines chansons des Brigandes comme Errant et FugitifLà-HautD’ici 2025 ou encore Le Chemin des étoiles, pour n’en citer que quelques-unes.

Notre révolte contre le Système est fondamentalement spirituelle : nous ne supportons plus une existence dans un cadre social et culturel radicalement opposé à la destinée de notre âme. Notre revue URANUS exprime ce souffle révolutionnaire spirituel. Cette parution est aussi animée par la recherche de la Vérité : vérité métaphysique sur l’origine et le sens de l’existence, mais aussi vérité dans tous les domaines. On retrouve d’ailleurs cette recherche et cette expression de la vérité dans les productions des Brigandes.

Comment se procure-t-on Uranus ?

Vous trouverez la présentation de notre revue et les possibilités d’abonnements dans notre boutique en ligne : cliquez ici.

Ou en nous écrivant :

BARKA PRODUCTION – BP 7 – 34330 LA SALVETAT-SUR-AGOUT

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Enquête sur les actions secrètes d’Israël

Bergman-197x300.jpegGeorges Feltin-Tracol

En 2018, la prestigieuse maison d’édition étatsunienne Random House publiait un ouvrage remarquable désormais disponible en français. Avec Lève-toi et tue le premier (Grasset, 2020, 944 p., 29 €), Ronen Bergman s’intéresse au rôle majeur des différentes agences de renseignement d’Israël à travers l’exemple des assassinats ciblés ordonnés par le gouvernement de Tel Aviv au nom de la sécurité nationale.

Qualifiées pudiquement de « liquidations », ces exécutions remontent à la préhistoire de l’État juif en Terre Sainte. Les organisations sionistes constituent très tôt un appareil clandestin de collecte des informations, puis d’élimination des opposants. Dans les années 1930 – 1940, certaines d’entre-elles telles l’Irgoun de Menahem Beguin ou le Lehi (« Combattants pour la liberté d’Israël »), plus connu sous le nom de « Groupe Stern », avec Yitzhak Shamir, montent des attentats contre les Arabes et/ou contre les Britanniques.

Dès son accession à l’indépendance en 1948, le nouvel État mise sur ses services de sécurité intérieure et extérieure, car il entend aussi protéger dans le monde entier les communautés de la diaspora juive. Si Ronen Bergman mentionne le YANAM, l’unité anti-terroriste de la police, ou le Lakam, le département d’espionnage du ministère de la Défense, il se concentre en particulier sur l’AMAN, la Direction du renseignement militaire de Tsahal, l’« Institut pour le renseignement et les opérations spéciales », le Mossad, et l’« Agence israélienne de sécurité », le Shin Bet ou Shabak, en pointe dans le contre-espionnage. Outre les moyens propres à l’« Armée de défense d’Israël », ces trois instances disposent des unités spéciales « Baïonnette » et « Césarée », de la Flottille 13 (les unités spéciales de la marine) et du fameux « commando d’état-major », le Seyeret Matkal. La nécessaire coordination lors des opérations combinées compliquées n’empêche pas la persistance d’une rude concurrence entre elles…

L’auteur éclaire la longue histoire du renseignement israélien. Les désastres les plus cinglants restent l’attentat aux Jeux Olympiques de Munich en 1972, l’absence de prévision de la Guerre du Kippour en 1973, l’exécution d’un innocent dans la ville norvégienne de Lillehammer en 1974, l’enlisement militaire au Liban dans la décennie 1980, l’assassinat du Premier ministre, Yitzhak Rabin, en 1995 ou la tentative ratée d’empoisonnement d’un dirigeant du Hamas, Khaled Mechaal, en 1997. Quant aux succès, les services secrets israéliens empêchent les spécialistes allemands en balistique de donner des missiles à l’Égypte de Nasser, réussissent le raid d’Entebbe en Ouganda en 1976 et réalisent une grande action-commando contre le siège de l’OLP en Tunisie en 1988. Ronen Bergman confirme par ailleurs que le héros de la Seconde Guerre mondiale, Otto Skorzeny, et le magnat de la presse, Robert Maxwell, collaboraient avec le Mossad. Il explique par ailleurs que l’armée et le Shin Bet ont d’abord toléré l’essor du Hamas dans les territoires occupés pour mieux briser la popularité du fer de lance de la résistance palestinienne, l’OLP nationaliste, marxisante et laïque.

Lève-toi et tue le premier insiste principalement sur l’exécution préparée et planifiée d’individus estimés dangereux par les services spéciaux. L’auteur constate un peu candidement qu’il est possible « avec l’assentiment tacite du gouvernement, de perpétrer des actes d’assassinats pour le moins sujets à caution, sans aucun contrôle des assemblées parlementaires ou des citoyens, et provoquant la mort de nombreux innocents (p. 22) ». L’Occident a beau avoir aboli la peine capitale, le bourreau poursuit sa tâche essentielle et prend maintenant les traits des professionnels du service Action. Cette lecture moraliste occulte le caractère souverain de l’ordre donné. Ce n’est pas un hasard si, au lendemain du 11 septembre, les États-Unis s’inspireront des procédures israéliennes pour les appliquer en Afghanistan, en Irak et en Syrie au moyen de drones plus en plus perfectionnés. L’hypocrisie qui sous-tend le monde occidental doit toutefois cesser. Appréhender ces meurtres programmés sous l’angle de la morale et du sacro-saint respect des droits de l’homme conduit à l’impolitique. Les États occidentaux ne s’indignent pas quand les forces israéliennes assassinent le fondateur du Hamas, le cheikh Yassine, ou un très haut-gradé syrien qui ne fait qu’accomplir son devoir de militaire. Si une autre puissance tentait d’empoisonner par exemple avec une substance radio-active des traîtres, cette même communauté occidentale s’en scandaliserait !

L’amateur d’interprétations symboliques apprécie enfin d’apprendre que les quartiers généraux de l’armée et des services de renseignement résidaient à « Kirya-Sarona, le vieux quartier de Tel Aviv créé par la Société des Templiers allemands (p. 222) ». Influente en Palestine pendant l’entre-deux-guerres, la Société des Templiers œuvrait dans une perspective pangermaniste liée au projet ferroviaire Berlin – Byzance – Bagdad et, éventuellement, mystique en mêlant la rémanence de l’Ordre proscrit du Temple et un courant folciste secondaire qui concevait le Christ comme un Aryen de Galilée. Pourquoi donc cette implantation ? Y aurait-il dans ces salles un égrégore sevré de formules kabbalistiques ?

Malgré les obstacles posés par la censure militaire en vigueur, Ronen Bergman qui a néanmoins bénéficié d’un feu orange officieux, ne dévoile pas tout et présente son travail selon un point de vue progressiste israélien. Si Lève-toi et tue le premier plonge le lecteur dans les sombres méandres de la guerre secrète, il permet une certaine persuasion mentale. À l’instar des films d’action à grand budget d’Hollywood produits en accord avec le Complexe militaro-médiatique, ce livre cherche peut-être à survaloriser l’efficacité redoutable des structures de force de l’État hébreu afin d’instiller dans les esprits un avantage psychologique certain.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°215, mise en ligne sur TVLibertés, le 18 mai 2021.

23:21 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ouverture du procès en appel d'Esteban

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Communiqué du Parti de la France :
 
C'est aujourd'hui que débute le procès en appel, devant la Cour d'Assises de l'Essonne, d'Esteban Morillo et de Samuel Dufour, scandaleusement condamnés respectivement à 11 et 7 ans de prison en première instance pour s'être défendus lors d'une agression par des racailles antifas en 2013 à Paris où Clément Méric a trouvé la mort.
 
Le Parti de la France apporte son soutien à ces deux jeunes hommes qui n'ont fait qu'user de leur droit à la légitime défense face à une bande de voyous d'extrême-gauche entièrement responsables du déclenchement de cette rixe tragique.
 
Ils méritent un procès équitable et non une parodie de justice politique comme en 2018 devant la Cour d'Assises de Paris.

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Questions pour un champion : le covid-19

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Jarente de Senac

Je ne suis pas complotiste au sens strict du terme. Je ne vois pas la main du diable partout ni de complot judéo-maçonnique. Populiste assurément pour des raisons que nous sommes nombreux à partager. Reste de que cette pandémie – covid 19 – nous autorise à se poser quelques questions.

Eliminons d’emblée, celle qui consisterait à croire que c’est le Grand Capital-grand méchant loup, qui serait derrière tout ça et qui l’aurait déclenché. Car cette pandémie fout un tel bordel dans les économies que l’on ne sait pas dans quel état les nations industrielles vont s’en sortir. Elles s’en sortiront à n’en pas douter mais cela risque fort de n’être pas « comme avant ». Inutile de spéculer donc, car l’avenir est insondable. Et de ce point de vue, le Grand capital est dans la même expectative que nous, même s’il continue à s’en mettre plein les poches.

Une chose est certaine, c’est que les laboratoires Pfiner, Moderna, Astrazeneca s’en sont aussi mis plein les poches. Mais peut-on leur reprocher, elles font leur boulot. Et dans la panique générale !

La question qui se pose quand même est : qu’est-ce qui a déclenché une telle panique à l’échelle planétaire, alors que toutes les statistiques nous montrent qu’il y a à peine plus de mort qu’une grippe normale. Dans cette panique générale, les autorités des différents pays s’en sont donc remis à ces fameux laboratoires qui, en un temps record, ont réussi à pondre des vaccins dont il est, à ce jour, bien difficile d’évaluer la réelle efficacité. On nous informe qu’ils sont viables à 90%. Et si nos gouvernants poussent à la vaccination, c’est afin de nous montrer qu’ils sont à la hauteur de la situation, ce qui est loin d’être le cas. En France, par exemple, on a pas mal pédalé dans la choucroute. Personnellement, je reste très étonné de la vitesse à laquelle ces laboratoires ont trouvé un vaccin alors que ça fait plus de 20 ans qu’ils s’acharnent sur le sida et dont l’unique réponse un tant soit peu efficace à ce jour est une trithérapie qui n’a rien à voir avec un vaccin. Passons.

Mais revenons sur cette efficacité des vaccins dont les 90% d’immunité sont chantés sur tous les toits. On ne peut en vouloir aux médecins de nous dire qu’il faut se faire vacciner, faute d’avoir les éléments « scientifiques » pour nous prouver le contraire. C’est la théorie du moindre mal. Sauf que nous parviennent des échos qui ne vont pas tous dans ce même sens. Des études circulent et plus encore des témoignages. Notamment sur les effets secondaires de l’AstraZeneca par exemple. Certains hôpitaux refusent même ce vaccin. Ensuite, on a le témoignage de soignants et pompiers – à ce titre les réseaux sociaux, même s’il faut s’en méfier, dénoncent la doxa officielle - qui nous disent que des personnes âgées vaccinées retournent à l’hosto pour des effets secondaires allant jusqu’à la mort. Bref, tout n’est pas aussi rose que voudrait nous le faire croire les autorités.

Il est bien évident que les personnes âgées, souvent sujettes à des pathologies lourdes, sont plus exposées que les autres. Mais elles ne le sont pas plus qu’avec la grippe. Et il semble bien que les personnes en dessous de 65 ans, ne sont pas non plus à l’abri. On ne doit pas perdre de vue que chaque individu est d’abord la proie de sa propre génétique et donc sujet à des réponses immunitaires qui lui sont propres. Raison pour laquelle et quel que soit l’âge, nul n’est à l’abri de ces « accidents », mortels ou non, qui évoluent aussi au fil des siècles et de l’état sanitaire dans lequel nous baignons. Raison pour laquelle je n’ai pas d’avis tranché sur le sujet. Je suis un sujet à risque comme l’on dit, alors je fais gaffe, j’ai horreur de la foule, je porte un masque dès que je suis en contact avec autrui, je suis une barrière à moi tout seul. Et demain, comme tout le monde, je finirais dans une caisse en planche. Salut la compagnie.

08:15 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 24 mai 2021

Autotests : l’incroyable talent du gouvernement

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La chronique de Philippe Randa

Tout le monde le sait bien, on ne change pas une équipe de talent… Emmanuel Macron et ses ministres poursuivent ainsi un sans faute dans la gestion du Covid. La preuve avec leur « stratégie de dépistage en milieu scolaire », soit le déploiement des autotests, sensés ralentir la circulation de la pandémie. En voilà une idée qu’elle est bonne, n’est-ce pas ? « Une adhésion de 25 % à un dépistage hebdomadaire entrainerait une réduction du nombre de cas de 30 % par rapport à la situation actuelle, tandis qu’une adhésion de 75 % conduirait à une réduction de 50 % des contaminations », a communiqué le Ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports.

On allait donc voir ce qu’on allait voir et la pandémie n’avait plus qu’à bien se tenir…

Surtout se contenir de rire, car cette campagne a certes démarré par des « retards de livraison » – rien de nouveau ! –, mais aussi par un plus inattendu souci de « mode d’emploi » : certains lots ont été livrés avec une notice un rien difficile à conceptualiser : avec deux traits sur la borne de lecture, on est positif, mais avec un trait, on l’est aussi !!! Excès de principe de précaution ? Non, simple « erreur du fabricant » comme l’a rapidement confirmé le cabinet de Jean-Michel Blanquer.

Après ce bel échauffement, nos gouvernants, au mieux de leur forme comme on le voit, ont également proposés des lots de tests par boîte de 5, 10 ou 25 dont certains accompagnés d’une « notice dans toutes les langues, sauf le français » ; dans le but louable, sûrement, de nous épargner l’écriture inclusive…

C’est tout ? Mais non : des chefs d’établissements se sont retrouvés « à répartir 30 boîtes de 10 tests, non sécables, entre 80 personnes »… Ce qui pourra toujours faire un sujet d’épreuve pour le baccalauréat, n’est-ce pas ?

De toute manière, si la solution est de « laisser le temps au temps », les familles ne s’y trompent pas, puisque le « taux d’acceptation » parmi les élèves est quasi-nul : « Sur les 2 000 demandes d’autorisation que j’ai adressées aux familles, je n’ai reçu qu’une cinquantaine de réponses positives », se lamente le syndicaliste Philippe Vincent, du SNPDEN-UNSA à Aix-en-Provence.

Avec de telles performances, Emmanuel Macron et ses ministres n’ont guère de soucis à se faire pour leur avenir. Quand ils auront quittés les Affaires, leur reconversion est assurée chez Pinder, Grüss ou Achille Zavatta : ils n’auront que l’embarras des scènes les plus prestigieuses pour exercer leur incroyable talent.

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Samedi 29 mai à Paris : 8e colloque de l'Institut Iliade

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Le Parti de la France soutient la liste "La Bretagne en Héritage"

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Un communiqué du PdF :

Le Parti de la France apporte son soutien à la liste « La Bretagne en héritage » pour les élections régionales menée par Yves Chauvel.

Autonomiste mais pas anti-française, cette liste d'union a pour slogan « Pour une Bretagne puissante dans une France souveraine ».

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dimanche, 23 mai 2021

Pourquoi la France fait face à un risque d’effondrement ?

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Marc Rousset

Avec des Bourses au plus haut et sans visibilité sur l’inflation à venir, le spectre de l’intervention des banques centrales préoccupe les investisseurs ; les Bourses jouent donc au yo-yo, plombées par la peur de l’inflation, mais elles sous-estiment les risques de faillites d’entreprises et de pertes financières pour les banques.

Afin de juguler l’inflation, la Fed pourrait diminuer ses achats d’actifs obligataires qui s’élèvent à 120 milliards de dollars par mois ; elle imagine cette possibilité pour fin 2021-début 2022, mais il est possible qu’elle soit obligée d’intervenir beaucoup plus tôt. Pour l’instant, suite à la vente de titres obligataires par les investisseurs, le taux des bons du Trésor à dix ans est de 1,672 %. Quant à la BCE, en raison des taux d’inflation actuels très bas en Europe, il n’est pas question de diminuer les achats de titres obligataires, et les taux d’emprunt augmentent très lentement (0,244 % en France et 1,081 % en Italie). Si les taux d’intérêt devaient augmenter brusquement en 2021, suite à une inflation qui augmente, à un niveau d’endettement des États de plus en plus élevé et à une croissance économique insuffisante, la BCE se trouverait dans une situation impossible, devant alors choisir entre la peste de l’hyperinflation inacceptable (augmentation des achats de titres) et le choléra des taux d’intérêt élevés (diminution des achats de titres) et, donc, de la banqueroute des États (France et Italie).

Au-delà du risque d’inflation, suite à l’augmentation de la masse monétaire par les banques centrales, il y a également un risque d’inflation par les coûts. Au manque de conteneurs pour le transport maritime, à la pénurie de puces électroniques, à la hausse d’un grand nombre de matières premières telles que le cuivre, le bois, le lithium, de nouvelles pénuries apparaissent : manque de pneus et de caoutchouc et même de palettes en bois et de clous ! Les palettes en bois ont augmenté de 50 % en un an et le prix des clous de 36 %. Les entreprises du BTP éprouveraient aussi de grandes difficultés pour effectuer leurs achats nécessaires aux chantiers. Il semblerait que la Chine ait acheté de grandes quantités de caoutchouc partout dans le monde. Les Chinois chercheraient à se débarrasser de leurs dollars qui ne leur rapportent rien en achetant et stockant des matières premières susceptibles de flamber dans les mois qui viennent.

L’Institute of International Finance explique comment la réponse à la pandémie Covid-19 a ajouté 24.000 milliards de dollars à la montagne de la dette mondiale qui a atteint, en 2020, un nouveau record historique à 281.000 milliards de dollars. La BCE, de son côté, alerte sur les risques élevés de crise financière. Les faillites vont se multiplier car les taux d’endettement ont bondi de 220 % des fonds propres, fin 2019, à 270 % en moyenne, fin 2020, pour les 10 % des entreprises les plus endettées. Les États de la zone euro vont donc aussi faire face au dilemme de la faillite des entreprises ou des dépenses trop importantes du « quoi qu’il en coûte » car l’endettement moyen des États de la zone euro est passé de 86 % du PIB, en 2019, à 100 %, en 2020.

Les dilemmes seront encore d’autant plus cornéliens dans la zone euro qu’une hausse des défaillances d’entreprises fragilisera très fortement les banques. Ces dernières devront augmenter leurs provisions pour créances douteuses, tout en étant exposées à un risque de correction du prix des actions, voire de l’immobilier. Il se trouve que la rentabilité des banques européennes est actuellement très faible (1,3 % de rentabilité des capitaux propres, alors qu’elle était de 5,3 % avant la pandémie) et qu’elle est de 10 % pour les banques américaines. La rentabilité devrait progresser un peu de nouveau, mais la BCE ne voit que les mariages entre établissements (avec, donc, des licenciements pour diminuer les coûts) afin de remédier aux problèmes structurels du secteur.

Pas besoin, donc, de sortir de Polytechnique pour réaliser que les propos optimistes du gouvernement ne correspondent en rien à la gravité de la situation en France au sortir de la crise sanitaire. Si l’on ajoute au risque économique, financier et boursier un risque non négligeable de crise politique, d’explosion sociale ou populiste, parler de risque d’effondrement de la France n’est pas exagéré.

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samedi, 22 mai 2021

La dérive symptomatique du football français

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Patrick Parment

J’avoue que je n’aime guère le football en tant que sport, quand bien même déchaîne-t-il les passions, dont la particularité française est qu’il est joué par des individus qui n’ont que peu à voir avec le village gaulois d’Astérix. Qu’on ait gagné deux fois la coupe du monde ne m’impressionne guère étant donné que je ne me sens pas du tout concerné par ces équipes censées nous représenter. Reste que ce sport très populaire, et en raison même de cette popularité, ne pouvait échapper aux visées politiques de ceux qui nous gouvernent. On se souvient des pantomimes d’un Chirac recevant tout ce petit monde à l’Elysée alors même qu’il se sentait plus attiré par le cul des vaches que ces joueurs de foot dont il se tamponnait allègrement le coquillard vu qu’il n’a jamais rien compris à ce sport…et au reste non plus d’ailleurs. Mais voilà, le foot rempli les stades d’énergumènes qui viennent brailler leur enthousiasme et qui sont dans leur grande majorité les dignes représentants de cette France profonde et oubliée après laquelle courent tous nos hommes politiques. Sport et politique sont indissociablement liés. Autre vecteur incontournable de ce sport : l’argent. Voici qui constitue à n’en pas douter un cocktail explosif. Passons sur le salaire de ces joueurs, autre scandale qui ne semble choquer personne. Et puisque nous sommes en pleine pandémie, nous n’hésiterons pas à faire un peu de démagogie, en comparant le salaire des footeux – de 2 à 300 fois le smic - avec ceux des médecins, infirmières et autres soignants qui s’échinent à sauver des vies pour des salaires de misère.

J’avoue que les Français ont pour caractéristique d’avaler des couleuvres, mais cette fois-ci la gente fooballistique a carrément dépassé les bornes pour ne pas dire péter les plombs. D’une part Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, remet en selle l’algérien Karim Benzema, qui clame à qui veut l’entendre que de la France il n’en a rien à foutre. Et surtout qui n’apporte rien de particulier à une équipe « dite de France » qui a tout gagné sans lui. Enfin, cerise sur le gâteau, la Fédération française de football n’a rien trouvé de mieux que de faire appel au rappeur zaïrois Youssoupha pour pousser la chansonnette à la gloire des « bleus » ! Lequel Youssoupha s’en était déjà pris à « ce con » d’Eric Zemmour – qui l’a trainé devant les tribunaux - et qui rêve de « foutre en cloque cette chienne de Marine Le Pen ». Et le plus dramatique dans cette affaire, c’est la ministre des sports, l’ex-nageuse roumaine, Roxanna Maracineanu qui déclare que « Youssoupha est un chanteur militant qui dénonce le racisme et qui est pour la diversité ». Et pour cause quand cette diversité est pour beaucoup sonnante et trébuchante. Il serait temps que nos politiques arrêtent ce genre de connerie et se montre plus respectueux des Français de souche comme l’on dit et qui sont encore majoritaire dans ce pays. Ce que semble oublier ces gouvernants déboussolés qui courent après je ne sais trop quelle chimère. Une chose est certaine, l’idée qu’ils se font de la France ne correspond à aucune réalité, Macron et ses sbires en tête de gondole.

 

 

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Journal du chaos

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vendredi, 21 mai 2021

Analyse spectrale d’une France qui se délite*

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Le sociologue et philosophe Jean-Pierre Le Goff, auteur de « la Société malade » (Stock), sans doute le livre le plus juste sur la période que le Covid nous a imposée, réfléchit ici sur le décalage impressionnant qui existe désormais entre la parole politique et les réalisations concrètes. il décrit, avec finesse et profondeur, les effets délétères d’une bulle politico-médiatique dans laquelle  se rejoignent la grandiloquence verbale, les notions nihilistes de la « cancel culture », un déferlement de témoignages impudiques et sordides, ou une écologie fondamentaliste et punitive. l’intellectuel s’inquiète des contradictions et des incohérences du pouvoir politique qui dissimulent de plus en plus difficilement un affaiblissement préoccupant de l’État et participent d’un sentiment décourageant de déshérence collective.

(*) le titre est de la rédaction

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Source : Le Figaro 21/05/2021

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