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dimanche, 11 juillet 2021

Cette inflation que les banques centrales ne veulent pas voir venir

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Les craintes d’inflation et le variant Delta sont les deux raisons principales de la volatilité actuelle des Bourses. Après une chute, jeudi, de 2 % du CAC 40 suite aux inquiétudes liées au Covid-19, ce dernier a regagné, vendredi, les 2 % de perte de la veille. Mais cela pourrait bien être les premiers signes d’un été boursier qui s’annonce chaud et animé.

Le ratio moyen cours/bénéfice des Bourses se situe, actuellement, à 21 pour les entreprises du Standard & Poor’s 500 et à 17,5 pour les entreprises européennes, alors que sa moyenne à long terme est de 15, tant aux États-Unis qu’en Europe. De plus, les bonds des bénéfices attendus par les analystes ne seront peut-être pas au rendez-vous si les coûts dérapent, suite aux hausses des salaires, du fret maritime des conteneurs ou aux goulots d’étranglement pour certains produits. Les anticipations fluctuantes d’inflation, de taux d’intérêt, des réductions à venir ou non des achats d’actifs par les banques centrales, jusqu’à la réunion de politique monétaire en septembre prochain à Jackson Hole, peuvent aussi contribuer à la volatilité des Bourses cet été.

L’Autorité des marchés financiers redoute, d’ores et déjà, un nouveau coup de tabac sur les marchés, suite à l’augmentation de l’endettement des États, mais aussi des entreprises ; le gendarme de la Bourse redoute une remontée des taux, ce qui pourrait conduire à de fortes corrections ou à un krach.

Si la France doit connaître effectivement, en 2021, une croissance forte de 6 % du PIB, mais avec une inflation effective de 2 %, la croissance réelle nette du PIB ne sera plus que de 4 % et si la dette réelle doit progresser à nouveau, ne serait-ce que de 8 % à cause du déficit public en 2021, le ratio dette/PIB de la France aura continué de se détériorer schématiquement de 8 % moins 6 %, soit 2 %, malgré une croissance nominale du PIB de 6 % et une croissance réelle nette de 4 %.

Officiellement, l’inflation aux États-Unis est toujours jugée temporaire par la Fed, mais les membres du Comité monétaire ont été surpris par la flambée de l’inflation de 3,6 % en avril et de 3,4 % en mai, selon l’indice PCE. Les principales hausses de taux devraient seulement intervenir en 2023 ou fin 2022, au lieu de 2024, ce qui est toujours une chimère irréaliste et une vue de l’esprit. Quant à la BCE, Christine Lagarde souhaite assouplir les objectifs d’inflation en déclarant qu’il n’y aura pas de réaction sur le « QE » si des hausses de prix sont temporairement supérieures à 2 %, tout en verdissant la politique monétaire contre le changement climatique, ce qui n’est pas le rôle d’une banque centrale.

Le FMI, plus réaliste, estime qu’« une inflation élevée fait partie des risques auxquels est confrontée la reprise économique », avec une croissance de 7 % en 2021 de l’économie américaine, soit son rythme le plus rapide depuis 1984, ce qui pourrait augmenter dangereusement le taux d’inflation et conduire à une hausse nouvelle des taux d’intérêt.

Selon le Wall Street Journal, les supermarchés aux États-Unis augmenteraient déjà leurs stocks, du sucre à la viande congelée, pour se protéger de l’inflation. Le gouverneur de la Banque des Pays-Bas estime, lui aussi, que les risques d’inflation sont sous-estimés. Les pénuries de semi-conducteurs ralentissent toujours l’activité industrielle et le prix du pétrole Brent est remonté à 77 dollars le baril, sur fond de craintes quant à l’avenir de l’OPEP. En France, près de la moitié des entreprises du bâtiment, 41 % du secteur des services et un quart des firmes industrielles peinent à recruter des salariés, ce qui est une source d’augmentation des prix par les coûts.

Une forte inflation et une augmentation substantielle des taux d’intérêt en 2022 avec un krach financier à la clé, sauf en cas de crise sanitaire fin 2021 provoquée par le variant indien et une vaccination insuffisante qui conduirait à un krach immédiat, à la récession et à la déflation, voire à l’explosion du Système, ne relèvent pas de la science-fiction.

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70 ans de Fidélité au Maréchal Pétain

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Communiqué de presse ADMP- 9 juillet 2021 

Le 25 juillet prochain, une délégation de l'Association pour défendre la mémoire du Maréchal Pétain (ADMP) sera présente à l'île d'Yeu pour rendre hommage au vainqueur de Verdun dont nous commémorons cette année les 70 ans de la disparition.

Fondée le 6 novembre 1951, trois mois après la mort du Maréchal Pétain, l'ADMP œuvre depuis 70 ans pour sa réhabilitation, la révision de son procès, le transfert de ses cendres à Douaumont auprès de ses soldats.

L'association aujourd'hui présidée par Monsieur Roger Barut, au regard des contraintes sanitaires imposées par le Gouvernement, depuis deux ans, n'a pas pu rendre hommage à cette grande figure qui, en 1940, a fait don de sa personne à la France. Les dernières commémorations ont été organisées en avril et juillet 2019 dans sa maison natale de Cauchy à la Tour, dans le Pas-de-Calais et sur sa tombe en Vendée.

C'est donc avec beaucoup d'émotion que nous serons à nouveau présents à l'île d'Yeu le 25 juillet.

Soixante-dix années ont passé depuis la disparition du Maréchal. Fidèle à son héritage, I'ADMP, association apolitique, n'a jamais baissé les bras.

Ce 70ème anniversaire sera marqué par le lancement de notre site www.marechalpetain.com, par notre présence sur Facebook, par notre nouvelle version de la revue Le Maréchal, et par des stratégies de développement destinée à permettre aux jeunes, respectueux de la figure du vainqueur de Verdun, de nous rejoindre.

Toujours fidèle, toujours présente, l'ADMP tient par ailleurs à rappeler qu'elle n'a aucun lien, ni aucune filiation avec des groupuscules souhaitant s'accaparer la mémoire du Maréchal. Le Maréchal n'appartiendra jamais à des factions, le Maréchal appartient à la France et à tous les Françaises et les Français.

Nous vous donnons rendez-vous le 25 juillet à 11h00 devant l'Hôtel des Voyageurs, 31 quai Carnot, à Port Joinville. Soyez présents, soyez fidèles.

Vive le Maréchal, Vive la France.

Et aussi, à l'appel de Jeune nation :

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samedi, 10 juillet 2021

Le nouveau numéro de L'Afrique réelle de Bernard Lugan

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Bernard Lugan L'Afrique réelle
 
La France en a l’habitude : ses Armées remportent des victoires que ses décideurs civils transforment systématiquement en défaites politiques. Ainsi en fut-il de l’Algérie, puis du Rwanda et aujourd'hui de la BSS où Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’Opération Barkhane. 
Depuis, la quasi-unanimité se fait dans les médias pour mettre en avant l’échec prétendu de cette opération militaire, ce qui est à la fois faux et mensonger.
 
Dans une zone d’action vaste comme une partie de l’Europe dans laquelle ne furent au  maximum déployés que moins de 5000 hommes à la fois, la moitié en protection d’emprises ou d’axes de communication, avec des moyens réduits et parfois même obsolètes, Barkhane n’avait pas pour mission d’apporter une solution à des problématiques ethno-raciales millénaires. Elle a en revanche parfaitement rempli la triple mission qui lui avait été ordonné de mener : 
 
1) Perturber les mouvements terroristes, limiter leur liberté d’action, empêcher leur coagulation, éliminer leurs chefs. A cet égard, les résultats du GTD (Groupement tactique désert) Altor du 2e REP dans la région des « Trois frontières », loin  des camps de base, furent remarquables.
 
2) Rendre la plus hermétique possible la frontière entre la Libye et le Niger, afin d’éviter le réensemencement du jihadisme sahélien à partir du foyer libyen. 
 
3) Empêcher la reformation d’unités jihadistes constituées.
 
Assurer la paix n’était pas dans la mission de Barkhane. Etablir la sécurité passe en effet par la construction des Etats, des armées et des administrations, c’est-à-dire par la recolonisation… ce qui  n’est pas exactement dans « l’air du temps »…
 
Au lieu de réfléchir à des solutions fondées sur le réel, les décideurs français n’ont eu qu’un seul remède à proposer, les élections. Or, ce système fondé sur le « one man, one vote » est d’abord une ethno-mathématique donnant automatiquement le pouvoir aux plus nombreux, en l’occurrence aux sédentaires Noirs sudistes, ce que les nomades ne peuvent accepter.
 
Une furieuse polémique sur fond de question kabyle a éclaté en Algérie. Noureddine Aït Hamouda, ancien député du parti  berbère RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) et fils du colonel Amirouche, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, a en effet qualifié de « traitres », entre autres, l’émir Abd el-Kader ainsi que les présidents Boumediene et Bouteflika. 
 
En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà dénoncé les faux moujahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine), 9/10e étant selon lui des imposteurs, ainsi que le chiffre de 1,5 million de morts causé par la guerre d’indépendance. Les œuvres vives du « Système » étant attaquées, sur plainte de l’ONM, Noureddine Aït Hamouda a été mis en prison. 
Il va être de plus en plus difficile à un « Système » aux abois de cacher qu’il est l’héritier des auteurs du coup d’Etat qui, en 1962, renversa le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), évinçant les combattants de l’intérieur essentiellement Berbères pour instaurer le régime arabo-musulman du FLN (voir à ce sujet mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.)
 
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Des filières d’imigration médicale en France

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On savait déjà que l’Aide médicale d’Etat (AME) qui permet aux immigrés clandestins ou non de se soigner gratuitement coûtait fort cher à la communauté des contribuables français. Un rapport parlementaire mené par Véronique Louwagie, député LR de l’Orne, souligne l’existence de filières migratoires spécifiques nourrie par une « offre » sans équivalent en Europe.

Lire la suite ICI `

Source : Présent 10/07/2021

 

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Journal du chaos

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vendredi, 09 juillet 2021

L'UNIVERSITÉ D'ÉTÉ DE CIVITAS SE DÉROULERA DU 17 AU 19 JUILLET AU PUY-EN-VELLAY

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Père Joseph d’Avallon,

o.f.m., aumônier national de Civitas.

L’UDT 2021 de Civitas propose un canevas de conférences dont le but est d’apporter les éclairages les plus profonds sur la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et de donner ensuite les indications stratégiques les meilleures pour le combattre.

Il nous faut d’abord commencer par affirmer qu’il n’y a que deux cités : celle de Dieu et celle de Satan. Nous montrerons dans la première conférence que notre combat repose radicalement sur le dogme de la Royauté Universelle de Notre Seigneur Jésus-Christ. Il est en réalité l’Unique signe de contradiction. C’est le refus de sa Royauté, justement appelé « La Conjuration anti-chrétienne » (1), qui est à l’origine de tous les maux que nous combattons.

Du moment que les régimes politiques divers reconnaissent les droits de Notre Seigneur Jésus-Christ, remplissent leurs devoirs à son égard et recherchent le bien commun de leurs sujets, l’Eglise les accepte et leur apporte son soutien maternel. Cependant, l’histoire montre que les meilleurs régimes peuvent être corrompus gravement par l’oubli du bien ultime qui est Dieu et du bien commun. C’est ce que développera la deuxième conférence qui présentera les régimes politiques légitimes et montrera comment ils se corrompent.

La corruption de la politique, dans les temps modernes, devient plus profonde avec la monté des idéologies. Dédaigneuses de l’ordre naturel et surnaturel, ces dernières ont l’ambition de faire triompher des visions du monde qui ambitionnent de rendre les hommes plus heureux. Il faut souligner que la montée des utopies génère par elle-même celle des tyrannies nécessaires pour les imposer. Mais les lendemains sinistres de l’application des utopies laissent l’humanité prostrée et désespérée comme le révèle la multiplication des dystopies (2). Tel est le thème de la troisième conférence.

Au XX° siècle, la politique, sous l’emprise puissante de HEGEL, conçoit l’état comme divin. Il faut avoir conscience que ce n’est pas seulement vrai des régimes ouvertement totalitaires qui s’y sont succédé mais, d’une façon plus masquée, des régimes démocratiques fondés sur la souveraineté populaire. « Le Meilleur des Mondes »(3) ou le Nouvel Ordre Mondial repose sur le postulat de cette démocratie universelle. C’est l’objet de la quatrième conférence.

Nous sommes en train de vivre la mise en place accélérée de ce qui apparaît déjà comme l’utopie qui sera sans doute la plus grave et la plus meurtrière de toute l’histoire de l’humanité : « le grand reset économique et social ». Il faut démasquer cette utopie qui prône une dépopulation massive, une religiosité panthéiste, hélas soutenue par le Vatican, le contrôle policier des humains accoutumés à la servitude. L’humanité se trouve dans la situation où est rendue possible la politique telle que la concevait Voltaire : « le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire ». Tel est le tableau que présentera la cinquième conférence.

Cependant, cette construction d’une nouvelle Babel, aussi terrifiante qu’elle soit, s’oppose d’une façon si violente, à toutes les lois les plus fondamentales de l’ordre établi par Dieu, qu’elle s’effondrera lamentablement. Nous pouvons, nous voulons, nous devons contribuer à précipiter ce moment par les armes surnaturelles et par une action politique qui organise et intensifie le mouvement dissident en France et à l’étranger. Voilà le thème de la sixième conférence.

La providentielle montée en puissance de Civitas, en France et à l’international, constitue un signe d’espérance. Ce signe est d’autant plus fort qu’il apparaît précisément comme un effet d’une prise de conscience que seule la politique activement menée pour le rétablissement d’un ordre social catholique peut s’opposer au grand reset. Notre programme sera donné par cette septième conférence.

L’université d’été de Civitas s’achèvera par un discours de son Président, Monsieur Alain ESCADA, qui s’adressera aux militants de la France et des autres pays pour préciser les objectifs de notre action politique pour 2022.

Unissons nos prières et nos forces dans ce combat décisif où il est temps que chacun s’implique de tout lui-même.

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Eoliennes ? Mauvaise pioche

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Entretien avec Jean-Marc Jancovici, polytechnicien et spécialiste des problèmes liés à l’énergie,  qui dénonce depuis longtemps cet entêtement antinucléaire des Verts. A la tête du Shift Project, il nous rappelle que « les éoliennes et les panneaux solaires n’ont pas servi à décarboner le pays ».

Entretien au Figaro Magazine du 9/07/2021

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Le nouvel album CD des Brigandes est sorti

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11 nouvelles chansons, 18 €

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jeudi, 08 juillet 2021

Revue de presse : Un Zemmour nommé désir

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Catherine Rouvier

Causeur cliquez ici

Comme le président Macron en 2017, Éric Zemmour enthousiasme les Français car il mène la danse dans le débat d’idées.

« La bataille électorale n’est pas la bataille des idées ». Jordan Bardella, le jeune second du RN, a prononcé cette phrase dans la matinale de Pascal Praud, sur CNews, au lendemain des élections régionales, croyant ainsi couper l’herbe sous le pied du possible candidat Zemmour à la présidentielle. À l’inverse, il a sans doute, par cette phrase, donné la clé de cette “envie d’Éric Zemmour” qui monte irrésistiblement dans le pays. Ce qu’a choisi Macron, pour gagner en 2017, c’est justement la bataille des idées. Et sa facile victoire aura détruit en cinq ans beaucoup de ce que nous aimons. Donc en face, pour le chasser du pouvoir, il faut un combattant des idées.

Pas franchement un centriste, Jean Messiha a quitté le navire RN

On sait bien que la présidente du RN a renoncé a remplir ce rôle, pensant, comme on le rabâche depuis la IVème République, que “les élections se gagnent au centre”. Beaucoup de ceux – dont je fus – qui s’étaient engagés à ses côtés pour défendre des idées de droite et les porter au pouvoir ont fini par le comprendre, et par quitter ce parti lourd de ces basses querelles intestines qui caractérisent la “bataille électorale”. Le dernier départ en date est celui de Jean Messiha. Mais il y en a eu tant d’autres depuis dix ans… Comment s’étonner que la possible candidature d’Éric Zemmour les comble de joie ?

A lire aussi: Un RN gentil avec les institutions supranationales, ça n’intéresse personne!

Mais allons plus loin : comment imaginer que le peuple, l’immense foule qu’est ce peuple français malmené, enfermé, martyrisé par des tyrans velléitaires, arraché de force à l’image son pays bien aimé sous prétexte de pollution ou d’ouverture à l’autre, puisse ne pas être séduit par le discours politique d’Éric Zemmour ? Comment imaginer qu’il n’ait pas un “désir” grandissant de celui qui aime “leur” France, la France de toujours, et rejette clairement les politiques qui la défigurent, qu’elles soient “progressistes”, écologistes ou favorables aux islamistes ? Peut-être même, qui sait, que ce peuple, qui a perdu le chemin des urnes, le retrouverait alors ?

Une certaine idée de la France ?

On attend du chef de l’État, depuis De Gaulle, une vision. On attend qu’il tienne fermement la barre des idées. C’est ce qu’avait compris Macron, qui s’est contenté de se faire une liste d’idées subversives à défendre en guise de programme en 2017.

Le parti “en Marche” ne lui a été utile que pour lui fournir les députés qui voteraient les lois installant ces idées-là dans notre droit et nos institutions. Avec la présidentielle qui approche, il est de nouveau engagé dans la bataille des idées, et se moque bien des échecs électoraux de ses godillots de candidats locaux, fussent-ils ministres ! S’il gagne à nouveau, il reconstruira un parti éphémère sur les ruines du précédent, sachant que n’importe quel défonceur de tête à coups de casque, ou n’importe quelle mordeuse de taxi fera l’affaire, du moment que sur l’affiche, à côté de leur tête, il y aura la sienne ! Face à lui, il faut donc un homme qui n’aura que faire – comme lui – du ” combat électoral”.

A lire aussi: Et si la gauche radicale votait Le Pen pour sanctionner Macron?

Les tribunaux veulent faire taire Zemmour

Un homme qui, comme lui, se contentera, pour conquérir le pouvoir, d’un parti ad hoc, une sorte d’avant-garde éclairée, formée de ses partisans, qui inondera la presse et les réseaux d’informations enthousiastes le concernant, pendant que lui se concentrera sur le “combat des idées”. Les idées d’Éric Zemmour, les Français les connaissent, car il les a exposées depuis plus de dix ans dans ses livres et ses émissions, avec constance et clarté. Ils savent qu’elles sont à l’exact opposé de celles de Macron, à l’exact opposé du politiquement correct imposé par des lois iniques. Ils savent aussi qu’il a le courage de défendre sa liberté de penser – et donc la nôtre – jusque devant les tribunaux.

Un message toujours identique, sans variations et retournement, un message clair, un message fort qui n’a pas peur de designer l’ennemi et qui ne renonce pas sous sa pression, voilà ce qu’attend aujourd’hui une foule. Or, soumis depuis trois ans aux mêmes évènements traumatisants, entravé, réprimé, malheureux, que sera le peuple français en avril prochain, sinon une vaste foule ? Il se pourrait bien qu’il concrétise alors ce “désir de Zemmour” dont déjà bruisse le pays.

14:31 Publié dans Présidentielle 2022, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Cette vaccination qui rend fou

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Philippe Randa

Trois cents soignants italiens viennent de saisir la justice de leur pays pour obtenir la levée de Il’obligation imposée au personnel médical et sanitaire de se faire vacciner contre le COVID-19. « Ce n’est pas une bataille des “no-vax”, mais une bataille démocratique. On oblige des personnes a prendre un risque sous peine de ne plus pouvoir exercer leur profession », explique l’avocat constitutionnaliste Daniele Granara qui a lancé la procédure et qui est déja l’avocat de nombreux soignants suspendus pour avoir refusé de se « faire piquer ».

Quant a la chronique déjantée d’Emmanuel Lechypre, l’éditorialiste de BFM TV, chaîne officielle de la Macronie chancelante, le 29 juin dernier, elle n’a pu qu’enflammer un peu plus certains esprits déja proches de l’incandescence : « On vous vaccinera de force, moi je vous ferais emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut [...] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, donc j’ai une démarche trés claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

On accuse souvent les complotistes - ces « mauvais Français » de l’époque actuelle - de jeter en permanence de l’huile sur le feu ; mais les porteurs « de la vérité officielle », ne sont pas en reste, on le voit.

Que fera Emmanuel Macron qui avait pourtant dit et répété, pour calmer les esprits, qu’il « voulait aussi étre clair » et « ne rendrait pas la vaccination obligatoire » ? Appliquera-t-il ce principe que les « promesses des hommes politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent » ? Comme avait dit feu Charles Pasqua, passé ex-maître en esbroufe politique.

Tout le laisse supposer, son Premier ministre ayant consulté les présidents de groupe à l’Assemblée nationale pour « réfléchir à l’appliquer pas seulement aux soignants mais (à) l’étendre « plus largement » toujours selon BFM TV.

Quoi que l’on pense de la vaccination, constatons que celle-ci crée désormais une fracture de plus en plus importante dans l’opinion publique. Et l’on ne peut s’empêcher de songer à ce proverbe d’antan, remis au goût du jour électoral par Martine Aubry en 2011 : « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup… »

Source : Présent 8/7/2021

12:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 07 juillet 2021

L'émission "Synthèse" de cette semaine avec Jean-Michel Vernochet, géo-politiciezn et essayiste

À l’heure actuelle, la mort fauche toujours les hommes en Afghanistan, en Irak, en Somalie, en Syrie, au Yémen et en Libye à cause des guerres impériales au service de Washington ou du mondialisme onusien. Le cas syrien revêt un caractère tout à fait exceptionnel : l’État et son armée n’ont pas été défaits malgré une extraordinaire internationalisation de la guerre. Les promoteurs du chaos par la dislocation des Nations sont toujours à l’œuvre au Levant. Comment cette machine infernale s’est-elle mise en place préparant le terrain aux fureurs de maintenant parmi lesquelles nous devons compter la destruction si peu accidentelle du port de Beyrouth ?

Quant à l’Ukraine, cela fait dix ans qu’elle résonne de sinistres craquements, que l’édifice se lézarde. Mais le mal est structurel, il se trouve inscrit depuis la fin du monde soviétique dans la carte géopolitique des confins de l’Europe. La réalité demeure, l’Ukraine marque la frontière entre plusieurs monde, l’Europe, la grande plaine steppique, le Caucase…

Jean-Michel Vernochet a publié "Retour de flamme en Syrie" et "Chroniques ukrainiennes. L’affrontement Est-Ouest, genèse d’une crise."

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SUR LE CONFLIT SYRIEN,

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mardi, 06 juillet 2021

Du Blackout au Grand Reset

Que nous réserve le Forum Économique Mondial afin de faire avaler le Grand Reset aux peuples de la Terre ?

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11:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La chasse au dahu

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Le billet de Patrick Parment

Les récentes élections régionales n’ont finalement intéressé que par le taux d’abstention élevé et surtout la claque prise par le Rassemblement national. Toutefois, ce cumul région/département a bien mis en valeur qu’il y avait un échelon de trop. Et cet échelon, c’est bien la région. Avec le département, on reste dans des politiques de proximité, autrement plus efficaces que le distributeur à subventions qu’est la région. Ensuite, le préfet peut garder un œil sur les élus et leurs dépenses et les aider à orienter judicieusement leurs objectifs.

Mais, le sujet du jour que clament nos médias, c’est bien le retour de la droite dite républicaine sur le devant de la scène suite à la quasi élimination du RN. Il serait dangereux de croire que le RN a disparu de la scène. En revanche, que Marine Le Pen soit visée en raison de son recentrage quasi droit de lhommesque est évident. Va-t-elle enfin comprendre qu’elle n’est absolument pas crédible aux yeux des Français ? Et que le RN est et est appelé à rester un « gueuloir », du moins dans sa configuration actuelle et au vu de l’entourage direct et des orientations de sa présidente.

De tout cela, les médias en déduisent que la droite républicaine est de retour et accessoirement la gauche. Globalement, la France est à droite, au sens le plus conservateur du terme. Ce que confirme tous les sondages. Elle est en effet grandement majoritaire dans les régions et les départements. Ce qui signifie que la course est bel et bien engagée entre les candidats à la présidentielle. Si, un Jacques Chirac tenait sa boutique à coups de prébendes et d’exclusions, il n’en va pas de même pour Christian Jacob qui doit faire face à un parti divisé, non pas par des courants mais par les candidats potentiels. Tous veulent être vizir à la place du vizir.  On trouve en tête le représentant de commerce Xavier Bertrand qui n’a pas l’intention de se soumettre à une quelconque primaire ; Laurent Wauquiez qui déteste Bertrand, et Valérie Pécresse qui joue la carte féminine. Et, en embuscade, deux autres zozos, le sénateur Bruno Retailleau et Michel Barnier qui comme négociateur en chef sur le Brexit, s’est pris le melon et s’imagine un destin national. La machine Jacob risque de s’enrayer, d’autant que notre homme se verrait bien soutenir le farfadet François Baroin. Voici qui ne va pas manquer d’animer les soirées de leur bureau politique.

A gauche, le scénario est à peu prêt le même, sauf qu’ici ce sont toutes les couleurs d’un socialisme imaginaire qui vont joyeusement s’empeigner. Deux sont à peu près crédibles en la personne de l’écolo Yannick Jadot, qui met une dose de pesticide dans le bio, et notre éternel révolutionnaire en carton pate, Jean-Luc Mélenchon. Au PS, il semblerait que la maire Hidalgo tienne la corde avec laquelle elle ira vraisemblablement se pendre. Et puis n’oublions pas un petit trublion nommé Arnaud Montebourg qui a repeint le socialisme d’une couleur nationaliste avec son Made in France.

La seule chose dont nous soyons à peu près sûr, c’est que les Français aimeraient dégager Emmanuel Macron et son parti fantôme. Avec lui, on ne sait sur quel pied danser, sauf à baigner dans la marmite libérale, bruxelloise, le tout demeurant sous la férule américaine.

On a déjà répondu à la question de savoir pourquoi les Français s’abstiennent d’aller voter : parce qu’ils ne trouvent pas d’homme ou de parti capable de refléter leurs idées et surtout proches de leurs préoccupations. Et ces idées sont essentiellement conservatrices. Ce qui déplaît fortement à la doxa environnante. C’est la raison pour laquelle il est bien difficile de faire le moindre pronostic sur la prochaine présidentielle. Or, c’est demain !  « Et y a person » comme le chantait le regretté Nino Ferrer.

01:18 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un empire colonial oublié...

Roussillon.jpgGeorges Feltin-Tracol

Les vacances estivales approchent. L’instant est favorable pour suggérer quelques lectures agréables et instructives. Certes, le livre présenté aujourd’hui va mécontenter Assa Traoré et tous les universitaires de l’Hexagone qui ne jurent plus que par l’islamo-gauchisme intersectionnel décolonial inclusif à fort tropisme suprémaciste féministe – trans – saphique.

À la suite de Bernard Lugan qui rédige d’ailleurs la postface et de Rémy Porte, rédacteur de l’avant-propos, Sylvain Roussillon vient de publier chez Via Romana L’épopée coloniale allemande (272 p., 25 €). Les curieux de l’histoire non conformiste le connaissent bien puisqu’il a signé en 2012 chez le même éditeur Les Brigades internationales de Franco et a republié ces derniers temps aux Éditions du Toucan – L’Artilleur L’autre guerre d’indépendance américaine : 1812, le conflit méconnu.

Les Français ignorent qu’à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, le tout jeune État allemand détient des possessions ultra-marines en Afrique avec le Togoland, le Kamerun, le Ruanda–Urundi, le Tanganyika, le Sud-Ouest africain, en Asie avec la ville chinoise de Kiao-Tchéou, et en Océanie avecla partie septentrionale de la Papouasie – Nouvelle-Guinée, les îles Mariannes, Marshall, Carolines ainsi que Nauru.

Longtemps hostile à l’aventure coloniale, le chancelier Bismarck comprend l’insistance des commerçants à trouver des débouchés divers et devine l’avantage géopolitique de maîtriser des territoires extra-européens. Cependant, cet élan ne date pas de la décennie 1870 ! L’auteur revientsur la « préhistoire » de la colonisation germanique outre-mer. Au XVIe siècle, une famille de banquiers, les Welser, cherche à s’implanter à l’Ouest du Venezuela. Le duché de Courlande tente d’investir l’île antillaise de Tobago. Entre 1669 et 1680 existent entre les Guyanes et le Brésil les « Indes hanauriennes » de langue allemande. On trouve aussi le long du littoral africain des comptoirs liés aux entités du Saint-Empire romain germanique.

Si L’épopée coloniale allemande évoque les différentes manières de s’emparer de nouveaux territoires, l’ouvrage mentionne aussi leur perte au cours de la Première Guerre mondiale. Les cas ne sont jamais uniformes. Malgré l’isolement, le manque certain de ravitaillement et la supériorité numérique croissante de leurs ennemis anglo-saxons, portugais et japonais, les colons allemands du Kamerun, du Sud-Ouest africain et de l’Afrique orientale résistent avec une rare ténacité. Ainsi Sylvain Roussillon rapporte-t-il les exploits de Paul Emil von Lettow – Vorbeck qui tient tête à l’Empire britannique jusqu’au 29 novembre 1918. Dans le Pacifique s’activent des équipages « corsaires » sous l’étendard à croix de fer !

Le 26 mai 2021, le gouvernement allemand a reconnu la responsabilité de l’Allemagne dans les massacres de masse en Namibie au moment de la révolte des Héréros et des Namas entre 1904 et1908. L’auteur aborde cette tragédie en l’inscrivant dans son contexte et sans verser dans l’anachronisme tendancieux en vogue chez les incultes. Dommage que l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la Grande-Bretagne ne s’excusent pas auprès des descendants des colons allemands détenus dansdes conditions d’internement effroyables. Londres ne se repent pas de la persécution des Acadiens, des Irlandais et des Boers. Quant à la République française – et non la France, nuance ! -, peut-être responsable du génocide au Ruanda en 1994, elle devrait se préoccuper en priorité du génocide vendéen et enfin indemniser les héritiers, directs ou non, des victimes par une allocation mensuelle versée sur sept générations de 1793 euros.

Rédigée avec brio dans une langue claire, vivante et précise, L’épopée coloniale allemande synthétise et dépasse les travaux de Bernard Lugan et de Rémy Porte. Cet ouvrage en appelle d’autres explorant la colonisation belge, espagnole, italienne, néerlandaise, voire danoise. Il mériterait de recevoir un prix tant son sujet va à contre-courant de l’étouffante narration officielle historiquement correcte.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°221, mise en ligne sur TVLibertés, le 1er juillet 2021.

Source Europe Maxima cliquez là

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APRES LE MARIAGE POUR TOUS, LE VACCIN POUR TOUS ?

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Pieter Kerstens

Comme un virus peut en cacher un autre, par exemple le virus du contrôle généralisé, on s’aperçoit que l’épidémie du Covid-19 a aussi contaminé les esprits et supprimé toute forme de jugement sain.

La plupart des gouvernements européens, sous la contrainte des eurocrates de Bruxelles, nous ont imposé des couvre-feux, des astreintes à domicile et des interdictions diverses depuis 18 mois, sans consultation des assemblées élues ni des citoyens. Par contre, jour après jour, nous avons été matraqués par des informations plus pessimistes les unes que les autres, installant de cette manière un climat d’anxiété et de peur parmi la population.

Protéger les vieux, les obèses, les diabétiques ou les cardiaques ?

Incapables de stopper cette épidémie, d’abord par manque de masques et de tests de dépistages, puis par l’encombrement des services de réanimation et enfin par une gestion calamiteuse de la campagne de vaccination, les princes qui nous gouvernent nous avaient répété plusieurs fois que les vaccins ne seraient pas obligatoires.

En occident, et en Europe en particulier, très peu de virologues ou d’épidémiologistes ont eu la possibilité de nous démontrer que ce SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), en provenance de Chine, suivait une longue liste d’épidémies respiratoires et n’était pas plus mortel que les précédents si l’on suivait 3 règles de bon sens, appliquées ailleurs dans le monde :

  • Port d’un masque en milieu fermé et non aéré.
  • Dépistage des individus contaminés
  • Isolement en quarantaine des malades.

C’est pourtant ce qui avait été appliqué par la France lors du rapatriement de 225 citoyens résidants à Huhan en janvier 2020 qui avaient été mis en quarantaine dans un village de vacances dans le sud du pays et isolés du reste de la population. Résultat = pas de propagation ni d’hospitalisation ! Alors pourquoi cette mesure contraignante n’a-t-elle pas été imposée aux centaines de milliers d’autres malades depuis ? Par manque de volonté et de courage politique !

C’est aussi ce qui est imposé pour toutes les maladies contagieuses (tuberculose, hépatites, choléra, ou autres) partout dans le monde. D’autant plus que les hôtels étant fermés par arrêtés ministériels successifs, il était donc possible de les réquisitionner pour recevoir les dizaines de milliers de malades durant 10 jours en isolement total dans leurs chambres. 

Apartheid, discrimination et séparation.

On en arrive après de longs mois de tergiversation à brûler un cierge et à invoquer la Pachamama pour que le Covid cesse de nous emmerder et de mettre notre économie à genoux.

De nombreux secteurs de l’activité économique en Europe sont proches de l’asphyxie et des dizaines de milliers d’entreprises vont devoir mettre la clef sous la porte à cause des décisions imbéciles de ministres incompétents et arrogants.

Et le pire est en train de se mettre en place : le passeport sanitaire.

En plus du carnet de vaccination, du passeport de voyages et du carnet jaune international, ce « passeport sanitaire » imaginé par les bureaucrates de Bruxelles identifiera les individus vaccinés et leur permettra certains privilèges. N’oublions pas que « la vaccination n’est pas obligatoire », selon les déclarations gouvernementales.

C’est la énième mesure de séparation entre les citoyens, qui empêcherait la propagation et l’extinction de l’épidémie. Ainsi, les avions, les night clubs, les stades, les musées, les salles de concerts, les cinémas, les casinos, les restaurants et autres lieux de rassemblements ne seront plus accessibles à ceux qui ne seraient pas vaccinés ! Plus de rav’parties ou de fêtes sauvages pour les récalcitrants…

Cette discrimination pourrait également être étendue aux métros, trams, bus, agences bancaires, bureaux de la Poste, les agences pour l’emploi, les gares, les salles de shoot, les homes ou les restos du cœur, si l’on veut rester dans la logique et l’esprit de ce nouvel apartheid qui interdirait la mixité entre vaccinés et pestiférés !

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lundi, 05 juillet 2021

MERCREDI 7 JUILLET : JEAN-MICHEL VERNOCHET INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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Des peines d’emprisonnement inouïes pour tous les prévenus : « Tout ce qui est excessif est insignifiant » (Talleyrand)

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Un communiqué de la Ligue du Midi : 

Deux poids/deux mesures

C’est la citation qui vient de suite à l’esprit quand on prend connaissance du jugement du tribunal judicaire concernant l’affaire dite de la fac de droit de Montpellier (22 mars 2018). Déjà, lors de ses réquisitions, le procureur de la république demandait des peines de prison pour l’ensemble des sept prévenus allant jusqu’à 18 mois avec sursis pour les organisateurs et 1an ferme pour les exécutants.  Les observateurs avaient trouvé la position du procureur très salée à l’enseigne de Médiapart, pourtant peu suspect de connivence avec les identitaires-patriotes qui titrait : « Le procureur requiert lourdement dans l’affaire de Montpellier ».

Le jugement de première instance vient de tomber le 2 juillet2021, passant de l’excessif à l’outrancier (voir tableau), sauf pour Philippe Pétel (le Doyen) qui conservera la même peine (18 mois avec sursis mais seulement assortie de 2 ans d’interdiction d’exercer -au lieu de 5 ans- dans toute fonction publique). Traitement similaire pour Martial Roudier qui conserve 1 an de prison ferme, alors qu’il n’était pas présent à l’intérieur des locaux.  Il était difficile d’aller au-delà sans friser le goulag.

Ces condamnations sont d’autant plus inouïes, que l’on assiste en France à une multiplication des violences graves comme celles des policiers brulés à Viry-Chatillon – (3 prévenus acquittés en appel- (aucune comparaison avec les 3 jours d’ITT de la fac de droit) qui sont de moins en moins lourdement condamnées et que la future loi Dupont-Moretti va s’inscrire dans le sens du laxisme. La pratique du « deux poids/deux mesures » a de beaux jours devant elle.

La double peine pour les enseignants

On notera que pour les deux enseignants, les condamnations à de la prison (avec sursis pour le doyen et ferme pour le professeur) voient se surajouter une mesure de 2 ans d'interdiction d'exercice dans toute fonction publique. Si ce n’est pas une mesure de double peine, ça y ressemble fortement et en tous cas, ça va à l’encontre des sempiternelles déclarations du ministère de la justice quant à la réinsertion sociale des condamnés une fois leur peine accomplie. On sait les difficultés de Coronel de Boissezon à retrouver du travail dans sa branche d’activités. Et ne parlons même pas d’une réembauche dans la fonction publique qu’on n’ose pas imaginer même dans le monde des Bisounours.

Le préfet Pouëssel, grand absent du procès

Celui qui avait le pouvoir d’éviter tout ce charivari fut aux abonnés absents durant toute cette nuit du 22 mars ainsi que dans la suite de la procédure. Le doyen qui l’a sollicité plusieurs fois n’a jamais obtenu le concours de la force publique malgré ses demandes pressantes. Pire, une réunion de coordination s’est tenue en Préfecture ce soir-là vers 18h00 au cours de laquelle il fut décidé de ne rien décider. Or c’est à partir de 19h00 que les choses ont commencé à dégénérer de façon crescendo. Le paroxysme fut l’humiliation du doyen par un groupe de jeunes femmes hystériques lui balançant leurs tampons hygiéniques maculés sous les quolibets. Vers 23h40 un professeur était frappé au visage et le doyen était menacé dans son intégrité physique par les professionnels de l’agitation gauchiste. Les Renseignements Généraux, étaient bien informés, car présents dans la fac de droit durant toute la soirée. Mais le préfet resta sourd et muet. Ne pas se salir était sa priorité, ne pas prendre de décision. Laisser faire le sale boulot à d’autres puis sévir « au nom de la loi ». Lamentable…

A l’échelon du dessous, le président de l’université qui imposa au doyen Pétel la tenue de cette soi-disant réunion d’information au profit de syndicats et de diverses associations, le 22 mars (date anniversaire de la création du Mouvement du 22 mars 1968 du sinistre Daniel Cohn-Bendit). Le doyen Pétel eut beau exprimer son désaccord, il dut consentir à laisser le loup rentrer dans la bergerie. Ce qui devait arriver arriva et la réunion d’information bascula en Assemblée générale gauchiste avec décision d’occupation des lieux, reconfiguration de l’espace et autres délires gauchistes de leur grand soir rêvé. Durant ce soir-là, le Président de l’université était au restaurant… et eut le toupet de diligenter une commission d’enquête administrative et de lâcher le doyen à la meute gauchiste et médiatique.

On se serait délecté de voir les deux comparses de la haute administration dans le prétoire pour répondre à certaines questions impertinentes des avocats des prévenus.

La thèse de la rixe balayée par le tribunal

D’après un témoin oculaire (neutre) présent dans l’amphi, les occupants illégaux étaient au nombre de 64, les « débloqueurs » quant à eux étaient une quinzaine comprenant outre les prévenus, des professeurs, des membres du personnel d’incendie, du personnel de la fac, des étudiants… Ce fut une belle empoignade au cours de laquelle il y eut des coups échangés des deux côtés et l’on s’étonne que les gauchistes bien identifiées ne se soient pas retrouvés en tant que prévenus au tribunal à côté de nos camarades. En renfort de cette thèse on retiendra la piteuse sortie en début d’audience de l’avocat des parties civiles Maitre Demersseman accompagné des huit parties civiles (1 jour d’ITT pour trois personnes). Après avoir geint pendant trois ans devant la presse, prétendant qu’on ne les écoutait pas, mais craignant sans doute d'avoir à répondre de leurs propres infractions, ces révolutionnaires à géométrie variable, se sont débinés honteusement, continuant à jouer les martyrs devant les caméras de télévision (FR3 en particulier dont la sympathie pour l’extrême gauche n’est plus à démontrer) en dénonçant la « justice bourgeoise ».

L’absence de preuve devient une preuve

Martial Roudier qui a toujours nié sa participation, que personne n’a vu sur les lieux, qu’aucune partie civile ni aucun prévenu n’a mis en cause, qui était présent alentour de la fac pour « couvrir l’évènement » en tant que journaliste pour Lengadoc-info… se voit assommé par un an de prison ferme. Pourtant, aucun élément tangible quant à sa présence à l’intérieur de la fac et le procureur nous a expliqué qu’il avait le profil pour gérer « la direction matérielle du groupe »...En fait une argutie peu compatible avec le droit.

Argument massue pour justifier cette condamnation :  son téléphone a borné au centre-ville … or, Martial n’a jamais nié lors des interrogatoires avoir circulé ce soir-là comme des centaines de personnes autour de la fac. de droit, dans le cadre de son reportage pour Lengadoc-info mais pas à l’intérieur de la fac.

IL est bien évident que le fait qu’il n’y ait aucune preuve, constitue pour le procureur une preuve et que le fait qu’aucun des 64 gauchistes présents ce soir-là n’ait reconnu Martial, alors que les groupes se sont affrontés les yeux dans les yeux, devient pour la justice un élément à charge, la preuve qu’il s’est dissimulé. Au secours Fantômas revient, porteur dans sa besace de la présomption de culpabilité… et puis quelques lampistes puisés dans la mouvance identitaire-patriote, « ça ne mange pas de pain » !

Mais pour le procureur Bélargent ce qui importe, c’est la tenue vestimentaire. Martial porte des jeans de chez Celio, se chausse chez Décathlon et possède un sweat à capuche de couleur noire comme la moitié des jeunes de Montpellier, ce qui en fait évidemment le coupable idéal. Mais de visage, point ! de témoins, point ! d’empreintes papillaires, point ! d’ADN, point ! de plaintes de parties civiles, points ! de témoignages, points ! de révélations d’ordinateur ou de téléphone portable, point ! d’aveux, point ! point ! point ! point !

Mais Martial porte le gros handicap de s’appeler Roudier comme le fondateur de la Ligue du Midi que la presse parisienne avec sa « Kolossalle finesse » nomme : le fils Roudier...

Messieurs les magistrats ont cru plaire à la gent  anarcho-gauchiste. Mais ceux-ci n’ont pas été dupes qui réclament toujours plus ; sur une pancarte relevée sur les grilles du Palais de Justice on pouvait lire : « 7 prévenus… Où sont les autres ? »

Rendez-vous en appel pour le deuxième round ! Pour un arrêt qu’on espère débarrassé de ses oripeaux politiques.

La Ligue du Midi cliquez ici

La réaction de Pierre Cassen de Riposte laïque cliquez là

12:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bourses : le conte de fées post-Covid pourrait bien virer au drame

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Marc Rousset

Wall Street finit, ce vendredi, à des niveaux record, portée par les 850.000 postes créés en juin. La Bourse de Paris affiche un repli de 1,06 % sur la semaine, mais une hausse de 17,25 % depuis le début de l’année (14,59 % pour le Dow Jones et 14,01 % pour le DAX). Pourtant, avant même la crise du Covid, début 2020, certains économistes criaient déjà au loup et au krach à venir… Alors, où est l’os ? Que se passe-t-il ?

Suite à la crise du Covid, le CAC 40 a progressé de +75 % depuis son point le plus bas du 18 mars 2020. Le CAC 40 a même dépassé le sommet de 6.168 d’avant la crise des subprimes en 2008, et il tangente à 6.552, le sommet historique de 6.922 du 4 septembre 2020 d’avant l’éclatement de la bulle Internet !

Si l’on écoute Bruno Le Maire, tout va très bien ! Même pas besoin d’un second plan de relance à la Joe Biden. La croissance sera de 5 % en 2021, 6 % même selon l’INSEE. Le rebond de l’économie en septembre dépendra seulement de la vaccination et d’un plan d’investissements publics dans les secteurs innovants en jouant la carte de la coopération en Europe. La seule mesure qui s’impose, c’est la retraite à 64 ans, après le retour à l’équilibre de l’assurance chômage, et 321.000 emplois seront de nouveau créés en 2021. Quant à la BCE, elle s’engage à maintenir une aide de création monétaire jusqu’en mars 2022, soit 80 milliards d’euros mensuels du plan PEPP et 20 milliards d’euros mensuels du programme traditionnel d’achats (APP). L’inflation, elle, culminerait à 2 % pendant l’été, mais régresserait ensuite pour atteindre environ 1,5 %.

Aux États-Unis, même conte de fées pour le « progrès historique » selon Joe Biden, avec un taux de croissance de 7 % en 2021, le plus élevé depuis 1984, et un taux de chômage de 5,9 % ! La Fed doit continuer son programme d’achat de 120 milliards de dollars mensuels, dont 80 milliards d’obligations d’État et 40 milliards d’actifs adossés à des prêts hypothécaires (MBS). Tout va donc très bien aux États-Unis, nonobstant les 6,8 millions d’emplois qu’il manque encore par rapport à février 2020.

Alors, vive le Covid qui ne serait pas un virus mais bel et bien un don du ciel pour faire monter les Bourses ! La deuxième jambe de descente des cours aux enfers lors de la crise de 1929, non seulement n’a pas eu lieu en 2020, mais a été remplacée bien au contraire par une montée lente et continue jusqu’à fin 2020 et premier semestre 2021. Mais si les Bourses ont monté, c’est uniquement parce que les États ont distribué à gogo de l’argent emprunté qu’ils n’avaient pas et parce que les banques centrales ont pratiqué une politique monétaire non conventionnelle en actionnant la planche à billets du « QE » ! Il n’y a donc pas de miracle Covid !

La dette de la France, suite à la facture astronomique de 424 milliards d’euros du « n’importe quoi, quoi qu’il en coûte » de la crise sanitaire entre 2020 et 2022, atteint aussi un record absolu effrayant ! La baisse de la dette prévue à 118 % du PIB pour 2027, c’est du pipeau ! Les étrangers n’achètent plus d’ores et déjà la dette de la France. Grosso modo, le stock actuel de la dette française, c’est 25 % pour les établissements français, 25 % pour la BCE et 50 % pour les étrangers. Même schéma, à quelques nuances près, aux États-Unis, avec un endettement démentiel et le risque croissant de la crise à venir du dollar. La France est, en fait, déjà en faillite avec des taux proches de 0 %, mais seule l’augmentation naturelle des taux d’intérêt provoquera la banqueroute.

Il ne faut pas oublier, non plus, l’affrontement Chine-USA, les risques sanitaires possibles du variant Delta, le risque d’inflation qui pourrait ne pas être transitoire aux États-Unis (prix des maisons +14,88 % en un an) si la vitesse de la circulation de la monnaie augmente, les délocalisations qui continuent sournoisement et le chômage structurel qui risque de s’accélérer avec le télétravail des services dans les pays émergents…

Toutes choses égales par ailleurs, nous venons d’éviter la crise de 1929 à deux reprises, en 2008 et en 2020, avec des moyens non conventionnels, mais la contrepartie, c’est que nous nous dirigeons vers le « Méga1929 » du siècle des siècles, avec l’effondrement du système, l’hyperinflation et l’écroulement des monnaies. Nous vivons présentement les roaring twenties des années 1920. Les Français ont en fait une dette de 7.000 milliards d’euros, soit plus de 100.000 euros par habitant impossible à rembourser, si l’on tient compte des dettes hors bilan ! Voilà la triste réalité. Les Bourses qui montent actuellement jusqu’au ciel, c’est tout simplement l’arbre qui cache momentanément la forêt de la décadence économique et civilisationnelle de l’Occident, et plus particulièrement de la France et de l’Italie.

Lire Boulevard Voltaire cliquez là

12:07 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Où va l’Europe ?

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Le grand écrivain algérien, Boualem Sansal, réputé pour son indépendance d’esprit, et qui vit en Algérie envers et contre tout, est tourmenté par le destin du Vieux continent. L’Union européenne ne s’assume pas comme puissance et se renie comme civilisation, estime-t-il. Un bilan qui ne manque pas de nous interpeller par la justesse du regard. (Source : Le Figaro 3/4-07-2021)

A lire ICI

11:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 juillet 2021

Violences conjugales Allah mode de chez eux !

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La chronique de Philippe Randa

L’affaire Valérie Bacot vient de défrayer la chronique judiciaire française : à peine condamnée et libérée à la barre pour avoir envoyé en un enfer mérité son tourmenteur violeur, proxénète et alcoolique, elle se retrouve néanmoins « vidée mentalement et physiquement » par des années de violences et d’humiliations. Au moins, est-elle en vie.

Outre-Rhin, autre exemple de violences conjugales, mais sur fond de religion, cette fois. Avec une victime envoyée ad patres.

Un Syrien de 32 ans a en effet définitivement réglé à coups de couteau les ardeurs extra-conjugales de celle qu’il avait épousé enfant, blessant au passage son amant.

Une fois la colère passée, regrette-t-il son acte comme c’est souvent le cas dans ce qui n’aurait pu être qu’un dramatique fait-divers comme tous ceux qui hélas ! jalonnent l’histoire de l’humanité ? Que non ! Au contraire, c’est avec fierté qu’il assume son geste, conscient avant même son passage à l’acte qu’il « irait en prison pour cela », comme il l’avait confié à son frère.

Un meurtrier, parfaitement conscient de son acte donc ! et « droit dans ses babouches » pour avoir puni son épouse. C’est qu’il en avait parfaitement le droit selon lui, et de revendiquer la charia, se référant au Coran (4 :34) : « Les hommes ont autorité sur les femmes parce qu’Allah a rendu les uns supérieurs aux autres, et parce qu’ils dépensent leurs biens pour les entretenir. Les femmes bonnes sont obéissantes. »

Le tribunal de Baden-Baden l’a, certes, condamné à la prison à vie, mais nous rapporte le site LesObservateurs.ch, sans « reconnaître la “gravité particulière” de la faute. Dans ce cas, une libération anticipée après 15 ans aurait été pratiquement impossible. »

Mesdames, vous êtes prévenues… tout comme les 72 vierges dont cet illuminé s’attend sans doute à bénéficier au paradis d’Allah !

EuroLibertés cliquez ici

19:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Impasse du Rassemblement national

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Vincent Trémolet de Villers

Jusqu’ici, le Rassemblement national était le parti roi du premier tour. La liturgie était rodée : résultats spectaculaires, visages déconfits des adversaires, stupeur, tremblements et République en danger. Suivaient la quinzaine antifasciste, ce mauvais théâtre dénoncé par Lionel Jospin, puis l’échec au second tour du candidat du RN. Aux élections régionales, les électeurs de Marine Le Pen se sont privés de ce maigre plaisir. Cette fois, la baudruche enfla si fort qu’elle creva. Depuis des semaines, le travail conjugué des sondeurs, des ministres, de la sphère médiatique plaçait le RN au sommet mais la vérité des urnes a rappelé une réalité brutale: c’est une force politique aussi puissante (elle oscille autour de 20 %) que stérile (elle échoue systématiquement à devenir une proposition majoritaire).

Jusqu’ici, les électeurs défaits se consolaient dans les transgressions cathartiques. Mais désormais, le cri de rage contre la doxa se fait davantage par l’abstention que par le vote Le Pen. La fonction tribunitienne s’est effacée sans que la légitimité à gouverner n’ait avancé d’un pouce. Pile, tu perds toujours, face, tu ne gagnes jamais. On comprend qu’à un tel jeu, le RN trouve de moins en moins de pratiquants. Reste tout ce qu’il nous dit du déséquilibre démocratique contemporain : par le mode de scrutin, des millions d’électeurs ne sont pas représentés ; par lâcheté, les maux qui frappent notre pays, abandonnés au Rassemble- ment national, n’apparaissent que sous une forme émotionnelle ou caricaturale. Aux sujets qui fâchent - insécurité, immigration, déclassement économique, affaissement moral, terrorisme – se substitue une confortable lutte contre le Front national... Il s’agit moins d’améliorer la vie des Français que de faire reculer un parti politique. Comment s’étonner ensuite du niveau affligeant de notre vie civique ? C’est la bonne nouvelle de ce scrutin : battre Marine Le Pen ne suffit plus à faire un programme. Il va donc falloir que ses adversaires se mettent à réfléchir, à travailler et peut-être même, sait-on jamais, à gouverner.

Source : Figaro 3/7/2021

11:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 03 juillet 2021

OUI, LA HONGRIE EST NOTRE VIGIE, NOTRE SENTINELLE À TOUS !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

L’Europe est malade. Encore une fois cette « Europe maléfique », - entendons-nous bien, je pèse mes mots -, pas cette vieille civilisation judéo-chrétienne et gréco-latine, dont il serait superflu ici, d’exalter la grandeur passée, non, ce « machin » insupportable dont les institutions siègent à Bruxelles, à Strasbourg et à Luxembourg. À savoir, la Commission européenne, le Parlement et les institutions judiciaires supranationales qui pèsent sur notre libre-arbitre, qui obèrent notre indépendance nationale. N’est-ce pas Ursula Von der Layen qui est venue à Paris, tel un Gauleiter du Reich pour donner son feu vert à la France sur l’utilisation des prêts européens ? La suzeraine germanique visitant, en quelque sorte, son vassal Franc, comme au cœur du Moyen-Âge ! Cette Europe-là, celle des boutiquiers et des banquiers est devenue folle !

Un sommet européen qui se transforme en tribunal

Elle s’est encore distinguée à l’occasion du sommet européen du 24 juin dernier, où l’on a assisté à un véritable déchainement d’actes et de déclarations hostiles à l’égard de la Hongrie. Le premier ministre hollandais, Mark Rutte, à peine réélu dans son pays, a même déclaré que « la Hongrie n’avait plus rien à faire dans l’Union européenne ». De quel droit ce « Batave » se permet-il de juger un partenaire sérieux, membre éminent du « groupe de Visegrad » qui, lui, défend les vraies valeurs européennes ?

Pourquoi une telle hostilité ?

Tout simplement en raison d’une nouvelle loi hongroise interdisant tout prosélytisme en faveur de l’homosexualité, du « gender » et autres variétés LGBTQ en direction des enfants. D’Ursula Von Der Layen, la présidente de la commission de l’U-E, à Didier Reynders, autre commissaire européen, en passant par le ministre allemand des affaires européennes, Michael Roth (SPD), - lui-même homosexuel qui prêche pour sa chapelle -, ils y sont tous allés de leur couplet condamnant Budapest. Roth a déclaré que « Cette loi est contraire à tout ce que nous considérons comme nos valeurs européennes communes ». La commissaire européenne à l’égalité, la  maltaise Helena Dalli, - pourtant issue d’une île, Malte, qui est une terre bien catholique -, y est allée elle aussi de son petit crachat : - « Bruxelles est prête à prendre contre la Hongrie des sanctions similaires à celles prises contre les régions polonaises créant des zones sans LGBT. Ce message est que si vous ne respectez pas les valeurs démocratiques ou égalitaires de l’Union européenne, vous n’avez pas le droit de collecter des fonds pour vos projets ».

Les Américains s’en mêlent

Même l’ambassade des États-Unis à Budapest a fait savoir que, citons son porte-parole, « les gouvernements ont le devoir de promouvoir la liberté d’expression et de protéger les droits humains, y compris les droits de la communauté LGBTQ ». Même son de cloche de la part de Clément Beaune, notre ministricule chargé des affaires européennes, qui sait de quoi il parle, a dit que « jusqu’à présent il y a eu des problèmes avec l’Etat de droit en Hongrie, mais il est tout à fait nouveau qu’il cible délibérément et directement un certain groupe de personnes, en l’occurrence les personnes LGBTQ ». Or, désolé de contredire ces Messieurs… dames, c’est la Hongrie qui défend les valeurs qui devraient être celles protégées par cette nouvelle Union soviétique libérale/libertaire qu’est l’U-E. D’ailleurs, Zoltan Kovacs, porte-parole lui du gouvernement hongrois, a répondu à tous ces censeurs, en ciblant du tac-au-tac Ursula l’Allemande : - « En tant que mère de 7 enfants, - et oui, l’Ursula elle a donné pour la patrie allemande ! -, vous comprenez sûrement l’importance de pouvoir éduquer vos enfants sur ces questions sensibles comme bon vous semble (…) C’est l’objet de cette loi, de même que la création de graves conséquences pénales des actes de pédophilie (…) », sous-entendu la mise en place de sanctions contre la pédophilie. Et de poursuivre, « En tant que démocrate-chrétien, avec quelle partie de ce qui précède avez-vous un problème ? Au lieu de mener les batailles de l’idéologie du genre, nous nous concentrons sur les choses importantes : la protection et le développement sain des enfants en Hongrie, et la préservation des droits des parents d’éduquer leurs enfants sur ces questions sensibles », a-t-il expliqué sur son blog. Oui, en quoi la Hongrie serait-elle devenue un État de non droit ? Légiférer avec une majorité parlementaire issue des suffrages populaires, pour protéger l’enfance, serait donc contraire aux valeurs de cette Europe-là ? Ce n’est pas notre conception. Nous, qui sommes attachés à notre civilisation traditionnelle, nous défendons forcément les valeurs familiales. Protéger les enfants, les laisser libres de leurs choix au moins jusqu’à l’âge de l’adolescence, de la maturité, de la majorité, sans bourrage de crâne prématuré, voilà le crime législatif commis par la Hongrie. Là encore, on marche sur la tête !

Les  objectifs de la Hongrie au plan européen 

Si nous en croyons ce qu’a écrit Viktor Orban, le Premier ministre magyar, ses propositions ne sont pas si éloignées des nôtres, en tout cas celles de nôtre famille d’esprit, celles de la « droite nationale », au sens très large du terme. C’est-à-dire tous les citoyens qui sont attachés à l’identité et à la souveraineté de leurs patries, dans un cadre coopératif européen. D’ailleurs, les partis européens arbitrairement classés à « l’extrême-droite » ont entrepris une démarche commune pour réformer l’Union.

Le gouvernement de Budapest, dans un long communiqué en 7 points, s’est exprimé contre le super État que semble vouloir édifier la Commission européenne. Il précise que les décisions devraient être prises par des dirigeants élus et non pas influencées par des ONG, notamment en matière migratoire. On sait que la Hongrie est en pointe  dans la lutte contre l’immigration illégale, n’acceptant de demande d’asile qu’exprimée en dehors de ses frontières, et refusant la répartition des illégaux échoués à Lampedusa, Lesbos ou ailleurs. Il ajoute une remarque qui va dans le sens de la coopération intergouvernementale, en insistant sur le fait que si nous ne parvenons pas à être plus efficaces ensemble plutôt que chacun dans notre coin, alors c’en serait fini de l’Union européenne. J’observe que les succès européens ont été pensés et réalisés, au début en tout cas, totalement en dehors de l’U-E, à savoir les programmes AIRBUS ou Ariane Espace. Cela devrait nous interpeller sur l’utilité des institutions européennes, rappelons-les, Commission, Parlement et CJE ! Et pour terminer sur le sujet, abordons le point numéro 5 de cette déclaration, relative à l’immigration : - « La prochaine décennie sera l’époque des défis dangereux : la migration de masse et les pandémies nous menacent. Nous devons défendre les citoyens de l’Europe. » Il n’y a là rien de scandaleux, ou alors, cette Europe fondatrice « des six », cette belle Communauté européenne née de la fusion de la CECA et d’Euratom pour devenir le  marché commun, est-elle devenue cette folle tour de Babel à 27, incontrôlable, devenue la proie des lobbies divers et (a)variés ? Il est temps que toutes celles et tous ceux qui professent les idées de souveraineté nationale, accouchent d’une vision claire à l’égard des institutions européennes et fassent de crédibles contre-propositions pour faire vivre une véritable Europe. Une Europe réellement européenne, enracinée, assise redisons-le, sur les  traditionnelles valeurs familiales d’ordre et de progrès.

A propos de la Hongrie, Jean-Claude Rolinat est l'auteur du livre :

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Parution du nouveau numéro (n°70) de Réfléchir et agir

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En kiosques : 7,00 €

12:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le regard de Christine Deviers-Joncour sur l'état du monde

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On se souvient de Christine Deviers-Joncour impliquée dans l’affaire Roland Dumas au sujet de la vente des frégates à Taïwan. Très proche de Roland Dumas, elle avait été employée de 1989 à 1993 par le tout puissant pétrolier d’alors Elf-Aquitaine et accusée d’avoir encaissé de l’argent provenant de rétrocommissions. Elle fera cinq mois et demi de prison à Fleury-Mérogis. Et elle publiera un livre sur le sujet : La Putain de la République. Retirée des affaires, elle n’en suis pas moins l’actualité. Christine Deviers-Joncour a vécu la face obscure du monde politique qu'elle dénonce depuis plusieurs années. 

Voici sa dernière contribution. Ca mérite le détour.

A lire ICI

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Journal du chaos

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09:04 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 juillet 2021

Le destin de la France au doigt mouillé

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Natacha Polony

II tient a peu de chose, l'avenir d'un pays, quand sa Constitution, pensée pour I’« homme du destin », deux fois sauveur de la nation, permet a des petits personnages d’exercer leur toute-puissance.

Lire la suite ICI

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La gauche médiatique rêve d’un monopole

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Mathieu Bock-Côté

La récente une de Libération cherchant à diaboliser des médias accusés de verser dans le « crime de pensée » surprendra seulement ceux qui ignorent cette vérité fondamentale de la politique contemporaine : rien n’est plus intolérant qu’un journaliste de gauche qui se prend pour un journaliste objectif. Ivre de vertu, convaincu d’œuvrer pour la vérité, accusant ceux qui ne voient pas le monde comme lui de véhiculer des fake news, il s’exaspère de l’apparition d’une presse rivale, qu’il nomme presse d’opinion, dans la mesure où les opinions qui s’y expriment ne sont pas les siennes.

Très vite, il décrète qu’il s’agit d’un média « de droite », le terme suffisant naturellement pour le décréter suspect. Mais qu’est-ce qu’un média «de droite»? C’est un média où les représentants de cette famille d’esprit ne sont pas accueillis comme des malpropres, où elle parle en son propre nom sans qu’on se contente de prétendre dévoiler ses arrière-pensées, nécessairement coupables.

Quel est le rôle des médias en démocratie ? Nombre de journalistes de gauche confessent leur nostalgie de l’entrevue en forme d’interrogatoire, où le suspect idéologique du moment était soumis aux questions tirées de l’orthodoxie. La gauche idéologique est fondamentalement cléricale. Derrière l’inquiétude affichée devant l’émergence de médias « de droite » se dévoile une peur panique : celle d’une perte du monopole sur la mise en récit légitime de l’existence collective. Celle de ne plus pouvoir décréter unilatéralement ce qui est scandaleux, ce qui relève de l’émouvant et du répugnant, de l’essentiel et du fait divers. Il ne tolère pas qu’on hiérarchise l’information autrement qu’il ne le fait.

Le foisonnement des informations caractérise notre temps, et leur mise en perspective devient une activité démocratique fondamentale. Plusieurs se désolent de la multiplication des plateaux de débats à la télévision. À tort. Le propre de l’émission de débats à la française est de mettre l’actualité en contexte, et de faire porter la querelle sur la bonne manière d’interpréter les faits. Elle permet aux contradictions qui traversent l’époque de resurgir au cœur de la cité et de structurer la vie publique.

Il faut pratiquer une sociologie de l’étiquetage médiatique, en s’intéressant aux concepts qui la fondent. Ainsi, quand on présente un intellectuel comme un «polémiste xénophobe», ou un magazine d’information comme un « hebdomadaire ultraconservateur », sans qu’on prenne la peine d’expliquer ce qui distingue le conservateur ordinaire de l’ultra, on le fait explicitement pour diaboliser. L’étiquette ne sert pas à décrire mais à décrier : elle marque publiquement l’intellectuel délinquant. Elle permet d’en appeler à son congédiement, à sa mise à mort professionnelle et à son bannissement par les annonceurs, pour conduire le titre qui l’engage à l’asphyxie financière.

On le voit aussi avec l’usage pavlovien du concept d’extrême droite, à la définition toujours aussi vaseuse, qui sert surtout à infréquentabiliser celui à qui on l’accole, en le transformant en figure diabolique contre laquelle on mènera une politique relevant de l’exorcisme.  La multiplication dans les médias de «  spécialistes de l’extrême droite » traités comme autant de démonologues compétents faisant le portrait du lépreux à maudire donne une apparence de scientificité à ce lynchage symbolique. L’extrême droitisation du désaccord peut même aller jusqu’à la répression juridique, comme on le voit quand un journal passe devant les tribunaux.

Les insultes viennent en grappe : le méchant de service sera alors jugé raciste, sexiste, xénophobe, homophobe et islamophobe, comme s’il ne devait plus rester la moindre parcelle d’humanité sauvable chez celui qu’on appelle le haineux. La gauche médiatique nomme « libération de la parole raciste » la réaction d’un peuple qui ne veut pas mourir. Elle qualifie de phobies le refus de céder aux caprices « minoritaires ». Le monde d’hier et ses restes doivent se dissoudre et ceux qui le défendent doivent être purgés de la vie publique, car leur parole risquerait de réactiver les mentalités traditionnelles d’un peuple inhibé qui pourrait être tenté par l’insurrection démocratique s’il la jugeait possible.

La gauche idéologique redoute le pluralisme médiatique, car à travers la diversité des points de vue se révèle une conception du débat public substituant au sens de l’histoire le pluralisme des valeurs et des visions du monde, ce dernier autorisant l’expression d’idées qu’elle voudrait condamner aux marges, à la manière de croyances résiduelles, périmées, contraires à l’interprétation biscornue qu’elle propose de la démocratie. Il permet la formulation d’idées qu’elle voudrait maudire, même éradiquer. Elle préfère conspuer plutôt que débattre, certaine d’être en possession exaltée de la vérité.

Source : Le Figaro 26/06/2021

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Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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jeudi, 01 juillet 2021

Au moment où le pouvoir nous impose le "passeport sanitaire", Florian Philippot (en pointe sur le sujet) s'adresse aux Français

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Le communiqué de Florian Philippot :

L’arrivée aujourd’hui-même du passeport sanitaire européen concentre à elle-seule tout ce que nous combattons : d’un côté la tyrannie covidiste, à travers cet outil de discrimination, et de l’autre côté la tyrannie européiste, qui impose ce passeport au 27 pays membres de l’UE. Hier, le Royaume-Uni a officiellement décidé que l’équivalent du pass sanitaire n’existerait pas à l’intérieur du pays, pour aucun événement ni aucun rassemblement. Voilà un pays libre !

La résistance est là ! Vous l’incarnez. Les Patriotes ne se défilent pas et la mènent, et la mèneront à travers cet été de résistance ! C’est tellement vrai que le gouvernement est désormais obligé de tenter de monter les Français les uns contre les autres pour éviter d’avoir à rendre des comptes, en particulier bien sûr les vaccinés Covid contre les non-vaccinés. À coups de déclarations outrancières, violentes, haineuses, les covidistes font monter la pression pour que les gens se tapent dessus plutôt que de chercher des responsabilités auprès du gouvernement et de l’oligarchie. C’est un projet très vicieux.

Personne ne doit tomber dans ce piège grossier ! Énormément de Français ouvrent les yeux : ils n’accepteront pas la vaccination obligatoire, sont choqués par les passeports sanitaires, boycottent les événements qui sont d’ailleurs annulés les uns après les autres, et c’est une très bonne chose !
Je vous incite donc à tous rester unis, déterminés, optimistes et courageux !

Pour se donner du baume au cœur, et pour montrer que nous sommes un peuple libre et debout, je vous attends ce dimanche 4 juillet sous les fenêtres d’Olivier Véran. N’oubliez pas non plus notre Congrès le dimanche 29 août, les inscriptions seront ouvertes dans les heures qui viennent. Et tout cet été sera un été de résistance, sous 1000 formes différentes ! Je remercie d’avance ceux d’entre vous qui rendront possible cette mobilisation, en adhérant aux Patriotes, en reprenant leur adhésion ou en faisant un don de soutien car nous ne recevons pas un centime de l’État. Les liens pour cela sont en bas de mail.

Je vous attends dans les rassemblements de liberté du week-end :

SAMEDI 3 JUILLET
61 ALENÇON 15h  La Halle au Blé

DIMANCHE 4 JUILLET
75 PARIS 15h  Place Pierre Laroque Paris 7 – avec Florian Philippot

J’évoquais la tyrannie européiste. Ne pensez pas qu’elle soit fondamentalement différente de la tyrannie covidiste : quand nous ciblons l’une, nous ciblons l’autre aussi. Quand nous faisons reculer l’une, nous faisons reculer l’autre. C’est la même oligarchie, la même idéologie, qui nie la liberté des gens et des nations.
Il faut donc bien comprendre pourquoi Macron et son gouvernement, malgré une très lourde défaite électorale il y a quelques jours, ressortent précipitamment l’affreuse réforme de l’assurance chômage et pourquoi ils parlent maintenant de la retraite à 64 ans, alors que Macron avait promis en 2017 qu’il ne toucherait pas à l’âge légal de départ.
Ils le font, parce que ça correspond à leurs vues, mais aussi parce que notre pays appartient à l’Union européenne et l’euro, et qu’à ce titre il n’a plus le choix de ses politiques. Nous sommes soumis à la Finance, qui va contre l’économie réelle, contre la justice sociale, contre la possibilité de créer dans notre pays. Contre la juste rémunération du travail. Contre la dignité.

Cette politique sert les intérêts de l’oligarchie, et en Europe elle sert les intérêts allemands. Nous avons appris cette semaine que l’Allemagne avait roulé dans la farine la France en faisant croire à une coopération franco-allemande sur les avions de patrouille maritime, alors que dans le même temps l’Allemagne achetait du matériel américain,  sans prévenir la France. On nous pille et on nous humilie ! Ça doit cesser ! Et ça cessera !

Nous sommes le camp de la liberté de la souveraineté ! Le camp de l’humanité, du patriotisme français, celui qui sait que toutes les instances supranationales doivent tomber. Celui qui sait que l’épanouissement des gens, des familles, des peuples passe par le respect, la maîtrise de son destin, la souveraineté.

À très bientôt dans les combats ! Les temps sont durs mais ils révèlent la solidité de ceux qui sont animés par les plus belles valeurs qui soient ! Courage, nous allons gagner !

Site des Patriotes cliquez ici

12:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |