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vendredi, 01 janvier 2021

Reiner Fuellmich : Les procès des tests PCR sont imminents

Si la vidéo ne fonctionne pas bien, voici un autre lien : ICI

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Les Meilleurs voeux bolchéviques du Préfet Didier Lallement

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Il doit ignorer que Trotsky est mort assassiné...

«Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables»

Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski (de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein) était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux «agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites». Entre un préfet psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trostski, Lallement fait un double clin d’oeil à un génie de la répression et à ses auxiliaires Blackblocs. Sous des dehors qui se veulent humoristiques il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche.

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Les manifestants qui battront le pavé parisien sont prévenus…

Source : Le Salon Beige

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Bonne année 2021

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jeudi, 31 décembre 2020

Dans son Journal de Bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen rend hommage à Synthèse nationale

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11:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur Métainfos.com, Michel Lhomme commente le remarquable livre de Franck Buleuux,"Le guerre sociale qui vient"

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Source Métainfos.com cliquez ici

Alors que cette nuit, des voitures brûleront, des quartiers s’enflammeront sans que Moussa Darmanin, le ministre de l’Intérieur malgré ses rodomontades ne soit capable d’enrayer le désordre malgré le couvre-feu proclamé et les moyens déployés justifiés habilement par le covid (https://youtu.be/Ae3ZdpBS-co), nous portons aujourd’hui au débat par quatre textes la question d’une éventuelle guerre civile française à l’occasion de la sortie du livre de Franck Buleux chez Dualpha, La guerre sociale qui vient en course ce dernier jour pour le Prix des lecteurs de Présent (appuyer cette démarche de vérité en choisissant cet essai : https://present.fr/votez/). ML.

Michel  Lhomme

Nous soutenons pour le prix Présent 2020, le livre de Franck Buheux, La Guerre sociale qui vient mais il n’empêche que la thèse soulève débat un peu partout.

Y aura-t-il une guerre civile, un soulèvement populaire en France, dans la France dévastée de 2022 à qui de toute évidence, on volera le vote comme aux Etats-Unis quoiqu’il advienne ? On sait que depuis des décennies, on entend un peu partout « cela va craquer », « les gens vont descendre dans la rue », « il y aura une révolution ». D’abord, il est faux de dire que rien ne se passe puisqu’il y a eu les Gilets Jaunes, réprimés à coup d’énucléations, de mains arrachées, puis délégitimés par des policiers casseurs à l’intérieur même des manifestations. Non, il ne s’est donc pas rien passé puisque les bourgeois ont un moment tremblés, des intellectuels comme Luc Ferry ont appelé au lynchage par balles réelles du peuple, que les manifs sont interdites et que la censure est partout omniprésente. Mais il n’y a pas eu de conjonction du mouvement entre banlieues immigrées et patriotes, classes populaires et classes moyennes, ni même division au sein des forces de l’ordre, condition nécessaire à toute révolution, pas de grève générale.

Alors la France se soulèvera-t-elle ? Y aura-t-il « guerre des races », « guerre sociale », séparatisme et conflits civils ou la France moutonnière des masques Covid encaissera sans broncher de se faire spolier, dilapider par le gouvernement et en même temps rosser par la colonisation africaine et l’islamisation rampante du pays ?

Il semblerait bien en effet que deux scénarii se profilent ou :

  • La société française se fracture carrément en deux entités démographiques, raciales, religieuses et sociologiques d’une manière violente (puisqu’il s’agit d’une appropriation classique de territoire) avec les allogènes d’un côté (majoritairement musulmans) et de l’autre, les autochtones, français et européens, de souche, une sorte d’apartheid ce que Macron appelle à tort le risque du séparatisme puisque le premier groupe ne souhaite pas du tout se séparer de la république française mais au contraire se l’approprier.
  • Ou la société française poursuit sa révolution bobo du grand mélange des races et des genres, du fameux « vivre ensemble », s’insérant dans un processus de métissage sous l’empire de l’idéologie arc-en-ciel et d’un libéralisme frivole qui détruit toute racine, toute identité, tout patriotisme, toute transcendance.

En fait, ces deux tendances sont à l’œuvre dans la société française et on les repère en particulier dans la jeunesse, la toute nouvelle génération en général totalement dépolitisée. Or ces deux tendances sont contradictoires et ne sauraient cohabiter ensemble. Il ne saurait y avoir guerre sociale et en même temps idéologie arc-en-ciel. Les troupes de la guerre civile risquent en effet d’être alors fort dispersées et peu motivées.

Comment le mélange des corps, des genres, des races pourrait-il se poursuivre dans la « guerre sociale » et comment une guerre sociale  pourrait-elle advenir dans une société hédoniste où le métissage est déjà chose courante, la consommation le nec plus ultra, la fête et le joint la finalité de tout loisir ?

Nous ne croyons pas trop à un soulèvement populaire mais plutôt à une implosion du système, implosion déjà à l’œuvre et qui s’est même accéléré avec le covidisme en plaçant toutes les institutions françaises en  mode dégradé. C’est pour cela qu’au lieu du soulèvement, nous préférerions privilégierla résistance et le sabotage partout où nous pouvons le rendre possible.

En fait, oui, nous assistons à une sorte d’avant-guerre civile mais qui au fond n’aboutira jamais en guerre sociale ou raciale.

Parmi les no news dont personne ne parle, il y a la poursuite sur tout le territoire de l’immigration, qui s’apparente de chiffres en chiffres comme une déferlante de la misère et de l’incompétence africaine sur la France et l’Europe mais la diversité, l’idéologie arc-en-ciel, le bourrage de crâne de tous les programmes de l’Education nationale (en particulier en langues et en histoire), contrôle la population, neutralise les revendications identitaires, les journalopes veillant au grain sur toutes les chaînes de télévision uniformes.

D’un autre côté, le bourrage de crâne se heurte à la réalité quotidienne de l’insécurité, au lâchage de la police, à l’abandon par l’Etat de sa première fonction régalienne la protection des biens et des personnes sans lequel il ne saurait y avoir de liberté véritable et du coup, autre paradoxe : comment l’avènement complet de l’idéologie arc-en-ciel pourrait-il à son tour advenir dans une société où les tensions sociales, raciales, religieuses, communautaires deviennent monnaie courante ?

Mais alors sur quoi s’orienterait-on ?

Un individualisme radical, celui-là même souhaité par le système, épuisement de la dialectique politique classique du collectif, nourri par une lassitude générale engendrée par la dégradation des services, les violences et les tensions communautaires. Racisme anti-blanc, antiracisme diversitaire ne servent au bout du compte que le système qui ainsi divertit les masses en les détournant des vrais enjeux politiques en cours : l’arraisonnement du monde, la société universelle de contrôle, la post-démocratie totalitaire, la dépolitisation du monde, la grande réinitialisation du capitalisme mondial et ce en dépit de l’apparente érosion spectaculaire de la verticalité du pouvoir.

Chacun sait qu’au final, eux, les étrangers et nous, les « autochtones », les « de souche » n’avons au final qu’un seul ennemi et donc à court terme, dans la lutte présente les mêmes intérêts. Le système a entamé une stratégie facilement identifiable : la stratégie du « peuple contre peuple » pour réduire l’humanité à une quantité domestiquée, à un algorithme mercantile. La guerre civile entraînerait de facto l’épuisement réciproque des populations en les  faisant se combattre entre elles dans l’antagonisme, de ce qui reste encore et dans sa diversité (par exemple ultra-marine) le « peuple français ».

Reste donc la solution de la concertation des peuples, de l’alliance des classes « pauvres » et « moyennes », de l’« alliance ponctuelle » révolutionnaire sans ménagement et concessions aucune contre ceux qui  ont assumé le pouvoir et qui depuis plus de quarante ans ont dilapidé, trahi, mis en friche le pays. Il n’est pas question ici d’un quelconque « sens » de l’histoire mais de l’urgente nécessité d’un grand renversement.

142105332.jpgLa guerre sociale qui vient

Franck Buleux

Dualpha

208 pages, 25 euros

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Démocratie : la leçon anglaise

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Avec le Brexit, les Anglais nous ont montré que leur démocratie était vivante. Natacha Polony, dans Marianne, nous en fait la démonstration. Incontournable, mon cher Watson !

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Nous sommes les patriotes !

Vidéo publiée le 24 décembre 2020

sur Twitter par le Président Trump.

https://twitter.com/realDonaldTrump/s...

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01:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

#PASSEZLEMESSAGE : une initiative intéressante trouvée sur Internet

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mercredi, 30 décembre 2020

DE LA FERMETE, ENCORE DE LA FERMETE, TOUJOURS DE LA FERMETE !

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Pieter Kerstens 

Fermeté et vigilance pour le réveillon du 31 décembre, avec un couvre-feu de 20 h. à 6h.

Le ministre en charge de faire respecter la loi et l’ordre a ordonné aux préfets de prendre des mesures pour lutter en « priorité » contre les rassemblements non-autorisés et les « violences urbaines, surtout le soir de la Saint-Sylvestre ».

DARMANIN-TARTARIN ?

Prendre des mesures fermes pour « s’assurer de l’affirmation de l’autorité de l’Etat en chaque point du territoire national » cela ne mange pas de pain !

Multiplier les contrôles d’identité, les fouilles de véhicules et interdire la vente d’alcool à emporter, non plus.

Mais interdire les fêtes clandestines, les attroupements dans les quartiers ou les feux d’artifice et les tirs de mortiers, va être assez compliqué !

On pourrait toujours espérer que les forces de l’ordre, dont 100.000 policiers et gendarmes seraient mobilisés pour cette soirée, parviennent à mettre en examen plusieurs centaines de délinquants dans les Zones de Sécurité Prioritaire, quelle va être alors la réaction de la Justice ? Alors que les tribunaux fonctionnent au ralenti et

que de nombreux juges sont en congé, les cellules des prisons vont-elles pouvoir accueillir ces nouveaux « sauvageons » en attente des procès?

En décembre 2018 ce sont 1.250 voitures qui sont parties en fumée et le record a été battu l’an dernier avec 1.450 véhicules incendiés. Combien après-demain ?

23:43 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Etat français. Quel Etat ?

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Patrick Parment

Nul ne le contestera et tout un chacun en a bien conscience, on ne sortira pas indemne de cette pandémie. Aucune crise depuis que nous sommes en République n’a atteint une telle ampleur – même celle de 1929 -, d’autant qu’elle n’est pas uniquement nationale mais internationale. Toutes nos vies et nos économies sont impactées par le covid et ses mutations. Partant du principe que toute crise a ses vertus, celle-ci aura eu pour effet immédiat de mettre en  lumière les limites de l’économie néolibérale. Pour être plus précis, ce capitalisme financier qui est en train de détruire les hommes comme les nations. La question qui se pose donc est bien de savoir si ce capitalisme fera l’objet de réformes en profondeur ou bien s’il continuera sa route mortifère. Le capitalisme a une très forte capacité d’adaptation. Or, on imagine mal les principaux bénéficiaires de cette économie baisser les bras. Sauf qu’à force de tendre la corde, celle-ci finit par rompre. Sommes-nous au bord de cette rupture ?

Pour ce qui nous concerne, la France souffre de deux maux majeurs : sa soumission au néolibéralisme et un Etat dont le politique vit sous la férule de son administration. Ce qui a pour effet d’abolir ce qu’hier encore on appelait l’Etat régalien. Dans un Etat régalien, c’est le politique qui détermine les choix destinés à assurer le bon fonctionnement de la société et la paix civile. Sans paix civile, il n’y a plus d’Etat de droit. Et par une perversion du sens, c’est aujourd’hui l’économie qui dicte sa loi au politique. Au bout du compte, on aboutit à une crise du politique, donc de l’Etat, et d’une économie qui dicte sa loi d’airain.

L’Etat en crise

Selon une formule qui reflète bien la réalité, on est passé d’un Etat régalien à un Etat providence. Redéfinissons d’abord, ce qu’est un Etat régalien. Régalien définit ce qui est attaché à la souveraineté d’un chef qui exerce la puissance gouvernante : président, roi ou empereur. Toute société a à sa tête un chef qui exerce cette puissance régalienne. En monarchie, il n’est pas un domaine qui échappe à la volonté du souverain. En démocratie, le président exerce son pouvoir au travers de ministères dits régaliens que sont la Défense, les Affaires étrangères, la Justice, les Finances, et l’Intérieur.

Or, la prépondérance de l’économie a littéralement perverti les missions de ces ministères régaliens en les soumettant au dogme libéral qui exige moins d’Etat mais surtout une vision comptable de leur fonctionnement au détriment – voire au mépris - de la réalité humain. Comme on a pu le constater en matière de santé avec la crise du covid et la gestion des hôpitaux sans parler de notre dépendance pharmacologique de pays comme la Chine ou l’Inde. Comme le dit Arnaud Montebourg (Le Figaro 28/12) : « La multiplication de ces défaillances a été aggravée par l’incapacité de l’État à agir sur le terrain malgré sa présence, en raison de la multiplication des instances décisionnelles : les préfets ont été dépossédés de leur capacité d’action par les agences régionales de santé. Cela traduit la prise de pouvoir, dans notre pays, d’une bureaucratie irresponsable, qui entend enrégimenter la société sans jamais s’appuyer sur elle. » Et Henri Guaino de préciser (idem) : « Ce que nous payons au prix fort, ce sont les dégâts causés par une idéologie qui depuis quarante ans ne regarde toute dépense publique que comme un coût à réduire à tout prix. »

Notre souveraineté budgétaire a volé en éclats puisque la France a remis cette fonction de la monnaie commune l’Euro via la Banque centrale européenne (BCE). Autrement dit aux instances européennes – la fameuse Commission, instance fort peu démocratique au demeurant - qui sont elles-mêmes inféodés au modèle néolibéral. Ce qui induit qu’en matière de politique étrangère notre marge de manœuvre ne dépasse pas le rôle de flic qu’on a accepté de jouer au Sahel en vertu d’un passé colonial… qu’au demeurant on ne cesse de nous reprocher. De toute manière, la grande misère de l’armée française s’évalue à son budget qui sert désormais de variable d’ajustement au Budget général de l’Etat. L’armée française est un tigre de papier comme disait Mao et ce malgré la qualité de nos soldats. Seule demeure notre dissuasion nucléaire, nos quelques sous-marins de grande qualité… mais pour défendre quoi ?

En matière de sécurité nous ne sommes pas mieux lotis. Qui dit sécurité, dit évidemment police. Or, celle-ci est aussi un parent pauvre de l’Etat libéral. Ce n’est un secret pour personne de son manque cruel de moyens et de l’état indigent dans lequel on la maintient. Là encore au mépris des réalités. A l’heure même où l’insécurité n’a jamais été aussi grande, les crimes et délits en augmentation constante, les trafics de drogue aux mains de populations immigrées et qui sèment la terreur dans les banlieues. D’après Eric Zemmour, 70% de la population carcérale est musulmane. Mais la pensée dominante se refuse à faire le lien entre délinquance et immigration. Et pour ne rien arranger les rapports entre police et justice ne sont pas au beau fixe.

« Les manifestations massives de policiers et de gendarmes en décembre et les mots de plus en plus durs échangés entre policiers et magistrats sont venus donner l'image exactement contraire : celle d'une police qui a peur, d'une gendarmerie en manque de moyens et de considération, d'une justice contestée et sans boussole, bref, celle d'un Etat vulnérable et parfois sans repère solide, en particulier dans ses missions régaliennes », écrivait Cécile Cornudet dans Les Echos (10/01/2002). Rien n’a changé depuis.

Alors la question de savoir où est l’Etat aujourd’hui quand celui-ci ne maîtrise plus rien, agit au jour le jour et dont l’action se résume à traiter les problèmes au fur et à mesure qu’ils se présentent. Sans vision aucune. Pour Arnaud Montebourg (idem) : « Pourquoi des minorités agissantes de toutes sortes détruisent-elles le commun ? Parce que la France n’a pas de projet. Pour que des urbains, des ruraux, des Français de tous horizons se réunissent et avancent ensemble, il leur faut un projet commun dans lequel se réunir. Emmanuel Macron n’a proposé aux Français qu’une stratégie (pauvre) d’adaptation à une mondialisation décriée de toutes parts. » Le chemin à parcourir risque d’être long.

11:22 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 décembre 2020

Biélorussie : aucune mesure contraignante, 6 fois moins de morts qu’en France !

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Frank Bulher Riposte laïque cliquez ici

Les manifestants manipulés par des agents de la CIA (qui ont été arrêtés) sont rentrés chez eux, compte tenu de la neige du froid, et d’un soleil qui se couche à 15 h 45. Il est désormais possible de s’intéresser de près à la gestion du covid par le Président Loukachenko.

Il est de bon ton, chez les bobos de l’Ouest, de se moquer de ce vieux moujik à l’accent paysan et dernier dinosaure de l’époque soviétique. Pourtant les dandies du marais et de l’Élysée ont reçu un grosse leçon de pragmatisme et d’efficacité.

Aux premiers jours de l’épidémie le Président parle à la télévision, ni mensonges ni comité bidon : « Il y n’y a pas de traitements et nous n’avons ni les moyens ni l’envie d’endetter les générations futures en arrêtant notre économie. On va vivre avec, essayez de vous protégez » et pour clore son discours une plaisanterie « pour combattre le virus conduisez un tracteur en plein air (son premier métier) et un peu de vodka ». Cette plaisanterie, bien entendu, a été prise (avec une mauvaise fois volontaire) au premier degré, par moquerie, par les journaleux bobos de cette France où tout était parfait (moquerie volontaire et demie)…

Depuis mars dernier, AUCUNE mesure contraignante n’as JAMAIS été prise en Biélorussie pour des résultats qui sont parmi les meilleurs d’Europe, si ce n’est les meilleurs. Pas de confinement. Les masques ne sont pas obligatoires. Les distances (suggérées) pas respectées… Bref, on « laisse filer » le virus. Mais tout les malades, mêmes légers, sont immédiatement placés à l’isolement à l’hôpital et soignés (et pas avec du Doliprane). Quel traitement ? À voir du côté de Marseille.

Les seules mesures imposées, quelques jours, concernent les étrangers entrants dans le pays. Aujourd’hui, un test positif et hop ! dans l’avion. Et la compagnie aérienne Belavia n’as jamais cessé ses vols réguliers.

Mais parlons chiffres

France  : 67 millions d’habitants – 62.800 décès – Entre 170 et 800 morts par jour la semaine de Noël

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Biélorussie : 9 millions d’habitants- 1.385 décès – Entre 8 et 9 morts par jours la semaine de Noël

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La Biélorussie par ratio de population fait donc 6 fois mieux que la France. Une vraie leçon qui fait mal et met en rage. Mais Raoult avait pourtant prévenu que le confinement aggraverait les choses. Ce pays, toute honte bue, a préféré lui faire des procès.

Et nos bobos imbéciles ricanent toujours et croient au vaccin sauveur dans un pays ruiné. Il est parfois désespérant pour un Français de voir à quel point nous sommes parfois pathétiques. La dernière fois c’était en mai 1940.

Le comité scientifique est aussi efficace que l’état-major général des armées en 1940.

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Yvan Benedetti sur les 100 jours de prison d'Hervé Ryssen

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L'Institut Iliade commémore les 2500 ans de la Bataille des Thermopyles

À l'occasion des 2500 ans de la bataille des Thermopyles, l'Institut Iliade rend hommage aux 300 Spartiates qui ont défendu, au prix de leur vie, l'Europe contre des envahisseurs venus d'ailleurs. Affiche "Thermopyles : 2500 ans" cliquez ici

Cette affiche représente l'un de ces valeureux guerriers, aux portes de notre continent, prêt à protéger coûte que coûte, son peuple et sa civilisation.

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Certains immigrés sont-ils masochistes ?

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Par Bernard Lugan

Certains seraient-ils à ce point masochistes qu’ils ne viendraient en France que pour s’y faire discriminer… ?

« Selon que vous naissiez homme blanc ou femme noire en Afrique ou en France, vous savez que vous avez plus de chance » vient de déclarer sur LCI, Madame Elisabeth Moreno, native de la République du Cap-Vert, et présentement ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes ». A quand un ministère de l’Egalité entre les petits et les grands, les gros et les maigres, les blonds et les roux ? Madame le ministre en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes », vient donc de faire un constat qui avait jusque-là échappé à l’esprit humain. A savoir que la population qui a créé un pays depuis des siècles ou même des millénaires, celle des indigènes, des primo-occupants, de ceux qui, par définition, sont de « souche », est naturellement davantage chez elle que les pérégrins. Un « privilège » universel qui est « jaune » au Japon ou en Chine, « noir » en Afrique et arabe en Arabie… 

Question incidente à Madame le ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »: au Cap-Vert, et plus généralement en Afrique, y-a-t-il beaucoup de présentateurs blancs, d’hommes politiques blancs et pourquoi pas de femmes blanches ministres en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »?

Plutôt que ces incessantes et arrogantes jérémiades quasi quotidiennement assénées par certains néo-Français semblant être à ce point masochistes qu’ils paraissent n’être venus en France que pour s’y faire « discriminer », ne serait-il pas plus juste et honnête de leur part de dire :

« D'être venu vivre chez vous m’a privilégié car j’ai pu avoir accès à un statut que je n’aurais pas eu chez moi. J’ai en effet pu profiter des infrastructures nées du labeur et des sacrifices de vos générations passées. Celles de ces paysans blancs qui ont défriché et bonifié votre terre, celles de ces mineurs de fond blancs qui mouraient de maladie avant 40 ans, celles de ces centaines de milliers d’ouvrier blancs qui ouvrirent vos routes, vos canaux et vos voies de chemin de fer à la pioche, celles de ces millions d’hommes blancs morts pour défendre la terre de leurs ancêtres, et dont les descendants ont aujourd'hui pour dernier « privilège » celui de devoir payer des impôts pour financer la CMU et pour loger, nourrir, éduquer, soigner, habiller, un nombre indéterminé de « citoyens du monde » venus, tels des coucous, profiter de nids qu’ils n’ont pas bâtis.... »
Mais il y a aussi un « privilège noir ». C’est celui de pouvoir cracher sur un footballeur blanc sans que cela provoque de réel émoi… Imaginons l’inverse !!! Ou de pouvoir, comme Madame Afsa Aksar, vice-présidente de l’UNEF dire :

- « On devrait gazer tout (sic) les blancs (resic) cette sous race.

- « Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs (sic) arrêtez de vous reproduire ».

- « Non à la mixité avec les blancs (sic)»

- « Je suis une extrémiste anti-blanc –

- « Le monde serait bien mieux sans les blancs (sic) » etc.,

Ou encore, comme Madame le député Obono qui a légitimé la formule « Nique la France », et à laquelle l’on pourrait légitimement poser la question de savoir ce qui arriverait à un Blanc qui, au Gabon, son pays de naissance, s’aventurerait à dire « Nique le Gabon »… 

Là est le vrai « privilège ». Celui d’être au-dessus des lois, de ne pas être « inquiété » pour de tels propos par les ligues « antiracistes » subventionnées par les impôts des « privilégiés » blancs, ni poursuivi par certains juges dont la principale activité semble être de guetter le moindre « dérapage » verbal des hommes et des femmes blancs, et de « droite », afin de pouvoir les traîner devant les tribunaux… Celui aussi, d’être recruté, non plus au mérite, mais selon ces discriminants quotas « raciaux » non officiels, et qui écartent de bons candidats malheureusement nés leucodermes, au profit de médiocres impétrants ayant eu la chance, eux, de naître mélanodermes en France…

Mais tout cela aura une fin le jour où se lèvera un chef qui, tel Cicéron devant le Sénat romain, osera dire aux arrogants forts de notre faiblesse et parce que nous sommes à genoux : « Quo usque tandem abutera, Catilina, patientia nostra ? (Jusqu’à quand, enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ?». 
L’église pourra alors être remise au centre du village…

Source : Bernard Lugan

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lundi, 28 décembre 2020

Valeurs actuelles reçoit Jean-Marie Le Pen

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Diversité : pourquoi pas Monnerville et Monnerot ?

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Par Camille Galic

Sous la présidence de l’historien Yvan Gastaut, spécialiste des questions migratoires (on devine dans quel sens), secondé par la Marocaine Nadia Hai, ministre de la Ville, un « comité d’experts » tous ancrés à gauche, voire à l’extrême gauche, telle Aissata Seck, responsable de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, planche donc sur une « série de personnalités issues de l’immigration, dont les noms pourraient bientôt orner nos rues ». Une « discrimination positive de nature à redonner une forme de fierté aux habitants des quartiers périphériques » car, selon Mme Hai, « la République ne s’arrête pas qu’à de Gaulle ou Jean Moulin. Il y a aussi des étrangers qui se sont battus pour la République, qui incarnent ses va- leurs, et qui méritent d’être honorés. » En effet, et l’on aimerait que soient ainsi honorés le prince Aage de Danemark et le prince géorgien Dimitri Amilakvari, légendaires figures de la Légion étrangère et Français de cœur comme de sang versé. Dans la liste des 440 personnalités retenues figureraient Joséphine Baker, Pape Diouf, ou Kylian Mbappé, en attendant sans doute un autre footeux d’élite, le cracheur Thuram junior.

Et pourquoi pas le bachaga Boualem qui combattit le FLN dans l’Ouarsenis, le Guyanais Gaston Monnerville et le Martiniquais Jules Monnerot, celui-ci auteur incontournable de la Sociologie du communisme et celui-là intraitable président du Sénat dans son opposition à De Gaulle ? Il est vrai que, socialiste et franc-mac, Monnerville était aussi partisan de l’Algérie française et que Monnerot, bien que venu de l’ultragauche, fut l’un des cofondateurs du GRECE et du Club de l’Horloge avant de présider le Conseil scientifique du Front national.

Disqualifiés d’office !

 Source : Présent 26/12/2020

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dimanche, 27 décembre 2020

Après l’enfermement de l’automne, En Marche nous prépare à une 3ème réclusion à domicile pour l’hiver.

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Pieter Kerstens :

Après neuf mois de déclarations contradictoires et de mesures d’interdictions diverses, plusieurs enquêtes publiées par les médias, subventionnées par le Pouvoir, nous apprennent que plus de 65% de nos concitoyens accepteraient des règles encore plus restrictives pour éradiquer le Covid 19.

La stratégie de la frousse, imposée aux peuples d’Europe au fil des mois, porte ainsi ses fruits. En publiant en permanence le nombre de personnes infectées, le nombre d’hospitalisations et celui des décès attribués au virus, l’émotion et la trouille prennent le pas sur la raison et rare sont ceux qui peuvent encore exprimer un jugement réaliste, sans être cloués au pilori ou trainés devant l’Ordre des Médecins pour des opinions divergentes.  

Stopper des pans entiers de notre économie, au prétexte de sauver quelques vies, est une aberration et une hypocrisie phénoménale qui se sert d’une morale à géométrie variable.

OUI, une épidémie tue des personnes déjà atteintes d’autres maladies et aussi des personnes âgées, c’est le sous-entendu de la déclaration du docteur Micron en mars dernier : « nous sommes en guerre », répétée à six reprises. J’appartiens à la catégorie des septuagénaires « à risques » et je ne suis pas immortel non plus.

On peut également mourir de la grippe, d’une chute à la maison ou être écrasé par un tram.

Il faut en finir avec cette infantilisation de la population, combattre cette épidémie avec courage et lucidité en cessant de se morfondre et de s’apitoyer égoïstement sur son sort. Que chacun prenne ses responsabilités et assume ses actes en adulte sans tomber dans la psychose ou la paranoïa.

Il est quand même curieux de constater que les pays qui n’ont pas mis leurs économies à l’arrêt et ont limité les restrictions, ne totalisent pas plus de décès (et même moins) que les états qui ont interdit l’activité des coiffeurs, des restaurants, des cinémas, des stades, des pistes de ski ou des clubs de belotte entre autres.

Depuis le début de la pandémie, à la date du 21 décembre il y a eu 1.582 morts pour 1 million d’habitants en Belgique, 1.121 décès pour 1 million d’habitants en Italie, 1.045 en Espagne, et 918 en France, par exemple. Par contre et sans interdictions absolues, il y a eu seulement 310 morts par million d’habitants en Allemagne, 536 en Autriche, 738 en Suisse, 778 en Suède, 902 au Mexique et 939 aux Etats-Unis. Au Gabon on compte 28 décès par million d’habitant, 23 au Japon, 14 en Corée du Sud, 2 en Thaïlande et seulement 0,4 décès par million d’habitants au Viêt-Nam.  Cherchez l’erreur !

Les dirigeants de ces pays ont sans doute adopté une politique bien différente à celle choisie en Europe et ont laissé leurs activités tourner avec beaucoup moins d’entraves administratives et bureaucratiques.

Il est indéniable que les euro-mondialistes qui gouvernent aujourd’hui notre continent, en imposant leurs utopies depuis leurs bureaux à Bruxelles, préparent les esprits à une 3ème assignation à résidence après le Nouvel An. Leur motivation serait fondée sur l’irresponsabilité des gens dont le comportement durant les fêtes aurait été incompatible avec la gravité de la crise sanitaire. EUX détiennent la vérité, les autres sont des contestataires incultes et incapables d’accepter la « bonne parole ». Sommes-nous inconscients et incapables (au sens juridique), c’est-à-dire ne pouvant régir nos vies et ayant donc besoin que des instances supérieures nous dictent nos actes ? Où est donc cette « démocratie » tant vantée par ces mêmes autorités ?

Dormez en paix braves gens, Big Brother veille sur tout ! Même de la crise sociale en gestation ?

00:15 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Marc Vidal, fondateur de la Librairie Les Oies Sauvages…

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Par Philippe Randa

Nous allions comme deux frères
Marchant d’un même pas…

Marc et moi sommes arrivés peu ou prou en même temps à Paris, venant lui directement de l’Ouest de la France et moi un peu plus indirectement… La géographie de nos enfances et adolescences n’a pas été – et de loin ! – le seul de nos points communs : engagement politique au sein du Parti des Forces Nouvelles, puis du GRECE et choix professionnels – la librairie pour lui, l’édition pour moi – de livres politiquement très incorrects…

Je l’ai connu lorsqu’il faisait ses « premières armes » dans les rayons de la librairie La Vouivre qui a marqué tant de militants politiques, permis tant de rencontres intellectuelles, laissé tellement de ses souvenirs qu’on nomme à juste titre « inoubliables »…

Dès qu’il se sentit prêt à se lancer seul dans l’aventure, il n’hésita pas et baptisa sa librairie « Les oies sauvages ». Ambiance.

Il commença, comme bien d’autres, ses premières listes et cotations dans son premier « Appart’ » qu’on imagine aisément des plus exigu (euphémisme !) et poursuivit comme peu d’autres en furent capables, son développement jusqu’à devenir une des librairies par correspondance incontournable du livre parfois rare, souvent introuvable… sauf grâce à lui, avec un peu de patience parfois.

Comme on ne peut côtoyer à longueurs de journées – et souvent de nuits – les plus grands écrivains sans être démangé à son tour par l’écriture, on finit pas attendre avec impatience de recevoir ses catalogues pour goûter ses éditoriaux brillants… et la revue Synthèse nationale entre autres, ne manqua pas de les publier régulièrement.

Il n’aurait sans doute pas attendu que ses amis s’attardent trop à s’attrister plus que cela de son départ, plutôt qu’ils en profitent pour lever un verre à sa santé en la lui souhaitant excellente là-haut, là-bas, « Sur les ailes du vent… Par les routes de l’air… »

Épouse, enfants, amis, ne soyons pas triste… enfin essayons !

Adieu donc ! Marc… On compte sur toi pour nous accueillir un de ces jours futurs. Pour nous raconter ce que tu vas découvrir avant nous…

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samedi, 26 décembre 2020

Changement climatique : A quand les ennuis ?

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Par Jean-Marc Jancovici

Le changement climatique, est-ce grave ? A cette question, la bonne réponse est en fait… une autre question. « Grave » pour qui, à quel horizon de temps, et par rapport à quoi ? Le changement climatique ne sera jamais aussi grave pour la planète que si notre soleil avait décidé de nous engloutir et de tuer toute vie sur terre, comme il le fera dans quelques milliards d’années, à la fin de sa vie d’étoile. Mais la dérive du climat va néanmoins nous frapper de plus en plus fort à l’avenir, sans que nous puissions, et c’est une des difficultés de l’affaire, dater avec exactitude le franchissement d’un seuil précis pour une conséquence donnée.

Les coraux procurent des poissons (et des touristes !) à des centaines de millions de personnes, et protègent les côtes basses des assauts de la mer en cas d’ouragan. 20% des coraux qui existaient au milieu du XXe  siècle sont déjà morts, et, avec 2 °C de réchauffement, presque tous auront disparu. Est-ce grave ? A part pour quelques passionnés de plongée, qui iront voir ailleurs tant qu’il restera des coraux en vie et des avions pour se rendre sur les lieux, la réponse est non. Ce sera déjà plus problématique pour les pêcheurs bredouilles.

Les forêts offrent du bois, des espaces récréatifs, un puits de carbone, de la fraîcheur et de l’humidité en été, un habitat pour des espèces sauvages, un paysage apaisant. De nombreux arbres ont déjà dépéri à cause de sécheresses et de canicules, que le réchauffement amplifie ; d’autres ont brûlé dans d’immenses incendies, favorisés aussi par l’évolution climatique en cours. Avec le réchauffement additionnel des vingt ou trente prochaines années, qui arrivera quelles que soient nos émissions à cause de l’inertie du système climatique, d’autres arbres disparaîtront.

Est-ce grave ? Pour les urbains que nous sommes presque tous, pas plus que cela. Nous irons nous promener dans une autre forêt, nous achèterons de la moquette plutôt que du parquet et, le temps de verser une larme sur une image d’animaux rôtis par les flammes, nous nous précipiterons pour profiter des soldes tant qu’il en restera.

Les prémices du changement climatique, annoncées depuis des décennies, sont désormais là. Mais nous n’avons pas changé de comportement pour autant : nous rendons chaque jour notre pays plus dépendant de la voiture, encensons chaque jour la « hausse de la consommation » – bref, c’est là, mais ce n’est toujours pas grave.

Deux éléments empêchent que les Occidentaux ne soient trop éprouvés. D’une part, la fraction de la population concernée (l’éleveur dont les vaches périssent, le forestier qui perd sa parcelle, le propriétaire qui voit sa maison fissurée par la rétractation des argiles…) reste minime, habite loin des villes où se concentre l’essentiel des gens, voire dans une autre région du monde. D’autre part, la profusion d’énergie permet de rendre les pertes presque indolores – en apparence.

Le bois sera coupé ailleurs – il en reste – et transporté avec du pétrole, ou alors remplacé par du plastique, c’est-à-dire du pétrole, ou de l’acier, c’est-à-dire du charbon. La maison sera reconstruite, à l’aide de pétrole, de gaz et de charbon. La culture qui souffre ici sera remplacée par celle qui pousse toujours là, en nécessitant des transports – donc du pétrole. Les problèmes générés par le changement climatique, qui commencent déjà à se manifester de manière significative, continuent pourtant à être surtout redoutés pour « plus tard ».

C’est donc que ce n’est pas encore grave… Et c’est surtout que, pour l’heure, notre puissance énergétique nous laisse les moyens de n’encaisser que des pertes psychologiques. Mais l’abondance énergétique aura une fin et, dans le même temps, la dérive climatique va s’amplifier. Nous aurons alors des moyens décroissants pour nous adapter à des problèmes croissants.

Cette évolution est déjà enclenchée à petite vitesse en Europe depuis 2006. A partir de quand cela va-t-il devenir grave ? L’ennui, c’est que, quand ce sera le cas, la nature même des processus en cours empêchera tout retour en arrière. Souhaitons que le coup de semonce de 2020 nous fasse sérieusement réfléchir en 2021 !

Bonne année quand même !

Source : site de Jean-Marc Jancovici

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vendredi, 25 décembre 2020

Journal du chaos

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jeudi, 24 décembre 2020

Mgr Viganò commente le pacte entre le Vatican et la Chine : l'Eglise est devenue “une caverne de voleurs”…

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Le quotidien italien La Verità a publié samedi une violente charge contre l’accord secret entre la Chine et le Saint-Siège, récemment renouvelé, par le directeur du Council on Middle East Relations, Arthur Tane, suivie d’un commentaire musclé de Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique, qui inscrit ces faits parmi de nombreux signes d’« apostasie » venant du Vatican.
 
Vous trouverez ci-dessous ma traduction intégrale de l’article de Mgr Viganò, qui me rappelle les rumeurs entendues l’an dernier de source sérieuse à Rome à propos d’importants versements pécuniaires de la Chine au Saint-Siège. Si leur exactitude reste à vérifier, on peut s’interroger devant les faits qui s’accumulent.
 
La Verità publie in extenso la lettre adressée le 20 octobre dernier par Arthur Tane au cardinal Parolin pour demander à celui-ci de ne pas renouveler le pacte du Vatican « avec le Parti communiste chinois », au risque de « compromettre son autorité morale ». Tane y accusait le pacte de mettre l’Eglise, « et spécialement le pape François », « du mauvais côté de l’histoire », donnant l’image d’un pape « d’une arrogance ignare » mais aussi en état de « faillite spirituelle ».
 
Il observait que ce pacte, jamais rendu public, donne notoirement aux autorités chinoises un « pouvoir considérable sur les nominations épiscopales ». « Un tel pouvoir ne figurait même pas dans le tristement célèbre Reichskonkordat de juillet 1933 entre le Vatican et le gouvernement nazi, nouvellement formé, en Allemagne. Jusqu’à maintenant ce pacte honteux, signé par le cardinal Eugenio Pacelli (le futur Pie XII), secrétaire d’Etat sous Pie XI, fut la dernière instance où l’Eglise commit une telle bourde à l’égard d’un régime totalitaire », écrivait Tane.
 
(Cela mériterait quelque analyse : l’Ostpolitik et l’accord de Metz, ce n’était pas mal non plus, mais il est ici question de documents diplomatiques officiels, fussent-ils secrets…)
 
Ce pacte devait donner lieu à un « rétropédalage », observe Tane : dès mars 1937, Pie XI publiait Mit Brennender Sorge, l’encyclique par laquelle « il condamnait les théories raciales et les mauvais traitements réservés aux personnes en fonction de leur nationalité ou de leur race ».
 
Tane soulignait que l’Eglise pouvait encore se soustraire à l’accord avec la Chine, « tant qu’il est encore temps, énumérant ensuite les « détériorations » que constituent les agressions et autres actions politiques auxquelles la Chine s’est livrée depuis sa signature en septembre 2018.
 
« François se fait entendre à propos du changement climatique et pour condamner le capitalisme de marché, mais son silence sur le bilan de la Chine en matière de droits de l’homme, y compris la liberté religieuse, est assourdissant », notait Tane, évoquant la persécution des Ouïghours et la poursuite des avortements et stérilisations forcés.
 
« Aujourd’hui, à travers la Chine, les autorités communistes soumettent les musulmans à une surveillance inédite, elles ferment ou rasent des églises chrétiennes, elles contraignent des moines à faire allégeance au marxisme-léninisme, elles interdisent aux enfants d’entendre ou de lire la parole de Dieu, et elles réécrivent le Nouveau Testament pour lui faire dire que Jésus a lapidé des innocents » (voir ici).
 
« Sous Xi Jinping et son diktat sur la “sinisation de la religion”, l’imagerie et les signes religieux sont détruits ou remplacés. Mao au lieu de la Vierge Marie ; Xi à la place de Jésus. Il s’agit là d’une abomination absolue, de l’œuvre d’esprits possédés par le satanisme », notait Arthur Tane.
 
« Si le pacte entre le Vatican et le Parti communiste chinois devait être renouvelé par le pape François, cette infamie tacherait les murs de l’Eglise du sang des innocents » accusait-il : « Soit l’Église comprend la signification de sa mission, soit elle est elle-même devenue un temple de changeurs de monnaie. Car, selon les paroles de Jésus : “Ma maison sera appelée une maison de prière ; mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs” »
 
Cette lettre n’a donné lieu à aucune réponse de la part du cardinal Parolin, a fait savoir Arthur Tane.
 
Deux jours après que Tane eut envoyé sa mise en garde à Rome, la Chine annonçait officiellement le 22 octobre que son « pacte préliminaire » avec le Saint-Siège était renouvelé pour deux ans, « après des consultations amicales ».
 
Voici donc le commentaire de Mgr Viganò.

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Joyeux Noël... quand même

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Il ne reste plus que quelques jours : SOUTENEZ LA SOUSCRIPTION PATRIOTIQUE 2020...

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Cela n’aura échappé à personne, l’année que nous venons de vivre a été riche en surprises, bonnes et mauvaises... 

Si - en particulier depuis quelques semaines - nous ne pouvons que nous délecter de voir un nombre grandissant de Français ouvrir les yeux face à l’islamisation, conséquence de l’immigration incontrôlée, en revanche, nous avons toutes les raisons de nous inquiéter de la gestion calamiteuse de la crise sanitaire par le gouvernement, et de ses conséquences économiques…

Avec le premier confinement et l’arrêt total de l’économie, de la mi-mars à début juin, alors que nous avions tant à dire, notre action a été mise en sommeil, les ventes de livres et les abonnements à la revue étant bloqués en raison de la fermeture de la Poste et des imprimeries. Mais dans le même temps les échéances, elles, continuaient à courir et sans la compréhension et l’amitié de nos fournisseurs, nous aurions eu bien du mal à passer le cap.

Avec la fin annoncée de cette première crise, au début de l’été, nous avons pu redémarrer nos activités et lancer la mobilisation pour notre rendez-vous Bleu Blanc Rouge du mois d’octobre. Mais très vite, l’espoir a laissé la place au désenchantement… Dès la rentrée, en effet, les nouvelles mesures restrictives imposées nous ont contraints à renoncer à notre grande réunion annuelle qui, pourtant, promettait d’être une belle réussite. Or, il faut savoir que cet événement, depuis 14 ans, est la principale source de revenus de notre organisation et que son report se traduit par un manque à gagner considérable.

Bref, cette année, vous l’aurez compris, n’a pas été facile pour Synthèse nationale, le plus frustrant étant sans doute de ne pouvoir se faire entendre suffisamment au moment où les événements nous donnent raison.

Cependant, malgré toutes les difficultés rencontrées, soyez assurés que nous ne céderons pas au découragement. Notre détermination, notre volonté de défendre et de promouvoir nos idées demeurent d’autant plus fermes que nous savons pouvoir compter sur votre soutien.

Synthèse nationale a besoin de votre aide ! Soyez nombreux à répondre à cet appel :

en faisant un don (qui peut être défiscalisé) dans le cadre de notre « souscription patriotique 2020 » CLIQUEZ ICI,

en vous abonnant à la revue Synthèse nationale CLIQUEZ ICI,

en commandant nos Bouquins de Synthèse nationale CLIQUEZ ICI,

en vous abonnant aux Cahiers d’Histoire du nationalisme CLIQUEZ LÀ.

Ainsi, vous nous permettrez de combler le déficit engendré par les mesures gouvernementales et de continuer notre travail militant pour une France française dans une Europe européenne

Par avance, nous vous remercions chaleureusement pour votre contribution.

Roland Hélie 

Directeur de Synthèse nationale

BULLETIN RÉPONSE 

Merci aux nombreux souscripteurs qui ont déjà répondu à notre appel.

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Le soutien populaire au professeur Peronne s'organise

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Source MPI cliquez ici

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600e édition télévisée du Journal de bord de Jean-Marie Le Pen

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10:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 23 décembre 2020

Me Di Vizio, avocat du Pr Raoult : « Ne pas être reconnu par l'ordre des médecins, c'est un honneur »

Six médecins, parmi lesquels le Pr Didier Raoult, sont visés par une plainte du Conseil national de l'ordre des médecins. En cause, les propos qu'ils ont tenus depuis le début de l'épidémie de Covid-19, sur l'hydroxychloroquine ou la gestion de crise du gouvernement.

Fabrice Di Vizio, avocat de Didier Raoult, parle d'une «politique de la terreur» de la part de l'Ordre des médecins.

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15:12 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angers : les jeunes nationalistes dénoncent les effets de la politique libérale du pouvoir macronien

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13:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour le 40e anniversaire de l'assassinat de Juan Ignacio Gonzalez, chef du Front de la Jeunesse à Madrid, toute l'Europe s'est souvenue

Lire l'article publié le 12 décembre cliquez ici

Synthèse nationale s'est associé

à l'hommage européen.

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11:27 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une pensée pour Pierre Gripari, décédé il y a 30 ans

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Il y a 30 ans, le 23 décembre 1990, décédait l'écrivain non-conformiste Pierre Gripari. Ayons une pensée pour lui...

Sur Pierre Gripari, sa vie, son oeuvre, lire le nouveau numéro de la revue Livr'arbitres cliquez ici

11:07 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Privilège blanc" ? Où ça ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Jamais en reste quand il s'agit d'importer en France un concept progressiste américanoïde pour en faire un objet de développement polémique, de débat intellectuel et, au bout du compte, d'affrontement, Emmanuel Macron, dans un entretien-fleuve publié par l'hebdomadaire L'Express paru ce mardi évoque l'idée de "privilège blanc" supposé favoriser l'accession de ceux qui en bénéficient à la réussite sociale, au logement, à l'éducation et à la culture.
 
En ces temps de "discrimination positive" pratiquée en toute matière et en tout lieu, on chercherait pourtant bien en vain ce soit-disant privilège.
 
Le "privilège blanc", c'est de se taire et de raser les murs dans certains quartiers de nos villes.
 
Le "privilège blanc", c'est de risquer à toute heure du jour et de la nuit l'agression, le viol ou l'égorgement.
 
Le "privilège blanc", c'est le couvre-feu de fait établi bien avant la crise sanitaire qui interdit aux femmes de sortir dans la rue dès le soir tombé.
 
Le "privilège blanc" c'est de recevoir des crachats sur un terrain de football.
 
Le "privilège blanc" c'est de devoir s'agenouiller en signe de repentance.
 
Le "privilège blanc" c'est de voir les traditions, les valeurs, les principes qui ont fait notre civilisation bafouées et traînées dans la boue.
 
Le "privilège blanc", c'est de se retrouver en exil et sous surveillance dans son propre pays.
 

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Le commander : cliquez ici

09:36 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |