mardi, 24 novembre 2020
"Nous avons les preuves, nous ne reculerons pas, nous ne serons pas intimidés"
Jenna Ellis, Rudy Giuliani et Sidney Powell
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lundi, 23 novembre 2020
Epstein : parcours d'un monstre de l'Etat profond - Pierre Jovanovic
Pour la première fois, voici la vie détraquée du milliardaire Jeffrey Epstein, confident de Bill Clinton, qui a piégé, pendant 20 ans, pour le compte des services israéliens, des milliers de députés, sénateurs, hommes d’affaires, journalistes, stars de cinéma, scientifiques de renom, recteurs et doyens d’universités, premiers ministres, princes et princesses (dont le prince Andrew), et même des présidents avec le plus grand réseau international de pédocriminels. Nous suivrons son itinéraire de son ascension en tant que professeur de mathématiques à sa mort en cellule en août 2019, en passant par sa rencontre capitale avec Ghislaine Maxwell, la fille d’un autre très grand espion du Mossad, Robert Maxwell, qui avait acheté les médias britanniques pour le compte d’Israël. Pour en parler, Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Pierre Jovanovic, directeur littéraire des éditons Le jardin des livres, pour l’édition française de "L’affaire Epstein" écrite par le grand reporter américain Dylan Howard, Melissa Cronin et James Robertson. L'ouvrage est disponible dans la Boutique Officielle de TVLibertés : ICI
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Maître Di Vizio - "Le gouvernement ne décide de rien, il y a des intérêts financiers derrière !"
Lobbying pharmaceutique, guerre d'influences entre Remdesivir et hydroxychloroquine, plainte visant le Pr Raoult, course au vaccin, Fabrice Di Vizio est au micro d'André Bercoff, ce 23 novembre 2020
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Trump dénonce l'élite criminel et la corruption généralisée
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Du mercato politique au vrai rassemblement
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Cinquantenaire d'une action sacrificielle...
Georges Feltin-Tracol
Il y a cinquante ans, le 25 novembre 1970, Hiraoka Kimitake se donnait la mort par seppuku dans le bureau du général commandant l’armée de l’Est en plein cœur de la capitale japonaise. Sonkaishakunin (assistant), Masakatsu Morita, lui tranchait aussitôt la tête. Quelques minutes plus tard, le même Morita s’appliquait le suicide rituel. Ainsi suivait-il son maître, l’écrivain connu sous le pseudonyme de Yukio Mishima.
Né à Tokyo le 14 janvier 1925, le jeune Kimitake adopte ce nom de plume dès 1941. « Mishima (“ homme de l’île ”) est le nom d’une ville située entre le Fuji-yama et la mer, lieu où se réunissait le groupe “ Art et Culture ”, offrant une vue remarquable sur le sommet enneigé de la montagne, explique Bernard Mariller. Quant à Yukio, il est dérivé du mot “ neige ”, yuki, symbole de la pureté et de la romantique fragilité des choses et de la vie, mais choisi aussi en hommage à un ancien poète romantique, Ito Sachio, qui l’avait adopté comme dernière syllabe de son “ prénom ” (1). »
Plus grand écrivain japonais du XXe siècle et fin connaisseur du monde moderne surgi de la défaite de 1945, Yukio Mishima sait l’utiliser avec la ferme intention de retrouver l’esprit ancestral et martial des siens. À l’instar de Maurice Bardèche qui se tournait volontiers vers Sparte et les Sudistes, ilsouhaite que le Japon renoue avec sa réalité nationale bafouée par une pesante modernité occidentale.
Écrit en 1971 par Yves Bréhéret et Jean Mabire, l’ouvrage Les Samouraï (2) s’ouvre sur les ultimes instants de cette conjuration ratée et décrit avec plus ou moins d’exactitude le double seppuku. Quelques heures auparavant, Yukio Mishima achevait L’Ange en décomposition, le dernier volet de sa tétralogie La Mer de la fertilité. Cependant, plus que son œuvre littéraire, il souhaitait que la postérité retînt son « œuvre de chair », sa tentative de coup d’État au nom de la tradition nipponne.
Avec l’aide des miliciens de son groupe paramilitaire patriotique, La Société du Bouclier (ou Tatenokai) – comprendre « agir en bouclier de l’Empereur » -, il se rend au quartier général de la Jieitai, les forces japonaises d’auto-défense, dans la caserne d’Ichigaya et prend en otage le chef de corps. Puis, pendant une dizaine de minutes, Yukio Mishima, revêtu de l’uniforme de son groupe rappelant la tenue des aspirants avant-guerre, harangue les élèves-officiers présents. Il exalte les vertus nationales, exige l’abrogation de l’article 9 de la Constitution de 1946 qui, au mépris de toutesouveraineté, interdit au Japon de déclarer la guerre et en appelle à la mutinerie. Son intervention ne suscite que réprobations, mécontentements et injures…
Comprenant qu’il avait perdu peut-être avant même de commencer ce coup d’éclat, Yukio Mishima se fit seppuku. Il en connaissait le rituel précis. Il l’avait déjà pratiqué face aux caméras dans l’interprétation d’un lieutenant de l’armée impériale pour l’adaptation cinématographique de son propre texte Yukoku (Patriotisme) paru en 1966. Bien sûr, la classe politique, les prescripteurs d’opinion publique et les autorités condamneraient son action. Qu’importe ! Par son sacrifice et celui de Masakatsu Morita, l’auteur de Confession d’un masque (1949) cherche à sortir ses compatriotes de leur torpeur. Par un ensemble de gestes, il les invite à redécouvrir un passé glorieux, à restaurerles principes nationaux, guerriers, paysans et esthétiques, à susciter un nouvel ordre politique, culturel et social propre au peuple japonais.
Assumant une « étiquette » de « réactionnaire », Yukio Mishima fonde en 1968 la Société du Bouclier. Dès février 1969, la nouvelle structure qui s’entraîne avec les unités militaires japonaises, dispose d’un « manifeste contre-révolutionnaire », le Hankakumei Sengen. Sa raison d’être ? Protéger l’Empereur (le tenno), le Japon et la culture d’un péril subversif communiste immédiat. Par-delà la disparition de l’article 9, il conteste le renoncement à l’été 1945 par le tenno lui-même de son caractère divin. Il critique la constitution libérale parlementaire d’émanation étatsunienne. Il n’accepte pas que la nation japonaise devienne un pays de second rang. Yukio Mishima s’inscrit ainsi dans des précédents héroïques comme le soulèvement de la Porte Sakurada en 1860 quand des samouraï scandalisés par les accords signés avec les « Barbares » étrangers éliminent un haut-dignitaire du gouvernement shogunal, la révolte de la Ligue du Vent Divin (Shimpûren) de 1876 ou, plus récemment, le putsch du 26 février 1936. Ce jour-là, la faction de la voie impériale (Kodoha), un courant politico-mystique au sein de l’armée impériale influencé par les écrits d’Ikki Kita (1883 – 1937), assassine les ministres des Finances et de la Justice ainsi que l’inspecteur général de l’Éducation militaire. Si la garnison de Tokyo et une partie de l’état-major se sentent proches des thèses développées par le Kodoha, la marine impériale, plus proche des rivaux de la Faction de contrôle (ou Toseiha), fait pression sur la rébellion. Les troupes loyalistes rétablissent finalement la légalité. Yukio Mishima tire de ces journées tragiques son récit Patriotisme.
Intervient dans sa vue du monde politique « un nationalisme populaire dont les idées-force sont : le refus de l’étiquette occidentale dans les rituels d’État japonais; la défense de l’essence nationale (kokusui); la remise en cause de l’idée occidentale du progrès unilinéaire; la nation est la médiation incontournable des contributions de l’individu à l’humanité (3) ». Dans « La lutte du Japon contre les impérialismes occidentaux », Robert Steuckers prévient que « le mode religieux du Japonais est le syncrétisme (4) », soit un recours fréquent au « tiers inclus » non-aristotélicien. Il rappelle en outre que « le Japonais ne se perçoit pas comme un individu isolé mais comme une personne en relation avec autrui, avec ses ancêtres décédés et ses descendants à venir (5) ». Il mentionne par ailleurs sur un fait méconnu, voire moqué, en Occident. « Pour le Japonais, la Nature est toute compénétrée d’esprits, sa conception est animiste à l’extrême, au point que les poissonniers, par exemple, érigent des stèles en l’honneur des poissons dont ils font commerce, afin de tranquilliser leur esprit errant. Les poissonniers japonais viennent régulièrement apporter des offrandes au pied de ces stèles érigées en l’honneur des poissons morts pour la consommation. À l’extrême, on a vu des Japonais ériger des stèles pour les lunettes qu’ils avaient cassées et dont ils avaient eu un bon usage. Ces Japonais apportent des offrandes en souvenir des bons services que leur avaient procurés leurs lunettes (6). » Yukio Mishima se rattache aussi à « la vision sociale de Shibuwasa Eiichi (1841 – 1931) : subordonner le profit à la grandeur nationale; subordonner la compétition à l’harmonie; subordonner l’esprit marchand à l’idéalisme du samouraï. Ce qui implique des rapports non froidement contractuels et des relations de type familial dans l’entreprise (7) ».
Sa disparition fut-elle vaine ? Son décès volontaire correspond au début d’une décennie d’indéniablessuccès économiques, techniques et bientôt culturels à travers manga, séries télé pour adolescents et dessins animés dans le monde occidental. Dénigré et incompris sur le moment, le geste sacrificiel de Yukio Mishima a néanmoins frappé les esprits et infuse depuis cinq décennies si bien qu’il remue toujours les consciences les plus vives. Le 15 mai 1971, les États-Unis restituent au Japon l’île d’Okinawa et retirent leurs armes nucléaires. En revanche, leurs bases militaires continuent à défigurer les lieux. À partir de 1975, au grand dam de la Chine, de Taïwan et de la Corée du Sud, différents Premiers ministres du Japon se rendent à titre officiel au sanctuaire shinto Yasukuni où sont sanctifiées les âmes de tous les soldats de l’Empire du Soleil levant tombés pour le tenno.
« Par cet acte radical, Mishima revendiquait, une ultime fois, le droit sacré, car signé par son sang, à la résistance à l’acculturation, à la révolte envers une clique politicienne corrompue et vendue, ayant renié l’héritage de ses pères, à la contestation du “ tout économique ” et à la protestation contre la perte de l’âme collective, destin des sociétés modernes, conclut Bernard Mariller. Mais, par sa portée générale, au-delà du temps et de l’espace, le message de cet “ homme au milieu des ruines ” que fut Mishima cessait d’être étroitement japonais, pour atteindre l’universel, s’adressant à tous les peuples, cultures et races menacés par les mêmes dangers. Mishima devenait un “ éveilleur et un réenchanteur de peuples ”, l’un de ces personnages qui ne laissent jamais les peuples au repos – celui du cimetière -, leur rappelant sans cesse, pour être en accord avec leur génie, ce qu’ils furent et ce qu’ils doivent devenir. Retenons la leçon. Dans nos héritages européens se dissimulent les germes féconds de notre devenir, tant il est vrai que le passé est l’avenir du futur (8) ».
Lors de son XIIIe colloque national, le 10 décembre 1979 au Palais des Congrès à Paris, intitulé « Le GRECE prend la relève », la « Nouvelle Droite » honora avec raison la mémoire de quatre figures exemplaires (Julius Evola, Arnold Gehlen, Henry de Montherlant et Yukio Mishima) en plaçant leur portrait respectif bien en évidence sur la tribune des intervenants (9). La dissidence métapolitique comprenait tout l’impact historique du dernier héraut de l’unité du Chrysanthème et du Sabre. Cinquante ans après sa sortie sacrificielle, souvenons-nous de Yukio Mishima, incarnation de hauteur, de tenue et de verticalité, exemple de fidélité aux aïeux samouraï et paysans et grande volonté entièrement dévouée à la vocation kathékonique du Yamato.
Notes
1 : Bernard Mariller, Mishima, Pardès, coll. « Qui suis-je ? », 2006, p. 21.
2 : Yves Bréhéret et Jean Mabire, Les Samouraï, Balland, 1971. Le volume existe aussi en Presses Pocket, 1987.
3 : Robert Steuckers, Europa, tome III, L’Europe, un balcon sur le monde, Éditions Bios, 2017, p. 269.
4 : Idem, p. 259.
5 : Id.
6 : Id.
7 : Id., p. 269.
8 : Bernard Mariller, op. cit., p. 94.
9 : cf. le compte-rendu dans Éléments, n° 28 – 29, mars 1979.
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We The People vs l'État profond
l'avocate Sydney Powell est sur le point de vaincre la machine électorale frauduleuse de l'État profond US.
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L’ECP décide de libérer le kraken
Un communiqué de l'Equipe communautaire Paris :
Après bientôt une année complète de l’émission « Le Soleil se lève », l’Équipe Communautaire Paris a prouvé qu’elle savait rassembler en s’inscrivant dans la lignée de Synthèse Nationale.
Une fois encore, elle fait l’exploit de l’union dans le cadre de sa toute nouvelle vidéo nommée « LIBÉRONS LE KRAKEN ». En effet, c’est avec plaisir que l’on découvre la présence des porte paroles de Génération Identitaire (Clément Martin, Jérémie Piano et la très en vogue Thaïs d’Escufon) ainsi que le fondateur d’Academia Christiana (Victor Aubert). Le message véhiculé tout au long de l’émission est strictement positif : trois organisations de droite qui, sur le papier, semblent concurrentes peuvent tout à fait collaborer au-delà des clivages idéologiques qui gangrènent notre milieu depuis des décennies.
Après un hommage au livre « Pour une critique positive » souvent attribué à Dominique Venner, c’est dans une seconde partie d’émission que l’on découvre un nouvel invité de choix : Georges Clément, président du Comité Trump France. Dans un contexte très incertain, le Comité Trump France est venu s’exprimer en exclusivité sur le plateau de l’émission « Le Soleil se lève » afin de revenir sur toutes les fraudes démocrates listées par le camp républicain et, dans un plus large contexte, nous décrypter les enjeux considérables qui englobent cette élection. Un entretien à ne surtout pas rater !
A noter également une apparition très agréable de Mike Borowski, rédacteur en chef du site « Gérard Info » ainsi que la présence d’un imitateur hilarant « Dal Dec » enchainant les caricatures de personnalités médiatiques sous un angle purement de droite.
N’hésitez donc pas à aller regarder cette émission et à la partager. Bon visionnage !
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dimanche, 22 novembre 2020
Migrants : le ras-le-bol des Grecs...
La chronique de Philippe Randa
Décidément, quand « ça peut plus, ça veut plus » : il était jusqu’à présent, sinon de bon ton, du moins de grandes facilités pour les migrants en mal d’assistanats de débarquer sur la Terre des Dieux, soutenus en cela par la Turquie voisine qui trouvait là un bon moyen de faire pression sur une Union européenne tétanisée par des discours anti-racistes, toujours bien dégoulinants de repentance à sens unique.
Mais trop, c’est trop et le gouvernement grec vient d’annoncer qu’il songe fortement à modifier sa législation sur le droit d’asile avec, à la clef, la reexpédition des envahisseurs à la Turquie.
« De nombreuses personnes sont passées par des pays de transit sûrs avant d’arriver en Grèce,explique le ministre grec de la migration Notis Mitarakis dans un entretien à InfoMigrants. Nous sommes en train de revoir notre législation, pour décider si nous devons garantir l’asile à des personnes arrivées par des pays dans lesquels elles étaient en sécurité. »
Et le Ministre d’ajouter pour bien se faire comprendre : « Si quelqu’un vient de l’est et arrive en Turquie, et que cette personne n’est pas en danger en Turquie, elle ne devrait pas déposer une demande d’asile en Grèce. »
Assez remonté contre une certaine hypocrisie internationale, le gouvernement grec n’hésite pas à faire remarquer que nombre de pays anciennement en guerre, étaient désormais pacifiés, en totalité ou moins grande partie, tel l’Afghanistan comptant maintenant « beaucoup de régions sûres. »
Qu’attendent donc les Afghans réfugiés à l’étranger pour revenir, sinon pour certains dans leur villages ou régions d’origine, mais au moins dans leur mère-patrie ? Ne serait-ce que pour aider à sa reconstruction et/ou à son développement…
Notons que ce serait aussi le cas pour les Syriens sans doute encore ignorants que le califat de Daech avait sombré et que les milices d’Al-Quaida étaient désormais exsangues…
À l’avenir, les migrants seront donc priés d’aller plutôt se faire voir chez eux (ou ailleurs) que chez les Grecs !
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L’espoir de vaccin n’a réglé, pour l’instant, que les problèmes des Bourses
Marc Rousset
L’espoir de vaccin a permis la remontée des Bourses et d’entrevoir la fin de la crise sanitaire en 2021. À Paris, le CAC 40 a grimpé de plus de 20 % depuis le début du mois de novembre, et aux États-Unis, le FANG, index des grandes valeurs technologiques, a plus que doublé (de 2 500, en mars, à 5 560, le 20 novembre). Les espoirs de vaccins ont, pour l’instant, eu pour effet de régler les seuls problèmes boursiers, alors que de nouvelles aides vitales et immédiates sont toujours jugées nécessaires par les économistes, tant en Europe qu’aux États-Unis, où l’épidémie est en phase exponentielle, avec 200.000 nouveaux cas et 1.750 morts en 24 heures, le jeudi 19 novembre.
Il est raisonnable de faire l’impasse d’une surprise désagréable pour tous ces vaccins sortis en un temps record, ce qui n’est malheureusement pas impossible, suite à l’absence d’un recul suffisant. Réjouissons-nous donc de l’euphorie planétaire, des sommets historiques sur tous les marchés, de la Bourse d’Athènes à Wall Street. L’indice VIX de la peur à Wall Street est passé de 40, fin octobre, à 23, soit une baisse significative de 45 %. L’écroulement n’aura donc pas lieu en 2021, mais quid du problème de l’hyper-endettement irremboursable ou de l’apparition possible de nouveaux cygnes noirs dans le monde, suite à des crises politiques internes ou géopolitiques, des mouvements sociaux violents, de cruels et inacceptables attentats islamistes faisant exploser la colère rentrée des peuples européens ?
Quelle est la réalité immédiate vécue actuellement aux États-Unis ? 12 millions de chômeurs perdront leurs allocations fin 2020 si le CARES Act (Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security Act) n’est pas prolongé. Les 5,5 millions de dossiers en attente d’expulsions de locataires, suite à des mesures fédérales, vont bientôt expirer, tout comme l’interruption momentanée de remboursement des prêts étudiants. Les banques alimentaires sont actuellement prises d’assaut, tandis que 40 % des Américains ont connu le problème de la sécurité alimentaire, que 37 % ont sauté des repas afin de pouvoir nourrir leurs enfants.
Sur le plan économique, les intérêts sont toujours proches de zéro et le programme de rachats d’actifs par la Fed continue au rythme de 120 milliards de dollars par mois. Suite à la victoire espérée de Joe Biden, la Fed va, aussi, bientôt pouvoir évoquer le prétexte du climat pour injecter davantage de liquidités en prétendant que tout va bien. L’année fiscale 2020 s’est terminée, à fin septembre 2020, avec un déficit record de 3.100 milliards de dollars, soit le triple du déficit de 954 milliards en 2019. Le déficit record du mois d’octobre s’est élevé à 284 milliards, soit le double du plus gros déficit de ce mois pendant les dix dernières années. Les démocrates demandent toujours un plan de reprise de plus de 3.000 milliards de dollars. En cas de reprise économique, l’inflation devrait faire son apparition.
En France, l’endettement empêche les patrons de dormir, tandis que 300.000 commerçants sont menacés de faillite et que le chômage sera bientôt de 10 % minimum. Le drame, c’est qu’en même temps, les finances publiques continuent de se dégrader d’une façon accélérée. Il est loin, le temps du rapport Pébereau de 2005 demandant que toute dépense publique supplémentaire corresponde à une remise en cause des dépenses dans d’autres domaines. Selon la BCE, les créances douteuses des banques en zone euro, c’est-à-dire les prêts non remboursés, pourraient atteindre 1.400 milliards d’euros d’ici fin 2021, contre 500 milliards fin 2019.
L’IIF (Institute of International Finance) a calculé que les dettes mondiales devraient atteindre 277 000 milliards de dollars, fin 2020. À la fin du troisième trimestre 2020, la dette globale des pays développés s’est élevée à 432 % du PIB, contre 380 % à fin 2019. Pour les pays émergents, le ratio est proche de 250 % ; il est de 335 % pour la Chine. Les Bourses montent, se moquant des lendemains, en oubliant que les dettes sont irremboursables.
On sortira probablement de la crise sanitaire en 2021, mais pas d’un endettement monstrueux et d’une création monétaire démentielle partout dans le monde.
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12:28 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rembourser la dette : Mission impossible.
Depuis qu’il a abandonné la politique, Arnaud Montebourg a découvert la face sombre du socialisme et le tissu d’inepties dues à son idéologie. De sorte qu’il apparaît désormais comme un ovni. Sa parole est désormais frappée au coin du bon sens et mérite d’être entendue. Voici l’entretien qu’il a accordé au Parisien (22-11) sur la dette et suite à la publication de son dernier ouvrage, l’Engagement (Ed. Grasset). De gauche Montebourg ? Pas sûr. Il semble bien avoir basculé du côté "franchouillard" de la force !
P.P.
Source Le Parisien
Une des raisons de fond à la crise serait la priorité donnée à la réduction des déficits publics et de l’endettement ?
Une politique qui se concentre sur la réduction de la dette et des déficits fabrique du chômage, et n’a aucune chance de rembourser la moindre dette ni de réduire le moindre déficit. C’est ce qui s’est passé pendant la présidence Hollande. Nous avons eu l’austérité fiscale doublée d’une aggravation du chômage, la double peine pour les classes populaires ! Mais, de surcroît, on n’a diminué ni l’endettement ni les déficits. Dans la crise du Covid-19, nous avons tiré les leçons de la crise financière des années 2008-2010. Ce point est positif. Toutes ces règles euro- péennes relatives aux déficits et à l’endettement qu’on nous a infligées pendant dix ans, et qui ont prolongé inutilement les souffrances des peuples européens, viennent de disparaître par enchantement, démontrant leur parfaite inutilité et leur dangerosité.
Mais il faudra bien rembourser cette dette ?
Le montant des endettements publics et privés actuels est tel qu’il est humainement impossible de le rembourser par des moyens habituels, c’est-à-dire par les prélèvements fiscaux. Car sinon nous aurions une révolution et des jacqueries antifiscales ô combien justifiées dans toute l’Europe.
Mais les créanciers, comment vont-ils réagir ?
Il y a deux sortes de dettes. Tout d’abord, celles souscrites auprès des créanciers et que l’on doit rembourser. Et il y a la dette publique ou privée liée à la création monétaire. Et cette dette-là n’a aucune raison d’être remboursée, elle n’est pas sérieusement remboursable à horizon humain. Cette dette, c’est la Banque centrale européenne (BCE) qui l’achète sur le marché des titres du Trésor public et elle représente pour la France environ 400 milliards d’euros. La dette publique de tous les pays explose dans la crise : en France, ce sont les milliards affectés aux dépenses de santé et sociales comme le chômage partiel, des milliards destinés à soutenir l’économie, par des prêts aux entreprises privées, et ce sont enfin les emprunts auprès de l’Union européenne (UE).
Comment annuler une telle dette ?
Si l’UE nous remet sur une trajectoire d’austérité fiscale, c’est-à-dire oblige les Etats à lever des impôts pour rembourser cette dette, alors l’Europe sautera comme sur un volcan social. Ce que l’Europe doit faire, c’est loger la dette Covid, celle des Etats et des entreprises privées, dans une structure de défaisance, la faire racheter par la BCE puis la faire annuler dans son bilan. Mieux vaut utiliser notre argent et nos efforts dans des investissements, essentiels pour la reconstruction écologique de l’industrie et de l’agriculture, créateurs de croissance et d’emplois que dans le remboursement de la dette.
Il n’y aura aucun préjudice pour les épargnants ?
Cela n’entraînera aucun préjudice ni aux créanciers ni aux épargnants puisqu’il s’agit de la dette née d’une pure création monétaire à l’initiative des banques et de la BCE. C’est sur ce point que l’UE assurera ou pas sa mutation et jouera sa survie. De nombreux économistes, fonds d’investisse- ment et même, je vous le confie, les services du Trésor, travaillent discrètement sur un scénario d’annulation de la dette par la BCE. Les seuls créanciers qui devraient être spoliés, de mon point de vue, devraient être les Chinois, car ils sont responsables de l’expansion de cette pandémie destructrice. Leur responsabilité devra être engagée.
Comment convaincre le système financier d’abandonner une partie de ses créances ?
Nous allons entrer dans une économie semi-dirigée. Ce qui suppose de reprendre le contrôle sur une partie du système bancaire. Les 130 milliards de prêts garantis par l’Etat qui sont aujourd’hui dans le bilan des entreprises, c’est ce qui va tuer les entre- prises à petit feu, car l’Etat, en les endettant, les a transformées en zombies, les promettant par dizaines de milliers à la faillite. Les banques qui ont les créances ne voudront jamais effacer leurs dettes. Alors ce sera à l’Etat de prendre des mesures directives.
Annuler la dette est, selon vous, la seule façon d’éviter une colère sociale ?
Bien sûr ! Les deux créateurs des Gilets jaunes, ce sont François Hollande et Emmanuel Macron (NDLR : avec la taxe carbone qui a déclenché le mouvement et la CSG sur les retraités), car ils ont indûment fait payer le prix de la crise aux classes moyennes et populaires, en leur infligeant un matraquage fiscal aussi injuste qu’incompréhensible. Sachons ne pas prendre exemple sur leurs erreurs.
Vous parlez de la France comme d’une cocotte-minute...
Nous sommes en alerte majeure sur l’explosion du chômage et de la pauvreté. Les demandes d’aides alimentaires ont bondi de 30 %... Beaucoup de nos compatriotes n’acceptent plus le système économique et financier tel qu’il (dys)fonctionne, et j’approuve ce refus. Je constate un divorce profond entre la classe dirigeante qui a imposé dix ans d’austérité aux Français et le peuple, qui s’est détourné de ses gouvernants. C’est l’enjeu des futures décisions politiques : agit-on pour la multitude et le plus grand nombre ou pour une petite oligarchie dominante et arrogante ?
Dans votre livre, on sent de la désillusion vis-à-vis du monde politique. Vous avez tourné la page ?
J’ai créé des petites entreprises d’alimentation équitable dans lesquelles j’ai mis en œuvre les idées que je défendais : le made in France, la transition écologique. Mon vrai parti, c’est le made in France. D’une certaine manière, la France ne m’a jamais quitté. Un sujet m’inquiète : comment va-t-on relever ce pays en train de s’affaisser ? La question de mon engagement futur se posera à cette aune, sans que j’en connaisse encore la forme. On en reparlera si vous le voulez bien l’année prochaine...
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vendredi, 20 novembre 2020
20 NOVEMBRE : JOSE ANTONIO PRIMO DE RIVERA ET FRANCISCO FRANCO
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Rien n'est jamais écrit d'avance...
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À l'attention des Parisiens pratiquants
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jeudi, 19 novembre 2020
Coup d'État mondial : la CIA démantelée
Le département de la défense prend le contrôle des opérations spéciales de la CIA qui est aussi impliqué dans le scandale de l'élection. Le monde est sur le point de changer.
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Vous avez aimé le confinement du printemps ? Vous allez adorer la réclusion à la maison de cet automne !
Pieter Kerstens
Que ce soit en France, ou ailleurs en Europe, les différents Chefs d’Etat et de gouvernements refusent toujours de tenir un langage de vérité et font preuve de lâcheté face à l’épidémie de SRAS-Cov 2. Le Docteur Micron avait pourtant annoncé à 6 reprises que « nous étions en guerre » le 26 mars dernier, sans avoir tenu compte de la capacité de ses troupes, du matériel à engager ni de l’importance de l’intendance qui devait suivre.
Quand on annonce « être en guerre », cela signifie qu’il y aura des morts, des blessés et des dommages collatéraux. Or contrairement aux mesures en application dans de nombreux pays asiatiques, les responsables chargés de l’état sanitaire nous avaient déclaré à plusieurs reprises que les masques ne servaient à rien, que les tests étaient inutiles et passaient sous silence une quarantaine obligatoire pour isoler de la population saine les individus contagieux.
DES PANS ENTIERS DE L’ECONOMIE SACRIFIES PAR IMPERITIE.
Jour après jour, des semaines durant, les croque-morts de l’administration et des ministères sont venus annoncer le bilan des décès, nous imposant un climat de frousse et une stratégie de l’angoisse pour mieux manipuler les populations devenues dociles. On a pu voir sur les chaînes de télé des publicités gouvernementales affirmant que « rester à domicile sauvait une vie humaine toutes les 8 minutes » On baigne ici dans l’imbécilité absolue. Loin des espaces clos où pouvait se réunir des clients, il était interdit de se promener sur les plages, dans les forêts ou à la montagne. Seule était autorisée une promenade quotidienne d’une heure autour de son domicile, pour sa santé physique ou mentale dans un rayon de mille mètres !
Après 55 jours d’assignation à domicile, une seconde réclusion à la maison nous est imposée jusqu’au 1erdécembre, avec des résultats catastrophiques pour le tissu économique partout dans l’Hexagone et qui vont se poursuivre durant toute l’année 2021.
Quand les politicards de la haute fonction publique affirment que cette épidémie est la plus importante de l’Histoire, ils nous mentent et ignorent qu’en 1957 la grippe « asiatique » a fait plus de 100.000 morts en France, que la grippe de « Hong-Kong » durant les seuls mois de décembre 1969 et janvier 1970 a causé 36.000 décès et qu’en 2009 une grippe SRAS a totalisé plusieurs dizaines de milliers de décès. Rien de neuf sous le soleil donc, excepté que l’Etat Providence veut nous cacher que ceux qui décèdent en premier sont les plus âgés et les plus malades de notre société, ce qui est logique, et que pour éviter une « situation de guerre » où les médecins devraient trier les malades, par manque structurel de lits et de personnels, le docteur Micron et ses assistants nous imposent un hara-kiri économique et l’interdiction de sortir de son domicile.
ET AILLEUR, C’EST PIRE QUE CHEZ NOUS ?
D’autres pays en Europe ont aussi imposé des mesures d’hygiène personnelle sans confinement et surtout sans aucun arrêt de leur économie, alors même que le nombre de décès par million d’habitant n’est pas plus élevé qu’en France. Même constat pour le Japon, la Corée du Sud, Taïwan ou encore en Inde, mais qui, à l’inverse de la France, avaient fermé leurs frontières pour interdire la venue de voyageurs étrangers, vecteurs de contamination potentielle !
Malgré des centaines de milliards d’euros qui seront dépensés par le docteur Micron et sa clique d’incompétents pour « aider ceux qui en ont besoin », les dégâts sociaux, économiques et financiers pourraient être bien pire que les 80% de décès des malades de plus de 75 ans, souvent atteints d’autres pathologies et qui de toutes manières seraient morts quelques mois plus tard, et pour qui l’Etat Providence a tout mis en œuvre depuis 8 mois, au nom d’une morale à géométrie variable. Ils ont entassé les erreurs sur les fautes inexcusables.
Et ce sont réellement nos enfants et petits-enfants qui règleront l’addition de l’incurie des responsables ministériels en fonction aujourd’hui, sans oublier les cohortes de nouveaux chômeurs et des nouveaux demandeurs d’emploi qui resteront sur le carreau.
Cette urgence sanitaire, suivie d’une urgence terroriste ouvre la porte à une crise financière et surtout permettra aux euro mondialistes de nous imposer des mesures coercitives de surveillance par l’utilisation massive de caméras thermiques, de reconnaissance faciale couplée à l’Intelligence Artificielle et aux algorithmes qui définiront votre profil et complèteront votre « carnet social » véritable passeport de votre comportement, mais cela pour « votre Bien et votre Sécurité », comme le souhaiterait beaucoup de citoyens lambdas.
09:21 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur les Loups gris
Georges Feltin-Tracol
Suite aux incidents survenus à la fin du mois d’octobre en banlieue lyonnaise et à Valence entre Français d’origine arménienne et Franco-Turcs au sujet du conflit arménio-azéri dans le Caucase, le gouvernement français a ordonné, le 4 novembre dernier, la dissolution des « Loups Gris ».
Par « Loups Gris », il faut entendre la branche jeune, paramilitaire et activiste de la nébuleusenationaliste turque. Aussi appelés « Foyers idéalistes » apparus vers 1968, les « Loups Gris » sont l’équivalent bien plus puissant, plus radical et plus influent des fameux « Rats noirs » et autres « Rats maudits » français. Dans les années 1970 – 80, les étudiants idéalistes affrontaient dans la rue et dans les couloirs des universités les gauchistes, les communistes et les Kurdes. Hostiles à la fois à la Russie, à l’Iran, à la Syrie baasiste, à Israël, à la Grèce, à l’Arménie ainsi qu’aux communautés alévieet juive, les Loups Gris appartiennent pendant la Guerre froide aux « armées secrètes » de l’OTAN, en particulier aux réseaux clandestins du type Gladio et Stay Behind même si l’ancien Loup Gris Mehmet Ali Ağca tente d’assassiner le pape Jean-Paul II, le 13 mai 1981, à la demande des services secrets bulgares pro-soviétiques. Les Loups Gris collaborent parfois avec l’état-major turc et nouent des contacts étroits avec certains clans de la pègre stambouliote et anatolienne.
Implantés dans les communautés turques d’Europe occidentale, les Loups Gris installent leur premier foyer idéaliste dès 1978 en Allemagne de l’Ouest avant de les encadrer au sein d’une fédération des associations des idéalistes turcs démocrates en Europe. À l’instar de leur référence politique, le général et homme politique Alparslan Türkeş (1917 – 1997), les Loups Gris opposent aux « Six Flèches » fondamentales du kémalisme (républicanisme, populisme, laïcité, révolutionnarisme, nationalisme et étatisme) leur doctrine des « Neuf Lumières » (nationalisme, idéalisme, défense de la morale publique, défense de l’intégrité sociale, rationalisme scientifique, défense des libertés civiques, respect et encouragement à la paysannerie, soutien au populisme et au développement économique, incitation à l’industrialisation et au développement technique).
En prenant pour symbole le loup gris, les militants idéalistes se réclament par-delà l’islam du bestiaire propre aux peuples des steppes d’Eurasie. Le loup est en effet l’animal mythique des Mongols et des peuples turcophones. L’animal relève aussi d’Ergenekon, la vallée mythique des montsde l’Altaï, berceau de la « turcité ». La légende veut qu’une louve au pelage gris-bleu aurait incité les premiers Turcs à en sortir afin de conquérir le monde entier. De ces références mythologiques découle une vision du monde panturquiste, voire pantouranienne, qui entend rassembler dans un même grand espace géopolitique et culturel la turcophonie et ses annexes historiques, de la mer Adriatique et des Balkans (Albanie, Kossovo, Bosnie, Turcs de Bulgarie, musulmans de Macédoine du Nord, Pomaks enGrèce…) à la Muraille de Chine (dont les Ouïgours). Il arrive qu’en Turquie ou dans les anciennes républiques soviétiques centre-asiatiques turcophones, des militants panturquistes ou pantouraniens soutiennent l’idée que les Turcs descendent directement des Huns d’Attila, et pratiquent en toutediscrétion le tengrisme, une spiritualité chamanique adaptée à l’âme steppienne.
Dotés d’une organisation souple et hiérarchisée, les Loups Gris représentent un vaste vivier de militants pour diverses formations politiques. On les associe en général au MHP (Parti d’action nationaliste) de Devlet Bahçali. Depuis le lancement de l’« Alliance du peuple », le MHP et les Loups Gris travaillent avec l’AKP du président Erdogan au dessein de plus en plus néo-ottoman. Les Loups Gris ne se limitent toutefois pas au MHP et à l’AKP. Certains se retrouvent dans le troisième parti de l’« Alliance du peuple », le Parti de la Grande Unité (BBP). Scission du MHP en 1993, le BBP insiste plus sur l’héritage musulman et valorise très tôt une synthèse nationaliste turco-ottomane, voirenationale-islamiste.
Par ailleurs, hors de Turquie, les Loups Gris coopèrent avec les expatriés du Parti de la Patrie de Dogu Perinçek. Nouveau nom du Parti des Travailleurs à l’origine d’orientation maoïste, le Parti de la Patrie, classé à l’extrême gauche, se distingue par ses positions laïques et eurasistes. En Turquie, les Loups Gris les plus exaltés ont fondé en décembre 2017 le Parti de l’Union Ötüken du nom d’une ville elle aussi légendaire d’Ergenekon. Présidé par Mehmet Hakem Semerci, ce Parti de l’Union Ötüken a pour emblème un loup noir hurlant. Racialiste, le groupuscule n’hésite pas à proclamer la supériorité du peuple – race – nation turc sur tous les autres groupes humains. Bien des journalistes y ont vu la cristallisation du premier parti ouvertement suprématiste en Turquie.
Disposant d’une kyrielle d’associations professionnelles (paysans, enseignants, fonctionnaires, médecins, policiers), culturelles (peintres, étudiants, musiciens), féminines et syndicales (la Confédération des syndicats des travailleurs nationalistes), les Loups Gris réalisent une entreprise métapolitique réfléchie et efficace couplée à des manifestations revendicatives qui s’apparentent souvent à de véritables actions – coups de poing… Leur dissolution en France où ils n’existent pas formellement ne sert donc strictement à rien si ce n’est à faire de la communication ministérielle. Elle survient par une étrange coïncidence au lendemain d’un référendum au Colorado pour lequel les électeurs devaient se prononcer en faveur ou non de la réintroduction dans les Montagnes Rocheuses du… loup gris.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°190, mise en ligne sur TVLibertés, le 12novembre 2020.
Source Europe Maxima cliquez là
09:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 18 novembre 2020
Franck Buleux invité sur TV Libertés par Martial Bild pour parler de son livre "La guerre sociale qui vient" (Dualpha)
18:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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16:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Sécurité globale" ou totalitarisme en marche ?
12:11 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
OUI à la réouverture de TOUS les COMMERCES dès le 27 novembre. Laissez-nous travailler !
Patrick Binder
Les lecteurs de Synthèse nationale, en particulier ceux d'Alsace dont il fut longtemps conseiller régional, connaissent Patrick Binder. Celui-ci dirige une entreprise de restauration, la "Brasserie du Rhin", et l'an dernier, à l'occasion de notre Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, il s'occupait justement du banquet amical du samedi soir qui rencontra un vif succès. Il est donc bien placé pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur la situation catastrophique que subissent les artisans et les commerçants actuellement. Il vient de publier une lettre ouverte à cet effet que nous reprenons bien volontiers sur ce site.
R.H.
Lettre ouverte aux élus, préfets, ministres, ….
Quand entendrez-vous la colère qui gronde face à ce confinement !
Le confinement : "C'est une mesure qui est complètement irresponsable. Les bénéfices sur l'épidémie sont discutables et discutés. ... Il ne faut pas reconfiner les Français !" 29/10 - Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur.
« Ces mesures sont disproportionnées. C’est extrêmement grave car nous allons assister à de la surmortalité à cause des suicides, des pathologies non prises en charge, des cancers non diagnostiqués à temps. Donc, s’il y a une surmortalité dans les mois à venir, elle ne sera pas liée directement au Covid mais à tous ces « dommages collatéraux » et économiques absolument catastrophiques. Il est urgent qu’on remette la vie en marche dans ce pays et qu’on permette à tout le monde de travailler correctement, de faire du sport et d’arrêter d’avoir peur surtout ! » Dr Violaine Guérin
C’est terrible à dire, mais faut-il sauver des vies humaines à n’importe quel prix ?
« On est en train de massacrer tout un pays pour sauver 10/20 ou 30000 vies. » Pr Michaël Peyromaure sur CNEWS le 13/11.
NOUS les Indépendants ne voulons plus être la variable d’ajustement du Gouvernement.
Le risque ne vient pas des commerces de proximité (fleuristes, boutiques de chaussures/vêtements/…, coiffeurs, papeteries, librairies, quincaillerie, restaurants, bars, hôtels, ...) qui ont appliqué avec rigueur un protocole sanitaire des plus rigoureux.
Annulation des marchés de Noël, salons professionnels, fermetures des restaurants, bars, les viticulteurs et brasseurs sont touchés de plein fouet !!! Alors pourquoi ne pas fermer les grandes surfaces ?
Il y a bien plus d’hygiène dans les petits commerces de proximité.
D’ailleurs, il faut arrêter cette folie hygiéniste. L’urgence absolue est de sortir de cette absurde politique de la « peur pour tous » car c’est une bombe à retardement sociale que le Gouvernement et ceux qui soutiennent ce confinement ont mis en place.
Laissez-nous travailler ! Laissez-nous vivre !
Arrêtez d’endetter les générations à venir.
Quelle que soit la nature des aides gouvernementales, régionales, … elles ne sauraient suffire à couvrir l’ensemble des pertes.
Arrêtez l'euthanasie économique de nos commerces. Derrière chaque commerçant il y a une famille !
Un artisan en colère
10:13 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 17 novembre 2020
Télécharger Hold-Up - Le Documentaire !
Depuis quelques jours, la société de production du film a décidé de fournir le film gratuitement à la disposition de chacun. Toutefois, nous constatons qu’à chaque fois qu’un lien circule, qu’il s’agisse d’un lien Odysee, Wetransfer, ou encore Grosfichier, ce dernier disparaît.
C’est pourquoi les deqodeurs ont décidé de vous mettre à disposition le téléchargement du film par par un moyen un peu plus complexe que le simple téléchargement ou le streaming, via le réseau BitTorrent.
Source : les deqodeurs
20:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Catholiques, commerçants... Même combat.
10:18 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 16 novembre 2020
Trump: l'humanité à la croisée des chemins
Les avocats de Trump ont les preuves de fraude électorale massive. Le Grand Reset confirmé: l'humanité à la croisée des chemins.
Source : Radio Québec
15:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Etat laïciste tente une troisième spoliation des catholiques
Discours de Maître Jérôme Triomphe, lors de la manifestation pour la liberté du culte à St Maur des Fossés.
Catholiques de France ! Vous connaissez la situation :
Le gouvernement nous a interdit de nous rassembler dans nos églises que l’Etat nous a déjà volées deux fois en 1790 et en 1905. Au mépris de la laïcité, ce gouvernement a décrété que les funérailles étaient plus importantes que la communion eucharistique. Ce 7 novembre, le Conseil d’Etat a validé cette interdiction d’assister à la messe dans nos églises contrairement aux avis du conseil scientifique.
La liberté fondamentale du culte a été rabaissée en dessous de la liberté de manifestation qui, elle, reste autorisée. Le culte ne peut même être exercé qu’à titre accessoire à une autre activité au hasard d’un déplacement. Voilà ce qui est écrit.
La liberté fondamentale du culte n’est plus qu’un mot vide de sens. Au nom de la nouvelle dictature sanitaire, le gouvernement exige que des millions de parents accompagnent des millions d’enfants dans les écoles, que les entreprises restent ouvertes pour faire rentrer les impôts, que les parisiens se collent les uns aux autres dans le métro dans l’air le plus pollué de France et que l’on puisse continuer à faire la queue dans les tabacs pour acheter ses cigarettes au nom de la santé publique !
Ils ont même prévu la réouverture des téléskis, c’est dans le décret ! On peut courir par milliers sur les bords de marne ou de Seine, on peut se presser par centaines dans les magasins et aller dans une jardinerie s’acheter un barbecue ou une plante verte à l’heure de la messe pendant que nos petits commerçants crèvent la bouche ouverte dans l’indifférence gouvernementale.
Mais passer 1h par semaine à la messe masqués et séparés, cela leur est insupportable !
Le précédent ministre des cultes avait tenté de nous expliquer dans un français approximatif qu’on pouvait regarder la messe à la télé et que pour le reste on n’avait qu’à prier individuellement.
Nous avons essayé de lui expliquer, en vain, que cela revenait à prétendre faire du vélo en regardant le tour de France.
Nous avons essayé de lui expliquer, en vain, ce qu’était un sacrement et que la communion eucharistique était la nourriture de notre âme.
Nous avons essayé de lui expliquer que lorsqu’on avait regardé top chef à la télé, on n’était pas rassasié. Pire, que cela nous donnait faim.
Le nouveau ministre chargé des cultes vient de récidiver en nous menaçant de nous envoyer les forces de l’ordre : après avoir justifié l’interdiction de la messe il a proféré que « la vie est plus importante que tout »!
Non, pas vous ! Pas l’Etat qui s’est acharné à la mort de Vincent Lambert !
Pas l’Etat promoteur de l’avortement de millions de petits d’hommes arrachés du sanctuaire que devrait être le ventre de leur mère !
Pas ce gouvernement d’une majorité qui a étendu la mort des enfants pour détresse psychosociale jusqu’à 9 mois moins 1 seconde !
Alors si, M. le ministre, pour tous les croyants, il y a plus important que la vie terrestre, même si en réalité nous en sommes les meilleurs et les plus ardents défenseurs !
Le plus important pour nous, c’est la vie divine en notre âme ici-bas car sinon nous ne sommes que des cymbales retentissantes.
Le plus important pour nous, c’est la vie éternelle !
Car à quoi sert à l’homme de gagner tout l’univers s’il vient à perdre son âme ?
Ils ont refusé de nous écouter parce qu’ils ne savent rien, ne comprennent rien et en réalité nous méprisent.
La vérité, c’est que les catholiques, ça ne leur fait pas peur.
Mêmes les Français ne leur font pas peur puisque le Premier ministre a osé dire qu’il n’entendait pas nous « lâcher la bride », comme si nous étions des animaux qu’il pouvait diriger à sa guise sous le joug de l’arbitraire d’Etat.
Ainsi, enhardis dans leur mépris de la religion et de la liberté, ils ont franchi un pas supplémentaire dans une grossière et stupéfiante répression antireligieuse.
Alors que l’article 3 du décret du 29 octobre nous permet de manifester, à la seule condition de justifier que nous respectons les mesures sanitaires, les préfets de France ont reçu des consignes d’interdiction maximum.
Ils ont prétendu au mépris de la jurisprudence que prier ou dire la messe sur la voie publique ne relevait pas d’une manifestation déclarée.
Comme si l’Etat avait le droit de juger des modes et des contenus des manifestations.
Plus de 40 manifestations ont ainsi été déclarées dans toute la France.
Ne parlons pas des préfectures qui gardent le silence au lieu de délivrer le récépissé de déclaration de manifestation qu’ils ont l’obligation de donner. Elles laissent ainsi illégalement les organisateurs dans l’incertitude et l’insécurité juridique, en cherchant à dissuader les manifestants qui n’en peuvent plus d’être verbalisés.
Dans d’autres cas, à Nantes, à Lyon, à Clermont-Ferrand, à Bergerac, à Paris, à Grenoble, à Strasbourg les interdictions tombent : les préfets du ministre chargé des cultes prétendent interdire toutes prières et ne permettre que des manifestations revendicatives. Au mépris du droit et de la laïcité !
Ceux qui avaient eu l’idée de manifester devant les portes des églises ouvertes où se célèbre une messe sans fidèles ont été déplacés sur des places sans églises.
Ceux qui avaient eu l’audace d’annoncer une manifestation revendicative de messes ou de prières ont été interdits.
A Clermont Ferrand, le juge a interdit une manifestation car elle était déclarée « à des fins religieuses ».
A Nantes, le tribunal administratif vient de rejeter un référé-liberté au motif que, le culte étant interdit à l’intérieur, il doit donc être interdit à l’extérieur !
Ce n’est ainsi pas le prétendu risque de propagation du virus dans les églises qui est en cause, c’est le culte lui-même !
A Lyon, le préfet a convoqué l’organisateur. Il était 6 autour de la table pour lui dire : la simple présence d’un prêtre, c’est cultuel, donc ils prétendent l’interdire.
Un genou à terre, c’est cultuel et ils prétendent l’interdire. Mais quand c’est avec Black Lives Matters, c’est encouragé .
Quand l’organisateur leur a demandé si lire l’Evangile dans une manifestation était un acte cultuel, il y a eu des flottements et des discussions car ils n’étaient pas d’accord entre eux !
L’organisateur leur a même demandé s’il devait faire corriger son discours par le Préfet. Voilà où nous en sommes !
A Paris, avant qu’elle soit définitivement interdite, devait se tenir cet après-midi une manifestation de prières devant St Sulpice.
Vendredi, le Préfet a dit : je vous interdis je cite : « tout caractère religieux : pas de prières, pas de chants, pas de messe », et, tenez-vous bien : « pas de signes religieux apparents » ! Mais de quel droit !
Tenez, pour le préfet de Paris, brandissez vos croix et vos médailles !
A Strasbourg, le Préfet a interdit de prier même en silence. Ces gens sondent maintenant les reins et les cœurs. Ils se prennent pour Dieu !
Alors par quel miracle avons-pu nous réunir ce jour ?
Au fait que le préfet a conditionné notre manifestation au fait que nous ne récitions pas de prières !
Du droit indu et abusif du plus fort.
Et vendredi, le ministre prétendument chargé des cultes vient de menacer les évêques de France : prier dans la rue serait non seulement une contravention au décret mais une atteinte grave à la loi de séparation des Eglises et de l’Etat ! Mais savent-ils seulement de quoi ils parlent ? Leur ignorance de la religion et du droit est abyssale et nous donne même une idée de l’infini : la laïcité ne s’impose qu’à l’Etat et à ses agents, pas aux religions Dieu merci !
Certains ont voulu croire à une laïcité apaisée mais c’est l’Etat qui, aujourd’hui, sous des prétextes sanitaires, veut imposer son laïcisme agressif à la religion.
Ces prétentions actuelles de l’Etat ne doivent pas nous leurrer : il tente, par touches, avec la complicité de médias incultes, de faire passer l’idée folle que la laïcité interdirait toute expression religieuse ailleurs que dans le domaine privé ou au fond des sacristies.
Cette prétention nouvelle est totalitaire !
Si on ne s’y oppose pas, la prochaine étape, ce seront les processions et pèlerinages qui seront interdits. Ça leur est insupportable ! Et après ? Si la laïcité doit s’appliquer un jour à la religion, l’Etat ne sera-t-il pas tenté un jour d’imposer la conformité de la doctrine et de la morale naturelle aux lois de la République ?
Ce totalitarisme laïciste et antireligieux est gravissime mais ne doit pas nous étonner.
N’oublions pas les leçons de l’histoire.
En 1790, l’Etat a volé les biens temporels des catholiques, fruit du travail et des sacrifices de générations de nos ancêtres qui ont irrigué les sillons de la terre de France de leur sang et de leur labeur.
Ils ont permis de faire pousser ces magnifiques églises et cathédrales qui élancent leurs flèches vers le Ciel comme pour rappeler à ces ministres sans Dieu que la vie n’a qu’un temps.
115 ans plus tard, en 1905, le même Etat a volé ce qui restait de biens temporels aux catholiques. Il a persécuté les congrégations religieuses en les expulsant de France. Il a brisé les portes des églises, ouvert les tabernacles et fait l’inventaire des calices et ciboires qui nous appartenaient pour décider ce qu’il saisirait à son profit.
Mais 115 ans plus tard à nouveau, en 2020, ce sont les seuls biens spirituels qui nous reste qu’on nous arrache désormais. Nous assistons à la troisième spoliation des biens des catholiques.
Mais à l’inverse des biens temporels sous cadastre, ces biens spirituels sont inscrits dans les grands registres de nos âmes et cautionnées dans le grand livre des hypothèques de Dieu. Alors ces biens, ils n’ont pas le droit de nous les prendre !
En 1905, les catholiques s’étaient levés pour protéger leurs églises dans lesquels l’Etat prétendait entrer pour procéder aux inventaires.
En 2020, les mêmes catholiques, fiers héritiers des catholiques d’hier, se trouvent devant ces mêmes églises dans lesquelles nous sommes inetrdits d’assister à la messe.
Alors oui, la liberté est un bien fragile à préserver et qui reste toujours à défendre pour revenir à la vraie laïcité, celle que nous as enseignée Jésus (prononcer son nom sur la voie publique, c’est interdit M. le Préfet ?) : rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
C’est un Etat laïciste et antireligieux qui prétend désormais nous interdire de prier dans la rue, même en silence. Selon le mot de Clémenceau, qui avait au moins eu l’intelligence politique de mettre fin aux inventaires devant l’opposition des catholiques : « rendez à César ce qui est à César et tout est à César ».
Et bien nous ne l’acceptons pas ! Un droit, ça ne se négocie pas, ça se revendique ! Rendez à Dieu ce qui est à Dieu ! Rendez-nous la communion au corps du Dieu vivant ! Rendez-nous ce qui nous appartient ! Et reprenons ensemble ce cri qui sonne dans tout le pays de France et qui résonne de ville en ville comme l’écho de notre colère, de notre espérance et de notre détermination : Rendez-nous la messe !
Source : Le Salon Beige
15:06 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ariane Bilheran : HOLD-UP, ITW Grand Format
Par souci de transparence nous avons décidé de diffuser les ITW du film HOLD-UP version Grand Format.
Source : Thana TV
14:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 15 novembre 2020
Parution du nouveau numéro de la Lettre du Cercle franco-hispanique qui change d'adresse...
Nos amis du Cercle Franco-Hispanique (CFH), présidé par Hélène Grimaldi, viennent de faire paraître le 107e numéro de leur bulletin « La Lettre des Amitiés Franco-Espagnoles » !
Sommaire :
- Editorial d’Hélène Grimaldi
- A propos de Juan Carlos
- En Espagne : L’Espagne sous le joug des socialocommunistes ; « Dehors les communistes », « Arriba Espana » ; La « mauvaise mémoire » et l’Église ; Après l’exhumation, la spoliation ; Une ingénieuse amitié franco-espagnole ; Podemos accumule les scandales ; Manuel Andrino : « Toute cette merde séparatiste »
- Dossier : 1212 : La Navas de Tolosa, victoire décisive de la Reconquista
- Brèves
- Semper Fidelis
- En France
Cotisations :
- Membre actif : 25 €
- Membre bienfaiteur : 60 € et plus
- Etudiants et amis en difficulté : 15 €
Chèque à l’ordre de Cercle franco-hispanique à adresser à la nouvelle adresse du CFH :
Cercle Franco-Hipanique, BP 17-24 Théâtre, 0800 CHARLEVILLE-MEZIERES
Pour tous tenseignements : cfh.grimaldi@free.fr
11:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 14 novembre 2020
Lancement de la nouvelle collection "Archives" de Synthèse nationale
Notre site d’information quotidien (synthesenationale-hautetfort.com) et notre revue existent depuis près de quinze ans déjà. Depuis la création du blog, en avril 2006, et la parution du premier numéro de la revue, au cours de l’automne suivant, nous avons constitué une équipe de collaborateurs réguliers à laquelle sont venus s'ajouter près de deux cent personnalités de notre famille d’idées ou d’ailleurs, qui nous ont apportées des contributions.
Un grand nombre de numéros de Synthèse nationale sont aujourd’hui épuisés. Pourtant, nombreux sont ceux qui nous en demandent régulièrement. Pour pallier à ce manque et montrer ô combien nous avons eu raison, nous avons décidé de lancer une nouvelle collection, la « collection archives ». Nous publions ce mois-ci les deux premiers volumes. L’un reprenant les truculentes « Pages du Marquis » et l’autre, les clairvoyants « Avis de Jean-François Touzé ».
Le commander en ligne cliquez ici
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ENV. 200 PAGES CHACUN, 22,00 € (+ 5,00 € de port), SORTIE FIN NOVEMBRE 2020
23:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie prochaine de deux nouveaux Cahiers d'Histoire du nationalisme : l'un (n°19) sur les nationalistes belges de 1945 à 2000 et l'autre (n°20) sur Pierre Poujade
On dit souvent en France que nos amis Belges, en particu-lier les francophones, aiment imiter ce qui se passe chez nous. C’est une appréciation un peu rapide des choses. Dans cette nouvelle livraison des Cahier d’Histoire du natio-nalisme, Hervé Van Laethem, fin connaisseur du sujet et militant exemplaire de la cause puisqu’il est l’un des ani-mateurs du mouvement belge Nation, nous prouve que les nationalistes d’outre Quiévrain ont non seulement leur propre histoire, mais surtout leur personnalité.
Avec cette étude, la première publiée sur ce sujet, nous ap-prenons beaucoup sur le combat mené, dans des condi-tions souvent difficiles, par les nationalistes en Wallonie.
CHN n°19, 210 PAGES, 24,00 € (+ 5,00 € de port),
SORTIE 25 NOVEMBRE 2020
À la fin des années 1950, la France assiste, désemparée, aux prémices de la société libérale moderne. Le mode de vie importé dix ans plus tôt d’Amérique commence à faire des ravages. Les repères traditionnels sont attaqués, l’exo-de rural bat son plein et « les petits commerçants et arti-sans » sont dans la ligne de mire des banquiers qui pré-fèrent favoriser, à terme, le développement des grandes surfaces. De plus, notre Empire colonial commence à se déliter dans le sang.
Face à cette situation, un homme se lève. Il est papetier dans le Lot et, très vite, des foules immenses viendront l’écouter. En 1956, il fera élire plus de 50 députés à l’As-semblée. Cet homme, c’est Pierre Poujade. Bien qu’éphé-mère, son mouvement est rentré dans l’Histoire.
CHN n°20, 210 PAGES, 24,00 € (+ 5,00 € de port),
SORTIE DÉBUT DÉCEMBRE 2020
LES COMMANDER DÈS MAINTENANT CLIQUEZ ICI
23:40 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |