mardi, 05 janvier 2021
MERCREDI 6 JANVIER 2021 : LE DESSINATEUR IGNACE PRÉSENTE SON NOUVEL ALBUM "LA FRANCE EST BÊLE" DANS L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR TVLIBERTÉS
23:53 Publié dans IGNACE, Radio Libertés Synthèse, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 16 janvier : Paris rend hommage à Sainte Geneviève
23:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Et... un de plus qui avait la remontrance facile
16:25 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Sécu, c’est open bar !
Le juge Charles Prats, vice-président au tribunal de Paris, dresse un effrayant catalogue des fraudes qui sabotent notre système de protection sociale. Allocataires fantômes, centenaires par milliers, faux documents administratifs, décès non déclarés, pères de familles très nombreuse, fausses grossesses, etc., les arnaques sont nombreuses et coûtent très cher aux contribuables. Faire le ménage ? A la condition que la Sécu ne fasse pas de rétention d’information.
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lundi, 04 janvier 2021
Nouveau documentaire qui va faire grand bruit ! " Le Crime Parfait "
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Fiasco de la vaccination : l’administration façon puzzle
Olivier Auguste
Il y a eu, le 31 décembre en France, 242 décrets, arrêts, circulaires, décisions et avis publiés au Journal officiel. Davantage que le nombre de vaccinés contre la Covid-19 au cours de la même journée. Comment ne pas voir un rapport entre les deux, dans ce pays où l’initiative étouffe sous les normes, où l’administration éparpille sa reponsabilité en empilant les organismes redondants, où la principale activité des fonctionnaires et politiques semble être devenue de se protéger derrière des lignes Maginot de réglementation ? Ironie navrante, les innombrables « officiels » de la santé ne sont même pas capables d’estimer clairement les effectifs vaccinés : c’est un jeune bricoleur de data, travaillant bénévolement et en solo, qui s’est imposé comme référence, avec son site covidtracker.fr.
Symptôme ultime de la grande confusion bureaucratique : même l’explication du bide de la vaccination est floue ! Les doses ne manquent pas (encore), les super-congélateurs sont (à peu près) installés, les consignes ont été (laborieusement) assimilées, les Ehpad sont (globalement) demandeurs, les médecins rentrent (bientôt) de vacances, les pharmaciens seront (peut-être) autorisés à « piquer » eux aussi, les maires seront (un jour) chargés d’organiser des centres de vaccination. Le gouvernement assume la stratégie de la lenteur mais va accélérer le mouvement. Non sans avoir consulté 35 citoyens sans autre compétence que d’avoir été tirés au sort.
Il faut comprendre nos décideurs, ils ont le trouillomètre à zéro depuis l’affaire du sang contaminé, plaident les uns – contresens puisque, déjà, c’est leur coup de frein à l’utilisation de tests qui auraient évité des contaminations au VIH qui leur avait été reproché. Ce n’est qu’un retard bénin qui sera vite rattrapé, osent d’autres – indécence car dans l’intervalle, des patients et des entreprises meurent chaque jour.
Source : L’Opinion 04/01/2021
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Sortie du n°19 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à la Belgique francophone : un entretien avec Hervé Van Laethem, son auteur
Hervé Van Laethem, en photo ci-dessus lors d'une Journée de Synthèse nationale en 2013, est un militant belge qui approche de ses 40 ans de militantisme. Président du Mouvement NATION depuis 2016, il vient de signer le n°19 du Cahier d'Histoire du nationalisme, numéro consacré à l’histoire de la mouvance nationaliste radicale en Belgique entre 1950 et 2000. A l’occasion de la sortie de son ouvrage, il a accepté de répondre à nos questions.
Propos recueillis par Basile Tomé
Hervé, pourquoi avoir écrit un tel livre ?
Avant tout, parce que je voulais transmettre une histoire. Une histoire méconnue, parfois sombre, mais toujours extraordinaire de par la somme d’engagements et de sacrifices qu’elle a générée. Une histoire qui peut paraître parfois modeste mais qui, si on y regarde bien, a malgré tout influencé certaines choses.
Aussi, car je me suis aperçu que si certains camarades avaient une connaissance parfois pointue sur l’histoire des nationalistes en France ou en Italie, ils n’avaient que peu d’informations sur l’histoire de la mouvance en Belgique.
Je voulais également parler de ces militants, souvent peu ou pas connus, qui ont pourtant sacrifié tant de choses, jusqu’à leur liberté pour certains. Et pas pour leur gloriole personnelle … J’ai essayé d’en citer nommément certains, j’en ai sans doute oublié beaucoup d’autres. Mais c’est en l’honneur de tous que j’ai voulu écrire ce livre et je leur dédie d’ailleurs…
Et enfin, je voulais aussi montrer aux militants sains que le camp nationaliste n’est pas composé que d’arrivistes, de démagogues aux petits pieds ou de « militants virtuels » dont la seule ligne idéologique consiste à s’admirer dans leurs propres selfies ou vidéos… Mais qu’il y a eu et qu’il y aura toujours en son sein, de vrais idéalistes prêts à combattre sans complexes, sans concessions et sans recherche d’un intérêt personnel. C’est ce côté-là de notre camp que je voulais montrer car trop souvent certains camarades désabusés, ce que je peux comprendre, en brossent un portrait trop négatif.
En fait, ce livre est un livre qui se veut positif et plein d’espoir. Il veut dire : « Même si le combat politique est dur ; même si comme tout entreprise humaine, on y est parfois confronté à des choses difficiles ; il n’en reste pas moins que des choses formidables aussi ont eu lieu et je le pense, auront encore lieu dans l’avenir !»
Le récit a une partie « historique », classique, mais aussi une partie composée de récits très vivants d’actions et de manifestations, n’avez-vous pas peur d’un mélange des genres ?
Ce n’est pas forcément une mauvaise chose lorsqu’on sait faire un mélangé équilibré. Il y a bien entendu, une évocation de l’histoire politique et militante de la mouvance belge. Vue pour une fois par quelqu’un de notre camp. Mais, et c’est en effet assez unique, avec beaucoup de témoignages vécus au niveau de l’activisme. Et je voulais remercier celles et ceux qui ont bien voulu me parler de leurs expériences, ce qui m’a permis de pouvoir évoquer nombre d’actions et manifestations en plus de mes souvenirs personnels.
J’ai essayé aussi d’être ambitieux sur le choix des illustrations et nombre d’entre elles sont des photos rares sinon uniques et exclusives. Bon après, certaines ne plairont pas à tous mais ici, je raconte une histoire qui, à une époque, fut je le reconnais « haute en couleurs »…
Votre analyse de certains faits et stratégies est parfois assez dure, est-ce juste une impression ?
On ne se refait pas ! Un ex-camarade français avait dit de moi que j’étais dogmatique alors que lui était pragmatique… J’ai compris plus tard en le voyant se vendre à un parti politique pour quelques fiches de paie ce qu’il entendait par là !
Pour en revenir à votre question, si j’avais fait un ouvrage bisounours, je serais tombé dans le travers inversé de ce que nous reprochons aux « spécialistes » de tout noircir pour le plaisir de noircir. Ici, je n’allais pas prétendre que tout fut pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Je reconnais que c’est bien évidemment facile de donner son avis avec le recul… Mais est-ce que pour autant, on ne peut faire une critique positive de certaines erreurs du passé ? Sans bien évidemment remettre en cause, la volonté de bien faire, le courage et l’abnégation de tous les militants de l’époque, y compris de ceux avec les choix politiques desquels, on est en désaccord.
Pourquoi avoir consacré une aussi grande place à certains groupes flamands, tels le VMO ou le NSV, que l’on peut difficilement qualifier de nationalistes « belges » ?
Tout simplement car (et c’est peu connu) dans les années 70-80, les nationalistes francophones et flamands ont eu des liens assez réguliers. Et plus tard, on peut même dire que certains groupes francophones se sont lancés par des actions en collaboration directe avec les nationalistes flamands. Il était donc difficile de parler des groupes radicaux francophones sans parler de leurs pendants flamands. Ceci dit, je n’évoque que quelques groupes, sans rentrer dans les détails du nationalisme flamand. Mouvance qui mériterait un ouvrage à elle toute seule.
Mais il est vrai qu’il vaut mieux parler ici de l’histoire des « nationalistes de Belgique » au lieu de celle des « nationalistes belges ».
En revanche, vous parlez très peu du Vlaams Blok/Belang ? Est-il possible de parler de l’histoire des nationalistes en Belgique sans presque jamais évoquer le VB ou même le FN belge ?
Il faut savoir que la première idée de cet ouvrage n’était de parler que des groupes activistes de sensibilité nationaliste-révolutionnaire. Puis, il est apparu, comme expliqué dans la réponse précédente, qu’il allait être difficile de ne pas parler de certains groupes activistes flamands. Ensuite, on s’est dit qu’on ne pouvait pas non plus faire l’impasse sur l’ensemble des autres formations politico-militantes francophones, etc… Et on a fini par écrire ce livre sur l’ensemble de la mouvance. Mais elle reste néanmoins centrée sur les groupes les plus activistes et les plus radicaux de la partie francophone du pays.
Je pense que le VB d’aujourd’hui n'est plus dans la mouvance radicale et n’a en tous cas plus grand-chose à voir avec le parti militant qui, en 1980, participait aux cortèges du VMO.
Quant au FN belge, l’expérience fut à ce point désastreuse que même si nous l’évoquons rapidement, on ne se penche guère sur cette « histoire » là !
Pour la partie de ce récit que vous avez vécu, n’avez-vous pas des regrets sur certains points ?
Je peux évidemment regretter que lorsque j’avais 20 ans, il n’y ait pas eu d’aînés respectés pour nous conseiller. Je ne dis pas que j’aurais tout écouté mais j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. C’est sans doute pour cela qu’au sein de NATION, on donne une place aussi importante à la formation.
Pour le reste, lorsque je vois le recul de l’engagement, le niveau de répression et la disparition de nos libertés, je suis globalement content d’avoir été activiste, radical et même parfois « excessif ».
Quels enseignements y a-t-il à tirer de ce demi-siècle de « nationalisme » pour les militants du XXIe siècle ?
D’abord que, plus que jamais, nous avons besoin de mouvements politico-activistes. Si les élections ne doivent pas être ignorées, elles ne doivent pas être la seule obsession d’un mouvement. Il faut aussi être présent sur un plan activiste mais aussi social.
40 ans de parlementarisme effréné de certains nous ont amené dans un cul de sac. A force de tout miser sur « on va y arriver par les élections », la droite nationale a raté une occasion au moment où les régimes occidentaux étaient en état de choc après les progressions électorales successives des années 80-90. Elle a laissé « l’état profond » se reprendre et lui a laissé le temps de mettre en place, tous les « garde-fous » qui font qu’aujourd’hui, et alors que nos idées sont de plus en plus populaires, les forces politiques patriotiques n’ont que très peu d’influence sur les événements.
La leçon principale est donc que, si demain de nouvelles circonstances s’y prêtent, il ne faut plus hésiter à tenter notre chance d’une manière ou de l’autre ! On n’a plus guère de temps de faire dans la finesse stratégique !
Quant à moi qui ai connu 20 de ces 50 années, outre de grands et nombreux souvenirs, j’en retiens beaucoup de rencontres. Alors bien sûr, j’ai rencontré de mauvaises ou de drôles de personnes… comme j’en aurais rencontré à l’extrême-gauche ou dans les partis traditionnels (en pire). Mais j’ai aussi rencontre des gens formidables, cultivés, humbles, courageux, idéalistes, désintéressés. Certains ne firent qu’un passage, d’autres furent longtemps présents. Tous ont gardé vivante une flamme… C’est à eux TOUS que je dédie ce livre !
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Western Electrique, le nouveau livre de Pierre Gillieth
Georges Feltin-Tracol
Principal animateur de l’excellent magazine Réfléchir & Agir, Pierre Gillieth a déjà signé sept ouvrages et collaboré à quatre autres. Ses centres d’intérêt, très variés, vont des Gaulois à Alphonse Boudard, du polar à la sinistre Épuration de 1944 – 1945. Avec Western électrique, il concentre sa narration surquelques moments de la vie de Bertrand, un jeune huissier dans les années 1990 à Toulouse.
Il s’agit d’une autobiographie romancée qui ne respecte pas la chronologie. Issu d’un milieu bourgeoisaux très fortes convictions centristes lié à la dynastie municipale des Baudis, Bertrand se morfond dans un travail inutile, contraint en plus de cohabiter des journées entières avec des collègues antipathiques à souhait. Seul s’extrait un sympathique demeuré préposé au courrier, grassement rémunéré, en tant que fils du fondateur de l’étude.
Au FN
Bertrand trompe son ennui professionnel de diverses manières. L’ancien étudiant en droit et à Sciences-Po Toulouse, peut-être l’institut d’études politiques le plus pourri de France avant que Richard Descoings ne fasse de Sciences-Po Paris un sommet de la nullité intellectuelle et du politiquement correct global, a une copine, Sonia, joue dans un groupe de rock et, surtout, milite au Front national de la Jeunesse. Ainsi collabore-t-il à La Flamme, le bulletin de la fédération de Haute-Garonne que ne citent pas Jean-Yves Camus et René Monzat dans Les droites nationales et radicales en France (Presses universitaires de Lyon, 1992, « publié avec le concours du B’nai B’rith de France », un beau gage d’impartialité…).
Bertrand participe aux collages nocturnes dans un département occitan assez réfractaire au tocsinlepéniste. Bien que le FN fasse à l’époque des résultats électoraux à deux chiffres au niveau national, les militants locaux affrontent souvent l’indifférence du plus grand nombre qui ne pense politique que cinq minutes par an (et encore !), le mépris des nantis, la hargne de l’extrême gauche et la violence des jeunes immigrés. Deux chapitres révélateurs rapportent des cas concrets de ce « harcèlement démocratique » encouragé par le socialiste Jean-Christophe Cambadélis aujourd’hui disparu du premier plan médiatique. « Ces déjà Charlie étaient […] partisans d’empêcher de parler tout ce qui ne pensait pas comme eux (pp. 48 – 49). » La distribution de tracts dans l’université de Toulouse voit l’inévitable hargne moutonnière des petits merdeux syndicalistes estudiantins de gauche. Les violences sont d’ailleurs toujours provoquées par les antifas qui pratiquent dans les faits lemasochisme du rue : ils aiment recevoir des coups pour ensuite adopter une posture victimaire bien commode grâce à la complaisance des médiats complices. En raison de son engagement politique, Bertrand se fait bientôt virer du groupe de rock. L’un des membres du groupe, détenteur d’une maîtrise d’histoire (respect !), défend l’immigration et refuse par conséquent de jouer avec un « facho ». Un bien bel exemple de discrimination…
Quelques portraits militants
Western électrique dresse aussi le portrait de quelques sympathiques personnages tels le frontiste « JR », un ancien « délégué CGT de la cantine du restau U de Tolbiac (p. 52) » ou l’Abbé, « prétendument un ancien prêtre défroqué, rendu à la civilisation pour des motifs brumeux, et vivant aujourd’hui d’expédients encore plus incertains (p. 34) ». On y rencontre même de futurs contributeurs à Réfléchir & Agir… En revanche, d’autres adhérents au FN en prennent pour leur grade à l’instar du très oublié Stéphane Durbec ou de l’actuel maire de Perpignan. On relèvera enfin le satisfecit qu’accorde Pierre Gillieth à Bernard Antony. Bien que député européen et croisé de l’Occident éternel, il « vient coller avec nous, la nuit même, il mouille la chemise. Il n’est pas hautain. […] Humainement et sur le plan militant, il n’y a rien à lui reprocher (p. 87) ».
Il est agréable de lire Western électrique. On y retrouve l’atmosphère des dix ultimes années du XXesiècle. Cette décennie marquée par le coup monté de Carpentras en 1990, le référendum prostatique de Maastricht en 1992 et la scission mortifère du FN en 1998 accélère un déclin civilisationnel entamé au moins un siècle auparavant. Le héros de Western électrique ne sait pas encore qu’il délaissera bientôt le militantisme pour l’activisme culturel et éditorial. Il va vite comprendre qu’avec le pot de colle et les tracts, le livre constitue une autre arme de combat.
Pierre Gillieth, Western électrique, Auda Isarn, 2020, 153 p., 16 €.
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dimanche, 03 janvier 2021
Pour ne pas oublier ce que fut la terreur rouge :
Dès le mois de décembre 1917, la révolution bolchevique instituait la forme la plus terrifiante et la plus systématique de répression. Lénine en confia la direction à l'aristocrate polonais Félix Dzerjinski. Pendant plus de 70 ans, cet organe de pouvoir, la Tcheka d'une violence sans limites, littéralement terroriste, ne fit que changer de nom : Guépéou, NKVD, KGB.
Et tout au long de son histoire, l’URSS exporta ses méthodes inchangées et impunies dans tous les pays communistes, de l’Allemagne de l’Est jusqu’en Chine.
Ce livre comprend :
• Terreur rouge et théorie révolutionnaire • par Jean-Gilles Malliarakis : les bases doctrinales de la dictature de l'appareil du Parti, au nom du Prolétariat. Comment Lénine, disciple de Karl Marx et de Engels, s’affirme comme héritier de la Terreur jacobine. Ses nostalgiques, de Buonarotti à Blanqui, influenceront à leur tour les révolutions du XIXe siècle, jusqu'à la théorisation par Marx et Engels, et la mise en œuvre par Lénine.
• Terreur rouge, pratique révolutionnaire • par Charles Culbert : la logique du système, matrice du totalitarisme au XXe siècle. Les crimes communistes, lois d'être des excès momentanés se révèlent les conséquences invariantes du projet lui-même. Le prototype soviétique se retrouve ainsi sous toutes les latitudes. • Les Documents Tchernov diffusés dès 1922 en occident montrent le caractère total du système répressif.
La terreur rouge, théorie et pratique, Jean-Gilles Malliarakis et Charles Culbert, Editions du Trident, 2020, 230 pages, 20 euros franco.
Pour le commander cliquez ici
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Morts au Mali : ça suffit !
Dominique Merchet
Quentin, Dorian et Tanerri avaient 21, 23 et 28 ans. Ils étaient militaires français et « sont morts pour la France, dans l’accomplissement de leur mission ». Le président Macron a fait part de « sa très grande émotion » et un hommage leur sera rendu.
Comme 50 autres soldats avant eux, ces trois jeunes Français ne reviendront pas du Mali, où, depuis bientôt huit ans, notre pays s’est enlisé dans une guerre sans issue. Quant aux blessés, les armées ne communiquent pas sur leur nombre. Ils sont assurément plusieurs centaines, dont certains handicapés à vie.
Cela suffit ! Quel « rôle international » de la France justifie ces pertes ? Aucune menace terroriste contre le territoire national n’est jamais venue du Sahel, reconnaissent les chefs du renseignement. Sur place, les conflits ne pourront se régler que par la négociation avec ces « groupes terroristes », qui sont en réalité des insurrections renouant avec l’histoire précoloniale du Sahel.
Peut-être était-il indispensable d’intervenir au Mali comme l’a fait François Hollande en 2013. L’erreur a été d’y rester, car désormais, on ne sait plus comment partir. Ou plutôt comment habiller de manière présentable ce qui sera l’aveu d’un échec. Car malgré des débauches de communication, les Européens ne se précipitent pas pour venir aider les Français et les armées locales n’ont ni les moyens, ni la volonté de mener ce type de guerre.
Nous partirons donc du Mali, comme nous l’avons fait d’Afghanistan (après la mort de 90 militaires) et comme les Américains le font à leur tour. Les Talibans, eux, sont toujours là.
Tout à leur rêve de grandeur, nos dirigeants peinent à comprendre que les Occidentaux ne gagnent plus ces guerres et que l’ère des expéditions militaires est derrière nous. Un jour, ils seront obligés d’en convenir. Ce sera trop tard pour Quentin, Dorian et Tanerri. Et les prochains.
Source : L’Opinion 29/12/2020
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samedi, 02 janvier 2021
Alexandre Simonnot invité aux entretiens du Parti de la France
18:51 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Demain, dimanche 3 janvier à 14 h, mobilisation pour défendre le calvaire de Plorec-sur-Arguenon (22)
Source Breizh info cliquez là
Les militants gauchistes de la Libre Pensée ont réussi à faire quasiment l’unanimité contre eux concernant l’affaire dite du Calvaire de Plorec-sur-Arguenon, dans les Côtes d’Armor.
Localement d’abord, car les habitants interrogés sont, dans l’ensemble, circonspects sur l’acharnement « laïque » de cette association dans une région qui, traditionnellement et historiquement, est chrétienne et catholique.
Politique ensuite. Ainsi, un appel à mobilisation a été lancé en vue d’une manifestation le 3 janvier prochain, par David Cabas et le collectif « Touche pas à ma croix ».
« En 2017, lors de l’affaire de la croix de Ploërmel, j’ai fondé le collectif « Touche pas ma croix ».
Lors de cette affaire , j’ai dit : Déplacer la croix, c’est déplacer le problème ». Suite à la décision du tribunal administratif de Rennes de détruire le calvaire de Plorec-sur-Arguenon le 5 février 2021, il est évident que j’avais raison.
Hier, mercredi 15 décembre, je me suis déplacé à Plorec-sur-Arguenon et j’ai lancé à nouveau un appel pour protéger notre patrimoine. Ma vidéo a déjà été vue plus de 10.000 fois sur Facebook.
Avec le collectif « Touche pas à ma croix », j’appelle à une grande mobilisation dans le respect des règles sanitaires le dimanche 3 janvier entre 14h et 15h devant le Calvaire de Plorec-sur-Arguenon » indique-t-il.
17:07 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sergueï Lavrov dresse les perspectives de la politique étrangère russe
Sergueï Lavrov, 70 ans, le ministre des Affaires étrangères russe, est certainement l’un des plus fins stratèges de la planète diplomatique mondiale. Mais à l’heure où les Etats-Unis ont rallumé le spectre de la « guerre froide » et quasiment déclaré la guerre aux Chinois pour conserver leur leadership, la Russie se doit de louvoyer pour faire entendre sa voix. Et de confirmer le déplacement géopolitique de la zone euro-atlantique vers l’espace Pacifique. Enfin, pour Sergueï Lavrov, l’arrivée de Joe Biden ne changera fondamentalement rien à la politique d’hostilité menée par Donald Trump à l’égard de la Russie.
Source : site Sputnik - Lire la suite ICI
09:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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Les voeux de Philippe Milliau, président de TV Libertés
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vendredi, 01 janvier 2021
Les voeux de Jean-Marie Le Pen
23:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Reiner Fuellmich : Les procès des tests PCR sont imminents
Si la vidéo ne fonctionne pas bien, voici un autre lien : ICI
19:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Meilleurs voeux bolchéviques du Préfet Didier Lallement
Il doit ignorer que Trotsky est mort assassiné...
«Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables»
Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski (de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein) était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux «agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites». Entre un préfet psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trostski, Lallement fait un double clin d’oeil à un génie de la répression et à ses auxiliaires Blackblocs. Sous des dehors qui se veulent humoristiques il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche.
Les manifestants qui battront le pavé parisien sont prévenus…
Source : Le Salon Beige
19:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bonne année 2021
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jeudi, 31 décembre 2020
Dans son Journal de Bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen rend hommage à Synthèse nationale
11:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur Métainfos.com, Michel Lhomme commente le remarquable livre de Franck Buleuux,"Le guerre sociale qui vient"
Source Métainfos.com cliquez ici
Alors que cette nuit, des voitures brûleront, des quartiers s’enflammeront sans que Moussa Darmanin, le ministre de l’Intérieur malgré ses rodomontades ne soit capable d’enrayer le désordre malgré le couvre-feu proclamé et les moyens déployés justifiés habilement par le covid (https://youtu.be/Ae3ZdpBS-co), nous portons aujourd’hui au débat par quatre textes la question d’une éventuelle guerre civile française à l’occasion de la sortie du livre de Franck Buleux chez Dualpha, La guerre sociale qui vient en course ce dernier jour pour le Prix des lecteurs de Présent (appuyer cette démarche de vérité en choisissant cet essai : https://present.fr/votez/). ML.
Michel Lhomme
Nous soutenons pour le prix Présent 2020, le livre de Franck Buheux, La Guerre sociale qui vient mais il n’empêche que la thèse soulève débat un peu partout.
Y aura-t-il une guerre civile, un soulèvement populaire en France, dans la France dévastée de 2022 à qui de toute évidence, on volera le vote comme aux Etats-Unis quoiqu’il advienne ? On sait que depuis des décennies, on entend un peu partout « cela va craquer », « les gens vont descendre dans la rue », « il y aura une révolution ». D’abord, il est faux de dire que rien ne se passe puisqu’il y a eu les Gilets Jaunes, réprimés à coup d’énucléations, de mains arrachées, puis délégitimés par des policiers casseurs à l’intérieur même des manifestations. Non, il ne s’est donc pas rien passé puisque les bourgeois ont un moment tremblés, des intellectuels comme Luc Ferry ont appelé au lynchage par balles réelles du peuple, que les manifs sont interdites et que la censure est partout omniprésente. Mais il n’y a pas eu de conjonction du mouvement entre banlieues immigrées et patriotes, classes populaires et classes moyennes, ni même division au sein des forces de l’ordre, condition nécessaire à toute révolution, pas de grève générale.
Alors la France se soulèvera-t-elle ? Y aura-t-il « guerre des races », « guerre sociale », séparatisme et conflits civils ou la France moutonnière des masques Covid encaissera sans broncher de se faire spolier, dilapider par le gouvernement et en même temps rosser par la colonisation africaine et l’islamisation rampante du pays ?
Il semblerait bien en effet que deux scénarii se profilent ou :
- La société française se fracture carrément en deux entités démographiques, raciales, religieuses et sociologiques d’une manière violente (puisqu’il s’agit d’une appropriation classique de territoire) avec les allogènes d’un côté (majoritairement musulmans) et de l’autre, les autochtones, français et européens, de souche, une sorte d’apartheid ce que Macron appelle à tort le risque du séparatisme puisque le premier groupe ne souhaite pas du tout se séparer de la république française mais au contraire se l’approprier.
- Ou la société française poursuit sa révolution bobo du grand mélange des races et des genres, du fameux « vivre ensemble », s’insérant dans un processus de métissage sous l’empire de l’idéologie arc-en-ciel et d’un libéralisme frivole qui détruit toute racine, toute identité, tout patriotisme, toute transcendance.
En fait, ces deux tendances sont à l’œuvre dans la société française et on les repère en particulier dans la jeunesse, la toute nouvelle génération en général totalement dépolitisée. Or ces deux tendances sont contradictoires et ne sauraient cohabiter ensemble. Il ne saurait y avoir guerre sociale et en même temps idéologie arc-en-ciel. Les troupes de la guerre civile risquent en effet d’être alors fort dispersées et peu motivées.
Comment le mélange des corps, des genres, des races pourrait-il se poursuivre dans la « guerre sociale » et comment une guerre sociale pourrait-elle advenir dans une société hédoniste où le métissage est déjà chose courante, la consommation le nec plus ultra, la fête et le joint la finalité de tout loisir ?
Nous ne croyons pas trop à un soulèvement populaire mais plutôt à une implosion du système, implosion déjà à l’œuvre et qui s’est même accéléré avec le covidisme en plaçant toutes les institutions françaises en mode dégradé. C’est pour cela qu’au lieu du soulèvement, nous préférerions privilégierla résistance et le sabotage partout où nous pouvons le rendre possible.
En fait, oui, nous assistons à une sorte d’avant-guerre civile mais qui au fond n’aboutira jamais en guerre sociale ou raciale.
Parmi les no news dont personne ne parle, il y a la poursuite sur tout le territoire de l’immigration, qui s’apparente de chiffres en chiffres comme une déferlante de la misère et de l’incompétence africaine sur la France et l’Europe mais la diversité, l’idéologie arc-en-ciel, le bourrage de crâne de tous les programmes de l’Education nationale (en particulier en langues et en histoire), contrôle la population, neutralise les revendications identitaires, les journalopes veillant au grain sur toutes les chaînes de télévision uniformes.
D’un autre côté, le bourrage de crâne se heurte à la réalité quotidienne de l’insécurité, au lâchage de la police, à l’abandon par l’Etat de sa première fonction régalienne la protection des biens et des personnes sans lequel il ne saurait y avoir de liberté véritable et du coup, autre paradoxe : comment l’avènement complet de l’idéologie arc-en-ciel pourrait-il à son tour advenir dans une société où les tensions sociales, raciales, religieuses, communautaires deviennent monnaie courante ?
Mais alors sur quoi s’orienterait-on ?
Un individualisme radical, celui-là même souhaité par le système, épuisement de la dialectique politique classique du collectif, nourri par une lassitude générale engendrée par la dégradation des services, les violences et les tensions communautaires. Racisme anti-blanc, antiracisme diversitaire ne servent au bout du compte que le système qui ainsi divertit les masses en les détournant des vrais enjeux politiques en cours : l’arraisonnement du monde, la société universelle de contrôle, la post-démocratie totalitaire, la dépolitisation du monde, la grande réinitialisation du capitalisme mondial et ce en dépit de l’apparente érosion spectaculaire de la verticalité du pouvoir.
Chacun sait qu’au final, eux, les étrangers et nous, les « autochtones », les « de souche » n’avons au final qu’un seul ennemi et donc à court terme, dans la lutte présente les mêmes intérêts. Le système a entamé une stratégie facilement identifiable : la stratégie du « peuple contre peuple » pour réduire l’humanité à une quantité domestiquée, à un algorithme mercantile. La guerre civile entraînerait de facto l’épuisement réciproque des populations en les faisant se combattre entre elles dans l’antagonisme, de ce qui reste encore et dans sa diversité (par exemple ultra-marine) le « peuple français ».
Reste donc la solution de la concertation des peuples, de l’alliance des classes « pauvres » et « moyennes », de l’« alliance ponctuelle » révolutionnaire sans ménagement et concessions aucune contre ceux qui ont assumé le pouvoir et qui depuis plus de quarante ans ont dilapidé, trahi, mis en friche le pays. Il n’est pas question ici d’un quelconque « sens » de l’histoire mais de l’urgente nécessité d’un grand renversement.
Franck Buleux
Dualpha
208 pages, 25 euros
Pour l'acheter
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Démocratie : la leçon anglaise
Avec le Brexit, les Anglais nous ont montré que leur démocratie était vivante. Natacha Polony, dans Marianne, nous en fait la démonstration. Incontournable, mon cher Watson !
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Nous sommes les patriotes !
Vidéo publiée le 24 décembre 2020
sur Twitter par le Président Trump.
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#PASSEZLEMESSAGE : une initiative intéressante trouvée sur Internet
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mercredi, 30 décembre 2020
DE LA FERMETE, ENCORE DE LA FERMETE, TOUJOURS DE LA FERMETE !
Pieter Kerstens
Fermeté et vigilance pour le réveillon du 31 décembre, avec un couvre-feu de 20 h. à 6h.
Le ministre en charge de faire respecter la loi et l’ordre a ordonné aux préfets de prendre des mesures pour lutter en « priorité » contre les rassemblements non-autorisés et les « violences urbaines, surtout le soir de la Saint-Sylvestre ».
DARMANIN-TARTARIN ?
Prendre des mesures fermes pour « s’assurer de l’affirmation de l’autorité de l’Etat en chaque point du territoire national » cela ne mange pas de pain !
Multiplier les contrôles d’identité, les fouilles de véhicules et interdire la vente d’alcool à emporter, non plus.
Mais interdire les fêtes clandestines, les attroupements dans les quartiers ou les feux d’artifice et les tirs de mortiers, va être assez compliqué !
On pourrait toujours espérer que les forces de l’ordre, dont 100.000 policiers et gendarmes seraient mobilisés pour cette soirée, parviennent à mettre en examen plusieurs centaines de délinquants dans les Zones de Sécurité Prioritaire, quelle va être alors la réaction de la Justice ? Alors que les tribunaux fonctionnent au ralenti et
que de nombreux juges sont en congé, les cellules des prisons vont-elles pouvoir accueillir ces nouveaux « sauvageons » en attente des procès?
En décembre 2018 ce sont 1.250 voitures qui sont parties en fumée et le record a été battu l’an dernier avec 1.450 véhicules incendiés. Combien après-demain ?
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L’Etat français. Quel Etat ?
Patrick Parment
Nul ne le contestera et tout un chacun en a bien conscience, on ne sortira pas indemne de cette pandémie. Aucune crise depuis que nous sommes en République n’a atteint une telle ampleur – même celle de 1929 -, d’autant qu’elle n’est pas uniquement nationale mais internationale. Toutes nos vies et nos économies sont impactées par le covid et ses mutations. Partant du principe que toute crise a ses vertus, celle-ci aura eu pour effet immédiat de mettre en lumière les limites de l’économie néolibérale. Pour être plus précis, ce capitalisme financier qui est en train de détruire les hommes comme les nations. La question qui se pose donc est bien de savoir si ce capitalisme fera l’objet de réformes en profondeur ou bien s’il continuera sa route mortifère. Le capitalisme a une très forte capacité d’adaptation. Or, on imagine mal les principaux bénéficiaires de cette économie baisser les bras. Sauf qu’à force de tendre la corde, celle-ci finit par rompre. Sommes-nous au bord de cette rupture ?
Pour ce qui nous concerne, la France souffre de deux maux majeurs : sa soumission au néolibéralisme et un Etat dont le politique vit sous la férule de son administration. Ce qui a pour effet d’abolir ce qu’hier encore on appelait l’Etat régalien. Dans un Etat régalien, c’est le politique qui détermine les choix destinés à assurer le bon fonctionnement de la société et la paix civile. Sans paix civile, il n’y a plus d’Etat de droit. Et par une perversion du sens, c’est aujourd’hui l’économie qui dicte sa loi au politique. Au bout du compte, on aboutit à une crise du politique, donc de l’Etat, et d’une économie qui dicte sa loi d’airain.
L’Etat en crise
Selon une formule qui reflète bien la réalité, on est passé d’un Etat régalien à un Etat providence. Redéfinissons d’abord, ce qu’est un Etat régalien. Régalien définit ce qui est attaché à la souveraineté d’un chef qui exerce la puissance gouvernante : président, roi ou empereur. Toute société a à sa tête un chef qui exerce cette puissance régalienne. En monarchie, il n’est pas un domaine qui échappe à la volonté du souverain. En démocratie, le président exerce son pouvoir au travers de ministères dits régaliens que sont la Défense, les Affaires étrangères, la Justice, les Finances, et l’Intérieur.
Or, la prépondérance de l’économie a littéralement perverti les missions de ces ministères régaliens en les soumettant au dogme libéral qui exige moins d’Etat mais surtout une vision comptable de leur fonctionnement au détriment – voire au mépris - de la réalité humain. Comme on a pu le constater en matière de santé avec la crise du covid et la gestion des hôpitaux sans parler de notre dépendance pharmacologique de pays comme la Chine ou l’Inde. Comme le dit Arnaud Montebourg (Le Figaro 28/12) : « La multiplication de ces défaillances a été aggravée par l’incapacité de l’État à agir sur le terrain malgré sa présence, en raison de la multiplication des instances décisionnelles : les préfets ont été dépossédés de leur capacité d’action par les agences régionales de santé. Cela traduit la prise de pouvoir, dans notre pays, d’une bureaucratie irresponsable, qui entend enrégimenter la société sans jamais s’appuyer sur elle. » Et Henri Guaino de préciser (idem) : « Ce que nous payons au prix fort, ce sont les dégâts causés par une idéologie qui depuis quarante ans ne regarde toute dépense publique que comme un coût à réduire à tout prix. »
Notre souveraineté budgétaire a volé en éclats puisque la France a remis cette fonction de la monnaie commune l’Euro via la Banque centrale européenne (BCE). Autrement dit aux instances européennes – la fameuse Commission, instance fort peu démocratique au demeurant - qui sont elles-mêmes inféodés au modèle néolibéral. Ce qui induit qu’en matière de politique étrangère notre marge de manœuvre ne dépasse pas le rôle de flic qu’on a accepté de jouer au Sahel en vertu d’un passé colonial… qu’au demeurant on ne cesse de nous reprocher. De toute manière, la grande misère de l’armée française s’évalue à son budget qui sert désormais de variable d’ajustement au Budget général de l’Etat. L’armée française est un tigre de papier comme disait Mao et ce malgré la qualité de nos soldats. Seule demeure notre dissuasion nucléaire, nos quelques sous-marins de grande qualité… mais pour défendre quoi ?
En matière de sécurité nous ne sommes pas mieux lotis. Qui dit sécurité, dit évidemment police. Or, celle-ci est aussi un parent pauvre de l’Etat libéral. Ce n’est un secret pour personne de son manque cruel de moyens et de l’état indigent dans lequel on la maintient. Là encore au mépris des réalités. A l’heure même où l’insécurité n’a jamais été aussi grande, les crimes et délits en augmentation constante, les trafics de drogue aux mains de populations immigrées et qui sèment la terreur dans les banlieues. D’après Eric Zemmour, 70% de la population carcérale est musulmane. Mais la pensée dominante se refuse à faire le lien entre délinquance et immigration. Et pour ne rien arranger les rapports entre police et justice ne sont pas au beau fixe.
« Les manifestations massives de policiers et de gendarmes en décembre et les mots de plus en plus durs échangés entre policiers et magistrats sont venus donner l'image exactement contraire : celle d'une police qui a peur, d'une gendarmerie en manque de moyens et de considération, d'une justice contestée et sans boussole, bref, celle d'un Etat vulnérable et parfois sans repère solide, en particulier dans ses missions régaliennes », écrivait Cécile Cornudet dans Les Echos (10/01/2002). Rien n’a changé depuis.
Alors la question de savoir où est l’Etat aujourd’hui quand celui-ci ne maîtrise plus rien, agit au jour le jour et dont l’action se résume à traiter les problèmes au fur et à mesure qu’ils se présentent. Sans vision aucune. Pour Arnaud Montebourg (idem) : « Pourquoi des minorités agissantes de toutes sortes détruisent-elles le commun ? Parce que la France n’a pas de projet. Pour que des urbains, des ruraux, des Français de tous horizons se réunissent et avancent ensemble, il leur faut un projet commun dans lequel se réunir. Emmanuel Macron n’a proposé aux Français qu’une stratégie (pauvre) d’adaptation à une mondialisation décriée de toutes parts. » Le chemin à parcourir risque d’être long.
11:22 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 29 décembre 2020
Biélorussie : aucune mesure contraignante, 6 fois moins de morts qu’en France !
Frank Bulher Riposte laïque cliquez ici
Les manifestants manipulés par des agents de la CIA (qui ont été arrêtés) sont rentrés chez eux, compte tenu de la neige du froid, et d’un soleil qui se couche à 15 h 45. Il est désormais possible de s’intéresser de près à la gestion du covid par le Président Loukachenko.
Il est de bon ton, chez les bobos de l’Ouest, de se moquer de ce vieux moujik à l’accent paysan et dernier dinosaure de l’époque soviétique. Pourtant les dandies du marais et de l’Élysée ont reçu un grosse leçon de pragmatisme et d’efficacité.
Aux premiers jours de l’épidémie le Président parle à la télévision, ni mensonges ni comité bidon : « Il y n’y a pas de traitements et nous n’avons ni les moyens ni l’envie d’endetter les générations futures en arrêtant notre économie. On va vivre avec, essayez de vous protégez » et pour clore son discours une plaisanterie « pour combattre le virus conduisez un tracteur en plein air (son premier métier) et un peu de vodka ». Cette plaisanterie, bien entendu, a été prise (avec une mauvaise fois volontaire) au premier degré, par moquerie, par les journaleux bobos de cette France où tout était parfait (moquerie volontaire et demie)…
Depuis mars dernier, AUCUNE mesure contraignante n’as JAMAIS été prise en Biélorussie pour des résultats qui sont parmi les meilleurs d’Europe, si ce n’est les meilleurs. Pas de confinement. Les masques ne sont pas obligatoires. Les distances (suggérées) pas respectées… Bref, on « laisse filer » le virus. Mais tout les malades, mêmes légers, sont immédiatement placés à l’isolement à l’hôpital et soignés (et pas avec du Doliprane). Quel traitement ? À voir du côté de Marseille.
Les seules mesures imposées, quelques jours, concernent les étrangers entrants dans le pays. Aujourd’hui, un test positif et hop ! dans l’avion. Et la compagnie aérienne Belavia n’as jamais cessé ses vols réguliers.
Mais parlons chiffres
France : 67 millions d’habitants – 62.800 décès – Entre 170 et 800 morts par jour la semaine de Noël
Biélorussie : 9 millions d’habitants- 1.385 décès – Entre 8 et 9 morts par jours la semaine de Noël
La Biélorussie par ratio de population fait donc 6 fois mieux que la France. Une vraie leçon qui fait mal et met en rage. Mais Raoult avait pourtant prévenu que le confinement aggraverait les choses. Ce pays, toute honte bue, a préféré lui faire des procès.
Et nos bobos imbéciles ricanent toujours et croient au vaccin sauveur dans un pays ruiné. Il est parfois désespérant pour un Français de voir à quel point nous sommes parfois pathétiques. La dernière fois c’était en mai 1940.
Le comité scientifique est aussi efficace que l’état-major général des armées en 1940.
12:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Yvan Benedetti sur les 100 jours de prison d'Hervé Ryssen
12:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Institut Iliade commémore les 2500 ans de la Bataille des Thermopyles
À l'occasion des 2500 ans de la bataille des Thermopyles, l'Institut Iliade rend hommage aux 300 Spartiates qui ont défendu, au prix de leur vie, l'Europe contre des envahisseurs venus d'ailleurs. Affiche "Thermopyles : 2500 ans" cliquez ici
Cette affiche représente l'un de ces valeureux guerriers, aux portes de notre continent, prêt à protéger coûte que coûte, son peuple et sa civilisation.
12:01 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Certains immigrés sont-ils masochistes ?
Par Bernard Lugan
Certains seraient-ils à ce point masochistes qu’ils ne viendraient en France que pour s’y faire discriminer… ?
« Selon que vous naissiez homme blanc ou femme noire en Afrique ou en France, vous savez que vous avez plus de chance » vient de déclarer sur LCI, Madame Elisabeth Moreno, native de la République du Cap-Vert, et présentement ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes ». A quand un ministère de l’Egalité entre les petits et les grands, les gros et les maigres, les blonds et les roux ? Madame le ministre en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes », vient donc de faire un constat qui avait jusque-là échappé à l’esprit humain. A savoir que la population qui a créé un pays depuis des siècles ou même des millénaires, celle des indigènes, des primo-occupants, de ceux qui, par définition, sont de « souche », est naturellement davantage chez elle que les pérégrins. Un « privilège » universel qui est « jaune » au Japon ou en Chine, « noir » en Afrique et arabe en Arabie…
Question incidente à Madame le ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »: au Cap-Vert, et plus généralement en Afrique, y-a-t-il beaucoup de présentateurs blancs, d’hommes politiques blancs et pourquoi pas de femmes blanches ministres en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »?
Plutôt que ces incessantes et arrogantes jérémiades quasi quotidiennement assénées par certains néo-Français semblant être à ce point masochistes qu’ils paraissent n’être venus en France que pour s’y faire « discriminer », ne serait-il pas plus juste et honnête de leur part de dire :
« D'être venu vivre chez vous m’a privilégié car j’ai pu avoir accès à un statut que je n’aurais pas eu chez moi. J’ai en effet pu profiter des infrastructures nées du labeur et des sacrifices de vos générations passées. Celles de ces paysans blancs qui ont défriché et bonifié votre terre, celles de ces mineurs de fond blancs qui mouraient de maladie avant 40 ans, celles de ces centaines de milliers d’ouvrier blancs qui ouvrirent vos routes, vos canaux et vos voies de chemin de fer à la pioche, celles de ces millions d’hommes blancs morts pour défendre la terre de leurs ancêtres, et dont les descendants ont aujourd'hui pour dernier « privilège » celui de devoir payer des impôts pour financer la CMU et pour loger, nourrir, éduquer, soigner, habiller, un nombre indéterminé de « citoyens du monde » venus, tels des coucous, profiter de nids qu’ils n’ont pas bâtis.... »
Mais il y a aussi un « privilège noir ». C’est celui de pouvoir cracher sur un footballeur blanc sans que cela provoque de réel émoi… Imaginons l’inverse !!! Ou de pouvoir, comme Madame Afsa Aksar, vice-présidente de l’UNEF dire :
- « On devrait gazer tout (sic) les blancs (resic) cette sous race.
- « Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs (sic) arrêtez de vous reproduire ».
- « Non à la mixité avec les blancs (sic)»
- « Je suis une extrémiste anti-blanc –
- « Le monde serait bien mieux sans les blancs (sic) » etc.,
Ou encore, comme Madame le député Obono qui a légitimé la formule « Nique la France », et à laquelle l’on pourrait légitimement poser la question de savoir ce qui arriverait à un Blanc qui, au Gabon, son pays de naissance, s’aventurerait à dire « Nique le Gabon »…
Là est le vrai « privilège ». Celui d’être au-dessus des lois, de ne pas être « inquiété » pour de tels propos par les ligues « antiracistes » subventionnées par les impôts des « privilégiés » blancs, ni poursuivi par certains juges dont la principale activité semble être de guetter le moindre « dérapage » verbal des hommes et des femmes blancs, et de « droite », afin de pouvoir les traîner devant les tribunaux… Celui aussi, d’être recruté, non plus au mérite, mais selon ces discriminants quotas « raciaux » non officiels, et qui écartent de bons candidats malheureusement nés leucodermes, au profit de médiocres impétrants ayant eu la chance, eux, de naître mélanodermes en France…
Mais tout cela aura une fin le jour où se lèvera un chef qui, tel Cicéron devant le Sénat romain, osera dire aux arrogants forts de notre faiblesse et parce que nous sommes à genoux : « Quo usque tandem abutera, Catilina, patientia nostra ? (Jusqu’à quand, enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ?».
L’église pourra alors être remise au centre du village…
Source : Bernard Lugan
10:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |