dimanche, 25 avril 2021
Craintes de krach dans la politique de fuite en avant de l’Occident
Après trois séances sur cinq en baisse, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 n’ont finalement, respectivement, reculé cette semaine que de 0,46 %, 0,25 % et 0,13 %. Le taux américain de la dette à dix ans s’est assagi à 1,55 %. Quant au CAC 40, il s’est replié de 0,46 %, toujours en progression de 12,73 % depuis le début de l’année. Tout se passe comme si nous vivions, en Occident, la fuite en avant d’un monde économique, budgétaire, boursier et financier mortellement touché, atteint par une étrange maladie qui n’arrive pas à se déclarer, les hommes ayant eu recours à des méthodes exceptionnelles et non conventionnelles pour brouiller les pistes, mais qui, comme avec Frankenstein, peuvent les amener à perdre complètement les manettes de contrôle.
Le S&P 500 américain, après avoir chuté de 34 % au printemps 2020 en 22 séances, connaît actuellement une hausse de 50 %, ce qui correspond à son plus fort gain sur 12 mois depuis 1936 ! Les Bourses sont au plus haut car la valeur du marché mondial des actions représente 140 % du PIB mondial, un chiffre jamais atteint jusqu’à présent. La valeur, en France, des entreprises non cotées recherchées par les fonds d’investissement vient d’augmenter subitement de 60 % en janvier-février 2021.
L’économiste Patrick Artus remarque également que « lorsque les cours des entreprises du luxe montent, c’est directement lié à la politique monétaire, pas à une hausse de leur profitabilité ». La multiplication des scandales financiers récents (Archegos aux États-Unis, Wirecard en Allemagne et Greensill en Angleterre) est aussi un signe annonciateur d’insécurité financière et de crise. La plupart des boursiers sont conscients qu’il y a un os quelque part dans le fromage, mais l’optimisme est de rigueur car aucun investisseur professionnel ne peut faire abstraction du marché ni prendre le risque de passer à côté d’une hausse.
Les flambées spéculatives du Bitcoin font craindre également l’explosion à venir d’une bulle. De même que le père du président Kennedy avait fait fortune, en 1929, en vendant immédiatement ses actions, car très surpris que son coiffeur lui donne des conseils en matière boursière, trop de non-initiés s’interrogent aujourd’hui pour acheter ou non du Bitcoin, cet actif spéculatif sans valeur intrinsèque, contrairement à l’or multimillénaire. Du 22 avril 2020 au 22 avril 2021, le Bitcoin a progressé à 54.347 dollars, soit une hausse de 616 %. En 2017, le Bitcoin s’était déjà effondré à 3.122 dollars après avoir atteint les 20.000 dollars. Le Bitcoin, à la merci d’une suppression, comme en Turquie et aux Indes, par les banques centrales, vient de perdre, ce même vendredi 22 avril, 10 % en une seule séance.
Alors, que va-t-il se passer ? Il y aura deux juges ad hoc pour nous sortir de l’incertitude : les bénéfices réels à venir des entreprises et les décisions, contraintes ou non, des banques centrales. Si les bénéfices publiés ne sont pas à la hauteur des exigences en matière de rentabilité des investisseurs (prime de risque par rapport au taux à 10 ans), il y aura correction, en 2021 ou 2022, des cours boursiers et un krach, comme ce fut le cas en 2000 pour les valeurs technologiques. Aux États-Unis, les ratios cours/bénéfices sont actuellement à 24, au lieu de 18 pendant ces cinq dernières années. En Europe, le même ratio est à 17, en 2021, alors que la moyenne historique est à 13,5. À défaut d’un krach, une correction boursière est donc très probable en 2021.
Le deuxième élément déterminant sera l’attitude de la Fed et de la BCE, le jour où elles arrêteront la politique du « QE », ce qui entraînera immédiatement une hausse des taux d’intérêt à long terme et la chute des Bourses. Pour l’instant, c’est le statu quo et le maintien de la politique du « QE » du côté de la Fed et de la BCE. Mais pour la première fois, le président de la Fed, Jerome Powell, a affirmé qu’il agirait si l’inflation dépassait substantiellement et durablement l’objectif de 2 %, alors que jusqu’à présent, il avait affirmé le contraire.
La seule certitude, dans la situation actuelle, c’est que les dettes de la France sont irremboursables et que seule l’inflation, ou l’hyperinflation, après un éclatement probable de la zone euro et plusieurs dévaluations du franc, comme celle de 20 % en juillet 1958 et de 17,55 % en décembre 1958, permettra de les rembourser.
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Dans le cadre de ses entretiens, le Parti de la France reçoit Alain de Peretti, président de Vigilance Hallal
Vigilance halal cliquez ici
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Le procès en appel d'Esteban se déroulera à Evry à la fin du mois de mai
Souvenez-vous ! En juin 2013, dans le quartier de l'Opéra à Paris, trois jeunes nationalistes qui s'étaient rendus paisiblement à une vente privée de vêtements sont sauvagement agressés par une horde de larbins du Système (appelés aussi "antifas") qui les avait localisés et leur avait tendu une embuscade. S'en suivit une brève altercation au cours de laquelle, hélas, l'un des agresseurs, un dénommé Clément Méric, est décèdé en heurtant un poteau placé sur le trottoir.
Alors que tous les témoins reconnaissaient que les agresseurs étaient bel et bien les gauchistes et les agressés les jeunes patriotes, dès le lendemain ceux-ci furent arrêtés, inculpés et emprisonnés. L'un d'entre eux, Esteban Morillo fera quinze mois de préventive. ,
Une ignominieuse campagne de mensonges et de calomnies contre le mouvement auquel ceux-ci appartenaient, en l'occurence Troisième voie, fut immédiatement lancée par la classe politico-médiatique dans son ensemble. Campagne qui aboutit à la dissolution de plusieurs organisations nationalistes comme Troisième voie et l'Oeuvre française.
En septembre 2018 s'est déroulé le procès des jeunes nationalistes qui écopèrent de lourdes peines (Esteban 11 ans et Samuel 7 ans) cliquez ici. Face à une telle injustice, ils décidèrent de faire appel. Un second procès, initialement prévu en avril 2020, est donc prévu pour la fin du mois de mai.
Afin de soutenir Esteban, ses amis viennent de lancer une cagnotte destinée à rassembler les fonds nécessaires pour leur défense. Nous ne pouvons qu'inciter les lecteurs de Synthèse nationale à répondre à leur appel en cliquant ici.
R H
01:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 9 mai : cortège traditionnel de Jeanne d'Arc à Paris
00:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Zemmour 2022 : une immense affiche fait son apparition dans les rues d’Aix-en-Provence
Source Valeurs actuelles cliquez ici
Eric Zemmour, candidat à l’élection présidentielle en 2022 ? Si le journaliste star de CNews ne s’est jamais avancé sur le sujet, certains de ses soutiens semblent particulièrement déterminés à faire exister l’hypothèse de sa candidature. A Aix-en-Provence, ce samedi 24 avril, une immense affiche a ainsi été déployée sur la façade d’un échafaudage aixois. Haute de plusieurs mètres, elle figure le polémiste surmonté d’un large « 2022 », et encadré par un drapeau français. Une sorte de proto-affiche présidentielle, accompagnée d’un lien vers une pétition rassemblant les fans du journaliste (www.jesignepourzemmour.fr). Lancée en mars dernier par Jacques Bompard, l’historique maire d’Orange, la pétition a pour objet « d’inciter, de conforter, Éric Zemmour dans ses prises de position », comme son créateur l’a récemment expliqué au magazine L’Incorrect.
« Génération Z »
Si Jacques Bompard fait office de figure historique de la droite française, Eric Zemmour peut également compter sur une importante partie de la jeunesse. Depuis plusieurs semaines, de nombreux comptes « fans » du journaliste se sont ainsi créés sur les réseaux sociaux, rassemblant plusieurs dizaines de milliers d’amateurs. C’est l’un d’entre eux, le compte « Génération Z », qui semble être à l’origine de l’affiche, et qui a partagé une photo sur ses réseaux sociaux. Une photo sur laquelle on aperçoit, d’ailleurs, de nombreux tracts faisant la promotion de la pétition. Selon les informations de Boulevard Voltaire, une quinzaine de militants se serraient par ailleurs rassemblés à Aix, afin de distribuer ces tracts. Contacté, l’entourage d’Eric Zemmour affirme ne pas avoir été informé de l’opération, mais estime « sympathique et très révélateur de voir des citoyens qui manifestent spontanément leur soutien à Eric Zemmour ». Zemmour 2022, la campagne qui n’a pas lieu, vraiment ?
00:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 24 avril 2021
Violence ! Que va-t-on encore tolérer ?
Jarente de Senac
La femme, agent administratif dans un commissariat de Rambouillet égorgée par un migrant Tunisien, va-t-elle enfin être la goutte d'eau qui va faire déborder le vase ? On peut en douter, même si pour une majorité de Français, le vase déborde puis longtemps. C’est Charles Pasqua qui a eu le mot juste, malheureusement jamais appliqué : « Il faut terroriser les terroristes ! » Car tel est bien le sujet. Mais quels moyens donner aux forces de l’ordre pour en appliquer le principe ?
Pourquoi porter une attention plus particulière à ce fait tragique ? Tout simplement parce que Rambouillet, la ville dont Gérard Larcher, président du Sénat, fut longtemps le maire, est une ville paisible qui n’a pas à gérer une immigration comme celle qui gangrène désormais la plupart des grandes villes françaises.
Nous ne sommes pas partisans de dire que tous les extra-européens musulmans sont dangereux. Nombre d’entre eux souffrent également de cette violence qui, via la drogue le plus souvent, rend leurs ghettos tout aussi dangereux. Mais entre la drogue et les fous furieux d’Allah, l’Etat français est devant un vrai problème que ne résoudront pas les tribunaux et encore moins la prison.
Journellement maintenant des groupes de jeunes qui n’ont rien de Gaulois, s’attaquent désormais sans vergogne et frontalement aux forces de l’ordre à coups de mortiers comme c’est le cas encore récemment à Tourcoing et Aubenas. Que dire également des bandes organisées, Roms et autres ressortissants d’Europe l’Est qui cambriolent les pavillons mais s’en prennent aussi au matériel agricole, bref, à tout ce qui peut faire l’objet d’un commerce et qui suscite un trafic.
Face à cette violence qui ne cesse de monter et qui vient contredire l’un des principes même de la République qui est d’assurer la sécurité de tous, la question se pose de savoir quels sont les moyens à employer. Car, c’est bien cette violence qui ne s’exprime pas uniquement dans la rue, mais aussi sur les institutions, l’école notamment, par des musulmans qui s’imaginent qu’on peut vivre en France comme « au pays », qu’il s’agit de juguler ou plutôt d’éradiquer. Doit-on répondre à ceux qui ne respectent pas les lois de la République par ces mêmes lois qui ne font que démontrer leur impuissance ? Durant la guerre d’Algérie, le colonel Bigeard avait apporté une réponse à cette question !
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« Pierre » ou l’importance des prénoms
Mathieu Bock-Côté
La scène était frappante : à Montpellier, une mère voilée a interpellé Emmanuel Macron pour lui confesser que son fils lui avait demandé si le prénom Pierre était bien réel. On l’aura compris, elle aurait aussi pu parler de Jacques, de Charles, de Daniel. Ou même de Corinne. Sans le vouloir, spontanément, même, elle rappelait que le prénom est bien moins individuel qu’il n’y paraît, et peut être interprété comme un marqueur d’appartenance culturelle, inscrivant celui qui le porte dans un univers de sens, une histoire, et même une tradition. Il y a quelques années à peine, qui osait le rappeler risquait les pires insultes de la part d’éditorialistes s’enroulant dans la toge de la vertu pour expliquer que le prénom n’avait aucune signification collective et qu’il relevait exclusivement de la liberté des parents. Rappeler que le prénom, du simple fait qu’il est choisi, a une dimension sociologique, pouvait même passer pour un « discours haineux ». Certaines banalités ne sont pas bonnes à dire. N’importe quoi, aujourd’hui, peut conduire au tribunal.
Aucun pays ne saurait être absolument indifférent à la population qui le compose et ne saurait se réduire à une simple abstraction administrative ou juridique. Si la France était peuplée d’Irlandais ou de Norvégiens, elle ne serait plus française mais irlandaise ou norvégienne, évidemment. Certains redécouvrent ainsi, avec un étonnement probablement feint, que nous nous retrouvons, dans certaines portions du territoire, devant un authentique phénomène de substitution démographique, en situation de partition ethnoculturelle. La mutation démographique de notre temps, entraînée par l’immigration massive, est généralement niée s’il faut s’en inquiéter, mais reconnue s’il faut la célébrer. L’essentiel est pourtant là : les territoires perdus de la République sont devenus les territoires perdus de l’identité française. Risquons une hypothèse : il n’est pas impossible que les Pierre et Corinne de France ne soient pas exagérément enthousiastes à l’idée d’évoluer dans un environnement urbain qui leur donnera la désagréable impression d’être devenus minoritaires dans leur propre pays – un environnement, qui plus est, où leur sécurité est loin d’être assurée s’ils entendent vivre selon les mœurs françaises.
Se pose évidemment la question du nombre. L’assimilation n’est possible que dans la mesure où on respecte les capacités d’intégration de la société d’accueil. L’immigration massive, à terme, conduit inévitablement au communautarisme. La novlangue est partout : on parle pudiquement de mixité sociale, tout comme on parle de quartiers sensibles et de bandes de « jeunes » avant d’en appeler de manière incandescente aux valeurs républicaines, en se demandant comment rassembler des populations qui vivent aujourd’hui séparées. Mais, concrètement, c’est bien de la possibilité de fondre les populations issues de l’immigration dans le peuple français dont nous parlons. Ce qui pose la question du devoir d’intégration et du désir d’assimilation. Dans quelle mesure les populations qui s’installent en France désirent-elles devenir culturellement françaises ? Des esprits moqueurs ont demandé pourquoi la dame de la vidéo n’avait pas elle-même prénommé son fils Pierre. La question est moins farfelue qu’on a voulu le croire. La meilleure manière de se faire accepter dans un pays consiste encore à en adopter les codes et les références – à envoyer des signaux ostentatoires d’appartenance à sa terre d’accueil. Du prénom, on passe rapidement à la question du voile, puis de l’hallalisation de l’offre alimentaire et de la présence hégémonique des codes de l’islam au cœur de la vie quotidienne.
On retrouve ici une évidence sociologique trop souvent oubliée : c’est en s’intégrant culturellement et en faisant les efforts pour y parvenir que les populations issues de l’immigration pourront profiter pleinement des avantages de la coopération sociale. Inversement, elles risquent de trouver la vie plus compliquée si elles s’autoexcluent culturellement de la société qu’elles ont choisie. À tout le moins, il faudrait peut-être explorer cette piste avant d’expliquer chaque disparité statistique par la présence d’un système discriminatoire, comme le suggèrent un peu rapidement certains commentateurs et journalistes qui n’en finissent plus d’accuser la France d’exclure ceux qui, pour diverses raisons, n’embrassent pas sa culture en s’installant chez elle. Il ne s’agit évidemment pas ici de justifier les injustices lorsqu’elles se présentent, non plus que de contester leur existence, mais de comprendre les dynamiques sociologiques à l’origine de bien des tensions sociales et identitaires et de cesser de culpabiliser de manière outrancière une société d’accueil pourtant fort généreuse avec ceux qui la rejoignent. La lucidité est la condition première de l’action.
Source : Le Figaro 24/04/2021
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Journal du chaos
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vendredi, 23 avril 2021
Le pire parti de France
Georges Feltin-Tracol
On pensait avoir touché le fond des abysses avec l’UMP–Les Républicains de Jacques Chirac et de Nicolas Sarközy, le PS de François Hollande, La République en marche d’Emmanuel Macron sans oublier le MoDem, l’UDI, La France hyper-soumise ou le Rétrécissement népotique. C’était sans compter sur Europe Écologie–Les Verts qui trouve le moyen de creuser la lithosphère terrestre.
Arrivés par effraction grâce au covid-19 et à une abstention massive à la tête de nombreuses municipalités, Les Verts n’ont guère tardé à montrer leur suffisance idéologique. L’édile de Bordeaux qualifie les sapins de Noël d’« arbres morts » et ne veut pas en installer en décembre. Le maire de Lyon juge le Tour de France cycliste machiste et pollueur, propose à son conseil municipal un budget « genré », et bannit la viande des cantines scolaires. La mairesse de Strasbourg accorde une forte somme d’argent public à la plus grande mosquée d’Europe occidentale. Les nationaux-islamistes turcs la remercient chaudement. Aux mains d’une coalition verte–rouge très vif depuis sept années, Grenoble redevient un Chicago alpin.
La semaine dernière, la mairesse de Poitiers, Léonore Moncond’huy, a supprimé les subventions municipales aux aéroclubs locaux parce qu’elle réprouvait le sport motorisé. Pour se justifier, elle estima que « l’aérien, c’est triste, mais ne doit plus faire partie des rêves d’enfant d’aujourd’hui ». Souhaiterait-elle que les jeunes générations rêvassent d’accueil inconditionnel des « migrants », d’une société inclusive, dévirilisée et végane, et d’une existence seulement propice à la consommation du shit ?
Certes, les penseurs de l’écologie, à l’instar du décroissant Serge Latouche, souhaitent décoloniser l’imaginaire collectif, mais il s’agit de se libérer du productivisme, du Progrès et de la Modernité, et seulement pas de l’aviation de plaisance. Les Verts seraient-ils donc opposés aux programmes spatiaux ? Ce ne serait que de simples banalités de la part de pacifistes invétérés qui ignorent la loi d’airain du politique et donc des enjeux de puissance.
Léonore Moncond’huy commet en tout cas un formidable contresens peu surprenant. Dans le n°17 d’octobre 2014 de Causeur, Daoud Boughezala rapportait une anecdote survenue au moment de l’université d’été des Verts deux mois plus tôt à Bordeaux. Lors d’un atelier consacré à Bernard Charbonneau et à Jacques Ellul, « sur la cinquantaine de spectateurs de ’assistance, nous sommes trois ou quatre à lever le bras » pour avoir lu leurs œuvres… Cette méconnaissance étonne de la part d’un milieu constitué de cadres supérieurs diplômés pléthoriques.
Dans son récent essai co-écrit Les Luttes de classes en France au XXIe siècle (2020), Emmanuel Todd a raison de considérer le vote en faveur des Verts comme une manifestation patente de « contre-populisme ». C’est une attitude réactive à la nette radicalisation de la société française. Le démographe et économiste dissident précise que voter pour EE-LV, c’est effectuer un « vote […] : “Ni Macron ni le peuple” » qui se traduit dans les faits par « un vote contre le Jaune. Non à Macron, non aux Gilets jaunes aussi. Un vote “ni ni”, en somme » sans pour autant choisir les « extrêmes ». Les Verts sont par conséquent la dernière engeance en date de la Plaine, ce marécage historique central de la bourgeoisie modérée.
Donneurs de leçon permanents et chantres de la morale politique, ce qui est un oxymore, Les Verts détestent toute contradicteur averti. Très susceptibles, ils ont déposé une plainte en diffamation contre divers membres du gouvernement dont Marlène Schiappa qui déclarait dans un franglais typique propre à nos dirigeants qu’« on pourrait faire un best-of des décisions les plus sectaires d’EE-LV ». Incapables de débattre avec quiconque qui ne partage pas leur point de vue, ils refusent ainsi les invitations de la chaîne d’information CNews accusée par ailleurs de « dérive droitière ». Ils attendent des journalistes de recevoir un traitement conformiste et convenu.
L’électorat Vert reste néanmoins fluctuant, instable et mouvant. Trimbalé de Bayrou en 2007 à Macron en 2017 en passant par Hollande en 2012, il ne présente pas une forte motivation et risque de vite déchanter si EE-LV commence à se déchirer au sujet de l’échéance présidentielle à venir. Sait-il pour le moins que l’antagonisme entre Éric Piolle et Yannick Jadot est si violent en interne qu’il ramène à l’état de broutilles la féroce rivalité entre François Mitterrand et Michel Rocard ou entre Lionel Jospin et Laurent Fabius aux grandes heures du PS ?
Les Verts ont longtemps été assimilés à des « pastèques » (vert à l’extérieur et rouge à l’intérieur) ou à une volonté de revenir à la lampe à huile. Commencée en 1993 avec l’exclusion d’Antoine Waechter, leur dérive tourne à l’artificialisation et à la stérilisation des idées écologiques les plus prometteuses. Ils se détournent de la pluralité des expressions et se moquent de la diversité des opinions. Cette écologie politique-là ne peut que conduire à un Tchernobyl des convictions, à un Fukushima de l’engagement militant, à un dépôt de bilan politique total.
Bonjour chez vous !
PS : Chaque semaine depuis un an, Les Verts démontrent leur sens des affaires publiques. Le 14 avril dernier, le conseiller municipal EE – LV de Vincennes (Val-de-Marne), Quentin Bernier – Gravat, ne vote pas une subvention au club local de yacht, car « les bateaux polluent, donc l’activité du Yacht Club est polluante ». Il oublie qu’il s’agit de la navigation à voile (avec du vent)… Peut-être faudrait-il commencer à préparer un bêtisier politique des Verts tant ce parti symbolise la bouffonnerie dans toute sa splendeur.
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°210, mise en ligne sur TVLibertés, le 13 avril 2021.
18:31 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sortie aux éditions Déterna d'un livre consacré à Ian Stuart, figure du RAC, le rock anticommuniste
Ian Stuart n’a pas été à l’origine du mouvement Rock Against Communism (RAC), mais il en est très vite devenu, grâce à son incontestable talent d’auteur (228 chansons écrites en 22 albums !), la figure emblématique. Leader du groupe skinhead Skrewdriver, il avait compris qu’un groupe de rock de tendance strictement nationaliste pourrait être un très efficace outil de propagande et avoir un impact politique considérable. Et cela ne se fit pas sans douleur : tentatives de meurtre, incarcérations multiples, agressions physiques, boycotts des concerts, équipements volés, bagarres générales, attaques médiatiques calomnieuses permanentes, la liste fut longue.
Ian Stuart, la voix du rock anticommuniste, Paul-Louis Beaujour, Déterna, 2021, 294 pages, 31 €
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18:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Corona business
Faut pas nous prendre pour des billes, car on a bien conscience que derrière la course aux vaccins anti-covid 19 se cachent de puissants intérêts financiers. Les labos s’en mettent plein les poches pour une efficacité souvent contestée. Mais pour faire fructifier leur juteux business, ils ont besoin de puissants relais au sein des gouvernements. Françoise Monestier lève un coin du voile dans un article fort pertinent de Présent (23/04) qui met en cause la macronie et les curieux personnages qui naviguent au sein de la sphère santé.
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11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La France sur un volcan
A tout juste un an de la présidentielle, le jeu des prévisions est difficile. Après les crises sociales – « gilets jaunes », réforme des retraites –, la crise sanitaire, avec son lot de conséquences économiques et sociales, bouleverse encore davantage le pays. Les répercussions de la présidentielle de 2017 se font encore sentir. La droite se cherche un leader, la gauche reste très fragmentée et les écologistes, s’ils ont marqué des points dans l’opinion, peinent à en trouver une traduction politique nationale. Seuls Macron et Marine Le Pen figurent en tête dans tous les sondages. Mais rien n’est joué pour autant. Pascal Perrineau, longtemps à la tête du Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences po) aujourd’hui professeur émérite des universités, et qui observe la vie politique française depuis longtemps, répond ici aux questions posées par Les Echos. Un mot résume tout : désarroi.
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10:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Éric Zemmour vers une candidature ? Deux signes de sa part qui ne trompent pas
Frédéric Sirgant Boulevard Voltaire cliquez ici
La question de la candidature d’Éric Zemmour qui agitait la droite, il y a quelques semaines, semblait oubliée depuis que les sondages ne cessent de présenter Marine Le Pen comme l’indépassable horizon de la droite pour 2022. Même la fondation Jean-Jaurès l’affirme : elle pourrait être élue si, et si, et si.
Mais ne voilà-t-il pas qu’Éric Zemmour vient d’envoyer, coup sur coup, deux signes que ses partisans interpréteront comme des cartes postales en vue d’une éventuelle candidature.
D’abord, lui qui se cantonnait à sa chaire de CNews et qui était assez distant des réseaux sociaux vient d’ouvrir plusieurs comptes à son nom. Selon Valeurs actuelles, « Éric Zemmour débarque et cartonne sur les réseaux sociaux. Pour attirer la jeunesse, l’éditorialiste vient de se lancer sur différentes plateformes. » Les RS en question ? Instagram, Facebook, TikTok ainsi qu’une chaîne Telegram qui « sont venus accompagner le compte Twitter de l’éditorialiste, déjà suivi par plus de 127.000 personnes ». Et ce nouveau pas vers un élargissement de son audience médiatique et populaire s’est accompagné du dévoilement d’une « signature » : il se met à « signer ses tweets avec les initiales “E.Z.”, comme au début du mois d’avril, quand il souhaite une joyeuse fête de Pâques à ses followers ». EZ versus EM ?
Mais il y a un autre signe plus fort, car plus profond et plus personnel. Dans sa dernière chronique du FigaroVox, publiée mercredi soir, il conclut sa recension du livre de Christophe Dickès sur Bainville par le testament angoissé du vieil historien se reprochant de n’avoir pas assez agi alors qu’il avait tout prédit sur les périls des années 30. Une sorte de miroir tendu à Éric Zemmour un siècle après et une chronique en forme d’introspection :
« Son fils, Hervé, a raconté à Christophe Dickès le désespoir de ses dernières années : “Tout ce que j’ai fait est stérile…” Il regrette de ne pas avoir participé à la vie politique de manière plus active. De ne pas avoir abandonné son métier de journaliste. Il rumine sans apitoiement sur soi : “Pourquoi si bien prévoir et pouvoir si médiocrement ? J’ai toujours eu le tort de ne pas viser assez haut. Excès de fausse modestie, fausse fierté ! Méfiance exagérée de soi même, sentiment d’impuissance”. »
C’est tout son dilemme qu’Éric Zemmour décrit ici. Le parallèle n’a rien d’excessif et il est, somme toute, assez juste. Il relevait aussi, dans sa chronique, cette sentence de Bainville sur la politique française des années 30 : « Ce qui est dangereux et haïssable, c’est le simulacre de l’action. » Là encore, nos dirigeants dépassés ressemblent à ceux de la IIIe République finissante.
Au moment où un Président lance avec légèreté et en anglais qu’il faut « déconstruire notre Histoire » et reste en même temps sans réponse devant une femme voilée s’inquiétant que son enfant ne connaisse pas le prénom Pierre, comment Éric Zemmour, qui a parfaitement diagnostiqué le mal français depuis vingt ans, et précisément sur cette question des prénoms et de l’assimilation, ne ressentirait-il pas le puissant appel de l’action ?
Alors, le prochain débat d’Éric Zemmour ? Face à Emmanuel Macron ? Mais pas sur CNews. Et en mai 2022.
01:02 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un nouveau livre consacré à Eugène Deloncle et à la Cagoule vient d'être édité par Dualpha
Dans la nuit du 23 novembre 1937, Marx Dormoy, le ministre de l’Intérieur, convoque la Presse en urgence pour lui révéler la découverte d’un fantastique complot : après six mois d’enquête, la Sureté nationale a lancé une série de perquisitions qui lui a permis de saisir un millier d’armes, certaines parmi les plus modernes dont ne disposent ni l’Armée ni la Police, comme les pistolet-mitrailleurs Bergmann et Beretta, dix mille grenades, d’un modèle très original, et deux cent mille cartouches. À la tête de la conspiration, un ingénieur-conseil aux Chantiers de Penhoët, Eugène Deloncle. Ce dernier a recouvert la France d’une vaste organisation calquée sur l’Armée, avec un premier, un deuxième, un troisième et un quatrième bureau et a réparti ses effectifs en divisions, brigades régiments et bataillons.
Eugène Deloncle, de La Cagoule au MSR, Patrice Delhomme, Dualpha, 2021, 358 pages, 31 €
Pour le commander cliquez ici
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jeudi, 22 avril 2021
Pierre Jovanovic : "Comment tous ces gens étaient-ils au courant ?"
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Lynchage médiatique et racisme anti-blanc
Christian Dalsug
Dans une ville tenue par la gauche, le procès de la police, de l'ordre, des Blancs. Dehors, une foule surexcitée qui exige une peine maximum. Et au-delà de cette foule, dans tout le pays, une presse, des politiciens, des organisations qui entre tiennent le lynchage en distillant une haine féroce. Voilà le tableau. Et son verdict sans surprise : coupable, trois fois coupable. La ville, c'est Minneapolis, dans le Minnesota. Celui qui est au banc des accusés, c'est Derek Chauvin, policier au commissariat central. Le 25 mai 2020, à la suite d'une technique de maîtrise corporelle très efficace et enseignée dans toutes les écoles de police, Chauvin constate que l'homme qu'il vient d'arrêter est sans connaissance. Il mourra durant son transfert à l'hôpital. La victime est noire. Le « tueur » est blanc - forcément. Donc, à l'évidence, crime raciste. Simple fait divers qui enflarnrne l'Amérique pour des mois.
George Floyd,la victime, était tout sauf un père de famille exemplaire, un pieux protestant et un citoyen irréprochable qui aurait été la proie désignée et mal heureuse d'une brutalité flicarde et naturellement raciste. Cela, c'est le faux Floyd,le Floyd de la propagande, celui des manœuvres, d'un montage, d'une imposture qui a débouché sur une parodie de justice. Le vrai Floyd ? Un colosse de 46 ans pesant plus d'un quintal, un dangereux multirécidiviste, un habitué des vols à main armée et des séjours en prison, un individu fiché et connu pour sa régulière consommation de drogues « dures ». Le 25 mai 2020, Chauvin a voulu l'immobiliser. La prise dont il s'est servi exigeait le maintien de son genou sur la nuque du suspect durant plu sieurs minutes. Ce fut un geste de trop. En apparence, il provoqua la mort par asphyxie. En réalité,l'organisme de Floyd, délabré par de lourds dommages aux muscles cardiaques et respiratoires dus aux stupéfiants, fut incapable de supporter une épreuve prévue pour des individus en pleine possession de leurs moyens.
Ce geste de trop, qui n'est pas un geste de criminel, vaudra peut-être à Chauvin 4 0 ans de prison. Mardi après-midi, les jurés l'on déclaré coupable des trois chefs d'accusation retenus contre lui. Verdict dans deux mois. Son défenseur fera appel : le procès aurait dû se tenir dans une autre ville que celle où eurent lieu les faits incriminés. Et les jurés auraient dû être séquestrés pour leur éviter toute pression venue de l'extérieur. Or, des pressions, il y en eut, et d'innombrables. Toutes les officines se réclamant de l'antiracisme se muè rent subitement en brûlot d'un racisme anti-blanc. Dans une atmosphère tendue, empoisonnée, cette manœuvrese transforma en chantage : Condamnez lourdement Chauvin ou la rue se soulèvera et des villes brûleront. Le sort de l'inculpé était donc fixé bien avant la réunion des jurés. Le simulacre dans ce genre de procès semble désormais le prix àpayer pour les nombreux succès de la subversion qui dicte ses principes et impose sa loi.
Source : Présent 22/04/2021
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REJET DE L’IVERMECTINE CONTRE LE COVID : À QUOI SERT DONC L’ANSM ?
Un communiqué du Mouvement national républicain (MNR) :
Le 31 mars 2021, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament a rejeté une demande de Recommandation Temporaire d’Utilisation pour l’Ivermectine contre la covid 19, estimant que :
« il ne peut être présumé d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’Ivermectine en traitement curatif ou en prévention. »
L’ivermectine est un médicament antiparasitaire connu depuis longtemps, et très peu cher. Son efficacité contre la covid était apparue en mars 2020 dans un EHPAD de Seine-et-Marne, à l’occasion du traitement d’une épidémie de gale. Depuis, dans divers pays, de très nombreuses observations montrent son efficacité, en prévention et à tous les stades de la maladie.
« Pour accorder une RTU, la loi ne prévoit que deux conditions : une présomption d’efficacité et un minimum d’effets indésirables afin d’établir un rapport bénéfice/risque favorable. Or I’ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. » (dr. Gérard Maudrux).
Il est vraisemblable qu’avec ce médicament, l’engorgement des hôpitaux ne serait plus à craindre, et de nombreux morts auraient pu, et pourraient encore être évités.
Au moment où l’activité économique est au point mort, ainsi que le moral de la population, peut-on espérer que les « autorités » sanitaires se montrent moins timorées, (ou peut-être moins corrompues) ?
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mercredi, 21 avril 2021
Bernard Gantois invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés
L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Bernard Gantois, auteur de l’ouvrage « Autopsie d´un assassinat – En route pour une dictature mondiale » (Éditions de Chiré), que nous recevons dans cette nouvelle émission « Synthèse » (animée par Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier), nous alerte sur l’urgence de défendre cette liberté essentielle de déplacement individuel, tout autant que collectif.
Plus encore, ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.
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Il serait temps d’avoir une lecture ethnique de la France
En visite dans un quartier sensible de Montpellier, Emmanuel Macron a été interpellé par une habitante sur l’augmentation de la concentration de la population d’origine étrangère sur place. La démographe, MichèleTribalat dresse l’état de la situation.
Michèle Tribalat est une ancienne chercheuse à l’Institut national d’études démographiques (Ined). Elle étudie les questions de l’immigration en France, de l’intégration et de l’assimilation des immigrés et de leurs enfants. Auteur de plusieurs ouvrages salués par la critique, Michèle Tribalat a notamment publié « Les Yeux grands fermés : l’immigration en France » (Denoël, 2010) et « Statistiques ethniques, une querelle bien française » (Éd. L’Artilleur, 2016).
A lire ICI
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Vous avez dit sécurité ! Quelle sécurité ?
Le billet de Patrick Parment
Une fois de plus, nos dirigeants se foutent littéralement de notre g… et réduisent la démocratie à son plus petit dénominateur commun. Ce qui explique en grande partie les taux d’abstentions records aux élections quelles qu’elles soient. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de la bouglionesque prestation d’Emmanuel Macron en matière de sécurité. A l’image d’un Sarkozy – il n’est pas plus grand, 1m10 et 3 de tension – Macron veut nous montrer qu’il a du muscle. Cette pantomime, tous, de droite à gauche, nous l’ont déjà faite et notamment les ministres de l’Intérieur de Pasqua à Sarkozy en passant par l’Espagnol « qui n’a pas une goutte de sang français », Manuel Valls.
On n’a jamais vraiment su si Macron était de gauche ou de droite pour la bonne raison que sur le fond, il n’est rien. Mais en bon énarque qu’il est, le calcul est très simple concernant sa prochaine candidature, elle se jouera à droite, la gauche ayant quasiment disparu du paysage. Elle est en pleine dérive, au point, et là on se marre franchement, que l’insoumis de mes fesses, Jean-Luc Mélenchon déclare qu’il se sent « Maghrébin européen ». Il a dû trop fumer de pétard dans son périple sud-américain. Car en matière de classification des races, on ne sait toujours pas à quoi cette espèce correspond. Mais à l’heure des transgenres et des manipulations génétiques, une nouvelle race est peut-être née, le gaucho-méchancon-sapiens !
Mais revenons au camarade Macron et à ses biceps. Inutile d’être Madame Soleil pour savoir que si tout doit se jouer à droite, il suffit alors d’en épouser les grands thèmes : l’immigration et la sécurité. Ca mange pas de pain et ça peut rapporter gros… Sauf que… Sauf que ce scénar, on nous le fait à chaque élection et ça donne quoi ? Sarkozy a purement et simplement supprimé plus de 10 000 policiers et gendarmes de la carte du pas-tendre-du-tout et que depuis quatre ans qu’il est aux manettes, le Sieur Macron a vu la délinquance et l’insécurité exploser sous son nez. On ouvre à peine un journal que les meurtres d’individus de races bien déterminées nous sautent aux yeux : Maghrébins, Pakistanais, Subsahariens Tchetchènes, Tsiganes roumains, j’en passe et des meilleurs.
Il y a même une justice qui se réfugie derrière la maladie mentale pour absoudre certains d’entre eux qui s’avèreront de joyeux récidivistes. Quant aux expulsions, on frise la rigolade. Les sacro-saintes lois démocratiques permettent à de savants avocats d’effectuer des tours de passe-passe devant des magistrats qui ne demandent qu’à se faire enfumés. Nos amis les pandores ne cessent d’ailleurs de se plaindre de leur laxisme. Au risque de figurer sur le « mur des cons » érigé par le sacro-saint Syndicat de la magistrature.
Alors Macron, me direz-vous ? De l’esbroufe mon cher Watson. Car il suffit d’interroger des juristes sérieux pour qu’ils vous répondent franchement que les lois pour lutter aussi bien contre la délinquance que l’immigration clandestine sont là et qu’il suffit de les appliquer. C’est franchement pas plus compliqué que ça. Le vrai problème est donc que l’Etat est incapable de faire appliquer les lois qu’il fait voter. Et c’est bien là que ça devient surréaliste.
Sauf que la réalité demeure, les Français en ont ras-le-bol qu’on leur marche sur les pieds, que des ministres au lieu de combattre l’islam politique se rendent dans des mosquées qui n’auraient jamais dû voir le jour, dès qu’un moindre tag « raciste » y est apposé. Marre qu’une classe politique se couche devant la pression qu’exercent les islamistes sur nos institutions, et l’école notamment. Les Français veulent que règnent les lois françaises dans leur pays et mieux encore qu’on les applique. Au lieu de cela , tout un chacun a bel et bien le sentiment que nous sommes devant des pouvoirs faibles et incapables de réagir face aux multiples agressions dont les Français font les frais dans leur quotidien. Un pouvoir fort n’est pas incompatible avec une démocratie digne de ce nom. Car nos démocraties ont le droit de se défendre face à ceux qui refusent ses règles du jeu. Encore faut-il s’en donner les moyens.
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mardi, 20 avril 2021
Entrevue avec l'avocat Reiner Fuellmich
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Méphisto-Macron joue avec le feu
Bernard Plouvier
Notre Génial Président-Dictateur-Général (PDG, pour faire court) s’est mué en démagogue : dépenses folles, déroute des magistrats qui ne rendent plus la « Justice », enfin mépris ouvertement affiché de la police.
Il est évident que la République macronienne non seulement « ne marche pas », mais encore expose au risque d’explosion sociale. De Gaulle disait au milieu des années Soixante : « Moi ou le Chaos ! ». Macron, c’est l’apprenti-sorcier qui mène directement à la banqueroute de l’État – ce n’est pas chose nouvelle en France -, mais aussi à la guerre des races et des religions sur le sol métropolitain. Bref, Méphisto-PDG risque d’incendier le pays.
Là encore, ce n’est pas nouveau : on a connu la chose en 1792-94, et ça s’est terminé en guerre continentale, puis en invasion : Prussiens, Autrichiens, Russes et Britanniques se sont retrouvés maîtres de Paris en 1814 et en 1815. Cette fois-ci, le Finis Franciae aura un goût de charî’a et la Reconquista risque d’être fort longue et fort coûteuse.
Le Macron nouveau, né avec sa « guerre du coronavirus », est à l’opposé du jeune politicien arrogant et volontariste de 2017-18, qui voulait réduire les dépenses de l’État et créer des emplois. Tel qu’il s’y prenait – par la méthode économie globale et immigration-invasion -, c’est raté d’avance, mais le suicide français se faisait avec un certain panache : on allait droit dans le mur, mais avec enthousiasme !
En 2021, le tableau est tout différent :
1 – Le Macron nouveau explose la Dette, non par des investissements productifs ou générateurs d’emplois nouveaux, mais en inondant le pays de « dons d’État », octroyés en une monnaie de singe à l’imitation de ce qui se fait partout ailleurs : on crée du jour au lendemain des milliards d’euros, $, £, Yen ou Yuan, sans la moindre contrepartie en production de biens, simplement pour gérer une panique liée à une virose épidémique qui tue selon l’éternel principe de la sélection naturelle.
Macron fait « comme les autres »... c’est-à-dire qu’il se comporte comme les autres crétins qui pilotent à vue, voire sans visibilité. Bref, notre distingué Super-PDG est remplaçable comme n’importe quel charlatan expert ès n’importe quoi.
2 – La « Justice » aux mains d’un curieux avocat blanchit à tour de bras des criminels qui presque tous sont des Africains et généralement des mahométans. Manifestement, notre brillante magistrature hyper-politisée et maçonnisée à outrance oublie le Code pénal, regarde un peu trop du côté des prisons – que l’on peut facilement vider en réexpédiant dans leur continent d’origine les extra-Européens qui forment une énorme partie des locataires – et envisage avec terreur le risque d’une expérience populiste française.
Et franchement, pourquoi avec terreur ? Car seuls les terroristes, les criminels, les canailles d’affaires devraient avoir peur d’une « Justice » équitable !
3 – Le Macron nouveau – en dépit de discours non suivis d’effet – se détache du soutien aux policiers et aux gendarmes. L’usage de la « violence légitime » - celle des forces de l’ordre affrontant des criminels et des émeutiers – est désormais contesté en Macronie. L’héritage de 20 siècles de civilisation est sacrifié sur l’autel d’une réélection devenue très problématique. Super-Macron lorgne l’électorat extra-européen !
Mais il y a plus grave que la déculottée méritée de Génial-PDG. Lorsque la guerre ouverte des races et des religions remplacera la guérilla qui existe depuis un quart de siècle, avec quoi nos brillantes « élites » la combattront-elles ?
Avec des policiers et des gendarmes démoralisés par la démagogie des politiciens veules – et trop souvent corrompus, ou avec des militaires dont 25 à 30% selon les armes sont d’origine extra-européenne... au point qu’en lieu et place d’aumôniers chrétiens, l’on engage désormais des imams ?
Les Français de souche européenne en sont à minuit moins cinq : ils sont encore majoritaires. Ils ont encore le pouvoir démocratique – celui apporté par la Loi du Nombre – de stopper les sottises et de tourner le dos aux « élites » veules, lâches, prostrées devant le veau d’or... en passe de se prosterner devant un dromadaire doré.
14:17 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Une délinquance exponentielle
Nos concitoyens sont nombreux – pour ne pas dire majoritaires – à estimer que la violence contre les personnes s’est affranchie de toute limite. C’est l’une des conclusions à laquelle arrive Jérôme Fourquet, directeur du pôle opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop, qui analyse ici le phénomène, estimant que cela sera l’un des enjeux majeurs des futures élections. Il faut bien dire que la réalité ne nous incite guère à l’optimisme et il faut être un sectaire de gauche à la Mélenchon, qui se définit désormais comme un «Maghrébin européen», pour estimer que l’immigration et les migrants – clandestins ou pas – n’y sont pour rien.
Lire la suite ICI
12:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 19 avril 2021
Mercredi 21 avril : Bernard Gantois invité de l'émission Synthèse sur TV Libertés
18:46 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les Arcs-sur-Argens, paisible commune du Var...
Jacques Mayadoux
Les Arcs-sur-Argens, paisible commune du Var, située à quelques kilomètres de Draguignan et de Fréjus connait une agitation peu ordinaire et la presse nationale s’est emparée d’un fait divers suite à l’occupation par des squatters depuis le 27 septembre 2020 d’une villa.
Peu importe leur nationalité, ces squatteurs qui ont pénétré par effraction dans cette habitation sont des voyous et interdisent à de paisibles citoyens de jouir de leur bien.
Les autorités (police municipale, gendarmerie nationale etc.), toujours promptes à verbaliser un malheureux passant ayant omis son attestation de déplacement ou de porter son masque, ne bougent pas. La préfecture se réfugie derrière le prétexte de la treve hivernale afin de justifier son manque de réaction. Jean Raspail, dans son livre prémonitoire Le Camp des Saints, publié en 1973, prédisait déjà cette invasion des migrants sans respect pour notre civilisation et la pleutrerie de nos gouvernants.
Aujourd’hui, nous voilà envahis par des hordes venues d'ailleurs et la majorité des hommes politiques nous parlent de "règles sanitaires".
Une manifestation s’est déroulée dans le calme ce samedi 17 avril. Manifestation de braves gens qui en ont assez de voir se dérouler sous leurs yeux une telle incurie. Avant de se disperser, à la fin de leur marche, ils ont entonné La Marseillaise, notre hymne national. C’est très bien, mais visiblement pas suffisant. Chacun est rentré chez soi, le préfet est rassuré, pas d’incident... et les squatteurs toujours en place.
Imaginons maintenant ces mêmes manifestants, armés de fourches et pourquoi pas de fusils, faisant le siège de la villa occupée illégalement aux cris de « Nous voulons rester maitres chez nous ! ». Monsieur le préfet aurait-il envoyé les forces armées face au peuple de France ?
Il est temps de réagir et de se dresser contre ces ennemis de la France et de nos lois. Les Français doivent réagir contre cette immigration invasion qui demain anéantira notre civilisation.
18:30 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quand des magistrats ont pour des tueurs de flics les yeux de Chimène…
Entretien avec Philippe Randa,
directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. cliquez ici
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Comment réagissez-vous au verdict en appel dans l’affaire des policiers brûlés en 2016 à Viry-Châtillon qui a vu l’acquittement de certains prévenus et des peines atténuées pour d’autres ?
Je m’étonne de l’indignation, de la colère et de l’incompréhension que provoque ce verdict jugé trop « clément » (euphémisme)… Pourquoi celui-ci ? Parce qu’on parle dans ce cas précis de préméditation, de guet-apens, de volonté de tuer ? Ah bon ! Mais quasi-quotidiennement désormais, on nous relate que dans telle ou telle ville, chaque nuit, on tire au mortier sur les forces de l’ordre ou sur les pompiers, si ce n’est encore sur des citoyens… Sans qu’il y ait alors de préméditation, de guet-apens, de volonté de tuer ? Il faut nommer cette affaire de Viry-Châtillon comme il se doit et pour ce qu’elle est : un simple fait-divers… Certes deux policiers, dont une femme – tiens ! on n’a pas entendu les chiennes de garde du féminisme dans cette affaire qui a dû échapper à leur si sourcilleuse vigilance ! à moins que… – ont été transformés quelques minutes en torche humaine, cela a pu frapper quelques âmes encore trop sensibles, certes…
Le verdict est tout de même surprenant : des peines ont été diminuées et des prévenus condamnés en première instance ont été acquittés ; certains n’hésitent pas à parler de naufrage de la justice…
Un naufrage sous-entendrait que la justice ait sombré, donc qu’elle n’existe plus, ce qui n’est pas le cas : tout va continuer comme auparavant… Il serait plus juste de parler d’une Justice qui a muté, mais encore une fois, est-ce si nouveau ? Les verdicts rendus à l’encontre de délinquants issus de zones de non-droits pour des affaires de violences, certaines allant même jusqu’au sang versé, voir à des morts, sont-ils habituellement si différents ?… Dans ce récent procès de Viry-Châtillon, un des avocats généraux a fait remarquer dans ses conclusions que les accusés auraient selon lui « de l’empathie » pour leurs victimes et qu’ils constituaient, donc, de ce fait, « à ses yeux une richesse pour le pays»… Après les « chances », nous voici donc aux « richesses » pour la France ! Ce n’est plus « autres temps, autres mœurs », mais « autres procureurs, autres verdicts » et fait écho, finalement, au courroux d’Assa Traoré, sœur d’un délinquant, qui s’offusquait dernièrement dans les médias de l’acharnement policier et judiciaire contre sa famille ; je la cite : « On a mis tous mes petits frères en prison. Il faut savoir que cinq des frères d’Adama Traoré sont passés par la case prison. On a fait toutes les prisons d’Île-de-France »… Les médias désigne cette personne comme une « militante » ; en d’autres temps et en d’autres mœurs, ce n’est certes pas ainsi qu’elle aurait été dénommée.
C’est quand même une première qu’un procureur prenne ainsi fait et cause pour des prévenus, tout de même inculpés pour tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique… D’un avocat de la défense, on aurait pu admettre, pour les intérêts de son client, qu’il tente le tout pour le tout, même une telle énormité, mais pas d’un procureur…
Pour ce procureur, il est probable que ce n’est absolument pas une énormité, mais une vérité : depuis plus de 40 ans maintenant, une partie de la population a grandi, formatée par des slogans du type « les immigrés sont une chance pour la France »… Donc, toute personne d’origine non-européenne ne peut être que le nec plus ultra de l’humanité, tandis que l’Européen, lui, ne peut être que le responsable de tous les maux de cette même humanité ; d’où les critères discriminants imposant le postulat de base que seuls les Blancs peuvent être racistes… ou politiquement, qu’être étiquetté « de droite », c’est forcément être « con », comme l’avait illustré le « Mur des cons » du Syndicat de la magistrature… Étonnez-vous ensuite que des magistrats aient pour des tueurs de flics les yeux de Chimène…
Pour vous, même après ce verdict contesté, rien ne va changer ?
Je ne prédis pas l’avenir, je me contente de constater que des verdicts aussi décriés que celui rendu à Viry-Châtillon dans cette affaire, sont monnaies courantes dans les tribunaux français depuis des décennies – je ne suis pas le seul à le dire – et que ce « scandale » comme certains l’appellent n’est ni une première ni sans doute le dernier. Après la Ire Guerre mondiale, un slogan faisait florès dans l’Opinion publique : « Plus jamais ça ! » avec les suites connues… Aussi, peut-on juste se demander qu’elle seront les possibles prochains verdicts dans des procès similaires : décoration des accusés ? Condamnation de policiers ou de jurés pour leur harcèlement envers des populations dont les ancêtres auraient tant et tant soufferts ? Tout est possible au jeu de massacre du bon-sens qu’offre actuellement la société française…
18:11 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le signe de la bête
17:46 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La geste d’une reine
Bertrand de Saint-Vincent
Les images des funérailles s’enchaînent dans un alignement tiré au cordeau. Nulle place pour l’amateurisme ou l’inspiration de dernière minutes dans ce ballet dicté par les siècles. Pour ses adieux au prince Philip, la monarchie britannique a sorti le grand jeu. Parade militaire dans les allées du château de Windsor. La famille, réduite aux plus proches - 30 personnes — avance d’un pas égal derrière le Land Rover, dessiné par le duc d’Édimbourg, sur lequel repose son cercueil ; une casquette et un sabre d’officier trônent sur ce dernier.
Sur son passage, les gardes inclinent respectueusement la tête. Émotion et humilité. Les larmes du prince Charles, le collier de la reine, que porta un jour Diana, resplendissant autour du cou de Kate Middleton. Il n’y a pas de hasard. Le soleil se reflète sur la carrosserie de la Bentley bordeaux à bord de laquelle a pris place Elizabeth II; il fait scintiller les décorations épinglées sur les habits noirs des Royals. Le ciel est d’un bleu roi, l’air limpide. La musique d’un requiem sur mesure : trompettes de la Royal Navy, sifflement des pipes de marins, notes de cornemuse du régiment royal d’Ecosse. Le son du canon et celui des cloches, l’hymne britannique – God Save the Queen – et les chants religieux. Une minute de silence réunit le royaume.
A l’entrée de la chapelle Saint-Georges, l’archevêque de Canterbury accueille la souveraine. Le moindre geste est millimétré. La procession funéraire n’a pas excédé huit minutes. Seule au monde, une vieille dame pénètre dans l’église et s’assoit dans la stalle qui lui est réservée. Au-dessus de son masque noir, son regard perdu fixe le vide qu’a laissé en elle le départ de son époux.
À la fin de la cérémonie, les caméras suivent un bref échange entre William et Harry. Tout cela ne formerait qu’un tableau magnifique, mais éphémère, si ces images n’étaient reliées entre elles par le lien sacré de la monarchie. C’est ce régime, à l’aura mystérieuse, qui confère à ces gestes leur grandeur et à une nonagénaire sans vrai pouvoir, celui, irritant pour certains, de sublimer le monde.
Source : le Figaro 19/04/2021
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Sécurité et enfumage.
12:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Philippe de Villiers et la situation actuelle sur Sud Radio
12:49 Publié dans Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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