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mercredi, 09 décembre 2020

La vraie loi contre le séparatisme serait la loi "Immigration zéro".

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Présenté en Conseil des ministres ce mercredi 9 décembre, journée nationale de célébration de la laïcité, le projet de loi "confortant les principes républicains", anciennement intitulé fort piteusement "loi sur le séparatisme" pour ne pas stigmatiser l'islam — ce qui semblait encore trop agressif et devait donc être rebaptisé — est la énième tentative de régulation d'un culte venu d'ailleurs dont l'application relève tout autant de la politique que de la religion.
 
Comme toutes celles qui les ont précédées, les mesures contenues dans ce projet resteront bien sûr lettres mortes pour ce qui concerne leur supposé objet premier: la volonté de lutter pcontre les formes les plus radicales de la présence musulmane en France, telle que plus ou moins affichée par le gouvernement sous la pression émotive de l'opinion publique au lendemain de tueries djihadistes. Elle aura, en revanche trois effets pervers: l'institutionnalisation de l'islam sur notre territoire au sein de la République, sa banalisation, et un effet ricochet sur l'ensemble des Français.
 
Institutionnalisation puisque le but recherché depuis trente ans par tous les ministres de l'Intérieur — Joxe, Chevènement, Sarkozy et tous les autres — reste le même : créer les conditions de l'organisation d'un fumeux "islam des lumières" sans voir qu'il ne pourrait être autre chose que le paravent légal de l'islam des ténèbres.
 
Banalisation des règles, principes et coutumes inhérentes à une communauté dont les pratiques et les habitudes impactent déjà fortement le mode de vie des Français, banalisation opérée selon la technique du "prestidigitateur chinois" qui consiste à substituer un objet à un autre en habitant petit a petit l'oeil à sa disparition.
 
Effet ricochet enfin par l'application de plusieurs dispositions de la loi à l'ensemble des Français dans une méthode de généralisation punitive. Ainsi l'article 18 rendra quasiment impossible l'enseignement "à la maison" et l'article 20 permettra une lutte accrue contre les "contenus haineux sur internet" dont on devine l'usage qui en sera fait contre les libertés d'expression françaises.
 
Étant de ceux qui portent un regard dubitatif sur les vertus de la laïcité, nous respectons le droit de chacun à sa foi et ne doutons pas de l'existence d'une spiritualité musulmane telle qu'incarnée par exemple dans le soufisme. 
 
Une spiritualité qui selon nous a vocation à s'exercer seulement sur les terres où elle est née.
 
Contre le séparatisme, il existe donc bien des lois à promulguer. Elles sont au nombre de deux: loi "immigration zéro"; loi "remigration générale".
 

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Le professeur Christian Perronne, victime d’une cabale

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Franck Delétraz

Les médecins et autres spécialistes qui ont eu le courage de dénoncer la gestion en tous points calamiteuse de l’épidémie de Covid-19 par le gouvernement et son conseil dit « scientifique » vont- ils être sanctionnés, voire radiés, les uns après les au- tres, pour avoir osé aller contre l’establishment politico-médical ? C’est en tout cas ce que l’on peut craindre en découvrant que, après la convocation prochaine du Pr Raoult devant le conseil de l’Ordre, ou encore le rappel à l’ordre du Pr Fouché par sa hiérarchie, c’est au tour du Pr Perronne de faire l’objet d’une odieuse cabale.

Vendredi, ce spécialiste mondialement reconnu des maladies infectieuses et tropicales, auteur d’un livre dénonçant avec vigueur la gestion désastreuse de l’épidémie de Covid par l’Etat, dont notre consœur Danièle Masson avait longuement rendu compte dans Présent a en effet eu la « surprise » de recevoir du Pr Riou, doyen de la faculté de médecine de la Sorbonne, un message lui annonçant qu’une procédure de retrait de son agrément de formation dans le cadre du DES de maladies infectieuses et tropicales avait été engagée. La raison officielle du lancement de cette procédure ? Le Pr Perronne aurait tenu « des propos non confraternels envers un jeune médecin en formation qui pourraient être considérés comme une incitation à la haine et se sont traduits effectivement par des menaces de mort sur les réseaux sociaux » !

Si le courrier du Pr Riou ne précise pas le nom du « jeune médecin » concerné, celui-ci n’a cependant pas tardé à fuiter dans les médias. Or, il apparaît que la prétendue victime, le Dr Peiffer-Smadja, élève du Pr Yazdan Yazdanpanah qui est membre du conseil scientifique de l’Elysée, est non seulement un virulent opposant au professeur Raoult et à son traitement en phase précoce, mais a également vanté avec son maître les prétendus « mérites » du fameux Remdesivir, dont on connaît aujourd’hui la parfaite inutilité pour soigner les patients atteints du coronavirus et même la toxicité. Mieux : le Dr Peiffer-Smadja a continué à encourager le recrutement de patients dans l’étude de ce médicament, alors même que l’OMS avait déjà déclaré que le Remdesivir n’avait pas d’efficacité et était toxique !

D’autre part, et en y regardant de plus près, il semble que ce soit surtout ce Dr Peiffer-Smadja qui ait passé son temps, au cours des derniers mois, à dénigrer systématiquement et en des termes particulièrement virulents sur les réseaux sociaux les recherches du Pr Perronne. Un acharnement qui, semble-t-il, n’a eu guère d’effet sur les internautes si l’on en juge par le soutien considérable qu’ont apporté ceux-ci au Pr Perronne depuis l’annonce du lancement de la procédure risquant de lui retirer son agrément de formation.

 Source : Présent 9/12/2020

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mardi, 08 décembre 2020

Plus de deux millions de foyers bénéficiaires du RSA

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Arnaud Raffard de Brienne

Pour la première fois depuis la création du dispositif en juin 2009, il y a onze ans, le cap des deux millions de foyers bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) vient d’être allègrement franchi. Ce seul minimum social – il en existe une dizaine -, remplaçant du Revenu minimum d’insertion (RMI), assure, sous certaines conditions plutôt larges et souples, un revenu forfaitaire, une sorte de revenu universel avant l’heure, aujourd’hui financé par les départements pour un montant supérieur à douze milliards d’euros par an. Cette ponction devenue insupportable pour les départements, une loi en cours d’examen prévoit une renationalisation du RSA dont l’État assurera le financement. À noter, on se demande bien pourquoi, c’est déjà le cas pour nos chers départements et territoires d’Outre-mer comme la Guyane et la dispendieuse Mayotte depuis 2019, et pour  La Réunion depuis le début de cette année.

Le Premier ministre Jean Castex, en visite le 25 septembre dernier en Seine-Saint-Denis, l’un des départements les plus pauvres de France, là encore on se demande bien pourquoi, reconnaissait « les difficultés sociales exceptionnelles auxquelles est confronté ce département ». Il venait officiellement présenter, si possible sans rire, la mise en œuvre du plan « L’État plus fort en Seine-Saint-Denis ». De façon plus prosaïque, il s’agissait d’officialiser, sous les yeux énamourés de Stéphane Troussel, Président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, la prise en charge, à titre expérimental du financement du RSA par l’État, dès janvier 2022. Voici des années que diverses personnalités de ce département surendetté, aux sept villes parmi les vingt plus pauvres de France, multipliaient les appels au secours et suppliaient les politiques de leur venir en aide. C’est chose faite.

Une folle fuite en avant

En France cette année, avant un prévisible nouveau record en 2021, le RSA fait l’objet de 3 000 nouvelles demandes par jour. L’explosion du nombre de pauvres devrait encore s’aggraver en 2021 mais il s’agit bien entendu, selon les grands médias, d’imputer cette situation à la commode crise sanitaire en cours alors que l’ensemble des indicateurs confirment que nous ne sommes que face à l’aggravation, certes accélérée, d’une situation devenue intenable de longue date et renvoyant très directement à la folle politique ou plutôt absence de politique d’immigration.

Pendant ce temps, l’État continue à distribuer à tour de bras un argent dont il ne possède pas le premier centime. Sait-on, par exemple, que la prime d’activité bénéficie à 8,9 millions de personnes, soit une augmentation de 42,7% de bénéficiaires depuis 2018 ? Dernière trouvaille, la prime Covid annoncée par Emmanuel Macron le 14 octobre dernier dans le cadre et sans doute pour adoucir l’annonce du couvre-feu, de 150 euros pour les allocataires du RSA, 100 pour ceux de l’Aide personnalisée au logement (APL), agrémentée d’une prime de 100 euros par enfant à charge, ce qui dans certains territoires peut représenter un pactole. Cette démente fuite en avant ne présage évidemment rien de fameux pour les contribuables et épargnants…

Article paru dans le quotidien Présent cliquez ici

22:34 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Élection des quotas

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Georges Feltin-Tracol

Âgé de 36 ans et épouse de l’économiste médiatique Thomas Pikkety, Julia Cagé enseigne les sciences économiques à Sciences-Po Paris. Elle a conseillé le candidat Benoît Hamon à l’élection présidentielle de 2017. Auteur de trois ouvrages sur la crise actuelle du système démocratique, elle s’inquiète des dysfonctionnements du système démocratique moderne. Contrairement à la philosophe belge Chantal Mouffe, théoricienne d’un populisme de gauche hors-sol et grotesque, Julia Cagé prône une « démocratie représentative, participative et “ descriptive ” ».

Interrogée par Sophie Fay dans le magazine L’Obs (du 15 octobre 2020) sur les solutions à cette crise, Julia Cagé propose la constitution d’« une Assemblée mixte (à la fois paritaire et socialement équilibrée) ». Elle constate que maintes catégories socio-professionnelles comme les ouvriers ne sont plus représentées au niveau politique et propose sa remédiation.

Méfiante à l’égard du tirage au sort qu’elle assimile à « une sorte de nihilisme », elle avance la légalisation de « la parité sociale et [de] la parité de genre ». Comment ? « Il faut, explique-t-elle, que les partis politiques présentent 50 % de femmes et 50 % d’employés, ouvriers et travailleurs précaires parmi leurs candidats à chaque élection, et en particulier aux législatives. » On remarque tout de suite qu’à son corps défendant, cette salariée du grand temple parisien du conformisme politique rejette toute forme paritaire ouverte aux « racisés » de couleur, aux non-binaires ou autres transgenrés et aux « migrants » allogènes. Les exclus de toute la galaxie apprécieront…

Pour Julia Cagé, « le non-respect de ces objectifs doit être assorti de pénalités financières dissuasives, comme la suppression de toutes les aides publiques et l’interdiction de présenter des candidats aux élections suivantes ». Gravissimes, ses propositions sont liberticides, car elles nuiraientde manière légale en premier lieu l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne. Ses diverses formations, du Rétrécissement national au Mouvement national-démocrate en passant par le Parti de la France, Civitas, le Parti des Européens et le Parti national-libéral, ont toujours du mal à présenter des candidats des deux sexes tant le « harcèlement démocratique » imaginé dans les années 1980 par Jean-Christophe Cambadélis et amplifié par les médiats dominants d’occupation mentale, entrave considérablement la liberté de candidature. Avec de pareils quotas ubuesques, les mouvements nationaux-populistes deviendraient des proies faciles pour le pouvoir en place, s’effaceraient des campagnes électorales et n’exprimeraient plus une légitimité populaire indéniable. Les dérives populistes seraient ainsi proprement étouffées…

Julia Cagé croit révolutionner la pensée politique de ce premier tiers du XXIe siècle. Les quotas paritaires qu’elle envisage rappellent, une fois leur formulation inclusive enlevée, une conception traditionnelle, organique et holiste de la société européenne. C’est très bien de vouloir que les ouvriers, les employés, les précaires participent à la vie publique à la condition toutefois qu’ils appartiennent d’abord à un peuple constitué. Dans Retour au réel. Nouveaux diagnostics, le grand philosophe paysan Gustave Thibon (ci-dessus en photo - NDLR) conçoit « un peuple sain comme une multitude hautement différenciée d’organismes professionnels et locaux accordés les uns aux autres, mais fonctionnant chacun sur son plan particulier (Éditions universitaires – Les Presses de Belgique – Librairie Lardanchet, 1946, p. 110) ».

« Résolument ennemi de la loi du nombre et du pouvoir des masses (idem, p. XIV) », le vigneron – penseur de Saint-Marcel-d’Ardèche veut « substituer à la société atomisée des bourgeois et des aspirants bourgeois […] une société organisée où chaque homme puisse déployer, à l’intérieur de ses limites et en communion avec ses semblables (les frontières, à condition qu’on les respecte, sont aussi des traits d’union), une activité vraiment qualifiée et irremplaçable. Nous sommes pour l’unité qui rassemble contre le nombre qui disperse. En toute chose, nous voulons subordonner l’avoir à l’être. Il ne nous suffit pas que chacun ait une place, nous voulons encore que chacun soit à sa place (idem, pp. XIV – XV) ». Gustave Thibon insiste par conséquent sur l’encadrement par l’intermédiairedes communautés d’appartenance spirituelles, territoriales et ethno-culturelles et des corporations dusuffrage universel dont la force d’inertie profite toujours à la Subversion moderne.

Sachant que le suffrage universel peut conduire à l’élection de Donald Trump ou de Jair Bolsonaro, Julia Cagé pense contrecarrer son inclination en faisant adopter des quotas professionnels et sexuels draconiens, ce qui contribue peu ou prou à l’élaboration d’un apartheid socio-sexuel cosmopolite.Sans le savoir, elle valorise des discriminations et, sous un discours progressiste vulgaire, récupère des thèmes chères à la Droite traditionnelle. Et si sa revendication supposée correcte démontrait la nette droitisation du débat public ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°193, mise en ligne sur TVLibertés, le 1er décembre 2020.

18:48 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comment l'Etat profond a vendu la Sécu à Wall Street

Les dettes de la Sécurité Sociale ont atteint des profondeurs abyssales avec un total de 136 milliards d’euros. La Cour des comptes vient de lancer une alerte, c’est tout le modèle social contributif français qui se retrouve mis en cause. Le double confinement est en train de l’achever avec le naufrage de la masse salariale, il faut donc emprunter et c’est pourquoi les cotisations sociales des Français se retrouvent à Wall Street ! Et pendant que l’ACOSS et la CADES font la manche sur les marchés financiers (le plafond est poussé à 70 milliards d’emprunts), les banques intermédiaires encaissent des commissions sur ces placements. On peut se demander ainsi si l’équilibre des comptes sociaux est un mythe mais à un moment, la dette se vengera, ce qui traduit l’échec cuisant du choix fait par Alain Juppé en 1996 de financer la dette sociale sur les marchés financiers. Ce sont les générations qui viennent qui paieront pour des dettes qu’elles n’ont pas contractées. Eloïse Benhammou, l'auteur de "Kleptocratie française", revient sur cette injustice et ce scandale d'Etat. 

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16:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Quand "Domytis" fait l'apologie de Karl Marx...

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Jacques Mayadoux ∗

Je séjourne provisoirement dans une résidence sénior, blessé suite à une chute dans mon jardin dans une belle commune bretonne. Le slogan de cette filiale du groupe Néxity est  : "Domitys, vivre l’esprit libre". Il est vrai que je bénéficie d’un cadre unique et privilégié pour une vie plus sereine et plus active. Ceci n’est pas gratuit, mais enfin... Je ne me plaindrais pas : personnel et direction agréables et affables, nourriture de qualité, prestations d’hébergement remarquable.

Chaque matin est affiché l’éphéméride, les animations et une citation. Le 4 décembre, surprise ! La citation du jour ("Le domaine de la liberté commence là où s’arrête le travail déterminé par nécessité") est signée... Karl Marx. Etonné par une si funeste référence, je me renseigne auprès du directeur de l’établissement. Non, il ne s’agit pas d’une initiative locale mais d’un envoi du siège social m’informe celui-ci, un peu embarrassé. Et il convient que cela peut choquer.

Néxity, promoteur immobilier de premier plan, honore donc le doctrinaire du communisme. Les ravages du marxisme sont établis et les peuples ont trop longtemps soufferts de cette idéologie criminelle qui conduisit des millions de gens dans les goulags quand ils ne furent pas simplement exterminés. Que les services de communication d’un grand groupe capitaliste prenne comme référence Karl Marx ne peut que heurter les consciences... Honte à vous et vive la liberté.

∗ conseiller régional d’Auvergne de 1992 à 2004.

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lundi, 07 décembre 2020

Bienvenue en France au Président Al Sissi !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Contrepoids utile à l'influence saoudienne, ennemi juré des Frères musulmans, adversaire résolu de l'offensive néo-ottomane d'Erdogan, le Président égyptien dont le rôle régional - en particulier en Lybie - et le rôle équilibrant au sein du monde sunnite sont de plus en plus essentiels, sera reçu ce lundi par Emmanuel Macron à l'Elysée.
 
Une occasion de renforcer les liens entre nos deux pays. En espérant — sans trop y croire — que Macron ne cédera pas aux pressions de la gauche, de l'extrême gauche, des ONG et de la bien-pensance qui s'indignent de cette visite au nom d'une conception fumeuse des droits de l'homme dont nous nous foutons éperdument.
 
La France, dans ses relations internationales, n'a pas à entrer dans ces considérations.
 

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Les personnes âgées comme cobayes ?

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Par Franck Delétraz

Très attendue par les journalistes des grands médias, qui étaient impatients de découvrir le nom de « Monsieur Vaccination », la conférence de presse consacrée jeudi soir par Jean Castex et Olivier Véran à la présentation de la « stratégie » de vaccination du gouvernement contre le Covid-19 aura, à défaut d’avoir donné des informations réellement nouvelles, surtout conforté, hélas, deux de nos principales craintes : d’abord, que l’exécutif est dans l’incapacité totale de garantir la non-toxicité des vaccins qu’il entend nous inoculer ; ensuite, que nos personnes âgées serviront finalement de cobayes aux grands laboratoires pharmaceutiques.

Après avoir dévoilé en grande partie son plan de vaccination mardi, le Premier ministre en a donc détaillé les modalités pratiques. En tête de ces objectifs : la vaccination, dès le mois de janvier, d’un million de seniors résidents des EHPAD et de professionnels de ces établissements. Puis, en février, celle des personnes vulnérables, rendues fragiles par leur âge ou leurs pathologies, soit 14 millions de personnes. Un choix qui pourrait paraître des plus justifiés, étant donné que nos anciens sont les plus menacés par ce virus. Mais qui, en réalité, pose un vrai problème éthique quand on sait que l’essentiel des informations dont nous disposons sur l’efficacité et l’éventuelle toxicité des vaccins qui seront utilisés émane des agences de communication des grands laboratoires pharmaceutiques qui les ont mis au point...

Assez révélatrice aura d’ailleurs été la relative prudence observée jeudi soir par le professeur Alain Fischer, le fameux « Monsieur Vaccination », nommé le jour même à la tête du « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » en raison, nous dit-on, de sa réputation d’« immunologue éminemment respecté mondialement ». Ce qui est sûrement vrai quand on sait que ce professeur Fischer, ex-collaborateur de Martine Aubry lors des primaires socialistes de 2011 et signataire d’une tribune appelant à faire barrage à Marine Le Pen entre les deux tours de l’élection présidentielle en 2017, est un proche de Macron... Plus inquiétant : l’éminent immunologue a été conseiller d’Agnès Buzyn, lorsque celle-ci occupait le ministère de la Santé ! Bref, en attendant Alain Fischer aura au moins eu le mérite de reconnaître d’emblée que « le recul à ce jour sur l’efficacité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois », et que « les données ne sont pas encore complètes pour savoir à quel point ces vaccins sont efficaces sur les personnes les plus à risques ».

D’autre part, chargé de présenter les « quatre types » de vaccins qui seront proposés à la population au cours des prochains mois, Fischer a notamment rappelé que deux d’entre eux, ceux de Pfizer et de Moderna, consistaient en une injection d’« ARN messager » : technique dont nous avons évoqué les risques dans Présent, et dont il a lui-même reconnu jeudi qu’elle « est complètement nouvelle » et « n’a jamais été utilisée à grande échelle chez l’homme » !

Source : Présent 5/12/20

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dimanche, 06 décembre 2020

Les Bourses et Tesla, comme la pensée unique, finiront par s’écrouler !

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Marc Rousset

Wall Street a conclu la semaine sur de nouveaux records, avec un Dow Jones à 30.218, ignorant les 245.000 créations d’emploi en novembre, contre 610.000 en octobre, et des attentes de 650.000 pour les analystes. Près d’un tiers des PME sont en faillite, aux États-Unis, et le pays compte 10 millions de chômeurs, soit davantage qu’en 2008.

Tesla, qui valait 64 dollars le 1er janvier 2018, a aussi inscrit, ce vendredi, un record à 600 dollars, tandis que la Bourse de Paris franchissait les 5.600 points. Depuis son plancher du mois de mars, le CAC 40 a regagné plus de 55 %. Les marchés sont, cependant, dans un entre-deux, avec la fin de l’élan donné par l’optimisme autour des vaccins et les nécessaires stimuli du Congrès américain qui n’avancent pas.

Tesla est le symbole de l’exubérance irrationnelle, de la bulle actuelle. Tesla, qui a vendu 318.980 véhicules au 3 décembre 2020, vaut 560 milliards d’euros, soit plus que tous ses concurrents réunis, qui fabriquent 60 millions de voitures dans le monde ! Renault, avec 2 millions de véhicules, vaut seulement 13 milliards de dollars. Les « vieux constructeurs » vendent pourtant déjà plus de voitures électriques que Tesla, qui n’a pas d’avance technologique particulière. Si Tesla fait des bénéfices depuis seulement 15 mois, c’est en partie grâce à la vente de crédits carbone CO2 aux constructeurs dont les gammes sont trop émettrices (1,18 milliard de dollars à fin septembre 2020). Elon Musk, le président fondateur de Tesla, en est très conscient : « Les investisseurs nous accordent beaucoup de crédit pour notre rentabilité future, mais si à un moment ils changent d’avis, notre action va être écrasée comme un soufflé sous un marteau. »

En France, Castex a mis en place une commission sur l’avenir des finances publiques qui devra rendre ses conclusions fin février en respectant la trajectoire fiscale des baisses d’impôts qui n’existent, jusqu’à ce jour, que dans les belles paroles. La réalité, c’est que la dette française est une bombe à retardement qui va apparaître comme le nez au milieu de la figure, dès la fin de la crise sanitaire. Seul un dictateur ou un leader charismatique pourrait réduire les dépenses publiques, la fraude sociale, le nombre des fonctionnaires et l’immigration qui nous ruine pour un coût annuel de 60 à 80 milliards d’euros ! La banqueroute ou le retour au franc avec dévaluations successives et hyperinflation sont, en fait, le seul moyen de régler le problème de la dette publique française, soit 120 % du PIB à fin 2020. Depuis 2010, la France a perdu le contrôle de la situation et sa dette publique diverge très fortement par rapport à l’Allemagne, qui se rapproche des 60 % du PIB, tout en ayant supporté le coût énorme de la réunification avec l’Allemagne de l’Est.

La moyenne de la zone euro, c’est une dette publique de 101 % du PIB, fin 2020. Notre seule consolation : l’Italie, avec une dette de 161 % du PIB. Quant à l’idée de l’annulation de la dette auprès de la BCE en raison du Covid-19, c’est une douce illusion socialiste et gauchiste ou d’ignorant, un argument fallacieux pour ne rien faire qui conduit tout droit à la banqueroute ou à l’hyperinflation. Bruno Le Maire rêve avec des taux de croissance français de 6 % pour régler le problème de la dette, mais il a entièrement raison pour une réforme drastique des retraites qui s’impose afin d’améliorer un peu le bilan accablant et dramatique de la dette française.

Les États rassurent faussement les peuples en annonçant qu’ils portent, fin 2024, à 120 milliards d’euros le fonds de secours des banques de 42 milliards dans la zone euro. Ce nouveau chiffre représente seulement 8,5 % du montant actuel des créances douteuses des banques, soit 1.400 milliards d’euros.

La création monétaire, les dettes, le chômage et les faibles taux de croissance ont encore de beaux jours devant eux. Ce ne sont pas les vaccins, avec leurs nombreux doutes, qui vont rétablir complètement la situation économique. Un jour ou l’autre, nonobstant l’inflation monétaire, les Bourses devront se mettre en phase avec les réalités ; des krachs ou de violents ajustements, comme pour Tesla, sont à craindre.

Boulevard Voltaire cliquez ici

12:26 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SPARTA, UNE NOUVELLE REVUE ENRACINÉE

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Communiqué de l'éditeur :

Sparta, nom de l’épouse d’un fils de Zeus qui renvoie bien sûr à la célèbre cité grecque, est le titre d’une publication sans périodicité fixe des éditions Aidôs. Sparta n’a aucun équivalent dans l’espace francophone et n’a eu que très peu de devancières dans la culture européenne depuis 1945: la revue romaine Ordine Nuovo, essentiellement évolienne; Nouvelle École (dans une certaine mesure); et Mars Ultor, dirigée en Allemagne par Pierre Krebs. Sparta est une publication ouvertement païenne, racialiste et identitaire, qui naît sous le triple parrainage augural du Rig-Veda, de Nietzsche et de Savitri Devi. Sparta, dès son premier volume, fait le pari de la qualité, tant sur le plan graphique, sobre et soigné, que sur celui du contenu. Grâce à Sparta, vos idées sont enfin défendues et affirmées avec rigueur et érudition ; vous y trouverez une écriture élégante, des références dûment vérifiées et complètes, des traductions (de l’allemand, de l’anglais, de l’italien) vraiment fiables. Sparta reflète le professionnalisme et la compétence de collaborateurs qualifiés, qui ont fait leurs preuves depuis longtemps : Jean Haudry, Philippe Baillet, Pierre Krebs, Jean Plantin, David Rouiller, auxquels viendront bientôt s’ajouter d’autres noms.

Au sommaire du volume 1: un article de J. Haudry sur la notion d’aidôs, « respect, révérence », qualités indispensables aux membres d’une même sodalité. Deux longues études de Ph. Baillet: l’une sur la « généalogie » et l’origine des valeurs dans la philosophie de Nietzsche; l’autre sur « le mythologue du romantisme », le Suisse Johann J. Bachofen, sa réception considérable dans la culture germanique, l’opposition-complémentarité Apollon-Dionysos, avec des aperçus relatifs à Alfred Rosenberg et à des penseurs völkisch comme Alfred Baeumler et Ludwig Klages. Des textes d’Evola sur Bachofen, par qui il fut fortement influencé. Un inédit du théoricien italien : « Soldats, société, État ». Trois textes d’un sociologue des arts visuels, Raimondo Strassoldo, sur l’entrée dans l’art moderne et contemporain non moins que sur la subversion organisée des canons esthétiques européens. Un article de P. Krebs sur le mouvement Der Dritte Weg, véritable « communauté militante identitaire ». Et un index pour vous repérer facilement dans cette matière.

Sparta entend remplir une fonction décisive d’approfondissement doctrinal et de transmission de notre héritage ancestral indo-européen. Mais Sparta ne vivra et ne grandira qu’avec le généreux concours financier de ses lecteurs. Alors, soutenez Sparta !

 N°1, 264 p., 26 euros cliquez ici

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    BRAS CROISÉS

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    Pierre Vial

    Il faut que les policiers se fassent une raison : entre leur parole et celle de racailles, c’est cette dernière qui sera prise en compte par les autorités. Pour éviter les complications… Il est plus facile de virer des policiers que de gérer une insurrection de racailles, toujours défendues, justifiées par les medias, les politiciens, bref la vermine.

    C’est pourquoi je conseille vivement aux policiers d’adopter la politique des bras croisés, de ne plus prendre de risques pour une société qui n’en vaut pas la peine et des gens qui, comme disait De Gaulle, sont des veaux. Vous, les policiers, vous voyez des malfaisants, des auteurs de délits, voire de crimes ? Tournez donc la tête de l’autre côté, regardez ailleurs, vous n’avez rien vu, rien entendu. Des citoyens viennent se plaindre ? Dites-leur de s’adresser à ceux qu’ils ont élus pour les représenter.

    Et puis, tiens, un bon conseil aux « autorités » : les policiers et les gendarmes vous créent des soucis ? Supprimez la police et la gendarmerie. Et ce sera aux citoyens qui ont encore quelque chose dans le ventre de se grouper pour assurer eux-mêmes leur sécurité. J’en connais qui ne demandent que cela. Et alors là les racailles n’auront qu’à bien se tenir.

     

    11:40 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Débat Florian Philippot face à Martin Blachier sur C News :

    11:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    vendredi, 04 décembre 2020

    USA : les coulisses de l’élection américaine Biden-Trump avec Charles Gave

    André Bercoff dans tous ses états... avec Charles Gave, Président de l'institut des Libertés, fin connaisseur de la politique américaine.

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    15:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Noel annulé : la stratégie du choc

    L'annulation de noël relève d'une stratégie du choc et d'une guerre psychologique des gouvernements contre les populations.

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    13:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Communication et engagement public

    Dans cette vidéo du 22 janvier 2019, le "commissaire à la grippe" belge Marc Van Ranst explique les technques de propagande trompeuses qu'il a utilisées en 2009 pour créer une hystérie de masse autour de la "grippe porcine" (pour la plupart inoffensive)

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    12:48 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Celui qui désarma la France

    giscard.jpgPar Benoît Busonier

    Personnene lui enlèvera une chose : il a été un précurseur. Lorsqu’il est élu présidentà 48 ans en 1974, il est une incarnation quasiment parfaite de la génération qui aura la vie la plus facile de l’histoire de l’humanité. Quasiment : parce que contrairement aux enfants du baby-boom, il faut reconnaître à Giscard le courage de s’être battu pour la France. Elève brillant à Louis-le-Grand lors de la libération de Paris, il s’engage dans la 1e armée française de De Lattre, combat comme canonnier dans un char, et reçoit la croix de guerre.

    Il gardera toute sa vie un style athlétique et félin, dans son attitude et dans son verbe. Un beau contenant, mais pour quel contenu ? Cet esprit particulièrement affûté sera tombé dans tous les pièges de la modernité et aura posé les bases de la situation tragique dans laquelle la France se trouve actuelle- ment. Alors que le général de Gaulle et son successeur Georges Pompidou ont travaillé opiniâtrement à tracer une troisième voie pour la France, VGE est le président du grand relâchement. VGE : il se faisait volontiers appeler par cet acronyme qui lui rappelait JFK, rencontré en 1962. La France est devenue véritablement accro au poison de la mondialisation sous son septennat. Lui qui a fait Polytechnique et l’ENA a appliqué à la France une politique suicidaire à long terme.

    Sur le plan sociétal, c’est le président du divorce, de l’avortement, de la fracturation de la famille, celui qui a préparé les ruines anthropologiques dans lesquelles prospéreront plus tard les idées socialistes, de Mitterrand à Hollande. Sur un plan économique et stratégique, c’est lui qui a ouvert grand la porte au surendettement, tué la banque de France, lancé la désindustrialisation massive, et préparé le terrain à l’euro. Enfin, c’est lui qui a autorisé le regroupement familial, début de l’immigration de masse, qui place la vieille Europe dans une situation pré-insurrectionnelle en ce début de millénaire.

    Un jeune banquier, sportif parfaitement à l’aise dans la mondialisation, maîtrisant sa communication de campagne à la perfection, élu très jeune en jouant les centristes plus intelligents que les autres, européiste béat, et vendant la France à l’encan en souriant ? Valéry Giscard d’Estaing et Emmanuel Macron ont effectivement des parcours semblables. A quelques nuances près, et non des moindres, comme l’ancrage régional et local fort du premier en Auvergne, où il fut élu maire d’un bourg, et dont il dirigera la région pendant plusieurs mandats. C’est à son sujet que Raymond Aron a dit : « il ne sait pas que l’Histoire est tragique ». De fait, VGE est le visage rayonnant d’une génération qui a tout reçu, vécu dans un paradis où la sécurité et le plein emploi coulaient de source, et il est mort au moment des premières secousses vraiment dures du monde que lui et les siens ont créé. Il s’est même payé le luxe de devenir immortel en 2003, en n’ ayant guère écrit que des bricoles dénuées d’ intérêt.

    Cet homme au style élégant, et qui a gardé ses vestes croisées, pantalons à pinces et pulls en V jusqu’à sa mort, est pourtant celui qui a désarmé la France dans la guerre perpétuelle qu’est l’existence des peuples, en « décrispant » son pays pour re- prendre son terme. En délocalisant, par exemple, le défilé du 14 juillet entre Bastille et République. Il voulait une France « cool ». Elle l’a été jusqu’en 2002 ; depuis, chacun constate que la crise économique, financière, le chômage, la désindustrialisation, l’islamisme, l’immigration de masse, l’érection de la Chine comme puissance mondiale, le retour du péri ottoman, l’extraterritorialité du droit américain, ces faits n’ont rien de « cool ».

    Le monde redevient tragique. A-t-il jamais cessé de l’être ? Oui. Pour une seule génération, celle des Européens de l’Ouest qui vécurent entre les années cinquante et s’éteignirent cette dernière décennie. Valéry René Marie Georges Giscard d’Estaing, mari de Anne-Aymone Sauvage de Brantes. Il a mo- delé une France où les hommes portant des noms comme le sien n’existent plus. La France des élites intellectuelles et culturelles, aux noms magnifiques et à la classe aristocratique a presque disparu et il n’y est pas pour rien. Indéniablement il est en partie responsable par la naïveté de sa vision. Est-il coupable pour autant ? On laissera les lecteurs juger son œuvre, on laissera Dieu juger son âme.

    Source : Présent 4/12/2020

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    jeudi, 03 décembre 2020

    Un médecin réanimateur belge licencié pour ses idées

    Pascal Sacré, médecin réanimateur au Grand Hôpital De Charleroi (GHDC), a été renvoyé le 20 octobre 2020 pour "faute grave", apparemment en raison des idées qu'il partageait sur internet. Il critiquait la gestion belge du Covid-19, essentiellement sur deux aspects: l'utilisation faussée des tests PCR et de leurs résultats et la gestion libérale des hôpitaux qui ,depuis des décennies, a conduit à la situation actuelle. Ceux qui, comme Pascal Sacré, parlent aujourd'hui, osent briser le faux consensus, doivent être défendus et entendus. C'est ce que Kairos a décidé de faire, respectant ainsi la Charte de Munich, Déclaration des droits et des devoirs du journaliste, dont le premier devoir stipule: "Respecter la vérité, quelles qu'en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison, du droit que le public a de connaître la vérité".

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    Source : Kairos

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    Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

     

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    15:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Mort de Giscard. N'ayons pas la mémoire courte.

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    L'avis de Jean-François Touzé
     
    Quel que soit l'âge auquel elle survienne, la mort d'un homme est toujours regrettable.
     
    Mais au milieu des hommages et des éloges, souvenons-nous que Valéry Giscard d'Estaing ce fut 48 ans d'ambitions effrénées suivis de 7 ans de "démocratie libérale avancée", de gestion dilettante de l'Etat, de laxisme judiciaire, de préférence économique de classe, de faiblesse et de dépendance  internationales, de lois "progressistes", d'engrenage immigrationniste, qui entraînèrent le début de la dislocation morale, sociétale, politique et identitaire française et ouvrirent tout naturellement la porte à l'arrivée au pouvoir d'un socialisme plus que radical. Ce fut ensuite 39 années de rancœur, d'introspection psychologique, de romans grotesques, 17 ans  de fauteuil de complaisance à l'Académie française et un long reste de vie marqué de tentatives ridicules de retour au sommet et d'engagement nationalicide européo-mondialiste.
     
    De tout ce fatras subsiste quand même le haut fait de Kolwezi grâce au REP du colonel Erulin.
     
    Sa disparition sera bien sûr pour nos compatriotes qui ont vécu les années 60 et 70 l'occasion de se laisser aller à une vague d'émotion et de nostalgie. N'ayons pour autant pas la mémoire courte
     
    Dieu ait son âme. Mais sa mémoire est de celles que la France ne doit pas honorer.

    09:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    mercredi, 02 décembre 2020

    Fraude électorale : les patriotes ont toutes les preuves

    Les preuves matérielle irréfutables s'accumulent contre le camp Biden. L'intelligence militaire impliquée contre la CIA.

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    23:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Le ministre de la Santé belge déclare que la fermeture des magasins était un «électrochoc pour la population»

    «Faire du shopping ne comporte pas vraiment de risques quand tout est bien contrôlé. A un moment donné on devait prendre une décision choc. Il fallait vraiment un électrochoc». Ce sont les propos de Frank Vandenbroucke, ministre fédéral de la santé.

    Voilà qui devrait ravir tous les commerçants qui ont perdu des sommes colossales en un mois…pour rien. Certains ont même mis fin à leurs jours. Si cette fermeture n’était pas sanitairement vraiment justifiée en Belgique, vous aurez compris qu’elle ne l’était pas davantage en France mais chez nous, aucun ministre n’aura l’honnêteté de le dire.

    Dimanche, l’infectiologue flamande Erika Vlieghe avait confirmé au micro de la VRT que la fermeture des magasins était une décision politique, le shopping ne présentant sans doute pas de risque particulier si l’on évite de s’agglutiner et que l’on suit quelques règles.
    Les explications du ministre de la Santé publique ont entrainé des critiques, entre autres de la part du président de la N-VA, dans l’opposition au fédéral.

    Le vice-ministre-président flamand Bart Somers a quant à lui défendu la décision de fermer pour un mois les commerces non essentiels, « nécessaire » selon lui. « Notre système de santé était sous haute pression. (…) Nous devions intervenir de manière drastique et tout faire pour éviter les contacts », a-t-il estimé lundi.

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    22:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Ignace – Le vaccin anti-covid arrive !

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    Dans son nouvel album, vous retrouverez les meilleurs dessins de l'année 2020. Un régal.

    230 pages, env. 600 dessins, nov. 2020, 24€.

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    16:30 Publié dans En dessins, IGNACE, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Virginie Vota – Loi pour la sécurité globale : vers un État policier ?

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    15:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Message d'alerte du Professeur Perronne : Son avis sur le vaccin Covid19

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    Christian PERRONNE​

    Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

    En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste >>, termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. 

    Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première. 

    Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. 

    Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. 

    Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement  pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2. 

    L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. 

    Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. 

    Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. 

    La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. 

    Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

    Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. 

    Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

    Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour. 
    Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

    Le pire est que les premiers "vaccins" qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. 

    On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules. 
    On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? 

    Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN.

    Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l'ADN de nos chromosomes. 

    Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN. 

    Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes. 
    Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. 

    Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. 

    Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie. 

    C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

    Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

    Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

    La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Source : infovaccin.fr

    15:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Du 11 au 13 décembre : 2e édition de la boutique éphémère des artisans enracinés... un rendez-vous parisien avant Noël à ne pas manquer.

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    Après une première année particulièrement réussie, la boutique éphémère des artisans enracinés fait son grand retour en 2020. Du 11 au 13 décembre vous pourrez retrouver des artisans des quatre coins de France chez Kervreizh au 5 boulevard Edgar Quinet dans le 14ème arrondissement de Paris. L'occasion parfaite pour faire ses emplettes de Noël auprès d'artisans de qualité, proposant des articles issus de la plus longue tradition française et européenne.

    12:04 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    UNE DECISION FORMIDABLE !

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    Pieter Kerstens

    Ce n’est pas une blague : le Comité de concertation du gouvernement belge a décidé ce vendredi 27 novembre que pour les fêtes de Noël les couples (et leurs enfants) pourront inviter UNE SEULE autre personne !

    Au choix : soit la grand-mère, soit le grand-père ; un frère ou seulement une sœur ; une amie (sans son copain) ; etc.

    Outre Quiévrain les ministres ont perdu la tête. Et après la proposition de reporter Noël à l’été 2021 (quand il fera beau) de la part de l’infectiologue Frédérique Jacobs fin octobre, on pourrait maintenant supposer que le virus ne s’attaque plus seulement aux voies respiratoires, mais également aux capacités mentales des politicards.

    Dans la course Européenne aux mesures restrictives et aux privations imbéciles, la Belgique consolide sa médaille d’or.

    10:36 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Entretien avec Alain de Benoist

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    Alain de Benoist dans son nouvel opuscule, La Chape de plomb (La Nouvelle librairie), traque les causes de la disparition de notre liberté d’expression et rappelle que la liberté de l’individu dépend de la liberté de son pays. Il s’entretient ici avec Françoise Bonardel pour le magazine Causeur du mois de décembre.

    A lire ICI

    10:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    mardi, 01 décembre 2020

    Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.

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    L'avis de Jean-François Touzé
     
    L'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.
     
    La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération -comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité - si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français.
     
    Dans ses articles 7 à 19, la loi prévoit en effet de transférer en certaines circonstances toute une partie des prérogatives attribuées jusqu'à maintenant aux seules forces nationales de police et de gendarmerie.
     
    C'est ainsi qu'un préfet pourra confier à des agents privés des missions de surveillance des personnes contre les actes de terrorisme, que le gouvernement sera habilité à prendre des ordonnances dans le domaine de la sécurité privée - autrement dit le droit de décider à sa guise de son emploi - et que les personnels privés pourront être armés. Personnels français ou pas puisqu'il suffira à un ressortissant européen non connu des services de police de pratiquer sans trop de difficultés la langue française pour être homologué, et que ceux venus d'ailleurs devront disposer d'un permis de séjour d'au moins cinq ans. Voilà qui est rassurant...
     
    Cette loi renforcera également les pouvoirs des polices municipales sous le commandement des maires et de leurs adjoints. On se réjouit à l'avance de l'usage que pourront en faire les édiles rouges-verts et ceux sous influence islamogauchiste élus aux dernières Municipales.
     
    La France avait jadis une police nationale et une gendarmerie habitées de tradition et de fidélité à l'État. Elle aura bientôt des officines de soudards et des agences de mercenaires.
     

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    Le commander : cliquez ici

    17:42 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Les Dessous de la Science – Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs

    Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a récemment annoncé que des coupures d’électricité seront possibles cet hiver.

    Floriane Jeannin et Nicolas Faure s’intéressent justement à la thématique de l’énergie dans « Les Dessous de la Science ». Le premier numéro de cette nouvelle émission dédiée aux sciences et à l’écologie aura en effet pour thème : « Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs » et s’attachera à apporter des éléments factuels d’analyse et de comparaison entre ces trois formes de production d’énergie.

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    16:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Grand Reset : Christine Lagarde lance l'euro numérique - avec Olivier Delamarche

    Marginalisation du rôle des gouvernements, suppression du cash, vie privée sous surveillance... préparez-vous à l'avènement de l'euro numérique. Le 1er novembre, la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a annoncé le lancement d'une "enquête d'opinion" pour savoir si les Européens seraient heureux d'utiliser une monnaie digitale. En réalité, la décision est déjà prise, c'est en tout cas l'avis de l'économiste Olivier Delamarche, qui voit déjà la BCE prendre le contrôle de nos vies.

    Face à ces menaces, l'invité de "Politique & Eco" prodigue quelques conseils pratiques frappés au coin du bon sens !

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    Source : TVL

     
     

    15:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |