samedi, 17 octobre 2020
Le nouveau numéro de Terre & peuple magazine est sorti
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La plupart des musulmans ne feignent même plus de condamner les attentats islamiques
Thomas Joly, Président du Parti de la France
L'observation des réseaux sociaux, juste après un nouvel attentat au nom d'Allah, est toujours édifiante. Ça l'est encore plus suite au nouvel acte de barbarie islamique commis hier à Conflans-Sainte-Honorine.
Déjà, il faut rappeler le contexte de cette exécution : une campagne de lynchage du professeur de collège qui avait montré des caricatures de Mahommet à ses élèves était orchestrée depuis deux semaines par des parents d'élèves musulmans, avec la complicité d'autres professeurs qui leur avaient fourni toutes les coordonnées personnelles de leur collègue ainsi que ses heures de sortie de cours !
Habituellement, du bout des lèvres, imams et Mahométans condamnent avec gravité les attaques terroristes islamiques en précisant qu'elles n'ont rien avoir avec l'Islam. Un grand classique. La Taqîya de base.
Mais cette fois-ci, au-delà de très molles indignations d'usage, on assiste à des commentaires extrêmement virulents et agressifs justifiant quasiment l'égorgement et la décapitation du professeur qui a outragé, selon eux, leur « prophète ».
Les messages du style « il l'avait bien cherché », « on ne blasphème pas Mahommet » ont fleuri partout sur la toile, par milliers. Avec également des avertissements virulents, intimant de ne pas stigmatiser l'Islam et de ne pas faire de récupération politique « raciste » et « d'extrême-droite »...
L'avantage, c'est que cela fera peut-être comprendre à nos compatriotes que les auteurs potentiels d'attentat sont bien plus nombreux que médias et gouvernants ne veulent le faire croire, que des afro-musulmans enragés prêts à céder, au moindre prétexte, à leurs pulsions haineuses anti-occidentales sont des milliers, et qu'ils en croisent chaque jour dans notre pays en phase de colonisation avancée.
Nous ne pourrons inverser le cours des événements qu'en réalisant trois choses :
1 - Écarter du pouvoir tous ceux qui ont la responsabilité de la colonisation migratoire et islamique de la France.
2 - Mettre en place une remigration massive et irréversible des immigrés afro-musulmans, Français de papier compris, dans leur pays d'origine.
3 - Réaffirmer l'identité européenne et spirituelle de notre civilisation en envoyant au diable l'universalisme républicain qui nous a amené au désastre actuel.
Tout le reste n'est que littérature.
Blog de Thomas Joly cliquez ici
23:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Imprévoyance, impéritie, incurie et incompétence.
Pieter Kerstens
Partout en Europe, mais particulièrement en France, les chefs d’Etat et de Gouvernement ne sont effectivement pas responsables de l’épidémie de Coronavirus qui provient bien de Chine.
Par contre, les stratégies et les différentes mesures adoptées par les ministres et les fonctionnaires pour combattre le Covid 19 démontrent à l’usage et après de longs mois leur incapacité à résoudre certains problèmes.
La gestion calamiteuse de cette crise sanitaire conduit aujourd’hui 6 ministres ou grands fonctionnaires devant la Haute Cour de Justice en France, sur plaintes de médecins, de malades ou d’associations diverses. On doit faire appel à son « devoir de mémoire » durant les heures les plus sombres du Printemps Connardo virus pour se souvenir des déclarations diverses et variées de ceux qui étaient aux manettes de l’Etat.
« La pandémie de Covid-19 est le pire fléau que connaisse l’Europe depuis un siècle »,avait déclaré le docteur Micron le jeudi 12 mars dernier. FAUX !
En 1968-1970, le virus H3N2 déclenche la « grippe de Hong-Kong » qui fait le tour du monde entre l’été 1968 et le printemps 1970. Il traverse d’abord l’Asie, puis fin 68 les Etats-Unis et déferle sur l’Europe fin 69. Bilan = 1,5 million de morts, dont 32.000 pour les seuls mois de décembre 1969 et janvier 1970 en France. Au 17 octobre 2020 nous en sommes à 32.600 en 8 mois, pour le Covid 19….
En 2009 et 2010, l’épidémie de grippe A du virus H1N1, provenant également de Chine, contamine environ 25 millions de cas confirmés et tue au moins de 280.000 personnes dans le monde et quelques milliers en France.
En fermant les commerces « non essentiels », les usines, les lieux sportifs, les cinémas, les restaurants ou les bars et en obligeant la population à se cloitrer à domicile, le gouvernement français et les autres Européens ont mis leur pays à genoux et instauré un chaos économique que chacun mettra des années à surmonter. Quand le docteur Micron répète à 6 reprises le 16 mars que « la France est en guerre »il aurait quand même dû connaitre l’état de son armée sanitaire et les moyens dont elle disposait. Pas de masques, pas de tests, pas assez de respirateurs artificiels et manque de lits en réanimation, car 35% ont été supprimé depuis 1990 face à une population en hausse de 20%.
Cette déclaration présidentielle est reprise par l’ensemble de la presse subventionnée et par le journaliste Etienne Henri dans « Economie Matin » du 25/03/2020 : « La guerre contre SRAS-Cov-2 risque fort de rejoindre la longue liste des guerres ingagnables comme celle contre la drogue, la pédophilie ou encore le terrorisme. » Quelle combativité !
Dès le mois de mars, j’avais attiré l’attention de mes lecteurs sur les effets néfastes des décisions prises par les incapables au Pouvoir qui par lâcheté ont rejeté leurs obligations sur le dos de leurs concitoyens en les culpabilisant et en les accusant de fautes inexistantes, pour maintenant leur imposer un couvre-feu imbécile, car chacun sait que le virus se lève à 21 heures et se couche à 6 heures, comme les « nuiteux ».
En matière d’économie, les miracles n’existent pas. Si l’Etat règle les factures, dans sa grande mansuétude, ce sont quand même les citoyens qui payent au bout du compte.
19:26 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CE N'EST POURTANT PAS FAUTE D'AVOIR SONNÉ LE TOCSIN...
15:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !
10:27 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 16 octobre 2020
Méridien Zéro consacre une émission sur le corporatisme avec Gabriele Adinolfi et Georges Feltin-Tracol
23:04 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
22:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 15 octobre 2020
D'un couvre-feu, l'autre.
16:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès d'un camarade de toujours, Jean-Baptiste Chaumeil
Jean-Baptiste avait été opéré du coeur il y a quelques jours. Alors qu'il se remettait doucement, il est décédé subitement lundi dernier.
Très connu et très apprécié dans les milieux nationalistes et bien au-delà, Jean-Baptiste Chaumeil avait été, depuis son engagement alors qu'il était encore lycéen, de tous les combats pour la France française. Militant, il était de ceux qui, sans jamais chercher à en tirer une quelconque gloire, n'hésitent pas à organiser des campagnes pour les causes qui leur semblent justes. Ecrivain, il consacra plusieurs ouvrages à Jacques Perret dont il connaissait parfaitement l'oeuvre. Il avait aussi participé au Choeur Montjoie Saint Denis qui anime avec talent et entrain, depuis des décennies, les réunions patriotiques.
De bonne lignée, Jean-Baptiste était le fils de Pierre Chaumeil, longtemps président des journalistes de la presse catholique et monarchiste.
Pour nous tous qui le connaissions depuis toujours, l'annonce de sa disparition est une nouvelle douloureuse. Nous pensons à sa nombreuse famille. Une cérémonie religieuse se déroulera demain vendredi à Paris et il sera enterré samedi en Auvergne, région qu'il aimait tant. RIP.
Roland Hélie
11:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 14 octobre 2020
L'émission Synthèse sur TV Libertés avec Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général de l'Institut Jean-Marie Le Pen avec Roland Hélie et Philippe Randa
20:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vous avez aimé les « fake news » ? Vous adorerez le « deepfake »…
La chronique de Philippe Randa
L’époque étant à la paranoïa épidémique, un virus n’en chasse pas toujours un autre : tandis que la covid-19 continue de bouleverser les économies mondiales plus encore que les nuits des hypocondriaques, la nouvelle menace planétaire a nom « deepfake » (« hypertrucage » en français) ; à ne pas confondre avec les « fake news » (fausses nouvelles dans la même langue de Molière).
Le « deepfake » a été créé « pour désigner essentiellement des techniques de manipulation de l’image par l’intelligence artificielle pour créer des fausses vidéos. Par exemple, à partir d’une image d’un individu, une intelligence artificielle crée une mini vidéo qui donne l’impression que cette personne parle », nous apprend l’OJIM (L’Observatoire du journalisme dont on ne peut que conseiller la lecture régulière sur www.ojim.fr).
Après le texte, l’image est donc dans le viseur des manipulateurs de tous acabits et les victimes sont aussi « people » que « politiques » : de l’actrice israélienne Gad Gadot dont la jolie frimousse s’est retrouvée sur un corps qui n’était pas le sien dans une vidéo pornographique ou encore en 2018 quand « le réalisateur américain Jordan Peele avait créé un “deepfake d’Obama” pour montrer la puissance de cette technologie » en passant, il y a peu, par le candidat démocrate Joe Biden qui se serait endormi – à l’insu de son plein gré, of course ! – en pleine interview.
D’où, les mises en garde de plus en plus nombreuses – entre autres du département de la Défense américain – de l’important danger représenté par les « deepfake » lors des consultations électorales.
Les Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon) prennent la menace particulièrement au sérieux…
Attention : certains suspicieux pourraient ainsi estimer que les interventions pour le moins ubuesques de l’ancienne porte-parole de l’Élysée Sybeth Ndiaye n’avaient pu être en leur temps qu’une suite de « deepfake » ; ceci aurait alors expliqué cela, mais, hélas ! à ce jour, l’Élysée n’a toujours pas démenti.
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11:09 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 octobre 2020
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Un général n'a jamais fait le printemps.
16:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 octobre 2020
Pierre Jovanovic sur l'actualité
independenza webtv s'est entretenu avec Pierre Jovanovic sur l'actualité.
Source: independenza webtv
23:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre le nouvel ordre sanitaire
Dans l’ensemble, notre famille de pensée a bien réagi au « confinement » du printemps 2020, qui était une quarantaine n’osant pas dire son nom (voir Éléments, n° 184, encadré de la page 37). Dans le même numéro, Hervé Juvin se demande si tout principe poussé à son extrême ne finit pas par s’inverser. Cela expliquerait comment, après un demi-siècle entonnant l’hymne à la grande déesse Mobilité, on est passé du jour au lendemain à l’arrêt de la quasi-totalité de la planète.
Toujours dans la même livraison, ainsi que dans la suivante (Éléments, N° 185), je recommande la lecture des articles de Slobodan Despot, tout comme dans Synthèse nationale (n°54 cliquez ici), je conseille de lire les contributions de Pieter Kerstens, Bernard Plouvier et Charles-Henri d’Elloy. De tous ces très bons textes se dégage l’idée que les mesures de sécurité prônées par les conseillers scientifiques et relayées par les dirigeants politiques sont disproportionnées par rapport au risque sanitaire réel.
J’ai toutefois choisi de m’attarder sur le livre que Bernard-Henri Lévy a consacré à ce nouvel ordre sanitaire, alors que la France et la Belgique rivalisaient d’incohérence pour amorcer le « déconfinement ». D’aucuns vont s’étonner que je fasse une recension plutôt favorable de cet ouvrage. Elle ne change rien au fossé idéologique qui me sépare de cet auteur, mais je ne suis pas un lanceur de tartes à la crème et, lorsque paraît Ce virus qui rend fou, je ne me sens pas tenu d’ironiser : « le Lévy nouveau est arrivé ».
Bien sûr, si « le moi est haïssable » et si cette sentence pascalienne peut servir d’ingrédient à une critique de l’individualisme, les singularités collectives que sont les peuples ne doivent pas pour autant être absorbées par le grand mélange, surtout qu’en l’occurrence c’est l’homme albo-européen qu’on invite à devenir « l’otage » du Big Other. Pourquoi les peuples ne pourraient-ils pas vivre côte à côte, dans le respect réciproque de leur « étymon spirituel » (Léo Spitzer) ? Je suis pour une fédération de grands ensembles impériaux dont les relations pacifiques dépendent précisément, non d’une mixture mondiale selon la doxa dominante actuelle, mais de cette persévérance ontologique évoquée par Heidegger et reformulée par Alexandre Douguine.
C’est peut-être sur une idée de ce type que travaille René Guénon peu avant 1930 et son installation en terre musulmane d’Égypte. Une des rares fois où j’ai entendu prononcer le nom de Guénon à la télévision, c’est dans la bouche de BHL au cours de son émission « Les Aventures de la Liberté » (vers le milieu des années 1990, me semble-t-il). Guénon « tiers-mondiste » ? Oui, mais pas au sens de Franz Fanon et Jean Ziegler. « L’autre tiers-mondisme » de Guénon implique une critique impitoyable de l’égalitarisme moderne.
Il m’empêche que j’ai apprécié certaines pages du petit livre de BHL et que je partage quelques-unes de ses réactions face à la quarantaine du printemps 2020, qui est aussi une parodie de la fonction prophétique à travers les courbes exponentielles et anxiogènes des fameux modélisateurs. À propos de Roselyne Bachelot, dont il discerne la « feinte humilité », BHL écrit : « On la consulte comme un oracle (p. 20). » il compare à une « Pythie triste » le chef du conseil scientifique qui annonce chaque soir « le nombre des morts de la journée (p. 19) ».
En me remémorant les opinions contradictoires des « experts » conviés par les diverses chaînes de télévision, je crois aussi « qu’écouter ceux qui savent, si c’est bien des scientifiques que l’on parle, c’est écouter une pétarade perpétuelle et, quand on est un État, inviter la foire à la table du roi ! (p. 24, c’est BHL qui souligne) » Et si le virus était « un dérèglement dans la combinatoire d’organes et de pathologies qui fait un sujet singulier ? » Alors, « les metteurs en scène du grand spectacle de la guerre au virus (p. 51) » perdraient tout crédit et mériteraient le ton quelque peu moqueur des responsables suisses, bien meilleurs gestionnaires de la crise sanitaire que leurs homologues belges et français.
Je conçois le « malaise » que l’on peut éprouver devant « notre ahurissante docilité à l’ordre sanitaire en marche et à sa mise en demeure des corps (p. 73) ». Une sorte d’apartheid générationnel peutêtre décrypté dans les propos d’une « cheffe de service à l’hôpital Saint-Antoine » ou de « bio-éthiciens américains » exhortant « ceux du grand âge » à ne pas encombrer les salles de réanimation, « à céder leur place aux plus jeunes pour les tests et les vaccins », bref « à crever sans faire d’histoire (p. 77) ». Il est légitime de s’interroger sur « le peu de débats que suscitèrent, finalement, les projets de traçage numérique présentés, dans tout l’Occident, comme le moyen le plus sûr de vivre un déconfinement heureux (p. 78) ».
Qu’un reportage au Bangladesh, réalisé avant la mise en quarantaine, mais paru après en raison des « délais d’écriture et d’impression », puisse être tenu pour un « exemple de relâchement » : voilà qui illustre bien « l’empire du procès » épinglé par Régis Debray parmi les « coûts de la sujétion numérique ». Voilà de quoi faire planer la plus grande méfiance « sur les réseaux dits sociaux, c’est-à-dire, de plus en plus souvent, asociaux (p. 88) ».
Pour se convaincre que la vie doit aspirer à une dimension qui la dépasse, on peut faire appel à « toutes les sagesses du monde, la juive mais pas seulement (p. 81, c’est moi qui souligne) ». Se référer à sa propre tradition ancestrale ne doit postuler aucun exclusivisme. BHL convoque aussi un dialogue platonicien pour conjurer le péril d’un nouvelle « montée du pouvoir médical (p. 17) », déjà incarné, dès l’Antiquité romaine, par Galien, « quasi-directeur de conscience » de trois empereurs, et à l’époque de la Révolution française, par le magistrat-médecin Cabanis qui échappe à la Terreur.
Enfin, est-on bien certain que la crise sanitaire du printemps 2020 n’a pas accentué « une tendance lourde de nos sociétés (p. 85) » qui existait déjà auparavant ? Certes, le « préfet » qui donne ses directives par microphone dans la dystopie d’Hermann Kasack (La Ville au-delà du fleuve) cède la place aux images de Jérôme Salomon et Emmanuel André, spécialiste du dénombrement quotidien et macabre des personnes infectées, hospitalisées, réanimées et décédées.
Mais prenons garde. Demain, c’est peut-être tout notre patrimoine civilisationnel (« opéras, philharmonies, les plus grands musées du monde ») qui nous sera « servi, en mode virtuel, sur le plateau d’un petit déjeuner au lit à perpétuité (p. 84) ». Un astrologue prédit que les années 2001 – 2100 seront « le siècle des virus ». Vers quel monde irions-nous au fil des pandémies futures ? « Un monde où règnent les techniciens de la ventilation, les surveillants généraux de l’état d’urgence, les délégués à l’agonie. Un monde où, à la place du monde qui fait trop mal, on a des gels hydro-alcooliques, des balcons où l’on s’auto-complimente, des chiens à promener deux fois par jour muni de son attestation covid et des villes expurgées de la foule humaine comme une salle d’opération de ces infections nosocomiales (p. 103). »
Allons-nous docilement accepter une société qui bannit la poignée de mains et où les masques-barrières ostracisent l’échange de sourires conviviaux ?Allons-nous tolérer que des « applications numériques » deviennent pourvoyeuses « de télétravail, télé-enseignement, téléconsultation, télétransport (p. 77) », sans oublier les jeux vidéos garantissant aux plus jeunes un apprentissage ludique dans la ligne des pédagogies progressistes ?
Comme Pieter Kerstens, je précise que j’appartiens à la génération « à risques ». Mais il faut savoir vivre avec un virus comme avec le péril d’un déraillement de train, le danger quotidien d’une agression dans un monde qui s’ensauvage, la certitude, deux ou trois fois par été, de canicules et de vagues de chaleur appelées à s’intensifier dans un futur proche. En un mot, comme l’écrit le collaborateur de Synthèse nationale, il faut aborder le problème en adulte, alors que les conférences de presse de Sophie Wilmès cherchent à nous infantiliser et que les médias, la chaîne française LCI et sa pâle copie belge LN24, nous inoculent les poisons de l’incertitude et de la peur.
Je respecte le personnel hospitalier, qui a besoin d’un statut humain et financier revalorisé, et non de cette parodie de fonction guerrière offerte par Macron, Philippe et Véran, leur « front » de soignants, leur « première ligne » d’infirmières et leurs « brigades » de traceurs numériques. Je suis conscient de pouvoir être affecté ou emporté par le covid-19, comme le journaliste Mazerolles et l’ancien arbitre de football Javaux, comme le politicien Devekian et le chanteur Christophe.
J’apporte néanmoins mon soutien à des groupes comme « Folie virale » et à leurs manifestations dont j’espère qu’elles se multiplieront en réunissant des milliers de personnes, comme en Allemagne ou aux États-Unis, et non quelques centaines, comme le 16 août à Bruxelles, parmi des Belges bien timorés. C’est pourtant la Belgique qui a le triste record du plus mauvais ratio décès/nombre d’habitants, malgré des mesures tantôt drastiques, tantôt incohérentes, parfois ridicules (comme la « bulle » de cinq personnes), souvent injustes (je pense par exemple au sort réservé aux forains).
La « crise » du coronavirus est loin d’être close. La rentrée scolaire et estudiantine peut réserver une mauvaise surprise. Certaines populations européennes (Belgique, France, Italie, Espagne) semblent ne plus avoir la maturité de leurs aînés qui sont passés à travers les épidémies grippales de 1957 et 1969 sans céder à la panique. C’était aussi un temps où les gens n’étaient pas encore lobotomisés par les media et où les gouvernants ne s’aplatissaient pas devant « un savoir approximatif qui se donne pour une science ». Régis Debray parle ici de l’économie qui a dicté sa loi durant le cycle 1970 – 2020. Mais qu’en est-il de la virologie, parodie de fonction souveraine en ce pénible millésime qui touchera bientôt à sa fin ?
• Bernard-Henri Lévy, Ce virus qui rend fou, Grasset, Paris, 2020, 112 p., 8 €.
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12:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 11 octobre 2020
La machine infernale lancée depuis 2008 finira sa course contre un mur
Marc Rousset
La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive, vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.
On assiste à un grand écart entre les marchés dopés par l’expansion monétaire et l’économie réelle. En réalité, l’effondrement de l’économie et l’hyperendettement sont masqués par une création monétaire par les banques centrales sans précédent. Selon l’économiste suisse Marc Faber, « la question se pose aujourd’hui de savoir si l’on se rue dès à présent dans les canots de sauvetage ou si l’on attend encore un peu dans l’espoir que le capitaine offre une tournée gratuite ».
Depuis le début de la pandémie, le bilan de la Fed a fait un bond spectaculaire, passant d’environ 4.000 milliards de dollars, en janvier, à environ 7.000 milliards, fin août, soit environ 30 % du PIB des États-Unis. En Europe, alors que le bilan de la BCE était d’environ 5.000 milliards d’euros, en mai dernier, il devrait atteindre 6.500 milliards, d’ici fin 2020, soit environ la moitié du PIB de la zone euro. Pour l’investisseur helvète, en raison de ces sombres prévisions, la planète pourrait même être livrée à de fortes turbulences. Marc Faber envisage des flambées de violence, voire des révolutions.
La situation de l’emploi, qui ralentit plus fortement que prévu aux États-Unis, n’est pas bonne ; la reprise se poursuit à un rythme plus lent que prévu car les mesures de relance du gouvernement ont fortement diminué. La présidente de la Réserve fédérale de San Francisco demande une aide fiscale accrue pour sortir l’économie du fossé, alors que le gouvernement américain devrait déjà finir l’année avec un déficit record de plus de 3.000 milliards de dollars. Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, la barre de 6.000 milliards de dollars de dépenses publiques a déjà été dépassée. Autrement dit, l’Oncle Sam dépense deux fois plus d’argent qu’il n’en gagne, d’où le nouveau record de la dette fédérale des États-Unis à 27.000 milliards de dollars !
Le professeur de Yale Stephen Roach envisage même un « effondrement du dollar » et une chute de 35 % par rapport à l’or, d’ici fin 2021. Les dernières estimations du bureau du Budget du Congrès (CBO) concernant le déficit fédéral américain estimé à 16 % du PIB en 2020 ne prêtent effectivement pas à l’optimisme pour l’avenir du dollar. Et selon Michael Kelly, économiste senior de la Fed, son institution devra lancer un nouveau « QE » de création monétaire de 3.500 milliards de dollars afin de maintenir en respect à leur niveau bas actuel les taux des obligations américaines. Ce sont ces taux proches de zéro qui ont permis à Apple de devenir le premier titre coté avec un ratio démentiel cours/bénéfice de 120 et une capitalisation boursière de 2.000 milliards de dollars, d’où un dividende de seulement 0,7 % par an.
En France, Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, remarque que « la dette a autant augmenté en quelques mois qu’au cours des dix années précédentes » et que « sans un retour à une maîtrise de la dépense publique, la dette française pourrait atteindre à terme 140 % du PIB annuel ». Il met également en garde les rêveurs qui croient à une annulation de la dette publique car ce serait catastrophique pour les épargnants, ainsi que sur les limites de la monétisation par la BCE, et rappelle qu’« une dette doit être remboursée ». Moscovici est également très inquiet sur la soutenabilité de la dette sociale française : il faudra aussi rembourser les déficits sociaux de 50 milliards d’euros à l’horizon 2025, non pris en compte actuellement dans la dette publique. Selon la Banque de France, l’hôtellerie, la restauration et les transports sont les secteurs les plus touchés. L’INSEE table, désormais, sur une croissance nulle au quatrième trimestre 2020, contre une hausse de 1 % dans une précédente estimation.
Les gouvernements n’ont plus le choix qu’entre l’effondrement immédiat ou continuer le petit jeu de l’endettement public, avec toujours plus de création de fausse monnaie jusqu’à l’explosion finale du Système, avec écroulement des monnaies et envol à la verticale du prix de l’or comme seule réserve de valeur monétaire dans le monde.
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17:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
OCCUPATION DU CHANTIER DE LA MOSQUEE DE POITIERS : VICTOIRE DES IDENTITAIRES
Un communiqué du MNR :
Le 20 octobre 2012, 73 jeunes identitaires, montés sur le toit de la mosquée de Poitiers, avaient déployé des banderoles rappelant la victoire décisive de Charles Martel sur les envahisseurs arabes près de cette ville en 732.
Dans la semaine qui avait suivi cette action NON VIOLENTE, plusieurs organisations et partis avaient demandé la dissolution de Génération Identitaire. Le ministre de l'intérieur Manuel Valls avait déclaré : « la dissolution de ce groupe est étudiée ».
En première instance, 40 000 euros avaient été réclamés aux cinq jeunes identitaires inculpés pour cette action, ainsi qu'une peine de prison avec sursis et l'interdiction d'exercice de leurs droits civiques et familiaux pendant cinq ans ! Fin 2017, le tribunal correctionnel de Poitiers les avait condamnés à un an de prison avec sursis.
Mais, le 19 juin 2020, la cour d'appel a infirmé ce jugement, qui annonce donc la DÉFAITE TOTALE DES ISLAMISTES DE POITIERS.
Avec tous les vrais patriotes, nous nous réjouissons de cette victoire sur les islamistes. Et nous félicitons Génération Identitaire pour ses courageuses actions pour la France, qui devraient être une inspiration pour tous nos responsables politiques et élus locaux.
10:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Charles Prats, auteur d'un livre sur la fraude sociale, invité de Bistro Libertés
10:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réunions d'Yvan Benedetti dans le Sud-Ouest
10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 octobre 2020
RAPPEL : le Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale des 10 et 11 octobre est reporté
10:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ces défenseurs du bien-être animal qui défendent leurs intérêts financiers…
Nicolas Gauthier
En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.
Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.
Et de poursuivre : « L’interdiction de mettre des animaux en box ou en stalle signe la fin des élevages de chevaux, des élevages de vaches en montagne et même en plaine. L’hiver, toutes les bêtes préfèrent être à l’abri plutôt que dehors, dans la boue ou la neige. » Il aurait peut-être fallu y songer avant. Un métier, on vous dit…
Du côté de la Confédération paysanne, rendue célèbre par José Bové, même son de cloche avec Nicolas Girod, son porte-parole : « Nous avons décidé de ne pas soutenir cette proposition de loi. Ces initiatives ne s’attaquent pas aux causes profondes de la maltraitance animale, qui ne se trouvent pas dans l’élevage, mais dans son industrialisation et sa dépendance au toujours plus. » Bien vu.
À propos de « bien-être animal », il y a encore ce référendum d’initiative partagée dont on commence à parler de plus en plus ; et c’est là que ça se complique, ou s’éclaire, c’est selon. En tête de gondole, Hugo Clément, journaliste de France Télévisions, qui se prétend « transcitoyen », ce qui ne mange pas de pain.
Quant à l’argumentaire, il est aimablement fourni par l’association L214, dont les vidéos volées et consacrées à la maltraitance des animaux dans les abattoirs tournent régulièrement en boucle sur Internet. L214, ce sont 70 salariés, contre seulement 15 en 2015, et des subventions comme s’il en pleuvait. À titre d’exemple, celles versées (1,14 million d’euros en 2017) par l’Open Philanthropy Project, puissante fondation américaine qui finance de nombreuses associations à vocation plus ou moins écologique (857 millions de dollars distribués en 2019).
Mais L214 bénéficie encore de l’aide de sponsors français tout aussi puissants : Xaviel Niel (Free), Marc Simoncini (Meetic) et Jacques-Antoine Granjon (Ventes privées), trois patrons emblématiques de l’économie numérique. A-t-on affaire à des philanthropes désintéressés ? Rien n’est moins sûr. Xavier Niel : « Il y a quelques années, je n’étais pas sensible à la cause animale. En voyant les vidéos de L214, j’ai eu un déclic. »
Au-delà de cette anecdote édifiante, le véritable déclic a vraisemblablement surtout consisté en ces potentiels et mirobolants retours sur investissement dans la recherche sur la viande de synthèse, nouveau filon des biotechnologies dans lequel Jeff Bezos (Amazon) et Bill Gates (Microsoft) ont déjà placé des milliards de dollars.
Méchant procès d’intention ? Non, à en croire L’ADN Tendances, magazine professionnel qui nous apprend, le 3 juillet dernier : « Kima Ventures, le fonds d’investissement de Xavier Niel, soutient déjà la start-up 77 foods, qui fabrique du bacon à base de plantes. »
Voilà qui n’a pas échappé à cet éleveur de vaches, cité par Le Figaro : « Parmi les instigateurs du référendum d’initiative partagée se trouvent des investisseurs et des associations qui, derrière la question du “bien-être animal”, défendent leurs intérêts particuliers. »
Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
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vendredi, 09 octobre 2020
Manifestations le samedi 10 octobre partout en France, près de chez vous !
16:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Guerre en Syrie, escalade dans le Haut-Karabakh, Covid-19 : interview exclusive de Bachar el-Assad
Dans un entretien exclusif, Bachar el-Assad s’exprime sur la situation actuelle en Syrie, affirmant que la guerre dans le pays n'est pas encore finie. En outre, il désigne Recep Tayyip Erdogan comme le principal initiateur de la nouvelle escalade dans le Haut-Karabakh. Il aborde de même la question des relations avec les États-Unis, la nomination de Donald Trump au prix Nobel et annonce qu'il voudrait se faire vacciner contre le Covid-19 avec le vaccin Spoutnik V russe.
Source : Sputnik
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Les députés votent en 1ere lecture l’extension du crime de l’avortement de 12 à 14 semaines
Hier, les députés ont examiné la proposition de loi visant à étendre l’avortement de 12 à 14 semaines, avant de s’intéresser aux conditions de vie des animaux… Rapprochement symptomatique de la folie de nos contemporains.
La proposition de loi a été adoptée par 102 voix contre 65 (et 11 abstentions). Le détail des votes est ici.
Parmi les députés qui ont pris la parole à la tribune pour s’opposer à cette loi, on peut noter les députés Ménard, Breton (LR), Bazin (LR), Hetzel (LR), Six (UDI), Thill (UDI) et Meizonnet (RN).
Les Républicains ont 104 députés. 37 députés ont participé au vote :
34 ont voté contre
3 ont voté pour : Valérie Bazin-Malgras, Maxime Minot et Laurence Trastour-Isnart
67 sont portés disparus.
Cette proposition de loi doit maintenant être examinée par le Sénat. A moins de terminer dans les poubelles de l’Assemblée.
Source : Le Salon Beige
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Les services de renseignement allemands persécutent les nationalistes et leurs structures, tant politiques qu’intellectuelles
Lionel Baland cliquez ici
L’Office fédéral de protection de la Constitution (Bundesamt für Verfassungsschutz – BfV) est un service allemand de renseignement actif dans toute l’Allemagne, avec pour mission essentielle de surveiller les activités contraires à la Constitution. Chacun des seize États allemands dispose également de son propre Office de protection de la Constitution, qui lui est inféodé. Les structures nationalistes, tant politiques qu’intellectuelles, subissent les pressions et attaques de cette organisation.
Persécutions contre l’AfD
Le parti politique patriotique allemand Alternative pour l’Allemagne (AfD) est soumis aux pressions de l’Office fédéral de protection de la Constitution.
Ainsi, en 2019, l’aile nationale de l’AfD est-elle considérée par l’Office de protection de la Constitution comme « cas suspect », au même titre que l’organisation de jeunesse du parti Junge Alternative (JA).
Au début de l’année 2020, il apparaît que cette organisation espionne, depuis peu de temps, en utilisant des méthodes de services secrets, trois responsables de l’AfD : le dirigeant de l’AfD de Thuringe Björn Höcke, le dirigeant de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz et le député au sein du Parlement de Saxe-Anhalt Hans-Thomas Tillschneider. Tous les trois sont membres de l’aile nationaliste du parti. Il est même annoncé, dans la presse du système, que d’autres responsables politiques de cette aile devraient être, dans le futur, eux-aussi, surveillés.
Les fonctionnaires de l’Office fédéral de protection de la Constitution, ainsi que ceux des autorités de l’Office de protection de la Constitution des États allemands concernés [donc : Thuringe, Brandebourg, Saxe-Anhalt], établissent un dossier et collectent du matériel contre les trois personnes concernées à propos de leurs activités extra-parlementaires. Donc les conversations téléphoniques et les courriels privés et intimes de ces personnes sont archivés.
L’aile nationaliste de l’AfD est placée sous observation par l’Office de protection de la Constitution en mars 2020. L’organisme considère que Björn Höcke (Thuringe) et Andreas Kalbitz (Brandebourg) sont d’« extrême droite ». Les autorités estiment que cette aile compte 7 000 membres. En conséquence, la direction de l’AfD demande l’auto-dissolution de son aile nationaliste et l’obtient.
À la mi-mai 2020, la direction fédérale de l’AfD exclut du parti le chef de l’AfD du Brandebourg et chef du groupe des élus de l’AfD du Brandebourg Andreas Kalbitz, qui peut être considéré comme le numéro 2 de l’aile nationaliste auto-dissoute de l’AfD, derrière Björn Höcke, par 7 voix contre 5, pour ne pas avoir déclaré son appartenance dans sa jeunesse à l’organisation nationaliste radicale Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) ainsi que son adhésion, entre la fin 1993 et le début 1994, au parti politique patriotique die Republikaner (Les Républicains). Kalbitz avait écrit au sein d’un document de cinq pages, réalisé sous la pression de la direction du parti, avoir possiblement et probablement visité un rassemblement du HDJ, qui entretemps a été introduit sur la liste des incompatibilités de l’AfD. Selon un rapport de l’Office de protection de la Constitution, un numéro lié à la « Famille Andreas Kalbitz » figure dans le dossier du HDJ.
En mai 2020, le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla compare l’Office de protection de la Constitution à la Stasi, la police politique de l’ancienne Allemagne de l’Est communiste.
En juin 2020, l’AfD du Brandebourg devient, pour l’Office de protection de la Constitution, un objet d’observation, après qu’un long examen a conduit à estimer que les conditions pour que cette mesure soit décrétée sont remplies. L’Office de protection de la Constitution peut désormais utiliser des écoutes ou des espions afin de confirmer l’« extrémisme de droite » de l’AfD du Brandebourg.
Fin août 2020, le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution Thomas Haldenwang confirme officiellement que l’ancien dirigeant du groupe des élus de l’AfD au sein du Parlement de Brandebourg Andreas Kalbitz figure sur une liste de membres de l’organisation radicale interdite depuis lors Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ), alors que l’appartenance supposée de Kalbitz à la HDJ était le principal élément qui avait conduit l’AfD à exclure Kalbitz de ses rangs.
Source Breizh-info cliquez là
11:40 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 octobre 2020
Un message d'Hervé Ryssen en prison depuis trois semaines
A propos de la détention d'Hervé Ryssen cliquez ici
Réaction de Synthèse nationale cliquez là
23:54 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 10 octobre, dans toute la France, mobilisation contre la PMA et la GPA
Communiqué du Parti de la France
Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.
Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.
23:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
23:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour ne plus envoyer nos policiers au suicide...
16:44 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |