Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 27 avril 2021

Vincent Vauclin fait le bilan six mois après la création du MND (Mouvement national démocrate)

mnd.jpg

23:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Affaire George Floyd : quand la vérité fait irruption sur un plateau de la BBC

Brandon Tatum, joueur de football n’ayant pu passer professionnel, est un ancien policier de Tucson, en Arizona, devenu commentateur de la vie politique américaine et influent youtubeur. Il rappelle ici quelques faits concernant l’affaire George Floyd à un journaliste de la BBC, qui en est quelque peu gêné aux entournures.

Capture d’écran 2021-04-27 à 11.23.21.png

Source : E&R 

Merci à Jeanne Traduction

12:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Deux fauteuils pour trois

mpoij.jpg

Georges Feltin-Tracol

Stupeurs ! Effrois ! Horreurs ! Le Berlaymont, siège de l’eurocratie, n’en revient toujours pas. Le 6 avril dernier, le président du Conseil européen, Charles Michel, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se rendent à Ankara afin de relancer les discussions avec la Turquie. Devant les caméras, le président turc Recep Tayyip Erdogan accueille le duo et l’invite à prendre place. Les deux hommes s’installent dans les fauteuils. Stupéfaite, Ursula von der Leyen se contente d’un sofa un peu mis à l’écart et en face du ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavuşoğlu. Le « Sofagate » vient d’éclater.

Dans les heures suivantes, un déluge de réactions négatives submerge la Toile. La médiasphère tient enfin la preuve incontestable de la misogynie et du machisme d’Erdogan. Ce n’est pas pour rien si la Turquie vient de se retirer de la Déclaration d’Istanbul qui instaure une tyrannie féministe larvée en Occident. Les folliculaires droitiers partagent pour une fois l’avis de l’extrême gauche et des centristes : le président Erdogan outrage l’Union européenne, la femme moderne et l’égalité paritaire (ou la parité égalitaire). Au XIXe siècle, un tel mépris aurait aussitôt provoqué une intervention armée vengeresse. On aurait aimé que les mêmes va-t-en-guerre eussent la même détermination belliciste au moment de la reconquête martiale azérie de l’Artsakh… Or, il faut reconnaître que pour la circonstance le dirigeant turc n’est que la victime collatérale du « Sofagate », habile prétexte pour cacher les dysfonctionnements institutionnels initiaux de l’Union pseudo-européenne. L’unité de commandement turque découvre in vivo la multiplicité du commandement, ses tiraillements permanents et l’effarante polysynodie propres à l’incurie eurocratique. L’antagonisme virulent entre Ursula von der Leyen et Charles Michel accentue l’impuissance générale.

Les rapports entre les deux têtes de l’exécutif dit européen sont détestables dès leur entrée en fonction. Charles Michel a été de 2014 à 2019 Premier ministre fédéral belge tandis qu’Ursula von der Leyen n’a occupé que trois postes ministériels, dont la Défense, ce qui dans une Allemagne à la souveraineté limitée, n’est pas un portefeuille prestigieux. La cohabitation très courtelinesque entre le libéral belge et la chrétienne-démocrate allemande s’agrémente d’un haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité en la personne du socialiste espagnol Josep Borrell. Ce dernier a d’ailleurs connu, quelques semaines plus tôt, une sévère déconvenue bien méritée à Moscou.

Ursula von der Leyen et Charles Michel rêvent chacun de régenter à leur profit l’entité euro-atlantiste. Charles Michel a pris un léger avantage en respectant le protocole. Le président du Conseil européen a en effet le rang de chef d’État, d’un État qui n’existe pas. Selon ces mêmes règles et les textes en vigueur, la présidente de la Commission européenne a le statut de chef de gouvernement même si la Commission n’est pas un vrai gouvernement. Ne le savait-elle pas ? À moins qu’elle cherche à se faire passer pour une pauvre victime d’affreux mâles… Charles Michel aurait-il pu lui laisser son fauteuil et ainsi entériner un coup d’État institutionnel interne ? Le duo aurait-il dû rester debout devant leprésident turc assis ? L’interprétation découlant aurait fait penser au maître d’école turc sermonnantdeux élèves turbulents. On peut reprocher à Ursula von der Leyen de n’avoir pas eu le courage de s’asseoir sur les genoux de Charles Michel, voire sur ceux du président turc. Craignait-elle peut-être de provoquer l’ire des féministes jamais contentes ? Quant à mettre en face du président Erdogan deux fauteuils, cela aurait déséquilibré la photographie au désavantage des eurocrates.

En se servant du protocole, les diverses têtes de l’hydre pseudo-européenne démontrent que l’Union dite européenne est plus qu’un tigre de papier, c’est un formidable paillasson sur lequel n’importe qui peut s’essuyer. Conçue comme un espace de libre échange économique anticipant un monde uni par le doux commerce et la belle musique du pognon-roi, l’Union supposée européenne a renoncé dès sa naissance à la puissance stratégique, militaire et géopolitique. Elle préfère rester sous la protection interlope de l’OTAN. La souveraineté européenne chère au gamin de l’Élysée demeure fictive tandis qu’à rebours du discours souverainiste, la souveraineté nationale des États membres se dissipe.

L’anecdote d’Ankara révèle le caractère chimérique de l’actuelle Union européenne. Les Européens ne réaliseront pas leur unité historique à travers des transactions bancaires, des virements financiers et des échanges économiques. Leur unité ne se forgera que par le fer, le feu et le sang dans la plus grande imprévisibilité historique.

Bonjour chez vous !

Europe Maxima cliquez ici

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°211, mise en ligne sur TVLibertés, le 20 avril2021.

00:58 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une histoire du Ku-Klux-Klan (1865-1973) de Paul-Louis Beaujour publiée ces Déterna

2222.jpg

L’histoire du Klan (ou plus exactement « des » Klans), c’est tout d’abord l’histoire d’une défaite, celle des États du Sud, et d’une « résistance » à l’occupation humiliante et insupportable par les Yankees qui s’ensuivit, la fameuse « Reconstruction ». À l’heure où, en Amérique, les « conflits » raciaux semblent avoir atteint un point de non retour (Black Lives Matters, Cancel Cultur, haine anti-blanche, discrimination « positive », etc.), il est utile de connaître, à travers l’histoire du KKK, les véritables raisons qui ont amené les Blancs de ce fascinant pays à une situation aussi désespérée.

Histoire du Ku-Klux-Klan (1867-1973), Paul-Louis Beaujour, Déterna, 2021, 146 pages, 21,00 €

Pour l'acheter cliquez ici

00:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 26 avril 2021

Décès de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial

didier.jpg

Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 57 ans, de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial, président de Terre et peuple, et de son épouse Dany.

Homme d'action, Didier s'était engagé dans plusieurs conflits à travers le monde. Il était ce que l'on appelle, au sens noble du terme, un "soldat de fortune". Homme d'idées, il accompagnait souvent, lorsqu'il était en France, son père dans les réunions, en particulier aux Tables-rondes de TP.

Toutes nos pensées vont aujourd'hui vers ses parents que nous apprécions tant. Quel que soit l'âge, la perte d'un fils est une épreuve épouvantable. Toute la rédaction de Synthèse nationale se joint à moi pour assurer Pierre et Dany de notre fidèle amitié dans ces pénibles moments.

Roland Hélie 

Terre & peuple cliquez ici

17:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un grand entretien avec Jacques Bompard, maire d'Orange, publié sur le site de L'Incorrect au sujet de la candidature éventuelle de Eric Zemmour à la Présidentielle...

jacquesbompard.png

JACQUES BOMPARD : « ÉRIC ZEMMOUR ASPIRERA TOUS LES AUTRES COURANTS »

Le maire d’Orange et président de la Ligue du Sud s’est déclaré il y a quelque temps fervent partisan d’une candidature d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle. Alors que les spéculations vont bon train sur une telle hypothèse, il réitère son soutien et précise les contours que pourrait prendre cette campagne.

 
Propos recueillis par Jacques de Guillebon
pour L'incorrect cliquez ici

Un journaliste de Marianne, Louis Hausalter, qui semble s’abreuver à de très mauvaises sources, a écrit qu’il ne se passait rien chez les soutiens de Zemmour. Qu’en dites-vous, alors que vous vous êtes déclaré comme tel ?

Qu’il se passe pourtant des choses : la pétition que nous avons lancée (www.jesignepourzemmour.fr) marche bien, et ce simplement grâce aux contacts personnels des premiers signataires. Bien entendu, tant que la candidature d’Éric n’est pas officielle, et elle ne peut pas l’être pour le moment, les choses iront de leur pas tranquille, mais l’accueil que nous recevons auprès de tous les gens que nous rencontrons nous rend extrêmement optimistes.

Combien y a-t-il de signatures aujourd’hui ?

On en est à quelques dizaines de milliers. Et quand l’on sait le nombre réel d’adhérents des partis institutionnels, on atteint déjà tout à fait leur nombre d’adhésion. Et tout cela va évidemment exploser dès que la médiatisation autour de sa candidature sera faite.

C’est un choix de ne pas la médiatiser pour l’instant ?

Notre travail c’est d’inciter, de conforter, Éric Zemmour dans ses prises de position qui me paraissent évoluer constamment dans le bon sens.

Quand vous dites « nous », cela représente-t-il un mouvement constitué, ou cela désigne de simples sympathisants ?

Pour le moment, nous sommes l’inverse d’un parti politique, ce qui ne me gêne pas et même m’arrange beaucoup. Car les partis politiques se caractérisent par une ossification contraire à l’esprit de combat qui doit nous animer. Chacun se repose sur ceux qui sont aux responsabilités alors que ce dont la France a besoin c’est que tout le monde prenne son destin en main et fasse à son niveau ce qu’il peut faire : quand on fait ce qu’on peut, on fait ce qu’on doit.

Ce que je crois savoir, c’est qu’Éric Zemmour déclarera sa campagne dès qu’il le pourra mais que c’est lui qui sera juge de l’opportunité.

Aujourd’hui, hélas, la philosophie générale, c’est que moins l’on en fait, mieux l’on se porte. La France est entrée dans un contexte de contestation globale du système et toute action se passe bien sûr un peu dans l’anarchie. Mais une anarchie organisatrice et spontanée, je l’espère.

Que pensez-vous des sondages réalisés autour de la candidature d’Éric Zemmour ?

Je pense qu’ils sont excellents. On a eu trois chiffres, dans l’ordre : 8, 13 et 17%. Ce sont des chiffres extraordinaires, alors qu’il n’y a pas de candidature officielle et qu’aucune structure nationale ne porte le dossier. Quand on sait que l’objectif des grands partis c’est d’atteindre 18% dans les sondages, on mesure que nous y sommes pratiquement, alors qu’entre guillemets « rien n’a été fait ».

Quelle serait la spécificité d’une telle campagne vis-vis de Marine Le Pen ou de candidatures issues de courants proches ?

Je crois que la présidentielle est une élection de compétence et de rayonnement et qu’en la matière, dans la scène « para-politique », il n’y a qu’Éric Zemmour. Quand les gens voient Marine, ils perdent le peu d’envie qu’ils avaient de voter pour elle ; quand ils écoutent Zemmour et qu’ils le voient avec sa gentillesse et son allant, il se fait autour de lui une quasi-unanimité des gens de notre camp. Je pense très sincèrement que lorsque sa candidature sera avérée, il aspirera tous les autres courants. Pour exemple, nous qui présentons une liste aux régionales de PACA voyons bien que nous réunissons aisément toutes les obédiences du courant national-populaire. Je crois que c’est ce qui va se passer demain.

De manière plus concrète, il se dit par exemple qu’une campagne de levée de fonds serait lancée en mai : le confirmez-vous ?

Ce que je crois savoir, c’est qu’Éric Zemmour déclarera sa campagne dès qu’il le pourra mais que c’est lui qui sera juge de l’opportunité. Pour ma part, je souhaite que ce soit le plus tôt possible, mais je comprends ses raisons. En tout cas, le travail que nous faisons, c’est pour que tout soit prêt le jour où il décidera de sauter officiellement le pas.

Lire aussi : Eric Zemmour : Un candidat par-delà les sondages et les augures

Y a-t-il des personnalités politiques, outre vous, qui se rapprochent de lui ?

Je suis toutes ses apparitions à la télévision et je vois le rayonnement qu’il a sur toutes les personnes qui viennent débattre avec lui. Il y a manifestement des gens qui, bien qu’ils ne soient pas de notre mouvance politique, peuvent apporter beaucoup au travail de salut public que nous menons.

Vous ne voulez pas donner de noms ?

De quel droit le ferais-je ? Qui a des yeux pour voir, qu’il voie. Et il y a des gens qui sont manifestement proches de nous mais que je serais capable de faire partir si je les citais (rires).

Est-ce que vous comprenez que beaucoup de Français qui aiment Zemmour comme polémiste et comme journaliste soient circonspects sur sa potentielle stature politique et sa capacité à parler à tous les Français ? Et comment pourrait-il y remédier ?

Je crois que le problème ne se pose pas comme ça. Je crois qu’aujourd’hui le Français moyen est écœuré du monde politique et ne veut plus en entendre parler. Et je pressens ainsi qu’aux régionales il y aura un taux d’abstention colossal. En conséquence, je pense que l’électorat d’Éric Zemmour, c’est l’ensemble de ces gens qui s’abstiennent, ce qui représente 70 à 80% du corps électoral pour les régionales. Ils vont être intéressés par Éric justement parce qu’il n’est pas issu des partis qui tous unanimement et avec un brio extraordinaire ont trahi les intérêts des Français et les engagements qu’ils avaient pris. C’est ça qui fera la richesse de la campagne d’Éric : il n’est pas issu du sérail politique, il est connu médiatiquement, son discours est limpide et surtout magnifique de spontanéité et de vérité. Là où l’on sent chez les autres des artifices de langage, on sent qu’il est emporté par son cœur.

On sait que vous n’êtes pas spécialement un ami de Marine Le Pen, mais cela implique-t-il de dire qu’elle aurait trahi, notamment sur les questions d’immigration ? Et qu’apporterait Éric Zemmour sur ce type de questions ?

Je tiens à préciser que je n’ai pas de haine contre Marine Le Pen, aucunement. D’une certaine façon, je la plains, parce qu’elle n’est pas à sa place et quand on n’est pas à sa place, forcément on ne travaille pas avec plaisir. Mais soyons clairs : le souci de Marine, c’est d’amener progressivement son électorat jusqu’au prêt-à-penser de l’établissement politique ; à l’inverse, Éric amène toute sa radicalité sur l’ensemble des problèmes fondamentaux.

Je crois que la vocation d’Éric Zemmour est de faire l’union de tous et les Français sont déjà tous unis dans l’abstention.

Et au lieu d’être un dilettante de peu de qualité comme toutes les Marine, c’est un professionnel qui travaille ses dossiers, les connaît et apporte ses réponses personnelles qui sont de bon sens. Ce que ne font pas les autres. La différence est là : Éric se régale en travaillant et le fait avec tout son cœur. C’est ça que les gens sentent.

Quels pourraient être les grands axes de sa campagne ?

Il le dit lui-même : le grand problème, c’est l’immigration-invasion. Il faut aimer la France ou la quitter. Si l’on aime la France, les Français et la civilisation européenne, on peut avoir sa place ici. Si l’on n’aime pas ce pays, il faut le quitter, c’est sûr.

Peut-on penser que sa candidature ferait une union des droites, ou serait-ce une division supplémentaire ?

Je crois que la vocation d’Éric Zemmour est de faire l’union de tous et les Français sont déjà tous unis dans l’abstention. En fin de compte, ceux qui votent encore ne le font plus que par habitude ou par amitié fraternelle.

Mais cette campagne se fera-t-elle sous le signe de la droite ?

Non, je ne crois pas que ce soit son souci. Il est vrai que quand on est de droite, on est quelqu’un de bon sens et que le bon sens est capable de réunir beaucoup de monde. Mais, par exemple, dans mon équipe, j’ai toujours eu beaucoup de gens qui venaient du parti socialiste ou du parti communiste et qui une fois qu’ils travaillaient avec moi se sentaient parfaitement à l’aise. C’est cela, notre philosophie.

Lire aussi : Marine Le Pen : « J’en appelle à l’union sacrée » 2/2

Mais si l’on imagine qu’Éric Zemmour se présente, et qu’il gagne, ne va-t-il pas se retrouver dans une situation équivalente à celle de Macron, c’est-à-dire élu sur son nom mais sans disposer de cadres locaux, et que ça produirait à la fin la même chose qu’En Marche ?

Je crois que le problème d’Éric Zemmour, une fois qu’il sera devenu président, ne sera pas de manquer de bras ou de têtes, mais de trier dans l’excès numérique de gens de qualité qui l’auront rejoint.

Concrètement, qui sont ces gens ?

Beaucoup de gens nous rejoignent et prennent des responsabilités mais ce ne sont pas des personnes forcément connues jusque là : des compétences se révèlent et c’est l’espoir de la France, qu’un monde nouveau se lève contre le monde ancien qui a trahi.

Vous voyez, vous parlez comme En Marche…

(rires) Sauf qu’eux étaient réellement le monde ancien, c’est-à-dire l’établissement et la grande finance. Nous, ce que nous cherchons, c’est le peuple.

En parlant de grande finance, Éric Zemmour, s’il se présente, aura lui aussi besoin de soutiens, notamment financiers ?

On verra. Là où il y a une volonté, il y a un chemin. Et le chemin, on le trace jour après jour. L’inquiétude, c’est le désespoir : il faut rendre l’espoir aux Français qui sont désespérés et aujourd’hui pour porter cet espoir, je ne vois qu’Éric Zemmour.

12:50 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Appel des généraux : quand les complotistes voient des complots partout...

Unknown.jpg

Depuis quelques jours, le microcosme politico-médiatique s'agite, c'est la panique générale chez les paranos du complot actuellement au pouvoir.

La raison qui motive une telle indignation : l'Armée ! Que se passe-t-il ? Les divisions blindées seraient-elles en route vers Paris ? Les généraux Salan, Zeller, Challe et Jouhaud, héros de l'Algérie française, seraient-ils sortis de leurs tombes ? Rien de tout cela !

A l'origine de ce brouhaha, une lettre-ouverte publiée dans un premier temps sur le site Place d'Armes cliquez icipuis reprise dans l'hebdomadaire Valeurs actuelles, signée par un grand nombre de militaires (en retraite pour la plupart) mettant en garde les Français sur les dangers, liés à l'immigration incontrôlée et à l'islamisation qui en découle, qui les menacent. 

Ce "manifeste" a au moins le mérite de faire parler de lui. Espérons qu'il contribuera à faire prendre conscience à ses lecteurs de la tragique situation dans laquelle nous a plongé le Système depuis des décennies.

Voici donc le fameux texte de cette lettre ouverte, rédigée à l'initiative du capitaine Jean-Pierre Fabre-Bernadac (1), qui suscite tant de commentaires. 

S N 

Monsieur le Président,

Mesdames, Messieurs du Gouvernement,

Mesdames, Messieurs les parlementaires,

L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.

Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.

– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais, à travers ces termes, c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.

– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

– Délitement car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agent supplétif et bouc émissaire face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.

Lire la suite

11:03 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France n’est pas capable de contrôler correctement ses frontières

stefanini.jpg

Entretien mené par Ronan Planchon

Pour le conseiller d’État honoraire et ancien secrétaire général du ministère de l’Immigration Patrick Stefanini, le parcours de l’assaillant de Rambouillet est symptomatique des défaillances de l’État et de l’Union européenne dans la lutte contre le terrorisme islamiste.

Le Figaro. - Entré illégalement en France depuis la Tunisie en 2009, le chauffeur-livreur coupable de l’attentat de Rambouillet avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié. Il a donc vécu dix ans en situation irrégulière sur le sol français...

Patrick Stefanini. - Autrefois, les séjours irréguliers en France étaient un délit, ce n’est plus le cas. Aussi, le fait pour un étranger d’être entré irrégulièrement en France faisait à lui seul obstacle à la régularisation de sa situation administrative. Nous avons abandonné cette règle, qui était pourtant une règle de bon sens, et c’est une erreur. Pour le reste, on sait que dans certains secteurs de l’économie française, des métiers sont insuffisamment rémunérés et les conditions de travail sont jugées trop difficiles par nos concitoyens. À la fin, ce sont des personnes de nationali té étrangère qui finissent par pour- voir le poste. Si on veut éviter d’avoir à recruter systématiquement des étrangers pour ce type de métier, il faut revaloriser les conditions de travail. Les besoins économiques ne sauraient être un alibi pour ne pas lutter contre l’immigration clandestine.

Le profil du terroriste de Rambouillet rappelle celui de l’assaillant de Samuel Paty. D’ailleurs, selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait lui aussi prémédité son acte...

Nous avons affaire à des gens qui n’adhèrent pas aux valeurs de la République française et qui peuvent être tentés à tout moment de s’en prendre aux personnes incarnant l’État français. D’après ce qu’a dit le procureur antiterroriste, des actes de repérage ont été commis par l’assaillant. Comment le sait- on ? Par des caméras de vidéoprotection ? Si c’est le cas, y a-t-il quelqu’un derrière un écran 24 heures sur 24 pour visionner les images, repérer les comportements suspects et donner l’alerte ? Dans l’immense majorité des communes, il n’y a pas de visionnage en temps réel des images, on se contente de s’en servir a posteriori. Un effort très important doit être fait, sinon on se prive de l’essentiel de l’intérêt de la vidéoprotection.

Le ministère de l’Intérieur a aussitôt annoncé que la sécurité allait être renforcée devant les commissariats. Est-ce suffisant pour endiguer les actes de terrorisme ?

La fonctionnaire de police qui a été assassinée est sortie du commissariat pour recharger son horodateur. Comment se fait-il que ces fonctionnaires ne bénéficient pas, soit d’emplacements de parking à l’intérieur des commissariats, soit de la gratuité du stationnement ? Il faudrait déjà améliorer les conditions de travail. Rappelons-nous aussi que lors de l’attaque du commissariat de Champigny-sur-Marne en octobre 2020, les policiers n’avaient été protégés que par un sas de protection financé par la région Île-de-France. Là aussi, on peut s’étonner que l’État ne prenne pas toutes les dispositions nécessaires en termes de budget pour financer la sécurisation complète des commissariats.

Quid de la maîtrise des flux migratoires ?

L’État est dans l’incapacité de mettre un policier derrière chaque personne qui pourrait être susceptible de radicalisation islamiste. Il faut traiter le problème en amont et poser en principe que l’Union européenne n’est pas un espace ouvert à tous les vents. Comme tous les grands ensembles continentaux qui se respectent, elle a des frontières extérieures qui doivent être consi- dérablement renforcées. Aujour- d’hui, ce contrôle extérieur n’est pas crédible. Dans un rapport publié en 2019, l’agence européenne de gardes-frontières et de gardes- côtes Frontex rappelle qu’environ 600 millions de personnes pénètrent chaque année à l’intérieur de l’UE, et environ 20 % d’entre eux ne font pas l’objet d’un passage fichier qui permettrait de détecter des antécédents judiciaires ou des facteurs de dangerosité. En matière de circulation des personnes, la France a mis la charrue avant les bœufs en supprimant ses contrôles aux frontières intérieures sans se doter en amont de tous les instruments nécessaires à un contrôle ef- ficace de ses frontières extérieures. Si l’on ne change pas cela, l’Union européenne continuera à être une passoire et nous nous exposerons en permanence à la répétition du type de drame qui s’est produit vendredi.

Y a-t-il des obstacles juridiques qui affaiblissent, voire paralysent, la lutte contre l’islamisme ?

Non seulement la France n’est pas capable de contrôler correctement ses frontières, mais lorsqu’elle est en présence de clandestins, elle ne parvient pas à les éloigner. On connaît la réticence des pays d’origine à délivrer des laissez-passer consulaires, mais ce n’est pas la seule difficulté. Le premier problème, c’est l’extrême complexité du contentieux des étrangers et on peut regretter que le gouvernement ne se soit pas emparé des propositions faites par le Conseil d’État pour le simplifier. Le deuxième point, c’est la « directive retour ». Elle fait obstacle à ce qu’un État membre de l’UE, constatant la situation irrégulière d’un étranger, puisse le renvoyer d’office dans son pays d’origine, et l’oblige à inviter l’étranger à quitter de lui-même de cet État membre. C’est une vision « bisounours » de la maîtrise de l’immigration, et cela participe à l’échec à la lutte contre l’immigration clandestine.

Source : Le Figaro 26/04/2021

10:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen évoque le 21 avril 2002

CgjPdFgW4AAwUkZ.jpeg

L'émission de la semaine dernière :

01:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 avril 2021

Craintes de krach dans la politique de fuite en avant de l’Occident

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Après trois séances sur cinq en baisse, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 n’ont finalement, respectivement, reculé cette semaine que de 0,46 %, 0,25 % et 0,13 %. Le taux américain de la dette à dix ans s’est assagi à 1,55 %. Quant au CAC 40, il s’est replié de 0,46 %, toujours en progression de 12,73 % depuis le début de l’année. Tout se passe comme si nous vivions, en Occident, la fuite en avant d’un monde économique, budgétaire, boursier et financier mortellement touché, atteint par une étrange maladie qui n’arrive pas à se déclarer, les hommes ayant eu recours à des méthodes exceptionnelles et non conventionnelles pour brouiller les pistes, mais qui, comme avec Frankenstein, peuvent les amener à perdre complètement les manettes de contrôle.

Le S&P 500 américain, après avoir chuté de 34 % au printemps 2020 en 22 séances, connaît actuellement une hausse de 50 %, ce qui correspond à son plus fort gain sur 12 mois depuis 1936 ! Les Bourses sont au plus haut car la valeur du marché mondial des actions représente 140 % du PIB mondial, un chiffre jamais atteint jusqu’à présent. La valeur, en France, des entreprises non cotées recherchées par les fonds d’investissement vient d’augmenter subitement de 60 % en janvier-février 2021.

L’économiste Patrick Artus remarque également que « lorsque les cours des entreprises du luxe montent, c’est directement lié à la politique monétaire, pas à une hausse de leur profitabilité ». La multiplication des scandales financiers récents (Archegos aux États-Unis, Wirecard en Allemagne et Greensill en Angleterre) est aussi un signe annonciateur d’insécurité financière et de crise. La plupart des boursiers sont conscients qu’il y a un os quelque part dans le fromage, mais l’optimisme est de rigueur car aucun investisseur professionnel ne peut faire abstraction du marché ni prendre le risque de passer à côté d’une hausse.

Les flambées spéculatives du Bitcoin font craindre également l’explosion à venir d’une bulle. De même que le père du président Kennedy avait fait fortune, en 1929, en vendant immédiatement ses actions, car très surpris que son coiffeur lui donne des conseils en matière boursière, trop de non-initiés s’interrogent aujourd’hui pour acheter ou non du Bitcoin, cet actif spéculatif sans valeur intrinsèque, contrairement à l’or multimillénaire. Du 22 avril 2020 au 22 avril 2021, le Bitcoin a progressé à 54.347 dollars, soit une hausse de 616 %. En 2017, le Bitcoin s’était déjà effondré à 3.122 dollars après avoir atteint les 20.000 dollars. Le Bitcoin, à la merci d’une suppression, comme en Turquie et aux Indes, par les banques centrales, vient de perdre, ce même vendredi 22 avril, 10 % en une seule séance.

Alors, que va-t-il se passer ? Il y aura deux juges ad hoc pour nous sortir de l’incertitude : les bénéfices réels à venir des entreprises et les décisions, contraintes ou non, des banques centrales. Si les bénéfices publiés ne sont pas à la hauteur des exigences en matière de rentabilité des investisseurs (prime de risque par rapport au taux à 10 ans), il y aura correction, en 2021 ou 2022, des cours boursiers et un krach, comme ce fut le cas en 2000 pour les valeurs technologiques. Aux États-Unis, les ratios cours/bénéfices sont actuellement à 24, au lieu de 18 pendant ces cinq dernières années. En Europe, le même ratio est à 17, en 2021, alors que la moyenne historique est à 13,5. À défaut d’un krach, une correction boursière est donc très probable en 2021.

Le deuxième élément déterminant sera l’attitude de la Fed et de la BCE, le jour où elles arrêteront la politique du « QE », ce qui entraînera immédiatement une hausse des taux d’intérêt à long terme et la chute des Bourses. Pour l’instant, c’est le statu quo et le maintien de la politique du « QE » du côté de la Fed et de la BCE. Mais pour la première fois, le président de la Fed, Jerome Powell, a affirmé qu’il agirait si l’inflation dépassait substantiellement et durablement l’objectif de 2 %, alors que jusqu’à présent, il avait affirmé le contraire.

La seule certitude, dans la situation actuelle, c’est que les dettes de la France sont irremboursables et que seule l’inflation, ou l’hyperinflation, après un éclatement probable de la zone euro et plusieurs dévaluations du franc, comme celle de 20 % en juillet 1958 et de 17,55 % en décembre 1958, permettra de les rembourser.

19:23 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le cadre de ses entretiens, le Parti de la France reçoit Alain de Peretti, président de Vigilance Hallal

logoVH.jpg

Vigilance halal cliquez ici

19:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le procès en appel d'Esteban se déroulera à Evry à la fin du mois de mai

ob_5fe20c_4087001053.jpg

Souvenez-vous ! En juin 2013, dans le quartier de l'Opéra à Paris, trois jeunes nationalistes qui s'étaient rendus paisiblement à une vente privée de vêtements sont sauvagement agressés par une horde de larbins du Système (appelés aussi "antifas") qui les avait localisés et leur avait tendu une embuscade. S'en suivit une brève altercation au cours de laquelle, hélas, l'un des agresseurs, un dénommé Clément Méric, est décèdé en heurtant un poteau placé sur le trottoir. 

Alors que tous les témoins reconnaissaient que les agresseurs étaient bel et bien les gauchistes et les agressés les jeunes patriotes, dès le lendemain ceux-ci furent arrêtés, inculpés et emprisonnés. L'un d'entre eux, Esteban Morillo fera quinze mois de préventive. ,

Une ignominieuse campagne de mensonges et de calomnies contre le mouvement auquel ceux-ci appartenaient, en l'occurence Troisième voie, fut immédiatement lancée par la classe politico-médiatique dans son ensemble. Campagne qui aboutit à la dissolution de plusieurs organisations nationalistes comme Troisième voie et l'Oeuvre française.

En septembre 2018 s'est déroulé le procès des jeunes nationalistes qui écopèrent de lourdes peines (Esteban 11 ans et Samuel 7 ans) cliquez ici. Face à une telle injustice, ils décidèrent de faire appel. Un second procès, initialement prévu en avril 2020, est donc prévu pour la fin du mois de mai.  

Afin de soutenir Esteban, ses amis viennent de lancer une cagnotte destinée à rassembler les fonds nécessaires pour leur défense. Nous ne pouvons qu'inciter les lecteurs de Synthèse nationale à répondre à leur appel en cliquant ici. 

R H

01:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 9 mai : cortège traditionnel de Jeanne d'Arc à Paris

2021-banniere-jeanne-site-1024x341.jpeg

00:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Zemmour 2022 : une immense affiche fait son apparition dans les rues d’Aix-en-Provence

WhatsApp-Image-2021-04-24-at-16.09.55.jpg

Source Valeurs actuelles cliquez ici

Eric Zemmour, candidat à l’élection présidentielle en 2022 ? Si le journaliste star de CNews ne s’est jamais avancé sur le sujet, certains de ses soutiens semblent particulièrement déterminés à faire exister l’hypothèse de sa candidature. A Aix-en-Provence, ce samedi 24 avril, une immense affiche a ainsi été déployée sur la façade d’un échafaudage aixois. Haute de plusieurs mètres, elle figure le polémiste surmonté d’un large « 2022 », et encadré par un drapeau français. Une sorte de proto-affiche présidentielle, accompagnée d’un lien vers une pétition rassemblant les fans du journaliste (www.jesignepourzemmour.fr). Lancée en mars dernier par Jacques Bompard, l’historique maire d’Orange, la pétition a pour objet « d’inciter, de conforter, Éric Zemmour dans ses prises de position », comme son créateur l’a récemment expliqué au magazine L’Incorrect.

« Génération Z »

Si Jacques Bompard fait office de figure historique de la droite française, Eric Zemmour peut également compter sur une importante partie de la jeunesse. Depuis plusieurs semaines, de nombreux comptes « fans » du journaliste se sont ainsi créés sur les réseaux sociaux, rassemblant plusieurs dizaines de milliers d’amateurs. C’est l’un d’entre eux, le compte « Génération Z », qui semble être à l’origine de l’affiche, et qui a partagé une photo sur ses réseaux sociaux. Une photo sur laquelle on aperçoit, d’ailleurs, de nombreux tracts faisant la promotion de la pétition. Selon les informations de Boulevard Voltaire, une quinzaine de militants se serraient par ailleurs rassemblés à Aix, afin de distribuer ces tracts. Contacté, l’entourage d’Eric Zemmour affirme ne pas avoir été informé de l’opération, mais estime « sympathique et très révélateur de voir des citoyens qui manifestent spontanément leur soutien à Eric Zemmour ». Zemmour 2022, la campagne qui n’a pas lieu, vraiment ?

00:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 24 avril 2021

Violence ! Que va-t-on encore tolérer ?

Rambouillet-ne-fonctionnaire-de-police-tuee-au-couteau-dans-le-sas-du-commissariat-1013040.jpgJarente de Senac

La femme, agent administratif dans un commissariat de Rambouillet égorgée par un migrant Tunisien, va-t-elle enfin être la goutte d'eau qui va faire déborder le vase ? On peut en douter, même si pour une majorité de Français, le vase déborde puis longtemps. C’est Charles Pasqua qui a eu le mot juste, malheureusement jamais appliqué : « Il faut terroriser les terroristes ! » Car tel est bien le sujet. Mais quels moyens donner aux forces de l’ordre pour en appliquer le principe ?

Pourquoi porter une attention plus particulière à ce fait tragique ? Tout simplement parce que Rambouillet, la ville dont Gérard Larcher, président du Sénat, fut longtemps le maire, est une ville paisible qui n’a pas à gérer une immigration comme celle qui gangrène désormais la plupart des grandes villes françaises.

Nous ne sommes pas partisans de dire que tous les extra-européens musulmans sont dangereux. Nombre d’entre eux souffrent également de cette violence qui, via la drogue le plus souvent, rend leurs ghettos tout aussi dangereux. Mais entre la drogue et les fous furieux d’Allah, l’Etat français est devant un vrai problème que ne résoudront pas les tribunaux et encore moins la prison.

Journellement maintenant des groupes de jeunes qui n’ont rien de Gaulois, s’attaquent désormais sans vergogne et frontalement aux forces de l’ordre à coups de mortiers comme c’est le cas encore récemment à Tourcoing et Aubenas. Que dire également des bandes organisées, Roms et autres ressortissants d’Europe l’Est qui cambriolent les pavillons mais s’en prennent aussi au matériel agricole, bref, à tout ce qui peut faire l’objet d’un commerce et qui suscite un trafic.

Face à cette violence qui ne cesse de monter et qui vient contredire l’un des principes même de la République qui est d’assurer la sécurité de tous, la question se pose de savoir quels sont les moyens à employer. Car, c’est bien cette violence qui ne s’exprime pas uniquement dans la rue, mais aussi sur les institutions, l’école notamment, par des musulmans qui s’imaginent qu’on peut vivre en France comme « au pays », qu’il s’agit de juguler ou plutôt d’éradiquer. Doit-on répondre à ceux qui ne respectent pas les lois de la République par ces mêmes lois qui ne font que démontrer leur impuissance ? Durant la guerre d’Algérie, le colonel Bigeard avait apporté une réponse à cette question !  

13:08 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Pierre » ou l’importance des prénoms

en-parle.jpg

Mathieu Bock-Côté

La scène était frappante : à Montpellier, une mère voilée a interpellé Emmanuel Macron pour lui confesser que son fils lui avait demandé si le prénom Pierre était bien réel. On l’aura compris, elle aurait aussi pu parler de Jacques, de Charles, de Daniel. Ou même de Corinne. Sans le vouloir, spontanément, même, elle rappelait que le prénom est bien moins individuel qu’il n’y paraît, et peut être interprété comme un marqueur d’appartenance culturelle, inscrivant celui qui le porte dans un univers de sens, une histoire, et même une tradition. Il y a quelques années à peine, qui osait le rappeler risquait les pires insultes de la part d’éditorialistes s’enroulant dans la toge de la vertu pour expliquer que le prénom n’avait aucune signification collective et qu’il relevait exclusivement de la liberté des parents. Rappeler que le prénom, du simple fait qu’il est choisi, a une dimension sociologique, pouvait même passer pour un « discours haineux ». Certaines banalités ne sont pas bonnes à dire. N’importe quoi, aujourd’hui, peut conduire au tribunal.

Aucun pays ne saurait être absolument indifférent à la population qui le compose et ne saurait se réduire à une simple abstraction administrative ou juridique. Si la France était peuplée d’Irlandais ou de Norvégiens, elle ne serait plus française mais irlandaise ou norvégienne, évidemment. Certains redécouvrent ainsi, avec un étonnement probablement feint, que nous nous retrouvons, dans certaines portions du territoire, devant un authentique phénomène de substitution démographique, en situation de partition ethnoculturelle. La mutation démographique de notre temps, entraînée par l’immigration massive, est généralement niée s’il faut s’en inquiéter, mais reconnue s’il faut la célébrer. L’essentiel est pourtant là : les territoires perdus de la République sont devenus les territoires perdus de l’identité française. Risquons une hypothèse : il n’est pas impossible que les Pierre et Corinne de France ne soient pas exagérément enthousiastes à l’idée d’évoluer dans un environnement urbain qui leur donnera la désagréable impression d’être devenus minoritaires dans leur propre pays – un environnement, qui plus est, où leur sécurité est loin d’être assurée s’ils entendent vivre selon les mœurs françaises.

Se pose évidemment la question du nombre. L’assimilation n’est possible que dans la mesure où on respecte les capacités d’intégration de la société d’accueil. L’immigration massive, à terme, conduit inévitablement au communautarisme. La novlangue est partout : on parle pudiquement de mixité sociale, tout comme on parle de quartiers sensibles et de bandes de « jeunes » avant d’en appeler de manière incandescente aux valeurs républicaines, en se demandant comment rassembler des populations qui vivent aujourd’hui séparées. Mais, concrètement, c’est bien de la possibilité de fondre les populations issues de l’immigration dans le peuple français dont nous parlons. Ce qui pose la question du devoir d’intégration et du désir d’assimilation. Dans quelle mesure les populations qui s’installent en France désirent-elles devenir culturellement françaises ? Des esprits moqueurs ont demandé pourquoi la dame de la vidéo n’avait pas elle-même prénommé son fils Pierre. La question est moins farfelue qu’on a voulu le croire. La meilleure manière de se faire accepter dans un pays consiste encore à en adopter les codes et les références – à envoyer des signaux ostentatoires d’appartenance à sa terre d’accueil. Du prénom, on passe rapidement à la question du voile, puis de l’hallalisation de l’offre alimentaire et de la présence hégémonique des codes de l’islam au cœur de la vie quotidienne.

On retrouve ici une évidence sociologique trop souvent oubliée : c’est en s’intégrant culturellement et en faisant les efforts pour y parvenir que les populations issues de l’immigration pourront profiter pleinement des avantages de la coopération sociale. Inversement, elles risquent de trouver la vie plus compliquée si elles s’autoexcluent culturellement de la société qu’elles ont choisie. À tout le moins, il faudrait peut-être explorer cette piste avant d’expliquer chaque disparité statistique par la présence d’un système discriminatoire, comme le suggèrent un peu rapidement certains commentateurs et journalistes qui n’en finissent plus d’accuser la France d’exclure ceux qui, pour diverses raisons, n’embrassent pas sa culture en s’installant chez elle. Il ne s’agit évidemment pas ici de justifier les injustices lorsqu’elles se présentent, non plus que de contester leur existence, mais de comprendre les dynamiques sociologiques à l’origine de bien des tensions sociales et identitaires et de cesser de culpabiliser de manière outrancière une société d’accueil pourtant fort généreuse avec ceux qui la rejoignent. La lucidité est la condition première de l’action.

Source : Le Figaro 24/04/2021

10:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

couv nn.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

07:57 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 avril 2021

Le pire parti de France

Europe-écologie.png

Georges Feltin-Tracol

On pensait avoir touché le fond des abysses avec l’UMP–Les Républicains de Jacques Chirac et de Nicolas Sarközy, le PS de François Hollande, La République en marche d’Emmanuel Macron sans oublier le MoDem, l’UDI, La France hyper-soumise ou le Rétrécissement népotique. C’était sans compter sur Europe Écologie–Les Verts qui trouve le moyen de creuser la lithosphère terrestre.

Arrivés par effraction grâce au covid-19 et à une abstention massive à la tête de nombreuses municipalités, Les Verts n’ont guère tardé à montrer leur suffisance idéologique. L’édile de Bordeaux qualifie les sapins de Noël d’« arbres morts » et ne veut pas en installer en décembre. Le maire de Lyon juge le Tour de France cycliste machiste et pollueur, propose à son conseil municipal un budget « genré », et bannit la viande des cantines scolaires. La mairesse de Strasbourg accorde une forte somme d’argent public à la plus grande mosquée d’Europe occidentale. Les nationaux-islamistes turcs la remercient chaudement. Aux mains d’une coalition verte–rouge très vif depuis sept années, Grenoble redevient un Chicago alpin.

La semaine dernière, la mairesse de Poitiers, Léonore Moncond’huy, a supprimé les subventions municipales aux aéroclubs locaux parce qu’elle réprouvait le sport motorisé. Pour se justifier, elle estima que « l’aérien, c’est triste, mais ne doit plus faire partie des rêves d’enfant d’aujourd’hui ». Souhaiterait-elle que les jeunes générations rêvassent d’accueil inconditionnel des « migrants », d’une société inclusive, dévirilisée et végane, et d’une existence seulement propice à la consommation du shit ?

Certes, les penseurs de l’écologie, à l’instar du décroissant Serge Latouche, souhaitent décoloniser l’imaginaire collectif, mais il s’agit de se libérer du productivisme, du Progrès et de la Modernité, et seulement pas de l’aviation de plaisance. Les Verts seraient-ils donc opposés aux programmes spatiaux ? Ce ne serait que de simples banalités de la part de pacifistes invétérés qui ignorent la loi d’airain du politique et donc des enjeux de puissance.

Léonore Moncond’huy commet en tout cas un formidable contresens peu surprenant. Dans le n°17 d’octobre 2014 de Causeur, Daoud Boughezala rapportait une anecdote survenue au moment de l’université d’été des Verts deux mois plus tôt à Bordeaux. Lors d’un atelier consacré à Bernard Charbonneau et à Jacques Ellul, « sur la cinquantaine de spectateurs de  ’assistance, nous sommes trois ou quatre à lever le bras » pour avoir lu leurs œuvres… Cette méconnaissance étonne de la part d’un milieu constitué de cadres supérieurs diplômés pléthoriques.

Dans son récent essai co-écrit Les Luttes de classes en France au XXIe siècle (2020), Emmanuel Todd a raison de considérer le vote en faveur des Verts comme une manifestation patente de « contre-populisme ». C’est une attitude réactive à la nette radicalisation de la société française. Le démographe et économiste dissident précise que voter pour EE-LV, c’est effectuer un « vote […] : “Ni Macron ni le peuple” » qui se traduit dans les faits par « un vote contre le Jaune. Non à Macron, non aux Gilets jaunes aussi. Un vote “ni ni”, en somme » sans pour autant choisir les « extrêmes ». Les Verts sont par conséquent la dernière engeance en date de la Plaine, ce marécage historique central de la bourgeoisie modérée.

Donneurs de leçon permanents et chantres de la morale politique, ce qui est un oxymore, Les Verts détestent toute contradicteur averti. Très susceptibles, ils ont déposé une plainte en diffamation contre divers membres du gouvernement dont Marlène Schiappa qui déclarait dans un franglais typique propre à nos dirigeants qu’« on pourrait faire un best-of des décisions les plus sectaires d’EE-LV ». Incapables de débattre avec quiconque qui ne partage pas leur point de vue, ils refusent ainsi les invitations de la chaîne d’information CNews accusée par ailleurs de « dérive droitière ». Ils attendent des journalistes de recevoir un traitement conformiste et convenu.

L’électorat Vert reste néanmoins fluctuant, instable et mouvant. Trimbalé de Bayrou en 2007 à Macron en 2017 en passant par Hollande en 2012, il ne présente pas une forte motivation et risque de vite déchanter si EE-LV commence à se déchirer au sujet de l’échéance présidentielle à venir. Sait-il pour le moins que l’antagonisme entre Éric Piolle et Yannick Jadot est si violent en interne qu’il ramène à l’état de broutilles la féroce rivalité entre François Mitterrand et Michel Rocard ou entre Lionel Jospin et Laurent Fabius aux grandes heures du PS ?

Les Verts ont longtemps été assimilés à des « pastèques » (vert à l’extérieur et rouge à l’intérieur) ou à une volonté de revenir à la lampe à huile. Commencée en 1993 avec l’exclusion d’Antoine Waechter, leur dérive tourne à l’artificialisation et à la stérilisation des idées écologiques les plus prometteuses. Ils se détournent de la pluralité des expressions et se moquent de la diversité des opinions. Cette écologie politique-là ne peut que conduire à un Tchernobyl des convictions, à un Fukushima de l’engagement militant, à un dépôt de bilan politique total.

Bonjour chez vous !

PS : Chaque semaine depuis un an, Les Verts démontrent leur sens des affaires publiques. Le 14 avril dernier, le conseiller municipal EE – LV de Vincennes (Val-de-Marne), Quentin Bernier – Gravat, ne vote pas une subvention au club local de yacht, car « les bateaux polluent, donc l’activité du Yacht Club est polluante ». Il oublie qu’il s’agit de la navigation à voile (avec du vent)… Peut-être faudrait-il commencer à préparer un bêtisier politique des Verts tant ce parti symbolise la bouffonnerie dans toute sa splendeur.

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°210, mise en ligne sur TVLibertés, le 13 avril 2021.

18:31 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie aux éditions Déterna d'un livre consacré à Ian Stuart, figure du RAC, le rock anticommuniste

111111.jpg

Ian Stuart n’a pas été à l’origine du mouvement Rock Against Communism (RAC), mais il en est très vite devenu, grâce à son incontestable talent d’auteur (228 chansons écrites en 22 albums !), la figure emblématique. Leader du groupe skinhead Skrewdriver, il avait compris qu’un groupe de rock de tendance strictement nationaliste pourrait être un très efficace outil de propagande et avoir un impact politique considérable. Et cela ne se fit pas sans douleur : tentatives de meurtre, incarcérations multiples, agressions physiques, boycotts des concerts, équipements volés, bagarres générales, attaques médiatiques calomnieuses permanentes, la liste fut longue.

Ian Stuart, la voix du rock anticommuniste, Paul-Louis Beaujour, Déterna, 2021, 294 pages, 31 €

Pour l'acheter cliquez ici

18:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Corona business

couv nn.jpg

Faut pas nous prendre pour des billes, car on a bien conscience que derrière la course aux vaccins anti-covid 19 se cachent de puissants intérêts financiers. Les labos s’en mettent plein les poches pour une efficacité souvent contestée. Mais pour faire fructifier leur juteux business, ils ont besoin de puissants relais au sein des gouvernements. Françoise Monestier lève un coin du voile dans un article fort pertinent de Présent (23/04) qui met en cause la macronie et les curieux personnages qui naviguent au sein de la sphère santé. 

Lire la suite ICI

11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France sur un volcan

perrineau.jpg

A tout juste un an de la présidentielle, le jeu des prévisions est difficile. Après les crises sociales – « gilets jaunes », réforme des retraites –, la crise sanitaire, avec son lot de conséquences économiques et sociales, bouleverse encore davantage le pays. Les répercussions de la présidentielle de 2017 se font encore sentir. La droite se cherche un leader, la gauche reste très fragmentée et les écologistes, s’ils ont marqué des points dans l’opinion, peinent à en trouver une traduction politique nationale. Seuls Macron et Marine Le Pen figurent en tête dans tous les sondages. Mais rien n’est joué pour autant.  Pascal Perrineau, longtemps à la tête du Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences po) aujourd’hui professeur émérite des universités, et qui observe la vie politique française depuis longtemps, répond ici aux questions posées par Les Echos. Un mot résume tout : désarroi.

Lire la suite ICI

10:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éric Zemmour vers une candidature ? Deux signes de sa part qui ne trompent pas

zemmour.png

Frédéric Sirgant Boulevard Voltaire cliquez ici

La question de la candidature d’Éric Zemmour qui agitait la droite, il y a quelques semaines, semblait oubliée depuis que les sondages ne cessent de présenter Marine Le Pen comme l’indépassable horizon de la droite pour 2022. Même la fondation Jean-Jaurès l’affirme : elle pourrait être élue si, et si, et si.

Mais ne voilà-t-il pas qu’Éric Zemmour vient d’envoyer, coup sur coup, deux signes que ses partisans interpréteront comme des cartes postales en vue d’une éventuelle candidature.

D’abord, lui qui se cantonnait à sa chaire de CNews et qui était assez distant des réseaux sociaux vient d’ouvrir plusieurs comptes à son nom. Selon Valeurs actuelles, « Éric Zemmour débarque et cartonne sur les réseaux sociaux. Pour attirer la jeunesse, l’éditorialiste vient de se lancer sur différentes plateformes. » Les RS en question ? Instagram, Facebook, TikTok ainsi qu’une chaîne Telegram qui « sont venus accompagner le compte Twitter de l’éditorialiste, déjà suivi par plus de 127.000 personnes ». Et ce nouveau pas vers un élargissement de son audience médiatique et populaire s’est accompagné du dévoilement d’une « signature » : il se met à « signer ses tweets avec les initiales “E.Z.”, comme au début du mois d’avril, quand il souhaite une joyeuse fête de Pâques à ses followers ». EZ versus EM ?

Mais il y a un autre signe plus fort, car plus profond et plus personnel. Dans sa dernière chronique du FigaroVox, publiée mercredi soir, il conclut sa recension du livre de Christophe Dickès sur Bainville par le testament angoissé du vieil historien se reprochant de n’avoir pas assez agi alors qu’il avait tout prédit sur les périls des années 30. Une sorte de miroir tendu à Éric Zemmour un siècle après et une chronique en forme d’introspection :

« Son fils, Hervé, a raconté à Christophe Dickès le désespoir de ses dernières années : “Tout ce que j’ai fait est stérile…” Il regrette de ne pas avoir participé à la vie politique de manière plus active. De ne pas avoir abandonné son métier de journaliste. Il rumine sans apitoiement sur soi : “Pourquoi si bien prévoir et pouvoir si médiocrement ? J’ai toujours eu le tort de ne pas viser assez haut. Excès de fausse modestie, fausse fierté ! Méfiance exagérée de soi même, sentiment d’impuissance”. »

C’est tout son dilemme qu’Éric Zemmour décrit ici. Le parallèle n’a rien d’excessif et il est, somme toute, assez juste. Il relevait aussi, dans sa chronique, cette sentence de Bainville sur la politique française des années 30 : « Ce qui est dangereux et haïssable, c’est le simulacre de l’action. » Là encore, nos dirigeants dépassés ressemblent à ceux de la IIIe République finissante.

Au moment où un Président lance avec légèreté et en anglais qu’il faut « déconstruire notre Histoire » et reste en même temps sans réponse devant une femme voilée s’inquiétant que son enfant ne connaisse pas le prénom Pierre, comment Éric Zemmour, qui a parfaitement diagnostiqué le mal français depuis vingt ans, et précisément sur cette question des prénoms et de l’assimilation, ne ressentirait-il pas le puissant appel de l’action ?

Alors, le prochain débat d’Éric Zemmour ? Face à Emmanuel Macron ? Mais pas sur CNews. Et en mai 2022.

01:02 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre consacré à Eugène Deloncle et à la Cagoule vient d'être édité par Dualpha

COUV Maquette SN REVUE copie 3.jpg

Dans la nuit du 23 novembre 1937, Marx Dormoy, le ministre de l’Intérieur, convoque la Presse en urgence pour lui révéler la découverte d’un fantastique complot : après six mois d’enquête, la Sureté nationale a lancé une série de perquisitions qui lui a permis de saisir un millier d’armes, certaines parmi les plus modernes dont ne disposent ni l’Armée ni la Police, comme les pistolet-mitrailleurs Bergmann et Beretta, dix mille grenades, d’un modèle très original, et deux cent mille cartouches. À la tête de la conspiration, un ingénieur-conseil aux Chantiers de Penhoët, Eugène Deloncle. Ce dernier a recouvert la France d’une vaste organisation calquée sur l’Armée, avec un premier, un deuxième, un troisième et un quatrième bureau et a réparti ses effectifs en divisions, brigades régiments et bataillons.

Eugène Deloncle, de La Cagoule au MSR, Patrice Delhomme, Dualpha, 2021, 358 pages, 31 €

Pour le commander cliquez ici

00:43 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 avril 2021

Pierre Jovanovic : "Comment tous ces gens étaient-ils au courant ?"

image.jpg

12:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lynchage médiatique et racisme anti-blanc

chauvin.jpg

Christian Dalsug

Dans une ville tenue par la gauche, le procès de la police, de l'ordre, des Blancs. Dehors, une foule surexcitée qui exige une peine maximum. Et au-delà de cette foule, dans tout le pays, une presse, des po­liticiens, des organisations qui entre­ tiennent le lynchage en distillant une haine féroce. Voilà le tableau. Et son verdict sans surprise : coupable, trois fois coupable. La ville, c'est Minneapolis, dans le Minnesota. Celui qui est au banc des accusés, c'est Derek Chau­vin, policier au commissariat central. Le 25 mai 2020, à la suite d'une tech­nique de maîtrise corporelle très efficace et enseignée dans toutes les écoles de police, Chauvin constate que l'homme qu'il vient d'arrêter est sans connais­sance. Il mourra durant son transfert à l'hôpital. La victime est noire. Le « tueur » est blanc - forcément. Donc, à l'évidence, crime raciste. Simple fait divers qui enflarnrne l'Amérique pour des mois.

George Floyd,la victime, était tout sauf un père de famille exemplaire, un pieux protestant et un citoyen irréprochable qui aurait été la proie désignée et mal­ heureuse d'une brutalité flicarde et naturellement raciste. Cela, c'est le faux Floyd,le Floyd de la propagande, celui des manœuvres, d'un montage, d'une imposture qui a débouché sur une paro­die de justice. Le vrai Floyd ? Un co­losse de 46 ans pesant plus d'un quintal, un dangereux multirécidiviste, un habitué des vols à main armée et des sé­jours en prison, un individu fiché et connu pour sa régulière consommation de drogues « dures ». Le 25 mai 2020, Chauvin a voulu l'immobiliser. La prise dont il s'est servi exigeait le maintien de son genou sur la nuque du suspect durant plu­ sieurs minutes. Ce fut un geste de trop. En apparence, il provo­qua la mort par asphyxie. En réa­lité,l'organisme de Floyd, délabré par de lourds dommages aux mus­cles cardiaques et respiratoires dus aux stupéfiants, fut incapable de supporter une épreuve prévue pour des individus en pleine possession de leurs moyens.

Ce geste de trop, qui n'est pas un geste de criminel, vaudra peut-être à Chauvin 4 0 ans de prison. Mardi après-midi, les jurés l'on déclaré coupable des trois chefs d'accusation retenus contre lui. Verdict dans deux mois. Son défenseur fera appel : le procès aurait dû se tenir dans une autre ville que celle où eurent lieu les faits incriminés. Et les jurés auraient dû être séquestrés pour leur éviter toute pression venue de l'exté­rieur. Or, des pressions, il y en eut, et d'innombrables. Toutes les officines se réclamant de l'antiracisme se muè­ rent subitement en brûlot d'un racisme anti-blanc. Dans une atmosphère tendue, empoisonnée, cette manœuvrese transforma en chantage : Condamnez lourdement Chauvin ou la rue se sou­lèvera et des villes brûleront. Le sort de l'inculpé était donc fixé bien avant la réunion des jurés. Le simulacre dans ce genre de procès semble désormais le prix àpayer pour les nombreux suc­cès de la subversion qui dicte ses prin­cipes et impose sa loi.

Source : Présent 22/04/2021

11:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

REJET DE L’IVERMECTINE CONTRE LE COVID : À QUOI SERT DONC L’ANSM ?

téléchargement.jpeg

Un communiqué du Mouvement national républicain (MNR) :

Le 31 mars 2021, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament a rejeté une demande de Recommandation Temporaire d’Utilisation pour l’Ivermectine contre la covid 19, estimant que :

« il ne peut être présumé d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’Ivermectine en traitement curatif ou en prévention. »

L’ivermectine est un médicament antiparasitaire connu depuis longtemps, et très peu cher. Son efficacité contre la covid était apparue en mars 2020 dans un EHPAD de Seine-et-Marne, à l’occasion du traitement d’une épidémie de gale. Depuis, dans divers pays, de très nombreuses observations montrent son efficacité, en prévention et à tous les stades de la maladie.

« Pour accorder une RTU, la loi ne prévoit que deux conditions : une présomption d’efficacité et un minimum d’effets indésirables afin d’établir un rapport bénéfice/risque favorable. Or I’ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. » (dr. Gérard Maudrux).

Il est vraisemblable qu’avec ce médicament, l’engorgement des hôpitaux ne serait plus à craindre, et de nombreux morts auraient pu, et pourraient encore être évités.

Au moment où l’activité économique est au point mort, ainsi que le moral de la population, peut-on espérer que les « autorités » sanitaires se montrent moins timorées, (ou peut-être moins corrompues) ?

09:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 21 avril 2021

Bernard Gantois invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Bernard Gantois, auteur de l’ouvrage « Autopsie d´un assassinat – En route pour une dictature mondiale » (Éditions de Chiré), que nous recevons dans cette nouvelle émission « Synthèse » (animée par Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier), nous alerte sur l’urgence de défendre cette liberté essentielle de déplacement individuel, tout autant que collectif.

Plus encore, ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.

Acheter ce livre cliquez ici

828522962.jpeg

23:44 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il serait temps d’avoir une lecture ethnique de la France

tribalat.jpg

En visite dans un quartier sensible de Montpellier, Emmanuel Macron a été interpellé par une habitante sur l’augmentation de la concentration de la population d’origine étrangère sur place. La démographe, MichèleTribalat dresse l’état de la situation.

Michèle Tribalat est une ancienne chercheuse à l’Institut national d’études démographiques (Ined). Elle étudie les questions de l’immigration en France, de l’intégration et de l’assimilation des immigrés et de leurs enfants. Auteur de plusieurs ouvrages salués par la critique, Michèle Tribalat a notamment publié « Les Yeux grands fermés : l’immigration en France » (Denoël, 2010)  et « Statistiques ethniques, une querelle bien française » (Éd. L’Artilleur, 2016).

A lire ICI

11:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vous avez dit sécurité ! Quelle sécurité ?

macron.jpg

Le billet de Patrick Parment

 Une fois de plus, nos dirigeants se foutent littéralement de notre g… et réduisent la démocratie à son plus petit dénominateur commun. Ce qui explique en grande partie les taux d’abstentions records aux élections quelles qu’elles soient.  De quoi s’agit-il ? Tout simplement de la bouglionesque prestation d’Emmanuel Macron en matière de sécurité. A l’image d’un Sarkozy – il n’est pas plus grand, 1m10 et 3 de tension – Macron veut nous montrer qu’il a du muscle. Cette pantomime, tous, de droite à gauche, nous l’ont déjà faite et notamment les ministres de l’Intérieur de Pasqua à Sarkozy en passant par l’Espagnol « qui n’a pas une goutte de sang français », Manuel Valls.

On n’a jamais vraiment su si Macron était de gauche ou de droite pour la bonne raison que sur le fond, il n’est rien. Mais en bon énarque qu’il est, le calcul est très simple concernant sa prochaine candidature, elle se jouera à droite, la gauche ayant quasiment disparu du paysage. Elle est en pleine dérive, au point, et là on se marre franchement, que l’insoumis de mes fesses, Jean-Luc Mélenchon déclare qu’il se sent « Maghrébin européen ». Il a dû trop fumer de pétard dans son périple sud-américain. Car en matière de classification des races, on ne sait toujours pas à quoi cette espèce correspond. Mais à l’heure des transgenres et des manipulations génétiques, une nouvelle race est peut-être née, le gaucho-méchancon-sapiens !

Mais revenons au camarade Macron et à ses biceps. Inutile d’être Madame Soleil pour savoir que si tout doit se jouer à droite, il suffit alors d’en épouser les grands thèmes : l’immigration et la sécurité. Ca mange pas de pain et ça peut rapporter gros… Sauf que… Sauf que ce scénar, on nous le fait à chaque élection et ça donne quoi ? Sarkozy a purement et simplement supprimé plus de 10 000 policiers et gendarmes de la carte du pas-tendre-du-tout et que depuis quatre ans qu’il est aux manettes, le Sieur Macron a vu la délinquance et l’insécurité exploser sous son nez. On ouvre à peine un journal que les meurtres d’individus de races bien déterminées nous sautent aux yeux : Maghrébins, Pakistanais, Subsahariens Tchetchènes, Tsiganes roumains, j’en passe et des meilleurs.

Il y a même une justice qui se réfugie derrière la maladie mentale pour absoudre certains d’entre eux qui s’avèreront de joyeux récidivistes. Quant aux expulsions, on frise la rigolade. Les sacro-saintes lois démocratiques permettent à de savants avocats d’effectuer des tours de passe-passe devant des magistrats qui ne demandent qu’à se faire enfumés. Nos amis les pandores ne cessent d’ailleurs de se plaindre de leur laxisme. Au risque de figurer sur le « mur des cons » érigé par le sacro-saint Syndicat de la magistrature.

Alors Macron, me direz-vous ? De l’esbroufe mon cher  Watson. Car il suffit d’interroger des juristes sérieux pour qu’ils vous répondent franchement que les lois pour lutter aussi bien contre la délinquance que l’immigration clandestine sont là et qu’il suffit de les appliquer. C’est franchement pas plus compliqué que ça. Le vrai problème est donc que l’Etat est incapable de faire appliquer les lois qu’il fait voter. Et c’est bien là que ça devient surréaliste.

Sauf que la réalité demeure, les Français en ont ras-le-bol qu’on leur marche sur les pieds, que des ministres au lieu de combattre l’islam politique se rendent dans des mosquées qui n’auraient jamais dû voir le jour, dès qu’un moindre tag « raciste » y est apposé. Marre qu’une classe politique se couche devant la pression qu’exercent les islamistes sur nos institutions, et l’école notamment. Les Français veulent que règnent les lois françaises dans leur pays et mieux encore qu’on les applique. Au lieu de cela , tout un chacun a bel et bien le sentiment que nous sommes devant des pouvoirs faibles et incapables de réagir face aux multiples agressions dont les Français font les frais dans leur quotidien. Un pouvoir fort n’est pas incompatible avec une démocratie digne de ce nom. Car nos démocraties ont le droit de se défendre face à ceux qui refusent ses règles du jeu. Encore faut-il s’en donner les moyens.

08:42 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 avril 2021

Entrevue avec l'avocat Reiner Fuellmich

Nuremberg 2.0, les procès COVID.

69481185jpg.jpeg

18:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |