lundi, 29 mars 2021
Le meilleur des mondes de Jacinda Ardern
Georges Feltin-Tracol
Bien que située aux antipodes d’un Occident plus que jamais porteur de son propre déclin, la Nouvelle-Zélande préfigure certainement l’avenir édifiant souhaité par l’idéologie globalitaire.
Ce cauchemar en cours prend les traits avenants du Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern. Née en juillet 1980, elle gouverne l’archipel austral depuis octobre 2017. La grasse presse officielle aux ordres de l’hyper-classe considère déjà la responsable travailliste comme l’une des personnalités les plus influentes au monde. Elle la compare à Angela Merkel. Élevée dans une famille mormone, la jeune Jacinda abandonne la foi familiale pour l’incroyance quand elle apprend que l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours n’approuve pas l’homosexualité. Elle a toujours montré de la sympathie pour l’idéologie LGBTQXYZ etc. Trois membres de son second gouvernement appartiennent d’ailleurs à des minorités sexuelles. Cette féministe engagée a un compagnon, le géniteur de leur fille, qui joue maintenant au père au foyer modèle.
Ouvertement cosmopolite et multiculturaliste, Jacinda Ardern soutient en septembre 2019 aux côtés des dirigeants des Fidji, de l’Islande, de la Norvège et du Costa Rica (des poids hyper-lourds de la scène internationale) un accord sur le changement climatique, le commerce mondial et la « durabilité » ou comment obtenir sans trop de dégâts le beurre, l’argent du beurre, voire le sourire de la crémière…
En Nouvelle-Zélande, il est habituel que les membres du gouvernement exercent plusieurs fonctions ministérielles à la fois. L’équipe de Jacinda Ardern ne déroge pas à la règle. Tout en étant « Première ministresse » (féminise-t-on ou pas les titres ?), elle occupe les ministères de la Sécurité nationale et du Renseignement, de la Réduction de la pauvreté infantile, des Services ministériels ainsi que duministère associé à la Culture, à l’Héritage et au Patrimoine. Suite à la fusillade dans la mosquée de Christchurch en mars 2019, elle a fait interdire la vente et la détention de fusils d’assaut et d’armes semi-automatiques. Elle a aussi limité la liberté d’expression sur Internet. Cette limitation ne concerne bien sûr qu’un segment particulier de l’opinion publique, celui qui s’oppose à la mondialisation. Elle n’hésite pas à soumettre l’auteur de l’attaque anti-musulmane à des tortures psychologiques propres au sadisme anglo-saxon : on l’empêche de lire la presse, d’écouter la radio et de regarder la télévision en cellule. Il n’a même pas le droit de visite ! Est-il ainsi exclu du champ de l’humanité ? Pourquoi un violeur d’enfants, un trafiquant de drogue, un tueur de personnes âgées ne subissent-ils pas ce même traitement dégradant profondément discriminatoire ?
Ce triste cas de détention se multiplie avec la pandémie de covid-19. Jacinda Ardern s’est tellement surpassée dans l’actuelle crise sanitaire qu’elle peut prétendre au prestigieux Prix Guantanamo de l’assignation à résidence. Malgré son insularité, la Nouvelle-Zélande connaît des périodes répétées, plus ou moins longues, de confinement. Outre le transport aérien, un passeport vaccinal nommé « certificat de santé numérique » disponible sur une application est obligatoire pour prendre le bus, letrain ou le taxi. Le patron du Forum de Davos, Klaus Schwab, en rêve ; Jacinda Ardern le fait !
Bien entendu, grands benêts devant l’Éternel, les électeurs néo-zélandais ont reconduit le Parti travailliste, donc Jacinda Ardern, au pouvoir avec une étonnante majorité absolue en octobre 2020. Il faut reconnaître que l’ensemble du système médiatique local n’a pas mégoté son aide quasi-officielleà la nouvelle diva intercontinentale de la sociale-démocratie épuisée.
Si son chef du gouvernement cache mal son républicanisme, la Nouvelle-Zélande demeure une monarchie dont le souverain n’est autre que la reine Elizabeth II. Jacinda Ardern pourrait néanmoins renoncer à son idéal républicain dans une perspective cosmopolite plus dévastatrice encore. Qu’Auckland se sépare du palais de Buckingham tout en restant une royauté et l’actuelle « Première ministresse » placerait alors sur le nouveau trône un couple de prolétaires réfugiés en Californie : Meghan Markle et Henry Mountbatten-Windsor.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°207, mise en ligne sur TVLibertés, le 23 mars 2021.
Europe Maxima cliquez ici
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Un référendum sur l'immigration
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Péril victimaire
Laurence de Charette
En être, ou pas : voici pour la gauche l’heure des choix. Etre « woke », « intersectonnel » et « décolonial » ou bien du côté des « dominants », du « patriarcat » et du « privilège blanc » ? Choisissez votre camp ! En justifiant l’organisation de réunions « non mixtes », desquelles les « personnes non racisées (les Blancs) sont bannies, l’Unef avait la semaine dernière semé le trouble et la division au sein des partis parrains du syndicat étudiant. En invitant, ce week-end, les Blancs à « se taire » s’ils venaient à s’immiscer dans de telles réunions, Audrey Pulvar a jeté une bombe à fragmentation parmi les siens.
Fi des belles leçons de République d’Anne Hidalgo aux Verts! Voilà que l’une de ses proches, poussée par elle aux régionales, s’en prend au « vivre ensemble » républicain. À bas les grandes réflexions d’Olivier Faure, patron du PS, contre la légitimation du concept de race ! La candidate officielle de son parti en Île-de-France vient précisément de s’engouffrer sur ce terrain... Pour défendre l’indéfendable, les Verts et les Insoumis ont tenté une argutie : on ne parlait pas vraiment, avancent-il, de « réunions » mais plutôt de « groupes de parole » (groupes pour ceux qui souffrent, évidemment, de l’oppression des dominants de tous poils). On reconnaît là la rhétorique victimaire si volontiers convoquée pour justifier toutes sortes de dérives !
Le regain de polémiques et la multiplication de déclarations alambiquées qui ont émaillé le week-end ont au moins un mérite : celui de souligner combien les deux courants qui tra- versent aujourd’hui la gauche ne sont pas conciliables : quelles que soient les circonlocutions des uns et des autres, l’universalis- me ne peut s’accommoder des nouvelles théories racialistes et de leur pot-pourri de pseudo-discriminations nourries au miel de l’« infinie culpabilité des Blancs » (d’Iribarne)... Pourra-t-il même leur survivre? Chaque jour qui passe nous montre la force de frappe de ces luttes de rechange. Par cette mystification du réel qui les caractérise, elles font du Blanc un coupable par nature et de la laïcité une expres- sion de l’islamophobie... Est-il encore temps de contrer la course folle de ces idéologies totalitaires et mortifères qui ont déjà perverti l’université ? Il faut l’espérer. Il est urgent de s’yatteler.
Source : Le Figaro 29/03/2021
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dimanche, 28 mars 2021
À PROPOS DES CALOMNIES MÉDIATIQUES CONTRE TERRE & PEUPLE...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
En lisant le communiqué de presse de Terre & peuple cliquez ici (publié suite aux calomnies honteuses véhiculées par la chaine France 2 et dont cette organisation est la victime) une anecdote me revient à l'esprit...
C'était il y a une vingtaine d'années. Un soir de décembre, étant dans Paris en voiture, j'apprend par la radio que l'église St Nicolas du Chardonnet, haut-lieu de la Tradition catholique, était occupée par une bande de sans-papiers encadrée par des nervis gauchistes.
Bien que je ne sois pas ce que l'on peut appeler un fervent paroissien, pour moi pas d'hésitation : direction "St Nic". Il ne faut pas laisser les intrus saccager impunément un tel endroit. Ce d'autant plus que l'abbé Beauvais, son curé d'alors, n'hésitait jamais à se mouiller pour défendre les patriotes, quels qu'ils soient, lorsque ceux-ci étaient menacés par les tenants de l'idéologie dominante.
Arrivé à proximité, je croise une troupe de solides gaillards qui visiblement se rendaient, eux aussi, à St Nicolas animés, comme moi, par la ferme intention de défendre l'église. Et quelle ne fut pas mon heureuse surprise en m'apercevant que ce groupe n'était autre que celui des militants de la bannière francilienne de Terre & peuple. Passant au-dessus de leurs différences spirituelles, ceux-ci avaient spontanément décidé de venir aider les jeunes catholiques déjà sur place.
Finalement, une foule importante s'était rassemblée ce soir là sur le parvis de l'église. Les gauchistes et les sans-papiers, qui ne s'attendaient visiblement pas à une telle mobilisation, ont été évacués comme des minables par les forces de police présentes, elles-aussi, en nombre.
Nous sommes donc à cent lieux des élucubrations des scénaristes de France 2 qui cherchent à faire passer T&P pour une vulgaire horde de racailles. Les bobos et les crétins (se sont souvent les mêmes) qui se laissent avoir par leurs balivernes anti-fascistes feraient mieux de méditer sur l'efficacité de cette saine réaction nationaliste et identitaire plutôt que de perdre leur temps à se lamenter après chaque attentat islamiste ou à regarder des navets comme "Les rivières pourpres" qui ne sont que le reflet des fantasmes et des névroses d'une extrême gauche vieillissante en mal de frissons...
À chaque fois qu'ils sont menacés, les nationalistes et les identitaires doivent réagir, comme ce soir-là, par une riposte unitaire. Ainsi, en tout cas, est la volonté de Synthèse nationale...
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UNE AGRESSION ABJECTE CONTRE TERRE & PEUPLE !
Un communiqué de Terre & peuple
Les fous furieux qui font la chasse aux sorcières contre les identitaires ont choisi une nouvelle cible : Terre & Peuple. Ils vouent à l’évidence une haine rabique à notre mouvement et ils ont orchestré une agression lors d’une série télévisée diffusée sur France 2, totalement débile, intitulée « Les rivières pourpres », où s’étalent leur perversité et leur inculture dans les épisodes intitulés « XXY ».
Perversité : Terre & Peuple est accusé d’avoir incendié deux églises (alors que nous avons toujours dénoncé les agressions contre les églises - dont les auteurs n’ont curieusement jamais été identifiés - et en particulier l’incendie de Notre-Dame, comme un crime contre notre mémoire). De plus Terre & Peuple est présenté comme étant animé par des malades mentaux, se livrant à des activités criminelles.
Inculture : l’emblème de Terre & Peuple, l’edelweiss, serait, parait-il, « nazi ». Or l’edelweiss n’a aucune signification politique et fait partie de l’iconographie classique des montagnards dans divers pays. En effet cette fleur des cimes, difficile à approcher, symbolise l’étoile polaire, guide et repère des alpinistes. Elle exprime le goût de l’effort, du dépassement et, pour l’atteindre, la nécessaire solidarité des membres d’une même cordée. Sa blancheur est signe de noblesse, de pureté, d’élévation. Elle est la récompense de celles et de ceux qui cultivent le dépassement de soi.
Mais cette notion semble totalement étrangère aux auteurs de cette malheureuse série qui se complaisent à trainer dans la boue des femmes et des hommes libres, fiers d’exprimer leur culture et gardiens d’une longue mémoire.
France 2, en fidèle suppôt du système a bien dirigé l’orchestre !
Site de Terre & peuple cliquez ici
NDLR : Synthèse nationale apporte son soutien total à Terre & peuple et à son président Pierre Vial face à cette odieuse mascarade médiatique dont ils sont victimes.
Une fois de plus, le pouvoir macronien nous montre sa vraie nature, à savoir l'hypocrisie totalitaire. D'un côté ses tenants critiquent les régimes classés arbitrairement dans le "camp du mal" et, de l'autre, ils utilisent sournoisement les mêmes méthodes : ils calomnient aujourd'hui l'opposition nationaliste identitaire comme ils faisaient tirer hier sur les Gilets jaunes.
Le "en même temps" atteint ses limites...
17:26 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Entre l’inflation et la banqueroute, les États choisiront l’inflation
Marc Rousset
Le sentiment qui a prévalu, vendredi, aux États-Unis, c’est que les vaccins finiront par gagner la partie. Les deux problèmes présents dans tous les esprits, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, ce sont l’inflation à venir et l’endettement astronomique des États, avec des hypothèses sur l’évolution des taux d’intérêt nominaux et réels.
La dette publique s’est envolée en France, en 2020, de 270 milliards d’euros pour atteindre, fin 2020, 2.650 milliards, soit 115,7 % du PIB, et le déficit s’est creusé à 9,2 %, soit son niveau le plus élevé depuis 1949. En 2021, le gouvernement prévoit de ramener le déficit public à 8,5 % du PIB, tandis que la dette devrait continuer à augmenter pour approcher les 3.000 milliards d’euros, soit plus de 122 % du PIB. En 2030, elle pourrait atteindre 133 % et, en 2045, 150 % du PIB. Les taux d’intérêt vont certainement remonter ; la question est de savoir s’ils vont augmenter plus vite ou moins vite que l’inflation.
L’environnement est malsain car le moindre cygne noir peut faire basculer à tout moment les hypothèses les plus optimistes. La Cour de Karlsruhe, qui peut interdire à la Bundesbank de participer aux rachats d’actifs de la BCE, vient de suspendre la ratification du plan de relance de 750 milliards d’euros de l’Union européenne, pourtant très inférieur aux 1.900 milliards de dollars de Biden aux États-Unis. Il faut espérer que ce sera beaucoup de bruit pour rien, comme en mai 2020. De plus, le 11 mars, un groupe de seize personnes a déposé une nouvelle plainte auprès de la Cour de Karlsruhe contre le plan anticipé de rachat d’actifs de 1.850 milliards d’euros par la BCE.
Si l’optimisme règne aux États-Unis, c’est aussi parce que Biden prévoit un plan supplémentaire, rien que pour les infrastructures, bien supérieur aux 2.000 milliards de dollars évoqués pendant sa campagne. L’enveloppe pourrait s’élever à 4.000 milliards, les besoins d’investissements en infrastructures dans les secteurs privés et publics étant estimés à 6.000 milliards de dollars dans les dix prochaines années. Ce nouveau plan devrait être financé par l’augmentation d’impôts sur les bénéfices des entreprises, sur les revenus annuels, les héritages et les plus-values des particuliers, et par une majoration de la taxe sur l’essence. Si l’on tient compte de l’effet multiplicateur sur la demande des investissements, cela devrait relancer l’inflation aux États-Unis.
L’argent du plan Biden de 1.900 milliards arrive directement chez les particuliers qui vont s’empresser de consommer dans les magasins Il ne va pas partir dans la trappe de liquidités comme l’argent créé par la Fed. Il peut donc y avoir bientôt surchauffe et inflation aux États-Unis, et la Fed n’interviendra pas en augmentant les taux d’intérêt pour ne pas mettre le gouvernement en faillite. Elle préférera spolier les épargnants avec l’inflation. Ce n’est que si le taux d’inflation devait être très élevé que la Fed augmenterait ou laisserait augmenter les taux d’intérêt sans intervenir sur les marchés. Quant à Christine Lagarde, compte tenu de la situation économique moins brillante en Europe, elle laissera filer le peu d’inflation qui risque d’apparaître. Dans l’immédiat, il ne devrait pas y avoir de forts dérapages inflationnistes ; ce n’est qu’en 2022 que des problèmes sérieux pourront se poser, suite à la masse énorme de monnaie créée artificiellement depuis 2008.
Pour résoudre le problème des dettes, schématiquement, il faudrait soit une inflation de 5 % par an pendant dix ans non compensée par une hausse des taux d’intérêt, soit l’éclatement de la zone euro avec retour à la monnaie commune qui permettrait aux pays européens en banqueroute de pratiquer deux ou trois dévaluations de 20 % de leur monnaie nationale sur une brève période de deux à trois ans, ce qui aurait pour effet, dans les deux cas, de réduire de moitié le poids de la dette. Les taux d’inflation s’élèveraient alors à 20 % par an dans la deuxième hypothèse.
Le moment critique entre les deux voies à prendre sera un bras de fer entre l’Europe du Sud et celle du Nord en avril-mai 2022, le plan de rachat d’actifs PEPP par la BCE se terminant en mars 2022. Dans ces conditions, posséder aujourd’hui, pour un particulier, de l’or ou des biens réels semble un pari gagnant à terme.
15:21 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mardi 30 mars : conférence sur la Commune de Paris avec l'Académie Europe de Gabriele Adinolfi
Mardi 30 mars à 18 h cliquez ici
12:34 Publié dans Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Parti de la France a réuni son Bureau politique
Communiqué du PdF :
Confinement oblige, le Bureau politique du Parti de la France s’est réuni virtuellement ce samedi 27 mars par visioconférence.
Une vingtaine de cadres de notre instance de direction avaient répondu à l’appel de Thomas Joly, Président du Parti, et c’est dans une ambiance studieuse que s’est déroulée cette séance de travail.
À l’ordre du jour - outre les questions administratives et financières - la préparation des élections à venir.
Pour les élections régionales, qu’elles aient lieu en juin prochain ou qu’elles soient une nouvelle fois repoussées, le PdF, faute de moyens financiers ne sera pas en mesure de présenter de listes. Notre position de participation ou de soutien à telle ou telle liste sera prise au cas par cas. Pour les Départementales, le PdF sera, en revanche, présent dans un certain nombre de cantons dans toute la France pour défendre à la fois nos terroirs et les convictions de la vraie droite nationale.
La question de l’élection présidentielle a été longuement abordée et a donné lieu à un tour de table. Toutes les options - à l’exception de celle d’une candidature issue de nos rangs qui, en l’état, est inenvisageable et ne relèverait que d’un effet d’annonce ridicule - ont été envisagées, sans a priori ni tabous. Les décisions seront prises ultérieurement, en tenant compte des déclarations de candidatures, des projets et de ce que sera la réalité politique telle qu’elle se dessinera dans les prochains mois.
Les Législatives qui suivront de peu la Présidentielle constituent, quant à elles, un objectif majeur pour le PdF. Un groupe de travail a été d’ores et déjà mis en place pour les préparer.
Enfin, une Législative partielle se dessinant - sauf si les contraintes sanitaires et les manœuvres gouvernementales l’interdisent - dans la circonscription laissée vacante à Beauvais par la disparition d’Olivier Dassault, le PdF y présentera la candidature de son Président, Thomas Joly, ancien Conseiller régional de Picardie, depuis longtemps très implanté dans ce secteur du département de l’Oise et surtout habitant cette circonscription.
Site du PdF cliquez ici
12:29 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Eric Zemmour : « Comme Michel Onfray, cela fait des années que je dis que l’on va vers la guerre civile »
Eric Zemmour : « Comme Michel Onfray, cela fait des années que je dis que l’on va vers la guerre civile ». Excellent débat vendredi 26 mars sur Cnews entre Éric Zemmour et Michel Onfray sur la décadence française.
Source Breizh info cliquez ici
12:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 27 mars 2021
Ce que disent les « violences des jeunes »
Alain Sanders
Verdun, Aulnay, Bobigny, Argenteuil, Dijon, Nîmes, Reims, Nantes, Rennes, Tours, Montargis, Blois, Lyon et ses zones de non-droit, Marseille et ses zones de non-France, déjà certains arrondissements de Paris, etc.: il n'est désormais guère de villes de France qui ne soient le théâtre - et parfois quotidiennement - de ce que les médias, qui pratiquent la langue de B(l)ois, appellent des « violences de jeunes ».
Récemment, et à propos de Blois justement, Présent titrait plus précisément sur les « violences ethniques ». C'est exactement de cela qu'il s'agit. A une écrasante majorité - et les policiers, et les médias, et les politiques le savent parfaitement, mais se taisent (par crainte d'être montrés du doigt ou par idéologie complice) - ces violences de plus en plus violentes (on tue désormais) sont le fait de « jeunes » issus de l'immigration. Et pas de l'immigration finlandaise, uruguayenne, népalaise,mais maghrébine et subsa harienne. Si on ne dit pas ça, on ne dit rien.
Les chaînes d'info continue, qui traitent de ces « incidents » dans les « quartiers sensibles », ne soulignent bien sûr jamais cette surreprésentation extra-européenne. Ce qui ne trompe personne : les images des reportages parlent d'elles-mêmes.
Dernièrement je regardais, sur l'une ou l'autre de ces chaînes, un reportage énamouré sur - je cite - « la brigade des daronnes » de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). A savoir un petit groupe de six ou sept femmes, d'origine maghrébine et africaine, certaines vêtues « comme là-bas, dis », patrouillant pour inviter les « jeunes » du quartier à ne pas traîner, notamment après le couvre-feu. On les verra croiser quatre ou cinq de ces « jeunes » évidemment respectueux des « daronnes » et sages comme des images... Bref, un foutage de gueule à usage de bobos cathodiques... Il n'empêche que l'animateur et ses invités vont s'extasier sur ces «daronnes» (où sont leurs maris ? Mystère...), ne trouvant pas de mots assez forts pour dire leur admiration et patin et couffin...
Naguère, on nous a fait le coup des « GrandsFrères » (et des associations gavées de subventions) qui allaient, wallah, canaliser les « minots ». Non seulement ces « Grands Frères » n'ont rien canalisé, et tout au contraire, mais certains d'entre eux ont utilisé la piétaille des plus jeunes comme choufs, mulets, exécuteurs de basse œuvre.
On interroge un responsable d'association à Garges-lès-Gonesse ? Il est d'origine maghrébine. On interroge un autre responsable d'association à Trappes ? Il est d'origine maghrébine. Un responsable d'association dans les quartiers Nord de Marseille ? Il est d'origine maghrébine. On interroge un travailleur social dans l'Essonne ? Il est d'origine maghrébine. Et celui-là impute sans hésiter les violences au virus : « Il faut comprendre, on interrompt les clips de rap qu'ils tournent d'habitude...».
Sur les plateaux des chaînes d'info continue, les présentateurs, les consultants, les consultés, les experts autoproclamés, la ribambelle de médecins (qu'on préférerait voir à leurs postes et qui squattent les plateaux, donnant péremptoirement leur avis sur tout et le reste), les Bilger, les Dassier, les Zeribi, les Béglé, les Dartigolles, les Philippe Guibert (roi des faux derches), les Barbier, les Duhamel, les Laurence Saillet (la pire de tous), les Domenach, les Douste-Blazy, les Jeudy, etc., se lamentent (« Quel drame cette jeunesse à la dérive », « Ah, c'est bien triste», « Le couvre-feu exacerbe les passions », «Mais quelle solution ? », etc.). Sans jamais nommer le mal. Et en préconisant des trucs vieux comme Hérode (et qui ont sombré dans le ridicule), comme le déploiement de médiateurs et d'éducateurs sociaux (là, va savoir pourquoi, ils n'emploient pas le féminin: médiatrices et éducatrices)...
Ils répètent aussi à l'envi que lorsque les « jeunes » ne s'en prennent pas à la police (et à tout ce qui représente la France et ses institutions), ils tapent la misère aux populations des zones de non-droit, pourtant leurs coreligionnaires et congénères. Ce n'est pas faux. Et ça va désormais plus loin que des voitures incendiées. A Bondy (Seine-Saint-Denis), le 26 février dernier, dans la maison de quartier Nelson-Mandela (tout un programme...), Aymen, 15 ans, est tué par balles. On a arrêté Walid, 17 ans, et son frère, Mohammed, 27 ans. Ce dernier, dealer notoire, a un lourd passé judiciaire, mais si vous interrogez ses voisins, sa sœur, Fatiha, Karim, son oncle, ils vous disent qu'il était « gentil, tranquille, sans histoire»...
Vous n'en avez pas marre de ces « incidents » qui encombrent nos infos et de ces violences qui sont étrangères à notre civilisation et à nos mœurs ? Moi, si.
Source : Présent 25/03/2021
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Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 26 mars 2021
Acharnement judiciaire contre Jacques Bompard, maire d'Orange
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Cette liberté dont on se gargarise
Jean-Gilles Malliarakis
Le 18 mars, le glorieux Conseil supérieur de l'audiovisuel, que le monde nous envie, communiquait à la presse et au monde à propos de la décision qu'il venait de prendre, de sanctionner la chaîne CNews.
Voici le texte de ce document qui n'a peut-être pas reçu la publicité qu'il mérite et que ses rédacteurs attendaient :
"Au terme de la procédure engagée à la suite de propos tenus au cours de l'émission Face à l'info du 29 septembre 2020, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a prononcé ce jour une sanction d'un montant de 200 000 € à l'encontre de la chaîne CNews.
Le Conseil a considéré que la chaîne avait manqué à ses obligations, tant au regard de la loi du 30 septembre 1986 que de sa convention. Quand bien même ces propos ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France et sur la politique d'immigration, ils ont été de nature à inciter à la haine envers les mineurs étrangers isolés, et ont véhiculé de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à leur égard, de nature à encourager des comportements discriminatoires. Par ailleurs, le Conseil a estimé que la maîtrise de l'antenne n'avait pas été assurée, d'autant plus que l'émission a été diffusée en différé et sans modification, ainsi que l'a souligné le comité d'éthique du Groupe Canal + dans son avis rendu le 22 octobre 2020.
De manière générale, la loi du 30 septembre 1986, loi de liberté, affirme et protège la liberté de communication et la liberté éditoriale des médias audiovisuels. Garant de ce principe reconnu par la Constitution, le Conseil supérieur de l'audiovisuel veille scrupuleusement au respect de cette liberté consubstantielle à la démocratie. À cet égard, il est naturel que les débats qui traversent la société trouvent toute leur place dans les médias audiovisuels, y compris sous une forme polémique.
Néanmoins, la loi fixe des limites à l'exercice de cette liberté. Elle exige, en particulier, que les programmes mis à la disposition du public ne contiennent ni incitation à la haine ou à la violence fondée notamment sur les origines, la religion ou la nationalité. Conformément à ses missions, le Conseil ne manquera pas d'intervenir chaque fois que ces limites seront franchies."
Fermez le ban. Fin de citation…
Il s'agissait d'une émission d'Éric Zemmour, l'une des têtes de Turc de l'islamo-gauchisme, ce qui n'apparaît pas dans le texte du communiqué.
S'agit-il d'une décision de "justice", décision que, dans ce cas, on n'aurait pas le droit de commenter, et que le CSA, institution créée par Mitterrand et que Jean Ferré appelait le Contrôle socialiste sur l'audiovisuel, serait habilité à prendre ? Ou faut-il ne voir qu'une décision d'injustice ayant vocation à être effacée en appel ?
L'avenir le dira. Mais ce que l'on doit retenir c'est la volonté de frapper à la caisse, à hauteur de 200 000 euros, le prix d'une gentille maison, une chaîne dont le journaliste vedette déplaît au politiquement correct.
Un tel message parfaitement clair confirme un travail auquel s'est récemment livré votre chroniqueur pour la revue Lectures françaises, à paraître prochainement sur le thème Feue la liberté d'expression.
Peut-être faudra-t-il bientôt défiler en scandant "Nous sommes tous Zemmour", que nous approuvions ou non toutes les déclarations de l'intéressé. Sans doute faudra-t-il se battre pour abolir les lois scélérates qui permettent à des aréopages opaques de quadriller les médias et de tétaniser les journalistes.
En tout cas nous devrons de plus en plus nous méfier de la trilogie républicaine de Liberté, Égalité, Fraternité qui, comme chacun sait est aussi la devise du grand orient de France, taguée sur toutes les prisons
L'Insolent cliquez ici
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TROIS QUESTIONS À JEAN-CLAUDE ROLINAT À PROPOS DE SON LIVRE SUR CHYPRE
Propos recueillis par Basile Tomé
Erdogan a refait parler de lui à l’occasion du financement par la municipalité de la grande mosquée de Strasbourg. Cela vous étonne-t-il ?
Pas du tout, la Turquie islamiste néo-ottomane sous la houlette de l’AKP, le Parti de la justice et du développement, sorte de synthèse entre le nationalisme turc et l’islamisme, développe une politique impérialiste. La Turquie est présente en Syrie pour contenir le Rojava kurde et, de temps en temps, pour combattre les commandos du PKK réfugiés au Kurdistan irakien, sans oublier sa présence en Libye ou elle aide Tripoli à lutter contre l’Armée nationale libyenne du maréchal Haftar, ainsi qu’en Méditerranée orientale où sa marine joue un jeu dangereux. De plus, elle a aidé d’une façon décisive l’Azerbaïdjan à se débarrasser, si je puis dire, partiellement, des Arméniens chrétiens dans le Haut-Karabakh.
Revenons plus particulièrement sur la Méditerranée orientale. Quel est son jeu trouble dans sa revendication des eaux territoriales de la mer Égée et sa présence dans le tiers nord de Chypre qu’elle a érigé en République turque de Chypre du Nord ?
La Turquie est une menace pour la Grèce, et sa candidature à la porte de l’Union européenne est une insulte au droit. En effet, voici un pays qui voudrait adhérer à une association d’États alors qu’elle occupe un tiers de la superficie de l’un de ses membres !
Parlez-nous alors, plus particulièrement de Chypre, objet de votre livre, Chypre l’épine turque dans le talon européen, publié aux éditions des Cimes ?
Vaste île de la Méditerranée, Chypre est au carrefour de toutes les civilisations qui ont émergé dans la région : la Grèce antique, les Croisés, les Musulmans, les Britanniques…Elle se trouve actuellement au centre d’enjeux ethniques, militaires, géopolitiques et civilisationnels importants. Partagée en 1960, - dans la violence-, entre Grecs et Turcs, elle est la cible de l’appétit vorace du néo Sultan qui voudrait ressusciter la puissance impérialiste de la Sublime porte ottomane. En reprenant l’histoire de cette île d’Aphrodite qui a tout pour plaire aux touristes, je tente de présenter d’une façon vivante et sans détour, la problématique d’une crise qui risque, prochainement, d’éclater « à chaud ». Les nouvelles ressources énergétiques sous-marines découvertes entre les côtes grecques, turques, chypriotes et celles des pays du Levant, risquent d’attiser les tensions et les revendications des uns et des autres. Je reviens d’une façon synthétique sur l’histoire récente et animée de la Turquie contemporaine qui soutient à bout de bras la République turque de Chypre du nord (RTCN), un État qui n’est reconnu, et pour cause, que par la seule Turquie.
Chypre, l'épine turc dans le talon européen, Jean-Claude Rolinat, Editions des Cimes, 233 pages, largement illustré de photos couleurs, 20 euros…
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Au loup...
Le billet de Patrick Parment
Deux militants du mouvement royaliste d’Action française ont pénétré dans l’hémicycle du conseil régional d’Occitanie, à Toulouse, dirigé par la socialiste Chantal Delga - dont la succession aux prochaines régionales n’est pas assurée -, en brandissant une simple banderole. Il n’en fallait pas plus pour que tous les sicaires de la classe politique se mettent d’un coup à hurler au loup ! L’occasion était trop belle !
Mais au fait de quel délit majeur se sont rendus coupables nos deux valeureux chevaliers ? Ils ont simplement brandi une banderole sur laquelle on pouvait lire « islamo-gauchistes, traîtres à la France ». Le service d’ordre est intervenu et les pandores ont embarqué les deux intrus.
Une bonne occasion pour la présidente socialo Chantal Delga, fonctionnaire territoriale de profession, de se ridiculiser en beuglant « condamner fermement cette action violente (?) de la part de militants d’extrême droite ». Et d’ajouter qu’elle allait porter plainte. Mais contre quoi ? Brandir une banderole ! Quel acte fascisant en effet ! Et d’ajouter, car le ridicule ne tue pas, « On sent en France qu’il y a un climat très tendu. On est en train de créer une société d’ennemis. Je crois qu’il va y avoir une escalade avant la présidentielle ». Ah bon, mais qui en est responsable ? Certainement pas nos deux brandisseurs de pancarte. Faut pas aller loin pour trouver la réponse !
Là où l’affaire se corse, c’est qu’Emmanuel Macron, notre bien chancelant président, a trouvé bon de s’en mêler, sur l’air de pin-pon-pin-pon : « En envahissant le conseil régional d’Occitanie, l’extrême droite a une nouvelle fois montré son vrai visage : action violente, volonté de bâillonner la démocratie et de diviser les Français » Nos deux chevaliers peuvent être fiers d’avoir bâillonné à eux seuls la démocratie. Le problème, c’est qu’elle est toujours debout et toujours aussi malade ... et pas que du covid-19 !
Il n’en fallait pas plus pour que la cohorte des pleureuses démocratiques y mêlent leur voix de fausset. Le maire de Toulouse, le LR Jean-Luc Moudenc, a condamné « fermement » comme il se doit. Xavier Bertrand – l’assureur du Nord - qui bêle « c’est à la démocratie que ces militants d’extrême droite s’attaquent ». Ou encore le sieur Jean-Luc Mélenchon qui confirme bien sa tendresse pour les islamistes en déclarant : « C’est signé Macron, Darmanin, Schiappa, Olivier Faure et autres chasseurs d’islamo-gauchistes ». Avec Mélencchon, ce qui est bien, c’est qu’il fout tout le monde dans le même sac ! Mais le plus surprenant dans cette affaire, du moins en apparence, c’est la réaction de la mère Marine Le Pen qui a joint sa voix à celle de ceux que l’on pensait être ses ennemis… politiques bien sûr ! Ben non. Elle aussi joue les pleureuses, via son candidat aux régionales sur place, Jean-Paul Garraud, qui a dénoncé cette intrusion « inadmissible ».
Rien de nouveau sous le soleil, me direz-vous. Mais au lieu de chasser les Black Blocs autrement plus violents que nos deux braves militants royalistes, la classe politique montre une fois de plus son immense désarroi face à un Rassemblement national qui ne cesse de confirmer qu’il est bien, avec les abstentionnites, le premier parti de France. De son côté Marine Le Pen confirme une fois de plus qu’elle n’est pas en phase avec sa base militante, autrement plus radicale et qu’incarnait bel et bien, son père, Jean-Marie. Une fois de plus, le grand cocu de l’affaire, le peuple français dont le seul et unique défenseur est bien cette extrême droite que tous ces faux démocrates ne cessent de dénoncer. Et pour cause !
10:39 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 25 mars 2021
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Manger... un sujet très politique !
Le pays de la gastronomie n’échappe pas à la logique consumériste des industriels de l’agroalimentaire qui au nom du profit… nous empoisonnent. Certes, l’Etat et son Office central de répression des fraudes, malgré ses faibles effectifs, tente de faire son boulot. Mais on comprend mal pourquoi – ou plutôt on ne comprend que mieux - les grandes officines de l’agroalimentaire ne sont pas mieux contrôlés. Récemment encore, Lactalis a été sous le feu des projecteurs, le lait qu’il commercialise est dénué des propriétés qui font sa valeur nutritive… au nom de sa conservation et pour éliminer les pertes. Peu de domaines échappent à la fraude, du poisson à la viande en passant par les produits bio. C’est ce que dénonce cet ouvrage salvateur, Manger du faux pour de vrai (Robert Laffont ed.), d’Ingrid Kragl, directrice de l’ONG Foodwatch France. Voici un ouvrage qui devrait ravir Périco Légasse, le journaliste de Marianne ardent défenseur des terroirs et du meilleur de ce que produisent encore nos paysans. Sujet politique disions-nous ! Oui, parce que la bonne santé du peuple passe d’abord par une alimentation saine, malheureusement sacrifié sur l’autel du profit par les satrapes de l’agroalimentaire. Quand ce n’est pas avec la complicité des politiques…
Lire l’article du Parisien ICI
12:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 24 mars 2021
L'émission "Synthèse" avec Thomas Ferrier sur TV Libertés
Thomas Ferrier est un militant européen. Même s’il connaît parfaitement la législation européenne, il n’est pas pour autant un thuriféraire du "machin bruxellois". Sa conception de l’Europe repose plus sur des réalités civilisationnelles que sur des considérations économiques et technocratiques absconses. De plus, passionné par les différents courants idéologiques qui ont traversé notre continent au cours du XXe siècle, il vient de publier une étude intitulée "Fascismes d’Europe" (éditions Synthèse nationale, collection « Idées »). Dans cet entretien avec Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier, il développe son point de vue sur la question européenne.
Pour se procurer "Fascismes d’Europe" : cliquez ici
Pour suivre la chaine du Professeur cliquez là
22:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le colloque de l'Iliade, initialement prévu pour le 10 avril, est reporté au samedi 29 mai prochain
Les mesures gouvernementales restrictives actuellement en place ne nous permettent plus de tenir notre manifestation à la date, initialement prévue, du 10 avril. Ayant anticipé ce contretemps, nous reportons le colloque au samedi 29 mai 2021, aux mêmes horaires et avec le même programme.
Si vous avez déjà acheté votre billet, il reste valable pour cette nouvelle date
VIII° colloque de l'Institut Iliade, samedi 29 mai 2021 de 10h00 à 18h30. Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris.
À la faveur des bouleversements du « Siècle de 14 », les valeurs d’argent ont progressivement subverti les hiérarchies traditionnelles, fondées sur des critères éthiques et la notion de bien commun : sens de l’honneur, courage, exigence d’excellence, amour du beau, respect du sacré, fidélité aux siens et à la patrie. Tout ou presque est devenu marchandise, y compris ce qui n’a pas de prix. Il en résulte pour les peuples une aliénation et une perte d’identité qui prennent des formes multiples : conception de la « vie bonne » remplacée par la consommation frénétique, identités réduites aux marques que l’on porte et aux caprices individuels, disparition des anciens métiers au profit de « bullshit jobs » sans signification, destruction ou effacement de tout ce qui n’a pas d’utilité marchande immédiatement quantifiable : patrimoine, paysages, structures familiales, cultures et nations.
En savoir plus cliquez ici
22:41 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Squat de St Julien des Points : les provocations squatteresques continuent
Un communiqué de la Ligue du Midi
Les squatters de Saint Julien des Points avaient prévu de manifester ce samedi 20 mars à proximité du squat, mais cette fois-ci sur la commune de Ste Cécile d’Andorge située côté Gard, de l’autre côté du pont. Ils avaient battu le rappel de tout leur cousinage du sud de la France jusque dans le Var.
Evidemment comme la Ligue du Midi l’affirmait depuis une dizaine de jours, les antifas-squatters professionnels ne pouvaient pas laisser passer l’aubaine que constitue à l’entrée de la commune l’ancien hôtel « chez Vivi » qui est symétrique à « l’Hôtel des Cévennes ».
La Ligue du Midi, très à l’aise dans son rôle de lanceur d’alerte avait mis tous les acteurs devant leurs responsabilités. Aussi c’est sans surprise que nous avons appris qu’à la première heure, samedi matin, une vingtaine d’ouvriers, -mandatés par le maire Pépin de Ste Cécile-, a muré à l’aide de mortier et parpaings les 25 ouvertures de l’hôtel en déshérence.
Evidemment tout cela a un coût… il est estimé à 15 000 euros auxquels il convient d’ajouter le cordon de gendarmes mobiles qui ont attendu sagement que le ciment fasse sa prise. Aux dernières nouvelles il semblerait que la mairie ait pu trouver une solution qui évitera à la commune de supporter cette dépense. En tous cas, ce n’est pas la préoccupation des fainéants-crasseux qui se soucient des finances publiques comme de leur premier pétard.
Enjambant les clôtures, pénétrant dans les jardins, faisant fi de la propriété privée, les squatters n’ont pas tardé (comme d‘habitude) à se faire détester jusqu’à ce qu’ils tombent face à une troupe de gens du cru qui effectuaient une ronde destinée à empêcher les chapardages et les incursions dans les écuries. L’échange fut bref, mais musclé ce qui prouve que dans les Cévennes on sait encore pratiquer la distribution de « marrons ». Les plus impertinents des paysans ont même oser affirmer que la traversée du ruisseau de l’Andorge restera dans les mémoires, comparable au passage de la Bérézina
Comme l’a dit un vieux cévenol, témoin attentif de cet échange, « les plus courageux qui, au lieu de rester bien au chaud à l’abri des gendarmes (*) ont tenté de rejoindre leur squat y ont laissé leur nez, leurs arcades et même leurs c…s mais surtout leur dignité. »
La Ligue du Midi met en garde les autorités contre tout laxisme vis-à-vis des squatters qui ont pour objectif final la constitution au confluent des départements de la Lozère et du Gard d’une Zone A Défendre (ZAD) dans le style de Notre-Dame des landes. Si une telle abomination devait advenir on peut être assurés que la Ligue du Midi, assumerait sa part de défense, sur le terrain, de cette terre des Cévennes.
La Ligue profite de ce communiqué pour préciser qu’en raison de la tenue le samedi 20 mars d’une séance de formation à Montpellier, elle n’a pas contribué à la « Bérézina » des crasseux, mais qu’elle le regrette vivement.
Certains journalistes relayent sans les vérifier des énormités telles que : « les squatters pratiquent « la propriété d’usage » ou bien « nous voulons remettre les lieux en état de propreté » (**)… Avant de diffuser de telles sottises, ils feraient bien de se rapprocher de nos porte-paroles afin de vérifier l’information à la source. Pour l’instant on notera, que cette parole est réservée à 100% aux milices d’ultra-gauche.
Notes
(*) Les anarchistes, contrairement à ce qu’on pourrait penser adorent les gendarmes et l’Etat surtout quand ils chouinent
(**) Pour vous donner une idée de l’état des lieux après le passage des crasseux, voir les photos après leur départ du barrage de Sivens.
La Ligue du Midi cliquez ici
22:31 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le nouveau numéro de Réfléchir et Agir est sorti
22:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vincent Vauclin (MND) invité sur Radio Courtoisie samedi 27 mars
20:42 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Foutu virus !
Le billet de Patrick Parment
On a beau allez de confinement en couvre-feu, ce foutu virus ne semble pas devoir reculer. Il crée même le désarroi au sein des gouvernements. Et notre plus grand handicap dans cette affaire est que les Européens n’arrivent pas à élaborer une stratégie commune. L’Italie enchaîne les confinements. L’Espagne relâche la pression dans ses régions majeures comme Madrid ou la Catalogne, faute de pouvoir indemniser ses commerçants et restaurateurs. Angela Merkel met son pays sous cloche pour les fêtes de Pâques. La Suède continue son voyage solitaire en ne confinant pas, faisant simplement appel à la discipline de ses concitoyens. Au Royaume-Uni, on vaccine à tour de bras.
En France, le gouvernement nous fait surtout part de ses hésitations disant tout et le contraire de tout et au final n’importe quoi. Macron, qui tient compte du ras-le-bol ambiant, nous confine sans confiner. Jean Castex, à la rigolade générale, invite les Français à sortir mais surtout à n’inviter personne chez eux. Car la contamination, on le sait, se fait en espace clos. Mais les écoles restent ouvertes. On interdit les déplacements interrégionaux, mais les TGV sont bondés permettant du virus de se balader itou.
Et puis et puis il y a les suspicions concernant le vaccin AstraZeneca. Les témoignages contre ce vaccin, en raison de ses trop nombreux effets secondaires, affluent de toute part. Comme par hasard l’Europe vient de confirmer son « efficacité », un peu rapidement à mon goût, et cela respire le travail des lobbies et les enjeux économiques en cause dans cette affaire. Si Pfizer et Moderna semblent – a priori – efficaces, il en va de même semble-t-il avec le Spoutnik-V russe. Mais pour des raisons politiques, l’Europe, à la botte de Washington, ne semble pas pressée de l’homologuer tant elle souscrit à la guerre que mènent les Américains contre la Chine et la Russie. Joe Bidet ne vient-il pas de traiter Vladimir Poutine de « tueur » ! Passant ainsi sous silence les catastrophiques interventions militaires américaines qui ont fait la ruine des pays concernés tels l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie. Combien de morts, mister Joe Bidet ?
Enfin, mon scepticisme est grand, dans la mesure où l’on sait qu’élaborer un vaccin demande des années de recherches et d’études et que malgré les sommes englouties depuis des décennies on n’a toujours pas trouvé un remède au sida. En attendant, on a toujours cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes avec ce foutu virus. Car on ne sait toujours pas quel est l’impact réel des différents vaccins sur son recul, si recul il y a. Si l’on part du principe que les vaccins – hormis l’AstraZeneca – ne peuvent pas nous faire plus de mal qu’un vaccin contre la grippe, allons-y, même à reculons. Mais on peut se dire aussi que « les autres » étant vaccinés, inutile d’aller à l’abattoir.
13:37 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 23 mars 2021
Nouvelle barbarie
Laurence de Charette
Rixes mortelles, batailles armées, passages à tabac sanglants, professeurs attaqués… La simple chronique de l’activité policière ne laisse aujourd’hui plus de place aux discours euphémisants qui nous tiennent lieu de cache-sexe depuis tant d’années. Quoi qu’en dise le garde des Sceaux, la violence des mineurs a franchi un seuil que les professionnels décrivent avec la triste précision des témoins de terrain. Après le meurtre d’Alisha, après le lynchage du jeune Yuriy, après les nuits d’émeutes urbaines à Blois, après, après... Ils font un triple et terrible constat.
D’abord, la violence gangrène des adolescents de plus en plus jeunes, elle s’enracine dès la sortie de l’enfance et souvent avant. Rien, ensuite, ne semble à même de l’endiguer : elle a, en réalité, changé de nature. Confrontés à des agresseurs dénués de culpabilité ou d’empathie envers les victimes, dépourvus de cette ultime limite intérieure qui seule peut retenir le bras de celui qui ne s’inscrit plus dans l’ordre de la loi, les éducateurs, à court de mots, ne parlent plus de «violence », mais d’« ultraviolence ». Cette nouvelle barbarie qui s’est engouffrée dans l’effondrement de toute notion d’autorité et la faillite de nos politiques d’intégration constitue, sans nul doute, l’un des phénomènes sociaux les plus inquiétants de notre temps.
Enfin, elle fait l’objet d’une incompréhensible impunité ! Le Parlement vient d’adopter une énième réforme de la justice des mineurs, cette justice hérités d’autres temps, tellement attachée à l’excuse et si peu à la sanction, dont le laxisme est aujourd’hui largement instrumentalisé par les mineurs et les réseaux qui les utilisent. Il faudrait en espérer quelques progrès…
Car il n’est plus possible d’ignorer – sous peine de les voir s’étendre rapidement - les ravages de cette délinquance protéiforme qui fertilise le terreau de la radicalisation et déstabilise l’école, désormais soumise, comme toute la société, à ses attaques mortifères. Inutile de nous bercer d’illusions : la bataille n’est pas gagnée, tant sont nombreux et profonds les aveuglements et les renoncements qui la précèdent.
Illustration : dessin de Konk
Source : Le Figaro 23/3/2021
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Les variations de la Ligue
Georges Feltin-Tracol
Il faut revenir sur le soutien officiel qu’apporte la Lega de Matteo Salvini au gouvernement de Mario Draghi. On ne doit cependant pas oublier que la vie politique italienne riche en exemples transformistes (le passage d’élus d’un camp à un autre) s’apparente à une comedia dell’artepermanente.
Malgré l’impulsion dans un sens national-souverainiste donné par le secrétaire fédéral Salvini, la Legademeure foncièrement un mouvement fédéraliste qui garde en son sein des tendances composites. Avant de devenir le chantre de la cause du Pô, Umberto Bossi était proche de l’extrême gauche. Sa rencontre avec les autonomistes francophones du Val d’Aoste, par ailleurs disciples du philosophe suisse Denis de Rougemont, l’ancien non-conformiste des années 30, est cruciale dans son itinérairepolitique. Quant à Salvini, le journal Le Monde a naguère publié une photographie de lui, jeune élu au conseil municipal de Milan portant à la boutonnière une épinglette du drapeau basque et une autre à l’effigie du Che Guevara. Matteo Salvini animait alors une faction « Communistes pour la Padanie ». Ce groupe cohabitait à l’intérieur de la Ligue du Nord avec des tendances libertariennes ou néo-celtiques paganisantes.
En décembre 1989, la Ligue du Nord naît de l’accord conclu entre des formations autonomistes, régionalistes, voire indépendantistes : les puissantes Ligues lombarde et vénète s’allient à Piémont autonomiste, à l’Union ligure, à l’Alliance toscane et à la Ligue d’Émilie – Romagne. Le discours officiel de la Ligue va alors varier au gré des circonstances politico-électorales. Tantôt elle prône la sécession de la Padanie, tantôt elle envisage une république fédérale constituée d’une Italie méridionale ouverte à la Méditerranée, d’une Italie centrale orientée par Rome et d’une Haute-Italie plus tournée vers les mondes alpin et danubien (les Habsbourg ont régné de 1815 à 1859 sur la Lombardie et jusqu’en 1866 sur la Vénétie).
On retrouve ces fluctuations politiques au Parlement européen. De 1989 à 1994, les euro-députés liguistes siègent dans le groupe écologiste – fédéraliste « Arc-en-ciel » aux côtés de la Volksunieflamande et des nationalistes de gauche écossais. La Ligue soutient en 1994 l’euro et entre au groupe centriste des libéraux, démocrates et réformateurs en compagnie de l’UDF de Valéry Giscard d’Estaing. En 1999, la Ligue participe avec le FN, le Vlaams Blok et les libertaires italiens au Groupe technique des indépendants que la Cour de justice de l’Union européenne invalide en 2001. En 2004, les liguistes adhèrent à « Indépendance et Démocratie » avec Philippe De Villiers, l’UKIP et les calvinistes fondamentalistes néerlandais. Les élus de la Ligue rejoignent ensuite successivement l’« Union pour l’Europe des Nations » (avec le RPF de Charles Pasqua et le PiS polonais), puis « Europe de la Liberté et de la Démocratie » (avec le LAOS national-conservateur grec). En 2015, la Legas’associe avec le FPÖ autrichien et le FN dans le cadre d’« Europe des Nations et des Libertés ». Enfin, en 2019, le RN, l’AfD, le FPÖ et la Ligue forment « Identité et Démocratie ». Certains spéculent déjà sur une adhésion prochaine au Parti populaire européen…
Par-delà l’activisme de Matteo Salvini, la Ligue du Nord n’est pas un mouvement centralisé et monolithique. Son principal dirigeant doit compter sur une opposition interne qui reprend les aspirations des PME et des entrepreneurs de Lombardie et de Vénétie. Candidat malheureux au secrétariat de la Ligue face à Salvini, Gianni Fava (20 % des votes militants) déplore dans l’hebdomadaire français L’Express du 15 août 2018 que « Salvini a volé notre rêve. Il s’est approprié notre mouvement d’inspiration libérale et pro-européenne, et il l’a transformé en parti souverainiste d’extrême droite, résolumment hostile à Bruxelles ».
L’inflexion prise par le « Capitaine » vers le national-souverainisme ne l’empêche pas de louvoyer. Ainsi renonce-t-il à sortir de l’euro après la défaite présidentielle de Marine Le Pen en 2017. Il donne aussi des gages à la bien pensance médiatique. Il refuse de reconduire aux européennes de 2019 le sortant Mario Borghezio. Cinq ans auparavant, la direction liguiste cherchait déjà à s’en débarrasser en l’envoyant dans la circonscription électorale de l’Italie centrale (Latium, Toscane, Ombrie, Marches) où l’ancien militant de la branche italienne de Jeune Europe de Jean Thiriart aurait perdu son mandat. Or, Mario Borghezio fut réélu (5837 voix au vote préférentiel) grâce à l’appui décisif de CasaPound. Rappelons que les ministres liguistes de l’Intérieur n’ont jamais cessé de persécuter le mouvement de Gianluca Ianonne et se sont montrés incompétents dans l’arrêt de l’immigration clandestine.
À la lumière de ce rappel historique, on ne doit donc pas être surpris par le parcours sinueux de la Ligue du Nord. Malgré une volonté séparatiste qui anime maints de ses militants et de ses cadres, la Lega appartient bien à l’esprit politique italien.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°206, mise en ligne sur TVLibertés, le 16 mars2021.
Europe maxima cliquez ici
00:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Plaidoirie de Me Gilbert Collard en défense de Marine Le Pen…
François Floc'h (∗)
J'aime bien Gilbert Collard ! Il ne manque pas de culot.. Son langage est fleuri, inventif, percutant. En ces temps d’apathie politique et d'auto-censure, son côté "grande gueule" n'est pas pour nous déplaire. Avec lui, on ne s'ennuie pas ! Et c'est important pour capter l'attention de l'électeur… L'eau tiède n’intéresse personne !
Tout récemment, invité sur Sud Radio – avec TV Libertés, rare espace de liberté d'expression du PAF, le fameux Paysage Audiovisuel Français – il a répondu à Eric Morillot qui le questionnait sur la future Présidentielle. Le propos est intéressant et mérite d'être noté bien qu'il sente un peu trop le cirage… de pompes ! Étonnant de la part de Gilbert Collard...
Eric Morillot – On parle beaucoup d'une candidature d'Eric Zemmour. Est-ce que vous la craigniez ?
Gilbert Collard – Il faut se méfier des ruses de l'Histoire… Eric est un ami. S'il est candidat, il ferait battre Marine. Je crains une candidature qui pourrait appauvrir... nous retirer des voix que l'on pourrait avoir. C'est clair. Je pense qu'il faut un rapprochement entre Eric Zemmour et Marine.
Eric Morillot – Mais, vous ne pensez pas qu'il pourrait dépasser Marine Le Pen au 1er tour ?
Gilbert Collard – Non, je ne crois pas. Parce que l'on oublie quand même trop facilement que Marine, elle, offre aux Françaises et aux Français une expérience unique. Celle d'une femme qui a pris des coups, qui a reçu des tempêtes en pleine figure, des tempêtes politiques, affectives, humaines, et qui n'a jamais mis le genou à terre.
Et, ce dont la France a besoin c'est de quelqu'un qui ne s'agenouille pas, ni devant la repentance, ni devant l'Histoire, ni devant l'Union européenne, ni devant les banlieues, ni devant les zones de non-droit, ni devant la perte de souveraineté.
Et, elle a cet avantage, elle, à l'épreuve du feu, elle a eu ses brûlures et elle a tenu le coup. C'est assez unique.
[…] Et puis l'on passe à une questionnement sur l'Euro. Etc. Etc.
Cette réponse de Gilbert Collard m'a laissé fort perplexe…
Car, nous en connaissons tous des militants du "FN canal historique" qui ont pris des "tempêtes en pleine figure" en des temps politiques bien plus difficiles qu'aujourd'hui ! Et le premier d'entre nous, notre Jean-Marie Le Pen. L'argument de Gilbert Collard n'est donc pas recevable.
Gilbert Collard fait appel à notre mémoire. Et bien, prenons-le au mot !
A la question "Qui n'a jamais mis réellement le genou à terre ?", on peut lui rétorquer :
Qui s'est lancé dans une dédiabolisation stérile qui frise la compromission sinon le ridicule ?
Qui n'a jamais énoncé la moindre critique des lois mémorielles (Pléven, Gayssot, Perben) ? Lois qui bloquent les nécessaires débats, génèrent une auto-censure pernicieuse et empêchent ainsi les solutions salutaires.
Qui n'a manifesté aucun engagement contre les lois dites de "bioéthiques". A défaut de participation, aucun soutien à La Manif pour Tous. Et même aujourd'hui, annonce par Jordan Bardella que les lois Taubira faisaient maintenant partie des acquis de la République et que l'on n'y toucherait pas !
Pauvres Gilets Jaunes qui ne demandaient rien – à tort – aux Politiques mais qui auraient pu recevoir au moins quelques signes de sympathie. Rien, le néant !
Et puis, tout récemment, les cadres du RN auraient reçu des consignes pour ne pas participer à la manifestation de soutien à Génération Identitaire ! Des petits jeunes courageux qui veulent rester debout et utilisent seulement la technique d'Agitprop bien utile en politique !
Qui a dit à de multiples reprises que l'Islam était compatible avec la République ? Manifestant ainsi, en plus de ses lacunes historiques, son manque de volonté politique en ce domaine. Qui a dit que le Grand Remplacement n'existait pas ?
Décidément, cela fait beaucoup pour quelqu'un qui n'aurait jamais mis le genou à terre !
A la réflexion, c'est plutôt Eric Zemmour que j'ai reconnu dans le portrait dressé par Gilbert Collard. Il faudrait évoquer les oukases soviétoïdes du CSA qui semble craindre davantage l'éditorialiste de CNews que la présidente du RN. Et il est un critère qui ne trompe pas : au compteur des passages devant la 17e Chambre, pour propos de quelqu'un qui ne veut pas mettre le genou à terre, Eric Zemmour sort largement vainqueur !
(∗) Ancien secrétaire départemental FN des Côtes d'Armor.
00:00 Publié dans François Floc'h, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 22 mars 2021
MERCREDI 24 MARS, À PARTIR DE 18 H, THOMAS FERRIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
23:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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COVID-19 : qu’ils arrêtent de nous emmerder !
Pieter KERSTENS.
Durant les 15 derniers mois, jour après jour, les médias ne cessent de diffuser la propagande hystérique des gouvernements européens et nous submergent par leur stratégie de la terreur.
ORDRES + CONTRORDRES = DESORDRES.
L’épidémie ne devait pas se diffuser en Europe et se cantonner à l’Asie selon les déclarations de certains ministres de la Santé, au début de l’an 2020.
Puis on nous a dit que le port du masque n’était pas essentiel si l’on n’était pas malade.
Ensuite, le dépistage des malades ne présentait pas d’urgence.
Et l’isolement dans des centres médicaux était superflu.
Le manque d’appareils respiratoires pour la réanimation artificielle par contre, lui, était criant.
Il fallait donc absolument pallier cette carence par des interdictions de circuler de mars à mai 2020.
Les clowns qui dirigeaient l’Europe nous avaient promis la Lune, en affirmant dès juillet 2020 que les vaccins allaient résoudre tous les problèmes et nous conduire vers « le monde d’après », sans couvre-feux…
Enfin, après l’annonce fin 2020 de divers sérums disponibles sur le marché, la Commission Européenne aurait commandé plus d’un milliard de doses pour les 26 pays de l’Union.
Fin mars 2021, après 3 mois, seuls 10% des européens auraient reçu la 1ère injection ( sauf Malte 25%) contre 50% en Grande-Bretagne, 30% aux USA et 25% mais 65% en Israël.
Cela démontre clairement les incompétences, l’incurie et l’incapacité de la majorité des Chefs d’Etat et de Gouvernement en Europe pour la gestion de cette crise, alors même que ceux-ci ont imposé des Plans d’Urgence Sanitaire qui les autorisent à gouverner par décrets, en court-circuitant les Parlements !
LES POURRITICARDS SE FOUTENT DU MONDE : ON DOIT LES DEGAGER !
Sous prétexte de « sauver les hôpitaux » et les plus vieux de la société, « les plus fragiles » (lire les obèses, les diabétiques ou les cardiaques) les princes qui nous gouvernent ont stoppé la majeure partie des activités économiques de nos pays et assigné leur population à résidence. De nombreuses interdictions d’activités limitent les déplacements des personnes et conduisent à creuser le gouffre des dettes publiques et l’explosion du chômage, malgré de multiples aides, subventions ou prêts qu’il faudra quand même rembourser un jour.
NON, leur « monde d’après » ne sera pas différent du monde de 2019.
Et pour ceux d’entre nous qui ne sont pas tombés dans la paranoïa ou l’hystérie il est tout de même évident de constater que ce Covid-19, SRAS-COV-2, est une fois encore venu de Chine et ne tuera pas de façon terrifiante tout le monde, mais évidemment les plus âgés (dont je fais partie) comme c’est logique, car nous ne sommes pas éternels !
Enfin, il est quand même curieux que PAS LE MOINDRE EXPERT OU MEDECIN ne compare cette épidémie à d’autres fléaux qui accablent aujourd’hui notre planète.
Depuis 15 mois, le Covid-19 est la cause de 2,717 millions de décès dans le monde, soit en moyenne 6.000 par jour (et 4.500 le 20 mars 2021).
Mais TOUS LES JOURS, ce sont 25.000 personnes qui meurent de faim sur notre Planète (source « La faim » de M. Caparros en 2015) soit 9,125 millions de décès par an dus à la faim surtout au Soudan du Sud, au Yémen, en Afghanistan, à Haïti, au Venezuela, en Ethiopie ou en République du Congo, sans oublier l’Inde, le Pakistan ou le Bangladesh par exemple. Quelle télévision, quelle radio ou journal à grande diffusion en a fait ses gros titres ces derniers mois ? Silence dans les rangs, ce n’est pas le sujet qui fait encore pleurer Margot.
OUI, la faim tue 5 fois plus que le Covid dans le monde en ce mois de mars 2021 et là, pas de vaccin ?
Où se trouve la priorité ? Dans les poubelles : 930 millions de tonnes de denrées alimentaires ont été gaspillées en 2019 (soit 120 kgs/an par consommateur) ! (source = Programme des Nations Unies pour l’Environnement).
16:43 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Rendez-nous nos humanités greco-romaines*
L’Antiquité gréco-latine, son étude et son héritage, sont gravement mis en cause dans les pays occidentaux. Il est crucial pour notre avenir de les défendre, soulignent les 41 signataires, tous professeurs d’université français et italiens, hellénistes, latinistes, historiens et philosophes. (source Le Figaro 22/3)
(*) le titre est de la rédaction
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12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La lutte des races a remplacé la lutte des classes
Yves Thréard
Gauche, qu’as-tu fait de tes enfants ? Tu les voulais universalistes, ils tiennent maintenant des discours racistes. Tu les souhaitais militants de la diversité, ils revendiquent désormais le droit à l’exclusion. Tu les espérais fidèles à des valeurs d’égalité, d’égalité, ils sombrent à présent dans l’activisme identitaire. Depuis quelques années, la dérive de l’Unef, école de la contestation estudiantine et sociale, est patente. Le syndicat vient encore de se distinguer, par la voix de sa présidente, qui a déclaré organiser des réunions « non mixtes racisées ». Sa vice-présidente, elle, s’affiche partout couverte du voile islamique.
Jean Jaurès doit se retourner dans sa tombe ! Jean-Luc Mélenchon, lui, n’y voit rien à redire, au contraire. Cela n’est pas étonnant, car l’Unef est à l’image d’une partie de la gauche d’aujourd’hui, rattrapée par l’islamo-gauchisme. La lutte des races a remplacé la lutte des classes. En perte de vitesse, les trotskistes défroqués pensent avoir trouvé, avec les minorités, un nouveau prolétariat à défendre. Feu sur le mâle blanc, violeur en puissance, coupable héritiers du colonialisme, du sexisme, de l’oppression chrétienne et capitaliste. Le virus gagne les esprits de toute la sphère éducative, de certaines fédération de parents d’élèves à l’université. Il se propage dans les instituts de sciences politiques, où s’exerce la chasse aux professeurs récalcitrants. Science Po Paris consacre même tous les ans une journée à la gloire du hidjab. La censure frappe les conférenciers mal-pensants, les spectacles non conformes aux canons de l’indigénisme et les plus grands auteurs ; Eschyle en a fait les frais à la Sorbonne.
Condamner ce glissement sectaire, mélange d’arrogance et d’ignorance, revient à passer pour un suppôt de l’extrême droite. Sans doute est-ce là l’explication du faible nombre de voix qui ont le courage de le dénoncer et de le combattre. L’État lui-même devrait ouvrir les yeux en cessant de subventionner des organisations comme l’Unef. Stop à la décadence idéologique !
Source : Le Figaro 22/03/2021
10:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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