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vendredi, 18 septembre 2020

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jeudi, 17 septembre 2020

Déshabiller Pierre pour habiller Nikos.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Dans le contexte de tensions majeures en Méditerranée orientale, la vente par la France de 18 avions de chasse Rafale à la Grèce pourrait apparaître comme une bonne nouvelle, marquant une volonté de ne pas céder aux menaces et provocations d'Erdogan et tranchant avec l'inertie de l'Union européenne face à l'offensive néo-ottomane de la Turquie, à ses prétentions sur les hydrocarbures de la zone concernée, à ses intimidations et à ses chantages.
 
Elle est surtout une bonne affaire commerciale pour Dassault.
 
Car en fournissant ces appareils à la Grèce, plus par intérêt économique que par volonté géostratégique, le gouvernement déshabille Pierre et Paul pour habiller Nikos.
 
Douze de ces avions de chasse seront en effet immédiatement prélevés sur nos forces opérationnelles, réduisant ainsi encore un peu plus les capacités combattantes effectives de notre armée de l'air qui, avec seulement 217 chasseurs en ligne (102 Rafale et 115 Mirage 2000) atteint déjà les limites de ses besoins. Les six autres Rafale, neufs ceux-là, seront fournis à Athènes en priorité, retardant de plus d'un an la livraison attendue par nos propres forces armées qui devront patienter.
 
Marquer le soutien de la France à la Grèce c'est bien, mais le faire au détriment de notre propre sécurité nationale est une faute dont le gouvernement porte l'entière responsabilité.

23:27 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La « bascule à Charlot » bientôt de retour ?

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La chronique de Philippe Randa

Douche froide pour certains avec ce récent sondage d’Ipsos pour le quotidien Le Monde : 55 % de nos compatriotes voudraient le rétablissement de la peine capitale. On ne s’étonnera guère qu’ils se comptent à 85 % au RN et à 71 % (+ 23 points) chez LR, mais davantage qu’ils soient en « forte progression » chez LFI et au PCF : + 31 % en un an.

Un sondage n’est certes qu’une information à un instant précis qui ne peut donner qu’une perspective nullement gravée dans le marbre. Il est également certain qu’au moment des attentats islamistes, les Français furent plus nombreux encore a espérer que les fous d’Allah n’échappent pas à un juste et expéditif châtiment des forces de l’ordre.

Mais le souvenir de l’horreur s’estompant, les discours larmoyants sur la condition des criminels, qu’ils soient racailles de banlieue ou fanatiques religieux, reprenant de la vigueur, on ne pensait qu’à part quelques nostalgiques d’un passé révolu depuis… 1981 !, les partisans d’un rétablissement de la peine de mort se comptaient sur les doigts d’une demi-main. Enfin, à en croire les discours politiquement corrects bien sûr, toujours et encore. Mais Patatras !

Commentant ce sondage, Les Dernières nouvelles d’Alsace indiquent néanmoins que « la peine de mort reste un sujet clivant dans la société française. Mais son rétablissement a peu de chance d'advenir un jour ». Pour preuve, d’après ce quotidien, les engagements de la France vis-à-vis des autres pays de la planète. Mais un engagement n’est-il pas, lui aussi, qu’une vérité à un instant précis guère davantage gravée dans le marbre que celle d’un simple sondage ?

Ne l’a-t-on pas vu, en mars dernier  avec la fin de deux tabous pourtant bien ancrés dans les discours officiels, soit la fermeture des frontières nationales en 48 heures pour cause de terreur épidémique ou encore avec la fin d’un déficit public devant être inférieur à 3 % du PIB (le gouvernement a annoncé en juin qu’il serait de 11,4 % en 2020) ?

Qui peut donc vraiment exclure que la « bascule à Charlot », ainsi qu’on dénommait jadis la guillotine, sorte un jour des musées pour reprendre du service ?

23:20 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Discours de l'Union fantôme

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La plus grande ruse du diable, on le sait, est de faire croire qu'il n'existe pas. Le pire mensonge de l'Union européenne est de vouloir donner l'illusion de la réalité de ses pouvoirs qui ne sont, de fait, que l'extension continentale des directives étoilées du nouvel ordre mondial.
 
En singeant le rite américain du Discours de l'Union comme l'avaient fait avant elle ses immédiats prédécesseurs, la Présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula von der Leyen, espère donner consistance à la supercherie communautaire sans pour autant rendre possible la prise à bras le corps des grandes questions géopolitiques, diplomatiques, militaires, sécuritaires, identitaires, économiques, migratoires et éthiques dont la résolution serait pourtant vitale pour notre civilisation. Les récentes décisions en matière économique visant à établir un plan de relance sous forme de prêts et de subsides accordés par l'UE aux Etats membres et financés en monnaie de guenon participent de ces artifices.
 
Ce qui passionne et occupe la Commission, ce n'est pas la menace néo-ottomane, ce n'est pas l'indépendance énergétique du continent, ce n'est pas l'endiguement définitif des flux migratoires, ce n'est pas l'effondrement de notre démographie, ce n'est pas la contagion islamique, ce n'est pas bien sûr la recherche d"un partenariat logique avec notre voisin russe, c'est le sort des LGBT, des immigrés, des minorités ou encore la mise en œuvre de mesures sanitaires totalitaires et de contraintes climatiques punitives tout en veillant à renforcer l'enfermement des populations européennes dans le carcan des règlements et des restrictions à leurs libertés nationales et individuelles.
 
Cette Europe là est l'ennemie et le bourreau délégué de nos peuples du vieil occident.
 
L'Europe-puissance que nous appelons de nos voeux ne se fera que lorsque dans chacun de nos États auront été opérées les révolutions nationales salvatrices qui, elles mêmes, ne verront le jour que par le combat politique.

01:07 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 16 septembre 2020

Rencontre-dédicace avec Pierre Hillard à la Librairie Vincent ce 19 septembre à Paris

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Pierre Hillard sera présent à la Librairie Vincent (héritière de la Librairie Facta)

le samedi 19 septembre 2020 de 14h à 18h pour une séance de « rencontre-dédicace ».

Adresse : 115, avenue de La Bourdonnais Paris VIIe

Métro École Militaire

 
 

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Bientôt en kiosque : le prochain numéro (n°67) de Réfléchir et agir

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13:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Impôts : la France toujours championne

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Arnaud Raffard de Brienne

S’il y a un titre auquel la France ne semble pas prête à renoncer, c’est bien celui de championne du monde de la fiscalité, tous impôts et taxes confondus. Le dernier rapport de, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), s’appuyant sur les données 2018, les dernières disponibles sur le sujet, épingle en effet la France qui, avec un taux de recettes fiscales de 46,1% de la richesse produite cette année-là, conserve le peu glorieux titre de pays le plus spoliateur des 37 nations de l’OCDE. Même si elle se trouve talonnée par les Belgique et le Danemark, autres enfers fiscaux dépouillant à égalité leur population à hauteur de 44,9% de leur PIB respectif, c’est-à-dire un peu plus de dix points au-dessus d’une moyenne évaluée à 34,3%, moyenne elle-même évidemment plombée par ces trois ténors du fiscalisme.

Et comment imaginer un instant qu’après le déluge de milliards prodigués ici et là au titre du soutien de l’économie et de la relance, la situation fiscale des nos compatriotes n’empire pas encore dans les années à venir ? Les annonces gouvernementales évoquant un status quo fiscal ne duperont que ceux congénitalement destinés à l’être. La seule mesure de reconduction de la CRDS jusqu’en 2033 alors que son extinction avait déjà été repoussée à 2024, représente une ponction supplémentaire de 77 milliards d’euros sur la période en question. Cette contribution au remboursement de la dette sociale, prévue à l’origine en 1996 dans le plan Juppé pour une durée de treize années devait prendre fin en 2009 avant donc d’être renouvelée jusqu’en 2024 puis maintenant jusqu’à 2033, confirmant cette évidence que tout impôt créé ne disparait jamais sauf à être remplacé par un autre. Cette taxation de l’ensemble des revenus est dédiée, avec une fraction de la CSG, au financement de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES), véritable organisme de crédit permettant à nos gouvernants successifs de maintenir jusqu’à l’absurde et aux limites de la de tolérance des marchés financiers, la fiction d’un État-providence toujours aussi fringant, généreux et attractif…

136 milliards de dettes supplémentaires pour la CADES

Une fiction bien éventée depuis que la crise dite du Covid-19 a publiquement révélé l’état de délabrement avancé de l’hôpital public ruiné par des restructurations hasardeuses et surtout une immigration incontrôlée. Un hôpital malade de la technocratie et tiers-mondisé – une matinée passée aux urgences, par exemple, devrait suffire à éclairer les plus candides -, véritable tonneau des Danaïdes, sommé d’accueillir le monde entier (et ses pathologies) sans le moindre souci de régulation, ni de contrôle. Notre très coûteux système de santé ne nous empêche pas pour autant de lambiner à la onzième place des nations européenne pour l’espérance de vie et même à le vingt-et-unième place en ce qui concerne la mortalité péri-natale. Vraiment pas de quoi pavoiser. Sans parler de la paupérisation de la plupart de nos services régaliens et administrations.

Le projet de loi relatif à la dette sociale et à l’autonomie, ayant validé, pour l’instant, un transfert de 136 milliards de dettes à la CADES ne serait sans doute qu’une étape avant l’affectation de la « dette Covid », qui reculerait encore l’échéance de la CRDS à 2042 ou davantage. Tout cela, bien sûr, sans avoir commencé à rembourser le moindre fifrelin de la dette abyssale de la France.

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Article paru dans le quotidien Présent d'aujourd'hui cliquez ici

10:44 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vincent Vauclin (MND) invité de Martial Bild sur TV Libertés

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Le site du MND cliquez ici

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Bonjour les Amis... Pierre Cassen dénonce les nouvelles facéties de Marine Le Pen

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Le cadeau Bonux du RN... 

Décidément, on aura tout vu !

10:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 septembre 2020

Marion Maréchal : service inutile ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Marion Maréchal est une jeune femme brillante, sympathique, énergique, souriante, intelligente, douée, pertinente, cultivée et qui pense bien.
 
Tout au long de l'entretien qu'elle a accordé ce mardi matin à Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV/RMC, elle a fait la démonstration de son brio médiatique, de la qualité de son analyse politique et de la force de ses convictions.
 
La frustration que pourront ressentir ceux qui espèrent en elle n'en sera que plus grande. En répétant à la façon d'un mantra son intention de ne pas revenir en politique à moyen terme, de ne pas fonder de structure opérationnelle,  de ne pas participer au combat électoral, de ne pas être, en conséquence, candidate à l'élection présidentielle et de ne se mettre au service d'aucun de celles ou de ceux qui concoureront en 2022, elle renvoie à des jours désespérément lointains la mise en œuvre de la stratégie de rassemblement des droites  qu'elle ne cesse de prôner en affirmant à juste titre que "le RN c'est bien, mais ce n'est pas suffisant". Or le temps nous est compté. Au rythme de l'accélération des menaces qui pèsent sur notre pays et de la possibilité de  son effondrement total, absolu, définitif à très court terme, miser sur  l'horizon 2027 revient à jouer à la roulette russe en espérant que la balle fatale ne sortira pas trop tôt du barillet.
 
Créer un think-tank pour réfléchir aux grands problèmes du temps — migratoires, économiques, géopolitiques, écologiques, éthiques — est utile quand on a le temps devant soi. Mettre en place des réseaux politiques ou métapolitiques afin de dresser des passerelles entre les uns et les autres est une entreprise louable quand on peut se permettre d'attendre dix ans pour franchir les ponts. Ce n'est plus le cas.
 
En s'interdisant de revenir avant longtemps dans le combat politique et en refusant de monter immédiatement au créneau sous la mitraille, l'ancienne députée du Vaucluse s'enferme dans un rôle de commentatrice avisée d'un monde qui se défait sous ses yeux ou d'animatrice d'une "fondation Jean-Jaurès" conservatrice, ce qui, on en conviendra, ne saurait révolutionner les masses populaires de qui, même si nous savons le rôle des avant-gardes, dépendra au final le sort de notre France. "J'ai 30 ans, je ne peux pas faire le serment de ne plus jamais faire de politique un jour" confie-t-elle. "Un jour"... Une décennie... Un siècle.
 
"Alors, à quoi servez-vous ?" lui demandera Bourdin. En effet... A quoi ?
 
Il est encore temps de se reprendre, Marion.

20:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Selon un sondage, 55 % des Français sont pour le rétablissement de la peine de mort

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Rémy Mahoudeaux dans Boulevard Voltaire

Émoi dans les chaumières cossues de la bien-pensance médiatique : les Français gavés depuis des décennies de bons sentiments sirupeux, de pathos, de tartines d’excuses sociales pour tout et n’importe quoi seraient pour la peine de mort, d’après un sondage Ipsos-Sopra/Steria pour Le Monde, la fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne. 55 % voudraient son rétablissement, soit 11 % de plus que l’an dernier. Une vague brune ! Quelle mouche a piqué ces Français ? Est-ce seulement conjoncturel, lié à une séquence de drames qu’un pouvoir inconséquent voit comme des incivilités ?

Pas question de gloser, ici, à l’infini sur l’insécurité, son évolution, ses causes et surtout la façon dont elle serait ressentie par les Français. Le sujet n’est pas, non plus, le laxisme judiciaire ou l’absence de moyens qui interdit à la justice d’être efficace depuis plus de deux siècles.

Les arguments laïcs hostiles à la peine de mort sont nombreux. Elle n’est pas dissuasive, sinon la criminalité se serait éteinte lorsqu’elle était possible et effective. Elle ne permet pas de réparer les erreurs judiciaires éventuelles, une fois appliquée. Elle ne cessera jamais de trop ressembler à une vengeance, et la vengeance n’est pas la justice. Mais pour les chrétiens, il y a aussi que la société ne peut pas demander à un bourreau d’enfreindre le « Tu ne tueras point ». Et, surtout, qu’une fois exécutée, il n’est plus possible au condamné de se tourner vers Dieu, à supposer qu’il en ait besoin. Combien de Jacques Fesch n’ont pas eu le temps de se convertir avant de voir le bourreau mettre fin à leur vie ? Le pape François a eu (je pense) raison d’inscrire au catéchisme de l’Église catholique que la peine de mort est inadmissible.

Mais halte à l’hypocrisie, Messieurs et Mesdames les indignés de pacotille !

L’euthanasie et le suicide assisté sont vendus par les syndicats de la mort en blouse blanche comme une panacée au mal mourir. Au lieu d’exiger que soit effectif le « mourir bien » promis à tous par la loi Leonetti de 2005 sur le déploiement de la médecine palliative, ils veulent à tout prix un « mourir vite », avec les dérives que l’on constate en Belgique. Vos réquisitoires contre ces inconséquences n’encombrent pas l’espace médiatique.

Au prix de la vie d’un homme, les mandarins de l’hôpital de Reims n’ont pas perdu la face. La peine de mort prononcée par le Conseil d’État à l’encontre de l’innocent de tout crime Vincent Lambert, en urgence et alors qu’un recours international n’était pas échu, ne vous a guère mobilisés : vous aviez piscine ?

La mise à mort in utero de 96 % des fœtus diagnostiqués d’une trisomie 21 ne fait pas, non plus, la une de vos éditos qui dénonceraient à juste titre un eugénisme des plus délétères. Ceux qui voudront voir ici un point Godwin sont libres de leur opinion, je l’assume.

L’avortement est passé, en 45 ans, de crime dépénalisé à droit fondamental de tuer le plus faible. Il est remboursé intégralement et n’est pas, pour les jeunes filles mineures, de la responsabilité de ses parents. Inciter à avorter était, jadis, un délit ; c’est, dorénavant, dissuader d’avorter qui en est devenu un. Il y a même, dans les tuyaux législatifs, la possibilité de légaliser un avortement qui serait commis jusqu’à la naissance en invoquant une très vague détresse psycho-sociale. Mais où lire votre révolte contre cette atteinte au droit de vivre ?

Les exceptions au droit à la vie se multiplient, et ce droit est par conséquent de moins en moins fondamental. « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit » figure pourtant à l’article premier de la Déclaration des droits de l’homme. Avant, la société guillotinait des coupables ou ceux qu’elle tenait pour tels. Maintenant, ce sont des innocents, mais dans l’asepsie. Ce doit être ça, la civilisation !

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Alexis Cossette : Une Révolution Tranquille

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Neuvaine pour la conversion de George Soros à partir du 16 septembre

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Cette neuvaine demande l’aide de Dieu pour la conversion d’un des plus grands destructeurs de notre société, pour sauver son âme et afin qu’il déploie son énergie au salut du monde et non à sa chute.

George Soros vient de fêter ses 90 ans. Ce multimilliardaire œuvre depuis longtemps, par sa fondation, ses ONG, ses financements (élections, études) et son influence (Cour Européenne des Droits de l’Homme, Parlement Européen, hommes politiques, …), à transformer la société pour la rendre “ouverte”, quoiqu’il en coûte. Cela passe par l’ouverture des frontières, l’organisation des révolutions de couleurs, mais également la volonté de destruction de l’ordre établi, la Patrie comme la famille, ce socle puissant voulu par Dieu.

Nos moyens sont bien faibles, et la lutte bien peu équitable face à leur puissance terrestre. Alors, en plus de nos actions à notre échelle, nous voulons demander à Dieu de changer le cœur d’un de nos ennemis le plus redoutable, car un apôtre aussi zélé de l’obscurité pourrait aussi devenir notre plus puissant soutien, et un exemple éclatant de l’existence et de la présence de Dieu à nos côtés.

Pendant ces neuf jours, nous verrons que la prière pour la conversion de nos adversaires a porté beaucoup de fruit : saint Etienne sous les jets de pierres, pardonnant à ses bourreaux, n’a-t-il pas été un puissant ferment de la conversion de saint Paul, devenu ensuite l’apôtre infatigable de la propagation du catholicisme ? Mais également sainte Thérèse, sainte Maria Goretti, Maïti Girtanner et bien d’autres dont la foi nous guidera durant cette neuvaine.

Soyons confiants, et soyons des milliers à prier pour l’âme de cette créature de Dieu, pour qu’elle retourne à la Vérité avant le jour de son jugement.

NB : le 16 septembre, début de cette neuvaine, marque l’anniversaire de l’effondrement de la livre sterling, causée par la spéculation délibérée et consciente de Georges Soros. Faites que ce péché aussi lui soit pardonné.

Prière pour la conversion de George Soros

Ô glorieux patriarche, saint Joseph, qui méritez d’être appelé « juste » par le Saint Esprit, je vous confie l’âme de George Soros, que Jésus a racheté au prix de Son précieux sang. Vous savez combien est déplorable et misérable la vie de ceux qui ont banni le Sauveur aimant de leur cœur et combien ils sont exposés au danger de perdre leur âme éternellement. Ne permettez pas, je vous implore, qu’un être si influent et tant égaré continue à marcher sur le mauvais chemin. Préservez-le du danger qui le menace et préservez-nous des conséquences de ses mauvais actes. Touchez le cœur de cet enfant prodigue et ramenez-le entre les bras aimants du Père. Ne l’abandonnez pas, je vous en supplie, jusqu’à ce que vous lui ouvriez les portes du Ciel, où il vous louera et bénira votre Fils pour l’éternité, grâce à votre puissante intercession. Amen.

NDLR SN : On peut toujours espérer...

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Trump dans le Nevada : « Nous protégeons les victimes, dont la plupart sont des femmes. »

Malgré toutes les magouilles des démocrates pour faire voter par la poste pour truquer les élections de millions d'Américains malgré toutes leurs fourberies malgré tout leur machiavélisme leurs peurs leur diabolisme .... Trump reste le seul et l'unique sauveur des USA ! Ce qui va arriver est incroyable ! C'est le choc des titans ! Du jamais jamais vu !

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Jean-Marie Le Pen crée son institut

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L’Institut Jean-Marie Le Pen a été créé cet été, comme l’atteste le Journal officiel du 29 août, avec pour mission

« la conservation pérenne, l’exploitation et la valorisation du fonds d’archive politique et historique propriété de Monsieur Jean-Marie Le Pen, afin d’en permettre l’accès au grand public. »

Un an après la publication du second et dernier tome de ses mémoires, Jean-Marie Le Pen entend désormais « transmettre » :

« J’ai été amené à accumuler toutes sortes de documentations diverses. Je pense qu’il est intéressant, si tant est qu’il y ait des étudiants qui souhaitent connaître la réalité des choses et le dessous des cartes, de leur permettre de consulter ces archives. Il faut puiser aux sources de cette action, contrariée jusqu’ici, pour découvrir la vérité et éventuellement la transformer en bouée de sauvetage. »

Une plateforme numérique sera mise en ligne dès janvier. Lorrain de Saint-Affrique, secrétaire général de cet Institut, explique :

« Ce sera une sorte d’INA de la droite nationale. En échange d’une somme modique, chacun pourra y trouver le texte comme les vidéos des discours de Jean-Marie Le Pen, les photos, les affiches et les publications des anciennes revues du Front national. Nous avons un mètre cinquante de cartons contenant toute la procédure sur l”affaire du détail’. Cela va passionner les étudiants en droit ».

Patrick Hays, vice-président de l’Institut, ajoute :

« Grâce à cet Institut, nous allons montrer l’actualité de la pensée de Jean-Marie Le Pen et la mauvaise foi qui a empêché cette pensée de passer au peuple ».

Et Jean-Marie Le Pen souligne :

« Les procédés, les sanctions, les condamnations politiques et judiciaires démontrent la résistance que la pensée nationale a dû combattre et doit encore vaincre aujourd’hui. Selon moi, mes arguments et raisonnements ont pourtant tous été vérifiés par le déroulement des faits. Alors qu’est ce qui gêne ? Beaucoup disent ”Le Pen avait raison”. Encore faut-il avoir raison en temps utile. »

Source : Le Salon Beige

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lundi, 14 septembre 2020

Lignes de démarcation sanitaires

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Georges Feltin-Tracol

Qui a dit que l’histoire ne se répétait pas ? Il y a quatre-vingts ans et deux mois, après avoir subi la plus grande défaite militaire de son histoire en raison de l’incurie criminelle des gouvernements chancelants d’une IIIe République alignée sur la diplomatie anglo-saxonne, la France se retrouvait partagée en deux principales zones. Les deux tiers de son territoire passaient en « Zone occupée » tandis que le Sud-Est prenait le statut de « Zone libre ». Une frontière hermétique et surveillée, la « ligne de démarcation », rendait cette division tangible.

Huit décennies plus tard, « zones libres » et « zones occupées » resurgissent dans l’Hexagone. Le prétexte d’une seconde vague de covid-19 ou d’un rebond de la première permet aux autorités déficientes d’imposer le port du masque dans les rues et les espaces ouverts. À Toulouse comme à Nice, municipalités régies par une mixture sarko-macronienne, son port y est systématique. À Paris, jusqu’à la dernière fin de semaine du mois d’août coexistaient des espaces « masqués » et d’autres non masqués. Cette subtilité géographique et sanitaire qui donnait aux cartes de la capitale de nombreuses taches de léopard n’existe plus. Ailleurs, l’usage de la muselière hygiéniste ne concerne que l’hyper-centre.

Jamais en retard dans l’énoncé d’une sottise, le Rassemblement dit national réclame depuis le premier jour du déconfinement l’emploi de ce bâillon partout en France, y compris en pleine forêt, en haut des sommets montagneux ou dans des campagnes dépeuplées. Ce parti décati entend peut-être profiter électoralement de l’actuelle psychose sécuritaire entretenue par les médiats centraux d’occupation mentale. Ce sentiment de grande insécurité sanitaire obsède toute une classe politicarde, y compris ses nervis antifas, et entraîne déjà des aberrations. Les bars et les restaurants des Bouches-du-Rhône doivent fermer à 23 h, mais pas en Île-de-France. Des préfets interdisent à la population d’y danser. Des maires avaient bien proscrit le rire et l’humour en empêchant les spectacles du truculent Dieudonné. Le soir de la finale PSG – Bayern de Munich, le 29 août dernier, alors que les rues environnantes des Champs-Élysées s’ensauvageaient, les CRS matraquèrent les clients d’un établissement oublieux des gestes-barrières…

Il est paradoxal de noter que la société « ouverte » qui travaille à l’abolition des frontières étatiques et naturelles se pare dans le réel de frontières intérieures représentées par des digicodes, des cartes d’accès et des codes d’entrée. Le gouvernement recommande de ne plus serrer de main pour se saluer. Il y a moins d’un an, ne pas serrer la main d’une femme aurait valu à son auteur une réputation de sexiste, de machiste, voire de misogyne, ainsi qu’un rappel à l’ordre disciplinaire… Le masque entraîne plus que jamais la prolifération d’une multitudes de lignes de démarcation visuelles. Haro à celui qui ne viendrait pas masqué ! Il manquerait d’« esprit citoyen ». Dans le même temps, les frontières françaises ne se ferment pas et les « migrants » clandestins ne cessent d’affluer. L’individualisme total prime dorénavant l’impératif national.

L’établissement de « zones occupées », pardon, de « zones masquées » relève d’une vaste expérience de dressage social sans précédent. Il s’agit de faire accepter leur sort à des populations hébétées et ainsi éviter qu’elles renouent avec l’activisme virulent des Forconi italiens ou des « Gilets jaunes ». Pour l’instant, policiers et gendarmes sanctionnent directement tous ceux qui contestent les ordresofficiels. Rien n’empêche cependant de supposer qu’à très court terme, la vidéo-surveillance promue par des édiles incapables de restaurer l’ordre public se couplera aux logiciels de reconnaissance faciale, puis aux drones. Comme les caméras le font dorénavant avec les conducteurs, elles verbaliseront aussitôt tout contrevenant pris le visage découvert. Le masque obligatoire préfigure ainsi une tyrannie de la transparence générale.

Avec la raréfaction de l’argent liquide, services étatiques et établissements bancaires sauront tout de leurs administrés et clients. Ils recouperont leurs informations avec les données collectées sur Internet et les réseaux sociaux. Les algorithmes dresseront ensuite une variété de profils-types, du sujet respectueux des règles les plus aberrantes au réfractaire qu’il conviendra d’expédier au plus viteen asile psychiatrique. Phantasmes dystopiques ? La police de l’État fédéré de Victoria en Australie a désormais le droit de violer les propriétés privées sans mandat de perquisition pour vérifier si les membres du foyer suivent correctement les consignes gouvernementales locales.

Certains milieux soi-disant « écologistes » réclament l’interdiction de manger de la viande un jour parsemaine. Si cette demande devient une loi, les restaurants et les cantines s’y plieront assez facilement. Mais chez les particuliers ou pour ceux qui apporteront leur déjeuner ? La police débarquera-t-elle chez eux à 12 h 30 pour voir s’ils n’ont pas mangé une belle pièce de veau ? Y aura-t-il des contrôles pour ausculter un sandwich sans viande ni poisson ? Incapable de juguler l’explosion du trafic de drogue et des violences envers les personnes, la justice montrera-t-elle le même laxisme à l’égard d’un mangeur de viande pris en flagrant délit ?

Nous assistons bien à la mise en place d’un despotisme sociétal tout à fait nouveau. Il faut le combattre dès à présent en montrant à chaque instant un sens aigu de l’incivisme.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°181 mise en ligne sur TVLibertés, le 8 septembre 2020.

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NDLR SN :

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Le Parti de la France a réuni samedi son Bureau politique à Paris

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Communiqué du Parti de la France :

Le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni ce samedi 12 septembre à Paris.

Le Président du PdF, Thomas Joly est tout d'abord revenu sur les raisons qui nous ont obligé à reporter notre meeting qui aurait dû se tenir ce même jour. L'hystérie sanitaire et les mesures de distanciations obligatoires imposées par un gouvernement en marche vers le totalitarisme en portent la responsabilité pleine et entière. Ce n'est que partie remise: dès que possible cette réunion publique aura lieu, dans la même salle et avec les orateurs initialement prévus.

Thomas Joly a ensuite abordé les questions électorales en précisant, sans exclure une participation aux échéances locales qui auront lieu dans six mois, que l'objectif du PdF était une forte présence de nos candidats - renforcée éventuellement dans le cadre de coalitions à créer - aux prochaines Législatives, quel que soit le mode de scrutin, majoritaire ou proportionnel.

Jean-François Touzé, Délégué général a ensuite présenté le projet du parti, édité dans un document de grande qualité et intitulé "L’État national REVITALISERA la France - Les 9 Idées-forces du Parti de la la France".

Il revenait à Bruno Hirout, en tant que Secrétaire général, de présenter les nouveaux documents de propagande - autocollants qui seront suivis d'affiches - et d'annoncer la reprise des actions de collages et des réunions dans les provinces.

La dernière partie de ce BP fut consacrée aux questions administratives mais aussi de communication avec le lancement dans les prochaines semaines d'une émission vidéo mensuelle ou peut être même bimensuelle qui sera présentée par notre amie Charlène.

Le prochain Conseil national statutaire se tiendra fin novembre à Paris.

Reportage photos cliquez ici

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dimanche, 13 septembre 2020

Une fausse reprise économique en K qui finira très mal en 2021

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Le repli des grandes valeurs technologiques américaines a fait chuter, vendredi, de plus de 4 % l’indice NASDAQ, qui a enregistré sa plus lourde chute hebdomadaire depuis fin mars. Entre le vendredi 4 septembre et le mardi 8, le NASDAQ 100 avait déjà dégringolé de plus de 10 %. La correction à Wall Street n’est pas terminée ; le doute s’est désormais installé et la volatilité est de retour. Les investisseurs se demandent si le secteur de la tech peut continuer à monter jusqu’au ciel pour soutenir l’ensemble du marché. Les 5 entreprises GAFAM représentent un quart de la valeur du S&P 500 et plus de la moitié de celle du NASDAQ 100. Le fabricant de camions électriques et à hydrogène Nikola, dans lequel General Motors vient de prendre une participation, a plongé, le jeudi 10 septembre, de 11,3 %, suite à des accusations de « fraude ».

Tesla est le symbole de la « bulle » financière à Wall Street. Avec une capitalisation boursière de 400 milliards de dollars, les marchés apprécient à plus de 800.000 dollars pièce chaque Tesla vendue, contre 16.500 dollars pour une Toyota et 1.840 dollars pour une Renault. Tesla, qui va affronter une concurrence mondiale, affiche toujours une hausse de plus de 300 % depuis début 2020, mais a plongé de 33 % depuis le 1er septembre. En cas de krach, la Fed achètera cette fois-ci des actions, ce qui représentera la dernière folle mesure, avant l’explosion et l’effondrement monétaire, pour sauver la Bourse et le marché obligataire. Des mesures de soutien direct aux populations avec l’argent que la Fed n’a pas (monnaie hélicoptère) seront aussi adressés aux Américains en cas de chômage important.

La dette publique et l’endettement global des États-Unis augmentent à une vitesse vertigineuse pour atteindre, aujourd’hui, respectivement 27.000 milliards de dollars et 80.000 milliards de dollars. Pour l’année fiscale 2020, le déficit public américain dépassera les 3.500 milliards de dollars, soit pratiquement le PIB annuel de l’Allemagne. Les actifs du bilan de la Fed qui s’élevaient à 2.000 milliards de dollars en 2009, après avoir doublé par rapport à 2008, ont de nouveau presque doublé en dix ans pour atteindre 3.800 milliards de dollars en 2019, et auront de nouveau pratiquement doublé pendant la seule année 2020, pour atteindre plus de 7.000 milliards de dollars. Mais tandis que le bilan de la Fed augmente, la vitesse de circulation de la monnaie a diminué de moitié puisqu’elle est passée de 1,96, en 2008, à 1, en 2020. Le PIB américain, lui, progresse à la vitesse de l’escargot pour atteindre péniblement les 20.000 milliards de dollars.

On aura tout vu puisque c’est maintenant la Fed, et non plus seulement Trump, qui encourage le Congrès à dépenser plus. Il y a une fusion de la Fed et du Trésor américain pour pratiquer la fuite en avant, du jamais-vu depuis la création de la Fed. Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin, face à la gravité de la situation, envisage même des annulations de remboursements de prêts aux petites entreprises. De plus, la Fed est dans l’incapacité de relever les taux pour soutenir le dollar car elle mettrait en danger mortel la reprise économique. Les risques d’inflation aux États-Unis peuvent devenir un jour très sérieux. La réalité, c’est que les États-Unis, comme l’Europe, sont en train de devenir un nouveau Japon. Nixon, en annulant la convertibilité de l’or en 1971, n’avait pas réalisé que cela conduirait, à terme, à la désindustrialisation des États-Unis.

La reprise économique artificielle a, en fait, la forme d’un K dont la barre ascendante représente le luxe en France, les GAFAM aux États-Unis ainsi que les bulles immobilières et boursières, tandis que la barre descendante représente le chômage et les secteurs en régression. Christine Lagarde doute même de la reprise en 2021 « car très dépendante de l’évolution de la pandémie ». Quant au président faucon de la Bundesbank Jens Weidmann, il enjoint les dirigeants européens de mettre fin au soutien budgétaire de l’économie afin d’éviter « une sorte d’illusion de la dette ».

Seule l’intervention des banques centrales empêche le krach dans l’immédiat, mais chaque jour qui passe, la perte de confiance dans les monnaies actuellement thésaurisées augmente, et gare au jour où plus personne ne voudra de la monnaie ou du papier financier, ce qui conduira à l’effondrement monétaire, économique et probablement politique du Système.

21:34 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La "fachophobie" dénoncée, avec brio, par Julien Rochedy

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samedi, 12 septembre 2020

Eric Zemmour : “Le crime originel, c’est le regroupement familial. Nous subissons une colonisation. La France est en danger de mort face au Grand remplacement”

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En avril 2011, Synthèse nationale organisait à Paris un colloque sur le regroupement familial cliquez ici

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Ouverture prochaine d'une librairie non-conformiste à Nancy

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14:05 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Auprès de mon arbre

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Par Vincent Trémolet de Villers

Auprès de nos arbres, nous vivions heureux. La Terre ne s’appelait pas encore la planète, on disait nature plutôt que biodiversité et si la vie n’était pas toujours facile, elle offrait, au rythme des saisons, de joyeuses consolations : le Tour de France l’été, le sapin de Noël de l’hiver. Puis vint le temps des villes inclusives et résilientes. Après Paris qui, depuis des années, repeignait en vert son monde imaginaire, Bordeaux, Lyon, Marseille, Grenoble encore une fois... ont choisi des maires prétendument écologistes. Quel rapport, en effet, entre l’indispensable soin du monde et l’écriture inclusive imposée aux Lyonnais, les cours d’école dégenrées promues à Grenoble, les remontrances aux supporteurs des Girondins à Bordeaux ? Quel impératif climatique oblige Grégory Doucet, le maire de Lyon, à refuser, au nom des principes de la laïcité, d’assister à la cérémonie multiséculaire du Vœu des échevins dans la basilique de Fourvière avant de poser solennellement, le lendemain, la première pierre de la mosquée de Gerland ?

Aucun. La difficulté ? Quand ils s’occupent d’écologie, c’est encore pire. Ce sont des élus qui disent non, non, non. Non à la 5G, qui sert à regarder du porno sur son téléphone dans un ascenseur ! proclame Eric Piolle. Non aux avions de la Patrouille de France, aux voitures des Lyonnais et, désormais aux vélos des coureurs ! affirme Grégory Doucet. Non aux sapins de Noël, au nom de la « charte du droit des arbres » ! annonce Pierre Hurmic le maire de Bordeaux. Ce sont certainement ces urgences qui empêchent ces maires de contenir la montée de l’insécurité jusque dans leurs centres-villes. On pourrait en rire si cette surréalité délirante ne se déployait dans un pays traumatisé par une crise économique, sociale, sécuritaire, sanitaire, environnementale.

Comment qualifier ces pseudo-écologistes ? Ils méprisent le passé, se défient du présent (qu’ils veulent remodeler) et craignent l’avenir. On attendait des amoureux de la vie : voici une nouvelle expression du nihilisme contemporain.  

Source : Le Figaro 12/09/2020

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Journal du chaos

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vendredi, 11 septembre 2020

Les Verts et le Tour de France : pourquoi tant de haine ?

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez là

Allez comprendre, ces élus verts qui mettent tout en œuvre pour rendre la bicyclette laïque, gratuite et surtout obligatoire déploient la même énergie à faire la guerre au Tour de France. Hormis celui qu’ils paraissent avoir dans la tête, il y aurait donc vélo et vélo.

Ainsi, Grégory Doucet, maire de Lyon, vient-il d’annoncer, à l’occasion d’un entretien accordé au Progrès, ce 9 septembre dernier : « Le Tour de France continue à véhiculer une image machiste du sport. […] Quand on défend les valeurs du sport, on défend l’égalité femmes-hommes. Il devrait y avoir un Tour de France féminin depuis longtemps. »

Fort bien. Mais comment faire ? Au tennis, les hommes jouent cinq sets, contre seulement trois pour les femmes, ce qui est tout de même très interpellant au niveau de la parité. Les coureuses devront-elles, alors, se contenter d’un Tour au rabais ? Un demi-Tour, par exemple ? Ou, piste à creuser pour les étapes de montagne, ne descendre que les côtes et se dispenser de les monter ?

En matière de petite reine, les forces de progrès ont déjà remporté une victoire significative avec la fin de ces jolies miss podium qui, à chaque étape, claquaient le bisou aux champions du jour tout en leur offrant un bouquet de fleurs. Ces temps obscurantistes sont heureusement derrière nous, chaque miss podium étant désormais flanquée d’un mister podium. Sûr que le cycliste ayant, la journée durant, sué sang et eau sur ses pédales sera ravi de se faire embrasser à l’arrivée par un grand moustachu brandissant une gerbe de roses.

À propos de femme, il y en a au moins une qui ne trouve pas la farce à son goût : Béatrice Houchard, ancienne rédactrice en chef adjointe du service politique du Figaro et auteur d’un ouvrage faisant autorité en la matière, Le Tour de France et la France du Tour. Dans une tribune publiée, le 16 août, dans le même quotidien, voilà en quels termes elle commente le refus de Nathalie Appéré, maire socialiste de Rennes, sous pression de ses alliés verts, d’accueillir le départ de la Grande Boucle : « Les élus écologistes ne connaissent rien au Tour de France ! »

L’argument économique, tout d’abord, brandi par Grégory Doucet qui prétend : « Le Tour coûte à la ville 600.000 euros, l’ardoise n’est pas anodine. » À ce détail près que, rappelle Béatrice Houchard, « la quasi-totalité des élus qui ont accueilli le Tour sont intarissables sur les retombées économiques et touristiques d’une épreuve retransmise dans 190 pays : entre 1,50 et 4 euros pour 1 euro investi. »

Puis l’argument écologique. Pour ce maire, lui aussi intarissable sur le sujet : « Combien de véhicules à moteur thermique circulent pour faire courir ces coureurs à vélo ? Combien de déchets engendrés ? » Là encore, le maire de Lyon a dû s’embrouiller dans ses fiches, à en croire notre spécialiste : « Cette année, 100.000 sacs-poubelle en matière 100 % recyclée seront distribués sur les routes ; au moins 50 % des déchets seront recyclés ; 63 zones de collecte de déchets réservés aux coureurs seront installées. […] Les 29 véhicules de l’organisations seront hybrides et des voitures 100 % électriques circuleront également. »

La raison d’une telle haine ? Pour Béatrice Houchard, les écologistes « gomment la dimension festive et rassembleuse de l’épreuve. Il suffit d’avoir suivi une seule étape pour le constater : le Tour donne du bonheur et de l’insouciance dans une époque qui en offre si peu. Il rassemble toutes les classes sociales. »

Et la même de poursuivre : « C’est du sport, bien sûr, de la compétition, de l’admiration, mais aussi de l’épopée, de l’histoire, de la géographie, des paysages et des souvenirs. Ce n’est pas pour rien que l’historien Pierre Nora l’a inclus dans ses Lieux de mémoire. »

Le Tour de France ? C’est une fille qui en parle encore le mieux. Qui l’eût cru ? Certainement pas Grégory Doucet et ses amis.

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Une "Casa Pound" à Angers ?

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Décidément, il s'en passe des choses en Anjou... Outre la présence d'un candidat authentiquement national et identitaire, Jean-Eudes Gannat cliquez ici, à l'élection partielle qui doit se dérouler à Saumur le 21 septembre, l'occupation par les patriotes d'un local à Angers, dans la pure tradition de Casa Pound à Rome, suscite bien des commentaires.

S. N.

Communiqué de l'Alvarium (Angers) :

Depuis Novembre 2018, nous avons pris le contrôle de l’immeuble situé au 17 rue Thiers à Angers. Durant 2 ans, nous avons effectué des travaux (l’intérieur était plus qu’insalubre) et utilisé celui-ci pour loger des SDF, des personnes en attente de relogement et des jeunes précaires. Nous avons également pu organiser des activités sociales comme le Noël des malchanceux, ou héberger des gens de passage. Discrètement, à notre échelle, nous avons agi dans la continuité de notre mission de service auprès des français les plus démunis. Et nous continuerons à agir tant que nous serons dans cet immeuble.

Aujourd’hui nous sommes contraints de rendre publique notre action suite au passage d’un huissier venu nous signaler notre obligation de partir. Alors qu’on vient de nous couper l’eau, notre immeuble est menacé de destruction dans le mois qui vient. La mairie a entamé dans le quartiers d’immenses travaux visant à construire un mélange d’appartements classiques et de logements sociaux dont chacun sait que les attributions font l’objet d’une véritable préférence étrangère. Nous refusons ce double mouvement inquiétant de gentrification et d’africanisation de notre ville. Nous ne voulons pas qu’Angers devienne une mégapole envahie et hors de prix comme Nantes ou Bordeaux. Ni spéculation immobilière, ni clientélisme ; nous réclamons la fin de ce projet mené par Abraham Immobilier à la demande de la municipalité. D’une manière plus générale, nous réclamons la mise en place d’un prêt social sans intérêt pour les couples mariés primo-accédants à la propriété, la préférence européenne dans l’attribution des logements sociaux, la fin de l’usure permanente dans notre société et l’encadrement des loyers et du Airbnb à Angers pour bloquer la spéculation immobilière. Mesures défendues également par notre porte-parole Jean-Eudes Gannat comme candidat à la députation dans la 3ème circonscription du Maine-et-Loire.
 
Avant que médias et politiques ne poussent leurs traditionnels cris d’orfraie, nous tenons à clarifier certaines choses. Depuis 2 ans les squats de l’extrême-gauche angevine font l’objet d’une clémence médiatique et juridique totale, malgré un trafic de drogue connu des autorités, et l’hébergement de clandestins présents illégalement sur notre territoire. Les plaintes du voisinage sont même tues par les journaux locaux dont certains journalistes fréquentent le squat. Pour notre part, nous n’avons causé aucun débordement ni aucune dégradation, et nous avons rendu les lieux plus propres et rénovés que lors de notre arrivée. Dans ces conditions, une répression brutale de notre initiative ne ferait que confirmer -en plus du soutien financier de la mairie à l’Etincelle- le parti-pris du Système pour l’anarchie, la drogue et l’immigration illégale.
 
En savoir plus cliquez ici

10:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

11 septembre : anniversaires...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La date du 11 septembre est bien sûr marquée par les évènements que l'on sait - dans les conditions que l'on ne sait pas - de 2001, suivis de l'engagement américain, voulu et coordonné par les néo-conservateurs, dans une offensive aberrante contre l'Irak, opération aux conséquences catastrophiques en termes de déstabilisation régionale créant une onde de choc planétaire.
 
Mais c'est aussi l'occasion de nous souvenir de la libération du Chili par ses forces armées (1). Libération de la dictature marxiste dite d'Unité populaire de Salvador Allende, libération d'un régime qui menait le pays à la ruine et libération de la surenchère de l'activisme gauchiste.
 
Cet événement marqua toute une génération de militants nationaux français. Le fait que la CIA y fut pour quelque chose et que l'école ultra-libérale de Chicago s'empara dans la foulée des rênes économiques du pays nous importait peu. Heureux temps où tout était simple et où un golpe anticommuniste suffisait à notre bonheur.
 
Quoiqu'il en fût : honneur au général Pinochet.
 
(1) 11 septembre 1973.
 
Fondation Augusto Pinochet cliquez ici

10:12 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sénatoriales : une liste du PdF dans le Calvados

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Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France : « Je suis officiellement candidat à l'élection sénatoriale du 27 septembre dans le Calvados. Merci à mes colistiers pour la confiance qu'ils accordent à notre projet de redressement de la France avec le PdF, la vraie droite nationale ! »

10:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 septembre 2020

Le Journal de bord de rentrée de Jean-Marie Le Pen

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16:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alexis Cossette : La crise d’Octobre 2.0

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"Des décisions difficiles" disent-ils...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.
 
La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.
 
Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes  tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.
 
Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.
 
Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire  par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.
 
Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.
 
Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique - les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants - à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.
 
Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.
 
Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.

13:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |