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mardi, 20 octobre 2020

Alexis Cossette-Trudel chez André Bercoff sur Sud Radio

André Bercoff recevait Alexis Cossette-Trudel, auteur et animateur de la chaîne Youtube Radio Québec. Ensemble, ils reviennent sur les élections présidentielles américaines.

Odysee: https://odysee.com/@Radio-Québec_Arch...

Twitter: https://twitter.com/Alexis_Cossette

VK: https://vk.com/radioquebec

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17:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du robinet d'eau tiède à la dissolution du régime.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Détail de l'histoire sanglante de la guerre de conquête islamiste menée depuis treize siècles contre l'Occident, l'Europe et la chrétienté, la décapitation de Samuel Paty a permis la réouverture depuis quatre jour du robinet d'eau tiède de la sensiblerie populaire, du laïcisme militant et de la forfanterie gouvernementale.
 
Sensiblerie populaire avec ses rassemblements pleurnichards, ses litanies profanes, ses bouquets floraux, ses bougies et ses peluches.
 
Laïcisme avec ses incantations archéo-républicaines à la mémoire de Jules Ferry ou du petit père Combes et l'affichage idéologique de la condition sacrée d'enseignant, les "je suis prof" ayant remplacé les "je suis Charlie".
 
Forfanterie gouvernementale avec les éternels "Nous ne tolèrerons pas", "La République ne permettra pas" "Ils ne passeront pas" accompagnés de mesures de circonstances et d'annonces d'apparence comme l'expulsion de quelques deux cents étrangers fichés "S" pour activisme pro-djihad (sur plus de quatre mille), annonce, par ailleurs déjà faite trois jours avant le meurtre et dont on peut s'attendre à ce qu'elle soit largement retoquée par les magistrats, ou encore la dissolution de quelques associations soudainement identifiées par la perspicacité du ministre de l'Intérieur comme "ennemies de la République".
 
Tout cela durera le temps que durent les paroles roses de la République. Jusqu'à la prochaine tuerie.
 
Pour nous qui, depuis des décennies, sonnons le tocsin, rien de nouveau sous la lune de Satan. Le Système qui a voulu l'immigration, laissé se développer au coeur même du Pays les foyers de contamination mortels — clusters des virus combinés du trafic de drogue et de la domination des imams — et encouragé le sapement systématique de tous les piliers de forces — moraux, institutionnels, identitaires et sécuritaires — de l'Etat ne peut évidemment pas être la base de leurs relèvements.
 
"Dissoudre les associations ennemies de la République" nous dit Darmanin qui ne va tout de même pas, la fermeté a ses limites, jusqu'à envisager celle de l'UOIF ni l'interdiction du salafisme et des Frères musulmans. Nous nous disons "Il faut dissoudre ce régime incapable et criminel".
 
Il y a urgence. Qu'on le veuille ou non, le moment de vérité approche. Nous n'avons plus droit ni à l'égarement des divisions ni à la procrastination ni à l'ossification des amertumes.

11:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une nouvelle collection de romans non-conformistes proposée par les éditions Dutan

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L’Occident de Marcel Clouzot (614 pages, 35 euros), préface de Philippe Gibelin

Voici un roman, plutôt une fable philosophique, encore plus forte, plus dérangeante, plus révoltante que Le Camp des Saints, roman de Jean Raspail...

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Les Têtes moches de Serge Horváth (84 pages, 12 euros) 

Le Coronavirus 19 qui a sanctionné la France ne constituait qu’un préliminaire. Dès 2022, au lendemain de la présidentielle, la pandémie prend un tout autre essor et place le pays au bord du précipice. Totalement désorientées et impuissantes, les autorités vont trouver dans l’invention d’un surprenant scientifique une solution radicale au problème.

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Scénario pour deux otages de Philippe Gautier (186 pages, 21 euros), postface de Philippe Randa  

Un coopérant blanc est enlevé en Afrique par une ethnie en guerre contre une autre ethnie, pour la suprématie du pouvoir local. Quelques lignes seulement paraissent dans les journaux…

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01:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 octobre 2020

Samuel Paty avait 47 ans... Il y a 47 ans le mouvement Ordre nouveau avait prévu les risques de l'immigration sauvage... Il a été interdit !

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François Floc'h

Samuel Paty est mort décapité au nom d'Allah ! Prions pour le repos de son âme.

Samuel avait 47 ans et était professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine.

Bien sûr, je ne connais pas Samuel. Certains disent qu'il était "engagé". Que cela veut-il dire ?

Qu'il était "Charlie" comme bon nombre de ses collègues professeurs ? Qu'il croyait à la liberté d'expression mais pas pour tous ? Que, jeune professeur, en 2002, il avait défilé, avec ou sans élèves, contre la présence de Jean-Marie Le Pen au 2ème tour de la Présidentielle ? Ce serait plausible, c'est si courant dans nos lycées et collèges.

Samuel avait 47 ans. C'est bien jeune pour mourir. Et cette mort atroce n'est pas la première. La liste s'allonge. Une mort presque prévisible en quelque sorte... Samuel avait 47 ans !

Et il y a 47 ans, l'année de sa naissance, le mouvement Ordre nouveau, composante du Front national créé l'année précédente, organisait un meeting à la Mutualité. Le 21 juin 1973 très exactement. Sur le thème Halte à l'immigration sauvage ! Il y a 47 ans, l'année de la naissance de Samuel !

Pour stopper l'invasion rampante, qu'ont fait tous nos responsables politiques en 47 ans ? RIEN !

Lâcheté ? Aveuglement ? Idéologie ? Acceptation ? Un mélange de tout cela comme vient de le montrer, ce même soir face à Eric Zemmour, Jean-Pierre Chevènement qui était pourtant loin d'être le pire !

Bien sûr, nos ministres iront faire du voyeurisme à Conflans-Sainte-Honorine au lieu de faire leur "job" qui est de protéger les Français. Nous aurons droit aux discours de "pas d'amalgame", et l'on ira déposer des bougies et participer à des marches blanches. Et l'on traînera devant les tribunaux ceux qui auraient des velléités de résistance. C'est à pleurer !

Une fois encore, la Marseillaise sonnera faux :
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !

22:00 Publié dans François Floc'h, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« ILS NE PASSERONT PAS ! »

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Pieter Kerstens

"Ils ne passeront pas"... Ce mot d’ordre a été lancé par Dolores Ibarruri, « la Pasionaria », le 19 juillet 1936 du balcon du Ministère de l’Intérieur à Madrid : « le Parti Communiste vous appelle au combat, pour écraser définitivement les ennemis de la république et des libertés populaires. NO PASARAN ! »

Si le docteur Micron s’inspire du passé et reprend à son compte ce slogan, la situation n’a rien de comparable, parce qu’à cette époque la guerre civile faisait rage en Espagne, ce qui n’est pas (encore ?) le cas en France. Il aurait mieux fait de se souvenir du message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014, par Abou Mohamed El-Adnani* qui avait déclaré à l’attention des musulmans : « la meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »

Et depuis six ans, ce ne sont pas les exemples qui ont manqué en France et ailleurs en Europe. 

Les intellectuels, les politicards de tous poils et la presse aux ordres nous manipulent, nous mentent et usent de la désinformation au nom du politiquement correct, du padamalgam et du vivre ensemble. Curieusement, les assassinats, les meurtres et les attentats commis contre les européens au nom d’Allah, ne sont nullement exécutés par des individus « gentils », « serviables », « bons pères de famille » ou parfaitement intégrés. Tous sont des délinquants multirécidivistes, bien connus de la police et sont en forte majorité issus de l’immigration, comme l’attestent les rôles que l’ont peut consulter aux audiences des tribunaux.

L’insécurité n’est pas un « sentiment », mais une réalité et un constat depuis fort longtemps, niés par la classe politique, malgré la loi du 14 novembre 1996 qui avait créée un Observatoire national des Zones Urbaines Sensibles, concernant 4,5 millions d’habitants. Cette loi fut supprimée et remplacée le 1erjanvier 2015 par les Quartiers Prioritaires de la politique de la Ville (Q.P.V) soit 1296 quartiers de plus de 1.000 habitants, nécessitant un Kärcher.

Le boomerang leur revient en pleine figure !

De Bernard Tapie à Najat Vallaut-Belkacem, des dizaines de milliards d’euros ont été dépensés dans les Zones de Sécurité Prioritaires, au nom de la Politique de la Ville, par des ministres imbéciles qui pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers. Et depuis des décennies, les instances de l’Education Nationale sont évidemment responsables de la situation dans les écoles, collèges, lycées et universités. A cause de l’égalitarisme et d’un multiculturalisme enrichissant, le niveau des connaissances n’a cessé de baisser, comme l’atteste le livre de J-P Brighelli, « la fabrique du crétin » (écrit en 2005), à tel point que plus de 25% des étudiants universitaires ne maîtrisent ni l’écriture ni la compréhension d’un texte simple…à défaut de pouvoir penser et d’exprimer une idée avec un vocabulaire adéquat.

La violence existe dans l’école depuis « la guerre des boutons » et n’a fait qu’empirer au cours des années par l’apport de communautés étrangères, dont les agissements sont minimisés par les rectorats et passés sous silence par le corps éducatif par crainte de représailles ou par lâcheté. On en voit le résultat maintenant.

Il faut en finir avec les dogmes et l’idéologie socialaud-marxiste qui ont ruinés l’enseignement depuis trop longtemps, mais favorisés l’expansion de l’Islam dans nos banlieues.

* De son vrai nom Taha Sobhi Falaha, né en 1997 à Binnish dans le gouvernorat d’Idleb en Syrie. Co-fondateur du Front al-Nostra en 2012, il rallie l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL) en 2013. C’est lui qui annonce la restauration du califat le 29 juin 2014 et la désignation d’Abou Bakr al-Baghdadi comme « calife ». Porte-parole et chef militaire, Al-Adnani devient « Ministre des attentats » de l’Etat Islamique à partir de 2014, à la tête d’une cellule secrète « l’Amniyat ». Il est tué le 30 août 2016 dans le gouvernorat d’Alep par un missile tiré par un drone.

NDLR SN : "Ils ne passeront pas"... Macron aurait dû réfléchir et se montrer plus prudent avant de lancer cette phrase car l'exemple n'est pas très heureux et peu même laisser craindre le pire. En effet, quelques mois après cette harangue restée célèbre de la furie communiste madrilène, les troupes nationalistes du Général Franco et les phalangistes "passèrent" et, en 1939,  libérèrent l'Espagne de la dictature sanglante imposée par les "républicains"...

17:49 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour l’Artsakh

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Georges Feltin-Tracol

Le 27 septembre dernier, après plusieurs journées de manœuvres militaires conjointes avec les forces turques, l’armée azérie a lancé une offensive surprise contre la république indépendantiste d’Artsakh. Appelé aussi en Occident « Nagorny Karabakh » ou « Haut-Karabakh », ce qui signifie en turco-persan « Jardin noir montagneux », la république d’Artsakh couvre 11 430 km² et abrite environ 150 000 habitants. Le 2 septembre 1991, dans les soubresauts de la Perestroïka gorbatchévienne, la majorité arménienne chrétienne de ce territoire autonome s’affranchissait de la pesante tutelle de l’Azerbaïdjan turcophone de confession chiite. Il en résultait un violent conflit auquel participât l’Arménie ex-soviétique. Victorieuses, les troupes arméniennes libérèrent l’Artsakh et occupèrent sept régions azéries coincées entre le nouvel État séparatiste et l’Arménie, en particulier le corridor stratégique de Lachin (ou de Berdzor). L’exclave azérie du Nakhitchevan nichée entre le Sud-Ouest de l’Arménie et la Turquie parvint toutefois à expulser tous ses Arméniens. Depuis 1994, malgré la répétition plus ou moins fréquente d’incidents le long de la ligne de cessez-le-feu, le conflit était considéré comme « gelé ».

Avec l’accord plus ou moins tacite du président Erdogan, l’homme fort de Bakou, Ilham Aliyev, a donc relancé les hostilités. Fort des ressources en hydrocarbures de la Caspienne, l’Azerbaïdjan a modernisé son outil militaire et acquis des drones de guerre à Israël. Des conseillers israéliens ont formé bien des militaires azéris. Outre des considérations géopolitiques et économiques, Tel-Aviv n’a jamais apprécié la concurrence mémorielle arménienne.

Attentive à la crise au Bélarus, la puissance régionale russe constate le fait accompli azéri. Si Moscou livre des armements aux deux camps, son armée dispose de trois bases en Arménie, membre de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC). Le complexe militaro-industriel russe détient environ 5 % de l’industrie de l’armement arménien. Une défaite arménienne, partielle ou complète, marquerait la fin programmée de l’influence russe et son remplacement progressif par la Turquie.

Dès la reprise des combats, le dirigeant azéri a instauré la loi martiale et décrété la mobilisation générale. L’Arménie et l’Artsakh ont à leur tour répliqué en procédant de même tout en se félicitant d’une augmentation immédiate des engagements. Les affrontements sont féroces sur les terrains élevés et venteux du Petit Caucase. Dans le ciel, un SU-25 arménien aurait peut-être descendu un F-16 turc… Des drones azéries survolent Stepanakert, la capitale d’Artsakh, et violent souvent l’espace aérien arménien.

Si Erevan reconnaît seul l’existence de l’Artsakh, le parlement autonome de la province basque de Guipuscoa a néanmoins voté une reconnaissance officielle le 11 septembre 2014. Quelques jours plus tard, le parlement de la communauté autonome du Pays Basque adoptait une motion favorable à l’autodétermination de l’Artsakh. En France, le PCF a pris officiellement position en faveur de ce processus indépendantiste, le 31 octobre 2019. Pour compliquer la situation, la République islamique d’Iran a toujours assisté l’Arménie chrétienne et lui permet de contourner le blocus turco-azéri. De son côté, le président bélarussien Loukachenko a confirmé son soutien à Bakou alors que le Bélarus appartient aussi à l’OTSC.

Outre un inacceptable blocus vieux de vingt-cinq ans, la Turquie offre à l’armée de l’Azerbaïdjan des experts en armement de pointe et du matériel militaire. Ankara lui a aussi envoyé des terroristes islamistes de l’Armée nationale syrienne, déjà habitués à massacrer les Arméniens de Syrie, et d’autres racailles droguées recrutées sur le front libyen au grand dam, d’ailleurs, de certains prédicateurs religieux. La reprise de ce vieux conflit contredit le dogme cosmopolite de la « mondialisation heureuse ». Les parties combattantes défendent leur propre vision soldatique du monde. L’une repose sur l’idée nationale-populaire liée à une terre ancestrale. L’autre se fonde sur une conception étatique et régalienne issue du vieil ordre de la Terre.

Sentinelle orientale et caucasienne de la civilisation albo-européenne, le peuple arménien doit être aidé, soutenu et appuyé par l’ensemble des États européens, y compris ceux de l’Union supposée européenne. Or, la plupart des membres falots de ce club obèse et sclérosé ne veut mécontenter ni le reis turc, ni le dirigeant azéri. Ce dernier dispose en outre d’un puissant et efficace réseau d’influence en Europe occidentale. En septembre 2015, le régime azéri qualifié de « dictature » dans un reportage de l’émission de France 2, « Cash Investigation », poursuivait en diffamation les journalistes Élise Lucet et Laurent Richard. En novembre 2017, le tribunal correctionnel de Versailles jugeait la procédure irrecevable au nom de la loi sur la presse de 1881. Quelques mois plutôt, la même juridiction avait prononcé un non-lieu en faveur de l’ancien député UDI de la Loire, François Rochebloine qui avait traité ce régime d’« État terroriste ». Le centriste perdit néanmoins son siège aux législatives de 2017 au profit de la candidate macronienne qui sut pour l’occasion bénéficier de l’électorat d’origine turque dans une circonscription qui compte pourtant de nombreux descendants d’Arméniens.

Les nabots de l’Union dite européenne préfèrent sanctionner le Bélarus du président Alexandre Loukachenko à l’initiative du gouvernement droitard atlantiste de Varsovie, ce même gouvernement qui a interdit l’entrée dans l’Espace Schengen de l’essayiste réfractaire étatsunien Jared Taylor. Les plus fortes réticences proviennent de la Hongrie illibérale de Viktor Orban. Le tropisme touranien n’est pas une illusion. En fructueuses relations avec Ankara et Bakou, Budapest se range du côté de l’Azerbaïdjan au nom du respect des frontières et de l’intégrité du territoire. Cette justification diplomatique étonne quand on se souvient que le ministre-président hongrois, ancien étudiant subventionné de George Soros et vieux pote de notre cher Bernard-Henri « Botule » Lévy, a octroyé la citoyenneté hongroise aux minorités magyares de Transylvanie roumaine, de Slovaquie, de Voïvodine serbe, de Ruthénie subcarpathique ukrainienne, du Burgenland autrichien, de Croatie et de Slovénie.

Viktor Orban avait déjà accepté les stupides traités de libre échange avec le Canada et d’autres pays. Il avait auparavant autorisé en 2017 l’expulsion de l’avocat Horst Mahler qui croupit maintenant dans des conditions déplorables dans une cellule allemande. Cet équivalent germanique d’Hervé Ryssen a perdu sa liberté pour de simples recherches historiques contemporaines ainsi que pour des saluts tendus, anticipant les indispensables gestes barrières contre le « couillonavirus ». Le responsable hongrois donne donc un nouveau coup de poignard dans le dos de l’idée albo-européenne. Qu’en pensent les éternels cocus conservateurs de l’Hexagone qui ont les yeux de Chimène pour l’illibéral du Danube ?

Les patriotes européens connaissent pour leur part les enjeux. Ils comprennent que notre avenir commun se joue aux confins de notre continent. Ils ne peuvent pas par conséquent s’en détourner. Ils doivent au contraire prendre fait et cause pour la république d’Artsakh et son union inévitable avec ses vaillants frères d’Arménie. Pour les Européens de France, l’Arménie est notre autre Liban.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°186 mise en ligne sur TVLibertés, le 13 octobre 2020.

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dimanche, 18 octobre 2020

Incertitudes sanitaires et certitudes d’un effondrement à venir

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

L’activité économique en Europe va être frappée par les restrictions sanitaires, suite aux 100.000 nouvelles contaminations par jour. La reprise s’essouffle et de nouvelles dépenses publiques sont nécessaires. « L’ascension de la reprise sera probablement longue, inégale et incertaine », selon l’économiste en chef du FMI Gita Gopinath. Les banques centrales veulent un peu d’inflation pour abaisser le poids de l’endettement et relancer l’activité économique, mais elles sont incapables de la générer. Elles incitent donc les gouvernements à dépenser.

Le FMI subit des pressions pour vendre une partie de son or afin d’aider les pays les plus pauvres, mais un porte-parole a indiqué « que le FMI n’a aucune intention de vendre de l’or, afin d’offrir une solidité fondamentale à son bilan, ce qui lui permettra de prêter à des taux attractifs ». L’or restera une composante clé de son portefeuille.

En France, les plans sociaux commencent à se multiplier tandis que les intentions d’embauche de cadres s’effondrent. Les recrutements dans les entreprises privées devraient chuter de 30 à 40 % par rapport aux 281.300 recrutements de cadres en 2019. De son côté, le spécialiste des finances publiques François Ecalle a montré à quel point, malgré le maintien des taux bas – ce qui n’est pas garanti -, le redressement des comptes de la dette publique, sans augmentation d’impôts et de prélèvements sociaux déjà les plus élevés de l’OCDE, est pratiquement impossible. Avec une croissance du PIB de 1,4 % par an et des dépenses de 2 % (niveau moyen observé de 1998 à 2008), le déficit public augmenterait chaque année et s’élèverait à 7,9 % du PIB en 2030 tandis que la dette publique atteindrait 142 % du PIB.

Dans la zone euro, la chute des prix s’est établie à -0,3 % en septembre, contre -0,2 % en août. La reprise économique de l’Allemagne s’essouffle ; le niveau de l’emploi avant crise ne sera atteint, au mieux, avant mi-2022. Christine Lagarde a exhorté les États à ne pas diminuer brutalement les dépenses publiques pour éviter un « effet de falaise ». Désespéré, le commissaire européen Paolo Gentiloni estime qu’il faut casser le thermomètre et revoir les critères de Maastricht. Le Système, une fois de plus, montre qu’il ne voit pas d’autre possibilité que la fuite en avant avec augmentation de l’endettement public et de la création monétaire par les banques centrales.

Quant à l’Italie, c’est le miracle ! L’Italie va finir l’année 2020 avec une dette publique égale à 158 % du PIB, mais elle n’a jamais emprunté à un taux aussi bas car le gouvernement Conte, contrairement à Salvini, a fait profil bas et confirmé son allégeance à l’Union européenne. Le Trésor italien emprunte, actuellement, à trois ans à -0,3 % et à 10 ans à 0,64 %, les obligations nouvelles étant entièrement souscrites par la BCE !

Pour le Système, le risque n’est plus celui de la signature d’un pays tel que l’Italie ou la France, mais celui de l’effondrement des économies face au Covid-19. L’ampleur de la dette italienne et l’incapacité de rembourser sont devenues subitement tout à fait secondaires. Or, en 2013, avec la fin des rachats de dettes sur les marchés par la Fed, les taux avaient, immédiatement, bel et bien grimpé. La seule issue finale possible ne pourra être, alors, qu’une hyperinflation pour régler le problème de la dette italienne avec, à la clé, l’explosion de la zone euro et la dévaluation des monnaies nationales.

Aux États-Unis, les 898.000 inscriptions hebdomadaires au chômage repartent à la hausse. Le déficit public américain, en septembre 2020, a atteint 3.132 milliards de dollars, multiplié par plus de trois par rapport aux 984 milliards de 2019. En 2009, en pleine récession de la crise des subprimes, le déficit s’était établi à « seulement » 1.400 milliards de dollars. Et, pour arranger le tout, un nouveau plan de dépenses de 1.800 milliards de dollars pour les républicains, de 2.200 milliards de dollars pour les démocrates, s’impose d’une façon urgente !

Le monde ne tourne plus rond depuis la déclaration de l’inconvertibilité du dollar en or par Nixon en 1971. Le système monétaire mondial sera emporté. L’issue finale ne peut être que l’hyperinflation pour régler le problème des dettes avec, comme modèles, les 1.000 % actuels d’inflation du Venezuela ou les 140 % de l’Argentine en 2018 !

15:18 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 octobre 2020

Le nouveau numéro de Terre & peuple magazine est sorti

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N°85 - 9 €

Site de Terre & peuple cliquez ici

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La plupart des musulmans ne feignent même plus de condamner les attentats islamiques

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Thomas Joly, Président du Parti de la France

L'observation des réseaux sociaux, juste après un nouvel attentat au nom d'Allah, est toujours édifiante. Ça l'est encore plus suite au nouvel acte de barbarie islamique commis hier à Conflans-Sainte-Honorine.

Déjà, il faut rappeler le contexte de cette exécution : une campagne de lynchage du professeur de collège qui avait montré des caricatures de Mahommet à ses élèves était orchestrée depuis deux semaines par des parents d'élèves musulmans, avec la complicité d'autres professeurs qui leur avaient fourni toutes les coordonnées personnelles de leur collègue ainsi que ses heures de sortie de cours !

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Habituellement, du bout des lèvres, imams et Mahométans condamnent avec gravité les attaques terroristes islamiques en précisant qu'elles n'ont rien avoir avec l'Islam. Un grand classique. La Taqîya de base.

Mais cette fois-ci, au-delà de très molles indignations d'usage, on assiste à des commentaires extrêmement virulents et agressifs justifiant quasiment l'égorgement et la décapitation du professeur qui a outragé, selon eux, leur « prophète ».

Les messages du style « il l'avait bien cherché », « on ne blasphème pas Mahommet » ont fleuri partout sur la toile, par milliers. Avec également des avertissements virulents, intimant de ne pas stigmatiser l'Islam et de ne pas faire de récupération politique « raciste » et « d'extrême-droite »...

L'avantage, c'est que cela fera peut-être comprendre à nos compatriotes que les auteurs potentiels d'attentat sont bien plus nombreux que médias et gouvernants ne veulent le faire croire, que des afro-musulmans enragés prêts à céder, au moindre prétexte, à leurs pulsions haineuses anti-occidentales sont des milliers, et qu'ils en croisent chaque jour dans notre pays en phase de colonisation avancée.

Nous ne pourrons inverser le cours des événements qu'en réalisant trois choses :

1 - Écarter du pouvoir tous ceux qui ont la responsabilité de la colonisation migratoire et islamique de la France.

2 - Mettre en place une remigration massive et irréversible des immigrés afro-musulmans, Français de papier compris, dans leur pays d'origine.

3 - Réaffirmer l'identité européenne et spirituelle de notre civilisation en envoyant au diable l'universalisme républicain qui nous a amené au désastre actuel.

Tout le reste n'est que littérature.

Blog de Thomas Joly cliquez ici

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Imprévoyance, impéritie, incurie et incompétence.

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Pieter Kerstens

Partout en Europe, mais particulièrement en France, les chefs d’Etat et de Gouvernement ne sont effectivement pas responsables de l’épidémie de Coronavirus qui provient bien de Chine.

Par contre, les stratégies et les différentes mesures adoptées par les ministres et les fonctionnaires pour combattre le Covid 19 démontrent à l’usage et après de longs mois leur incapacité à résoudre certains problèmes.

La gestion calamiteuse de cette crise sanitaire conduit aujourd’hui 6 ministres ou grands fonctionnaires devant la Haute Cour de Justice en France, sur plaintes de médecins, de malades ou d’associations diverses. On doit faire appel à son « devoir de mémoire » durant les heures les plus sombres du Printemps Connardo virus pour se souvenir des déclarations diverses et variées de ceux qui étaient aux manettes de l’Etat.

« La pandémie de Covid-19 est le pire fléau que connaisse l’Europe depuis un siècle »,avait déclaré le docteur Micron le jeudi 12 mars dernier. FAUX !

En 1968-1970, le virus H3N2 déclenche la « grippe de Hong-Kong » qui fait le tour du monde entre l’été 1968 et le printemps 1970. Il traverse d’abord l’Asie, puis fin 68 les Etats-Unis et déferle sur l’Europe fin 69. Bilan = 1,5 million de morts, dont 32.000 pour les seuls mois de décembre 1969 et janvier 1970 en France. Au 17 octobre 2020 nous en sommes à 32.600 en 8 mois, pour le Covid 19….

En 2009 et 2010, l’épidémie de grippe A du virus H1N1, provenant également de Chine, contamine environ 25 millions de cas confirmés et tue au moins de 280.000 personnes dans le monde et quelques milliers en France.

En fermant les commerces « non essentiels », les usines, les lieux sportifs, les cinémas, les restaurants ou les bars et en obligeant la population à se cloitrer à domicile, le gouvernement français et les autres Européens ont mis leur pays à genoux et instauré un chaos économique que chacun mettra des années à surmonter. Quand le docteur Micron répète à 6 reprises le 16 mars que « la France est en guerre »il aurait quand même dû connaitre l’état de son armée sanitaire et les moyens dont elle disposait. Pas de masques, pas de tests, pas assez de respirateurs artificiels et manque de lits en réanimation, car 35% ont été supprimé depuis 1990 face à une population en hausse de 20%.

Cette déclaration présidentielle est reprise par l’ensemble de la presse subventionnée et par le journaliste Etienne Henri dans « Economie Matin » du 25/03/2020 : « La guerre contre SRAS-Cov-2 risque fort de rejoindre la longue liste des guerres ingagnables comme celle contre la drogue, la pédophilie ou encore le terrorisme. » Quelle combativité !

Dès le mois de mars, j’avais attiré l’attention de mes lecteurs sur les effets néfastes des décisions prises par les incapables au Pouvoir qui par lâcheté ont rejeté leurs obligations sur le dos de leurs concitoyens en les culpabilisant et en les accusant de fautes inexistantes, pour maintenant leur imposer un couvre-feu imbécile, car chacun sait que le virus se lève à 21 heures et se couche à 6 heures, comme les « nuiteux ».

En matière d’économie, les miracles n’existent pas. Si l’Etat règle les factures, dans sa grande mansuétude, ce sont quand même les citoyens qui payent au bout du compte.

19:26 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CE N'EST POURTANT PAS FAUTE D'AVOIR SONNÉ LE TOCSIN...

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15:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'Histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
 
Aussi abominable soit-il cet acte n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
 
Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc". 
 
Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui, non content de cadenasser les libertés publiques et individuelles, abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.

10:27 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 16 octobre 2020

Méridien Zéro consacre une émission sur le corporatisme avec Gabriele Adinolfi et Georges Feltin-Tracol

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Pour écouter l'émission cliquez ici

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23:04 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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22:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 15 octobre 2020

D'un couvre-feu, l'autre.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
 
Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
 
Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
 
Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
 
La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.

16:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès d'un camarade de toujours, Jean-Baptiste Chaumeil

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Jean-Baptiste avait été opéré du coeur il y a quelques jours. Alors qu'il se remettait doucement, il est décédé subitement lundi dernier. 

Très connu et très apprécié dans les milieux nationalistes et bien au-delà, Jean-Baptiste Chaumeil avait été, depuis son engagement alors qu'il était encore lycéen, de tous les combats pour la France française. Militant, il était de ceux qui, sans jamais chercher à en tirer une quelconque gloire, n'hésitent pas à organiser des campagnes pour les causes qui leur semblent justes. Ecrivain, il consacra plusieurs ouvrages à Jacques Perret dont il connaissait parfaitement l'oeuvre. Il avait aussi participé au Choeur Montjoie Saint Denis qui anime avec talent et entrain, depuis des décennies, les réunions patriotiques.

De bonne lignée, Jean-Baptiste était le fils de Pierre Chaumeil, longtemps président des journalistes de la presse catholique et monarchiste.

Pour nous tous qui le connaissions depuis toujours, l'annonce de sa disparition est une nouvelle douloureuse. Nous pensons à sa nombreuse famille. Une cérémonie religieuse se déroulera demain vendredi à Paris et il sera enterré samedi en Auvergne, région qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

11:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 14 octobre 2020

L'émission Synthèse sur TV Libertés avec Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général de l'Institut Jean-Marie Le Pen avec Roland Hélie et Philippe Randa

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Pour contacter l'Institut :

institutjeanmarielepen@gmail.com

 

20:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vous avez aimé les « fake news » ? Vous adorerez le « deepfake »…

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La chronique de Philippe Randa

L’époque étant à la paranoïa épidémique, un virus n’en chasse pas toujours un autre : tandis que la covid-19 continue de bouleverser les économies mondiales plus encore que les nuits des hypocondriaques, la nouvelle menace planétaire a nom « deepfake » (« hypertrucage » en français) ; à ne pas confondre avec les « fake news » (fausses nouvelles dans la même langue de Molière).

Le « deepfake » a été créé « pour désigner essentiellement des techniques de manipulation de l’image par l’intelligence artificielle pour créer des fausses vidéos. Par exemple, à partir d’une image d’un individu, une intelligence artificielle crée une mini vidéo qui donne l’impression que cette personne parle », nous apprend l’OJIM (L’Observatoire du journalisme dont on ne peut que conseiller la lecture régulière sur www.ojim.fr).

Après le texte, l’image est donc dans le viseur des manipulateurs de tous acabits et les victimes sont aussi « people » que « politiques » : de l’actrice israélienne Gad Gadot dont la jolie frimousse s’est retrouvée sur un corps qui n’était pas le sien dans une vidéo pornographique ou encore en 2018 quand « le réalisateur américain Jordan Peele avait créé un “deepfake d’Obama” pour montrer la puissance de cette technologie » en passant, il y a peu, par le candidat démocrate Joe Biden qui se serait endormi – à l’insu de son plein gré, of course ! – en pleine interview.

D’où, les mises en garde de plus en plus nombreuses – entre autres du département de la Défense américain – de l’important danger représenté par les « deepfake » lors des consultations électorales.

Les Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon) prennent la menace particulièrement au sérieux…

Attention : certains suspicieux pourraient ainsi estimer que les interventions pour le moins ubuesques de l’ancienne porte-parole de l’Élysée Sybeth Ndiaye n’avaient pu être en leur temps qu’une suite de « deepfake » ; ceci aurait alors expliqué cela, mais, hélas ! à ce jour, l’Élysée n’a toujours pas démenti.

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11:09 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 13 octobre 2020

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MERCREDI PROCHAIN, 14 OCTOBRE, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS AVEC LORRAIN DE SAINT-AFFRIQUE

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16:52 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un général n'a jamais fait le printemps.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les grenouilles qui, frénétiquement, se cherchent un candidat-roi dans la perspective de 2022 et continuent, contre toute évidence, à espérer le trouver ailleurs que dans la sphère politique, en seront une fois de plus pour leurs frais. Je crains que ce ne soit pas la dernière.
 
Il suffit de lire l'entretien que vient d'accorder le général de Villiers au Figaro Vox pour comprendre qu'un superbe képi, un brevet para, de beaux commandements militaires, une carrière magnifique et de bonnes intentions ne font pas, malgré le respect que tout celà nous inspire, un chef de peuple.
 
Le combat politique quand il vise au plus haut, suppose un lent apprentissage, un processus militant et méditatif qui exige le temps long du mûrissement qu'aucun cours accéléré de rattrapage ne peut remplacer.
 
Quand l'ancien chef d'état-major des Armées parle à propos des cités de "nos jeunes", quand il multiplie les considérations consensuelles sur la cohésion nationale, quand il effleure avec peine les problèmes majeurs auxquels la France et la civilisation sont confrontées, on se dit que les beaux sentiments sont faits pour aider les hommes méritants à vivre le reste de leur vie dans la méditation et le silence mais surtout pas dans l'action.
 
De quoi Pierre de Villiers est il le nom ? De l'eau tiède.

16:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 octobre 2020

Pierre Jovanovic sur l'actualité

independenza webtv s'est entretenu avec Pierre Jovanovic sur l'actualité.

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Source: independenza webtv

 
 

23:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre le nouvel ordre sanitaire

BHL-Virus-195x300.jpgDaniel Cologne

Dans l’ensemble, notre famille de pensée a bien réagi au « confinement » du printemps 2020, qui était une quarantaine n’osant pas dire son nom (voir Éléments, n° 184, encadré de la page 37). Dans le même numéro, Hervé Juvin se demande si tout principe poussé à son extrême ne finit pas par s’inverser. Cela expliquerait comment, après un demi-siècle entonnant l’hymne à la grande déesse Mobilité, on est passé du jour au lendemain à l’arrêt de la quasi-totalité de la planète.

Toujours dans la même livraison, ainsi que dans la suivante (Éléments, N° 185), je recommande la lecture des articles de Slobodan Despot, tout comme dans Synthèse nationale (n°54 cliquez ici), je conseille de lire les contributions de Pieter Kerstens, Bernard Plouvier et Charles-Henri d’Elloy. De tous ces très bons textes se dégage l’idée que les mesures de sécurité prônées par les conseillers scientifiques et relayées par les dirigeants politiques sont disproportionnées par rapport au risque sanitaire réel.

J’ai toutefois choisi de m’attarder sur le livre que Bernard-Henri Lévy a consacré à ce nouvel ordre sanitaire, alors que la France et la Belgique rivalisaient d’incohérence pour amorcer le « déconfinement ». D’aucuns vont s’étonner que je fasse une recension plutôt favorable de cet ouvrage. Elle ne change rien au fossé idéologique qui me sépare de cet auteur, mais je ne suis pas un lanceur de tartes à la crème et, lorsque paraît Ce virus qui rend fou, je ne me sens pas tenu d’ironiser : « le Lévy nouveau est arrivé ».

Bien sûr, si « le moi est haïssable » et si cette sentence pascalienne peut servir d’ingrédient à une critique de l’individualisme, les singularités collectives que sont les peuples ne doivent pas pour autant être absorbées par le grand mélange, surtout qu’en l’occurrence c’est l’homme albo-européen qu’on invite à devenir « l’otage » du Big Other. Pourquoi les peuples ne pourraient-ils pas vivre côte à côte, dans le respect réciproque de leur « étymon spirituel » (Léo Spitzer) ? Je suis pour une fédération de grands ensembles impériaux dont les relations pacifiques dépendent précisément, non d’une mixture mondiale selon la doxa dominante actuelle, mais de cette persévérance ontologique évoquée par Heidegger et reformulée par Alexandre Douguine.

C’est peut-être sur une idée de ce type que travaille René Guénon peu avant 1930 et son installation en terre musulmane d’Égypte. Une des rares fois où j’ai entendu prononcer le nom de Guénon à la télévision, c’est dans la bouche de BHL au cours de son émission « Les Aventures de la Liberté » (vers le milieu des années 1990, me semble-t-il). Guénon « tiers-mondiste » ? Oui, mais pas au sens de Franz Fanon et Jean Ziegler. « L’autre tiers-mondisme » de Guénon implique une critique impitoyable de l’égalitarisme moderne.

Il m’empêche que j’ai apprécié certaines pages du petit livre de BHL et que je partage quelques-unes de ses réactions face à la quarantaine du printemps 2020, qui est aussi une parodie de la fonction prophétique à travers les courbes exponentielles et anxiogènes des fameux modélisateurs. À propos de Roselyne Bachelot, dont il discerne la « feinte humilité », BHL écrit : « On la consulte comme un oracle (p. 20). » il compare à une « Pythie triste » le chef du conseil scientifique qui annonce chaque soir « le nombre des morts de la journée (p. 19) ».

En me remémorant les opinions contradictoires des « experts » conviés par les diverses chaînes de télévision, je crois aussi « qu’écouter ceux qui savent, si c’est bien des scientifiques que l’on parle, c’est écouter une pétarade perpétuelle et, quand on est un État, inviter la foire à la table du roi ! (p. 24, c’est BHL qui souligne) » Et si le virus était « un dérèglement dans la combinatoire d’organes et de pathologies qui fait un sujet singulier ? » Alors, « les metteurs en scène du grand spectacle de la guerre au virus (p. 51) » perdraient tout crédit et mériteraient le ton quelque peu moqueur des responsables suisses, bien meilleurs gestionnaires de la crise sanitaire que leurs homologues belges et français.

Je conçois le « malaise » que l’on peut éprouver devant « notre ahurissante docilité à l’ordre sanitaire en marche et à sa mise en demeure des corps (p. 73) ». Une sorte d’apartheid générationnel peutêtre décrypté dans les propos d’une « cheffe de service à l’hôpital Saint-Antoine » ou de « bio-éthiciens américains » exhortant « ceux du grand âge » à ne pas encombrer les salles de réanimation, « à céder leur place aux plus jeunes pour les tests et les vaccins », bref « à crever sans faire d’histoire (p. 77) ». Il est légitime de s’interroger sur « le peu de débats que suscitèrent, finalement, les projets de traçage numérique présentés, dans tout l’Occident, comme le moyen le plus sûr de vivre un déconfinement heureux (p. 78) ».

Qu’un reportage au Bangladesh, réalisé avant la mise en quarantaine, mais paru après en raison des « délais d’écriture et d’impression », puisse être tenu pour un « exemple de relâchement » : voilà qui illustre bien « l’empire du procès » épinglé par Régis Debray parmi les « coûts de la sujétion numérique ». Voilà de quoi faire planer la plus grande méfiance « sur les réseaux dits sociaux, c’est-à-dire, de plus en plus souvent, asociaux (p. 88) ».

Pour se convaincre que la vie doit aspirer à une dimension qui la dépasse, on peut faire appel à « toutes les sagesses du monde, la juive mais pas seulement (p. 81, c’est moi qui souligne) ». Se référer à sa propre tradition ancestrale ne doit postuler aucun exclusivisme. BHL convoque aussi un dialogue platonicien pour conjurer le péril d’un nouvelle « montée du pouvoir médical (p. 17) », déjà incarné, dès l’Antiquité romaine, par Galien, « quasi-directeur de conscience » de trois empereurs, et à l’époque de la Révolution française, par le magistrat-médecin Cabanis qui échappe à la Terreur.

Enfin, est-on bien certain que la crise sanitaire du printemps 2020 n’a pas accentué « une tendance lourde de nos sociétés (p. 85) » qui existait déjà auparavant ? Certes, le « préfet » qui donne ses directives par microphone dans la dystopie d’Hermann Kasack (La Ville au-delà du fleuve) cède la place aux images de Jérôme Salomon et Emmanuel André, spécialiste du dénombrement quotidien et macabre des personnes infectées, hospitalisées, réanimées et décédées.

Mais prenons garde. Demain, c’est peut-être tout notre patrimoine civilisationnel (« opéras, philharmonies, les plus grands musées du monde ») qui nous sera « servi, en mode virtuel, sur le plateau d’un petit déjeuner au lit à perpétuité (p. 84) ». Un astrologue prédit que les années 2001 – 2100 seront « le siècle des virus ». Vers quel monde irions-nous au fil des pandémies futures ? « Un monde où règnent les techniciens de la ventilation, les surveillants généraux de l’état d’urgence, les délégués à l’agonie. Un monde où, à la place du monde qui fait trop mal, on a des gels hydro-alcooliques, des balcons où l’on s’auto-complimente, des chiens à promener deux fois par jour muni de son attestation covid et des villes expurgées de la foule humaine comme une salle d’opération de ces infections nosocomiales (p. 103). »

Allons-nous docilement accepter une société qui bannit la poignée de mains et où les masques-barrières ostracisent l’échange de sourires conviviaux ?Allons-nous tolérer que des « applications numériques » deviennent pourvoyeuses « de télétravail, télé-enseignement, téléconsultation, télétransport (p. 77) », sans oublier les jeux vidéos garantissant aux plus jeunes un apprentissage ludique dans la ligne des pédagogies progressistes ?

Comme Pieter Kerstens, je précise que j’appartiens à la génération « à risques ». Mais il faut savoir vivre avec un virus comme avec le péril d’un déraillement de train, le danger quotidien d’une agression dans un monde qui s’ensauvage, la certitude, deux ou trois fois par été, de canicules et de vagues de chaleur appelées à s’intensifier dans un futur proche. En un mot, comme l’écrit le collaborateur de Synthèse nationale, il faut aborder le problème en adulte, alors que les conférences de presse de Sophie Wilmès cherchent à nous infantiliser et que les médias, la chaîne française LCI et sa pâle copie belge LN24, nous inoculent les poisons de l’incertitude et de la peur.

Je respecte le personnel hospitalier, qui a besoin d’un statut humain et financier revalorisé, et non de cette parodie de fonction guerrière offerte par Macron, Philippe et Véran, leur « front » de soignants, leur « première ligne » d’infirmières et leurs « brigades » de traceurs numériques. Je suis conscient de pouvoir être affecté ou emporté par le covid-19, comme le journaliste Mazerolles et l’ancien arbitre de football Javaux, comme le politicien Devekian et le chanteur Christophe.

J’apporte néanmoins mon soutien à des groupes comme « Folie virale » et à leurs manifestations dont j’espère qu’elles se multiplieront en réunissant des milliers de personnes, comme en Allemagne ou aux États-Unis, et non quelques centaines, comme le 16 août à Bruxelles, parmi des Belges bien timorés. C’est pourtant la Belgique qui a le triste record du plus mauvais ratio décès/nombre d’habitants, malgré des mesures tantôt drastiques, tantôt incohérentes, parfois ridicules (comme la « bulle » de cinq personnes), souvent injustes (je pense par exemple au sort réservé aux forains).

La « crise » du coronavirus est loin d’être close. La rentrée scolaire et estudiantine peut réserver une mauvaise surprise. Certaines populations européennes (Belgique, France, Italie, Espagne) semblent ne plus avoir la maturité de leurs aînés qui sont passés à travers les épidémies grippales de 1957 et 1969 sans céder à la panique. C’était aussi un temps où les gens n’étaient pas encore lobotomisés par les media et où les gouvernants ne s’aplatissaient pas devant « un savoir approximatif qui se donne pour une science ». Régis Debray parle ici de l’économie qui a dicté sa loi durant le cycle 1970 – 2020. Mais qu’en est-il de la virologie, parodie de fonction souveraine en ce pénible millésime qui touchera bientôt à sa fin ?

• Bernard-Henri Lévy, Ce virus qui rend fou, Grasset, Paris, 2020, 112 p., 8 €.

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dimanche, 11 octobre 2020

La machine infernale lancée depuis 2008 finira sa course contre un mur

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Marc Rousset

La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive, vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.

On assiste à un grand écart entre les marchés dopés par l’expansion monétaire et l’économie réelle. En réalité, l’effondrement de l’économie et l’hyperendettement sont masqués par une création monétaire par les banques centrales sans précédent. Selon l’économiste suisse Marc Faber, « la question se pose aujourd’hui de savoir si l’on se rue dès à présent dans les canots de sauvetage ou si l’on attend encore un peu dans l’espoir que le capitaine offre une tournée gratuite ».

Depuis le début de la pandémie, le bilan de la Fed a fait un bond spectaculaire, passant d’environ 4.000 milliards de dollars, en janvier, à environ 7.000 milliards, fin août, soit environ 30 % du PIB des États-Unis. En Europe, alors que le bilan de la BCE était d’environ 5.000 milliards d’euros, en mai dernier, il devrait atteindre 6.500 milliards, d’ici fin 2020, soit environ la moitié du PIB de la zone euro. Pour l’investisseur helvète, en raison de ces sombres prévisions, la planète pourrait même être livrée à de fortes turbulences. Marc Faber envisage des flambées de violence, voire des révolutions.

La situation de l’emploi, qui ralentit plus fortement que prévu aux États-Unis, n’est pas bonne ; la reprise se poursuit à un rythme plus lent que prévu car les mesures de relance du gouvernement ont fortement diminué. La présidente de la Réserve fédérale de San Francisco demande une aide fiscale accrue pour sortir l’économie du fossé, alors que le gouvernement américain devrait déjà finir l’année avec un déficit record de plus de 3.000 milliards de dollars. Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, la barre de 6.000 milliards de dollars de dépenses publiques a déjà été dépassée. Autrement dit, l’Oncle Sam dépense deux fois plus d’argent qu’il n’en gagne, d’où le nouveau record de la dette fédérale des États-Unis à 27.000 milliards de dollars !

Le professeur de Yale Stephen Roach envisage même un « effondrement du dollar » et une chute de 35 % par rapport à l’or, d’ici fin 2021. Les dernières estimations du bureau du Budget du Congrès (CBO) concernant le déficit fédéral américain estimé à 16 % du PIB en 2020 ne prêtent effectivement pas à l’optimisme pour l’avenir du dollar. Et selon Michael Kelly, économiste senior de la Fed, son institution devra lancer un nouveau « QE » de création monétaire de 3.500 milliards de dollars afin de maintenir en respect à leur niveau bas actuel les taux des obligations américaines. Ce sont ces taux proches de zéro qui ont permis à Apple de devenir le premier titre coté avec un ratio démentiel cours/bénéfice de 120 et une capitalisation boursière de 2.000 milliards de dollars, d’où un dividende de seulement 0,7 % par an.

En France, Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, remarque que « la dette a autant augmenté en quelques mois qu’au cours des dix années précédentes » et que « sans un retour à une maîtrise de la dépense publique, la dette française pourrait atteindre à terme 140 % du PIB annuel ». Il met également en garde les rêveurs qui croient à une annulation de la dette publique car ce serait catastrophique pour les épargnants, ainsi que sur les limites de la monétisation par la BCE, et rappelle qu’« une dette doit être remboursée ». Moscovici est également très inquiet sur la soutenabilité de la dette sociale française : il faudra aussi rembourser les déficits sociaux de 50 milliards d’euros à l’horizon 2025, non pris en compte actuellement dans la dette publique. Selon la Banque de France, l’hôtellerie, la restauration et les transports sont les secteurs les plus touchés. L’INSEE table, désormais, sur une croissance nulle au quatrième trimestre 2020, contre une hausse de 1 % dans une précédente estimation.

Les gouvernements n’ont plus le choix qu’entre l’effondrement immédiat ou continuer le petit jeu de l’endettement public, avec toujours plus de création de fausse monnaie jusqu’à l’explosion finale du Système, avec écroulement des monnaies et envol à la verticale du prix de l’or comme seule réserve de valeur monétaire dans le monde.

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17:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

OCCUPATION DU CHANTIER DE LA MOSQUEE DE POITIERS : VICTOIRE DES IDENTITAIRES

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Un communiqué du MNR :

Le 20 octobre 2012, 73 jeunes identitaires, montés sur le toit de la mosquée de Poitiers, avaient déployé des banderoles rappelant la victoire décisive de Charles Martel sur les envahisseurs arabes près de cette ville en 732.

Dans la semaine qui avait suivi cette action NON VIOLENTE, plusieurs organisations et partis avaient demandé la dissolution de Génération Identitaire. Le ministre de l'intérieur Manuel Valls avait déclaré : « la dissolution de ce groupe est étudiée ».

En première instance, 40 000 euros avaient été réclamés aux cinq jeunes identitaires inculpés pour cette action, ainsi qu'une peine de prison avec sursis et l'interdiction d'exercice de leurs droits civiques et familiaux pendant cinq ans ! Fin 2017, le tribunal correctionnel de Poitiers les avait condamnés à un an de prison avec sursis.

Mais, le 19 juin 2020, la cour d'appel a infirmé ce jugement, qui annonce donc la DÉFAITE TOTALE DES ISLAMISTES DE POITIERS.

Avec tous les vrais patriotes, nous nous réjouissons de cette victoire sur les islamistes. Et nous félicitons Génération Identitaire pour ses courageuses actions pour la France, qui devraient être une inspiration pour tous nos responsables politiques et élus locaux.

10:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charles Prats, auteur d'un livre sur la fraude sociale, invité de Bistro Libertés

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Commander

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10:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réunions d'Yvan Benedetti dans le Sud-Ouest

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10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 octobre 2020

RAPPEL : le Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale des 10 et 11 octobre est reporté

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Lire les raisons cliquez ici

Roland Hélie sur EuroLibertés cliquez là

Lettre explicative

10:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces défenseurs du bien-être animal qui défendent leurs intérêts financiers…

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Nicolas Gauthier

En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.

Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.

Et de poursuivre : « L’interdiction de mettre des animaux en box ou en stalle signe la fin des élevages de chevaux, des élevages de vaches en montagne et même en plaine. L’hiver, toutes les bêtes préfèrent être à l’abri plutôt que dehors, dans la boue ou la neige. » Il aurait peut-être fallu y songer avant. Un métier, on vous dit…

Du côté de la Confédération paysanne, rendue célèbre par José Bové, même son de cloche avec Nicolas Girod, son porte-parole : « Nous avons décidé de ne pas soutenir cette proposition de loi. Ces initiatives ne s’attaquent pas aux causes profondes de la maltraitance animale, qui ne se trouvent pas dans l’élevage, mais dans son industrialisation et sa dépendance au toujours plus. » Bien vu.

À propos de « bien-être animal », il y a encore ce référendum d’initiative partagée dont on commence à parler de plus en plus ; et c’est là que ça se complique, ou s’éclaire, c’est selon. En tête de gondole, Hugo Clément, journaliste de France Télévisions, qui se prétend « transcitoyen », ce qui ne mange pas de pain.

Quant à l’argumentaire, il est aimablement fourni par l’association L214, dont les vidéos volées et consacrées à la maltraitance des animaux dans les abattoirs tournent régulièrement en boucle sur Internet. L214, ce sont 70 salariés, contre seulement 15 en 2015, et des subventions comme s’il en pleuvait. À titre d’exemple, celles versées (1,14 million d’euros en 2017) par l’Open Philanthropy Project, puissante fondation américaine qui finance de nombreuses associations à vocation plus ou moins écologique (857 millions de dollars distribués en 2019).

Mais L214 bénéficie encore de l’aide de sponsors français tout aussi puissants : Xaviel Niel (Free), Marc Simoncini (Meetic) et Jacques-Antoine Granjon (Ventes privées), trois patrons emblématiques de l’économie numérique. A-t-on affaire à des philanthropes désintéressés ? Rien n’est moins sûr. Xavier Niel : « Il y a quelques années, je n’étais pas sensible à la cause animale. En voyant les vidéos de L214, j’ai eu un déclic. »

Au-delà de cette anecdote édifiante, le véritable déclic a vraisemblablement surtout consisté en ces potentiels et mirobolants retours sur investissement dans la recherche sur la viande de synthèse, nouveau filon des biotechnologies dans lequel Jeff Bezos (Amazon) et Bill Gates (Microsoft) ont déjà placé des milliards de dollars.

Méchant procès d’intention ? Non, à en croire L’ADN Tendances, magazine professionnel qui nous apprend, le 3 juillet dernier : « Kima Ventures, le fonds d’investissement de Xavier Niel, soutient déjà la start-up 77 foods, qui fabrique du bacon à base de plantes. »

Voilà qui n’a pas échappé à cet éleveur de vaches, cité par Le Figaro : « Parmi les instigateurs du référendum d’initiative partagée se trouvent des investisseurs et des associations qui, derrière la question du “bien-être animal”, défendent leurs intérêts particuliers. »

Ou de l’art de nous prendre pour des andouilles, fût-ce de synthèse.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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vendredi, 09 octobre 2020

Manifestations le samedi 10 octobre partout en France, près de chez vous !

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