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vendredi, 18 décembre 2020

Parution du nouveau numéro (n°31) de Livr'arbitres consacré à Pierre Gripari...

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les librairies non-conformistes.

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MACRON MALADE DU COVID VA-T-IL SE SOIGNER ?

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Hier jeudi 17 décembre 2020, notre président a été testé positif au Covid-19, avec quelques symptômes.

Certes, à son âge (43 ans) il est peu probable que sa vie soit en danger. Néanmoins, il ressent de la fatigue, qui cesserait probablement s'il consentait à se faire appliquer le protocole Raoult : de nombreuses études ont montré que ce dernier est très efficace appliqué au début.

Malheureusement, notre président avait déclaré qu'il n'y ferait pas appel s'il était touché : il faudrait donc qu'il se déjuge, et qu'il désavoue tous ceux qui n'ont cessé d'empêcher l'utilisation de cette méthode. Cependant, s'il avait le courage de reconnaître ses torts à ce sujet, il tiendrait une occasion en or de sauver le pays, et peut-être le monde entier...

Nous attendons (sans nous faire d'illusions) avec intérêt l'attitude de Macron dans les jours qui viennent : la survie du pays peut en dépendre.

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Miracle de Noël ! M6 célèbre une famille française traditionnelle !

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Henri Dubost Riposte laïque

Je dois d’abord vous avouer un truc : j’ai définitivement jeté ma téloche aux orties lors de l’entre-deux tours de la présidentielle 2002 cliquez ici Pendant ces deux semaines infernales, impossible d’ouvrir le petit écran, comme on dit, sans tomber sur de longs comptes-rendus, images à l’appui, de manifs monstres qui dénonçaient le « risque fasciste » dans notre beau pays, ou sur des interviewes récurrentes de quidams plus ou moins connus (hommes politiques, syndicalistes, présidents d’associations locales de pêcheurs à la ligne, de donneurs de sang, etc.) qui vous adjuraient de voter Chirac pour faire barrage à la Bêêêête Immmmmonde. C’est à cette époque-là que j’ai vraiment compris le roman d’Orwell « 1984 », que je tenais jusque-là pour un livre de pure science-fiction.

Mais ce n’est pas du tout ce que je voulais vous raconter aujourd’hui

Ce dont je voulais vous parler, c’est de cet article de Gabrielle Cluzel, article sur lequel je suis tombé en feuilletant « Boulevard Voltaire » lundi 14 décembre dernier, et du miracle qui s’est produit le lendemain (sans rapport, j’imagine, avec ledit article, encore que l’archange Gabriel, très sollicité en cette période de l’Avent, ait pu jouer son petit rôle dans l’histoire, allez savoir) cliquez làQu’est-ce que j’y apprends ? Qu’il existe sur M6 une émission appelée « La France a un incroyable talent », au cours de laquelle des artistes amateurs se produisent devant un public et les caméras de la chaîne, un jury ad hoc étant chargé de trier le bon grain de l’ivraie. Bref, un « Radio crochet » de mon époque, l’image, les paillettes et la diversité en plus.

Qu’est-ce que j’y apprends d’autre ? Qu’une famille versaillaise, les Lefebvre, des Français de souche donc, ont réussi, grâce à une prestation vocale à la fois impeccable et on ne peut plus classique, à séduire un jury dont on imagine qu’il est plutôt acquis à tout ce qui ressemble de près ou de la loin à la diversité, au métissage, à la mouvance LGBT, voire LBM, et autres lieux de rendez-vous incontournables de l’idéologie mondialiste. Bref, les Lefebvre sont un peu les Le Quesnois de « La vie est un long fleuve tranquille » cliquez iciqui seraient confrontés non à de franchouillardes familles Groseille (le film date de 1988, une époque où la France était encore globalement française), mais au pittoresque univers coloré de nos banlieues « populaires », si vous voyez ce que je veux dire. Je cite Gabrielle Cluzel, témoin télévisuelle de la surprenante « conversion » du jury :

« Le jury a relevé la perfection de l’unisson des voix, comme si elle était le reflet de celui des cœurs. Il a reconnu être parti « moqueur », pour railler les « clichés de Versailles, des cathos, des grandes familles », et avoir trouvé leur prestation « magnifique » au point d’avoir envie de « faire partie de cette famille » ».

Et dans le même article, j’apprends enfin que la finale a lieu le lendemain, mardi, et que les téléspectateurs pourront voter. Alléchant, certes, mais pas de quoi me décider à racheter une télé. Surtout si c’est pour assister, comme c’était a priori probable, à la « bidenisation » du vote, les Lefevre-Le Quesnois se faisant finalement damer le pion, via des moyens crapoteux mais efficaces, par un quelconque groupe de rap, simiesque à souhait et donc tendance.

Lire aussi cliquez ici

J’en étais donc resté là lorsque, mercredi 16 décembre en fin d’après-midi, je reçois le mail enthousiaste d’un ami qui m’annonce… la victoire des Lefebvre-Le Quesnois ! Incroyable. N’ayant pas assisté à la finale, je lui laisse la parole :

« Me voilà, accroché devant M6 ce mardi soir, je n’y crois toujours pas moi-même !

Je constate que ce n’est pas un duel mais qu’il y a huit ou dix finalistes. Ça me semble mal embarqué pour notre chorale familiale qui paraît terriblement « has been » par rapport à tous ces groupes de jeunes blacks-blancs-beurs, acrobates de rues et gigoteurs urbains.  

Je constate également que les membres du jury se contentent effectivement d’un rôle d’influenceur critique, mais ne participent pas au vote final.

Je me tape (c’est vraiment la corvée) la prestation de tous les concurrents. On se demande vraiment ce que la famille Lefebvre fait dans cette galère.  

Les Lefebvre choisissent d’interpréter un chant de Noël, qui détonne complètement au milieu du slam et du rap des autres.

À la fin de l’émission, deux candidats sont sélectionnés : Les Lefebvre et un groupe de jeunes de la diversité, qui se trémoussent dans un style très « racaille attitude ».

Les Lefebvre sont filmés chez eux, tous réunis sagement dans leur salon au mobilier classique, très correctement habillés. Une vraie pub pour la famille traditionnelle, celle justement que la société libérale-libertaire et ses médias aux ordres vomissent.

Face à eux, des djeun’s filmés là où ils se sont réunis, look « racaille », borborygmes incompréhensibles. Ils s’exhibent, collés les uns aux autres, doigts croisés, un signe cabalistique dont on se souvient qu’il parle tout particulièrement au président Macron lorsqu’il enlace le torse nu et délicieusement musqué de ces zozos.

Et le résultat tombe comme un coup de tonnerre : le public donne la victoire aux cathos versaillais ! Les djeun’s, certains de leur victoire, sont KO debout. D’ailleurs ils ne féliciteront même pas les vainqueurs. Les jurés tentent de cacher leur déception et essayent de faire bonne figure. »

Attendez, les amis, ne partez pas ! Ce n’est pas fini…

Le lendemain, « La Dépêche », qui n’en rate décidément pas une, titre : « La France a un incroyable talent : les internautes enragent après la victoire de la famille catholique Lefebvre » et reproduit quelques tweets (orthographe garantie d’origine) censés justifier son titre (« LES internautes enragent » : bel exemple d’amalgame, non ?)  cliquez là« Vous allez me dire que y’a des millions de gens en France qui ont voté pour la famille Lefevre alors que tout les autres talents était 1000 fois meilleure que eux ? MAIS PTDRR GROSSE BLAGUE »

« Je vous juure je vais chialer mdrw la famille Lefèvre qui gagne… probablement les moins meritant de cette saison ».

« Il y a ceux qui se produisent dans la rue. Ceux qui travaillent durant des nuits et qui se blessent gravement. Ceux qui portent un message puissant qui transcende le monde. Et puis il y a ceux qui créent une chorale familiale dans leur salon de Versailles… et qui gagnent »

« Dans le genre l’année 2020 continue bien sur sa lancée : la famille Lefèvre qui gagne Incroyable Talent ET les 100 000 €…je suis à bout »

D’autres tweets tombent dans la cathophobie (nullement répréhensible sous nos climats) :

« Cette émission de base c’est fait pour des gens qui font des truc de ouf des truc qui te donne envie de payer pour le voir la t’a pas envie tu va a la messe le dimanche matin tu l’a gratuitement » cliquez ici

Rien que pour avoir le plaisir de lire ces tweets enragés, merci à vous, les Lefebvre !

Source cliquez ici

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Allô, professeur Ignace...

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Le goulag pour les covidosceptiques ?

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Par Camille Galic

Après la chasse aux climatosceptiques, la traque des covidosceptiques. Fermeture par Facebook, sous prétexte que leurs publications « ne respectent pas les standards de la communauté », de plusieurs groupes de soutien au professeur Didier Raoult, coupable de trop prôner l’hydroxychloroquine et de trop critiquer la gestion de l’épidémie par l’Etat-Macron. Déchaînement contre le Pr Christian Perronne (« Un guignol qui ne dit que des c... », cf. le docteur Mathias Wargon, époux de l’énarque Emmanuelle Wargon, elle-même fille du catastrophique ministre Lionel Stoléru, ancienne directrice de cabinet de Martin Hirsch et actuel ministre du Logement) depuis la publication de son réquisitoire publié par Albin Michel, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?, et ses mises en garde contre les vaccins basés, comme celui de Pfizer, sur la thérapie génique. Offensive contre le Pr Eric Caumes, infectiologue star, critique de son confrère Raoult mais lui aussi très inquiet par la diffusion massive de ces vaccins miracles, fabriqués à la va-vite. Enfin, internement psychiatrique à Uzès le 10 décembre du Pr Jean-Bernard Fourtillan, figure anti-vaccin sur les réseaux sociaux et intervenant du documentaire Hold-up où il incriminait l’antenne chinoise de l’Institut Pasteur dans la diffusion du  « virus de Wuhan ». Faut-il que le Pouvoir se sente morveux pour instaurer une telle répression au mépris des valeurs républicaines dont il se gargarise ! Quant aux Verts, champions de la lutte anti-OGM, comment expliquer leur passivité devant les vaccins OGM ?

 Source : Présent 15/12/2020

09:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 17 décembre 2020

Le discours le plus important de Trump du 2 décembre 2020

Le 2 décembre, le président Trump a prononcé un discours pendant 46 minutes, dans ce qu'il appelle "le discours le plus important qu'il ait jamais fait". Il a affirmé que les médias et même les juges savent qui a gagné l'élection mais refusent d'accepter les preuves. Il a déclaré "notre pays a besoin de quelqu'un" capable d’accepter la vérité.

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Source : NTD Français

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DEFEND EUROPE mission Alpes : Relaxe générale pour Génération Identitaire !

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Communiqué de Génération identitaire :

Le 21 avril 2018, nous avions dressé un poste-frontière symbolique au Col de l’Échelle, haut-lieu de passage des migrants clandestins entre l’Italie et la France depuis quelques années. Deux ans et demi après notre action « Defend Europe » dans les Alpes, nous sommes donc enfin relaxés. La victoire en appel est aussi éclatante que les peines étaient sévères en première instance.

Rappelons que trois militants avaient été condamnés à 6 mois de prison ferme, des amendes et à la privation de leurs droits civiques et familiaux.

Comme si cela ne suffisait pas, notre association avait été sommée de payer une amende de 75 000 €, soit le maximum prévu par la loi.

En appel, c’est donc le droit qui a prévalu et non les accusations fantaisistes et l’animosité du procureur de la République. Nous ne sommes pas dupes de la méthode, il s’agissait de maintenir la pression le plus longtemps possible sur notre mouvement. Dans l’espoir que cela nous découragerait.

C’est tout l’inverse qui s’est produit. Aujourd’hui, les Français savent qu’avec un peu de volonté, il est possible d’arrêter l’immigration illégale. Le gouvernement sait qu’avec Génération Identitaire son laxisme ne passera plus inaperçu.

18:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Luc Montagnier au défi de la vérité

Luc Montagnier a choisi FranceSoir pour s'exprimer et relever "le défi de la vérité", c'est donc au micro de Richard Boutry qu'il revient sur la tourmente qui a agité le monde scientifique ces derniers mois.

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Source : franceSoir

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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La France entre en dépression

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Par Anne Isabeth

Depuis le 17 mars dernier, la France re- tient son souffle. Une sorte de gigantesque apnée qui est en train de tuer la population à petit feu. Pendant ce temps-là, notre gouvernement s’improvise médecin et en a oublié de gouverner. A écouter les grands pontes du conseil scientifique il faudrait arrêter de vivre jusqu’à la disparition complète du virus. Sous peine d’en mourir. Sauf que les mesures censées épargner la santé des Français sont en train de les tuer beaucoup plus sûrement et de façon beaucoup plus systématique que ne le ferait le coronavirus. Financièrement, c’est évident, mais aussi psychologiquement.

Interrogé sur Europe 1 le 12 décembre, Serge Hefez, responsable du service psychiatrique de l’enfant et de l’adolescent à la Pitié-Salpêtrière, s’inquiétait de la santé mentale des Français : d’après lui, 20 % de la population est en train de basculer dans la psychiatrie. Les données publiées par Santé publique France ne disent pas autre chose : les troubles anxieux ont augmenté de 20 % de même que les idées suicidaires. « Et chaque fois que les pensées suicidaires augmentent, les passages à l’acte augmentent », prévient Serge Hefez. « On a une augmentation des demandes de gens qui n’avaient pas de recours au dispositif de santé mentale. On a des difficultés à y faire face depuis la fin de l’été. Dans les demandes, ça a été multiplié par quatre environ, avec des manifestations anxieuses, dépressives et des conduites addictives », s’alarme le professeur Pierre-Michel Llorca, chef de service de psychiatrie au CHU de Clermont-Ferrand.

La famille : lieu de refuge

Jérôme Salomon, directeur général de la santé, a lui-même reconnu que la santé mentale des Français s’était de nouveau dégradée entre fin septembre et début novembre. Les voyants sont au rouge. Que fait l’Etat ? Rien, hormis la mise en place d’un numéro vert et la promesse d’aides à la pelle. Aides qui souvent tardent à arriver – les témoignages sont légion – ou qui n’arrivent tout simplement pas parce que vous ne rentrez pas dans les cases. En attendant, la crise sanitaire accouche d’un peuple dépressif et, de fait, manipulable à souhait, que la perspective d’un nouveau confinement plongerait dans la terreur. Tout mais pas ça ! Rien de tel pour faire passer des lois liberticides.

Quel remède à cela ? La famille ! Le couple et la famille sont identifiés par les psychiatres comme un « lieu de refuge ». Les médias ont été plus prompts à relayer les violences intrafamiliales qu’à mettre en avant ses avantages. Pourtant, d’après Pierre-Michel Llorca : « Le couple, la famille, avec une organisation fonctionnelle, la capacité de s’épauler constitue un lieu de refuge. C’est un élément important. En termes de vulnérabilité, si vous êtes seul, vous êtes plus vulnérable que si vous êtes en couple, dans l’absolu, de matière épidémiologique. Les gens qui sont seuls ont plus de risques d’avoir des troubles psychologiques et psychiatriques. La qualité de notre support social est vraiment un élément essentiel pour la protection face aux aléas de la vie. » Cette même famille qui se trouve dans le viseur du gouvernement, que l’on cherche à détruire à travers des lois dites « sociétales » et dont on nie désormais la capacité à éduquer ses enfants. Bref, cette famille qui est le premier et le plus sûr rempart à la folie de notre temps.

Source : Présent 16/12

12:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie du nouvel album de dessins d'Ignace... Un cadeau parfait pour Noël

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Tous les jours, dans différents médias non-conformistes, Ignace, dessinateur de talent croque avec à-propos et insolence l'actualité.

Dans ce nouvel album, vous retrouverez ses meilleurs dessins de l'année 2020. Un régal.

230 pages, env. 600 dessins, nov. 2020, 24€.

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12:55 Publié dans IGNACE, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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12:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset ? avec Pierre Hillard

"Le Covid-19 est l'élément déclencheur et voulu pour procéder à la bascule aboutissant à un nouveau monde d'essence totalitaire". Voilà comment le spécialiste de l'idéologie mondialiste, Pierre Hillard, voit les choses. Pour appuyer sa théorie, l'invité de "Politique & Eco" s'appuie sur des faits : la leçon de numérologie de Christine Lagarde, l'étrange Une du magazine The Economist de janvier 2019, les nanoparticules dans le vaccin de la fondation Bill Gates ou encore la prochaine réunion du Forum de Davos intitulée "Le temps de la grande remise à zéro". Pour Pierre Hillard, l'objectif final des mondialistes est l'avènement d'une gouvernance et d'une monnaie mondiale encadrant une humanité réduite, surveillée, tyrannisée et asservie au bon fonctionnement de la machine économique...

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00:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Terminée la série “Mongeville” : trop blanc, trop bourgeois, trop vieux ?

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Daniel Boutonnet Boulevard Voltaire

Le sujet pourrait sembler secondaire mais il est ô combien significatif de la ligne générale destructrice insufflée par la présidente de France Télévisions.

Succinctement Mongeville est une série policière française apparue en 2013. Son personnage principal, Antoine Mongeville, est un juge à la retraite qui vient prêter son concours dans ses enquêtes à une jeune capitaine de . Le rôle d’Antoine Mongeville est excellement interprété par Francis Perrin, celui du capitaine Valentine Duteil par la non moins excellente Gaëlle Bona.

La complicité entre les deux personnages, voulue par les auteurs mais visiblement bien réelle entre les deux vedettes de la série, l’humour de bon goût toujours présent, sans doute aussi l’absence d’images disons gores ou de scènes ultra-violentes dans lesquelles se complaisent souvent d’autre séries et des scénarios plutôt bien ficelés, avec beaucoup de vedettes invitées, ont visiblement séduit les téléspectateurs, leur nombre dépassant les 5 millions en 2020, ce qui ravirait bien des chaînes.

Donc tout allait pour le mieux. C’était sans compter sur cet « ami » qui nous veut du bien : le sacro-saint progressisme. Car, pour le bien-pensant, Mongeville cumule toute les provocations !

Premier mauvais point : la diversité tant prônée par Delphine Ernotte est quasi absente du commissariat ; même l’acariâtre commissaire est blanc et, horreur, il porte costume et cravate au lieu de ressembler à un repris de justice.

Second -très- mauvais point, aucun épisode dénonçant le « suprémacisme blanc », le racisme de la police, pas de message politique sur la stigmatisation et l’oppression des minorités.

On est déjà clairement dans l’incorrect ! Maintenant, pire, les deux personnages vedettes.

La capitaine Duteil : elle est blanche, jolie, est célibataire mais n’est pas lesbienne et n’a pas d’amant issu de la diversité non plus. Une liaison sulfureuse avec le juge alors, avec scènes adéquates ? Même pas, c’est dire le côté ringard !

Reste le meilleur pour la fin : le juge lui-même. Là c’est un feu d’artifice : si sa passion est l’ornithologie, ce qui devrait satisfaire pourtant les écolos, il habite une belle et grande demeure bourgeoise à l’intérieur classique raffiné, s’exprime en homme cultivé dans un langage châtié, s’avère un gastronome averti et un cuisiner hors-pair, est amateur de grands vins et de cognac, mais aussi de musique classique et d’opéra (oui, d’opéra !!!), veste, cravate et élégance lui sont également familières et, comble de l’infamie, redoutable destructeur de planète, il conduit une belle berline Jaguar ! Et puis, 73 ans, vous imaginez ? Bref, en clair, un conservateur réactionnaire de la pire espèce.

Avouons qu’une telle série ne pouvait polluer plus longtemps une chaîne de France Télévisions. Ainsi en a donc a priori décidé brutalement la direction, apparemment sans la plus élémentaire courtoisie vis-à-vis des acteurs.

Source cliquez ici

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mercredi, 16 décembre 2020

9 QUESTIONS A CELUI QUI NOUS GOUVERNE - Père Viot

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Pourquoi le nucléaire est notre avenir

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Par Edouard Tétreau

Nous n’avons plus les moyens de nous payer ces jouets-là. » En apprenant la semaine dernière la décision du président de la République de construire le successeur du porte-avions nucléaire « Charles-de- Gaulle », je me suis rappelé cette phrase d’un mandarin de l’administration juridico-comptable du pays. Je rentrai d’un séjour à bord de ce porte-avions, en 2014, impressionné par l’autonomie et la puissance de ce bâtiment tirant derrière lui nos industries de pointe : nucléaire, aéronautique, chantiers navals, systèmes de télécommunications, de signalisation et de radars. Non, le porte-avions « Charles-de- Gaulle » n’est pas un « jouet » pour haut fonctionnaire cynique : sans lui et son successeur, notre dissuasion, notre capacité à nous déployer diplomatique- ment et militairement partout dans le monde, et la pérennité de nos industries les plus stratégiques, seraient en danger de mort.

Emmanuel Macron, contre les lobbies du désarmement industriel et militaire français, si présents à Moscou, Bruxelles, Londres, Washington, mais aussi dans la haute administration, les ONG et associations écologistes, a tranché. Il a décidé que la France, contrairement à l’Allemagne, ne sortirait ni de l’Histoire ni du nucléaire. L’Histoire, d’abord : dans le monde de plus en plus dangereux dans lequel nous vivons, obérer sa capacité de projection de forces est une folie. Le « Charles-de-Gaulle » a contribué à éradiquer l’Etat islamique après 2015 (raids sur Raqqa) ; il tient en respect la belligérance croissante du régime national-islamiste turc de M. Erdogan ; son successeur nous permettra de continuer de jouer un rôle en Méditerranée, dans le Moyen-Orient et en Asie-Pacifique, où nous détenons des intérêts stratégiques (Nouvelle-Calédonie, Polynésie et la moitié de notre domaine maritime).

Le nucléaire, ensuite. Sauf à vouloir imiter l’Allemagne dont les centrales à charbon contribuent à tuer chaque année plus de 23.000 personnes en Europe (rapport WWF 2016), nous ne pouvons pas nous passer du nucléaire, l’énergie décarbonée par excellence. Les énergies renouvelables ont de vraies limites, notamment du fait des problématiques de stockage. Il faut déployer 1.500 éoliennes de 3 mégawatts pour produire la même énergie qu’une centrale nucléaire de 1.500 mégawatts. Pour remplacer les cinquante-huit cen- trales nucléaires françaises, la France se transformerait en gigantesque parc d’éoliennes. Un massacre pour notre agriculture, nos paysages, notre environnement.

La construction du futur porte-avions pérennise enfin la filière nucléaire française, qui était en train de mourir sous nos yeux, avec des pertes de savoir-faire inexcusables. La création de cette mini-centrale nucléaire flottante doit enclencher une ambition bien plus vaste dans cette direction. Les industriels réclament ainsi la construction de six nouvelles centrales pour que la France puisse répondre à une demande de l’ordre de 600 terrawattheures en 2050, avec un mix énergétique incluant 50 % de renouvelables. Cet investisse- ment sur dix ans représenterait de l’ordre de 40 milliards d’euros, soit moins que le déficit budgétaire français en 2020 (attendu à 45 milliards d’euros).

L’investissement dans le nucléaire, garant de notre indépendance énergétique, notre compétitivité industrielle et notre souveraineté militaire, ne peut pas se limiter à un effort si modeste. A côté d’un programme de création de centrales nucléaires à forte puissance, toute la filière R&D mérite d’être soutenue, notamment pour déployer et ven- dre demain dans le monde entier les très prometteurs petits réacteurs modulables (SMR).

Les défis du siècle nous obligent à voir plus loin, à renouer avec le gaullisme industriel et le financement de grands programmes plus ambitieux dans les filières d’avenir : le nucléaire, le numérique, la santé, l’environnement. A l’heure où l’on tolère des tombereaux de déficits pour éviter l’engorgement d’hôpitaux publics si mal gérés, et où l’activité économique et culturelle du pays se joue tous les quinze jours au journal de 20 heures, le président a donné, au Creusot, un vrai signal d’espoir à nos concitoyens en traitant les questions de long terme : l’emploi, les technologies souveraines et la sécurité des Français.

(*)Edouard Tétreau est conseiller de dirigeants d’entreprise.

Source : Les Echos 16/12/2020

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mardi, 15 décembre 2020

La Bataille de Poitiers (732)

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23:18 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Idéologie climatique et référendum fantôme.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Mitterrand avait, en 1984, inventé le référendum sur le référendum pour éviter de donner aux Français la parole sur la défense de l'enseignement libre.
 
Macron, lui, sort de son parapluie de vendeur de bretelles à la sauvette, le référendum fantôme pour élever l'idéologie climatique au rang de dogme constitutionnel, sachant parfaitement que la crise/prétexte du COVID, tout autant que les réticences du Sénat dont l'accord préalable pour toute consultation directe des électeurs est nécessaire, en empêcheront l'organisation d'ici la fin de son mandat. Peu lui importe puisqu'Il s'agit seulement de fournir un dérivatif commode aux cinglés verts et rouges de cette Convention citoyenne sur le climat mise en place par lui et à laquelle il avait imprudemment promis que ses conclusions seraient reprises "sans filtre" par l'Exécutif.
 
Au demeurant les Francais, accablés par les contraintes imposées par la dictature sanitaire,  confrontés à une crise économique et sociale qui s'annonce dévastatrice, angoissés par la montée de l'ensauvagement du pays et conscients, même s'ils la subissent passivement, de la submersion  migratoire, se foutent totalement d'être consultés. Ni sur ce sujet ni même sur un autre.
 
Ce qu'ils attendent c'est un État fort qui les gouverne, les protège et leur indique la voie nationale. 

13:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 14 décembre 2020

Mal traités, après Hold-up, le nouveau documentaire qui dénonce

Le doute n'est plus permis. Après Hold Up qui a fait beaucoup de bruit, qui a été critiqué et traité de complotiste, voici MAL TRAITÉS - Covid19, le documentaire choc sur comment les malades ont été privés de remèdes efficaces, réalisé par Alexandre Chavouet. Les révélations faites dans ce documentaire ne laisse aucun doute sur le rôle des MEDIAS à la solde des gouvernements et des mafieux pharmaceutiques.

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22:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly, président du Parti de la France, interrogé par Epona

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dimanche, 13 décembre 2020

Une théorie monétaire moderne qui nous conduit à la pire des catastrophes

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Marc Rousset

En France, la situation n’est pas brillante puisque le gouvernement drogue tout le monde avec de l’argent public emprunté au lieu d’entreprendre les nécessaires réformes structurelles. Les dépenses publiques vont représenter, en 2020, 63,6 % du PIB, contre 55,6 %, en 2019, chiffre le plus élevé de tout l’OCDE.

La Société générale continue sa descente aux enfers en fermant, prochainement, 600 agences bancaires lors de la fusion avec le réseau bancaire du Crédit du Nord. Une crise bancaire n’est pas à exclure en 2021, la France devant s’adresser à l’Allemagne pour permettre à la BCE d’émettre encore davantage d’euros afin de renflouer son système bancaire exsangue, suite aux trop faibles marges bancaires provoquées par la baisse des taux d’intérêt et à l’augmentation des créances douteuses.

La nécessaire réforme des retraites est reportée aux calendes grecques, tandis que les entreprises zombies et les faillites, malgré les bas taux d’intérêt, vont déferler sur la France en 2021. L’État a, en effet, garanti jusqu’à 300 milliards d’euros de prêts, contre 40 pour l’Allemagne et 60 pour le Royaume-Uni. Quant aux comptes publics, ils vont encore davantage se dégrader, avec une dette publique et un déficit qui seront bien supérieurs aux 122,4 % et 8,5 % du PIB annoncés par Bercy. L’Italie, elle, sera au minimum à 160 % du PIB.

Aux États-Unis, la forte augmentation des contaminations au Covid-19 va de pair avec la forte augmentation du chômage. En novembre, seulement 5,8 millions d’Américains étaient au chômage, mais 19 millions d’Américains ont épuisé leurs droits et vivent, désormais, grâce aux seules aides mises en place en mars 2020 par le gouvernement fédéral. Le ratio dette/PIB, qui était d’environ 40 % en 1970, pourrait être de 200 % en 2021.

La Fed a annoncé depuis longtemps qu’elle ne relèverait pas les taux courts tant que le chômage n’aurait pas baissé suffisamment, mais l’élément nouveau radical est la nomination prochaine par Biden, au Trésor, de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, adepte de la théorie monétaire moderne, qui va ouvrir toutes grandes les vannes des dépenses publiques et de la fausse monnaie créée par la Fed. Les deux piliers de la théorie monétaire moderne (TMM) sont la fusion de fait entre le Trésor et la Fed, ainsi qu’une dette illimitée. Il se trouve que le Japon a effectivement une dette de 250 % du PIB, sans croissance depuis trente ans, mais sa dette est détenue par des Japonais alors que la dette des États-Unis est détenue par des investisseurs étrangers.

La dette des États-Unis se terminera par une perte de confiance, une hausse des taux et l’effondrement du dollar, de Wall Street et de l’économie américaine. Augmenter une dette pour investir avec des investissements productifs porteurs de croissance forte se justifie, mais dépenser à fonds perdus en distribuant de l’argent emprunté pour boucher les trous ne peut conduire qu’à de nouveaux impôts, à l’hyperinflation et au défaut de paiement. Les seuls exemples concrets de TMM sont le Venezuela, le Zimbabwe et l’Allemagne en 1923.

Quant à la BCE, elle pratique la TMM sans le dire, avec l’Allemagne et les pays du nord de l’Europe comme seul frein moral. Christine Lagarde a prolongé de neuf mois et augmenté de 500 milliards d’euros son « bazooka » PEEP (programme d’achat urgence pandémique) jusqu’en mars 2022, soit 3,3 milliards d’obligations par jour, soit 1.850 milliards d’euros, en plus des opérations de refinancement à plus long terme ciblées (TLTRO) et des vingt milliards mensuels du QE (Quantitative Easing). La BCE rachète actuellement les trois quarts des dettes émises par la zone euro, c’est-à-dire qu’elle pratique en fait la monétisation interdite par les traités et ses statuts. Ce sont cette potion magique et les taux d’intérêt ridicules et négatifs de -0,432 % pour la France, -0,635 % pour l’Allemagne et 0,4449 % pour l’Italie qui expliquent les bulles sur les marchés des actions.

En Allemagne, la question se pose déjà de mettre un frein sur les dépenses. Les débats vont faire rage en 2021 avec l’impossibilité de basculer dans l’austérité, jusqu’à l’hyperinflation ou à ce que tout explose en 2022, suite à la perte de confiance, comme aux États-Unis.

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20:38 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vade retro, Vaccinas !

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La chronique de Philippe Randa

La Grande-Bretagne est depuis le 2 décembre le premier pays au monde à autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer et BioNTech, basé sur une technologie innovante dite à ARN messager… ce qui a déclenché la colère de l’ancien Vice-Président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui estime, lui, que la pandémie est terminée et qu’elle peut donc être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement : « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains. »

Sur le site Lockdown sceptics, il s’en prend tout particulièrement au SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique qui conseille le gouvernement du Royaume Uni et a notamment incité au funeste confinement : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7 % de la population l’a été. C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30 % des gens qui, au départ, sont déjà immunisés » (Déclaration peu reprise, sinon par le National Herald of India).

Et d’ajouter : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30 % (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40 % d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité). Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28 % et 35 %, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît. »

En France, un Français sur deux est opposé à la vaccination que nous a promis Emmanuel Macron pour la mi-décembre. Annoncée, certes, mais qu’on s’en réjouisse ou qu’on s’en inquiète, les annonces d’un gouvernement, c’est comme leurs promesses : elles n’engagent que ceux qui y croient…

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20:32 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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11:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Élection US : vers les tribunaux militaires ?

La Cour suprême pave la voie à la tenue de tribunaux militaires pour endiguer la corruption. L' analyse d'Alexis Cossette dans ce Webjournal.

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10:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 12 décembre 2020

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, interpellé et placé en hôpital psychiatrique

Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour son apparition récente dans le film Hold-up mais aussi pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique.

La préfecture du Gard confirme une « mesure individuelle d’hospitalisation » visant Jean-Bernard Fourtillan. Et de préciser que cette décision relève « d’une prescription médicale ». Cette décision a été prise après que le médecin a été interpelé par les forces de l’ordre le 7 décembre « en vertu d’un mandat d’amener [émis par] un juge d’instruction parisien ».

L’arrestation du médecin a eu lieu dans le cadre d’une information judiciaire ouverte notamment pour « tromperie » par le parquet de Paris en septembre 2019, à la suite d’essais cliniques pratiqués sur 350 malades de Parkinson et Alzheimer. Ces faits avaient également valu à Jean-Bernard Fourtillan d’être poursuivi par l’Ordre des médecins pour «charlatanisme».

Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. Jean-Bernard Fourtillan est hospitalisé dans l’établissement du Mas Careiron, à Uzès.

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La révolte des pays d’Europe centrale*

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Par Zdzisław Krasnodębski **

En 2007, au moment de la crise financière, le feu de la critique a été clairement porté sur les pays du Sud européen. A refait alors surface la conviction de l’existence de profondes divergences entre, d’un côté, l’Europe du Nord, post-protestante et ascétique, et de l’autre, l’Europe du Sud, sybarite, dépensière, laxiste sur l’équilibre budgétaire et les lois.

Pourtant, on n’entendait personne en appeler à une exclusion de l’UE de l’Italie ou de l’Espagne, à les « réduire à la faim », à les « omettre », à leur « serrer la vis » (sauf dans le cas de la Grèce évidemment). C’était plutôt de l’Europe du Sud que nous parvenaient des voix sceptiques à l’encontre de l’UE, comme celle par exemple de Giorgio Agamben. Pointant les différences notoires de styles de vie et de valeurs, ce philosophe italien a remarqué que l’UE, dans sa forme actuelle, n’avait aucun sens et qu’on devrait bâtir une Union à part, réservée exclusivement aux pays du Sud, en référence à l’idée de l’Empire latin promue autrefois par Alexandre Kojève. Mais que serait l’UE sans l’Italie, l’Espagne ou la Grèce, destinations de vacances préférées des Européens du Nord, dont les vestiges du passé et les paysages n’arrêtent pas de nous émerveiller tous ?

L’Europe du Centre-Est ne peut pas compter sur autant d’empathie et de sympathie. Elle est différente, mais c’est traditionnellement perçue comme une tare, une imperfection dans l’implémentation du modèle en vigueur, établi jadis en « Europe de l’Ouest » et peaufiné depuis par Bruxelles. C’est une façon de pensée profondément ancrée dans les narrations de l’histoire européenne. L’européanité  des pays à l’est de l’Elbe était en effet présentée comme le résultat d’une transposition du parangon civilisationnel occidental, voire d’une colonisation. Tout ce qui poussait l’Europe centrale en avant ne pouvait être qu’importé d’Occident, et tout ce qui la ralentissait, c’étaient ses traditions endogènes. Les intellectuels des Lumières, les Kant, les Voltaire et les Diderot, étaient persuadés que seuls des despotes éclairés, d’une main de fer, pouvaient faire entrer ces nations sur le chemin du progrès.

Non-conformité. Cette mentalité, pas très raffinée, prospère aujourd’hui. Selon de nombreux politologues spécialisés dans l’UE, nous ne devrions pas notre démocratie et nos succès économiques à nous-mêmes, mais plutôt à la « socialisation » de la part de l’ Occident et aux fonds européens, chaque manifestation d’autonomie politique étant considérée, souvent avec dégoût, comme une indécence, une non-conformité à l’ « esprit du temps ». D’abord, le groupe de Viségrad a irrité l’UE par son refus d’accueillir des migrants. Désormais, la Pologne et la Hongrie l’irritent par son veto. Même la décision autonome de s’engager dans l’Initiative des Trois Mers soulève des inquiétudes à peine cachées : comment un tel projet, si précieux pour l’Europe, peut-il voir le jour et se développer sans contrôle ?

Les pays d’Europe du Centre-Est sont nés ou renés sur les décombres des empires ottoman, habsbourgeois, wilhelminien et russe. Rien d’étonnant donc qu’ils appréhendent l’idée de se retrouver à nouveau confrontés à un empire oppressif. La conscience y est toujours vivante qu’on ne peut pas être libre comme individu si la nation n’est pas libre et que la liberté politique est la condition de la liberté individuelle. L’idée de l’autodétermination, importée des États-Unis, quoiqu’implantée en Europe avec beaucoup d’erreurs et d’inconséquences, légitimait notre liberté. Même les Hongrois qui, à l’issue de la guerre 1914-1918, ont perdu d’importants territoires, ne la mettent pas en doute. Les empires, donc, c’était pour l’Europe de l’histoire ancienne. Or, après 1945, ces mêmes États ont été incorporés ou inféodés à l’empire soviétique connu pour sa brutalité. Et quand en 1989 ils sont revenus sur la scène internationale comme des nations libres, organisées dans des États souverains, cela semblait se passer contre la « logique de l’histoire » en vigueur en Europe – celle de la plus grande intégration. La réponse devait être l’idée d’une Union élargie, reposant sur le compromis, respectueuse de la diversité, rejetant les totalitarismes et les expériences sociétales à grande échelle, garantissant dans ses traités que face aux questions stratégiques, la volonté de chacun de ses membres sera respectée.

Rouleau compresseur. Or, aujourd’hui, cette vision semble de plus en plus s’éloigner. À l’inverse, se renforce la tendance de serrer la vis aux nations européennes les plus pauvres et les plus faibles. On nous convainc que nous avons besoin d’une Europe davantage unie, davantage consolidée, libérée du principe de l’unanimité, réalisant les mêmes « valeurs européennes » interprétées selon une logique bien propre et imposées à tous. Dans cette interprétation, le respect de la dignité humaine n’exclut ni l’avortement sans limites, ni l’euthanasie, ni la production d’enfants pour des couples de tous sexes, ni les réattributions de sexe sur demande ; la non-discrimination passe par la reconnaissance des mariages des personnes du même sexe et l’adoption d’enfants par de tels couples ; l’égalité homme-femme repose sur la négation de toute différence entre eux ; les droits de l’homme excluent de limiter efficacement les migrations de masse, etc. Et l’État de droit doit veiller au respect des « lois fondamentales » ainsi définies.

L’Union doit devenir un rouleau compresseur qui uniformisera les nations européennes selon un même modèle axiologique, considéré comme le seul valable. Nous, en Europe centrale, nous sommes pourtant allergiques aux doctrines qui seraient les seules valables. Nous avons déjà été victimes par le passé d’une expérience d’ingénierie sociale progressiste grandeur nature, qui devait mener à la création de l’homme nouveau, meilleur, libéré. Nous savons où ça mène...

Ce n’est pas un hasard si les deux pays qui s’opposent le plus vigoureusement à cette unification sont la Hongrie et la Pologne (tout comme ce n’est pas un hasard que le premier à quitter l’UE a été le Royaume-Uni – un pays conscient de ses traditions démocratiques). N’oublions pas que la résistance de ces deux nations très attachées à leur identité et à leur liberté a entraîné la chute du « bloc de l’Est ». C’est la révolte de ces périphéries de l’empire soviétique, vouées à l’échec, qui a largement contribué à son effondrement. Un avertissement ?

(*) le titre est de la rédaction

(**) Zdzisław Krasnodębski, sociologue polonais, philosophe social, professeur à l’université de Brême, député européen

Source : L'Opinion 11/12/2020

14:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La fin de la liberté scolaire

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Par Anne Isabeth

Avec cette loi contre le séparatisme islamiste – rebaptisée depuis « loi confortant les principes républicains » – le gouvernement s’at- taque à l’une des dernières libertés qu’il nous reste, et non des moindres, la liberté éducative.

Au menu : restreindre au maxi- mum les conditions permettant l’instruction en famille – qui devient instruction à « do- micile ». A l’origine, elle devait être réservée aux seuls enfants dont l’état de santé le justifiait. Mais le tollé suscité par cette dispo- sition, a fait reculer, un peu, l’Etat qui a élargi les conditions. Il n’est cependant pas revenu sur le fait qu’il faudra désormais demander son autorisation pour pratiquer l’instruction en famille, là où une simple déclaration suffisait. Comme régime de liberté, on a vu mieux. Sur quelle base l’Etat accordera ou non cette autorisation ? Un certificat d’aptitude parentale ? Un brevet de bonne conduite républicaine ? Mystère. Quant aux écoles hors contrat, le projet de loi prévoit que l’Education nationale puisse fermer des établissements sans que l’affaire soit passée devant un juge. Très pratique pour éliminer son principal concurrent. Pour résumer : l’Etat tape sur le hors-contrat et l’école à la maison dont les élèves sont inscrits, signalés et inspectés en prétendant ainsi mieux contrôler les élèves inscrits nulle part.

L’ennemi, c’est la famille

Cette loi fournit un alibi au gouvernement pour arracher les enfants à leur famille, dont l’Etat veut voler les prérogatives. Il suffit d’écou- ter Gérald Darmanin, affirmant de façon péremptoire auprès du Midi libre : « L’éducation n’appartient pas qu’aux cultes et aux parents, l’éducation appartient aussi à l’Etat. L’école doit élever des citoyens et ouvrir les enfants au monde. » L’Etat peut se charger de l’instruction. Pas de l’éducation qui revient aux familles. Et que certaines soient incapables de la donner ne signifie pas que toutes les familles de France doivent se voir supprimer cette prérogative.

En outre, il est pour le moins paradoxal que notre gouvernement tire ainsi à boulet rouge sur les écoles hors contrat et l’instruction en famille – qui donnent majoritairement de très bons résultats – alors que l’école de la République démontre depuis des années ses lacunes. Présent a évoqué cette étude dévoilant la baisse dramatique du niveau des petits écoliers de l’hexagone en mathématiques. Et s’il ne s’agissait que des maths ! Ne parlons pas du français, de la grammaire, de l’histoire... Bref de tout le socle de connaissances.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la création d’écoles hors contrat explose et si le nombre d’enfant suivant l’instruction en famille ne cesse d’augmenter. Ils étaient entre 30 000 et 35 000 en 2017 et sont actuellement 50 000, soit 0,4 % des enfants en âge d’être scolarisés. Une goutte d’eau dans l’océan de l’Education nationale mais qui manifestement gêne. La logique est la même que pour l’instruction obligatoire à partir de trois ans : personne ne doit échapper à la surveillance et à la propagande étatique.

Comme le faisait remarquer Anne Coffinier, présidente de l’association Créer son école et fondatrice d’Educ France qui se bat contre cette loi, l’instruction en famille a été consacrée par Jules Ferry par la loi du 28 mars 1882. On ne peut pas le soupçonner de séparatisme. Et elle poursuit : « L’Histoire nous apprend aussi que c’est en revanche Hitler qui a retiré dès 1938 aux parents allemands ce droit fondamental. Peut-on imaginer pire parrainage ? »

 Source : Présent 12/12/2020

11:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y a 40 ans, le 12 décembre 1980, notre camarade Juan Ignacio Gonzalez, Chef du Front de la Jeunesse à Madrid, était assassiné

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Il y a 40 ans était assassiné à Madrid Juan Ignacio Gonzalez, responsable national espagnol du Front de la Jeunesse. Nous étions de la même génération, nous menions le même combat. Depuis, ce crime n'a jamais été élucidé. Les tueurs, s'ils sont encore de ce monde, sont toujours en liberté.

Depuis 40 ans, les camarades et amis espagnols de Juan Ignacio se battent sans relâche pour que la vérité finisse par éclater. Pour marquer ce triste anniversaire, ils ont demandé à tous les mouvements, associations et revues qui, à travers l'Europe, continuent le combat de publier aujourd'hui le communiqué ci-dessous. 

C'est donc bien volontiers que Synthèse nationale s'associe à cette initiative. Honneur à notre camarade.

Roland Hélie 

 

Communiqué des Amis de Juan Ignacio Gonzalez :

Dans la soirée du 12 décembre 1980, le jeune dirigeant politique madrilène, Juan Ignacio Gonzalez Ramírez, 28 ans, était assassiné, touché par trois coups de feu. Ceux-ci ont été tirés avec une précision de professionnels : le premier dans la poitrine, les deux suivants dans la tête.

Tous les journaux télévisés ont immédiatement tenté de minimiser cet acte criminel en le réduisant à un "un affrontement entre factions fascistes" ou à un sordide "règlement de compte". La police alla aussi dans ce sens en affirmant de manière sibylline qu'"aucune hypothèse n'est exclue".

De plus, le GRAPO (Grupo Revolucionario Antifascista Primero October), un groupe terroriste marxiste très actif en ces années-là, s'empressa de se disculper en publiant un communiqué affirmant qu'il n'était en rien responsable de ce crime. 

Alors, pourquoi un tel crime ? En effet, le « pourquoi ? » aurait dû être, dès le début, au centre de l'enquête mais il n'en fut rien. Force est de reconnaître que les bonnes questions pour identifier les tueurs n'ont jamais été posées. 

La vérité, c'est que Juan Ignacio González Ramírez a été assassiné parce qu'il était un phalangiste et l'un des dirigeants les plus actifs du Front de la Jeunesse, organisation nationaliste en pointe contre le nouveau régime.

S'il s'agissait d'un « litige entre fascistes », comme certains l'ont insinué, la police l'aurait découvert en 24 heures. Et on peut aisément imaginer les titres sarcastiques dans la presse du lendemain... Quant à l'extrême gauche, d'habitude si prompte à revendiquer ses crimes, elle fut vite mise hors de cause. 

Alors, qui aurait pu être si intéressé alors par la disparition physique du jeune leader ?

Remettons-nous dans le contexte trouble qui était celui de l'Espagne au moment de ce qui fut pompeusement appelé, à la fin des années 1970 et au début des années 1980, "la transition démocratique". Le nouveau régime avait besoin d'asseoir son autorité et la classe politique, déjà éclaboussée par de nombreux scandales, voulait museler ceux qui cherchaient à perpétuer l'idée phalangiste d'une Espagne "Une, Grande et Libre". Juan Ignacio était de ceux-ci... Il fallait donc le faire, définitivement, taire.

Quelques semaines plus tard, en février 1981, un simulacre de putsch se déroula aux Cortes, le Parlement espagnol. Un détachement de la Guardia Civil, mené par le colonel Tejero, pris d'assaut la Chambre des députés au milieu de la séance d'investiture. Ce "coup d'État" improvisé, voué dès le début à l'échec, tomba fort opportunément pour légitimer, suite au discours du roi, le nouveau système politique.

Depuis 1977, des officines politico-policières étaient chargées du sale travail pour asseoir la monarchie parlementaire en Espagne. Après l'assassinat de Juan Ignacio et le putsch avorté de Madrid, celle-ci pouvait être tranquille pour un moment...

En savoir plus, cliquez ici

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vendredi, 11 décembre 2020

Martine Wonner - "Je suis très inquiète pour la santé psychique de nos concitoyens !"

Martine Wonner, députée Libertés et Territoires du Bas-Rhin et médecin-psychiatre, était l'invitée d'André Bercoff pour réagir aux annonces de Jean Castex avant les fêtes de Noël.

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16:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gestion des masques par Salomon : «Ça dit du système qu'il est pourri jusqu'à la moelle»

Le Monde s'est procuré des échanges de mails entre le directeur général de la santé Jérôme Salomon et Santé Publique France. Il demandait en 2019 de «modifier la rédaction» d'un rapport qui alertait sur la nécessité de faire des stocks de masques. Fabrice Di Vizio, avocat, donne son point de vue sur RT France.

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16:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |