mardi, 29 mars 2022
Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros
SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici
Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.
Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire
Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.
À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.
Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.
Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants
Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.
L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.
C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.
La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…
Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.
Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.
Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.
Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…
13:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Éric Dénécé (spécialiste du renseignement) démonte Zelensky et l’OTAN
Eric Dénécé (Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement) : "J'avoue que je suis extrêmement choqué par l'écho médiatique et l'aura que l'on donne à Volodimir Zelensky qui est un acteur, un comédien (...) qui est responsable de ce qui se passe, lui et son entourage, n'oublions pas qu'il a été élu avec les voix des Russophones en 2019, il n'a pas appliqué les Accords de Minsk pour lesquels il avait été élu, ensuite il ne faut pas oublier que c'est un homme qui avait été mis en cause par les Pandora Papers, ce ne sont pas des racontars, il est accusé d'avoir dissimulé une grande partie de sa fortune, notamment avec sa société Maltex. Dès qu'il a été élu, il a nommé Sergei Shefir, qui était son producteur, comme principal conseiller. On sait aussi qu'il est accusé d'avoir blanchi près de 40 millions de dollars de l'oligarque Kolomoisky. Donc on a là quelqu'un qui est une forme de satire, je trouve qu'il faut le dire, et qui fait une véritable politique de communication très astucieuse, mais qui commence à se retourner contre lui. On l'a vu devant la Knesset il y a quelques jours où il a comparé ce qui se passait dans l'Est de l'Ukraine à la Solution Finale, alors inutile de vous dire que pour la moitié des élus israéliens c'était un véritable scandale, il nous a rejoué un grand coup de violon devant le parlement français sûr, vous le disiez tout à l'heure, le rapport entre Marioupol et Verdun, ça ne tient pas la route, et aujourd'hui, le chef de la diplomatie ukrainienne, qui est un de ses principaux adjoints, est en train de nous dire ce qu'on doit faire, c'est-à-dire que c'est lui qui décide de provoquer un boycott contre les produits, contre les magasins Auchan en Russie… Ainsi, ces gens qui ne représentent rien, ces gens qui n'ont cessé d'être manipulés volontairement par les Américains, je parle du gouvernement ukrainien, sont aujourd'hui responsables de ce qui se passe dans leur pays. Je fais une nette différence entre cette population ukrainienne qui est victime de la guerre et ce gouvernement qui a une énorme responsabilité, et au lieu de communiquer comme il le fait, on serait plutôt en droit d'attendre de sa part qu'il présente des excuses pour avoir été, un, à l'origine de ce conflit, et finalement il contribue à l'extermination de sa population."
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lundi, 28 mars 2022
La déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin »...
23:41 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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"Macron assassin" : la minable polémique
Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
La minable polémique sur le slogan « Macron assassin », que d'ailleurs quasiment personne n'a entendu dimanche au Trocadéro, est significative de la frustration de la caste politico-médiatique face au succès de ce rassemblement historique. Ils enragent et savent bien qu'Éric Zemmour a toutes ses chances d'accéder au second tour de l'élection présidentielle.
16:21 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Les nations doivent être défendues

Absent depuis plusieurs mois de la vie intellectuelle et médiatique, Alain Finkielkraut fait son grand retour dans Le Figaro. L’académicien confie l’épreuve de la maladie qu’il a traversée et qui l’a obligé à interrompre son émission culte sur France Culture, Répliques. Lui, dont la mère est née à Lviv, ville anciennement polonaise devenue ukrainienne, livre son regard sur l’invasion russe à partir de son expérience familiale, mais aussi des lectures de Milan Kundera et Vassili Grossman. Il voit dans l’agression de l’Ukraine la persistance de la Russie impériale et dans la résistance de Kiev le rappel que les petites nations ne sont pas des concepts abstraits mais des lieux et des attachements à préserver.
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PHÉNOMÉNAL !
12:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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dimanche, 27 mars 2022
En force dimanche 27 mars à Paris avec Eric Zemmour
00:09 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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samedi, 26 mars 2022
Charles-Henri d'Elloy a "fait un tabac" ce samedi après-midi à la Librairie française en présentant son dernier livre : Le procès de Jupiter
Belle après-midi de dédicaces. Merci à tous ceux qui ce sont déplacés. Toutes mes excuses aux lecteurs qui sont arrivés après la rupture de stock du "Procès de Jupiter". Ce n'est que partie remise. Merci de vos encouragements.
Charles-Henri d'Elloy
Acheter le livre : cliquer ici
23:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Colloque de l'Institut Iliade

Le prochain colloque de l’Institut Iliade a pour thème, identité, souveraineté, sacré. Il aura lieu le Samedi 2 avril 2022 de 10 heures à 19 heures à la Maison de la chimie, 28 rue Saint-Dominique, Paris 7ème – métro : Invalides.
Pour s'inscrire, cliquez ICI
10:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Les effets de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale

Christophe Barraud, prévisionniste chez Market Securities, analyse l’effet de la guerre d’Ukraine sur l’économie mondiale, concomitante de la crise sanitaire et du choc d’inflation.
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Source : Le Fiagaro 26/3/2022
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Journal du chaos

Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 25 mars 2022
Eric Zemmour était ce matin aux côtés des riverains de "la colline du crack" à Paris
Pendant que certains passent leur temps à pérorer sur les pseudo sondages, Eric Zemmour, avec courage et détermination, est allé ce matin à la rencontre des habitants de la Porte de la Villette à Paris, là où sévissent les trafiquants et consommateurs de crack.
Eric Zemmour : "Je me suis déplacé à la « colline du crack » en plein Paris, pour soutenir les riverains qui vivent l’enfer à ciel ouvert.
Cette insécurité liée à l'immigration massive est insupportable. Il faut montrer aux Français le vrai visage de l'insécurité.
Dans quelques semaines, j'y mettrai fin".
16:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Sortie le 25 mars du nouveau numéro de la revue Eléments
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Paris, dimanche 27 mars, 14 h : TOUS AU TROCADÉRO !
09:16 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Samedi 26 mars, de 14 à 18 h, Charles-Henri d'Elloy dédicacera "Le procès de Jupiter" à la Librairie française à Paris
Le procès de Jupiter cliquez ici
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Nous subissons une immigration sans précédent

Dans un entretien exclusif, l’ancien ambassadeur et ancien directeur général de la DGSE, Pierre Brochand, explique pourquoi, selon lui, l’immigration est le défi le plus important auquel nos sociétés sont confrontées. L’immigration de masse que vit la France depuis des décennies a créé des groupes culturels distincts dans notre pays, estime Pierre Brochand. Il juge que l’Europe est la seule partie du monde à nier l’importance de l’homogénéité culturelle. Or, pour l’ancien directeur général de la DGSE, la société des individus occidentale multiculturelle est vouée à des déchirements profonds. Il faut, plaide-t-il, un changement de cap complet de nos politiques publiques pour faire face à ce défi.
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Source : Le Figaro 25/3/2020
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L’impossible double guerre

Christian Daisug
Pourquoi les Etats-Unis ne sont-ils pas intervenus militairement en Ukraine pour tenter de s’opposer au déferlement de l’armée russe ? Plusieurs raisons furent avancées, notamment la possibilité d’un enchaînement fatal vers une conflagration mondiale et la préférence de Joe Biden pour des sanctions économiques punissant Vladimir Poutine, président de la Fédération russe. Cependant, l’argument qui emporta la décision à la fois de la Maison Blanche et du Pentagone n’a rien de commun avec cette prudence calculée et ce choix de moyens : il est stratégique. Les Etats-Unis refusent de prendre le risque d’avoir à combattre sur deux fronts simultanés. Or, s’ils avaient estimé leur présence indispensable contre les envahisseurs de l’Ukraine, à l’autre bout du monde, Xi Jinping, le président chinois, aurait très bien pu sauter sur l’occasion et ouvrir des hostilités afin de s’emparer de Taiwan. Il n’attend que ce scénario et compte sur les faiblesses de l’Amérique.
En fait, ce ne sont pas tant les faiblesses, toute relatives, de leur superpuissance en déclin qui inquiètent les autorités de Washington que la force impressionnante de la Chine. En vingt-cinq ans, celle-ci s’est hissée sur les plans militaire et économique – deux domaines intimement liés – au niveau du pays que son ambition a pris pour cible. Elle le nargue. Elle le défie. Elle guette la moindre de ses défaillances ou de ses erreurs pour croiser le fer et essayer de prendre sa place. Xi a davantage de navires que Biden et peut utiliser des missiles supersoniques que son rival ne possède même pas. Il est vrai que les bombardiers indétectables restent le joyau de l’US Air Force, mais elle n’en dis- pose que de vingt. Si les Etats-Unis voulaient voler au secours de Taiwan, les experts ont calculé qu’ils devraient engager en avions, sous-marins, commandos, reconnaissance et renseignement, les trois quarts de leur armée. Que resterait-il pour un théâtre d’opérations en Europe ? Des unités clairsemées dotées d’un ma tériel insuffisant. Autrement dit, une Amérique faisant pâle figure devant une Russie plus décidée que jamais à prendre sa revanche.
Conclusion : pour les Etats-Unis, Taïwan est infiniment plus importante que l’Ukraine. L’île rebelle sert de verrou à leur influence dans le Pacifique. Si Xi parvenait à le faire sauter, Washington ne serait plus en mesure de défendre ses trois principaux alliés dans la région – Japon, Philippines et Corée du Sud – ni même de poursuivre avec eux un intense commerce : ses dirigeants auraient perdu la face. La Chine communiste aurait obtenu ce dont elle rêve depuis sa fondation : l’effacement de l’ultime symbole de l’ancien régime. Xi fait de cet objectif l’apothéose de son programme et le fer de lance de sa carrière. Son alliance avec Poutine sent le pétrole, le commerce et la fructueuse complicité face à l’adversité. Elle sent aussi la menace d’un double embrasement armé. Le Pentagone tient à sa formule : les alliés européens sont mieux placés pour tenir tête à la Russie que ne le sont les alliés asiatiques pour contenir la Chine.
Source : Présent 24/3/2022
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jeudi, 24 mars 2022
QG de campagne au siège de Reconquête...
16:46 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes

Dans son dernier édito de Marianne, Natacha Polony s’interroge sur la Corse et plus particulièrement décortique ce que pourrait signifier une « autonomie de la Corse » avancée par le gouvernement. Rappelant que le pacte républicain repose sur une France « une et indivisible ». Ce qui ne l’empêche pas, comme le rappelait Renan qu’elle est aussi une et diverse.
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09:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Ukraine : retour au réel

L’Europe peut sembler trop prudente à l’égard de Poutine… Mais c’est elle qui paierait le prix fort d’une escalade militaire avec le Kremlin.
Les accords de Minsk font suite à l’entrée des Russes dans le Donbass… Mais ils reconnaissaient une autonomie de la région non respectée par les Ukrainiens.
Comme tout pays, l’Ukraine peut demander son adhésion à l’Otan… Mais la promesse a bien été faite à la Russie que l’Alliance atlantique ne s’étendrait pas vers l’est.
Personne ne sait où la guerre de Poutine nous mène… Mais on peut encore envisager qu’elle puisse s’arrêter à la seule Ukraine ?
Vladimir Poutine a menti et s’étend vers l’ouest… Mais au début des années 2000, l’Occident a aussi beaucoup menti et n’a pas accepté la main tendue par Moscou.
Non, les Américains n’ont pas financé des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine… Mais ils sécurisent des installations de recherches contre les épidémies.
A la frontière polonaise, un bel élan de solidarité se met en place… Mais des sectes en profitent pour étendre leur influence.
L’Europe sanctionne financièrement la Russie… mais elle ne parvient pas à l’asphyxier.
La Crimée est annexée par Poutine… Mais un vrai référendum aurait pu clarifier la question.
Zelensky agit en héros… Mais son nom apparaît bien dans la liste des fraudeurs fiscaux.
Les citoyens font preuve de générosité… Mais le patronat polonais se frotte les mains.
Source : Marianne 24/3/2022
09:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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mercredi, 23 mars 2022
GPA : Trafic humain en Ukraine – Le scandale Biotexcom
Alors que l’Ukraine est sous les bombes, une agence de GPA ose profiter des circonstances pour diffuser une vidéo « publicitaire » : elle consiste à vanter son efficacité à déplacer des dizaines de nouveaux-nés et, littéralement, à les stocker dans un sous-sol.
Cette vidéo atteste hélas de l’ampleur de ce trafic humain international. Elle témoigne de la chosification des enfants, emmenés loin de leur mère dès les instants de leur naissance pour être livrés à des inconnus. Dans l’urgence de toucher le prix de ces enfants, ces trafiquants ne réalisent même plus la monstruosité de ce qu’ils diffusent.
Sur les plateaux TV, les commanditaires sont reçus avec empathie quand des femmes, exploitées comme mères porteuses parce que très pauvres, dont aucun ne questionne les conditions de (sur)vie, sont retenus à Kiev, sous les bombardements, pour assurer la livraison du bébé commandé et attendu.
BIOTEXCOM, agence de GPA ukrainienne réalise une campagne publicitaire scandaleuse attestant de l’ampleur de ce trafic international de bébés. L'aliénation de la femme, le trafic humain de la GPA est inacceptable. La promotion de cette pratique indigne doit être empêchée et interdite. Il est temps de dire STOP. Il est temps de sauver ces femmes exploitées et d'exiger l’abolition universelle de la GPA ! Signez la pétition sur ukrainiennesendanger.com
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Trois questions à Bruno Mégret

Francis Bergeron : Vous avez apporté votre soutien à Eric Zemmour. Est-ce l’homme, sa capacité à faire travailler ensemble des talents divers ou son programme qui vous séduit essentiellement ?
A vrai dire, rien de tout cela. Ce qui m’a amené à soutenir Eric Zemmour, c’est essentiellement la conscience qui est la sienne des réalités géopolitiques du monde d’aujourd’hui. Car, comme lui, je crois que nous vivons maintenant dans un monde multi- polaire où s’affrontent les civilisations. Or, la nôtre, la civilisation européenne et chrétienne, est aujourd’hui attaquée par d’autres civilisations. On pour- rait citer la Chine qui, avec les pays émergents, dépèce notre économie grâce au libre-échangisme mondial, ou les Etats-Unis qui polluent notre culture avec des idéologies funestes comme récemment le mouvement « woke ». Mais c’est surtout bien sûr le monde arabo- africano-musulman qui nous menace le plus gravement en cherchant à nous imposer, par une immi- gration massive et inassimilable, sa propre civilisation en lieu et place de la nôtre. Il fallait mieux faire connaître aux Français cette réalité mortifère qui me- nace notre identité. Je crois qu’il l’a fait avec talent.
Quelle est votre définition de « la vraie droite », qui justifie ce choix et fait la différence avec Marine Le Pen ?
Je ne théoriserai pas la notion de vraie droite, c’est celle qui s’oppose à la fausse droite entièrement dominée par le politiquement correct. Et, à cet égard, à mes yeux en tout cas, Eric Zemmour comme Marine Le Pen font l’un comme l’autre partie de la vraie droite. L’un et l’autre combattent le politiquement correct et défendent notre identité face au mondia- lisme. Je regrette cependant que ni l’ un ni l’autre n’explicite vraiment la nécessité, pour réaliser le grand changement qu’ils proposent, de remettre en cause l’Etat de droit, c’est-à-dire la dictature juridique que nous impose notamment le Conseil constitutionnel. Une institution qui s’érige en tribunal idéologique et bafoue la souveraineté populaire. Habitée par l’ idéologie politiquement correcte, cette juridiction n’hésite pas en effet à censurer les lois votées pourtant par les élus du peuple dès lors qu’elles ne sont pas conformes à l’idéologie du Système. Ce qui veut dire que, si le Conseil constitutionnel n’est pas remis à sa place, une bonne partie du programme de Marine Le Pen comme d’Eric Zemmour ne pourra pas être mis en œuvre. Il faudrait donc dénoncer ce gouvernement des juges et prévoir une réforme constitutionnelle qui instaure par exemple un droit d’appel des décisions du Conseil constitutionnel, donnant le dernier mot au peuple soit par un référendum soit pas un vote ultime de l’Assemblée nationale.
Si l’on en croit les sondages, la candidate du RN resterait le principal adversaire de Macron. Mais y a-t-il un risque de voir Mélenchon s’imposer à la deuxième place ? Et, dans ce cas, faut-il se préparer au « vote utile » dès le premier tour ?
Je ne crois pas que Mélenchon puisse se qualifier pour le second tour. Je pense que c’est un candidat de la vraie droite, ou si vous préférez de la droite nationale, qui sera l’adversaire de Macron. Il faudra alors que celui de Zemmour ou de Marine Le Pen qui ne sera pas qualifié se désiste clairement en faveur de l’autre et que toutes les voix se rassemblent pour battre Macron et faire triompher nos idées.
Source : Présent 23/3/2022
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mardi, 22 mars 2022
Après les éoliennes, la nouvelle escroquerie écologiste : la méthanisation
Sortie très prochaine d'un livre consacré à ce nouveau scandale rédigé par Bernard Germain
Il y a deux mois Bernard Germain était invité à l'émission Synthèse sur TV Libertés.
Peu de gens savent ce qu’est la méthanisation. Et pour cause, ces structures ne sont construites qu’à la campagne, loin des villes.
La méthanisation leur est présentée comme le moyen de produire du gaz « bio », ce qui préserverait notre dépendance vis à vis de l’étranger.
Ce gaz « bio » est produit à partir de déchets, notamment les déjections animales, ce serait donc écologique et vertueux.
Enfin, la méthanisation est présentée comme une solution mise en œuvre « à la ferme », assurant un petit complément de revenu aux agriculteurs qui souffrent tant des prix reçus pour leurs productions.
Au final, la méthanisation n’aurait que des avantages.
Mais la réalité est bien différente.
L’auteur de cet ouvrage a été confronté à la tentative d’installation d’une structure de méthanisation proche de son domicile en Bretagne.
Il s’est opposé à ce projet avec des centaines d’habitants de son bourg.
Ce livre explique d’abord ce qu’est la méthanisation, ses dangers pour l’environnement et les populations, ainsi que sur le plan économique.
Il démontre aussi que la méthanisation, qui est l’un des piliers des « énergies renouvelables » n’est qu’une escroquerie sur tous les plans.
Il constitue aussi un guide pour l’action à destination de ceux qui souhaitent s’opposer.
À lire d’urgence … si vous ne voulez pas être victime de cette nouvelle escroquerie écologique.
Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste, Bernard Germain, édité par Synthèse nationale, mars 2022, 104 pages, 18,00 €
Pour acheter ce livre cliquez ici
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Entretien avec Alain de Benoist sur les crises du moment

Entre la guerre en Ukraine, la fièvre nationaliste corse, les élections présidentielles qui arrivent, la radicalisation de la vie politique en France, il y avait énormément de sujets que Breihz Info voulait aborder en cette fin mars avec Alain de Benoist. C’est chose faite avec cet entretien.
Lire l'entretien ICI
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Les Etats-Unis n’ont rien à espérer de la Chine

Christian Dalsug
De solides preuves accumulées dès le début du mois de janvier dernier ont persuadé les Américains que Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, était en train de programmer l’invasion de l’Ukraine. L’attaque devait avoir lieu fin janvier. C’est alors que se greffèrent sur ces sombres desseins deux opérations extérieures et contradictoires. L’une, venue de Washington, sollicita l’influence du président chinois Xi Jinping sur Poutine pour tenter de tuer cette guerre dans l’œuf ; l’autre, née à Pékin, demanda au Kremlin de remettre les affrontements militaires à la fin des Jeux olympiques d’hiver. Deux initiatives croisées : la première échoua lamentablement ; la seconde fut couronnée de succès.
Pour sceller leur « mariage de raison », Poutine et Xi se rencontrèrent à Pékin le 4 février ; l’Ukraine n’avait plus que quelques jours de paix à vivre. Dépitée, la Maison-Blanche prit conscience du décalage de sa diplomatie. Dans cette affaire, la Chine avait quelques longueurs d’avance sur elle.
Pourtant, ce camouflet administré non sans un certain mépris ne découragea pas le moins du monde Joe Biden qui chargea Jake Sullivan, son conseiller pour la Sécurité nationale, de relancer la Chine afin d’utiliser son poids pour, cette fois, arrêter la guerre. La rencontre de Sullivan et du ministre Yang Jiechi dura sept heures. Pour rien. Les Etats-Unis et l’Europe perdirent brutalement leur double illusion : dans cette affaire, le couple qu’ils forment n’a qu’un crédit très limité ; en revanche, le couple sino- russe paraît résister aux secousses du conflit. Pékin a refusé de qualifier Poutine d’« envahisseur », d’œuvrer pour un cessez-le-feu ou de rejoindre les Occidentaux dans leurs sanctions contre le Kremlin. Xi a réaffirmé la pérennité des accords du 4 février. Mieux : il a ouvert ses banques à son partenaire et doublé ses échanges commerciaux avec lui.
Ni le coût humain, économique et diplomatique des opérations militaires, ni les risques de mesures coercitives n’ont fait reculer Xi. Si sa tactique a dû changer au gré des événements ponctuels, sa stratégie, jusqu’à preuve du contraire, reste la même. Pourquoi ? Cinq raisons :
- – Poutine et Xi sont de vieux complices avec des pays qui, sur les plans politique et économique, ont prouvé leur complémentarité. La Russie propose son pétrole et son gaz, la Chine sa masse et sa puissance. Pour remplacer les Etats-Unis, il vaut mieux être deux. D’autant qu’aucune rivalité ne pourrait ternir le tandem à long terme : Poutine se fixe en Europe et au Moyen-Orient, Xi lorgne l’Indo-Pacifique et l’Asie centrale.
- – L’autre semaine, Emmanuel Macron et Olaf Scholz, le chancelier allemand, ont participé à un sommet virtuel avec Xi. Les « durs » à Pékin tirèrent de ce contact deux conclusions sans surprise : les Européens ne sont prêts ni à défendre leurs arguments par la force ni à rompre tous liens avec la Chine. Reste la gestion d’un moment difficile...
- – Xi fut surpris par la résistance des Ukrainiens. Et par l’absence – ou le dérapage – d’une opération « coup de poing » qui était sans doute initialement prévue. La guerre traîne trop et empoisonne l’ atmosphère générale. Mais, pour Xi, ce qui importe, c’est l’OTAN. A l’image des capitales européennes, l’« obsession » de son allié Poutine n’a pas bougé. Un signe encourageant pour les deux compères. La paix viendra. C’est donc une question de temps.
- – On pourrait imaginer Xi intervenant en fin de course afin de contribuer au ficelage d’un cessez-le-feu. Que pourrait-il mettre dans la balance ? Quelques concessions qui ne troubleraient pas Poutine, « son meilleur ami » : mariage de raison oblige. Les experts, ici, ne croient pas à un Xi lâchant du lest. Il a misé toute sa carrière sur le nouvel axe Moscou-Pékin. Le moindre retour en arrière serait assimilé à un aveu d’échec. Une raison suffisante pour le limoger cet automne au XXe congrès du Parti communiste.
- – Ultime justification à la route tracée par Xi : la faiblesse et l’incohérence des Etats-Unis. Obnubilés par l’humanitaire ukrainien, ils ont manqué de stratégie à long terme. A cela s’ajoute un budget militaire centré sur le défensif, une politique énergétique aberrante et un président qui n’est pas pris au sérieux. L’axe Moscou-Pékin est à la fois un défi et un test. Appliqué à l’affaire ukrainienne, cet axe recèle une charge offensive multipliée par cent. A Washington, l’establishment ne semble pas s’en être rendu compte.
Source : Présent 22/3/2022
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Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : L'Abécédaire de la décadence...
L’auteur dresse un diagnostic implacable de la décadence occidentale en général, et de la France en particulier. Innombrables sont les renoncements et les lâchetés d’une société qui semble à bout de souffle. Trahie par ses élites, livrée à toutes les vagues migratoires et à toutes les subversions sociétales, la France pourrait-elle se redresser ?
Jean-Claude Rolinat propose un saisissant catalogue de nos pathologies et suggère quelques remèdes, sans oublier, parfois, une dose d’espoir.
De A comme « agression », en passant par I comme « institutions » ou « Islam et islamisme », M comme « Macron », jusqu’à V comme virus chinois ou vulnérabilité et, finalement W pour « woke », ces entrées permettent d’engranger des munitions pour soutenir la controverse et alimenter le débat.
Au fil des pages, il fait leur « fête » aux rappeurs et autres « footeux » – enfants gâtés d’une société du « fric » –, sans oublier les parasites de la généreuse République française et ses Tartuffes.
Demain, serons-nous encore « maîtres chez nous », libres d’utiliser notre vocabulaire comme bon nous semble – pourrons-nous ainsi déguster des « langues de chat », sans que des « antispécistes » ne nous tombent sur le poil ! –, ou commander un « noir bien serré » sur le zinc de notre bistrot préféré, sans qu’une ligue de vertu « racialisée » ne nous traine devant un tribunal ? La folie transhumaniste, l’expansionnisme musulman, l’immoralité d’un État qui est « fort avec les faibles et faible avec les forts », les attributs et autres symboles d’une fausse grandeur, sont les cibles de cet Abécédaire dont la lecture ne peut que nous inciter à nous mobiliser et dire non au renoncement. Efforçons-nous de ne pas donner crédit à la citation de Charles Péguy – sacrifié sur l’autel de la patrie en 1914 –, qui écrivait : « Je ne dis pas : le peuple est perdu. Je dis : nous avons connu un peuple que l’on ne reverra jamais. »
L'Abécédaire de la décadence, Jean-Claude Rolinat, Dualpha, 220 pages, 25,00 €
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Jeudi 24 mars à Wolfisheim (près de Strasbourg) : Nikola Mirkovic, invité du Cercle Mercure
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Samedi 2 avril à Paris : IXe colloque de l'Institut Iliade
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lundi, 21 mars 2022
Les Allemands sont-ils vraiment nos alliés ?

Pascal Perri
Il n’y aura ni relocalisations ni reconquête industrielle de la France sans une parfaite maîtrise des flux énergétiques en matière de quantité et de prix. La guerre en Ukraine rebat les cartes de la géopolitique des sources d’énergie. Nous mesurons tous à quel point il est essentiel de sortir des préventions idéologiques et de cultiver notre indépendance énergétique. Sans énergie accessible, pas d’économie, pas d’industrie et pas de souveraineté alimentaire.
En Espagne, le secteur de la sidérurgie est en partie à l’arrêt en raison de l’envolée des prix du gaz et de l’électricité. L’Allemagne, très dépendante du gaz russe, s’inquiète, elle aussi, pour son industrie. Inquiétude en termes d’accès et de prix. Les mauvais choix de Gerhard Schröder et d’Angela Merkel ont créé une telle sujétion à la Russie, que le gouvernement du chancelier Olaf Scholz est désormais prisonnier des impasses des énergies renouvelables. L’Allemagne entraîne avec elle une partie de l’Europe et nous prive collectivement d’armes de défense pour mieux combattre la guerre du président Poutine chez son voisin ukrainien. Le 26 novembre 2021, Frans Timmermans, vice-président de la commission européenne chargé du Pacte vert déclarait, sur Euronews, « les jeux sont faits sur le sort du charbon. Et c’est le plus important ». Funeste erreur ! Malheureusement pour le climat, le charbon a encore de l’avenir devant lui. Non pas en Inde ou en Chine mais chez nos voisins allemands. Début mars, les ministres concernés par le dossier, dont l’écologiste Robert Habeck, ont annoncé qu’en dépit de la crise d’approvisionnement en gaz, les centrales nucléaires encore en état de marche ne seraient pas prolongées, et que l’Allemagne compterait sur le charbon comme filet de sécurité pour assurer sa sécurité énergétique ! Aux énergies intermittentes, non garanties et non pilotables, répond un entêtement idéologique et politique permanent de la gauche écologiste allemande et... française.
Yannick Jadot n’a pas peur du ridicule et déclare que « le projet écologiste est le projet qui évite la dépendance à Vladimir Poutine et au gaz russe ». Les émissions allemandes de gaz à effet de serre ont augmenté de 4,5 % en 2021 en raison du manque de vent pour alimenter les éoliennes, et 2022 s’annonce déplorable en termes de trajectoire climatique de l’autre côté du Rhin.
Le président Poutine vient de choisir pour ceux qui, en Europe, ont gardé la tête froide. Le signal russe est clair ; il nous renvoie à notre solitude énergétique et nous encourage à mieux choisir nos dépendances. Cet épisode tragique devrait nous inciter à lire entre les lignes la politi- que de l’Allemagne et le rapport de force qu’elle entend nous imposer. Les Allemands ne veulent pas de réindustrialisation en France. Ils ont objectivement tout fait pour s’y opposer. Ils ont lutté pour exclure le nucléaire, énergie sans CO2, de la taxonomie. Cette énergie est disponible et économique. Elle représente un avantage compétitif pour nos industries. Son maintien en l’état, puis son renforcement, constitue une base de reconquête industrielle.
L’Allemagne est notre voisin mais elle a ses préférences en matière de stratégie industrielle. La puissante industrie automobile allemande a d’abord besoin du grand marché américain qui assure une partie substantielle de ses débouchés. Une industrie française plus forte serait un danger pour sa volonté d’hégémonie dans ses secteurs d’excellence. Allemagne européenne ou Europe allemande ? L’option 2 semble bel et bien l’emporter !
Source : Les Echos, 21/3/2022
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Ukraine : ces vérités sur les hommes et les femmes que la guerre met en relief

La force de la résistance ukrainienne à l’invasion russe s’explique notamment par une conception traditionnelle des rôles et des devoirs distincts des hommes et des femmes, conception partagée par tous dans ce pays, et qui conforte le patriotisme et le sens du sacrifice des Ukrainiens, argumente l’écrivain, essayiste et universitaire Jean-Michel Delacomptée. Il est l’auteur d’un essai pertinent, Les hommes et les femmes. Notes sur l’esprit du temps (Fayard).
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Source : Le Figaro 21/3/2022
08:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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