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lundi, 04 janvier 2021

Western Electrique, le nouveau livre de Pierre Gillieth

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Georges Feltin-Tracol

Principal animateur de l’excellent magazine Réfléchir & Agir, Pierre Gillieth a déjà signé sept ouvrages et collaboré à quatre autres. Ses centres d’intérêt, très variés, vont des Gaulois à Alphonse Boudard, du polar à la sinistre Épuration de 1944 – 1945. Avec Western électrique, il concentre sa narration surquelques moments de la vie de Bertrand, un jeune huissier dans les années 1990 à Toulouse.

Il s’agit d’une autobiographie romancée qui ne respecte pas la chronologie. Issu d’un milieu bourgeoisaux très fortes convictions centristes lié à la dynastie municipale des Baudis, Bertrand se morfond dans un travail inutile, contraint en plus de cohabiter des journées entières avec des collègues antipathiques à souhait. Seul s’extrait un sympathique demeuré préposé au courrier, grassement rémunéré, en tant que fils du fondateur de l’étude.

Au FN

Bertrand trompe son ennui professionnel de diverses manières. L’ancien étudiant en droit et à Sciences-Po Toulouse, peut-être l’institut d’études politiques le plus pourri de France avant que Richard Descoings ne fasse de Sciences-Po Paris un sommet de la nullité intellectuelle et du politiquement correct global, a une copine, Sonia, joue dans un groupe de rock et, surtout, milite au Front national de la Jeunesse. Ainsi collabore-t-il à La Flamme, le bulletin de la fédération de Haute-Garonne que ne citent pas Jean-Yves Camus et René Monzat dans Les droites nationales et radicales en France (Presses universitaires de Lyon, 1992, « publié avec le concours du B’nai B’rith de France », un beau gage d’impartialité…).

Bertrand participe aux collages nocturnes dans un département occitan assez réfractaire au tocsinlepéniste. Bien que le FN fasse à l’époque des résultats électoraux à deux chiffres au niveau national, les militants locaux affrontent souvent l’indifférence du plus grand nombre qui ne pense politique que cinq minutes par an (et encore !), le mépris des nantis, la hargne de l’extrême gauche et la violence des jeunes immigrés. Deux chapitres révélateurs rapportent des cas concrets de ce « harcèlement démocratique » encouragé par le socialiste Jean-Christophe Cambadélis aujourd’hui disparu du premier plan médiatique. « Ces déjà Charlie étaient […] partisans d’empêcher de parler tout ce qui ne pensait pas comme eux (pp. 48 – 49). » La distribution de tracts dans l’université de Toulouse voit l’inévitable hargne moutonnière des petits merdeux syndicalistes estudiantins de gauche. Les violences sont d’ailleurs toujours provoquées par les antifas qui pratiquent dans les faits lemasochisme du rue : ils aiment recevoir des coups pour ensuite adopter une posture victimaire bien commode grâce à la complaisance des médiats complices. En raison de son engagement politique, Bertrand se fait bientôt virer du groupe de rock. L’un des membres du groupe, détenteur d’une maîtrise d’histoire (respect !), défend l’immigration et refuse par conséquent de jouer avec un « facho ». Un bien bel exemple de discrimination…

Quelques portraits militants

Western électrique dresse aussi le portrait de quelques sympathiques personnages tels le frontiste « JR », un ancien « délégué CGT de la cantine du restau U de Tolbiac (p. 52) » ou l’Abbé, « prétendument un ancien prêtre défroqué, rendu à la civilisation pour des motifs brumeux, et vivant aujourd’hui d’expédients encore plus incertains (p. 34) ». On y rencontre même de futurs contributeurs à Réfléchir & Agir… En revanche, d’autres adhérents au FN en prennent pour leur grade à l’instar du très oublié Stéphane Durbec ou de l’actuel maire de Perpignan. On relèvera enfin le satisfecit qu’accorde Pierre Gillieth à Bernard Antony. Bien que député européen et croisé de l’Occident éternel, il « vient coller avec nous, la nuit même, il mouille la chemise. Il n’est pas hautain. […] Humainement et sur le plan militant, il n’y a rien à lui reprocher (p. 87) ».

Il est agréable de lire Western électrique. On y retrouve l’atmosphère des dix ultimes années du XXesiècle. Cette décennie marquée par le coup monté de Carpentras en 1990, le référendum prostatique de Maastricht en 1992 et la scission mortifère du FN en 1998 accélère un déclin civilisationnel entamé au moins un siècle auparavant. Le héros de Western électrique ne sait pas encore qu’il délaissera bientôt le militantisme pour l’activisme culturel et éditorial. Il va vite comprendre qu’avec le pot de colle et les tracts, le livre constitue une autre arme de combat.

Pierre Gillieth, Western électrique, Auda Isarn, 2020, 153 p., 16 €.

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dimanche, 03 janvier 2021

Pour ne pas oublier ce que fut la terreur rouge :

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Dès le mois de décembre 1917, la révolution bolchevique instituait la forme la plus terrifiante et la plus systématique de répression. Lénine en confia la direction à l'aristocrate polonais Félix Dzerjinski. Pendant plus de 70 ans, cet organe de pouvoir, la Tcheka d'une violence sans limites, littéralement terroriste, ne fit que changer de nom : Guépéou, NKVD, KGB.

Et tout au long de son histoire, l’URSS exporta ses méthodes inchangées et impunies dans tous les pays communistes, de l’Allemagne de l’Est jusqu’en Chine.

Ce livre comprend :

Terreur rouge et théorie révolutionnaire • par Jean-Gilles Malliarakis : les bases doctrinales de la dictature de l'appareil du Parti, au nom du Prolétariat. Comment Lénine, disciple de Karl Marx et de Engels, s’affirme comme héritier de la Terreur jacobine. Ses nostalgiques, de Buonarotti à Blanqui, influenceront à leur tour les révolutions du XIXe siècle, jusqu'à la théorisation par Marx et Engels, et la mise en œuvre par Lénine.

Terreur rouge, pratique révolutionnaire • par Charles Culbert : la logique du système, matrice du totalitarisme au XXe siècle. Les crimes communistes, lois d'être des excès momentanés se révèlent les conséquences invariantes du projet lui-même. Le prototype soviétique se retrouve ainsi sous toutes les latitudes. • Les Documents Tchernov diffusés dès 1922 en occident montrent le caractère total du système répressif.

La terreur rouge, théorie et pratique, Jean-Gilles Malliarakis et Charles Culbert, Editions du Trident, 2020, 230 pages, 20 euros franco.

Pour le commander cliquez ici

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Morts au Mali : ça suffit !

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Dominique Merchet

Quentin, Dorian et Tanerri avaient 21, 23 et 28 ans. Ils étaient militaires français et « sont morts pour la France, dans l’accomplissement de leur mission ». Le président Macron a fait part de « sa très grande émotion » et un hommage leur sera rendu.

Comme 50 autres soldats avant eux, ces trois jeunes Français ne reviendront pas du Mali, où, depuis bientôt huit ans, notre pays s’est enlisé dans une guerre sans issue. Quant aux blessés, les armées ne communiquent pas sur leur nombre. Ils sont assurément plusieurs centaines, dont certains handicapés à vie.

Cela suffit ! Quel « rôle international » de la France justifie ces pertes ? Aucune menace terroriste contre le territoire national n’est jamais venue du Sahel, reconnaissent les chefs du renseignement. Sur place, les conflits ne pourront se régler que par la négociation avec ces « groupes terroristes », qui sont en réalité des insurrections renouant avec l’histoire précoloniale du Sahel.

Peut-être était-il indispensable d’intervenir au Mali comme l’a fait François Hollande en 2013. L’erreur a été d’y rester, car désormais, on ne sait plus comment partir. Ou plutôt comment habiller de manière présentable ce qui sera l’aveu d’un échec. Car malgré des débauches de communication, les Européens ne se précipitent pas pour venir aider les Français et les armées locales n’ont ni les moyens, ni la volonté de mener ce type de guerre.

Nous partirons donc du Mali, comme nous l’avons fait d’Afghanistan (après la mort de 90 militaires) et comme les Américains le font à leur tour. Les Talibans, eux, sont toujours là.

Tout à leur rêve de grandeur, nos dirigeants peinent à comprendre que les Occidentaux ne gagnent plus ces guerres et que l’ère des expéditions militaires est derrière nous. Un jour, ils seront obligés d’en convenir. Ce sera trop tard pour Quentin, Dorian et Tanerri. Et les prochains.

Source : L’Opinion 29/12/2020

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samedi, 02 janvier 2021

Alexandre Simonnot invité aux entretiens du Parti de la France

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Demain, dimanche 3 janvier à 14 h, mobilisation pour défendre le calvaire de Plorec-sur-Arguenon (22)

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Source Breizh info cliquez là

Les militants gauchistes de la Libre Pensée ont réussi à faire quasiment l’unanimité contre eux concernant l’affaire dite du Calvaire de Plorec-sur-Arguenon, dans les Côtes d’Armor.

Localement d’abord, car les habitants interrogés sont, dans l’ensemble, circonspects sur l’acharnement « laïque » de cette association dans une région qui, traditionnellement et historiquement, est chrétienne et catholique.

Politique ensuite. Ainsi, un appel à mobilisation a été lancé en vue d’une manifestation le 3 janvier prochain, par David Cabas et le collectif « Touche pas à ma croix ».

« En 2017, lors de l’affaire de la croix de Ploërmel, j’ai fondé le collectif « Touche pas ma croix ».

Lors de cette affaire , j’ai dit : Déplacer la croix, c’est déplacer le problème ». Suite à la décision du tribunal administratif de Rennes de détruire le calvaire de Plorec-sur-Arguenon le 5 février 2021, il est évident que j’avais raison.

Hier, mercredi 15 décembre, je me suis déplacé à Plorec-sur-Arguenon et j’ai lancé à nouveau un appel pour protéger notre patrimoine. Ma vidéo a déjà été vue plus de 10.000 fois sur Facebook.

Avec le collectif « Touche pas à ma croix », j’appelle à une grande mobilisation dans le respect des règles sanitaires le dimanche 3 janvier entre 14h et 15h devant le Calvaire de Plorec-sur-Arguenon » indique-t-il.

 

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Sergueï Lavrov dresse les perspectives de la politique étrangère russe

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Sergueï Lavrov, 70 ans, le ministre des Affaires étrangères russe, est certainement l’un des plus fins stratèges de la planète diplomatique mondiale. Mais à l’heure où les Etats-Unis ont rallumé le spectre de la « guerre froide » et quasiment déclaré la guerre aux Chinois pour conserver leur leadership, la Russie se doit de louvoyer pour faire entendre sa voix. Et de confirmer le déplacement géopolitique de la zone euro-atlantique vers l’espace Pacifique. Enfin, pour Sergueï Lavrov, l’arrivée de Joe Biden ne changera fondamentalement rien à la politique d’hostilité menée par Donald Trump à l’égard de la Russie.

Source : site Sputnik - Lire la suite ICI

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Les voeux de Philippe Milliau, président de TV Libertés

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00:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 01 janvier 2021

Les voeux de Jean-Marie Le Pen

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23:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reiner Fuellmich : Les procès des tests PCR sont imminents

Si la vidéo ne fonctionne pas bien, voici un autre lien : ICI

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19:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Meilleurs voeux bolchéviques du Préfet Didier Lallement

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Il doit ignorer que Trotsky est mort assassiné...

«Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables»

Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski (de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein) était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux «agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites». Entre un préfet psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trostski, Lallement fait un double clin d’oeil à un génie de la répression et à ses auxiliaires Blackblocs. Sous des dehors qui se veulent humoristiques il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche.

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Les manifestants qui battront le pavé parisien sont prévenus…

Source : Le Salon Beige

19:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bonne année 2021

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jeudi, 31 décembre 2020

Dans son Journal de Bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen rend hommage à Synthèse nationale

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11:41 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur Métainfos.com, Michel Lhomme commente le remarquable livre de Franck Buleuux,"Le guerre sociale qui vient"

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Source Métainfos.com cliquez ici

Alors que cette nuit, des voitures brûleront, des quartiers s’enflammeront sans que Moussa Darmanin, le ministre de l’Intérieur malgré ses rodomontades ne soit capable d’enrayer le désordre malgré le couvre-feu proclamé et les moyens déployés justifiés habilement par le covid (https://youtu.be/Ae3ZdpBS-co), nous portons aujourd’hui au débat par quatre textes la question d’une éventuelle guerre civile française à l’occasion de la sortie du livre de Franck Buleux chez Dualpha, La guerre sociale qui vient en course ce dernier jour pour le Prix des lecteurs de Présent (appuyer cette démarche de vérité en choisissant cet essai : https://present.fr/votez/). ML.

Michel  Lhomme

Nous soutenons pour le prix Présent 2020, le livre de Franck Buheux, La Guerre sociale qui vient mais il n’empêche que la thèse soulève débat un peu partout.

Y aura-t-il une guerre civile, un soulèvement populaire en France, dans la France dévastée de 2022 à qui de toute évidence, on volera le vote comme aux Etats-Unis quoiqu’il advienne ? On sait que depuis des décennies, on entend un peu partout « cela va craquer », « les gens vont descendre dans la rue », « il y aura une révolution ». D’abord, il est faux de dire que rien ne se passe puisqu’il y a eu les Gilets Jaunes, réprimés à coup d’énucléations, de mains arrachées, puis délégitimés par des policiers casseurs à l’intérieur même des manifestations. Non, il ne s’est donc pas rien passé puisque les bourgeois ont un moment tremblés, des intellectuels comme Luc Ferry ont appelé au lynchage par balles réelles du peuple, que les manifs sont interdites et que la censure est partout omniprésente. Mais il n’y a pas eu de conjonction du mouvement entre banlieues immigrées et patriotes, classes populaires et classes moyennes, ni même division au sein des forces de l’ordre, condition nécessaire à toute révolution, pas de grève générale.

Alors la France se soulèvera-t-elle ? Y aura-t-il « guerre des races », « guerre sociale », séparatisme et conflits civils ou la France moutonnière des masques Covid encaissera sans broncher de se faire spolier, dilapider par le gouvernement et en même temps rosser par la colonisation africaine et l’islamisation rampante du pays ?

Il semblerait bien en effet que deux scénarii se profilent ou :

  • La société française se fracture carrément en deux entités démographiques, raciales, religieuses et sociologiques d’une manière violente (puisqu’il s’agit d’une appropriation classique de territoire) avec les allogènes d’un côté (majoritairement musulmans) et de l’autre, les autochtones, français et européens, de souche, une sorte d’apartheid ce que Macron appelle à tort le risque du séparatisme puisque le premier groupe ne souhaite pas du tout se séparer de la république française mais au contraire se l’approprier.
  • Ou la société française poursuit sa révolution bobo du grand mélange des races et des genres, du fameux « vivre ensemble », s’insérant dans un processus de métissage sous l’empire de l’idéologie arc-en-ciel et d’un libéralisme frivole qui détruit toute racine, toute identité, tout patriotisme, toute transcendance.

En fait, ces deux tendances sont à l’œuvre dans la société française et on les repère en particulier dans la jeunesse, la toute nouvelle génération en général totalement dépolitisée. Or ces deux tendances sont contradictoires et ne sauraient cohabiter ensemble. Il ne saurait y avoir guerre sociale et en même temps idéologie arc-en-ciel. Les troupes de la guerre civile risquent en effet d’être alors fort dispersées et peu motivées.

Comment le mélange des corps, des genres, des races pourrait-il se poursuivre dans la « guerre sociale » et comment une guerre sociale  pourrait-elle advenir dans une société hédoniste où le métissage est déjà chose courante, la consommation le nec plus ultra, la fête et le joint la finalité de tout loisir ?

Nous ne croyons pas trop à un soulèvement populaire mais plutôt à une implosion du système, implosion déjà à l’œuvre et qui s’est même accéléré avec le covidisme en plaçant toutes les institutions françaises en  mode dégradé. C’est pour cela qu’au lieu du soulèvement, nous préférerions privilégierla résistance et le sabotage partout où nous pouvons le rendre possible.

En fait, oui, nous assistons à une sorte d’avant-guerre civile mais qui au fond n’aboutira jamais en guerre sociale ou raciale.

Parmi les no news dont personne ne parle, il y a la poursuite sur tout le territoire de l’immigration, qui s’apparente de chiffres en chiffres comme une déferlante de la misère et de l’incompétence africaine sur la France et l’Europe mais la diversité, l’idéologie arc-en-ciel, le bourrage de crâne de tous les programmes de l’Education nationale (en particulier en langues et en histoire), contrôle la population, neutralise les revendications identitaires, les journalopes veillant au grain sur toutes les chaînes de télévision uniformes.

D’un autre côté, le bourrage de crâne se heurte à la réalité quotidienne de l’insécurité, au lâchage de la police, à l’abandon par l’Etat de sa première fonction régalienne la protection des biens et des personnes sans lequel il ne saurait y avoir de liberté véritable et du coup, autre paradoxe : comment l’avènement complet de l’idéologie arc-en-ciel pourrait-il à son tour advenir dans une société où les tensions sociales, raciales, religieuses, communautaires deviennent monnaie courante ?

Mais alors sur quoi s’orienterait-on ?

Un individualisme radical, celui-là même souhaité par le système, épuisement de la dialectique politique classique du collectif, nourri par une lassitude générale engendrée par la dégradation des services, les violences et les tensions communautaires. Racisme anti-blanc, antiracisme diversitaire ne servent au bout du compte que le système qui ainsi divertit les masses en les détournant des vrais enjeux politiques en cours : l’arraisonnement du monde, la société universelle de contrôle, la post-démocratie totalitaire, la dépolitisation du monde, la grande réinitialisation du capitalisme mondial et ce en dépit de l’apparente érosion spectaculaire de la verticalité du pouvoir.

Chacun sait qu’au final, eux, les étrangers et nous, les « autochtones », les « de souche » n’avons au final qu’un seul ennemi et donc à court terme, dans la lutte présente les mêmes intérêts. Le système a entamé une stratégie facilement identifiable : la stratégie du « peuple contre peuple » pour réduire l’humanité à une quantité domestiquée, à un algorithme mercantile. La guerre civile entraînerait de facto l’épuisement réciproque des populations en les  faisant se combattre entre elles dans l’antagonisme, de ce qui reste encore et dans sa diversité (par exemple ultra-marine) le « peuple français ».

Reste donc la solution de la concertation des peuples, de l’alliance des classes « pauvres » et « moyennes », de l’« alliance ponctuelle » révolutionnaire sans ménagement et concessions aucune contre ceux qui  ont assumé le pouvoir et qui depuis plus de quarante ans ont dilapidé, trahi, mis en friche le pays. Il n’est pas question ici d’un quelconque « sens » de l’histoire mais de l’urgente nécessité d’un grand renversement.

142105332.jpgLa guerre sociale qui vient

Franck Buleux

Dualpha

208 pages, 25 euros

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Démocratie : la leçon anglaise

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Avec le Brexit, les Anglais nous ont montré que leur démocratie était vivante. Natacha Polony, dans Marianne, nous en fait la démonstration. Incontournable, mon cher Watson !

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Nous sommes les patriotes !

Vidéo publiée le 24 décembre 2020

sur Twitter par le Président Trump.

https://twitter.com/realDonaldTrump/s...

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#PASSEZLEMESSAGE : une initiative intéressante trouvée sur Internet

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mercredi, 30 décembre 2020

DE LA FERMETE, ENCORE DE LA FERMETE, TOUJOURS DE LA FERMETE !

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Pieter Kerstens 

Fermeté et vigilance pour le réveillon du 31 décembre, avec un couvre-feu de 20 h. à 6h.

Le ministre en charge de faire respecter la loi et l’ordre a ordonné aux préfets de prendre des mesures pour lutter en « priorité » contre les rassemblements non-autorisés et les « violences urbaines, surtout le soir de la Saint-Sylvestre ».

DARMANIN-TARTARIN ?

Prendre des mesures fermes pour « s’assurer de l’affirmation de l’autorité de l’Etat en chaque point du territoire national » cela ne mange pas de pain !

Multiplier les contrôles d’identité, les fouilles de véhicules et interdire la vente d’alcool à emporter, non plus.

Mais interdire les fêtes clandestines, les attroupements dans les quartiers ou les feux d’artifice et les tirs de mortiers, va être assez compliqué !

On pourrait toujours espérer que les forces de l’ordre, dont 100.000 policiers et gendarmes seraient mobilisés pour cette soirée, parviennent à mettre en examen plusieurs centaines de délinquants dans les Zones de Sécurité Prioritaire, quelle va être alors la réaction de la Justice ? Alors que les tribunaux fonctionnent au ralenti et

que de nombreux juges sont en congé, les cellules des prisons vont-elles pouvoir accueillir ces nouveaux « sauvageons » en attente des procès?

En décembre 2018 ce sont 1.250 voitures qui sont parties en fumée et le record a été battu l’an dernier avec 1.450 véhicules incendiés. Combien après-demain ?

23:43 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Etat français. Quel Etat ?

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Patrick Parment

Nul ne le contestera et tout un chacun en a bien conscience, on ne sortira pas indemne de cette pandémie. Aucune crise depuis que nous sommes en République n’a atteint une telle ampleur – même celle de 1929 -, d’autant qu’elle n’est pas uniquement nationale mais internationale. Toutes nos vies et nos économies sont impactées par le covid et ses mutations. Partant du principe que toute crise a ses vertus, celle-ci aura eu pour effet immédiat de mettre en  lumière les limites de l’économie néolibérale. Pour être plus précis, ce capitalisme financier qui est en train de détruire les hommes comme les nations. La question qui se pose donc est bien de savoir si ce capitalisme fera l’objet de réformes en profondeur ou bien s’il continuera sa route mortifère. Le capitalisme a une très forte capacité d’adaptation. Or, on imagine mal les principaux bénéficiaires de cette économie baisser les bras. Sauf qu’à force de tendre la corde, celle-ci finit par rompre. Sommes-nous au bord de cette rupture ?

Pour ce qui nous concerne, la France souffre de deux maux majeurs : sa soumission au néolibéralisme et un Etat dont le politique vit sous la férule de son administration. Ce qui a pour effet d’abolir ce qu’hier encore on appelait l’Etat régalien. Dans un Etat régalien, c’est le politique qui détermine les choix destinés à assurer le bon fonctionnement de la société et la paix civile. Sans paix civile, il n’y a plus d’Etat de droit. Et par une perversion du sens, c’est aujourd’hui l’économie qui dicte sa loi au politique. Au bout du compte, on aboutit à une crise du politique, donc de l’Etat, et d’une économie qui dicte sa loi d’airain.

L’Etat en crise

Selon une formule qui reflète bien la réalité, on est passé d’un Etat régalien à un Etat providence. Redéfinissons d’abord, ce qu’est un Etat régalien. Régalien définit ce qui est attaché à la souveraineté d’un chef qui exerce la puissance gouvernante : président, roi ou empereur. Toute société a à sa tête un chef qui exerce cette puissance régalienne. En monarchie, il n’est pas un domaine qui échappe à la volonté du souverain. En démocratie, le président exerce son pouvoir au travers de ministères dits régaliens que sont la Défense, les Affaires étrangères, la Justice, les Finances, et l’Intérieur.

Or, la prépondérance de l’économie a littéralement perverti les missions de ces ministères régaliens en les soumettant au dogme libéral qui exige moins d’Etat mais surtout une vision comptable de leur fonctionnement au détriment – voire au mépris - de la réalité humain. Comme on a pu le constater en matière de santé avec la crise du covid et la gestion des hôpitaux sans parler de notre dépendance pharmacologique de pays comme la Chine ou l’Inde. Comme le dit Arnaud Montebourg (Le Figaro 28/12) : « La multiplication de ces défaillances a été aggravée par l’incapacité de l’État à agir sur le terrain malgré sa présence, en raison de la multiplication des instances décisionnelles : les préfets ont été dépossédés de leur capacité d’action par les agences régionales de santé. Cela traduit la prise de pouvoir, dans notre pays, d’une bureaucratie irresponsable, qui entend enrégimenter la société sans jamais s’appuyer sur elle. » Et Henri Guaino de préciser (idem) : « Ce que nous payons au prix fort, ce sont les dégâts causés par une idéologie qui depuis quarante ans ne regarde toute dépense publique que comme un coût à réduire à tout prix. »

Notre souveraineté budgétaire a volé en éclats puisque la France a remis cette fonction de la monnaie commune l’Euro via la Banque centrale européenne (BCE). Autrement dit aux instances européennes – la fameuse Commission, instance fort peu démocratique au demeurant - qui sont elles-mêmes inféodés au modèle néolibéral. Ce qui induit qu’en matière de politique étrangère notre marge de manœuvre ne dépasse pas le rôle de flic qu’on a accepté de jouer au Sahel en vertu d’un passé colonial… qu’au demeurant on ne cesse de nous reprocher. De toute manière, la grande misère de l’armée française s’évalue à son budget qui sert désormais de variable d’ajustement au Budget général de l’Etat. L’armée française est un tigre de papier comme disait Mao et ce malgré la qualité de nos soldats. Seule demeure notre dissuasion nucléaire, nos quelques sous-marins de grande qualité… mais pour défendre quoi ?

En matière de sécurité nous ne sommes pas mieux lotis. Qui dit sécurité, dit évidemment police. Or, celle-ci est aussi un parent pauvre de l’Etat libéral. Ce n’est un secret pour personne de son manque cruel de moyens et de l’état indigent dans lequel on la maintient. Là encore au mépris des réalités. A l’heure même où l’insécurité n’a jamais été aussi grande, les crimes et délits en augmentation constante, les trafics de drogue aux mains de populations immigrées et qui sèment la terreur dans les banlieues. D’après Eric Zemmour, 70% de la population carcérale est musulmane. Mais la pensée dominante se refuse à faire le lien entre délinquance et immigration. Et pour ne rien arranger les rapports entre police et justice ne sont pas au beau fixe.

« Les manifestations massives de policiers et de gendarmes en décembre et les mots de plus en plus durs échangés entre policiers et magistrats sont venus donner l'image exactement contraire : celle d'une police qui a peur, d'une gendarmerie en manque de moyens et de considération, d'une justice contestée et sans boussole, bref, celle d'un Etat vulnérable et parfois sans repère solide, en particulier dans ses missions régaliennes », écrivait Cécile Cornudet dans Les Echos (10/01/2002). Rien n’a changé depuis.

Alors la question de savoir où est l’Etat aujourd’hui quand celui-ci ne maîtrise plus rien, agit au jour le jour et dont l’action se résume à traiter les problèmes au fur et à mesure qu’ils se présentent. Sans vision aucune. Pour Arnaud Montebourg (idem) : « Pourquoi des minorités agissantes de toutes sortes détruisent-elles le commun ? Parce que la France n’a pas de projet. Pour que des urbains, des ruraux, des Français de tous horizons se réunissent et avancent ensemble, il leur faut un projet commun dans lequel se réunir. Emmanuel Macron n’a proposé aux Français qu’une stratégie (pauvre) d’adaptation à une mondialisation décriée de toutes parts. » Le chemin à parcourir risque d’être long.

11:22 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 décembre 2020

Biélorussie : aucune mesure contraignante, 6 fois moins de morts qu’en France !

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Frank Bulher Riposte laïque cliquez ici

Les manifestants manipulés par des agents de la CIA (qui ont été arrêtés) sont rentrés chez eux, compte tenu de la neige du froid, et d’un soleil qui se couche à 15 h 45. Il est désormais possible de s’intéresser de près à la gestion du covid par le Président Loukachenko.

Il est de bon ton, chez les bobos de l’Ouest, de se moquer de ce vieux moujik à l’accent paysan et dernier dinosaure de l’époque soviétique. Pourtant les dandies du marais et de l’Élysée ont reçu un grosse leçon de pragmatisme et d’efficacité.

Aux premiers jours de l’épidémie le Président parle à la télévision, ni mensonges ni comité bidon : « Il y n’y a pas de traitements et nous n’avons ni les moyens ni l’envie d’endetter les générations futures en arrêtant notre économie. On va vivre avec, essayez de vous protégez » et pour clore son discours une plaisanterie « pour combattre le virus conduisez un tracteur en plein air (son premier métier) et un peu de vodka ». Cette plaisanterie, bien entendu, a été prise (avec une mauvaise fois volontaire) au premier degré, par moquerie, par les journaleux bobos de cette France où tout était parfait (moquerie volontaire et demie)…

Depuis mars dernier, AUCUNE mesure contraignante n’as JAMAIS été prise en Biélorussie pour des résultats qui sont parmi les meilleurs d’Europe, si ce n’est les meilleurs. Pas de confinement. Les masques ne sont pas obligatoires. Les distances (suggérées) pas respectées… Bref, on « laisse filer » le virus. Mais tout les malades, mêmes légers, sont immédiatement placés à l’isolement à l’hôpital et soignés (et pas avec du Doliprane). Quel traitement ? À voir du côté de Marseille.

Les seules mesures imposées, quelques jours, concernent les étrangers entrants dans le pays. Aujourd’hui, un test positif et hop ! dans l’avion. Et la compagnie aérienne Belavia n’as jamais cessé ses vols réguliers.

Mais parlons chiffres

France  : 67 millions d’habitants – 62.800 décès – Entre 170 et 800 morts par jour la semaine de Noël

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Biélorussie : 9 millions d’habitants- 1.385 décès – Entre 8 et 9 morts par jours la semaine de Noël

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La Biélorussie par ratio de population fait donc 6 fois mieux que la France. Une vraie leçon qui fait mal et met en rage. Mais Raoult avait pourtant prévenu que le confinement aggraverait les choses. Ce pays, toute honte bue, a préféré lui faire des procès.

Et nos bobos imbéciles ricanent toujours et croient au vaccin sauveur dans un pays ruiné. Il est parfois désespérant pour un Français de voir à quel point nous sommes parfois pathétiques. La dernière fois c’était en mai 1940.

Le comité scientifique est aussi efficace que l’état-major général des armées en 1940.

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Yvan Benedetti sur les 100 jours de prison d'Hervé Ryssen

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L'Institut Iliade commémore les 2500 ans de la Bataille des Thermopyles

À l'occasion des 2500 ans de la bataille des Thermopyles, l'Institut Iliade rend hommage aux 300 Spartiates qui ont défendu, au prix de leur vie, l'Europe contre des envahisseurs venus d'ailleurs. Affiche "Thermopyles : 2500 ans" cliquez ici

Cette affiche représente l'un de ces valeureux guerriers, aux portes de notre continent, prêt à protéger coûte que coûte, son peuple et sa civilisation.

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Certains immigrés sont-ils masochistes ?

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Par Bernard Lugan

Certains seraient-ils à ce point masochistes qu’ils ne viendraient en France que pour s’y faire discriminer… ?

« Selon que vous naissiez homme blanc ou femme noire en Afrique ou en France, vous savez que vous avez plus de chance » vient de déclarer sur LCI, Madame Elisabeth Moreno, native de la République du Cap-Vert, et présentement ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes ». A quand un ministère de l’Egalité entre les petits et les grands, les gros et les maigres, les blonds et les roux ? Madame le ministre en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes », vient donc de faire un constat qui avait jusque-là échappé à l’esprit humain. A savoir que la population qui a créé un pays depuis des siècles ou même des millénaires, celle des indigènes, des primo-occupants, de ceux qui, par définition, sont de « souche », est naturellement davantage chez elle que les pérégrins. Un « privilège » universel qui est « jaune » au Japon ou en Chine, « noir » en Afrique et arabe en Arabie… 

Question incidente à Madame le ministre français en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »: au Cap-Vert, et plus généralement en Afrique, y-a-t-il beaucoup de présentateurs blancs, d’hommes politiques blancs et pourquoi pas de femmes blanches ministres en charge de « l’Egalité entre les femmes et les hommes »?

Plutôt que ces incessantes et arrogantes jérémiades quasi quotidiennement assénées par certains néo-Français semblant être à ce point masochistes qu’ils paraissent n’être venus en France que pour s’y faire « discriminer », ne serait-il pas plus juste et honnête de leur part de dire :

« D'être venu vivre chez vous m’a privilégié car j’ai pu avoir accès à un statut que je n’aurais pas eu chez moi. J’ai en effet pu profiter des infrastructures nées du labeur et des sacrifices de vos générations passées. Celles de ces paysans blancs qui ont défriché et bonifié votre terre, celles de ces mineurs de fond blancs qui mouraient de maladie avant 40 ans, celles de ces centaines de milliers d’ouvrier blancs qui ouvrirent vos routes, vos canaux et vos voies de chemin de fer à la pioche, celles de ces millions d’hommes blancs morts pour défendre la terre de leurs ancêtres, et dont les descendants ont aujourd'hui pour dernier « privilège » celui de devoir payer des impôts pour financer la CMU et pour loger, nourrir, éduquer, soigner, habiller, un nombre indéterminé de « citoyens du monde » venus, tels des coucous, profiter de nids qu’ils n’ont pas bâtis.... »
Mais il y a aussi un « privilège noir ». C’est celui de pouvoir cracher sur un footballeur blanc sans que cela provoque de réel émoi… Imaginons l’inverse !!! Ou de pouvoir, comme Madame Afsa Aksar, vice-présidente de l’UNEF dire :

- « On devrait gazer tout (sic) les blancs (resic) cette sous race.

- « Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs (sic) arrêtez de vous reproduire ».

- « Non à la mixité avec les blancs (sic)»

- « Je suis une extrémiste anti-blanc –

- « Le monde serait bien mieux sans les blancs (sic) » etc.,

Ou encore, comme Madame le député Obono qui a légitimé la formule « Nique la France », et à laquelle l’on pourrait légitimement poser la question de savoir ce qui arriverait à un Blanc qui, au Gabon, son pays de naissance, s’aventurerait à dire « Nique le Gabon »… 

Là est le vrai « privilège ». Celui d’être au-dessus des lois, de ne pas être « inquiété » pour de tels propos par les ligues « antiracistes » subventionnées par les impôts des « privilégiés » blancs, ni poursuivi par certains juges dont la principale activité semble être de guetter le moindre « dérapage » verbal des hommes et des femmes blancs, et de « droite », afin de pouvoir les traîner devant les tribunaux… Celui aussi, d’être recruté, non plus au mérite, mais selon ces discriminants quotas « raciaux » non officiels, et qui écartent de bons candidats malheureusement nés leucodermes, au profit de médiocres impétrants ayant eu la chance, eux, de naître mélanodermes en France…

Mais tout cela aura une fin le jour où se lèvera un chef qui, tel Cicéron devant le Sénat romain, osera dire aux arrogants forts de notre faiblesse et parce que nous sommes à genoux : « Quo usque tandem abutera, Catilina, patientia nostra ? (Jusqu’à quand, enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ?». 
L’église pourra alors être remise au centre du village…

Source : Bernard Lugan

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lundi, 28 décembre 2020

Valeurs actuelles reçoit Jean-Marie Le Pen

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Diversité : pourquoi pas Monnerville et Monnerot ?

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Par Camille Galic

Sous la présidence de l’historien Yvan Gastaut, spécialiste des questions migratoires (on devine dans quel sens), secondé par la Marocaine Nadia Hai, ministre de la Ville, un « comité d’experts » tous ancrés à gauche, voire à l’extrême gauche, telle Aissata Seck, responsable de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, planche donc sur une « série de personnalités issues de l’immigration, dont les noms pourraient bientôt orner nos rues ». Une « discrimination positive de nature à redonner une forme de fierté aux habitants des quartiers périphériques » car, selon Mme Hai, « la République ne s’arrête pas qu’à de Gaulle ou Jean Moulin. Il y a aussi des étrangers qui se sont battus pour la République, qui incarnent ses va- leurs, et qui méritent d’être honorés. » En effet, et l’on aimerait que soient ainsi honorés le prince Aage de Danemark et le prince géorgien Dimitri Amilakvari, légendaires figures de la Légion étrangère et Français de cœur comme de sang versé. Dans la liste des 440 personnalités retenues figureraient Joséphine Baker, Pape Diouf, ou Kylian Mbappé, en attendant sans doute un autre footeux d’élite, le cracheur Thuram junior.

Et pourquoi pas le bachaga Boualem qui combattit le FLN dans l’Ouarsenis, le Guyanais Gaston Monnerville et le Martiniquais Jules Monnerot, celui-ci auteur incontournable de la Sociologie du communisme et celui-là intraitable président du Sénat dans son opposition à De Gaulle ? Il est vrai que, socialiste et franc-mac, Monnerville était aussi partisan de l’Algérie française et que Monnerot, bien que venu de l’ultragauche, fut l’un des cofondateurs du GRECE et du Club de l’Horloge avant de présider le Conseil scientifique du Front national.

Disqualifiés d’office !

 Source : Présent 26/12/2020

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dimanche, 27 décembre 2020

Après l’enfermement de l’automne, En Marche nous prépare à une 3ème réclusion à domicile pour l’hiver.

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Pieter Kerstens :

Après neuf mois de déclarations contradictoires et de mesures d’interdictions diverses, plusieurs enquêtes publiées par les médias, subventionnées par le Pouvoir, nous apprennent que plus de 65% de nos concitoyens accepteraient des règles encore plus restrictives pour éradiquer le Covid 19.

La stratégie de la frousse, imposée aux peuples d’Europe au fil des mois, porte ainsi ses fruits. En publiant en permanence le nombre de personnes infectées, le nombre d’hospitalisations et celui des décès attribués au virus, l’émotion et la trouille prennent le pas sur la raison et rare sont ceux qui peuvent encore exprimer un jugement réaliste, sans être cloués au pilori ou trainés devant l’Ordre des Médecins pour des opinions divergentes.  

Stopper des pans entiers de notre économie, au prétexte de sauver quelques vies, est une aberration et une hypocrisie phénoménale qui se sert d’une morale à géométrie variable.

OUI, une épidémie tue des personnes déjà atteintes d’autres maladies et aussi des personnes âgées, c’est le sous-entendu de la déclaration du docteur Micron en mars dernier : « nous sommes en guerre », répétée à six reprises. J’appartiens à la catégorie des septuagénaires « à risques » et je ne suis pas immortel non plus.

On peut également mourir de la grippe, d’une chute à la maison ou être écrasé par un tram.

Il faut en finir avec cette infantilisation de la population, combattre cette épidémie avec courage et lucidité en cessant de se morfondre et de s’apitoyer égoïstement sur son sort. Que chacun prenne ses responsabilités et assume ses actes en adulte sans tomber dans la psychose ou la paranoïa.

Il est quand même curieux de constater que les pays qui n’ont pas mis leurs économies à l’arrêt et ont limité les restrictions, ne totalisent pas plus de décès (et même moins) que les états qui ont interdit l’activité des coiffeurs, des restaurants, des cinémas, des stades, des pistes de ski ou des clubs de belotte entre autres.

Depuis le début de la pandémie, à la date du 21 décembre il y a eu 1.582 morts pour 1 million d’habitants en Belgique, 1.121 décès pour 1 million d’habitants en Italie, 1.045 en Espagne, et 918 en France, par exemple. Par contre et sans interdictions absolues, il y a eu seulement 310 morts par million d’habitants en Allemagne, 536 en Autriche, 738 en Suisse, 778 en Suède, 902 au Mexique et 939 aux Etats-Unis. Au Gabon on compte 28 décès par million d’habitant, 23 au Japon, 14 en Corée du Sud, 2 en Thaïlande et seulement 0,4 décès par million d’habitants au Viêt-Nam.  Cherchez l’erreur !

Les dirigeants de ces pays ont sans doute adopté une politique bien différente à celle choisie en Europe et ont laissé leurs activités tourner avec beaucoup moins d’entraves administratives et bureaucratiques.

Il est indéniable que les euro-mondialistes qui gouvernent aujourd’hui notre continent, en imposant leurs utopies depuis leurs bureaux à Bruxelles, préparent les esprits à une 3ème assignation à résidence après le Nouvel An. Leur motivation serait fondée sur l’irresponsabilité des gens dont le comportement durant les fêtes aurait été incompatible avec la gravité de la crise sanitaire. EUX détiennent la vérité, les autres sont des contestataires incultes et incapables d’accepter la « bonne parole ». Sommes-nous inconscients et incapables (au sens juridique), c’est-à-dire ne pouvant régir nos vies et ayant donc besoin que des instances supérieures nous dictent nos actes ? Où est donc cette « démocratie » tant vantée par ces mêmes autorités ?

Dormez en paix braves gens, Big Brother veille sur tout ! Même de la crise sociale en gestation ?

00:15 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Marc Vidal, fondateur de la Librairie Les Oies Sauvages…

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Par Philippe Randa

Nous allions comme deux frères
Marchant d’un même pas…

Marc et moi sommes arrivés peu ou prou en même temps à Paris, venant lui directement de l’Ouest de la France et moi un peu plus indirectement… La géographie de nos enfances et adolescences n’a pas été – et de loin ! – le seul de nos points communs : engagement politique au sein du Parti des Forces Nouvelles, puis du GRECE et choix professionnels – la librairie pour lui, l’édition pour moi – de livres politiquement très incorrects…

Je l’ai connu lorsqu’il faisait ses « premières armes » dans les rayons de la librairie La Vouivre qui a marqué tant de militants politiques, permis tant de rencontres intellectuelles, laissé tellement de ses souvenirs qu’on nomme à juste titre « inoubliables »…

Dès qu’il se sentit prêt à se lancer seul dans l’aventure, il n’hésita pas et baptisa sa librairie « Les oies sauvages ». Ambiance.

Il commença, comme bien d’autres, ses premières listes et cotations dans son premier « Appart’ » qu’on imagine aisément des plus exigu (euphémisme !) et poursuivit comme peu d’autres en furent capables, son développement jusqu’à devenir une des librairies par correspondance incontournable du livre parfois rare, souvent introuvable… sauf grâce à lui, avec un peu de patience parfois.

Comme on ne peut côtoyer à longueurs de journées – et souvent de nuits – les plus grands écrivains sans être démangé à son tour par l’écriture, on finit pas attendre avec impatience de recevoir ses catalogues pour goûter ses éditoriaux brillants… et la revue Synthèse nationale entre autres, ne manqua pas de les publier régulièrement.

Il n’aurait sans doute pas attendu que ses amis s’attardent trop à s’attrister plus que cela de son départ, plutôt qu’ils en profitent pour lever un verre à sa santé en la lui souhaitant excellente là-haut, là-bas, « Sur les ailes du vent… Par les routes de l’air… »

Épouse, enfants, amis, ne soyons pas triste… enfin essayons !

Adieu donc ! Marc… On compte sur toi pour nous accueillir un de ces jours futurs. Pour nous raconter ce que tu vas découvrir avant nous…

00:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 26 décembre 2020

Changement climatique : A quand les ennuis ?

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Par Jean-Marc Jancovici

Le changement climatique, est-ce grave ? A cette question, la bonne réponse est en fait… une autre question. « Grave » pour qui, à quel horizon de temps, et par rapport à quoi ? Le changement climatique ne sera jamais aussi grave pour la planète que si notre soleil avait décidé de nous engloutir et de tuer toute vie sur terre, comme il le fera dans quelques milliards d’années, à la fin de sa vie d’étoile. Mais la dérive du climat va néanmoins nous frapper de plus en plus fort à l’avenir, sans que nous puissions, et c’est une des difficultés de l’affaire, dater avec exactitude le franchissement d’un seuil précis pour une conséquence donnée.

Les coraux procurent des poissons (et des touristes !) à des centaines de millions de personnes, et protègent les côtes basses des assauts de la mer en cas d’ouragan. 20% des coraux qui existaient au milieu du XXe  siècle sont déjà morts, et, avec 2 °C de réchauffement, presque tous auront disparu. Est-ce grave ? A part pour quelques passionnés de plongée, qui iront voir ailleurs tant qu’il restera des coraux en vie et des avions pour se rendre sur les lieux, la réponse est non. Ce sera déjà plus problématique pour les pêcheurs bredouilles.

Les forêts offrent du bois, des espaces récréatifs, un puits de carbone, de la fraîcheur et de l’humidité en été, un habitat pour des espèces sauvages, un paysage apaisant. De nombreux arbres ont déjà dépéri à cause de sécheresses et de canicules, que le réchauffement amplifie ; d’autres ont brûlé dans d’immenses incendies, favorisés aussi par l’évolution climatique en cours. Avec le réchauffement additionnel des vingt ou trente prochaines années, qui arrivera quelles que soient nos émissions à cause de l’inertie du système climatique, d’autres arbres disparaîtront.

Est-ce grave ? Pour les urbains que nous sommes presque tous, pas plus que cela. Nous irons nous promener dans une autre forêt, nous achèterons de la moquette plutôt que du parquet et, le temps de verser une larme sur une image d’animaux rôtis par les flammes, nous nous précipiterons pour profiter des soldes tant qu’il en restera.

Les prémices du changement climatique, annoncées depuis des décennies, sont désormais là. Mais nous n’avons pas changé de comportement pour autant : nous rendons chaque jour notre pays plus dépendant de la voiture, encensons chaque jour la « hausse de la consommation » – bref, c’est là, mais ce n’est toujours pas grave.

Deux éléments empêchent que les Occidentaux ne soient trop éprouvés. D’une part, la fraction de la population concernée (l’éleveur dont les vaches périssent, le forestier qui perd sa parcelle, le propriétaire qui voit sa maison fissurée par la rétractation des argiles…) reste minime, habite loin des villes où se concentre l’essentiel des gens, voire dans une autre région du monde. D’autre part, la profusion d’énergie permet de rendre les pertes presque indolores – en apparence.

Le bois sera coupé ailleurs – il en reste – et transporté avec du pétrole, ou alors remplacé par du plastique, c’est-à-dire du pétrole, ou de l’acier, c’est-à-dire du charbon. La maison sera reconstruite, à l’aide de pétrole, de gaz et de charbon. La culture qui souffre ici sera remplacée par celle qui pousse toujours là, en nécessitant des transports – donc du pétrole. Les problèmes générés par le changement climatique, qui commencent déjà à se manifester de manière significative, continuent pourtant à être surtout redoutés pour « plus tard ».

C’est donc que ce n’est pas encore grave… Et c’est surtout que, pour l’heure, notre puissance énergétique nous laisse les moyens de n’encaisser que des pertes psychologiques. Mais l’abondance énergétique aura une fin et, dans le même temps, la dérive climatique va s’amplifier. Nous aurons alors des moyens décroissants pour nous adapter à des problèmes croissants.

Cette évolution est déjà enclenchée à petite vitesse en Europe depuis 2006. A partir de quand cela va-t-il devenir grave ? L’ennui, c’est que, quand ce sera le cas, la nature même des processus en cours empêchera tout retour en arrière. Souhaitons que le coup de semonce de 2020 nous fasse sérieusement réfléchir en 2021 !

Bonne année quand même !

Source : site de Jean-Marc Jancovici

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vendredi, 25 décembre 2020

Journal du chaos

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jeudi, 24 décembre 2020

Mgr Viganò commente le pacte entre le Vatican et la Chine : l'Eglise est devenue “une caverne de voleurs”…

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Le quotidien italien La Verità a publié samedi une violente charge contre l’accord secret entre la Chine et le Saint-Siège, récemment renouvelé, par le directeur du Council on Middle East Relations, Arthur Tane, suivie d’un commentaire musclé de Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique, qui inscrit ces faits parmi de nombreux signes d’« apostasie » venant du Vatican.
 
Vous trouverez ci-dessous ma traduction intégrale de l’article de Mgr Viganò, qui me rappelle les rumeurs entendues l’an dernier de source sérieuse à Rome à propos d’importants versements pécuniaires de la Chine au Saint-Siège. Si leur exactitude reste à vérifier, on peut s’interroger devant les faits qui s’accumulent.
 
La Verità publie in extenso la lettre adressée le 20 octobre dernier par Arthur Tane au cardinal Parolin pour demander à celui-ci de ne pas renouveler le pacte du Vatican « avec le Parti communiste chinois », au risque de « compromettre son autorité morale ». Tane y accusait le pacte de mettre l’Eglise, « et spécialement le pape François », « du mauvais côté de l’histoire », donnant l’image d’un pape « d’une arrogance ignare » mais aussi en état de « faillite spirituelle ».
 
Il observait que ce pacte, jamais rendu public, donne notoirement aux autorités chinoises un « pouvoir considérable sur les nominations épiscopales ». « Un tel pouvoir ne figurait même pas dans le tristement célèbre Reichskonkordat de juillet 1933 entre le Vatican et le gouvernement nazi, nouvellement formé, en Allemagne. Jusqu’à maintenant ce pacte honteux, signé par le cardinal Eugenio Pacelli (le futur Pie XII), secrétaire d’Etat sous Pie XI, fut la dernière instance où l’Eglise commit une telle bourde à l’égard d’un régime totalitaire », écrivait Tane.
 
(Cela mériterait quelque analyse : l’Ostpolitik et l’accord de Metz, ce n’était pas mal non plus, mais il est ici question de documents diplomatiques officiels, fussent-ils secrets…)
 
Ce pacte devait donner lieu à un « rétropédalage », observe Tane : dès mars 1937, Pie XI publiait Mit Brennender Sorge, l’encyclique par laquelle « il condamnait les théories raciales et les mauvais traitements réservés aux personnes en fonction de leur nationalité ou de leur race ».
 
Tane soulignait que l’Eglise pouvait encore se soustraire à l’accord avec la Chine, « tant qu’il est encore temps, énumérant ensuite les « détériorations » que constituent les agressions et autres actions politiques auxquelles la Chine s’est livrée depuis sa signature en septembre 2018.
 
« François se fait entendre à propos du changement climatique et pour condamner le capitalisme de marché, mais son silence sur le bilan de la Chine en matière de droits de l’homme, y compris la liberté religieuse, est assourdissant », notait Tane, évoquant la persécution des Ouïghours et la poursuite des avortements et stérilisations forcés.
 
« Aujourd’hui, à travers la Chine, les autorités communistes soumettent les musulmans à une surveillance inédite, elles ferment ou rasent des églises chrétiennes, elles contraignent des moines à faire allégeance au marxisme-léninisme, elles interdisent aux enfants d’entendre ou de lire la parole de Dieu, et elles réécrivent le Nouveau Testament pour lui faire dire que Jésus a lapidé des innocents » (voir ici).
 
« Sous Xi Jinping et son diktat sur la “sinisation de la religion”, l’imagerie et les signes religieux sont détruits ou remplacés. Mao au lieu de la Vierge Marie ; Xi à la place de Jésus. Il s’agit là d’une abomination absolue, de l’œuvre d’esprits possédés par le satanisme », notait Arthur Tane.
 
« Si le pacte entre le Vatican et le Parti communiste chinois devait être renouvelé par le pape François, cette infamie tacherait les murs de l’Eglise du sang des innocents » accusait-il : « Soit l’Église comprend la signification de sa mission, soit elle est elle-même devenue un temple de changeurs de monnaie. Car, selon les paroles de Jésus : “Ma maison sera appelée une maison de prière ; mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs” »
 
Cette lettre n’a donné lieu à aucune réponse de la part du cardinal Parolin, a fait savoir Arthur Tane.
 
Deux jours après que Tane eut envoyé sa mise en garde à Rome, la Chine annonçait officiellement le 22 octobre que son « pacte préliminaire » avec le Saint-Siège était renouvelé pour deux ans, « après des consultations amicales ».
 
Voici donc le commentaire de Mgr Viganò.

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