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jeudi, 09 septembre 2010

En souvenir de la victoire du Comte Olivier contre les Maures, au IXème siècle, la NDP organisait dimanche dernier un rassemblement dans l'Aude.

929652487.jpgLes militants de la Nouvelle Droite Populaire du Languedoc-Roussillon (ou Catalogne du Nord) et leurs amis s'étaient donnés rendez-vous dimanche dernier, 5 septembre, sur le lieu de la bataille où est édifié la chapelle Notre-Dame de l'Olive.

Avant de prononcer le discours que nous publions ci-dessous, Jean-Louis Mailhac, délégué local de la NDP, a planté un olivier, symbole de l'enracinement de nos peuples. S'en suivit un sympathique déjeûner où les grillades de porc et le rosé du Langudoc furent à l'honneur.

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Discours de Jean-Louis Mailhac, Délégué local de la NDP, prononcé le dimanche 5 septembre 2010 lors du rassemblement de Notre-Dame de l’Olive (11) :

Mes Chers Amis, Mes Chers Camarades, Mes Chers compatriotes,

Depuis plus d’une vingtaine d’années, force est de constater que l’islam s’est répandu largement en Occident et particulièrement en Europe de l’Ouest. Par le biais de l’immigration et par un fort développement démographique, la religion musulmane s’est parfois propulsée au rang de 2° religion dans certains pays européens comme c’est le cas en France aujourd’hui.

Pourquoi serait-ce une honte de défendre nos traditions, notre terre, notre histoire, notre civilisation et notre peuple alors que tous ceux-ci sont, si l’on n’inverse pas le courant, en voie de disparition ?

 

Tout simplement parce que nous sommes conscients de l’effroyable marche en avant de l’islam en France. La destruction de notre « patrie charnelle » opérée sciemment par un remplacement des Français de souches par un demi-siècle de politiques antifamiliale (avortement, dénatalité, difficultés pour les familles les plus modestes et même pour celles issues des classes moyennes d’élever plusieurs enfants…) et l’arrivée en masse de populations allogènes et inassimilables au peuple français sont des réalités qui sautent aux yeux. Le nier serait, au mieux, faire preuve d’aveuglement ou, au pire, d’une mauvaise foi patentée. Même des personnalités qui pourtant portent une part de responsabilité dans cette situation, comme la très gauchisante Elisabeth Badinter ou l’ex-idole de la gauche caviar Alain Finkielkraut, finissent par s’inquiéter des conséquences de la situation qu’ils ont pourtant contribuée, d’une manière ou d’une autre, à créer.

 

Notre identité est menacée, il est temps de sonner l’appel à la résistance !

 

Il y a des femmes et des hommes qui ne se sont jamais trompés de combat. Pour eux, le mot RESISTANCE a une signification. L’avenir de nos peuples européens est en jeu. Or, le premier adversaire auquel, en tant que résistants, nous sommes confrontés, c’est évidemment l’éternel parti de la collaboration. Le parti de ceux qui, par idéologie, par intérêts économiques ou par confort intellectuel a toujours cautionné la politique immigrationniste menée par les différents pouvoirs de droite ou de gauche depuis des décennies.

 

De tous temps et de toutes les époques, la France a eu ses défaitistes, ses pacifistes, ses collabos et ses biens pensants. Toutes ces engeances ont fonctionné de la même manière. Les pacifistes et les défaitistes d’avant la 1° guerre mondiale et du début de celles-ci ne jugeaient pas utile de devoir défendre leur pays, de se battre pour lui. Il fallait, disaient-ils, économiser les vies, faire des affaires, préserver l’essentiel et ma foi, tant pis pour le reste. Charles Péguy disait de ces pacifistes : Ils ont les mains blanches… Mais ils n’ont pas de mains. Il est mort parmi les premiers en 1914 !

 

Les pacifistes des années trente, reprirent le même discours et saluèrent les accords de Munich. Bien trop soulagés d’éviter une nouvelle guerre à laquelle la France, désarmée par l’idéologie ambiante de la 3ème République moribonde, n’était pas prête. A ces époques, si différentes pourtant, ils y avaient ces mêmes hommes qui appelaient à la soumission plutôt qu’au combat.

 

Qu’importe le joug, du moment que l’on ait la vie sauve, le confort assuré, la tranquillité dans la chaumière et que les affaires roulent.

 

 Par appétit de pouvoir, de gloire ou de richesse, ces gens voient plus d’avantages à sacrifier leur liberté qu’à la défendre. Une fois l’habitude établie, l’état de servitude ne se perçoit même plus… disait Platon.

 

Aujourd’hui, nous avons les biens pensants, les bobos parisiens, la gauche qui se complait dans sa vision angélique des banlieues, cette gauche caviar qui parle de partage, la coupe de Champagne à la main et les petits fours plein la bouche dans les cocktails des salons dorés des municipalités et autres sièges de départements, se contentant de prendre un air offusqué en évoquant  certaines pratiques de l’islam mais en se gardant bien d’évoquer, et pour cause, les vrais raisons pour lesquelles ses pratiques se développent sur notre sol.

 

Il ne faut jamais cesser de le dire : l’islamisation en réalité n’est que la conséquence de l’immigration.

 

Dans les années 60, le patronat français, en particulier ses branches de l’automobile et du BTP, préféra recruter une main d’œuvre venue en grande partie du Maghreb et d’Afrique noire, main d’œuvre réputée bon marché et supposée imperméable aux sirènes des syndicats marxistes, plutôt que de procéder à la robotisation, comme en Asie, de l’outil de production et à une réelle revalorisation du travail manuel. Quelle erreur fondamentale et quelle naïveté criminelle !

 

Non seulement les immigrés ne tardèrent pas à rejoindre les syndicats marxistes, qui  virent rapidement en eux une force de manœuvre facile à manipuler, mais très vite, au milieu des années 70, grâce au regroupement familial voulu par Giscard et Chirac, cette immigration dite « de travail » se transforma en immigration « de peuplement ».

 

Or, il faut être logique, s’il y a peuplement, il y a forcément installation des coutumes et des traditions des nouveaux arrivants. C’est une évidence contre laquelle personne ne peut rien.

 

Les premiers responsables de l’islamisation de la France, ce ne sont pas les immigrés. Ce sont les politiciens et les affairistes français qui ont tout fait pour accentuer une politique d’immigration débridée et incohérente.

 

Ces responsables politiques et économiques ont été, comme de bien entendu, soutenus par l’intelligentsia médiatique et culturelle de gauche qui n’avait plus de mot de compassion assez fort à l’égard des immigrés.

 

Nous avons finalement assisté à une sorte de consensus des pseudo-élites autoproclamées de ce pays, que celles-ci soient politiques, économiques ou culturelles. Une seule composante de la France était exclue de ce projet, et non la moindre : cette composante, c’était tout simplement le Peuple français !

 

Ce n’est donc pas un hasard si l’actuel parti de la collaboration est constitué par les responsables qui ont engendré une telle situation.

 

Revenons donc aux immigrés des années 60. Le nombre de ceux-ci s’est multiplié dans les années 70, 80 et 90. Aujourd’hui, ils veulent nous imposer leurs coutumes, avec le port du voile, la prolifération des boucheries dites hallal et des mosquées, l’interdiction de consommer du porc dans les restaurants d’entreprises et dans les cantines scolaires, piscines réservées aux femmes à certaines heures, etc… Demain, ils nous imposeront leur civilisation, c'est-à-dire l’islam avec tout ce que cela peut être antinomique avec notre belle civilisation européenne.

 

Face à cet avenir peu réjouissant, et Dieu merci, il y a partout en France et en Europe des femmes et des hommes qui se lèvent pour dire NON !

 

Résistance ou collaboration ? Pour ma part, j’ai choisi de résister pour la France et ne jamais collaborer. N’en déplaise aux défaitistes, pacifistes ou autres biens pensants.

 

Pourquoi faut-il extirper l’islam de la France ?

 

L’islam est, qu’on le veille ou non, incompatible avec notre identité européenne. Nos racines sont gréco-latines, celtes, germaniques ou chrétiennes, elles ne sont pas à rechercher dans le désert arabique ou ailleurs.

 

Les musulmans suivent la promesse du président algérien Houari Boumediene faite en 1974 à l’ONU : Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C'est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire.

 

Se référant à l’esprit pacifiste qui précéda la seconde guerre mondiale, les musulmans nous prennent pour des dhimmis en puissance.

 

Je ne vois pas ce qui pourrait freiner l’expansion islamique en Europe. L’Islam profite du vide spirituel de nos pays, dont la dénatalité est une conséquence, du laïcisme qui utilise tous les moyens, dont l’islam, pour réduire l’influence du christianisme, et, plus généralement, de la décadence dans laquelle se trouvent nos sociétés.

 

La bonne réponse à ce défi est, me semble-t-il, de travailler à refaire un tissu européen dans nos pays d’Europe. Nous devons réarmer moralement et spirituellement nos peuples et redonner une conscience ethnique aux jeunes générations. Comme je le dis souvent : l’islam est toujours fort de notre faiblesse. C’est prouvé historiquement.

 

Dans un avenir proche, il est à craindre que ne se constituent de plus en plus des ghettos confessionnels et que des instances musulmanes revendiquent, au nom de la tolérance et du pluralisme, le droit de vivre selon les principes de la charia, avec leur législation et leurs valeurs propres. Ce qui serait évidemment dangereux pour l’unité nationale.

 

L’Islam arrive chez nous au pire au moment, alors que nous ne sommes pas préparés à relever ce redoutable défi.

 

Nos gouvernants n’ont qu’une seule volonté : celle d’être réélus lors des prochaines élections. Pour cela, ils se contentent de mettre des cautères sur une jambe de bois. Ils rafistolent en essayant de plaire au plus grand nombre. Le système démocratique ne peut pas engendrer une grande politique digne de ce nom.

 

L’islam n’est pas seulement une religion, c’est avant tout un système politique et idéologique. Ce système correspond aux aspirations de certaines zones du globe, nous ne le contestons pas. Mais ce système n’est pas celui de l’Europe Il doit donc être extirpé d’urgence de notre pays.

 

Les discours de l’islam révèlent son double langage, sa perfidie, sa perversité qui nous mènera dans un bain de larmes et de sang.

 

Si nous n’écrasons pas du talon leur idéologie criminelle, demain, vos femmes seront toutes transformées en fantômes, vos écoles seront islamisées à 100%, vos restaurants seront fermés, vos rayons de supermarchés ne contiendront que du Hallal, la circoncision deviendra obligatoire pour obtenir un job !

 

Pendant 70 ans la droite nationaliste s’est battue contre le fléau le plus grave que le XXème siècle a engendré, à savoir le communisme. Pendant des dizaines d’années, seuls contre tous, les militants nationalistes ont dénoncé sans relâche cette idéologie criminelle qui envoya au goulag des dizaines de millions d’hommes et de femmes qui refusaient de se soumettre. En 1989, le mur de Berlin s’est écroulé emportant avec lui les régimes et les partis qui voulaient imposer un avenir radieux à l’humanité. Pourtant, souvenez-vous, l’idéologie communiste était aussi soutenue par la même intelligentsia et par ce qui n’était pas encore la bobocratie d’aujourd’hui mais qui lui ressemblait fort.

 

Le désespoir, nous a enseigné Charles Maurras, est en politique la pire des sottises. Face au communisme étrangleur des peuples et des nations, les nationalistes n’ont jamais désespéré. Face à l’islamisme, nouveau danger du XXIème siècle, non seulement, nous devons refuser le désespoir, mais nous devons nous battre dès maintenant pour éviter que notre civilisation européenne et chrétienne ne disparaisse à jamais.

 

Je vous le disais tout à l’heure, dans cette affaire d’immigration, et d’invasion de la France, seul le peuple français n’a jamais eu droit à la parole.

 

Si nous sommes réunis ce dimanche 5 septembre pour commémorer la victoire du Comte Olivier sur les Maures, ici en Terre occitane, c’est que nous savons que l’armée du Comte Olivier était constituée de Français qui, comme nous, ne voulaient pas devenir musulmans.

 

Le peuple français, ce peuple méprisé par ses élites et humilié par ses nouveaux occupants n’entend pas rester indéfiniment muet. Ce peuple, c’est nous et pour nous une seule revendication :

 

Vive l’Occitanie occitane !

Vive la France française !

Vive l’Europe européenne !

Vive le rassemblement des forces nationales avec la Nouvelle Droite Populaire !  

Pour éditer le texte de ce discours : cliquez ici

12:10 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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