jeudi, 06 décembre 2012
LA REPUBLIQUE GOUVERNE MAL MAIS SE DEFEND BIEN
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Au fil des républiques et de la démocratie ploutocratique, la France n'a cessé, sur la longue durée, de connaître un lent mais réel déclassement. Celui-ci s'est accéléré tout particulièrement depuis une trentaine d'années et la présidence Hollande, héritière des décombres accumulés, précipite le mouvement.
Qu'on en juge : la désindustrialisation de la France se poursuit et ce ne sont pas les gesticulations d'un Montebourg, privé par ailleurs de tout moyen réel d'action, qui l'arrêtera. La mainmise des intérêts financiers sur la France ne se relâche pas. Ainsi, au Secrétariat général de l'Elysée, Emmanuel Macron, associé-gérant de la Banque Rothschild conseillera Hollande, succédant ainsi à François Pérol, associé-gérant de la Banque Rothschild qui conseillait Sarkozy.
Dans le même temps, l'Etat, irréformable et impotent, continue de s'endetter avec un déficit dépassant les 90 % du PIB. Mais, pour sauver des banques en difficultés, Hollande décide un accroissement de la pression fiscale qui pèsera principalement sur les classes moyennes, comme toujours. Ce faisant, l'économie s'anémiera un peu plus, celui qui ne peut acheter ruinant celui qui ne peut vendre ; la spirale infernale - déficits accrus, impôts toujours plus lourds, paupérisation des Français – accélérera sa course.
Les fondements de la société vont être encore plus ébranlés avec une atteinte majeure à cette cellule de base que constitue la famille avec la dénaturation de l'institution du mariage que constitue le mariage des homosexuels, autrement dit la légalisation des unions sodomites.
L'immigration invasive va continuer à déferler et sera légitimée avec l'instauration du vote des étrangers aux élections locales : Sarkozy en avait rêvé un moment ; Hollande s'apprête à le légaliser.
Toutefois, cette politique de trahison d'un régime, installé en France mais qui n'est pas de France, montre sa cohérence et sa véritable nature en menant une répression toujours plus féroce contre les Français qui s'opposent à la destruction de leur nation. Diabolisés en permanence, ils sont interdits d'exprimer leur volonté de rester Français et maîtres chez eux : par trois fois, en juin à Lyon et en septembre à Paris, le pouvoir a interdit des rassemblements publics et pacifiques de jeunes Français qui voulaient proclamer leur attachement à la France et exprimer leur révolte la plus légitime face au racisme anti-blancs dont sont victimes chaque jour les Français de souche. Pour ce faire, les traitant comme de vulgaires délinquants, il n'a pas hésité à mobiliser des moyens de répression colossaux qui se sont traduits par des arrestations musclées, des gardes à vue, des inculpations.
Tout se passe comme si ce régime illégitime, aux bases sapées par une situation économique et sociale de plus en plus délétère, craignait cette minorité de Français non reniés, consciente et inaccessible au découragement, que sont les nationalistes.
En effet, ce régime, issu du déni de la réalité, sait que les nationalistes, parce que leur doctrine et les principes qui la constituent sont fondés sur l'expérience de l'histoire et l'observation du réel, détiennent la réponse au mal qui ronge la France et plus largement nombre de peuples d'Europe. Cela lui est insupportable.
Le combat va se poursuivre sans faiblir. Porteurs de la vérité nationale, les nationalistes vont continuer de s'organiser, d'aller vers leurs compatriotes : ils les gagneront à leur doctrine qui énonce que la France ne peut être forte et saine que si elle est ethniquement et culturellement homogène et fidèle à sa tradition millénaire, que si l'Etat, à la fois national et social, est pleinement souverain au sommet d'une société organique, subordonnant les énergies de la nation à l'intérêt supérieur de celle-ci.
Nous vaincrons car l'erreur emprisonne et corrompt tandis que la vérité fortifie et rend libre ceux qui y puisent le fondement de leur action et de leur vie.
11:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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