Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 09 janvier 2014

Leonarda : le retour médiatique... Ils vont nous emmerder encore longtemps !

7_couv_images.jpgJean Ansar

Metamag cliquez ici

Coucou, revoilà Leonarda, celle qui veut changer les lois françaises. Elle fait un retour en force dans les médias car, pour le reste, ça s’annonce tout de même plus difficile. Le droit administratif est en passe de priver la France de ces chances inestimables… ou en tout cas coûteuses.

Le rapporteur public conclut au rejet des requêtes de la famille de Leonarda Dibrani pour obtenir un titre de séjour en France. « L'émotion que cette affaire a provoquée est inversement proportionnelle à la complexité juridique effective » du dossier, a souligné le rapporteur public, Jérôme Charret. Le tribunal n'a « à juger que la légalité du refus de titre de séjour, portant obligation de quitter le territoire français », a souligné le magistrat, chargé de proposer au tribunal une solution à l'affaire. Encore un raciste français sans cœur.

Maître Brigitte Bertin, l'avocate de Leonarda réclamait l'annulation de la décision de la préfecture du Doubs qui obligeait la famille Dibrani à quitter le territoire français, ce qui avait été mis en œuvre le 9 octobre, déclenchant une polémique et une tempête politique. Expulsés au Kosovo, ils demandent aujourd'hui à revenir en France et réclament, devant la justice, un nouveau titre de séjour.

L'adolescente elle-même avait tenté de mettre la pression. « Si le recours échoue, je veux dire solennellement à la France qu'elle n'aura plus qu'à envoyer des fleurs au Kosovo. C'est simple, on va tous se tuer », menaçait-elle sur le site du Figaro. « Si Dieu existe, tout se passera bien. L'année dernière a été la plus difficile dans nos vies. J'espère que celle qui commence sera meilleure », avait ajouté Gemilja Dibrani, la mère de l'adolescente. Selon elle, la famille traverse de graves difficultés financières. « Nous avons fêté le Nouvel An en pleurs. On n'a plus que trois paquets de riz et nous sommes obligés d'emprunter de la nourriture dans des épiceries. L'aide qu'on reçoit, c'est des haricots et la farine. Je ne peux pas nourrir les plus petits avec », a-t-elle déploré.

Heureux comme de vrais faux kosovars en France, les Dribani déchantent. Lors de la nouvelle audience, leur avocate, Me Brigitte Bertin, a fait valoir que six enfants du couple sont nés en Italie et un en France, et non pas au Kosovo, où ils ont été renvoyés. De retour dans ce pays, Resat Dibrani avait déclaré avoir menti sur l'origine de sa famille afin d'être accueilli en France. Me Bertin a aussi mis en avant le « droit essentiel » de scolarisation des enfants. « Sur le territoire français, sur le plan de leur scolarisation, ils avaient acquis une stabilité conforme à leur intérêt et qu'ils ne retrouveront pas au Kosovo », souligne-t-elle. Mais pour Me Yves Claisse, avocat du préfet du Doubs, « il n'y a pas eu de réelle scolarisation des enfants. Entre la rentrée du 3 septembre et l'expulsion du 9 octobre 2013, Leonarda a manqué vingt et une demi-journées de cours ».

Adieu donc aux Dibrani… mais pas encore dans les médias…Et si un malheur arrivait, alors là, les quenelles de Dieudonné ne seraient plus pour Hollande et Valls  qu’un point de détail.

10:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.