Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 03 décembre 2018

Marie-Jeanne Vincent victime des attaques de Nord Littoral attaque le journal gauchiste en justice

ob_2a5c75_mj-vincent.png

Communiqué du Parti de la France de Calais :

Marie-Jeanne Vincent, Déléguée du Parti de la France pour le Calaisis, était candidate pour l'Union des Patriotes sous l'étiquette Civitas aux élections législatives en juin 2017. Jusqu'au scrutin, pendant 13 jours, le torchon d'extrême-gauche Nord Littoral a publié quotidiennement un nouvel article diffamatoire, calomnieux et insultant pour la candidate. 13 articles haineux, s'attaquant même à son intégrité professionnelle de professeur.

Relayant ces articles sur son compte Facebook, Nord Littoral a laissé libre cours à un déversement de haine sur sa page, alors même que le moindre commentaire un tant soit peu patriote est immédiatement censuré.

Cette campagne de diffamation a abouti à la dégradation de son véhicule de Marie-Jeanne Vincent, à du vandalisme sur la façade de sa maison et même à des agressions physiques lors de collages d'affiches.

Marie-Jeanne Vincent poursuit le directeur de publication de Nord Littoral pour diffamation et injure publique et l'audience se déroulera mardi 4 décembre à 8 h 30 au Tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer.

Le Parti de la France invite ses militants, adhérents et sympathisants à venir soutenir Marie-Jeanne Vincent au tribunal.

NDLR : Dernièrement, les "journalistes" sont repassés à la charge à la suite de l'intervention de Marie-Jeanne Vincent le 14 octobre dernier à la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici. Les attaques contre notre amie sont ignobles. Elles auront les mêmes suites que le précédentes.

20:35 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang s'exprime sur la crise des Gilets jaunes

20:19 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

150 personnes à Le Sourd (02) pour protester contre l'installation d'éoliennes près du cimetière militaire

IMG_4179.jpg

Un manifestant raconte :

Des sociétés éoliennes souhaitent installer des machines de 180 mètres de hauteur sur les territoires de Lemé et Macquigny dans l’Aisne, à proximité des cimetières de Le Sourd et la Désolation cliquez ici.

Dans son étude de faisabilité, le gouvernement a omis de prendre en compte le fait que ces installations d’éoliennes vont se trouver sur un champ de bataille de la première guerre mondiale. Ces territoires se sont trouvés sous les coups directs des artilleurs allemands.

Nous avons organisé une mobilisation le 1er décembre pour nous insurger contre  des parcs éoliens prévus sur ce champ de bataille (7 500 soldats inhumés dans les deux cimetières assez proches l’un de l’autre). Et où  bien sur de  nombreux soldats sont encore ensevelis dans les terres agricoles. Nous sommes révoltés que l’on puisse déterrer des  corps de soldats à coup de pelleteuses.

A Chaudun, dans le sud de l’Aisne, le préfet a signé l’annulation d’un projet éolien sur un site de mémoire afin de respecter la mémoire des soldats afin  qu’ils reposent en paix. Nos soldats de Le Sourd et de La Désolation, seraient-ils moins prestigieux ? 

Nous avons prévenu les hautes autorités, et sommes soutenus par le Général Sainte Claire Deville (petit-fils du Général Lanrezac, qui a gagné la bataille Guise Saint-Quentin). Malgré la pluie battante et des vents violents, près de 150 personnes se sont déplacées pour venir dénoncer ce sacrilège d’Etat.

Nous avons ajouté à cela les nuisances sonores, visuelles et les problèmes de santé que génèrent les éoliennes sur la population et avons dénoncé la souffrance des habitants qui se retrouvent bombardés par ces monstrueuses machines de façon dictatoriale.

IMG_4169.jpg

Sur le scandale des éoliennes, lire le livre d'Alban d'Arguin cliquez ici

20:09 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mai 1968 – 2018 : une différence de nature

Le billet de Patrick Parment

manifestation-mouvement-des-gilets-jaunes-sur-les-champs-elysees.-paris-novembre-2018_exact1024x768_l.jpg

Il serait tentant de faire un parallèle entre Mai 1968 et les manifestations des Gilets jaunes. En mai 68, c’est la classe ouvrière – qui existait encore -  et la petite bourgeoisie qui ont exigé de toucher les dividendes de la reconstruction du pays entreprise depuis 1945. Car, si la IVe République a connu une forte instabilité gouvernementale, elle a su remplir les caisses de l’Etat. La France de 1958 était riche. Et l’une des conditions qui ont fait que De Gaulle a pris le pouvoir, c’était bien parce que les caisses étaient pleines et qu’il allait pouvoir mener une politique d’indépendance nationale en nous dotant, entre autres, de l’arme nucléaire. 

En revanche, l’échec du gaullisme est total en matière culturelle, car il a laissé aux mains d’une clique socialo-marxisante les clés d’une éducation nationale et du débat intellectuel qu’elle ne tardera pas à pourrir. La culture n‘entrait pas dans les préoccupations du gaullisme qui avait vendu son âme à Londres au camarade Staline et qui a toujours marché, main dans la main, avec le parti communiste.

Toute différente est la révolte des gilets jaunes. C’est une révolte contre le système, celui du capitalisme financier qui est en train d’appauvrir toute la classe moyenne, la classe ouvrière ayant disparu. C’est aussi la révolte d’un peuple qui est ignoré de ses dirigeants et d’une démocratie qui ne fonctionne plus, où ses corps intermédiaires que sont, entre autres, ses représentants dans les assemblées cotisent aux abonnés absents.  C’est une révolte populaire qui gagne l’Europe entière et notamment Bruxelles aux ordres de ce capitalisme financier et d’un imperium américain qui est en train de sortir de ses gongs avec Donald Trump.

En l’état actuel des choses, et à l’heure où nous écrivons ces lignes, il semble bien qu’Emmanuel Macron n’ait rien compris aux événements qui se déroulent sous ses yeux. Et la détermination des gilets jaunes est totale dans la mesure où l’immense majorité des Français – pas seulement ceux qui manifestent – connaît des conditions de vie de plus en plus difficiles suite à la multiplication de taxes qui pénalisent leur vie quotidienne. Nul ne sait où l’on va, mais on y va.

03:05 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |