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jeudi, 02 octobre 2025

Terrorisme politique : hier intellectuel, aujourd’hui judiciaire, demain révolutionnaire ?

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Philippe Randa

Tous (?), à la droite de François Bayrou, sont choqués, voire indignés par la condamnation à de la prison ferme de l’ancien président Nicolas Sarkozy. Tous (?), à la gauche de l’ex-3e Premier ministre de la Macronie cuvée 2025, arborent au pire un sourire gourmand, au mieux un silence faussement désintéressé… Quant à l’extrême gauche, elle fête comme il se doit l’humiliation de l’intéressé ; faute de la guillotine rêvée, une geôle fera l’affaire… pour l’instant !

Quoi qu’il en soit, tous ceux qui prédisent depuis des années l’imminence d’un chaos voient leurs craintes se préciser. Avec même une certaine accélération.

Car pourquoi autant de haine envers Nicolas Sarkozy ? Durant son quinquennat, il n’a guère maltraité la gauche, pratiquant même une ouverture politique qui indigna plus d’un de ses partisans et ses menaces de « karcheriser » la racaille des banlieues sera restée menace de matamore, au grand dam de ceux qui y avaient tant crû.

Et que dire de sa défaite face à François Holande, ce « capitaine de pédalo » (tel que le surnomma en son temps Jean-Luc Mélenchon) ; une défaite qui annonçait déjà celle, peut-être plus terrible encore qu’il subit lors de la primaire de la droite en 2016 en étant, par les siens, « remercié » dès le premier tour !

Caricature de l’has been politique qui n’avait même pas brillé lors de ses heures de gloire, quel danger pour la gauche peut-il donc encore représenter en 2025 ?

Lui, aucun !

Mais alors ? Pourquoi une telle condamnation qui finalement lui confère un nouveau rôle plus flatteur, celui de victime « de droite » expiatoire d’une justice partisane « de gauche » ?

Pourquoi cette sanction disproportionnée que le vulgum pecus ne peut guère comprendre : alors que 3 chefs d’accusation sur 4 ont été abandonnés –  corruption, financement illégal et recel de détournement de fonds publics –, seule une « présomption » a été retenue : son « objectif de préparer une corruption au plus haut niveau possible lorsqu’il serait élu président de la République » : un délit digne de la galéjade de Pierre Dac estimant que « si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle »… et qui pourrait désormais être décliné à l’infini à tous les candidats à la Fonction suprême, en leur prêtant à leurs tours, selon les humeurs et les haines de certains magistrats,  les objectifs les plus noirs, de corruption, de dictature, voire même de semaine des 4 jeudis, le choix est vaste… et au point où on en est… au point où ils en sont…

L’explication devient toutefois plus simple en prenant quelque recul sur « le cas Sarkozy » lui-même et en rappelant le terrorisme politique qu’avait réussi à instaurer en France la gauche après les événements de Mai 68 ; celui-ci culminera en 2002 lors de l’élection présidentielle lorsque Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour. Il n’a, depuis, cessé de décliner : aujourd’hui, le Rassemblement national – héritier sinon du programme, du moins dans les têtes des électeurs d’un Front national honni à force d’être caricaturé – est le premier parti de l’Assemblée nationale, il existe une importante presse papier, audio et télévisuelle – le groupe Bolloré ne cesse de s’emparer de part de marché – et celle-ci est ominiprésente sur internet – parmi les médias les plus importants, le groupe Libertés – et sans doute plus alarmant encore pour l’ auto-proclamé « camp du bien », l’explosion de l’insécurité, de la menace migratoire et de l’exemple de ce qui se passe à l’étranger, du triomphe de Donald Trump outre-atlantique à la réussite économique et politique d’une Georgia Meloni en Italie en passant par la vague des succès électoraux des partis populistes en Europe, laissant augurer plus tôt que tard l’accession de la plupart d’entre eux aux Affaires de leurs pays.

Face à l’impitoyable évidence des faits lui donnant quotidiennement tord et à sa perte d’influence médiatique, il ne reste actuellement à « la gauche » que le terrorisme judiciaire pour espérer terroriser ses adversaires – le terme d’ennemis tant haïs serait plus juste – et « tenir » encore autant que faire se peut jusqu’à un miracle bien peu crédible dans les urnes pour les plus timorés… ou à une guerre civile comme ouvertement souhaitées par Blacks Blocks et Antifas (France Inter estimait en 2023 entre 3 000 et 5 000 le nombre de Black Blocs en France « susceptibles de participer à des affrontements »).

Mais outre-Atlantique, après l’assassinat de l’influenceur républicain Charlie Kirk, Donald Trump vient de classer officiellement le mouvement antifa comme « organisation terroriste ».`Si les juges rouges devaient estimer que le temps leur était désormais compté, Nicolas Sarkozy pourrait alors n’être que le premier nom d’une funeste liste.

16:39 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La dictature des juges

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Philippe Randa et Scipion de Salm débattront ce jeudi à 21 h sur X sur la dictature des juges, sujet ô combien d’actualité à l’heure où le débat est ouvert au sujet de la condamnation de Nicolas Sarkozy.

16:31 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les pleurs du Rassemblement National

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Balbino Katz

Je me trouvais à la maison de la presse du Guilvinec où je m’étais rendu pour acheter la revue éléments. En attendant de payer, j’ai écouté une vieille toupie couiner que Reconquête avait trahi le camp dit national en empêchant le RN d’accéder au deuxième tour dans une élection partielle. Il faut avoir le cœur solide pour supporter l’hypocrisie du Rassemblement national. Voilà un parti qui, depuis des années, rejette l’union des droites avec une obstination digne d’un couvent fermé à double tour, et qui s’étrangle aujourd’hui parce que Reconquête ose lui disputer un terrain électoral qu’il croyait réservé. L’élection partielle des Français de l’étranger, en Ibérie et en Méditerranée, a livré son verdict cruel : la candidate RN recule de six points, Reconquête progresse, et le second tour se joue sans la marinisme, promise à la défaite de toutes les manières. Le reste n’est que plainte et vitupération.

Cette réaction est une monnaie rendue à sa propre pièce. Car le RN a toujours préféré sa suffisance solitaire à la construction d’une majorité de droite. Il vit sur la rente d’un patronyme, gère son parti comme une petite entreprise familiale, expulse quiconque tente d’y introduire un souffle doctrinal nouveau. La politique s’y réduit à des joutes verbales dans les médias, comme si répéter ce que dit la télévision suffisait à fonder un destin national. Dans un pays qui s’effondre, Marine Le Pen se contente de singer l’air du temps, se rapprochant de la gauche par instinct de confort, et confiant les clefs à des hommes ternes comme Tanguy ou Chenu, pour qui la vision idéologique se limite à des ruminations gaulliennes et l’ambition à une gestion de carrière.

La purge orchestrée par Jean-Philippe Tanguy et ses affidés, au nom de prétextes fallacieux, contre Marion Maréchal et son micro parti, n’est pas un détail, elle illustre au contraire la logique profonde de ce parti : exclure systématiquement ceux qui pourraient incarner un projet plus vaste et nouer des alliances fécondes. En chassant les voix libérales ou identitaires, le RN s’est condamné à l’isolement. Il a choisi d’être seul, et il récolte le prix de cette solitude, dans une stratégie perdante qui ferme la porte à tout avenir.

Or, les électeurs sentent tout cela. Ils s’éloignent, doucement mais sûrement, vers ceux qui parlent encore le langage de la fermeté et de la fidélité. Reconquête, à sa manière, capitalise sur cette lassitude. Ses cinq pour cent ne sont pas anecdotiques : ils sont le signe d’une fissure grandissante dans la façade du monopole mariniste. Voilà pourquoi la réaction du RN sonne comme un caprice d’enfant gâté, qui ne supporte pas que ses jouets lui soient disputés.

Il y a dans ce spectacle quelque chose de pathétique, mais aussi d’inévitable. L’histoire punit toujours les formations politiques qui refusent d’écouter leur base, qui se replient sur elles-mêmes, et qui croient que l’échec répété deviendra un jour victoire par la seule force de l’habitude. Le RN ne parviendra jamais au pouvoir sans alliances, et encore moins sans vision. Il s’avance vers une catastrophe annoncée, et le plus ironique est que ses cris d’orfraie contre Reconquête révèlent au grand jour ce qu’il cherche à dissimuler : son impuissance, sa stagnation et son échec programmé.

On peut penser que Jordan Bardella, habile et lisse, survivra à cette décrépitude. Mais la maison qu’il héritera sera déjà fissurée. Reconquête, malgré ses fragilités, a ouvert une brèche. Et dans cette brèche, demain, pourrait passer tout ce qui reste d’énergie à la droite française.

Source : Breizh.info

 

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Sarah Knafo dans Valeurs actuelles

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10:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche prochain, 5 octobre, premier tour de la législative partielle dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne, avec la candidature de Guy Jovelin pour le Parti de la France

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09:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rappel : après-demain, samedi 4 octobre, repas du Parti de la France à Dijon, à partir de 19h.

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Saint-Pétersbourg : une réunion internationale de conservateurs crée la surprise

Saint-Pétersbourg : une réunion internationale de conservateurs crée la surprise

(Polémia) Une conférence internationale d’une vingtaine d’organisations issues des rangs de la droite conservatrice et radicale, venues de trois continents, s’est tenue à Saint-Pétersbourg mi-septembre 2025. En présence d’Alexandre Douguine et à l’initiative d’un entrepreneur russe conservateur orthodoxe. Certains n’ont pas manqué de s’indigner de cette initiative qu’ils voient comme une opération d’influence, sinon d’ingérence, russe. Non sans raisons sans doute. Mais à mettre en perspective néanmoins, au moment même où le président Macron a été solennellement récompensé, le 24 septembre, à New York, en recevant des mains de Larry Fink, le président de BlackRock, le prix Atlantic Council Global Citizen. Sans doute en récompense des centaines de pépites technologiques françaises livrées depuis dix ans aux fonds d’investissement américains. Et après tout, si les globalistes s’autocongratulent, pourquoi faudrait-il diaboliser ceux qui s’y opposent ? Nos lecteurs trouveront ci-dessous une analyse de notre correspondant Yves Lejeune sur la conférence de Saint-Pétersbourg.

Yves Lejeune

Convergence antiglobaliste

Dans le cadre très officiel du palais Mariinsky, siège de l’Assemblée législative de Saint-Pétersbourg, des représentants de courants conservateurs et identitaires venus de plus de vingt pays se sont réunis les 12 et 13 septembre, à l’invitation de l’homme d’affaires russe Konstantin Malofeïev, fondateur de la chaîne orthodoxe Tsargrad TV, à la suite de la procession annuelle pour Saint Alexandre Nevski.

Parmi les intervenants figuraient le philosophe russe Alexandre Douguine, présent sur place. Alain de Benoist, mais aussi Alain Soral et Alexander von Bismarck (descendant du chancelier allemand Otto von Bismarck), se sont exprimés en visioconférence. Des trajectoires et des sensibilités parfois divergentes, mais réunies par un dénominateur commun : la lutte contre le globalisme et l’uniformisation du monde.

Autour d’eux, des délégations issues d’Espagne, d’Italie, de Hongrie, de Grèce, de Serbie, d’Allemagne, de Belgique, du Royaume-Uni, de France, mais aussi d’Amérique latine et d’Afrique du Sud.

Une plateforme d’échanges

Objectif affiché : créer une plateforme internationale de dialogue entre mouvements conservateurs, nationalistes et identitaires venus d’Europe et d’autres continents, un « front commun » contre le globalisme et l’idéologie progressiste.

Au-delà de la rhétorique, l’ambition formulée par les organisateurs est de donner une continuité à ce type d’échanges, en posant les bases d’un réseau transnational capable de relayer des thèmes communs : défense de la souveraineté des États, affirmation des traditions nationales et rejet de l’uniformisation culturelle.

Dans un contexte marqué par le conflit en Ukraine et l’isolement diplomatique de la Russie vis-à-vis des grandes capitales occidentales, le message envoyé par cette rencontre est clair : il existe, même à une échelle modeste, des acteurs prêts à maintenir un dialogue ouvert avec la Russie.

Une évolution du climat idéologique ?

Fort symbolique, cet événement traduit plusieurs choses :

  • Jamais, il y a trois ans encore, un tel rassemblement n’aurait trouvé les conditions pour exister. Dans un contexte où la solidarité avec l’Ukraine paraissait acquise dans l’ensemble du spectre politique européen, et en particulier au sein de la droite radicale, la perspective d’une réunion internationale organisée en Russie aurait semblé inconcevable.
  • Que des organisations et des partis — parfois classés aux marges du spectre politique — aient choisi de se rendre officiellement en Russie traduit une évolution du climat idéologique, un déplacement discret mais réel des sensibilités politiques. Si cet événement ne constitue pas encore un axe structuré ni une alliance durable, il illustre l’existence d’un espace de débat neuf, où souveraineté nationale, continuité historique et rejet de l’uniformisation culturelle servent de points de convergence.

Une coopération entre mouvements européens et organisations russes demeure toutefois une entreprise délicate, pour ne pas dire risquée, à contre-courant de la ligne diplomatique dominante en Europe. L’initiative a d’ailleurs immédiatement suscité une réaction vive dans certains médias « libéraux » en Europe de l’Est, qui ont multiplié les commentaires alarmistes.

La réunion de Saint-Pétersbourg illustre un déplacement progressif du débat au sein des droites européennes. Ce qui était hier inimaginable devient aujourd’hui envisageable, même à petite échelle. Ce n’est pas encore un tournant, mais c’est un signal à surveiller : celui d’une recomposition idéologique qui, demain, pourrait compter davantage dans les équilibres politiques du continent, en particulier institutionnels.

Article paru sur Polémia, cliquez ici.

07:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Partisans du RN contre Fans de Reconquête : les hooligans du néant

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Julien Dir

Ah, quelle farce. Chaque jour qui passe, les réseaux sociaux nous offrent le spectacle pathétique d’une guerre de tranchées entre groupies du RN et ultras de Reconquête, incapables de penser autrement que par les voix ou agissements de leurs chefs/élus respectifs. On s’insulte, on s’excommunie, on brandit des captures d’écran comme autant de trophées de chasse numérique. Pendant ce temps-là, la Bretagne, la France, l’Europe continuent de se déliter, l’immigration de prospérer, et l’État de se soumettre à toutes les idéologies mondialisées. Mais les “patriotes”, eux, préfèrent se déchirer dans un concours de pureté stérile.

Des bulles qui tournent en rond

Les partisans de Zemmour accusent les électeurs du RN de trahison, de compromission, de mollesse. Ceux de Marine et Bardella répliquent en expliquant que Reconquête les “plombe électoralement”. Les uns se prennent pour des stratèges, les autres pour des résistants. En réalité, ils ne sont que les otages d’une société de bulles : bulles médiatiques, bulles virtuelles, bulles narcissiques. Chacun vit enfermé dans son aquarium numérique, persuadé de représenter le “vrai peuple” alors qu’il ne fait que s’adresser à son reflet.

C’est la victoire du marketing sur les idées. Les uns se rassurent en jouant aux gaullistes de province, terroir et saucisson, les autres se grisent d’une radicalité de plateau télé. Mais au fond, ces guerres de boutique ne servent qu’à gonfler les egos de leurs chefs respectifs, qui se nourrissent de cette rivalité pour exister.

Les angles morts des uns et des autres

Les pro-RN hurlent que Reconquête leur “vole des points”. Jamais ils ne se demandent pourquoi tant d’électeurs sont lassés par les ambiguïtés sociétales d’un parti qui flirte parfois avec la gauche progressiste sur des sujets décisifs. À force de se travestir en parti de gouvernement respectable, à force de n’être qu’un RPR des années 90 et de refuser d’appeler à descendre dans la rue, le RN finit par singer ses adversaires.

À l’inverse, les pro-Zemmour ne comprennent pas que nombre de Français, fatigués, précarisés, veulent avant tout être rassurés. Peu leur importe la hauteur des discours ou la radicalité des propositions : ils se tournent vers Marine Le Pen et Bardella parce qu’ils apparaissent comme plus “proches du peuple”. Illusion ? Sans doute. Mais les illusions font partie du réel, et les ignorer, c’est se condamner à ne jamais gagner.

Le panier de crabes

Ces querelles intestines ne sont pas seulement ridicules, elles sont révélatrices : la politique est un tas de lisier où chacun patauge avec un rictus de haine. On se déteste, on se jalouse, on se fantasme en gladiateur d’Internet, alors qu’au fond, on partage les mêmes constats sociaux, les mêmes angoisses démographiques, la même colère contre la dépossession de notre pays.

Et comble du cynisme : ceux qui s’invectivent comme des chiens enragés sur les réseaux ignorent que dans la réalité, nombre de cadres du RN et de Reconquête sont copains comme cochons. On se vouvoie à l’antenne et on s’engueule pour le spectacle, puis on se tape dans le dos hors caméra. La guerre des supporters n’est qu’un théâtre d’ombres pour amuser la galerie.

Voilà le fond du problème : les vrais perdants, ce sont les militants, les sympathisants, les fans. Comme des hooligans sans stade, ils gueulent, ils insultent, ils s’écharpent… mais ils ne construisent rien. Ils vivent par procuration, attendant que leur chef providentiel conquière le pouvoir à leur place. Ils se passionnent pour des joutes virtuelles, plutôt que d’agir concrètement, de s’organiser localement, de prendre leur destin en main.

Ils ne voient pas que ce qui les divise n’est rien face à ce qui devrait les unir : la défense d’un peuple, d’une civilisation, d’une identité. Mais la politique moderne est devenue un spectacle, et comme tout spectacle, elle a besoin de son lot de supporters décérébrés pour exister.

Réveillez-vous

Alors oui, il est temps de secouer le cocotier. Droite nationale, droite identitaire, droite radicale : arrêtez de jouer aux hooligans du néant. Cessez d’être les groupies hystériques de leaders qui ne voient en vous qu’une masse de clics et de voix interchangeables.

Le véritable combat n’est pas sur Twitter ni sur TikTok. Il est dans la rue, dans les associations, dans les familles, dans les villages et les quartiers où se joue l’avenir. Le choix est simple : continuer à se haïr au nom de querelles d’appareil, ou bâtir une force populaire réelle, qui dépasse les boutiques partisanes et les petites vanités.

Parce que sinon vous finirez tous par ressembler à ce que vous prétendez combattre : des spectateurs passifs, consommateurs d’illusions, prisonniers de la société du spectacle. Et dans ce cas-là, vous ne mériterez même plus de parler de “patrie”..Qui aura disparu depuis bien longtemps…

Source : Breizh.info

07:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |