jeudi, 04 juin 2020
Suppression du défilé du 14 juillet: un signal fort contre la France française.
En décidant d'annuler cette année le défilé militaire du 14 juillet "pour raisons sanitaires" alors même que restaurants, bars, cinémas, parcs d'attractions, plages etc. seront ouverts et feront le plein — et c'est tant mieux — Emmanuel Macron vient de souligner au trait rouge le profond mépris dans lequel il tient nos armées.
Cette mesure arbitraire préfigure sans doute le sort réservé à notre effort de défense dans les mois à venir. Considérée depuis longtemps comme une variable d'ajustement budgétaire, l'Armée sera, à n'en pas douter, la victime expiatoire de la gestion aberrante, nationalement destructrice, économiquement ruineuse et socialement ravageuse, de la crise du coronavirus par le pouvoir français.
Alors que l'épidémie dont tout indique qu'elle a été largement surestimée dans sa nature et dans ses effets par les pouvoirs publics, recule, rien ne justifie cette interdiction.
Dernier symbole de notre grandeur, outil nécessaire de notre indépendance et de notre sécurité, corps de la Nation et âme de ses traditions, l'armée française est aussi, dans le contexte de rupture que tentent aujourd'hui d'imposer organisations gauchistes, militants communautaristes et associations racialistes, indigènistes et immigrationnistes, le dernier rempart contre les émeutes qui approchent et le chaos qui vient.
C'est sans doute pour cela que tant de forces sombres se liguent pour l'affaiblir. Macron vient de leur adresser un signal fort du recul supplémentaire de l'Etat et du triomphe post national de la société arc-en-ciel et cosmopolite.
Gageons que les Champs Elysées seront pourtant noirs de monde le 13 juillet. Comme chaque année la racaille sera au rendez vous.
17:26 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les commentaires sont fermés.