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lundi, 13 septembre 2021

Le Parti de la France signe désormais d’un Z comme Zemmour !

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La chronique de Philippe Randa

On sait depuis Uderzo et Goscinny et les aventures de leurs héros Astérix et Obélix qu’en Gaule, tout se termine par des banquets. Mais en politique, tout peut-il commencer par une fête… du cochon ?

Celle du Parti de la France Bretagne, en cette année 2021, n’est certes pas la première ; elle est même devenue le rendez-vous annuel et incontournable de nombre de patriotes de l’Ouest qui refusent, plus que jamais, de voir se terminer l’histoire de France dans le chaos mondialiste.

Mais cette année-ci, à quelques mois d’une élection présidentielle qu’on nous annonce jouée d’avance (et tout aussi perdue d’avance pour les patriotes, dixit de sérieux sondages connus pour ne jamais se tromper), il n’est pas question de baisser les bras, comme l’ont rappelé les trois invités d’honneur lors de leurs interventions ; de Thomas Joly, président du PdF à Pierre Cassen, président de Riposte laïque en passant par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, la cause est désormais entendue : « Il n’y a pas de fatalité du déclin, il n’y a que la volonté des Hommes », a martelé Roland Hélie sous les applaudissements.

(Pour regarder leurs interventions, cliquez ici).

Et dans une unanimité qui semblait (à peine) concertée, (à peine) inattendue et (pleinement) enthousiaste, les trois orateurs ont appelé à soutenir sans restriction un homme pas encore déclaré à faire don de sa personne à la France, mais déjà tellement omniprésent dans les craintes des uns ou les espoirs des autres.

Le choix des orateurs est donc fait, sans hésitation, pour ce chroniqueur surgit des médias, courant vers la candidature au galop, et signant d’un Z son nom à la pointe de ses chroniques !

L’avenir dira dans les mois qui viennent s’il sera vainqueur à cette occasion, comme le renard masqué qui enchanta notre enfance l’était, lui, à chaque fois…

Source Présent cliquez là et EuroLibertés cliquez ici

17:47 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, interrogé par Epona dans le cadre des entretiens du Parti de la France

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16:31 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une communiquation de Roland Hélie :

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16:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« LE MENSONGE ET LA CREDULITE S’ACCOUPLENT POUR FORMER L’OPINION. » Paul VALERY

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Pieter Kerstens

Il n’est un secret pour personne de dire que depuis des siècles, la désinformation, la propagande et le mensonge sont abondamment utilisés pour diriger les peuples.

Et ce qui est affligeant, c’est de constater que la grande majorité des journalistes et des analystes politiques ou économiques acceptent d’être les complices de pouvoirs qui usent de procédés malsains pour manipuler des citoyens naïfs ou crédules.

Ainsi en est-il de la multitude d’informations que nous avons reçu ces derniers temps et concernant la pandémie du Coronavirus-19, découvert en Chine dès novembre 2019.

Bien plus tôt, le 11 septembre 2000, des vidéos, des images, des comptes-rendus, des conférences de presse et des éditoriaux à propos des attaques contre les tours du WTC à New York ont désigné Al-Qaïda et Oussama Ben Laden comme étant les concepteurs et les auteurs de ces attentats terroristes.

Et durant cet été les médias et les « experts » du climat ont tous attribué les inondations catastrophiques, les incendies dévastateurs ou la montée des océans au réchauffement climatique, seule conséquence de l’activité humaine et de sa pollution atmosphérique.

Le Covid-19 est-il vraiment plus mortel que la grippe ?

Début 2020, en France le gouvernement affirmait haut et fort qu’il n’était pas nécessaire de porter un masque, à l’image des pays asiatiques, et que l’épidémie n’atteindrait pas l’Europe. Pas question non plus de mettre en branle une campagne de dépistage systématique des gens contaminés, ni de les placer en quarantaine. Plus tard, le docteur Micron et son équipe de branquignoles déclarait que « nous sommes en guerre » et que tout le monde était assigné à résidence avec interdiction de circuler librement hors de son domicile, sauf à signer soi-même une « attestation » pour aller acheter son pain !

Les économies et une grande partie de l’activité industrielle étaient mises à genoux et depuis, les effets néfastes se sont fait sentir, malgré l’obligation d’un « passe sanitaire » imposé dans certains lieux, mais non dans les endroits clos où les gens sont serrés comme des sardines, dans le métro, les bus ou les trams…

De plus, des dizaines de millions d’Européens ont été vaccinés mais avec des substances qui, selon les déclarations des chefs d’Etats et de l’OMS, n’excluent pas la contamination, ni la propagation ou l’immunisation contre cette maladie. La finalité d’un vaccin n’est-elle pas d’immuniser les êtres vivants (hommes et animaux) contre une épidémie, comme la tuberculose, la variole, le choléra ou la fièvre jaune ? On peut donc être sceptique à propos de la réelle protection de ces « thérapies géniques » innovantes mais non concluantes pour se protéger du Covid-19.

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16:18 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Voyageurs pas contents : le contrôleur ne leur demande pas leur Pass Sanitaire !

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Hugues Bouchu
 
Ce n’est pas la « Bataille du rail » qui m’aura inspiré pour prêter attention à l’attitude professionnelle du contrôleur du TGV dans lequel je me trouvais, mais bien plutôt la réaction de voyageurs à son encontre.
 
En effet, lors de son passage, plusieurs personnes lui ont présenté mécaniquement leur pas-sanitaire, avant même le titre de transport. À cela, notre contrôleur a préféré les rassurer en leur indiquant que sa déontologie personnelle et professionnelle l’empêchait de répondre à leur demande : « Ce n’est certainement pas moi qui vais vous demander votre pass-sanitaire ! ».
Surprise et agacement de plusieurs sollicitants…
 
J’ai fini par m’intéresser à la personne de ce courageux agent de la SNCF. Après plusieurs échanges autour d’un café dans le wagon restaurant, il me confiait qu’il risquait gros au vu de sa hiérarchie, car déjà remarqué par celle-ci. Les services internes de cette entreprise demandant apparemment d’assurer par équipe volante le contrôle des billets, mais aussi des codes QR dit sanitaire. Or notre ami s’est arrangé par un calcul savant sur l’organisation de son planning et de ses trajets, pour passer au travers de ces exigences.
 
Arrivé à une correspondance, notre contrôleur fut invité à rejoindre ses collègues de la sécurité, montés lors de cet arrêt en gare. Une vive discussion s’est alors fait entendre entre eux… Il m’était difficile de traduire les paroles, étant donné l’éloignement depuis ma place. Je crains que ce sympathique contrôleur n’ait été remarqué par un membre SNCF en civil et peut-être signalé auprès des services de sécurité…
 
Toujours est-il que cette petite histoire m’aura apporté un nouvel espoir de résistance silencieuse et discrète.
 
« Madame, Monsieur, la SNCF vous remercie de l’avoir choisie pour votre voyage… »

15:26 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Qu’ils sont drôles, ces écolos !

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Robert Spieler

Boulevard Voltaire consacre un article très amusant aux journées d’été de la secte gaucho-écologiste. Il note que « le jargon progressiste foisonne, les guillemets pleuvent, des petits points s’intercalent, ici des angli- cismes abscons, là-bas des mots surgis de nulle part. » Les “allumé.e.s”, presque “tou. te.s prétendant.e.s” à la présidence de la République, se sont retrouvés à Poitiers, ville dont une allumée d’élite, Léonore Moncond’huy, est maire. C’est elle qui expliquait que « l’avion ne doit plus faire partie des rêves d’enfants ». Dès le premier jour, ce fut un concentré de charabia. Accrochez-vous. Un « boot camp écoféministe » consacré à « l’empouvoirement » des femmes est proposé aux participants. C’est fort, note Boulevard Voltaire : quatre guillemets, un anglicisme et un mot bizarroïde en une seule phrase ! Important : le boot camp se déroula en « mixité choisie ». C’est quoi, ça ? Après une longue enquête, je suis en mesure de révéler qu’il s’agit d’« exclure la présence de personnes qui feraient partie des groupes dominants et/ou oppressifs » . Il y eut aussi un atelier intitulé « Le temps des nouvelles stigmatisations ». Car les pauvrichonnes et les pauvrichons souffrent atrocement des accusations dont certains les accablent : islamogauchisme, séparatisme, racialisme, indigénisme, décolonialisme et autres féminismes anti-hommes. D’autres ateliers sui- virent. Au programme : « déconstructions diverses et variées, résistance face aux dynamique nationalistes, antieuropéennes, racistes, islamophobes, antisémites ou encore virilistes ».

Comme il se doit, le thème de l’écologie ne fut quasiment pas abordé. Le sommet du délire, on le doit à Sandrine Rousseau, candidate à la candidature à la prochaine élection présidentielle avec, important de le préciser, une équipe de campagne “non racisée”. Cette fanatique du “woke”, à la pointe de l’inclusivité et de la diversité, a un programme « en forme de rééducation », pour reprendre la formule de Boulevard Voltaire : « Une formation obligatoire sur l’inclusion et la diversité sera dispensée à toutes les personnes souhaitant ouvrir une entreprise. Elle sera également proposée à tou.tes les salarié.es et aux employeurs. » L’excitée du bulbe a aussi pour projet de « soutenir les mouvements féministes et écoféministes » (écoféministes, c’est quoi, ça ?) et entend défendre les « droits humains » (sic), y compris pour les femmes de porter la burka en France. Autre importante considération, à méditer : « nous prenons, nous utilisons et nous jetons le corps des femmes, le corps des racisés. Nous ne voulons plus ça et c’est ça, la révolution que je vous propose ». Mais le sommet de l’imbécillité la plus crasse a été atteint avec cette considération de Sandrine Rousseau : « S’il y a des Afghans potentiellement terroristes, il vaut mieux les avoir en France pour les surveiller ». Remarquez que le ministre des Affaires étrangères, Le Drian, ne fait guère mieux quand il exprime son souhait de voir les Talibans former un « gouvernement inclusif » en Afghanistan. Pourquoi pas. On attend avec impatience un gouvernement taliban LGBTQIA+...

Source : Rivarol 8/09/2021

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