vendredi, 07 avril 2023
Des militaires en appellent au Peuple français : avec Jean-Pierre Fabre-Bernadac
Le 14 avril 2021, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, était à l’origine de la "Tribune des généraux", une pétition signée par des milliers de militaires et qui a fait l’effet d’une déflagration. Deux ans plus tard, le président de l’association Place d’armes lance un appel direct et pressant au Peuple français.
Pour les premiers cosignataires de l’appel, il est crucial que les citoyens se mobilisent pour former une "union sacrée" face à la déliquescence de nos institutions, aux tensions sociales et à la montée des violences. Pour Jean-Pierre Fabre-Bernadac, "si les militaires ont un rôle important à jouer dans la protection de la nation, la résolution des problèmes désastreux actuels nécessite l’implication de tous les citoyens".
Appelant à une grande manifestation nationale à Paris le 13 mai, les responsables de Place d’armes veulent démontrer la responsabilité des gouvernements successifs dans le déclassement de la France et veulent aussi mobiliser tous les patriotes, en dehors des chapelles partisanes, pour renouer avec cet esprit d’union sacrée et de résistance qui s’exprimèrent courageusement en France pendant la douloureuse période de la Première Guerre mondiale.
12:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
|
Facebook | |
Reportage-bidon de France2 sur Callac : la réaction de Catherine Blein, alors présidente des Amis de Callac et de ses environs
10:53 Publié dans Callac 22, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
|
Facebook | |
« Envoyé spécial » Callac : sous Staline, Élise Lucet aurait fait merveille...
Bernard Germain
À Callac (2 200 habitants), le projet Horizon de la Fondation Merci prévoyait de faire venir 70 familles africaines, ce qui représentait environ 530 personnes, c’est à dire 25% de la population du village.
Toute personne ayant un minimum de bon sens ne pouvait qu’être alertée par un tel projet.
En effet, importer autant de personnes tellement différentes dans un petit village breton ne pouvait que créer une multitude de problèmes. Les promoteurs de ce projet refusaient de prendre en compte cette réalité.
Face à cela, la population s’est mobilisée et a dit au maire :
• Ce projet n’était pas dans votre programme électoral
• Soit vous abandonnez le projet, soit vous faites un référendum
L’émission d’Élise Lucet n’en dira pas un mot. Aucun téléspectateur ne saura que ce maire de « gôche » refusa la consultation de sa population, déclarant en public sur le marché « je ne ferai pas de référendum parce que 80% de la population est contre ».
Pour Élise Lucet, refuser de consulter la population sur ce qui aura de nombreuses répercussions sur sa vie n’est pas un problème. Refuser de respecter la volonté de la majorité du village, ce n’est pas un acte anti-démocratique, surtout s’il s’agit de soutenir un projet immigrationniste.
Alors elle n’en parle tout simplement pas.
De plus, le téléspectateur ne saura pas que la mairie a été soutenue à deux reprises par des rassemblements d’antifas – chauffés par des élus du conseil municipal – avant que ces antifas n’attaquent les gendarmes pour tenter de passer et venir agresser nos deux manifestations pacifiques tenues devant la mairie.
La violence des antifas, ce n’est pas un problème pour Élise Lucet, donc elle n’en parle pas non plus.
Par contre, le reportage Élise Lucet indiquera des dizaines de fois que les opposants au projet Horizon sont des « extrémistes de droite ».
De même, le reportage d’Élise Lucet mentionnera la réunion des vœux du maire, tenue le 28 janvier 2023 dans la grande salle de la mairie.
Mais Élise Lucet fera silence sur un événement important.
Ce jour, pour la 3e fois, les antifas étaient là. Une trentaine venus de toute la Bretagne.
Ils ont agressé Danièle Le Men, la présidente des « Amis de Callac et ses environs », qui a été au cœur de la bataille à Callac. Heureusement sans la blesser.
Un affrontement eut lieu entre les gendarmes et les antifas devant la mairie. Deux antifas furent mis en garde à vue et un gendarme fut blessé. Un véhicule de gendarmerie dégradé.
Les téléspectateurs ne sauront rien de ces faits. Les violences des antifas ne méritent pas d’être mentionnées.
Pas plus que les téléspectateurs ne sauront qu’aucune poursuite ne sera engagée par le procureur de la République contre les antifas auteurs de trois manifestations non déclarées durant lesquelles de multiples violences eurent lieu contre les gendarmes.
On notera aussi que tout téléspectateur qui aura eu la curiosité de chronométrer le temps de parole accordé à chaque camp aura remarqué que les pro-immigration auront eu 19 minutes 30 sur les 20 minutes du reportage sur Callac. Les opposants n’auront, eux, disposé que de 30 secondes.
Belle démonstration d’un journalisme objectif, accordant un temps de parole égal aux différents points de vue, permettant ainsi au téléspectateur de se faire sa propre opinion ?
Non, le reportage de France2 fut un modèle de partialité, de mauvaise foi, de parti pris.
C’est du grand « Libération », mais à la télévision.
Enfin, pour faire bonne mesure, on eut droit aux accusations sans preuve du sieur Morcet, un adjoint au maire, ayant soi-disant vu un homme cagoulé dans son jardin une nuit.
Croyez-vous qu’Élise Lucet lui aurait demandé si une enquête était en cours et si des coupables avaient été arrêtés ?
Pas du tout. C’est évident, ça ne pouvait qu’être l’extrême droite, cagoulée et habillée en noir, cette nuit-là dans le jardin de Morcet.
L’extrême droite est forcément coupable. Inutile de perdre son temps avec une enquête.
Au final, un reportage entièrement à charge produit par une équipe totalement immigrationniste.
Aucune considération pour l’opinion de la population, aucun respect de la plus élémentaire démocratie à laquelle a droit la population de ce village.
Aucun exposé des points de vue contraires.
Tout est bon pour imposer cette politique pro-immigration et donc on n’entend que ceux qui sont pour.
Et quiconque s’y oppose sera automatiquement qualifié d’être d’extrême droite.
Quant à Saint-Brevin-les-Pins, le reportage fut beaucoup plus court.
Yannick Morez apparaît devant sa maison dont un mur est bâché suite à un début d’incendie.
On apprendra qu’un CADA existe depuis plusieurs années à Saint-Brevin, « sans aucun problème » précise le maire.
Le projet actuel ? Installer ce CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire.
Ni Élise Lucet ni le maire ne voient un problème.
Mettre 120 migrants hommes dans ce nouveau CADA auquel on accède en rentrant par le portail de l’école, cela ne mérite pas que les parents d’élèves s’inquiètent.
Sauf que comme tout le monde, ils lisent les journaux et y découvrent l’existence d’agressions contre des enfants. La plupart du temps ce sont des migrants qui sont en cause.
Comment peut-on s’indigner de l’inquiétude de ces parents ?
Comment peut-on ne pas comprendre leur refus de voir ce CADA s’installer là ?
Le maire reproche justement à ces parents de « voir dans les migrants des délinquants ».
Sauf que les parents ne disent pas cela.
Ils disent : « Ne prenons aucun risque. Pas de CADA à cet endroit ».
Mais le maire ne veut rien comprendre. Il reste obstinément sur sa position et ne veut pas entendre les légitimes inquiétudes des parents, d’autant qu’ils sont soutenus par l’extrême droite.
Encore l’extrême droite…
Élise Lucet et Yannick Morez dialoguent devant sa maison qui a partiellement brûlé, ainsi que ses deux voitures.
Les opposants au projet du maire connaissent son adresse, dit-il, puisqu’un tract a été déposé dans sa boîte aux lettres.
Élise Lucet s’indigne… « et les gendarmes, qu’ont-ils dit ? »
« Que c’était la liberté d’expression », répond le maire.
Quelle déception… même pas de réaction des gendarmes.
Car pour Élise Lucet, comme le maire a des opposants, s’il lui est arrivé des problèmes, comme avec Morcet à Callac, c’est obligatoirement l’extrême droite qui est derrière tout cela.
Et comme à Callac, pas besoin d’enquête. C’est l’extrême droite on vous dit. Donc c’est eux les coupables. C’est simple, non ?
Joli pas de deux entre Élise Lucet et Yannick Morez très déçus du manque de répression de la part des gendarmes et impatients qu’elle ait lieu.
Au final, comme cerise sur le gâteau, les téléspectateurs eurent droit à un éloge de l’immigration au travers d’un reportage racontant en Amérique Latine le périple de migrants au travers d’une jungle vers les USA, leur destination.
Ce numéro d’Envoyé Spécial qui fut proposé ce soir aux téléspectateurs ne fut qu’une caricature à la gloire de l’immigration, digne des plus belles productions de l’Union soviétique stalinienne.
Le pire étant que c’est une production du service public, c’est-à-dire payée avec nos impôts.
Il est vraiment urgent de privatiser ce « service public » afin que nos impôts ne servent plus à financer des reportages de pure propagande au détriment d’un journalisme honnête qui informe le téléspectateur.
Pour visionner ce monument de
propagande gouvernementale cliquez ici
Commandez le livre qui relate
toute la vérité sur Callac cliquez ici
08:43 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) |
|
Facebook | |
Crise existentielle

Vincent Trémolet de Villers
La France bégaye. Chaque semaine, les mêmes cortèges, les mêmes blocages et désormais les mêmes violences. La grève, la grève toujours recommencée. Les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon, aidés par une partie de la presse de gauche, ciblent la police au moment où celle-ci reçoit des pluies de pierres, de boulons et d’acide. La crise sociale tourne en boucle et la politique est emportée dans un inquiétant processus d’autodestruction. Le président un jour se retrouve dans Pif Gadget, un autre annonce une loi sur la mort ; le gouvernement avance comme un canard sans tête pendant qu’une ministre prend la pose dans Playboy dans une version kitsch du narcissisme guidant le peuple. Comme l’Assemblée est ingouvernable, on projette des conventions citoyennes, ce simulacre de démocratie, sur tout et n’importe quoi. Pendant ce temps, le pays, comme abandonné, assiste à l’effondrement de son école, au délitement de l’hôpital, à l’explosion des prix, à l’extension de la délinquance ordinaire, aux effets en cascade de l’immigration subie.
Laurent Berger se trompe, ce n’est pas une crise démocratique qui frappe la France - les élections ont eu lieu, les institutions tiennent, les procédures sont respectées -, mais un mal beaucoup plus profond. Ce qui tourmente le corps social n’est pas institutionnel, mais, à certains aspects, existentiel. Cette question de l’âge de départ ne fut au fond que le déclencheur d’une défiance collective dans laquelle bouillonnent depuis longtemps le sentiment de dépossession, la crainte de l’affaissement, le ras-le-bol aussi de ceux que l’on prélève pour remplir le puits sans fond des transferts sociaux. Quand les syndicats auront rangé les calicots, que la loi sera promulguée et appliquée, il serait illusoire de chercher l’apaisement dans l’aide sociale et les diversions sociétales. Puisque la fabrique de la loi est de plus en plus difficile, on pourrait conseiller à ceux qui nous gouvernent de se concentrer sur leur mission première. Dans un pays où il faut six mois pour refaire une carte identité ou pour remplacer un professeur manquant, ce souci modeste du service public sera préférable à tous les discours grandiloquents.
Source : Le Figaro 7/4/2023
07:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
|
Facebook | |
CALLAC : LA VÉRITÉ !
Pour acheter ce livre cliquez ici
00:37 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) |
|
Facebook | |





























