Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 28 août 2023

Lettre de Catherine Blein suite à un entretien avec Edwy Plenel publié dans Ouest-France

images-1.jpg

Catherine Blein
Ancienne conseiller régional de Bretagne
Ancienne présidente des Amis de Callac et ses environs
 
Dans son entretien avec un journaliste de Ouest-France, je relève une fois de plus que le directeur de Mediapart tient des propos mensongers. 
 
Faisant allusion à la bataille contre le  "projet Horizon" qui devait installer un "village africain" au coeur de Callac, petite ville bretonne de 2 000 habitants, et que notre détermination a fait échouer, Edwy Plenel s'autorise à sous entendre des mensonges que je ne laisserai pas passer.
 
Il semble, tout comme le maire de Callac, prendre ses désirs pour des réalités en affirmant "voir ressurgir des drapeaux nazis". Monsieur Plenel ne fait que reprendre à son compte les hallucinations visuelles dont a été victime Jean-Yves Rolland, ledit maire de Callac.
 
Outre les drapeaux nazis qui n'existent que dans ses phantasmes, Edwy Plenel voit également de la violence, allant jusqu'à affirmer "l'extrême droite n'en est plus qu'aux mots", sous-entendu elle est passée à l'étape suivante : la violence.
 
Certes il y a eu de la violence, comme à l'accoutumée elle fut le fait des petits camarades de M.Plenel qui s'auto-proclament "antifas" alors qu'ils ne sont qu'une bande de voyous, qui cognent, cassent et brulent.
 
Non seulement ces gens-là manifestent sans même l'autorisation du Préfet, contrairement aux Amis de Callac dont les deux manifestations ont été déclarées ; non seulement ces gens-là sont venus manifester armés, mais ils n'avaient qu'un seul but, un seul, et qui n'avait rien de démocratique : nous agresser violemment. Et c'est toujours ainsi!
 
C'est ce qu'ils tentèrent de faire a Callac, avec une violence inouïe, obligeant les innombrables gendarmes déplacés pour eux, à constituer un mur humain face à eux et à vaporiser la zone de lacrymogène afin de nous protéger, nous qui sommes restés le plus pacifiquement du monde dans l'espace que nous avions déclaré et qui avait été accepté par le Préfet.
 
Non Monsieur Plenel ne racontez pas de mensonges aux lecteurs de Ouest-France, et si je me permettais, moi, de proférer des énormités semblables à votre encontre, je serais condamnée lourdement, si ce n'est remisée entre quatre murs. 
 
Pour le moment les vents vous sont favorables et l'extrême gauche se permet tous les outrages, mais je vous conseille de changer de ton, les Français en ont marre, voyez-vous, de vos outrances et les vents vont tourner.
 
Car ils voient bien que c'est votre mouvance d'extrême gauche qui sème la violence dans toutes nos manifestations, dans toutes les manifestations d'ailleurs, quelles qu'elles soient. Nous ne faisons, nous, que nous exprimer, toujours dans le calme, la légalité, et de façon pacifique.
 
Non Monsieur Plenel, je vous mets au défi de trouver dans nos manifs le moindre drapeau national- socialiste. Ça n'est pas du tout notre truc, nous sommes de Droite, radicale et efficace, notre drapeau national est Bleu Blanc Rouge et, localement, Gwen ha du (noir et blanc).
 
La violence est du côté de l'ultra gauche, du côté des vôtres, comme toujours.
 
Quant à l'antisémitisme, l'un des piliers du national-socialisme, ne vous en déplaise, il est enseigné et revendiqué de façon non dissimulée du côté de ceux que vous aimeriez tant voir nous remplacer...

17:04 Publié dans Catherine Blein | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.